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Faculté des sciences de Sfax

Rapport de stage
Elaboré par  :
Charmi sabeur

Au sein de

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période de :01/8/2007 à 30/8/2007

Je tiens à remercier l'équipe de  Tunisie Télécom qui m'a permis de


faire ce stage d'un mois parmi eux.

Je tiens à signaler qu'un accueil chaleureux m'a été réservé avec


une grande disponibilité des responsables de la société tout au
long de mon stage.

Je remercie chaleureusement Monsieur Noureddine karray pour son


esprit de collaboration et de la serviabilité.

Je tiens à remercier tout particulièrement Monsieur  Anouar


Chakroun qui a été mon maître de stage et qui m'a fait découvrir
de nombreuses choses dans le domaine des télécommunications.

 Mes vifs remerciements s'adressent aussi à tout le personnel de


Tunisie Télécom qui m'a accueilli et apporté son aide ou ses
conseils pendant ce stage.

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Sommaire
Introduction
Présentation de la société………………………………………………3-4
Historique sur le téléphone………………………………………………5
1- Présentation………………………………………………………5
2- Historique…………………………………………………………6
Introduction sur les réseaux
I-Réseau Téléphonique Commuté : RTC………………………..7
II- Réseau d’accès  ………………………………………………..8
II-1
Définition…………………………………………………….9 
II-2 Architecture  ………………………………………………...10
Le centre de commutation sfax-Gare
Introduction…………………………………………………………….11
I- Présentation de la commutation ……………………………….12
I-1 Principe de la commutation ………………………….12-13
I-2 Architecture d’un commutateur  ……………………………14
I-3 Fonction d’un commutateur…………………………………14
  II- Les techniques de
commutation…………………………………...15. 
II-1 La commutation manuelle……………………………………15 
II-2 La commutation automatique ………………………………..16
II-3 Evolution de la commutation…………………………………16
III- Equipement centre de commutation …………………………..16-17.
IV-Alcatel1000E10 : un commutateur multiservice
IV-1 Description du système Alcatel 1000 E10…………………….17
a) situation……………………………………………………..17-18.
b) Services offerts, appels traités ……………………………….18.
c) Architecture fonctionnelle ……………………………………19
IV-2Le CSNMM  : Centre Numérique Multimédia Multiservices…..20
Conclusion……………………………………………………………..21

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Introduction

Suite à ma réussite en deuxième année, un stage se trouve


primordial pour enrichir ma formation et appliquer d’une manière
correcte les connaissances théoriques reçues. Dans ce cadre, je suis
menée à assister à un stage au sein de TUNISIE TÉLÉCOM.

 Ce présent rapport est le compte rendu des


informations recueillies présentées dans le
Centre de commutation sfax-Gare

Présentation de la société 

Tunisie Télécom est un établissement public à caractère industriel


et commercial doté de la personnalité civile.

 Raison sociale : Tunisie Télécom

 Statut : Etablissement public à caractère industriel et


commercial

 Siége : Rue Asdrubal-1002 Tunis.

 Nombre d’abonnées :  en service téléphonique fixe


 en 2007: supérieur à 2.200.000

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 en service téléphonique mobile
 en 2007 : supérieur à 4.000.000

 Création de l’office : « l’office nationale de


télécommunication » a été crée Le 17 /04/1995 par la loi 95-
36 qui a défini sa forme juridique comme étant un
établissement public à caractère industriel et
commercial .Cette loi la dote de personnalité civile et de
l’autonomie financière. Selon cette même loi, cet
établissement est dénommé “office national des
télécommunications ” (ONT) et il est identifié par son
nom commercial «TUNISIE TÉLÉCOM ».
L’ONT est régie par la législation commerciale, et placé sous
la tutelle du ministère des communications.

 Mission : L’office national des télécommunications a pour


mission d’assurer les activités relatives aux domaines des
communications conformément à la législation et la
réglementation en rigueur.
A cet effet, il est notamment chargé de :
 L’installation, le développement, l’entretien et
l’exploitation des réseaux publics de
télécommunications et en particulier les réseaux de
téléphone, de transmission de données, de télex et
de transmission par paquets.
 La présentation des services fournis par les
réseaux publics de télécom.
 La promotion des nouveaux services de
télécommunications à travers l’installation des
équipements nécessaires et l’adaptation au
développement technologique en ce domaine.
 La contribution au développement des études et
des recherches scientifiques liées aux secteurs de
télécommunications et aux domaines techniques y
rattachées.
 L’application des conventions et des traités de
l’union internationale des télécommunications et
des organisations internationales et régionales
spécialisées dans le domaine des

5
télécommunications et qui sont ratifiées par l’Etat
Tunisien.
 La promotion de la coopération avec les
institutions techniques étrangères et les
organisations techniques internationales et
régionales spécialisées dans le domaine des
télécommunications.

