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Le Rhumatisme sub-aigu
2. Étiologies du RSA ?
- Infection type Angine bactérienne
o Sinusite
o Otite
o Stomatologie (toujours penser à la dentition)
- Mais aussi :
o Foyer pulmonaire
o Foyer viscéral
4. Évolution ?
- Polyarthite
o Talon-genou-épaule combinés par exemple
5. Différence avec RAA ?
- Intensité bcp plus modérée
- Migration lente de l’arthrite (sur plusieurs semaines)
6. Signes généraux ?
- Asthénie
- Petite fièvre
- Pâleur
- amaigrissement
8. formes atténuées ?
- arthralgies simples
o réveil nocturne
o non soulagée au repos
o douleur à la mobilisation
o limitation de la mobilité
15. évolution ?
- 4 semaines
- Puis arrêt de la maladie
- Récidives possibles
Les spondylartrites
16. Localisation ?
- Colonne vertébrale
- 4 syndromes :
o Axial colonne : pelvi-rachidien
Lésion inflammatoire : ligt,tendon,capsule,fascia du rachis et des
articulations sacro-iliaques
o Enthésophatique : maladie des attaches : ligt,tendon,capsule
o Périphérique
o Extra-articulaire : viscéral
19. Symptôme ?
- Dorso-lombalgie inflammatoire chronique depuis plusieurs mois
- Pas d’amélioration au repos
- Réveil nocturne
- Dérouillage matinal supérieur à 30 min
- Douleurs soulagées par l’activité physique
o Douleur aussi appelée sciatalgie tronquée mais n’est pas neurogène comme
la sciatalgie
o Retrouvée à la pression des sacro-iliaques ou à leur mobilisation
Manœuvre de cisaillement
45. Traitement
- Les immunosuppresseurs
- Anti TNF alpha
- Rééducation indispensable
- Kiné respiratoire pour l’ampli thoracique qui est atteinte dans la SPA
- Exercice de posture à indiquer au patient
- Chez un patient qui n’est pas traité : on va avoir
o une augmentation de la VS
o une augmentation du taux de CRP.
o L’examen de HLA B27 sera fait, si il n’est pas déjà fait.
- Stress et environnement peuvent aussi impacter mais très peu
46. Définition :
- 1 ère cause de maladie rhumatologique inflammatoire devant les SPA
- Toutes des maladies auto-immunes
- Toutes PA sont des maladies sévères
- Toutes invalidantes
- Perte d’autonomie du patient mais d’évolution lente
50. Étiologies ?
- Débute le plus souvent chez l’adulte 45-55 ans
- Atteinte à n’importe quel âge
o polyarthrite juvénile
o Polyarthrite gériatrique
- 3 fois plus fréquente chez la femme
51. Physiopathologie ?
- Terrain génétique
- Terrain environnemental :
o Stress
o Tabac
o Déséquilibre
o Microbiote
Chez patient obèse avec absence de nutriments type fibre
55. Évolution ?
- En 3 phases
o Phase prodromique :
phase d’altération de l’état général sur plusieurs mois
précède l’installation d’arthrite
o Phase de début :
Ténosynovite : extenseurs des doigts + face dorsale poignet
Niveau des pieds commence par des talalgies
Repose sur les examen cliniques et biologiques
Réveil en fin de nuit 4H-6H
Déverrouillage matinal long, non soulagé au repos
Douleurs localisée au début (poignet, mains, pieds) = acromélique
Métacarpo-phalangienne et interphal prox (membre sup) plus touchés
Arthrose aux mains touche les interphalangiennes distales alors que
PCE touche au contraire les interphalangiennes prox
Évolution par crise
Palpation et mobilisation douloureuse
En revanche le facteur rhumatoïde peut exister dans d’autres maladies inflammatoires comme les
maladies de systèmes. Mais les signes cliniques vont être différents.
