Beruflich Dokumente
Kultur Dokumente
A : Le relais d’intensité est utilisé sur les petits moteurs monophasés d’une puissance
inférieure à 600W.
Il est généralement embroché directement sur les borniers du compresseur. On trouve, sur le
corps du relais d’intensité, les indications suivantes :
TOP
A/S P/M
Le relais d’intensité.
Si on teste ce relais avec un ohmmètre, on mesure l’ entre A/S et P/M ainsi que
entre A/S et L puisque le contact est ouvert au repos.
Par contre, entre P/M et L on trouve une valeur proche de 0 puisque l’on mesure
l’enroulement de la bobine du relais. Cette bobine est constituée d’un fil de grosse section.
Puisqu’il voit passer l’intensité de démarrage.
Si le contact reste en permanence fermé, l ‘enroulement auxiliaire est toujours
alimenté et le moteur risque de « griller ».
A P
P/M
A/S L
A P
P/M
A/S L
1 2
Cd
Une mesure avec la pince ampèremétrique peut nous indiquer la bonne santé d’un
relais d’intensité. L’intensité au démarrage est importante puis elle passe à 0 dés que le
contact du relais s’ouvre.
Pour les moteurs de plus fortes puissances, l’intensité augmente dans de fortes
proportions, il n’est plus possible d’utiliser des relais d’intensité. Le relais de tension se
caractérise par une bobine formée d’un fil très fin donc très résistant. Le contact est ici fermé
au repos.
4 1
La mesure à l’ohmmètre indique entre les bornes 1 et 2 une valeur de 0 et entre les
bornes 1 et 5 une valeur de quelques milliers d’ohms. L’analyse de la mesure permet de dire
que le contact du relais se trouve entre les bornes 1 et 2.
1 2
Le relais de tension.
Le relais branché entre 1 et 5 le fait fonctionner en « sonnette » c’est à dire que le relais
se colle et se décolle en permanence avec toutes les conséquences pour le moteur associé.
NB : Tout branchement du réseau entre les bornes 1 et 2 du relais entraîne un court circuit.
C klixon
2 1
Cd
A P
CTP
A l’arrêt, la CTP est froide.
C Klixon
A P
Cp Montage PSC.
A P
CTP
Cp
Montage CTP
C Klixon
A P
P/R
A/S L
C Klixon
5
A P
2 1
Le couple des machines entraînées doit être faible comme sur un petit réfrigérateur.
C Klixon
A P
P/R
Cd
C Klixon
5
A P
2 1
C Klixon
A/S
Cd
Cm
5
A P
2 1
Une fois terminé le démarrage, Cd est éliminé par le relais, mais l ‘enroulement auxiliaire
continue à être alimenté via le condensateur de marche Cm.
Le condensateur de marche permet également d’améliorer le cos du moteur ayant comme
effet de réduire l’intensité absorbée par le moteur.
GV
Arrêt
PV
A P
Cp
Montage d’un moteur à plusieurs vitesses.
Le principe est de créer une chute de tension par l’adjonction d’un élément impédant en série
avec le moteur.qui doit être du type PSC.
Quand le commutateur est sur la position PV, l’intensité absorbée traverse l’élément
impédant qui créé une chute de tension aux bornes du moteur, il tourne à petite vitesse (PV).
Quand le commutateur est en position GV, l’élément impédant est court-circuité et le moteur
est soumis à la tension totale du réseau, il tourne à grande vitesse (GV).
Armature
Diélectrique
Armature
Les condensateurs usuels ont des valeurs comprises entre quelques picofarads et
quelques milliers de microfarads.
1 picofarad = 1 pF = 10-12 F
1 nanofarad = 1 nF = 10-9 F
1 microfarad = 1F = 10-6 F
C = 0 x S / e
0 est appelé constante électrostatique. Sa valeur est 1 / 109 x 36 = 8,84 x 10-12 F/m
C = r x 0 x S/e
Ceq = C1 + C2 + Cn
C1
C2
Cn
W = 1/2 de C U2
Avec W en Joule, C en Farad et U en volt.
=RxC
avec en seconde, R en ohm et C en Farad.
La durée de la charge d’un condensateur est égale à 4,6 fois la constante de temps
pour atteindre 99% de la tension d’alimentation.