Historique sur le téléphone  :

1- Présentation :

Téléphone, système de télécommunication permettant de
transmettre la parole ou d'autres sons entre deux points distants.

Dans le langage courant, le téléphone désigne aussi bien le


réseau téléphonique que le terminal individuel des usagers.
Ce dernier, appelé aussi combiné ou poste téléphonique,
contient un diaphragme, membrane flexible qui vibre au
contact des ondes sonores. Ces vibrations sont converties en
impulsions électriques, que le réseau téléphonique transmet
alors au terminal du destinataire. À l'arrivée, l'écouteur ou
haut-parleur transforme à nouveau ces impulsions en
vibrations acoustiques.

Un réseau téléphonique comprend l'ensemble des terminaux


et des liaisons de transmission, auxquels s'ajoutent les
équipements permettant d'établir les connexions
(commutateurs) et ceux facturant l'utilisation. Ces outils de
connexion et de facturation sont pour la plupart concentrés au
sein de centraux téléphoniques. Aujourd'hui, un réseau
téléphonique a de multiples usages qui dépassent le cadre de
la téléphonie, comme la télécopie ou les transmissions de
données : c'est pourquoi on considère désormais le téléphone
comme un réseau de télécommunication.

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Figure 1 : Le téléphone

2- Historique :
Depuis sa création l’homme n’a cessé de chercher les moyens
les plus simples et les plus efficaces pour communiquer .Il a
trouvé la parole, les gestes, les signaux de fumées, les pigeons
voyageurs, les lettres, les dessins pour combler son désire
intense pour communiquer mais rapidement ; tous ces
moyens s’avèrent insuffisant pour mener une conversion à
temps réel puisque les exigences des clients à travers la
conversation ou la communication c’est la rapidité et la
confidentialité.
Même l’invention du télégraphe n’a pas répondu à cette soif
communiquée du fait de caractère complexe et spécifiquement
pour un spécialiste.
Avec l’événement de l’invention de téléphone par Grahan Bell
un pas géant est franchi dans le sens de la communication.

En 1854, l'inventeur français Charles Bourseul fut le premier à


imaginer un système de transmission électrique de la parole. Il
constata qu'en parlant devant une membrane flexible on crée
des vibrations susceptibles de commander l'ouverture et la
fermeture d'un circuit électrique. À leur tour, ces impulsions
électriques peuvent alors produire des vibrations similaires
sur un autre diaphragme, afin d'y reproduire le son original.
Quelques années plus tard, l'Allemand Philipp Reis inventa
un instrument capable de transmettre des sons, mais qui
demeurait inadapté à la reproduction de la parole. En 1877,
l'inventeur américain Alexander Graham Bell construisit le

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premier téléphone capable de transmettre la voix humaine,
tout en respectant sa qualité et son timbre.

Figure 2 : Le téléphone magnétique de Bell

Le téléphone magnétique de Bell se composait d'un émetteur,


d'un récepteur et d'un unique fil de connexion. L'émetteur
(microphone) et le récepteur (écouteur) fonctionnaient selon le
même principe. Chacun comportait un mince diaphragme fait
de tissu et de métal, ainsi qu'un aimant permanent en fer à
cheval, entouré d'un bobinage en fil de fer, constituant ainsi
une bobine d'induction. En frappant le diaphragme, les ondes
sonores le faisaient vibrer dans le champ de l'aimant. Ces
vibrations généraient alors dans la bobine un courant
électrique proportionnel aux oscillations du diaphragme. Le
courant se propageait le long d'un câble jusqu'à la station
réceptrice, où il modifiait l'intensité du champ magnétique de
l'écouteur. Ces variations d'intensité provoquaient à leur tour
la vibration du diaphragme, reproduisant ainsi le son
d'origine.

Introduction sur les réseaux


I- Réseau Téléphonique Commuté  : RTC
Le Réseau Téléphonique Commuté ‘RTC’ met en relation deux postes
d’abonnés.