o Phase d’état :
Survient après plusieurs mois/années
Diffusion des signes , extra-articulaires
Déformantes même si traitement
Au niveau
des mains :
o « en coup de
vent » = les
doigts vont
former un
angle - - avec la
main ou « col de signe »
De l’avant-pied : triangulaire ou rond
- Le syndrome sec :
o syndrome de sècheresse exocrine générale (sudorale,salivaire,lacrymal =
keratoconjonctivite)
o altération du gout
o gène à la déglutition = syndrome de Gougeron-Sjogren
o cardio-vascu : inflammatoire qui touche
le péricarde = péricardite
endocarde = endocardite
valvulopathies
maladie coronarienne et vascu-cérébrale (50% de chance)
- Les nodules pulmonaires ou pleural :
o Nodules rhumatoïdes
o Pneumopathie interstitielle diffuse
o Bronchiolite
o pleurésies
Rhumathisme psoriasique
68. Définition ?
- Maladie inflammatoire chronique
- Lésions cutanées inflammatoires type psoriasis (tailles et localisation variable tête
cou, genou, visage, torse dos ongle) recouvert de squame (épiderme épaissi et
friable)
- Psoriasis : maladie inflammatoire auto-immune : commence en générale à la fin de
l’adolescence, évolue par poussée
- Prise en charge`
o locale par vitamine D en crème
o Cortisone
o Exposition au soleil
o Stress provoque ou aggrave les lésion
Le rhumatisme psoriasis :
- Débute au niveau des doigts ou orteil par des arthrites ou des ténosinovites
- Non symétrique et durable
- Extensif et diffus par la suite ascendant comme dans la PCE
- Inflammation conjonctive
- Séquelles rapide à cause des ténosinovites qui engendrent des enraidissement
irréversible
69. Complications ?
- Comme la PCE avec risque coronariens nettement plus important
- Évolue en même temps que le psoriasis
71. Traitement ?
- Corticothérapie sur long terme (squelette à surveiller= décalcification)
Polyarthrite paranéoplasique
72. Définition ?
- Suite de tumeur maligne , polyarthite survient en même temps
Les maladies de système : connectivites ou maladie du collagène
73. Définition ?
- Elles ne sont pas des maladies rhumatologiques de base !!!
- Complications viscérales qui s’accompagnent de polyarthrite
74. Étiologies ?
- Ce sont des maladies auto-immunes (comme dans la PCE)
- Elles sont articulaires et poly-viscérales
- Elles sont chroniques inflammatoires du tissu conjonctif
56. Récurrence ?
- Plus fréquent chez les femmes
- Plus élevé chez les personnes de couleur de peau plus terne
81. Conséquences/complications ?
- Déformations et désaxassions
82. Clinique ?
- La maladie s’accompagne d’un syndrome de Reynaud dans 50% des cas
83. Biologique ?
- Parfois la maladie est « FR » (= facteur rhumatoide) positif
- Marqueurs positifs du lupus anti-nucléaire et anti DNA
- Biopsie synoviale : présence de cellule spécifique du lupus
- Syndrome inflammatoire classique
A savoir : toutes maladies inflammatoires peut toucher à un moment les vaisseaux sanguins
comme les maladies infectieuses et les maladies virales.
la sclérodermie
(pas destructrice et il n’y a pas de déformation articulaire)
92. définition ?
- maladie peu fréquente encore moins que la PAN
- auto-immune inflammatoire
- lésion :
o peau
o viscères
= transformation en fibrose (variété de tissu riche en collagène)
- maladie de l’adulte entre 30 et 60 ans
- surtout les femmes (20 pour 1 million)
94. Localisation ?
- Cutanée au départ
- Extension au soma (peau, aponévrose, muscle, os, articulation, cartilage)
- Puis région plus profondes : viscérales
95. Symptômes ?
- Selon les tissus touchés
- Atteintes nerveuses
Dermatomyosite
98. Définition :
- Plus fréquente
- Auto-immune inflammatoire
- Catégorie des myosites
o Lésions de type nécrosante (inflammatoires)
99. Mécanisme ?
- Activation de certains lymphocyte B et de certains lymphocytes T
o Création d’infiltrat niveau péri-vasculaire
Nécrose vasculaires et conjonctives
o Création d’auto-anticorps par les lymphocite B
- Lésion
o Niveau de la peau
o Niveau des muscles
o Niveau des articulations
104. cliniquement ?
