Compte Rendu TP Orcad

Université Sultan Moulay Slimane
Facultés des sciences et Techniques BENI MELLAL
COMPTE-RENDU DE TP
Simulation OrCAd
Réaliser par : Encadrer par :
AFAJDAR YASSINE Pr. Rhazi
EEI S3 2017/2018
Cycle d'ingénieur en Génie électrique
Option électrotechnique et électronique industrielle
1
Je tiens à remercier dans un premier temps,
M. RHAZI Youssef qui a bien voulu user de leur temps
pour nous apportons aide et soutien pour notre TP et nous a
donné l’opportunité à manipuler et d’avoir une
professionnalité du travail avec Simulation OrCAd
Nous le remercions tous et que Dieu leur assure succès et leur
prête aide et assistance dans son efforts.
2
SOMMAIRE :
PARTIE 1 Pont de diodes ……………………………………………………………… ..4
Interprétation des résultat ……………………………………………...16
PARTIE 2 TRIGGER NON INVERSEUR …………………………………..….17
PARTIE 3 GENERATEUR DES PETIT SIGNAUX …………………………….30
PARTIE 4 Intégrateur ……………………………………………………………..44
PARTIE 5 circuit RLC en régime transitoire …………………………………….....55
TP2 Filtre 1er ordre et 2eme ordre ……………………………………………….....65
TP3 Diode,Transistor Bipolaire et Amplificateur op ……………………………....83
TP4 Amplificateur opérationnel ……………………………………………………96
3
TRAVAUX PRATIQUE
Partie 1 :
Pont de diodes
4
PARTIE THEORIQUE TP1 :
I. INTRODUCTION :
Les redresseurs permettent de convertir une alimentation alternative en continue.
La tension et la puissance de sortie peuvent être contrôlées par les composants de
puissance utilisés (Thyristors).
On peut grouper les composants utilisés dans les convertisseurs statiques AC- DC en
deux catégories :
● Les diodes
● Les thyristors (Silicon-Controlled Rectifier : SCR)
1. Définition :
Une diode est un élément non commandé composé de 2 couches de matériaux semi-
conducteur dopé(Silicium ou germanium). Le dopage permet d’obtenir des semi-conducteurs
à trous chargés positivement ou chargé de porteuses négatives.
La diode est représentée de la façon suivante:
I. PONT DES DIODES :

1. Définition :
Un pont de diodes ou redresseur double alternance, est un assemblage en pont de 4 diodes

permettant de redresser le courant alternatif en courant continu. Bien qu'il y ait d'autres
5
montages pour redresser le courant, ce montage reste le moyen le plus efficace pour réaliser
cette fonction.
1. Schéma de pont des diodes :

Schéma de pont des diodes avec une charge résistive.
2. Principe de fonctionnement :
En réalité le pont de diode est un redresseur de courant. Le courant de sortie est toujours
la valeur absolue du courant d'entrée. En revanche la forme de la tension de sortie dépend à la
fois de la forme de la tension d'entrée et de la nature de la charge.
Lors de l'alternance positive de la tension d'entrée V, seules les deux diodes ayant une tension
d'anode supérieure à la tension de cathode conduiront. Les deux autres diodes ne remplissant
pas ces conditions sont bloquées et ne laissent donc pas passer de courant. Pour l'alternance
négative, ce sont les deux autres diodes qui conduisent.
3. Lissage d’une tension redressée :
Pour obtenir une tension continue, il reste une étape : le lissage. Il consiste à empêcher les
variations brutales de tension.
6
Donc il faut placer en dérivation à la sortie du pont de redressement un condensateur.
• Lorsque la tension augmente, le condensateur se charge.
• Lorsque la tension à la sortie tend à diminuer, le condensateur se décharge ce qui réduit
fortement la chute de la tension.
• Si le condensateur a une capacité suffisante, les variations de la tension peuvent être
négligeables, la tension est quasiment continue.
PARTIE PRATIQUE :
II. SIMILATION D’UN PONT DE DIODES :
1. Création d’un nouveau projet :
 Commencer par ouvrir l’application Capture CIS pour crée un nouveau
projet :
- Nommer le projet sous le nom « pont de diodes ».

- Sélectionner l'emplacement du projet.
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- Coche l’option PSpice Analog or Mixed A/D.
-En coche l’option Create a blank project projet vierge.
-la fenêtre que sera saisi le schéma électrique.
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2. Placement des composants du circuit :
- Pour placer les composants il faut clique sur l’icône Place Part (P).
- La fenêtre Place Part :

- En clique sur add library pour ajouter les bibliothèques des composants.
- Insérer les bibliothèques : SOURCE, Design Cache, EVAL, ANALOG.
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- L'emplacement des composants :
-la résistance R.
-les diodes D1N4002.
-la source de tension VSIN.
-le condensateur C elect.
- En modifier les valeurs des composants :

-Double cliquez sur la zone de la valeur :
Par exemple la résistance :
10
-Placement des fils de connexion (Wire) :
-Pour placer les fils de connexion il faut clique sur l’icône Place Wire (W) :
-Finalement en obtient le schéma suivant :
11
4. Simulation avec l’application Pspice A/D :
En clique sur PSpice New Simulation Profile :
-En clique sur Create puis la fenêtre Simulation setting s’ouvre et en modifier la
valeur de Run :
- Placement des sondes (markers) :

-Pour placer une sonde de potentiel : PSpice Markers Voltage Level
12
On obtient ainsi le potentiel électrique au point considère (c’est-à-dire la tension
aux bornes de la résistance R1 car l’autre borne est reliée a la masse).
-Pour placer deux sondes différentielles : PSpice Markers Voltage Differential

.
On obtient ainsi la tension (ou différence de potentiels) aux bornes de la source

de tension V1.
- Puis en clique sur : PSpice Run

L’application PSpice A/D s’ouvre :
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-la tension ( en rouge) de sortie aux bornes de la résistance avec un condensateur
parallèle (c= 3300uF) pour une durée de 100ms.
On voit que la tension de sorte est presque continue grâce au condensateur.

