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Département d’Electronique
Mémoire de master 2
Spécialité CST
Présenté par :
-Hachemi Zahoum
Encadreur : Mr N. Chami
Je remercie ALLAH le tout puissant de m’avoir donné le courage et
la volonté de mener à ce terme ce présent travail.
J’adresse mon plus sincère remerciement à tous mes proches, mes amis,
mes collègues du travail et toute personne qui m’a aidé de près ou de loin à
concrétiser ce travail dont nous sommes vraiment fiers.
Tout d’abord, à « ALLAH » qui ma guidé sur le droit chemin tout au long
du travail et mon inspiré les bons pas et les justes reflexes.
A tout ma famille surtout mes sœurs et mes frères qui sont dépensés pour moi
sans conter. En reconnaissances de tous les sacrifices consentis par tous et chacun
pour me permettre d’atteindre cette étape de ma vie.
Introduction générale…......................................................................................................................01
I.1Introduction……………………………………………………………….. .................................... 04
I.2 Composants d’une ligne de transmission par fibre optique…………. ................................... 05
I.2.1 Emetteur optique……………………………………………………….. ................................... 06
I.2.1.1 Source optique………………………………………………………… ................................... 06
I.2.1.1.1 Diodes électroluminescentes DEL………………………………… ................................... 06
I.2.1.1.1.1 Caractéristiques……………………………………………………................................... 06
I.2.1.1.2 Diode laser DL……………………………………………………….................................... 07
I. 2.1.1.3 Principes du laser …………………………………………………..................................... 08
●L’émission stimulée………………………………………………………………………………..08
●UDWD……………………………………….. ............................................ 67
●CWDM………………………………………. ............................................ 67
II. 7 Fonctionnement des réseaux optiques WDM…………………………………............................ 67
II .8 Le multiplexage par division code (CDMA)………………………………. ........................... 69
II .9 Le multiplexage en longueur d’onde (WDM)……………………………... ........................... 70
a- Principe……………………………………. .............................................. 70
b- Description………………………………… ............................................. 71
c- Avantages…………………………………... ............................................. 71
d- Pénalités…………………………………… .............................................. 72
II. 10 Routage optique…………………………………………………………………. .......................... 72
II. 10.1 Les classe de trafic………………………………………………………… ........................... 73
-1- Trafic statique……………………………. ................................................ 73
-2- Trafic incrémental……………………… ................................................. 74
-3- Trafic dynamique………………………... ................................................ 74
II. 10.2 Problème du routage……………………………………………………… .......................... 74
II. 10.3 Problème d’affectation de L.O……………………………………………. .......................... 75
II. 10.3.1 Le problème d’affectation statique de longueurs d’onde……………. .......................... 76
II. 10.3.2 Le problème d’affectation dynamique de longueur d’onde………… .......................... 76
-1- Random Wavelength Assignement…………….. ....................................... 76
-2- First Fit…………………………………………… ....................................... 77
-3- Least-Used/SPREAD……………………………. ...................................... 77
-4- Most-Used/PACK……………………………….. ...................................... 77
-5- Min-Product………………………………………. ..................................... 77
-6- Least Loade………………………………………. ....................................... 78
-7- MAX-SUM………………………………………… ..................................... 78
-8-Relative Capacity Loss…………………………… ...................................... 78
-9- Wavelength Réservation…………………………...................................... 79
-10- Protecting Threshold…………………………… ....................................... 79
II .11 Conclusion…………………………………………………………………….. ......................... 80
Table des matières
Chapitre I
Figure 1.1: Synoptique général d’un système de communications par fibre…… ...................... 04
Figure 1.2 : schéma générique d’une liaison optique………………………….............................. 05
Figure1.3: Schéma des processus d’émission spontanée (a), d’absorption (b) et d’émission
stimulée (c)………………………………………………………………. ...........................................09
Figure 1.4 : Caractéristique Puissance-Courant d’un laser……………………… ............. 11Error!
Bookmark not defined.
