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République algérienne démocratique et populaire

Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique


Ecole supérieure en sciences appliquées d’Alger

2018/2019

Compte rendu de la sortie au CDER

MEROUANE NAIM

BAAZIZI YASMINE

GROUPE 2
Centre de développement des énergies renouvelables :
Le Centre de Développement des Énergies Renouvelables (CDER) est un Centre de
Recherche, qui a été créé le 22 mars 1988.

C’est un Etablissement Public à caractère Scientifique et Technologique (EPST) chargé


d’élaborer et de mettre en œuvre les programmes de recherche et de développement,
scientifiques et technologiques, des systèmes énergétique en exploitant :

- L’énergie solaire.
- Eolienne.
- Géothermique.
- Biomasse.

Il se constitue de 5 divisions de recherche :

- Division bioénergie et environnement.


- Division Energie solaire photovoltaïque.
- Division Hydrogène Energie Renouvelable.
- Division Thermique et Thermodynamique solaire et Géothermie.

 Mission du CDER :
- Réunir les éléments nécessaires à l’identification des projets de recherche à entreprendre
ainsi que les données permettant leur programmation, leur exécution et leur évaluation ;
- Impulser et favoriser l’assimilation, la maîtrise, le progrès des sciences et techniques ainsi
que l’innovation technologique dans le domaine des énergies renouvelables ;
- Assurer une veille scientifique et technologique en rapports avec les énergies renouvelables ;
- Rassembler et traiter l’information scientifique et technique et en assurer la conservation et
la diffusion ;
- Contribuer à la valorisation des résultats de la recherche en veillant notamment à leur
diffusion, à leur exploitation et à leur utilisation ;
- Assurer la formation continue, le recyclage et le perfectionnement des personnels de la
recherche ;
- Contribuer à la formation par et pour la recherche ;
- Assurer la coordination, le suivi et l’évaluation des unités, des laboratoires et des équipes de
recherche.

Nous étudiants de L’ECOLE SUPERIEURE EN SCIENCES APPLIQUEES : avons eu le grand privilège de


faire une visite d’une journée dans ce centre scientifique si enrichissant, on vas discuter dans ce qui
suit de ce qu’on a pu voir :
1. Concentration solaire parabolique :

Dans le domaine de l’électricité solaire, il semble que la technologie des concentrateurs cylindro
paraboliques soit la plus économique et la plus robuste, les chercheurs du centre de développements
des énergies renouvelable ( CDER) se sont proposés d’effectuer l’étude et la réalisation pratique
d’un tel concentrateur, ce types de système offrent la possibilité de produire de l’électricité à partir
de l’énergie solaire, les températures pouvant aisément dépasser les 500 °C et le rendement de
conversion est élevé généralement.En exploitant le rayonnement solaire direct.

L’énergie solaire est concentrée dans le centre de la


parabole qui réchauffe un fluide(air ou Hélium) cela
engendre une dilatation → mouvement vertical →
produit une rotation → génératrice d’électricité ..C’est
un moteur Stirling (moteur à air chaud)

Ce système peut être automatisé en lui donnant la


situation géographique pour suivre la position du soleil
(rayonnements solaires) pour un meilleur rendement (Ce
qui n’est pas le cas de ce concentrateur solaire).

Pour se faire, un moteur pas-à-pas est utilisé afin que le


concentrateur solaire puisse changer de direction
(rotation).

2. Capteur solaire thermique :

C’est un dispositif conçu pour recueillir l'énergie solaire transmise par rayonnement et la
communiquer à un fluide caloporteur (gaz ou liquide) sous forme de chaleur. Cette énergie
calorifique peut ensuite être utilisée pour le chauffage de bâtiments, pour la production d'eau
chaude.

L’angle d’inclinaison du panneau est vraiment important et varie suivant les saisons et
l’emplacement géographique pour un rendement meilleur.

Pour ce type de capteur un vitrage dit vitre piège est utilisé pour l’énergie solaire captée ne peut plus
ressortir et soit à 100 % exploitée.
La figure si dessus montre un laboratoire d’homologation ou des opérations d’expertises et de
vérification techniques effectués (sur Les produits importés... etc.) pour que le prototype des
équipements et des systèmes réponde à la réglementation en vigueur (nationales ou
internationales).

3. Stockage de l’énergie électrique sous forme d’hydrogène :

On le sait déjà l’énergie électrique ne peut être stockée, c’est pour cela les chercheurs du
CDER cherche des méthodes pour stocker cette énergie mais pas en utilisant des batteries, qui
sont lourdes et surtout « pas propre », ont des gaz nocifs a l’intérieur, qui peuvent être libérer
dans la nature en cas d’accident.