-Pour une simulation plus fine, il faut ajuster le pas de calcul (Maximum
step size)
On va modifier les paramètres de simulation en cliquant sur :
Simulation Edit Profile .
Essayons par 10 e-06 :
-la tension ( en rouge) de sortie au bornes de la résistance avec un condensateur

parallèle (c= 3300uF) pour une durée de 40ms.
14
-En augmente la valeur de condensateur : C=5000uF
- Pour C = 10 mF :
15
 Interprétation des résultats :
- lorsque on augmente la valeur de la capacité C on remarque que le signal à la
borne de la résistance devient lisse càd la tension presque constante donc il
s’agit d’un circuit de redressement double alternance avec le filtrage qui est
assuré par la capacité chimique qui est polarisé.
- Lorsqu’on diminue le pas de calcul la simulation devienne plus fine.
16
TRAVAUX PRATIQUE
Partie 2 :
TRIGGER NON INVERSEUR
17
PARTIE THEORIQUE :
I. TRIGGER NON INVERSEUR :
1. Définition :
Le trigger de schmitt fait appel à une boucle de réaction sur l'entrée

noninverseur, il fonctionne donc en mode saturé. La tension de sortie Vs ne peut
qu'être égale à +Vsat ou -Vsat.
Le principal intérêt de ce montage réside dans la disparation du phénomène de
multi basculement du comparateur simple autour du seuil. Si le signal d'entrée
franchit un seuil, ce dernier bascule directement à son opposé, et de fait, même
si l'entrée est bruitée, elle ne fait plus basculer l'AOP autour du seuil.
2. Schéma de fonctionnement :
Dans notre cas on a e=0, R1= 10KΩ, R2=47KΩ et Vsat = 15 V

Donc :
Si V basculement a pour :
18
( )
Si basculement a pour
( )
19
PARTIE PRATIQUE :
I. SIMILATION D’UN PONT DE DIODES :
1- Création d’un nouveau projet :
projet :
20
- Sélectionner l'emplacement du projet.
- coche l’option PSpice Analog or Mixed A/D.
21
2- Placement des composants du circuit :
-Pour placer les composants il faut clique sur l’icône Place Part (P).
-La fenêtre Place Part :

-En clique sur add library pour ajouter les bibliothèques des composants.
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-L'emplacement des composants :
-la résistance R.
- uA741.
-la source de tension VSIN.
-VDC .
-Placement des ports :
L’utilisation de ports permet de simplifier la lecture de schémas.
Pour placer les ports il faut clique sur l’icône Place port la fenetre Place
Hierarchical Port s’ouvre :
On colle le connecteur dans le schéma, puis on le renomme en double

cliquant dessus.
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-Placement de la masse (0 V) :
-Pour placer la masse il faut clique sur l’icône Place ground (G) :
-Insertion des composants :
-Pour placer les fils de connexion il faut clique sur l’icône Place
Wire (W) :
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3- Simulation avec l’application Pspice A/D :
En clique sur PSpice New Simulation Profile
-En clique sur Create puis la fenêtre Simulation setting s’ouvre et en

modifier la valeur de Run :
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On obtient ainsi le potentiel électrique au point considère (c’est-à-dire la tension aux bornes
de la résistance R1 car l’autre borne est reliée à la masse).
On obtient ainsi la tension (ou différence de potentiels) aux bornes de la source de tension V1.
-Puis en clique sur : PSpice Run L’application

PSpice A/D s’ouvre :
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Le graphe au-dessus s’affiche l’allure en rouge présente la tension de source
(VSIN), l’allure en vert présente la tension d’entrer positif de l’amplificateur
(V+), l’allure en Blue présente la tension de sortie Vs et les deux autre allure
présente +Vsat=+15V et -Vsat = -15V.
4- Simulation n2 avec l’application Pspice A/D : (fonction de transfert
du trigger : mode XY) :
On va ajouter une deuxième simulation.
Basculez dans la fenêtre de l’application Capture CIS.
PSpice New Simulation Profile.
En choisissant d’hériter de simulation (inherit From), cela permet d’avoir un

profil de simulation identique (comme on le voit dans la fenêtre Simulation
Settings – Sim2 Trigger non inv).
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- Placement d’une sonde de tension en sortie de l’amplificateur
opérationnel :
-Puis en clique sur PSpice Run (ou touche F11)

-On va remplacer le temps (time) par la tension d’entrée (V1+) :

Plot Axis Settings X Axis Axis Variable.
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- l’effet Graphe représent d’ hysteresis:
 COMPARAISON ;
On voit dans le graphe que VH=3.19 et VB=-3.19 donc les valeurs calculer en théorie sont
les même de la simulation.
On remarque que us peut avoir deux valeurs différentes à certains endroits pour une valeur
de ue.La valeur de us dépend alors dans cette zone du dernier changement d’état de saturation
de l’amplificateur opérationnel.
29
TRAVAUX PRATIQUE
Partie 3 :
GENERATEUR DES PETIT
SIGNAUX
30
PARTIE THEORIE :
I. INTRODUCTION :
 AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL :
1. Définition :
Les générateurs de signaux sont basés sur le principe des bascules. La seule différence consiste à
remplacer le circuit RC par un intégrateur afin d'obtenir un signal triangulaire plutôt qu'une suite
d'arcs d'exponentielles. Comme l'intégrateur est inverseur, on utilisera dans ce cas un comparateur
non inverseur.
 Structure d’un amplificateur opérationnel :

La structure interne de la plupart des amplificateurs opérationnels peut se ramener au
schéma simplifié.
 GÉNÉRALITÉS ET STRUCTURE INTERNE :

L’amplificateur opérationnel est devenu un composant de base utilisé pratiquement
partout en électronique. Généralement, en théorie, on utilise une description idéalisée
de l’amplificateur opérationnel en le supposant parfait.
L’amplificateur opérationnel se présente, en général, sous la forme d’un amplificateur