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Figure 3 : Réseau de télécommunication

PC : Point de Concentration


SR : Sous Répartiteur
La commutation : Partie centrale du réseau. Elle permet de
réaliser la mise en relation entre les abonnés.
La transmission: Ensemble des techniques mises en œuvre
pour relier les commutateurs entre eux. L’ensemble des
commutateurs et des supports de transmissions entre
commutateurs est appelé réseau de transmission ou réseau
de transport.
La distribution: Organisation technique mise en œuvre
pour relier les abonnés au commutateur le plus proche
(commutateur de rattachement). L’ensemble des dispositifs
permettant cette liaison est le réseau de distribution.

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Le centre de commutation
Sfax-Gare

Introduction  :
La commutation est la partie intelligente du réseau, celle qui
permet de réunir temporairement la ligne de l’abonné
demandeur à celle de l’abonné demandé.

I- Présentation de la commutation  :
I-1 Principe de la commutation  :
Un appel téléphonique débute lorsque l'abonné demandeur
décroche son combiné et attend la tonalité. Cette opération
ferme un commutateur électrique, provoquant la propagation
d'un courant électrique sur la ligne de l'abonné, situé entre
l'endroit où se trouve le demandeur et les locaux du central
automatique. Le central détecte ce courant et renvoie une
tonalité caractéristique combinant deux notes, facilement
reconnaissable par les machines comme par les usagers.
Lorsque le demandeur d'appel entend la tonalité, il compose
alors sur le clavier de son poste une séquence de chiffres qui
identifie un autre abonné. L'équipement de commutation du
central interrompt la tonalité sur la ligne, dès la réception du
premier chiffre. À la réception du dernier chiffre, il détermine
si l'abonné demandé dépend du même central que le
demandeur ou d'un central différent.

S'il dépend du même central, une série d'impulsions


électriques se déclenche alors sur la ligne de l'abonné
demandé. Ce courant alternatif d'une fréquence de 50 Hz
provoque l'émission de sonneries sur le poste du destinataire.
Si l'abonné demandé décroche son combiné, un courant
continu s'établit sur sa ligne. Le central le détecte, interrompt
la sonnerie et établit la connexion entre les deux abonnés. Des
relais d'occupation sont alors activés sur les lignes des deux
abonnés, les portant à un potentiel particulier, de telle sorte

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que si un troisième abonné tente d'appeler l'un deux, il reçoit
le signal « occupé ».

Si l'abonné demandé dépend d'un central différent, le central


émettant l'appel (central de départ) commence par établir une
connexion via le réseau avec le central de l'abonné demandé
(central d'arrivée). Lors de cette opération, le central de départ
doit communiquer au central d'arrivée l'identité de l'abonné
demandé. Le central d'arrivée déclenche ensuite les
procédures de sonnerie, de détection d'une réponse et de
notification au central de départ.

En terminologie téléphonique, l'appel est considéré comme


terminé dès lors que l'abonné appelé a répondu, et non quand
il a raccroché. Lorsque la communication s'achève, l'un des
abonnés, ou les deux, raccroche en replaçant le combiné sur
son socle, ou en enclenchant la position off du combiné. Cette
manœuvre ouvre le commutateur et interrompt le courant
continu. Le central engage alors la procédure de suppression
de la connexion.

En établissant et en interrompant une communication, le


central de l'abonné appelant envoie en parallèle une
notification au centre informatique de facturation. L'abonné
appelant paie la communication en fonction de l'éloignement
du destinataire, de la durée et de l'heure de l'appel, selon un
barème fixé par la société de télécommunications. Si le
destinataire ne répond pas, l'appel n'est pas facturé.

I-2 Architecture d’un commutateur  :

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Enregistreur

Unité de Traducteur
raccordement
d’abonnées Autres centraux
Taxeur

Maintenance
exploitation

Concentrateur de trafic Unité de commande

Figure 6 : Architecture simplifiée d’un commutateur


I-3 Fonction d’un commutateur  :
 Sa principale fonction est la connexion c'est-à-dire la
liaison temporaire entre 2 jonctions.
 L’établissement des connexions nécessite :
L’échange de signalisation entre les commutateurs.
Une suite d’actions, appelée traitement du signal.
 Les Unités de Raccordement d’Abonnés (URA) :
Fournissent l’énergie à l’alimentation des postes
téléphoniques
Détectent le décrocher et le raccroché d’un poste.
Génèrent une sonnerie vers un poste et exécutent des
tests des lignes d’abonnés.