NB : Un condensateur branché sur le réseau EDF conserve cette tension même lorsqu’il est
débranfché. ATTENTION DANGER.
Il est donc impératif avant toute intervention sur un condensateur de s’assurer qu’il est
complètement déchargé en court circuitant les deux bornes du condensateur avec un
tournevis isolé ( attention à l’étincelle parfois violente due à la décharge).
Certains condensateurs sont équipés d’une résistance de décharge placée entre les
deux bornes du condensateur. Sa valeur d’environ une dizaine de kilo ohms permet une
décharge automatique sans pour autant influer sur le fonctionnement général de la machine.
Notez que cette décharge peut néanmoins prendre plusieurs minutes alors attention !
Cas d’un condensateur en court circuit : l’ohmmètre indique ici une valeur proche de
0. Le calibre choisi pour la mesure est le plus petit. Les sécurités thermiques associées au
moteur vont fonctionner.
Cas d’un condensateur mis à la masse : une des armatures peut être à la masse et
provoquer un courant de fuite. C’est le disjoncteur différentiel qui déclenche dans ce cas.
L’ohmmètre , placé sur un fort calibre, doit indiquer une valeur supérieure à 1000 M.
NB : sous une tension alternative de 240V, le courant d’appel du condensateur est environ 14
fois plus petit que la capacité réelle du condensateur. Rappelons que la valeur inscrite sur le
corps du condensateur est donnée avec une tolérance d’environ 10%.
N L
In 30mA
Choix du matériel.
Les différentes manières d'alimenter un moteur triphasé :
A propos du contacteur :
Un contacteur comporte :
Une bobine, siège d'un champ électromagnétique, qui attire les contacts
lorsqu'elle est alimentée. Elle appartient au circuit de commande. La
caractéristique principale d'une bobine est sa tension d'alimentation : 24v, 48v,
240V alternatif ou continu.
Pour faire démarrer le moteur M1, un appui sur le bouton "marche" S2 (NO)
va amener l'alimentation électrique sur la bobine du contacteur KM1. Cette
dernière étant alimentée, les trois contacts de puissance se ferment et le moteur
est alimenté. Le contact auxiliaire 13-14 se ferme également.
C'est une action sur le bouton "arrêt" S1 (NC) qui va assurer l'arrêt du
moteur M1.
L1
L2 S1
L3
1 3 5 13 A1
KM1 S2
2 4 6 14 A2
M1
Il est à noter que sur les contacteurs, il est possible d'adapter des blocs de
contacts supplémentaires appelés "blocs auxiliaires" ainsi que des blocs de
contacts temporisés qui basculeront après écoulement d'un temps préréglé.
Les courts-circuits
Les surcharges.
A: les fusibles.
N L1 L2 L3
B: Le sectionneur à fusibles Q.
1 2
3 4
4 6
I = P / (U x 3 x cos )
P = puissance en Watts.
U = tension entre deux phases d'alimentation du réseau en Volts
Cos = facteur de puissance (généralement 0,8).
Il est à noter que ces deux protections thermiques (court- circuit et surcharge)
peuvent être assurées par un seul appareil : le disjoncteur magnéto-thermique.
1 3 5 95 97
2 4 6 96 98
Cette tension est obtenue à partir du réseau 380V TRI via un transformateur
abaisseur de tension 240V/24V.
Primaire secondaire
K = U2 / U1 = N2 / N1 = I1 / I2
Avec U2 = la tension du secondaire en volt ;
U1 = la tension au primaire en volt ;
N2 = le nombre de spires du secondaire ;
N1 = le nombre de spires du primaire ;
I1 = le courant traversant le circuit primaire ;
I2 = le courant traversant le circuit secondaire.
I = P / U1
Avec I en A, P en VA et U1 en V.
F1 F2
I = P / U2
Pour contrôler un transformateur, il faut avant tout le débrancher.
Puis il convient de mesurer l'isolement entre les deux bobinages, comme pour le
moteur.
L1
L2
L3
Q1
Q1
F2
KM1
S1
F2
S2 KM1
X1 X2 X3
A1
A2
Nomenclature:
L1
L2
L3
F1 F1
S1
S2 KM1
KM1
A2
X1 X2 X3
X X X X X X
1 1 1 1 1 1
1 2 3 4 5 6
Vers récepteurs
Des capteurs.