à entrée différentielle et à sortie unique .
L’amplificateur opérationnel est un composant de l’électronique qui résulte de l’intégration

de plusieurs étages amplificateurs dans un même boîtier. Il comporte généralement deux
entrées, appelées respectivement entrées inverseuse (−) et non inverseuse (+), et une seule
sortie.
31
Du point de vue fonctionnel, la tension est proportionnelle à la différence de potentiel
qui existe entre les deux bornes d’entrée, ce qui s’exprime par la relation :
 PRINCIPAUX MONTAGES :
On va étudier les principaux montages de base qui font appel à un amplificateur

opérationnel. Ces montages qui utilisent un amplificateur opérationnel avec un réseau
de réaction, illustrent des fonctions simples de l’électronique telles que l’addition de
deux signaux, l’intégration ou le filtrage d’un signal électrique.
Pour cela, on considère souvent l’amplificateur opérationnel comme idéal qui se
caractérise par :
• un gain en tension différentiel infini : AD = ∞;
• une très grande impédance d’entrée infinie : Ze = ∞;
• une impédance de sortie nulle : ZS = 0 ;
• une bande passante : BP = ∞.
 Montage inverseur :
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On remarque que l’amplification est fixée par un rapport de deux résistances externes
dans le cas d’un amplificateur opérationnel idéal. L’impédance d’entrée est donnée
par Ze = R1 et l’impédance de sortie sera nulle.
On peut remarquer qu’il s’agit d’un montage avec contre réaction de tension en
courant. En appliquant les résultats de ce type de contre réaction, on obtient :
 Amplificateur non inverseur :
On peut remarquer qu’il s’agit d’une contre réaction de tension en tension. La chaîne
de réaction contient le pont de résistance R1, R2. On applique les propriétés d’un
montage avec une contre-réaction.
On remarque que la tension de sortie et la tension d’entrée sont en phase et que

l’amplification est toujours supérieure à 1. Le montage se comporte donc comme un
vrai amplificateur.
 Montage additionneur :
En associant le montage précédent à un amplificateur opérationnel monté en non
inverseur d’amplification G comme indiquée à la figure, la tension de sortie devient
:
33
 Montage soustracteur :
Avec le même montage que précédemment, en injectant une tension à travers R_

comme indiqué sur la figure 5.15, et grâce au théorème de superposition on peut
écrire :
34
1. Les fonctions théoriques :
Considérant que le signal de sortie du comparateur est symétrique et qu’il vaut . La
tension fournie par l’intégrateur vaudra
Ce signal est donc de segments de droite dont la pente vaut :
Comme le signal de sortie de l’intégrateur est applique au comparateur non inverseur, celui-ci
basculera chaque fois que atteint un des deux seuils de commutation
Le temps nécessaire pour aller d'un seuil à l'autre est égal à la demi-période du signal. On voit ainsi
que la pente générée par le circuit vaut
En égalant la pente mathématique à la pente générée ,
On voit que la période des signaux carres et triangulaires vaut :
Les amplitudes de ces 2 signaux valent :
1. Application numérique :
On a
On calcule :
La période de signal triangulaire :
35
Donc :
36
PARTIE PRATIQUE :
IV. SIMILATION D’UN GENERATEUR DES PETIES
SIGNAUX :
projet :
-Sélectionner l'emplacement du projet.
-coche l’option PSpice Analog or Mixed A/D.
37
38
-Pour placer les composants il faut clique sur l’icône Place Part
(P).

-En clique sur add library pour ajouter les bibliothèques des
composants.
39
-la résistance R.
-uA741.
-la source de tension VDC.
40
- Placement de la masse (0 V) :
- Pour placer la masse il faut clique sur l’icône Place ground (G) :
- Pour placer les fils de connexion il faut clique sur l’icône Place Wire (W) :
41
-En clique sur Create puis la fenêtre Simulation setting s’ouvre et en

modifier la valeur de Run :

42
-Puis en clique sur : PSpice Run

Le graphe au-dessus s’affiche l’allure en vert présente la tension de sortie de trigger
non inverseur, l’allure en rouge présente la tension de sortie Vs.
 Comparaison les résultats théorique et pratique :
On voit que
De même que
Aussi
43
TRAVAUX PRATIQUE
Partie 4 :
INTEGRATEUR
44
PARTIE THEORIQUE :
I. INTRODUCTION :
1. Définition :
-Un montage intégrateur est en électronique un montage qui a pour signal de sortie
l'intégrale de son signal d'entrée. Donc tout montage dont le signal de sortie vérifie la
relation suivante est un montage intégrateur :
Où
• k est une constante

• Ve est le potentiel d'entrée
• Vs est le potentiel de sortie
Bien sûr on peut remplacer la tension par le courant ou une autre grandeur.
Un signal rectangulaire sera intégré par un montage intégrateur en un signal triangulaire.
Constitués majoritairement d’amplificateurs opérationnels les filtres actifs intégrateurs
seront souvent qualifiés de pseudo-intégrateur en raison des limites de leur pouvoir
intégrateur. Si on considère l'amplificateur comme parfait on a :
La tension de sortie est proportionnelle à l’intégrale de la tension d’entrée. On dit
que le montage est un intégrateur pur. En régime établi, la fonction de transfert
devient :
Remarque. Ce montage est en boucle ouverte pour le continu et il risque de

ne pas fonctionner correctement. Généralement on ajoute une résistance de forte
valeur aux bornes du condensateur (R_ = 1 MV par exemple). Le diagramme de
Bode en amplitude devient comme indiquée à la figure 5.18.
45
46
PARTIE PRATIQUE :
I. SIMILATION D’UN INTEGRATEUR :
projet :
47
48


49
-la résistance R.
-uA741.
50
Placement des fils de connexion (Wire) :

-Pour placer les fils de connexion il faut clique sur l’icône Place
Wire (W) :
51
-En clique sur Create puis la fenêtre Simulation setting s’ouvre et en modifier la valeur
de Run :
Placement des sondes (markers) :
On obtient ainsi le potentiel électrique au point considère (c’est-à-dire la tension

aux bornes de la résistance R1 car l’autre borne est reliée à la masse).
52
53
D’après un intégrateur en savoir une tension triangulaire.
par analysassions de résultat du graph, le circuit s’agit d’un circuit générateur de

signaux, car on n’a pas le signale d’entrée on a seulement les deux
alimentations des amplificateurs et le signal de sortie est un signal triangle
On remarque aussi que les 2éme amplificateurs jouent le roule d’un intégrateur
La fréquence de signale de sortie est Controller par les composants de circuit .
54
TRAVAUX PRATIQUE
Partie 5 :
CIRCUIT RLC EN REGIME
TRANSITOIRE
55
PARTIE THEORIQUE :