Figure 1.5 : schéma simplifié de la fibre optique…………………………………. ........................ 17
Figure 1.6 : réfraction et réflexion………………………………………………...... ........................ 17
Figure1.7 : propagation dans la fibre………………………………………………. ....................... 19
Figure 1.8: courbes de la constante de propagation ß en fonction paramètre V pour les
premiers modes …………………………………………………………. ..........................................20
Figure 1. 9 : Fibres à saut d’indice………………………………………………… ........................ 21
Figure 1.10 : Fibre à gradient d’indice……………………………………………. ......................... 22
Figure 1.11 : Fibre monomode ……………………………………………………... ........................ 23
Figure 1.12 : ouverture numérique……………………………………………...... .......................... 24
Figure1. 13 : Effet de l’atténuation……………………………………………….. ........................... 25
Figure 1.14 : Atténuation spectrale d'une fibre optique………………………… ......................... 27
Figure I.15: phénomène de la dispersion………………………………………… ..................... 28
Figure 1.16: courbes de dispersion de quelques fibres optiques…………… ........................ 28
Figure 1.17 : structure bloc récepteur optique…………………………………..32 ....................... 32
Figure I.18: Structure d’une photodiode PIN à gauche et photodiode avalanche à
droite…………………………………………………………………………………………………..34
Chapitre II
Figure2.4 : Les fibres dans les différentes zones réseaux – LAN………………... ....................... 44
Figure 2.5 : liaison par fibre optique sans répéteur (régénérateur) avec des présentations des
différentes puissances et atténuation………………………… ........................................................46
Figure 2.6 : modulation direct d’une diode laser………………………………… ........................ 47
Figure 2.7 : Synoptique de la modulation directe………………………………. .......................... 48
Figure 2. 8 : Synoptique de la modulation externe……………………………… ......................... 49
Figure 2.9 : schéma de principe d’un système multiplexé……………………… ......................... 51
Figure 2.10: Répartition des périodes dans le cas d'un multiplexage TDM…............................. 53
Figure 2 .11 : Représentation d'un multiplex TDM (4 voies vers 1) en fonction des données
initiales………………………………………………………………….. ..............................................53
Figure 2 .12: Synoptique d'un multiplexage OTDM……………………………… ....................... 54
Figure 2 .13: Réseau local à répartition temporelle………………………………. ........................ 55
Figure 2 .14 : Synoptique du multiplexage ETDM………………………………… ........... 55Error!
Bookmark not defined.
Figure2.15: Schéma de principe du multiplexage ETDM dans les communications par fibre
optique……………………………. ......................................................................................................56
Figure 2.16: Multiplexage temporel dans la hiérarchie PDH en Europe………. ......................... 57
Figure2.17: WDM……………………………………………………………………. ........................ 58
Figure 2.18 : Technique de multiplexage WDM……………………………….... .......................... 61
Figure 2.19 : CDMA………………………………………………………………… ......................... 69
Figure 2.20: Répartition des sous-bandes dans le cas d’un multiplexage WDM……………… 70
Figure2.21 : Transmission de données optiques effectuée avec chacune une fréquence
propre…………………………………………………………………….............................................70
Chapitre III
Figure 3.8 : visualisation de la puissance d’entrée e1, e2 avec les sorties s et s1… .................... 88
Figure 3. 9 : visualisation de la puissance d’entrée e3 avec la sorties s2………… ...................... 88
Figure 3.10 : visualisation de la puissance des sorties s, s1 et s2……………… ........................... 89
Figure 3.11 : Allure et diagramme de l’œil du signal en sortie pour différentes longueurs de la
fibre……………………………………………………………… ........................................................ 90
Figure 3.12: visualisation de la puissance des sorties s, s1 et s2……………… ............................ 90
Figure 3.15: Allure et diagramme de l’œil du signal en sortie pour différentes longueurs de la
fibre……………………………………………………………….. ...................................................... 92
Figure 3.16: visualisation de la puissance des sorties s, s1 et s2………………… ........................ 92
Figure 3.17: Allure et diagramme de l’œil du signal en sortie pour différentes longueurs de la
fibre………………………………………………………………. ....................................................... 93
Figure 3.18: visualisation de la puissance des sorties s, s1 et s2………………. ........................... 94
Figure 3.19: Allure et diagramme de l’œil du signal en sortie pour un débit de 2.5Gbit/s… .. 94
Liste du tableau
Liste du tableau
Chapitre 1
Chapitre 2
Tableau 2.1 : Comparaison entre les trois types de réseau fixe……………… ............................. 45
Liste des abréviations
DL : Diode laser
ON : Ouverture numérique
LO : Longueur d’onde
Introduction générale :
1
Introduction Générale
2
Introduction Générale
3
Chapitre I:
I.1Introduction :
4
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Pour chacun de ces éléments constitutifs d’une liaison sur fibre optique,
nous tenterons de décrire leur rôle et leur fonctionnement. Nous débuterons par
la fibre optique, élément essentiel puisqu’elle permet le transport de
l’information et est à l’origine des efforts réalisés par la suite. Nous
poursuivrons par la description de l’émetteur (laser, driver, modulateur, …),
pour enchaîner sur les blocs constituant le récepteur (photodiode, amplificateur
électrique, filtre électrique, circuit de remise en forme). Enfin, nous terminerons
en détaillant les éléments pouvant être utilisés en ligne, tels que les
amplificateurs, en vue d’une amélioration de la qualité du signal transmis ou de
l’augmentation des distances.