II- Les techniques de commutation  :

II-1 La commutation manuelle  :


Au début d’expérience du Bell qui consiste à relier 2 postes
téléphoniques alimenté par une source de courant, cette
expérience permet la conversation entre 2 personnes ou
plusieurs (point à point) .Cette première solution de liaison
entre les téléphones vient le standard à batterie local se
présentant sous forme d’un meuble pourvu de prise (Jack) et

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de fiche piloter par une personne (appelé opératrice) un
ensemble restrat de ligne téléphonique auquel on affecte ou
bien des noms ou bien des numéros aboutissant sur un
standard ou il y a des Jack ou des volés.

Jack du demandeur
Abonné demandeur (fiche femelle)

Fiche Abonné demandé

Lampe d’appel

Dicorde Jack du demandé


(fiche male)
Clé

Casque de
l’opératrice

Figure 7 : Principe d’une position d’opératrice

II-2 La commutation automatique  :

Ce n’est que vers la fin du 19éme siècle et au début du 20éme


siècle que le premier système automatique apparaît aux USA :
c’est un autocommutateur électromécanique basé sur le
principe d’électroaimant (relais) exemple le système Strowger
(Américain).

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II-3 Evolution de la commutation  :
Sur les premiers réseaux, la commutation se faisait à la main
par des opérateurs travaillant sur des pupitres dans les
centraux téléphoniques. Lorsque les réseaux téléphoniques
s'étendirent, la commutation manuelle se révéla trop lente et
trop coûteuse en main-d'œuvre. Ces considérations
économiques amenèrent alors les ingénieurs à concevoir des
systèmes électromécaniques et électroniques, capables
d'effectuer une commutation automatique au sein des
centraux téléphoniques. Aujourd'hui, dans les pays
industrialisés, tous les abonnés au téléphone sont desservis
par ces types de central. D'abord électromécaniques, les
centraux automatiques ont été progressivement remplacés, à
partir des années 1970, par des dispositifs électroniques,
moins coûteux et plus rentables.

Un central électronique peut être considéré comme un


véritable système informatique. Les numéros composés sont
traduits automatiquement, les appels étant transmis à des
vitesses de l'ordre du millionième de seconde. À partir du
central, la voix de l'abonné est convertie en signaux
numériques, forme sous laquelle elle est transmise au réseau.
Un réseau numérique est très performant : la commutation et
l'acheminement sont rapides, le chemin le plus court est
déterminé automatiquement pour chaque appel, la
maintenance des équipements est aisée et les pannes sont très
rares.

III- Equipement centre de commutation  :


En Tunisie plusieurs systèmes coexistent :
Alcatel  OCB, HC3
Siemens : EWSD
Ericsson AXE
Huawei : C0C08
L’entreprise française Alcatel est le leader mondial de ces
technologies .Dans ce qui suit on va décrire le système Alcatel
1000 E10.

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IV-Alcatel1000E10  : un commutateur multiservice

Le système Alcatel E10 est un commutateur multiservice. Il


peut être utilisé pour une fonction spécifique comme pour son
aptitude à réunir plusieurs applications sur le même
équipement. Le caractère multiservice permet donc de
l'utiliser dans des contextes très variés.

IV-1 Description du système Alcatel 1000 E10


a) Situation :
Alcatel 1000 E10 est le système de communication numérique
développé par Alcatel CIT. Système multi application, Alcatel
1000 E10 dessert toute la gamme de centraux, du plus petit
centre d’abonnés au plus grand centre de transit. Il s’adapte à
tous types d’habitat, du centre urbain le plus dense aux zones
les moins peuplées, à tous types de climats, des contrées
nordiques aux régions équatoriales et tropicales. Son
exploitation peut être locale ou commune à plusieurs
commutateurs, voir les deux à la fois. Il offre tous les services
de la communication modernes : Téléphonie de base, RNIS
(Réseau Numérique à Intégration de services), centrex,
radiotéléphone cellulaire numérique et toute applications des
réseaux intelligents. Il traite les signalisations, aujourd’hui
rencontrées dans plus de 70 pays, et respecte les normes
internationales, à la définition desquelles Alcatel CIT
contribue activement.
Applications du système :
o Centre satellite
o Centre local d’abonnés
o Centre mixte local/transit
o Centre de transit (urbain, interurbain, international
terminal)
o Centrex (privé, public)
c) Architecture fonctionnelle :
Architecture fonctionnelle générale :