 INTRODUCTION :
En électrocinétique, un circuit RLC est un circuit linéaire contenant une résistance

électrique, une bobine (inductance) et un condensateur (capacité).
Il existe deux types de circuits RLC série ou parallèle, selon l'interconnexion des trois types
de composants. Le comportement d'un circuit RLC est généralement décrit par une équation
différentielle du second ordre (là où des circuits RL ou circuits RC se comportent comme des
circuits du premier ordre).
À l'aide d'un générateur de signaux, il est possible d'injecter dans le circuit des oscillations et
observer dans certains cas une résonance, caractérisée par une augmentation du courant
(lorsque le signal d'entrée choisi correspond à la pulsation propre du circuit, calculable à partir
de l'équation différentielle qui le régit).
I- Circuit RLC en régime transitoire :

1- Définition :
Les circuits RLC sont généralement utilisés pour réaliser des filtres de fréquence, ou des
transformateurs d'impédance. Ainsi, le circuit RLC parallèle est communément appelé «
circuit bouchon » car il réduit à zéro certaines fréquences souvent indésirables pour l'appareil
dans lequel il est intégré, permettant par exemple d'éliminer les parasites dans un récepteur.
Ces circuits peuvent alors comporter plusieurs bobines et plusieurs condensateurs : on parle
alors de « réseau LC ». Un circuit LC simple est dit du deuxième ordre car sa fonction de
transfert comporte un polynôme du second degré en dénominateur. On calcule aisément la
bande passante d'un circuit LC simple : voir le paragraphe « sélectivité » du circuit LC.
2- Montage de circuit RLC :
56
3- Les fonctions théoriques :
Le générateur délivre une f.e.m. sinusoïdale, de fréquence et d'amplitude constante ,

que l'on écrit donc en prenant l'origine des phases sur cette tension. Le courant
qui traverse les trois éléments du circuit est , où est le déphasage de sur
.
La tension appliquée à t=0 est un échelon de tension Ve=0 si t <0 Ve = 5V si t >= 0 la
résistance interne du générateur sera nulle.
La tension initiale aux bornes du condensateur est nulle. V=V0=0 
Equation différentielle vérifiée par la tension
Qu’on peut écrire sous la forme canonique :
En posant :
Hyp : on se place dans le cas ou ( ) = avec, comme conditions initiales (0−) = 0
et
Csqce : comme il y a continuité de l’intensité traversant la bobine ainsi que de la tension aux
bornes du condensateur : (0+) = et
La solution ( ) est de la forme ( ) = + ( ) avec :
: une solution particulière de l’équation avec second membre
( ) : la solution générale de l’équation homogène
Le second membre étant constant, on cherche une solution particulière constante :
´Equation caractéristique ( ) associée a ( ) :
Le discriminant de cette équation caractéristique est :
Si : régime transitoire apériodique 
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Si : régime transitoire critique 
Si : régime transitoire pseudopériodique 
Résistance critique : valeur de qui permet le régime critique lorsque et sont fixées :
58
PARTIE PRATIQUE :
I. SIMILATION D’UN CIRCUIT RLC :

 Commencer par ouvrir l’application Capture CIS pour crée un nouveau projet :


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60
-la résistance R.
-inductance L.
-IC1.

61
-En clique sur Create puis la fenêtre Simulation setting s’ouvre et en modifier la valeur de Run

62
Le courant aux bornes de la capacité et la résistance :
63
 Interprétation :
On remarque le signale de la sotie devienne stable. Le graphe au-dessus s’affiche l’allure en
vert présente la tension à la borne de circuit LC, l’allure en rouge présente la tension à la
borne de la condensateur C.
64
TRAVAUX PRATIQUE
TP2 :
CIRCUIT PASSIFS
Filtre du 1er ordre :
65
PARTIE THEORIQUE :
I. INTRODUCTION :
1. Définition :
Le filtre sera alors caractérisé par l’ensemble des pulsations ou fréquences qu’il laisse passer
appeler bande passante.
• Un filtre passe bas laisse passer les pulsations inferieures à une pulsation ωc.
• Un filtre passe haut laisse passer les pulsations supérieures à une pulsation ωc.
• Un filtre passe bande laisse passer les pulsations comprises entre ωc1 et ωc2.
• Un filtre coupe bande laisse passer les pulsations inferieures a ωc1 et supérieures a
ωc2.
2. Utilisation de filtre :
Un filtre peut donc être utilisé pour ne s´sélectionner que certaines pulsations (radio, TV...). D’une
manière générale, comme tout signal périodique peut être considéré comme une superposition de
signaux sinusoïdaux, connaissant le spectre du signal d’entrée et les caractéristiques du filtre, on
peut en déduire le spectre du signal de sortie et donc la forme du signal après passage dans le filtre.
 Filtre passe bas 1er ordre :
4.1 Réponse transitoire :

L'étude d'un circuit RC passe par la résolution d'une équation différentielle du premier ordre. Pour
cette raison, le circuit se nomme "circuit du premier ordre".
Pour ce circuit RC série, l'interrupteur permet de simuler l'application d'un échelon de tension (E=3V
 le condensateur se charge) puis le retour en régime libre (E=0, le condensateur se décharge). Une
simple équation des mailles permet d'établir la loi qui régit l'évolution de la charge q(t) aux bornes
du condensateur :
La résolution d'une équation différentielle fait toujours apparaître deux types de solutions :
• Le régime transitoire (libre), solution de l'équation différentielle sans second membre :
• Le régime permanent, solution particulière de l'équation différentielle avec second membre :
La réponse du circuit (solution complète) est la somme de ces deux solutions individuelles :
La solution d'une équation différentielle du premier ordre est toujours de nature exponentielle.
66
1- Définition :
De même qu’un filtre optique ne laisse passer que certaines couleurs, un filtre en électrocinétique ne laissera passer
que certains signaux sinusoïdaux caractérisés par une pulsation ω.
A l’entrée du filtre, on applique par exemple une tension de pulsation ω ; si, à la sortie du filtre, la tension n’est pas
trop atténuée, on considère que le filtre laisse passer la pulsation ω ; si au contraire, la tension est très atténuée, on
considère que le filtre ne laisse pas passer la pulsation ω.
2- Caractéristique du filtre
Le filtre sera alors caractérisé par l’ensemble des pulsations ou fréquences qu’il laisse passer appeler bande passante.
 Un filtre passe bas laisse passer les pulsations inferieures à une pulsation ωc.
 Un filtre passe haut laisse passer les pulsations supérieures à une pulsation ωc.
 Un filtre passe bande laisse passer les pulsations comprises entre ωc1 et ωc2.
 Un filtre coupe bande laisse passer les pulsations inferieures a ωc1 et supérieures a ωc2.
3- Utilisation de filtre :
Un filtre peut donc être utilisé pour ne s´sélectionner que certaines pulsations (radio, TV...).
D’une manière générale, comme tout signal périodique peut être considéré comme une superposition de signaux
sinusoïdaux, connaissant le spectre du signal d’entrée et les caractéristiques du filtre, on peut en déduire le spectre du
signal de sortie et donc la forme du signal après passage dans le filtre.
4- Filtre passe bas 1er ordre :