- douleurs musculaires diffuses de rythme inflammatoire
108. Définition :
- Arthrites dont la cause sont des précipitations de cristaux intra ou péri-articulaires
qui vont entrainer une réaction immunitaire de rejet (inflammatoire à l’origine des
symptômes)
110. Etiologies ?
- Maladies relativement fréquentes
- Crise d’hyperalgie
La goutte primitive :
112. Fréquence ?
- Touche entre 7-8% de la population
- Profil masculin
113. Physiopathologie ?
- Excès d’acide urique se transmet
o Au liquide synovial
o Dans l’urine
o Dans les tissus mous
La goutte secondaire :
La chondrocalcinose articulaire :
117. Définition ?
- maladie fréquente
- touche environ 15% entre 65 et 75ans
- prédominance féminine avant 65 ans
- confondue fréquemment avec l’arthrose, imagerie fait la dif
- maladie primitive : anomalie du métabolisme du calcium = microcristaux dans la
synoviale
Les décalcifications
122. Définition ?
- Appartiennent au groupe des ostéoses décalcifiantes
- Matrice calcifiée par des dépôt de minéraux
- Minéral principal :
o Calcium = principal
o Magnésium
o Phosphore
- Transforme la matrice en élément dur et résistant : squelette
- Minéralisation se fait par dépôt de minéraux dans la matrice osseuse :
o Par les ostéoblastes qui assurent la construction de l’os
- Tissu osseux échanges ses minéraux avec le sang :
o Osteoclastes résorbent l’os
o => calcium relargué dans le sang à partir de l’os
o Le sang retourne le calcium dans d’autres tissus ou est éliminé par les reins
o Plus on est actif physiquement plus la construction osseuse est importante
o Quand l’AP diminue la résorption est supérieure à la construction
o = déminéralisation = décalcification
- Os construit sous forme de lamelles concentriques = sous contrôle hormonal
o Construction =
parathormone accélère la résorption pour augmenter la calcémie
la calcitonine (hormone hypocalcémiante) : effet inverse
vitamine D : hormone stéroïde qui stimule l’absorption du calcium
niveau intestinal mais favorise la calcification est la minéralisation
131. diagnostics :
- sur l’imagerie
o radio
o scanner
o IRM
o Densitométrie osseuse/ostéodensitométrie sur col fémoral et rachis lombaire
- Augmentation de la transparence par diminution de la densité de l’os
- On cible les os à fracture symptomatique
- Lyse isthmique = fracture de l’isthme vertébrale caractéristique de la maladie
- Tassements vertébraux
135. Contre-indications ?
- Patients venant d’avoir une scintigraphie osseuse (à cause du produit de contraste)
Le tassement vertébral :
136. Définition ?
- Lorsqu’il y a une diminution d’au moins 25 % de la hauteur de la vertèbre
- Concerne le corps de la vertèbre
- Écrasement du spongieux
- Corticale peut rester intact
139. Complications ?
- Troubles de la statique = hypercyphose le plus souvent
- Trouble de la lordose lombaire : délordose ou hyperlordose
- Scoliose dorso-lombaire ( dans le plan frontal)
- Hypotrophie musculaire
140. Définition ?
- Association de 3 signes :
o Décalcification : ostéoporose
o Trouble de la statique
o L’hypotrophie et l’hypotonie musculo-ligamentaire
141. étiologie ?
- Toute femme ménopausée et supposée l’avoir