La présence des borniers permet d'effectuer des contrôles sans démontage des
différents capteurs.
Questionner l'utilisateur
Observer le système
Oui Non
Les tests suivants devront être si possible aussi discriminants comme le premier.
Tous les tests effectués doivent permettre d'isoler le ou les éléments "défectueux".
Cet élément sera lui inscrit, dans l'organigramme , à l'intérieur d'un rectangle.
oui
test n°1
non
oui
test n°2
non
Elément "défectueux"
I b In Iz
Ce sont des appareils de protection dont la fonction est d'ouvrir, par la fusion d'un
élément calibré, le circuit dans lequel ils sont insérés.
Ils doivent interrompre le courant lorsque celui-ci dépasse, pendant un temps donné,
une valeur précise.
Caractéristiques
In Inf If I (A)
Fig. 1 : courbe de fonctionnement d'un fusible.
Pouvoir de coupure : c'est le courant maximal qu'un fusible peut couper en évitant
la formation d'un arc électrique qui pourrait retarder dangereusement la coupure
du courant.
Choix du fusible
A: choix de la classe
La classe gI, aM ;
Le calibre In et Un ;
La forme de la cartouche (cylindre, domestique, industriel) ;
Le pouvoir de coupure.
DISJONCTEUR
Définition: C'est un appareil de connexion capable
Fonctionnement :
Support fixe
Elément bimétallique
Conducteur parcouru
Par un I
Fig. 2 : le bilame.
Exemple : Ul = 25V et Rt = 37
La sensibilité sera donc de I = Ul / Rt soit I = 25 / 37 = 0,675 A.
On choisira un disjoncteur d'une sensibilité de 650 mA.
NB: pour les salles d'eau et les prises de courant, l'emploi d'un disjoncteur d'une sensibilité
de 30 mA est obligatoire.
Le bouton poussoir.
La commande de départ de cycle, l'arrêt d'urgence, l'interdiction par un contact à clé,
sont autant de fonctions que doit remplir la commande manuelle.
Caractéristiques :
Type de commande et longueur de la course (rectiligne ou angulaire)
La place disponible fixant les dimensions et le mode de fixation.
Le degré de protection (IP xx)
Des capteurs "tout ou rien" nous arrivons à des systèmes transformant la valeur
physique en une tension variable.
Caractéristiques :
Relais électromagnétiques.
Permet, à partir d'une information électrique de faible amplitude, d'actionner des
contacts permettant de modifier ou d'amplifier cette information.
Plusieurs fonctions :
Remarque : c'est un appareil qui, lors de son alimentation (temporisation TRAVAIL), soit
lors de sa coupure (temporisation REPOS) peut ouvrir ou fermer un ou plusieurs contacts
avec un retard réglable.
NB: de plus en plus remplacé par des Automates Programmables Industriels (API).
Symboles.
A1
A2
A1 A1
1
A2 A2
A2
A1
A2
Relais CLIGNOTEUR.
Les contacteurs.
Appareil mécanique de connexion permettant:
La commande automatique d'ouverture ou de fermeture d'un circuit
électrique.
La séparation électrique de la commande du circuit de puissance.
L'assurance des verrouillages électriques.
La détection des coupures.
A1 13 11 1 3 5
A2 14 12 2 4 6
Caractéristiques:
Le circuit de puissance:
Nombre de pôles : 2, 3, 4.
Courant d'emploi In : de 9 à 1600 A.
Tension d'emploi : de 500V à 1000V.
Pouvoir de coupure : 8 à 12 fois In.
Le circuit de commande:
Le relais thermique.
Destiné à la protection des circuits et des moteurs à courant alternatif contre les surcharges,
les coupures de phase, les démarrages trop longs et les décalages du moteur.
Symboles :
1 3 5 95 97 TEST
2 4 6 96 98 STOP
Constitution :
Mise en œuvre d'un "bilame" qui s'incurve lorsque la température augmente. En effet,
plus la température s'élève et plus la déformation est importante, jusqu'à actionner un
contact auxiliaire à ouverture (95-96) qui coupe le circuit de la bobine du contacteur.
Caractéristiques :
NB : pour assurer une meilleure adaptation au démarrage des moteurs et sachant que le
relais thermique donne l'image de l'échauffement du moteur, mais non sa température, nous
sommes conduits à différencier les courbes de déclenchement plus ou moins retardées.