L'étude d'un circuit RC passe par la résolution d'une équation différentielle du premier ordre. Pour cette raison, le
circuit se nomme "circuit du premier ordre".
Pour ce circuit RC série, l'interrupteur permet de simuler l'application d'un échelon de tension (E=3V  le
condensateur se charge) puis le retour en régime libre (E=0, le condensateur se décharge).
Une simple équation des mailles permet d'établir la loi qui régit l'évolution de la charge q(t) aux bornes du
condensateur :
La résolution d'une équation différentielle fait toujours apparaître deux types de solutions :
 Le régime transitoire (libre), solution de l'équation différentielle sans second membre :
 Le régime permanent, solution particulière de l'équation différentielle avec second membre :
La réponse du circuit (solution complète) est la somme de ces deux solutions individuelles :
( )
La solution d'une équation différentielle du premier ordre est toujours de nature exponentielle.
4.2 Réponse harmonique :

a- Comportement asymptotique :
L’impédance du condensateur vaut
Si ω → 0 alors ZC → ∞ (refaire le schéma en supprimant la branche contenant le condensateur) et Us → Ue.

Si ! → ∞ alors ZC → 0 (refaire le schéma en remplaçant la branche contenant le condensateur par un fil) et Us → 0.
67
On peut donc déjà dire que le filtre transmet les signaux de basse fréquence et atténue ceux de haute fréquence d’où
la dénomination de filtre passe-bas.
b- Fonction de transfert :
La fonction de transfert est définie par :
( )
( )
En posant .
c- Diagramme de Bode :
 Représentation de la courbe de gaine :
Le module de la fonction de transfert est appelé gain :
( ) | ( )|
√ ( )
Expérimentalement ( ) (oscilloscope ou multimètre)
On définit le gain en décibel :
| ( )|
( ( ) )
On représente le gain en décibel non pas en fonction de (ou ou ) mais en fonction de ( ) (la plage de
fréquence pouvant s’étendre de quelques Hz a10^6 Hz et plus)
Si ω petit devant ω0 alors GdB ≃ 0
Si ω grand devant ω0 alors GdB ≃ ( ) droite de pente −20 dB par décade ce qui signifie que si ω est multiplié
par 10, ( ) augmente de 1 et GdB diminue de 20 dB.
Les deux asymptotes se coupent pour ( ) c’est à dire pour ;
Pour ( ) et est appelé pulsation de coupure a −3 dB et noté .

√ √
La pulsation de coupure a −3 dB du filtre est par définition la pulsation telle que ( )
Elle peut être interprétée comme la limite entre les comportements BF et HF du filtre :
Les signaux de pulsations sont transmis en sortie avec une atténuation inférieure à 3 dB ;
Les signaux de pulsations sont transmis en sortie avec une atténuation supérieure à 3 dB ;
Idéalement on considèrera que le filtre laisse passer une pulsation ω si l’atténuation en sortie est inférieure à 3 dB.
La bande passante de ce filtre, c’est à dire l’ensemble des pulsations qu’il laisse passer, est donc *0, ω0].
 Représentation de la courbe de phase :
L’argument de la fonction de transfert est appelé phase
( ) ( )
68
( )
Experentalement ( ) (oscilloscope)
On représente la phase non pas en fonction de ( ) mais en fonction de (la plage de fréquence
pouvant s’étendre de quelques Hz a 10^6 Hz et plus)
 Si petit devant alors
 Si grand devant alors
 Si alors
Pour
Pour
L’essentiel de la rotation de phase se fait donc entre c’est-à-dire sur deux décades.
69
5- Filtre du second ordre
1. Circuit RLC :
D’après le schéma on a l’équation de Ve tel que :

( )
( ) ( ) ( )
or
∫
Donc
()
De plus la tension aux bornes du condensateur est ici la tension de sortie donc on notera Vc=Vs, on aura donc :
( ) ( )
( ) ( ) ( )
Donc :
() ( )
() ()
On divise alors les deux membres de l’équation par LC :
( ) ( ) ( ) ( )
( )
En posant :
Donc :
√
√
Donc en peut écrire l’équation sous forme :

( ) ( )
( ) ( )
Résolution de l’équation homogène associée
L’équation caractéristique associée est , et le discrimant de cette équation est
Si : régime transitoire apériodique 
70
( ) ( ( ))
Si : régime transitoire critique 

( ) ( ( ) )
Si : régime transitoire pseudopériodique 
( ) ( ( ( ) ( )))
√
Resistance critique : valeur de qui permet le régime critique lorsque et sont fixées :
Réponse à un échelon de tension

On suppose, à présent, le circuit soumis, à l’instant t, à une tension Ve(t), passant d’une valeur nulle à une valeur E0 à
l’instant t = 0.
Le condensateur sera supposé préalablement déchargé, et aucun courant ne traverse le circuit initialement : autrement
dit, Uc(0) = 0 et i(0) = dUc/dt (0) = 0.
Dans ce cas, la fonction tE0 est une solution particulière de l’équation différentielle.
La tension Uc(t) aux bornes du condensateur à l’instant t peut donc s’écrire comme la somme d’une des solutions
décrites précédemment et de E0.
Par exemple, dans le cas où Q > ½ (amortissement « faible ») :
- Il existe (λ,μ)Є tel que pour
( ) ( ( ) ( ))
- Comme ( )
( )
- Puisque
Ainsi dans ce cas, pour tous :
( ) ( ( ( ) ( )))
71
PARTIE PRATIQUE :
I. SIMILATION D’UN FILTRE DE PREMIER ET
SECONDE ORDER ET FILTRE T :
 Commencer par ouvrir l’application Capture CIS pour crée un nouveau projet :
- Nommer le projet sous le nom « TP2 Filtre 1er ordre».