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Situé au cœur des réseaux de télécommunication concernés, le
système Alcatel E10B est constitué de 3 blocs fonctionnels
indépendants :
 ‘’Le collecte d’abonnés’’ assurant le raccordement des
lignes d’abonnés analogiques et numériques
 ‘’La connexion et commande’’ assurant les connexions et
le traitement des appels
 ‘’L’exploitation et maintenance’’ assurant toutes les
fonctions nécessaires à l’exploitant du réseau
Architecture fonctionnelle de l’OCB 283 :

MR : Multi enregistreur


La fonction MR est le pilote de l’établissement et de la rupture
des communications.
Le MR prend les décisions nécessaires au traitement de la
communication en fonction de la signalisation reçue, après
consultation de la base de donnée TR si nécessaire. Le MR
exploite les nouveaux appels et les raccrochages, libère les
équipements, commande les connexions st les déconnexions…
En outre, le MR prend en charge différentes taches de gestion
(pilotage d’essais de circuits, observations diverses).
TR  : Base de Données (traducteurs)
La fonction TR assure la gestion de la base de donnée des
analyses, des abonnés et des faisceaux de circuits.
Le TR fournit, au MR, à sa demande, les caractéristiques des
abonnés et des circuits nécessaires à l’établissement et à la
rupture des communications, le TR assure également la
correspondance entre la numérotation reçue et les adresses de
faisceaux de circuits ou d’abonnés (fonction de préanalyse,
analyse, traduction).
TX  :Taxation des communications
(taxeur)
La fonction TX assure la taxation des communications
Le TX est chargé de :
 Calculer le montant de taxe à imputer à chaque
communication.

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 Conserver le compte de taxe de chaque abonné desservi
par le centre de commutation.
 Fournir au fil de l’eau vers l’OM les éléments nécessaires
à l’établissement de la facturation détaillée.
De plus le TX assure des taches d’observations des circuits et des
abonnés.
GX  : Gestion des Connexions
La fonction GX est chargée :
 du traitement et de la défense des connexions sur
réception
 des demandes de connexion ou déconnexion
issues des fonctions MR ou MQ
 des fautes de connexions signalées par la
fonction COM
De plus la fonction GX assure le contrôle périodique ou à la
demande de certaines liaisons de la chaîne centrale de connexion
MQ  : Marqueur (distribution de message)
La fonction MQ est partagée de la distribution et de la mise en
formes de certains messages internes mais surtout elle assure la
supervision de connexions semi permanente et le transport des
messages entre les multiplex de communication.

IV-2 Le CSNMM  :Centre Numérique


Multimédia Multiservices
Le CSNMM est une unité de raccordement de l’Alcatel 1000
E10.Les unités de raccordement UR sont les interfaces entre les
liaisons externes et le cœur de la chaîne d’un centre de
commutation temporelle.
Le CSNMM permet de raccorder des abonnés et s’adapte aux
zones ou la densité d’abonnés est forte et la ou la densité est
faible (zone rurale). Il permet de réduire la longueur moyenne
des lignes d’abonnés donc de diminuer le coût de leur
raccordement aux réseaux.
Le CSNMM permet de raccorder :
 Des abonnés analogiques.

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 Des abonnés numériques donnant accès aux
services du réseau numérique à intégration de
service.
 Aux réseaux d’accès (AN).
 Des abonnés ADSL (Asynchronous Digital
Subscriber Line), donnant accès à de nouveaux
services nécessitant des débits plus élevés de type
internet.

Conclusion
Mon stage étant terminé et je veux bien dire qui il s’est passé
dans les meilleures conditions de travail et d’ambiance. Ce stage
aura été pour moi une période d’apprentissage et de découverte
dans le domaine de la télécommunication. Mais cela a été aussi
une prise de conscience de l’existence d’un univers  si différent
de celui des études universitaires. Toutes ces nouvelles
connaissances m’ont permit d’entrevoir de nouvelles
perspectives d’avenir que je voyais pas arriver si rapidement. Le
monde du travail procure tout autant de satisfactions que celui
des études en permettant à tout moment de prendre des
décisions propres à ses réalisations. Et cela est très satisfaisant
sur le plan personnel. Ce mois a été très enrichissant.
L'entreprise m'a laissé une grande liberté de choix et d'actions, ce
qui m'a permis de m'épanouir pleinement et de trouver ma place
au sein d'une équipe déjà formée. Travailler au sein de ce type
de structure constitue une expérience très intéressante….

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