Classe 10 : déclenchement normal (démarrage entre 2 et 10s).
Classe 20 : déclenchement "faible tempo." (Démarrage entre 6 et 20s).
Classe 30 : déclenchement "forte tempo." (Démarrage en 30s).
Principe :
A propos de *
A ENSEMBLE L INDUCTANCE
C CONDENSATEUR M MOTEUR
F DISPOSITIF DE Q MECANISME DE
PROTECTION CONNEXION
G GENERATEUR R RESISTANCE
H DISPOSITIF DE S CONTACT DE
SIGNALISATION CIRCUIT DE
COMMANDE
K RELAIS T TRANSFORMATEUR
CONTACTEUR
X BORNE FICHE
SOCLE
A propos de **
Nous utiliserons la première lettre de la fonction à réaliser. Par exemple, A pour Auxiliaire.
A propos de ***
Eléments simples : les deux extrémités sont repérées par des chiffres
successifs.
Contact.
Les principaux :
De 1 à 6 en tripolaire.
De 1 à 8 en tétrapolaire.
Organe de commande.
NB : marquage spécial.
Le réseau alternatif :
Phase 1 = L1
Phase 2 = L2
Phase 3 = L3
Neutre = N
L'appareil alternatif :
Phase 1 = U
Phase 2 = V
Phase 3 = W
Conducteur de protection = Pe
Terre = E
Fil positif = L+
Fil négatif = L-
Principe de fonctionnement :
L’enroulement statorique, alimenté en courant alternatif, produit un champ
magnétique alternatif équivalent à deux champs tournants en sens inverse l’un de
l’autre, à la vitesse angulaire = / p (avec p le nombre de pôles statoriques).
Le rotor peut donc indifféremment tourner dans les deux sens mais il ne peut
démarrer seul.
Fig. 1 : L’aiguille doit être lancée dans un sens ou dans l’autre pour tourner.
L’aiguille s’oriente indifféremment dans l’axe des deux bobines et vibre sans
tourner. Une impulsion manuelle sur l’aiguille lui donne un sens de rotation.
L’aiguille continue à tourner à la fréquence du courant alternatif. Si l’on
recommence l’expérience mais que l’impulsion se donne dans l’autre sens, l’aiguille
va se mettre à tourner dans ce sens. Il apparaît qu’il existe bien deux champs
magnétiques tournant en sens contraire.
B/2 C
+t b=Bcost
O
-t K A X
B/2 D
Calculons OA
OA = OC + OD
OK = OC cos t
OA = 2 OK = 2 OC t
Chacun des deux champs tournants développe sur le rotor un couple dont le
moment varie en fonction de la vitesse (ou du glissement).
Ces deux couples sont de sens contraires et ont des moments de même
valeur absolue pour deux valeurs opposées de la fréquence de rotation du rotor.
Le moment du couple résultant est obtenu en effectuant la somme des deux
moments. (fig. 2)
Il est naturellement nul quand la fréquence de rotation est nulle.
Le moment du couple à une fréquence donnée est, par suite de l’existence
d’un couple résistant, inférieur à celui que donnerait un moteur à champ tournant
unique.
T (couple)
Pour deux pôles, cela est réalisé en disposant dans le stator deux
enroulements, décalés dans l’espace de / 2 radians et alimentés par des tensions
en quadrature (fig. 3).
U1
0 U1
M1 U2
U2
I1
I2
M1
I1
M1 C
I1
M1 Cd Cp
L’enroulement auxiliaire A (Start en anglais) est constitué d’un fil plus fil
donc généralement plus résistant.
Il ne faut pas oublier de débrancher tous les fils arrivant au moteur avant la
mesure. Les valeurs ohmiques des enroulements étant faibles, le calibre choisi pour
la mesure sera petit. (selon le type d’appareil utilisé).
Un des enroulements peut être coupé. Un ohmmètre placé sur les bornes des
enroulements indique une résistance infinie ( ). La valeur ohmique des
enroulements varie entre quelques dizaines d’ohms pour les « petits » moteurs et
quelques dixièmes d’ohms pour les « gros » moteurs.