72

73

-la résistance R
-source.

- Placement de la masse (0 V) :

1- Filtre du 1er ordre :
On choisira R = 1kΩ et C = 1μF
74
 Simulink de l’évolution de la tension de sortie s(t) en fonction du temps :
e(t) est un échelon de 3V.
 Schéma de Calcul de la fréquance:

-simulation de la tension de sortie en fonction de temps a une tension d’entres sinusoïdale de
fréquence 400Hz.
 Simulink la tension de sortie en fonction du temps : e(t) est de la

forme e(t) = Emax sin (ωt) avec Emax = 2V et ω = 2513rad/s
75
La tension de sortie courbe rouge est déphasée avec la tension d’entrée courbe vert avec un angle de
déphasage 90 dégrée .
 Simulation de la réponse harmonique :

-Les courbes de Bode en module et en phase :
 Simulation:
 Module:
76
 Phase :
2-Filtre seconde ordre :

On choisira R = 1kΩ, L=1.5625mH et C = 1nF
Schema:
77
 Placement des sondes :
 Simulation de la réponse transitoire :

 Graphe :
Dépassement :
78
 simulation de la réponse harmonique :
Schéma :
79
Placement des sondes :
 les courbes de Bode en module et en phase :
 Phase :
80
3- Filtre en T : R = 1kΩ et C = 1.59nF
Commancez par ouvrire l’application Capture CIS pour cree un nouveau projet :
On nomme notre projet et on choisir la location ou il sera enregistré Puis en coche l’option PSpice
Analog or Mixed A/D. et en réalise le schéma suivant
 Diagramme de Bode :
81
 - Phase :
82
TRAVAUX PRATIQUE
TP3 :
DIODE ,TRANSISTOR
BIPOLAIRE et
AMPLIFICATEUR
83
PARTIE THEORIQUE :
 INTRODUCTION :
On nomme amplificateur de signal un étage pour lequel la puissance mise en jeu est très faible
(quelques mW tout au plus).
On rencontre ainsi des amplificateurs de tension (l’information est véhiculée par la tension
Ue ;mais avec Ie d’intensité négligeable) ou des amplificateurs de courant (l’information est
contenue dans le courant Ie et l’amplitude de Ue est très faible).Les notions essentielles dont il
convient de se soucier sont celles d » amplification ou de gain (en tension ou en courant), de
linéarité, de réponse en fréquence. Le comportement linéaire de tels étages doit conduire à la
définition d’un modèle linéaire équivalent.
A. MODELE PETITS SIGNAUX DU TRANSISTOR BIPOLAIRE :

Soit un transistor fonctionnant en classe A ; idéalement, les coordonnées de son point de repos
correspondent aux point Eo,To et So du graphique ci-dessus.
Les coordonnées courantes de fonctionnement du transistor se composent de ses coordonnées

de repos, auxquelles sont superposées des variations dépendant du temps, dont l’amplitude
relative est faible. Dans ces condition, la point de fonctionnement du transistor ondule autour
des point de repos Eo,To et So . Le rôle d’amplificateur de courant du transistor bipolaire est
alors exploité.
Pour les seules variations, le transistor est assimilable :
-A une résistance r en entrée (entre B et E).
-A un générateur de Norton commandé en sortie (entre C et E).
84
 Hypothèses de raisonnement :
L’étude des amplificateurs qui suit supposé que les signaux variables sont de
fréquence telle que les différents condensateurs de liaison puissent être assimilés à des fils
pour ces signaux ‘amplitude de ces signaux variables est suffisamment faible pour valider le
modèle « petit signal »du transistor.
 Amplificateur émetteur commun :

Schéma structurel :
Pour dans la mesure ou la résistance de sortie

du transistor est grande devant .
D’autre part, d’où

85
Amplification en courant à sortie en court-circuit :
En court-circuit et
A l’entrée,
Résistance d’entrée :
Résistance de sortie :
Lorsqu’on neutralise ,on annule et en conséquence la source disparait
également ;l’impédance équivalent entre les bornes de sortie est ainsi :
B. DIODE :
1. Définition :
Une diode est un élément non commandé composé de 2 couches de matériaux

semiconducteur dopé (Silicium ou germanium). Le dopage permet d’obtenir des
semiconducteurs à trous chargés positivement ou chargé de porteuses négatives.
 Diode à jonction idéale :

La jonction PN étudiée précédemment présente donc un effet unidirectionnel très
marqué ; en polarisation directe, le courant croit très rapidement (exponentiellement)
en fonction de la tension, alors qu’en polarisation inverse, le courant traversant la
jonction est pratiquement négligeable.
Ce comportement est proche de celui d’un composant électronique idéal, appelé
diode, équivalent à un court-circuit en polarisation directe (V > 0) et à un circuit
ouvert en polarisation inverse (V < 0). La représentation symbolique de la diode est
donnée en figure 1.12. Le comportement de la diode à jonction idéale est donné par
l’équation avec les notations et les polarités de la figure suivant :
 Caractéristique de diode :
86
 Diode polarisée en inverse :
Dans le cas du silicium où IS est théoriquement très faible de l’ordre de 10−12 A, des
courants parasites se superposent au courant de saturation (courants de surfaces,
contribution des défauts cristallins...), si bien que le courant inverse n’est pas constant
en fonction de la tension appliquée, et est beaucoup plus fort que prévu. Pratiquement,
pour le silicium, le courant inverse est de l’ordre de 10−9 A par mm2 de jonction, et
double tous les 12 à 15 °C.
 Diode polarisée en directe :

Pour les faibles tensions directes (V < 0,5 volt), le courant suit la loi :
Pour les courants moyens on a :
, avec 1 < n < 1,5

Pour les forts courants (fortes injections) le courant est plus faible également que le
courant théorique.
Le coefficient n est le coefficient de non-idéalité de la diode. Certains auteurs l’appellent coefficient
d’idéalité.
 Schéma :
87
PARTIE PRATIQUE :
1. Création d’un nouveau projet Diode :