Le stockage de l’énergie électrique sous forme d’hydrogène est l’une des solutions :

On génère de l’hydrogène à l'aide d'un électrolyseur qui sera ensuite stocké dans de l'hydrure
métallique, le seul inconvénient : « l’Hydrogène étant la plus petite des atomes sur terre, elle
est difficile a stocker, c’est pour ça que la capacité de stockage de l'hydrure métallique est
très faible et que celui ci coûte cher »

Une fois l'hydrogène produit et stocké on aura


besoin de l'utiliser en tant que source d'énergie
électrique et pour cela on utilise des piles à
combustible.

Cette dernièreont besoin d'Hydrogène et


d’Oxygène pour pouvoir faire circuler les
électrons d'électrode en électrode en passant
par la membrane.

Pour accélérer cette réaction, on utilise un catalyseur qui dans notre cas est le « Platine ».Pour
ce type de pile, seul l’eau H2O sera généré.
4. L’énergie éolienne ou l’énergie du vent :

Et si on utilisait la force du vent pour produire de l’énergieélectrique ?C’est le principe des


éoliennes. Le mouvement rotatif des hélices de l’éolienne fait tourner le rotor de la machine
synchrone (à aimant permanant ), une tension alternative est donc produite, qui ensuite à
l’aide d’un pont redresseur a diode et filtrage capacitif la tension de sortie est une tension
continue :

Les éléments qui déterminent la puissance de


sortie d'une éolienne sont :

• la vitesse du vent ;
• le diamètre du rotor ;
• la masse de l'air ;
• le nombre et la forme de pales ;
• le rendement mécanique du rotor vers
l'axe de la génératrice ;
• le rendement électrique de la génératrice.

La figure ci-dessous montre un exemple d’application des énergies du vent : POMPAGE DE


L’EAU PAR AEROGENERATEUR
5. La chimie « verte » :

La Division de recherche Bioénergie et Environnement œuvre, dans le domaine de la


valorisation énergétique de la biomassematière organique d'origine végétale (microalgues
incluses), animale, bactérienne ou fongique (champignons) ) et des déchets organiques.

L’objectif est de produire une énergie alternative, verte, renouvelable, intégrée au processus
du développement durable, à travers les filières : agricole, élevage, industrie, et gestion des
déchets.

Les laboratoires du CDER travaillent pour assurer : La maîtrise et l’optimisation des


procédés de production et d’utilisation des nouvelles générations de carburants propres
(bioéthanol, biogaz, biodiesel…),

Le biogaz étant : un gaz produit par la fermentation de matières organiques en l'absence


d'oxygène. C'est un gaz combustible composé essentiellement de méthane et de dioxyde de
carbone.
6. Les cellules et champs photovoltaïques :

La cellule photovoltaïque génère de l’énergie électrique par effet photo-électrique c’est-à-dire


que les électrons sont libérés dès que le photon par énergie de Gap agit sur le silicium. La
cellule est composée de diodes Bypass et que chaque cellule produit une tension de 0,6 V.

En connectant les cellules en parallèle on augmente le courant, alors que si on les connecte en
parallèle c’est la tension qui augmente.

Un panneau photovoltaïque fournit une puissance de 75 W, en connectant 30 panneaux en


série-parallèle on obtient une puissance de 2,2 kW.

Il existe deux types de cellules :

• La cellule à Silicium monocristallin :


• La cellule à Silicium polycristallin :

Maintenant qu’on sait comment générer de l’énergie électrique grâce à un panneau


photovoltaïque, il nous faut l’injecter dans un réseau triphasé, pour cela on doit d’abord
connecter 15 cellules en série et 15 autres en parallèle. Les connexions série se fait
directement, tant dis que les connexions en parallèle se font par des boites de jonction.
Enfin, la sortie des panneaux est accompagné d’un onduleur chargé de convertir la tension
mais aussi de synchroniser la fréquence ainsi que la tension au réseau, qui par la suite est lié à
une phase du réseau.

CONCLUSION :

On a pu voir que les sources de l’énergie électrique sont plusieurs et qu’elle peut être
produite grâce a des ressource disponible à l’échelle universel (soleil , vent, déchets ...Etc.), il
suffit qu’elle soit exploitée.

Malgré la disponibilité des ressources la puissance délivrée par ces dispositifs ne peut pas
assurer la totalité de la consommation, c’est pour cela ce domaine doit évoluer afin d’arriver
a des solutions

Cette sortie a été pour nous très enrichissante pour nous, chercheur et employé du centre ont
été vraiment accueillants, on les remercie.

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