NB : Dans le cas d’un moteur à enroulement auxiliaire , lorsque les deux
enroulements ne sont pas déconnectables, c’est l’analyse des trois mesures
qui va nous renseigner. En cas de défaut, il existera des incohérences dans
les différentes mesures.
NB : Lors de la mesure, il ne faut pas toucher les fiches de mesure avec les
doigts sous peine de fausser la mesure.
Cependant, une mise à la masse d’un enroulement peut être moins franche
et provoquer le déclenchement des protections (disjoncteur In) sans pour autant
être décelable avec un ohmmètre classique. Il faut alors utiliser un ohmmètre à
magnéto. Cet appareil permet de mesurer des résistances d’isolement en utilisant
une tension continue de 500V.
Après impulsion électrique, l’appareil indique une valeur proche de l’ si les
enroulements sont bien isolés et entre eux et la masse mais aussi entre chacun
d’entre eux.
Le moteur M1 est alimenté par six fils sur les bornes U1,V1,W1 et U2,V2,W2.
Le moteur M1 est alimenté par trois contacteurs KM:
KM1: contacteur de ligne d'alimentation;
KM2: contacteur "étoile";
KM3: contacteur "triangle".
Des contacts temporisés de KM2
Un contact "NO" de KM3 se trouvant sur le circuit de KM1;
Un contact "NO" de KM1 se trouvant sur le circuit de KM3;
Des bornes de sorties et d'entrées.
I max = 6 x I n
U étoile = U nominale / 3
6 In
5 In
4 In
3 In
2 In
Quand la vitesse est stabilisée, le moteur est couplé en triangle, chaque bobinage
reçoit la tension normale d'utilisation
.Le moteur tourne normalement.
F2 T1 F3 S1
KM1
S2 KM2
KM2 KM3
KM2
KM3
S1 KA1 10s
5s
KA1 KA1 KA2
A1 A1
A2 A2
H3
H2
H1
KA2
KA1
S1
repos S1 2 4 6 8 10 S1 2 4 6 temps en s
= =
1 0
ENERGIE MECANIQUE
ENERGIE
ELECTRIQUE
transformer CHALEUR
MOTEUR
Entre fer
bobinages
bâti
L1
Champ tournant
N L3
L2 N
Les extrémités des bobinages sont raccordées, par le constructeur, à la boite à bornes.
(voir fig.5)
Fig.5: le branchement des bobinages.
U
U1 V W
1 1 1
U V W
2 2 2
Fig.6:Moteur récent
Fig.7:Moteur ancien
U V W
Z X Y
La constitution du rotor :
C'est un empilage de tôles magnétiques reliées entre elles par des barres conductrices
en aluminium. Ces barres forment "la cage d'écureuil". (voir fig.8)
Fig.8: le rotor.
Le rotor est monté sur deux roulements à billes logés dans les flasques. Ces
roulements sont graissés à vie et ne nécessitent donc pas de maintenance préventive.
16015 ANGOULEME
LEROY SOMMER
Type : LS 90 z 595257/3
Hz 50 Ph 3 S.ce S1
Roulements made in
Il faut repérer les tensions , ici 240V et 400V. la plus petite de ces tensions est celle qui
doit alimenter les bobinages .
La tension 240V correspond :
A la tension simple du réseau 240/400V (tension entre phase et neutre)
NB: le fil "neutre" devrait se trouver sur les bornes U2 ou V2 ou W2, mais les trois bobinages
U1U2,V1V2 et W1W2 étant identiques, le courant nécessaire est le même sur les trois phases,
on dit que le montage est "équilibré". Il n'y a pas de courant qui parcoure le fil de neutre , en
effet la somme algébrique des courants qui parcourent chacune des phases à l'instant "t" est
toujours nulle. On peut écrire I1 + I2 + I3 = 0
NB: l'intensité absorbée par le moteur dépend essentiellement du réseau, donc du couplage.
Après s'être assuré que le moteur est protégé contre les surcharges et les courts-
circuits, on peut procéder à son branchement dans le circuit de puissance.
Pour cette opération, l'appareil utilisé est un ohmmètre calibré sur une petite échelle.
Entre U1 et U2 fig. 16
Entre V1 et V2 fig. 17
Entre W1 et W2.fig.18
Une résistance très importante, au moins égale à 5000 par volt, soit 1,9 M
pour un moteur branché en 380VTRI.