- Commancez par ouvrire l’application Capture CIS pour cree un nouveau projet :
Analog or Mixed A/D.
Puis en créer notre schéma pour faire la simulation suivante :
Le montage réalisé :
Il s’agit de tracer les caractéristiques directes et inverses de la diode pour différentes

température.
88
La diode est alimentée par une source de tension que l’on fera varier de 0 à 1.3V. Représenter
la caractéristique directe pour trois températures différentes : T=-55°C, T=25°C et T=125°C
- Paramètre de tension et de température pour la simulation :
La simulation :
89
Pour les trois valeurs de température, observer le phénomène de claquage en traçant I =
f(VAK), VAK <0
INTEPRETATION :
L'effet transistor consiste à contrôler, à l'aide du courant de base IB, relativement faible, un courant de
collecteur IC, beaucoup plus important.
90
 TRANSISTOR BIPOLAIRE :
a) Caractéristiques statiques :
- Réaliser la simulation de IC en fonction de VCE pour IB constant. On choisira 5 valeurs

de IB comprises ente 100μA et 2mA. Le schéma permettant la simulation est le suivant
:
1- Création d’un nouveau projet Transistor bipolaire :
Commancez par ouvrire l’application Capture CIS pour cree un nouveau projet :
Analog or Mixed A/D.
Schéma du
montage :
- Les parametre de sumilation :
- La simulation :
91
92
 Conclusion :
- L'effet transistor consiste à contrôler, à l'aide du courant de base IB, relativement
faible, un courant de collecteur IC, beaucoup plus important.
 Amplificateur :
On souhaite réaliser un amplificateur à transistor bipolaire. Il s’agit du montage émetteur
commun à sortie sur collecteur, voilà le montage
93
la sortie pour une amplitude d’entrée de 200mV ,500mV et conclusion
94
Conclusion :
On voit que si je diminue la phase la tension devient purement sinusoïdale on plus on voie que
le signale d’entrée est en opposition de phase para port au signale de sortie.
Lorsqu’en diminue la phase la tension devient purement sinusoïdale (régime linéaire), pour
être en régime linéaire, on doit se contenter d’appliquer des petites variations sinusoïdales à
l’entrée du montage.
95
TRAVAUX PRATIQUE
TP4 :
AMPLIFICATEUR
OPERATINNEL (AO) :
96
PARTIE THEORIQUE TP4:
 INTRODUCTION :
AMPLIFICATEUR OPERATINNEL (AO) :
L’amplificateur opérationnel est un composant de l’électronique qui résulte de l’intégration
de plusieurs étages amplificateurs dans un même boîtier. Il comporte généralement deux
entrées, appelées respectivement entrées inverseuse (-) et non inverseuse (+), et une seule
sortie.
 Présentation :
 Fonctionnement linéaire et sature de l’amplificateur opérationnel :

 Régime linéaire :
Un amplificateur opérationnel idéel de gain infini vérifie :
 Régime de saturation :
97
Tension de saturation :
L'amplitude de la tension de sortie est limitée par les sources de polarisation à une valeur
légèrement inférieure à VCC.
Vsat est de l'ordre de 13 à 14 V lorsque VCC = 15 V

Il existe également des AOP « rail to rail » dont les tensions de sortie peuvent atteindre les
tensions d’alimentation.
A. Modes de fonctionnement de l’amplificateur opérationnel :

1. Amplificateur non inverseur :
 étude du circuit :
L'AOP étant parfait et fonctionnant en régime linéaire :
V- = V+ = 0 I- = 0
Ie étant l’intensité du courant d’entrée du montage :
Ve = R1.Ie Vs = -R2.Ie donc : Av = - R2 /R1
avec : Re = Ve/Ie = R1
Le gain de l’amplificateur est donc :

Le signe - qui traduit l’opposition R2 /R1 de phase de la tension de sortie par rapport à la tension d’entrée
donne le qualificatif « inverseur » à cet amplificateur.
98
Bien évidemment, si R2 <R1, on obtient un atténuateur, ce qui n’est généralement pas
le but recherché.
L'AOP étant parfait et fonctionnant en régime linéaire:
Ve = V+ = V- donc : Av = 1 +
R2 /R1
Re = Ve/Ie donc Re =R1
• L’amplification Av en tension est fixée par le choix des résistances R1 et R2 .

• Av >1 → et sont de même signe → montage non-inverseur.
• L'amplitude de Vs est supérieur à celle de Ve (c'est pour cela qu'il est "non-inverseur") La
résistance en entrée du montage est infinie. Donc le courant d'entré est nul.
3. Amplificateur Sommateur :
99
Si R1=R2=R3 Alors Vs = -(V1+V2)
4. Amplificateur Soustracteur:
Le rebouclage s’effectuant sur l’entrée -, on a : Mais ici, puisque R3 et
R4 constitue un diviseur de tension pour v2, on a
h
L’intensité qui traverse la résistance R1 s’obtient à partir de la loi d’Ohm:
La tension de sortie s’obtient avec une équation de maille : on part de la masse,

on passe par la sortie, par R2, par les entrées - et + (qui sont au même
potentiel) et on retourne à la masse par R4. Cela donne :
100
On en déduit :
Si toutes les résistances sont identiques, on obtient :
5. Amplificateur Intégrateur:
donc :
∫
.
Si la tension d'entrée est sinusoïdale, on obtient :
Ce montage ne fonctionne pas parfaitement à cause des courants de polarisation et de la

tension de décalage présents à l'entrée (voir exercice portant sur l’intégrateur actif réel), la
tension de sortie évoluant vers la saturation positive ou négative.
Pour remédier à ce défaut, on monte en parallèle sur le condensateur C une résistance R' >>R.
La fonction de transfert devient :
101
avec donc
Pour retrouver la même fonction de transfert que précédemment, il faut que R'Cw >> 1 ; ce
n'est donc que pour des fréquences très supérieures à 1/ (2pR'C) que le montage se comportera
en intégrateur.
PARTIE PRATIQUE TP4:
A. Modes de fonctionnement de l’amplificateur opérationnel :

En considérant un modèle idéal d’amplificateur opérationnel, on trouve une amplification
égale à : T0 =(R1+R2)/R1; pour des valeurs raisonnables de T0 , il n’y a pas de problème en
basses fréquences. On prendra par exemple : R1 = 10 kΩ et R2 = 100 kΩ Schéma du
montage :
a) Amplification en basses fréquences :

Avec Ve une tension sinusoïdale d’amplitude 1V (2Vpp) et de fréquence 1kHz, simuler le
montage et relever en concordance de temps les tensions Ve et Vs ; en déduire la valeur
de l’amplification en basses fréquences.
On prend le temps « run to time » égale 2000us et le « maximum step size » égale 1000us
102
Après l’exécusion on trouve la figure suivant :
b) Observation de la saturation :
Simuler votre montage en augmentant progressivement l’amplitude de Ve et visualiser le

phénomène qui apparaît (saturation).
c) la caractéristique de transfert du montage Vs=f(Ve) :
103
2. Amplificateur inverseur :
3. Amplificateur Sommateur :
Le schéma final avec l’emplacement des sondes :
104
Visualisation du signal d’entré é et de sortie :
Explication :
Puisque on a un amplificateur sommateur, fait une sommation entre les deux signaux.
4. Amplificateur Soustracteur
Le schéma final avec l’emplacement des sondes :
Visualisation du signal :
105
5. Amplificateur Intégrateur
Voilà le montage d’un intégrateur avec l’emplacement des sondes :
Pour limiter l’amplification en basses fréquences on ajoute une résistance R2 en parallèle avec
le condensateur C : on obtient alors le montage « intégrateur corrigé » :
106
Le graphe d’un intégrateur corrigé :
Conclusion :
- Le signal de sortie est donc au gain près l’inverse du signal d’entrée.
- Ce type d’alimentation sera utilisé si la sortie doit évoluer en valeur positive et
négative (par exemple lors de l ‘amplification d’un signal alternatif).
Entrée à très haute impédance, et sortie à très faible impédance. Montage idéal pour
réaliser un adaptateur d'impédance, et particulièrement apprécié quand il s'agit de prélever un
signal sur une source dont l'impédance de sortie est très élevée. Comme la contre-réaction est
totale (la totalité du signal de sortie est réinjecté sur l'entrée inverseuse).
- Lorsque l’on charge un montage par un autre, l’interaction des impédances des
montage amont et aval altère la tension E prélevée. Et, alors Vc devient différent de E.
Pour l’op intégrateur : Diminuer le gain de ce montage aux hautes fréquences (fréquences
auxquelles apparaissent les perturbations.
107
108

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Université Sultan Moulay Slimane

Facultés des sciences et Techniques BENI MELLAL

Réaliser par : Encadrer par :

AFAJDAR YASSINE Pr. Rhazi

Cycle d'ingénieur en Génie électrique

Option électrotechnique et électronique industrielle

M. RHAZI Youssef qui a bien voulu user de leur temps

pour nous apportons aide et soutien pour notre TP et nous a

donné l’opportunité à manipuler et d’avoir une

professionnalité du travail avec Simulation OrCAd

Nous le remercions tous et que Dieu leur assure succès et leur

prête aide et assistance dans son efforts.

PARTIE 1 Pont de diodes ……………………………………………………………… ..4

Interprétation des résultat ……………………………………………...16

PARTIE 2 TRIGGER NON INVERSEUR …………………………………..….17

PARTIE 3 GENERATEUR DES PETIT SIGNAUX …………………………….30

PARTIE 4 Intégrateur ……………………………………………………………..44

PARTIE 5 circuit RLC en régime transitoire …………………………………….....55

TP2 Filtre 1er ordre et 2eme ordre ……………………………………………….....65

TP3 Diode,Transistor Bipolaire et Amplificateur op ……………………………....83

TP4 Amplificateur opérationnel ……………………………………………………96

La diode est représentée de la façon suivante:

I. PONT DES DIODES :

Un pont de diodes ou redresseur double alternance, est un assemblage en pont de 4 diodes

1. Schéma de pont des diodes :

3. Lissage d’une tension redressée :

II. SIMILATION D’UN PONT DE DIODES :

1. Création d’un nouveau projet :

 Commencer par ouvrir l’application Capture CIS pour crée un nouveau

- Nommer le projet sous le nom « pont de diodes ».

-En coche l’option Create a blank project projet vierge.

-la fenêtre que sera saisi le schéma électrique.

- La fenêtre Place Part :

- Insérer les bibliothèques : SOURCE, Design Cache, EVAL, ANALOG.

- En modifier les valeurs des composants :

-Finalement en obtient le schéma suivant :

En clique sur PSpice New Simulation Profile :

- Placement des sondes (markers) :

-Pour placer deux sondes différentielles : PSpice Markers Voltage Differential

On obtient ainsi la tension (ou différence de potentiels) aux bornes de la source

- Puis en clique sur : PSpice Run

On voit que la tension de sorte est presque continue grâce au condensateur.

-la tension ( en rouge) de sortie au bornes de la résistance avec un condensateur

- Lorsqu’on diminue le pas de calcul la simulation devienne plus fine.

TRIGGER NON INVERSEUR

I. TRIGGER NON INVERSEUR :

Le trigger de schmitt fait appel à une boucle de réaction sur l'entrée

Dans notre cas on a e=0, R1= 10KΩ, R2=47KΩ et Vsat = 15 V

I. SIMILATION D’UN PONT DE DIODES :

1- Création d’un nouveau projet :

 Commencer par ouvrir l’application Capture CIS pour crée un nouveau

- Sélectionner l'emplacement du projet.

- coche l’option PSpice Analog or Mixed A/D.

-En coche l’option Create a blank project projet vierge.

-la fenêtre que sera saisi le schéma électrique.

-La fenêtre Place Part :

- Insérer les bibliothèques : SOURCE, Design Cache, EVAL, ANALOG.

On colle le connecteur dans le schéma, puis on le renomme en double

-Insertion des composants :

-Placement des fils de connexion (Wire) :

-En clique sur Create puis la fenêtre Simulation setting s’ouvre et en

-Puis en clique sur : PSpice Run L’application

En choisissant d’hériter de simulation (inherit From), cela permet d’avoir un