fibre
Emétteur Récepteur
Impulsions optiques
Signal électrique
5
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
I.2.1.1.1.1 Caractéristiques :
6
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
7
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
● L’émission stimulée :
Un laser est un dispositif qui émet de la lumière grâce au phénomène
d’émission stimulée. En effet, dans un semi-conducteur, un électron peut passer
d’un état à un autre de trois façons.
-L’émission spontanée:
De sa propre initiative, l’électron peut tomber dans un état moins énergétique
non occupé (il passe d’un état ionisé à un état lié), en émettant un photon
spontané.
8
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
- L’absorption :
En absorbant un photon, l’électron peut être amené dans un état plus
énergétique. Il passe de l’état lié (électron et trou combinés) à l’état ionisé
(électron dans la bande de conduction et trou dans la bande de valence).
-L’émission stimulée:
Frappé par un photon, l’électron peut retomber dans l’état le moins
énergétique (état lié) en émettant un photon stimulé dont le rayonnement
correspond à la même longueur d’onde, la même phase, le même état de
polarisation et la même directivité spatiale que le photon incident. On parle
alors de lumière cohérente. Avec l’émission stimulée s’introduit la notion de
gain ou d’amplification du rayonnement incident puisque, à partir d’un photon,
on en obtient deux.
Bande de conduction
E ● ● ●
n
e
r
g
i o o o
e Bande de valence ● Electron
(a) (b) (c) o Trou
Photon
9
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Ce type de résonateur est constitué, dans le cas le plus simple, par deux
miroirs plans, parallèles et réfléchissants entre lesquels les ondes lumineuses
font de multiples allers-retours. Dans le cas d’un semi-conducteur, les parois
clivées du cristal sont utilisées pour constituer la cavité. Une forte valeur de
l’indice (de l’ordre de 3,5) du semi-conducteur permet d’obtenir, avec les faces
clivées en contact avec l’air, un coefficient de réflexion suffisant pour provoquer
ces allers-retours de l’onde dans la cavité. C’est ce que nous avons appelé la
boucle de contre-réaction.
Ainsi, en imposant un coefficient de réflexion élevé (environ 30%),
l’amplification dans le résonateur est d’autant plus accrue et peut compenser les
pertes dues à l’absorption dans la cavité et à la transmission vers l’extérieur,
transmission pourtant utile pour constituer le signal porteur de l’information
dans le réseau. En effet, ces pertes signifient une baisse de l’émission stimulée.
10
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Le seuil de l’effet laser est obtenu lorsque le gain maximal est assez élevé
pour compenser toutes les pertes que l’onde rencontre au cours de ses allers-
retours entre les deux miroirs du résonateur (pertes provoquées par le milieu
diffusant, par le phénomène d’absorption et par la transmission du signal vers
l’extérieur).
11
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Le champ émis par la source n’est pas modulé et passe par un circuit
optique spatial ou l’on peut provoquer une modulation de phase ou
d’amplitude. Les modulateurs d’amplitude ne présentant aucune propriété de
linéarité mais introduisent beaucoup moins de conversion amplitude-
fréquence.
Le signal modulé envoyé dans la fibre est donc nettement moins affecté par
ce phénomène mais également moins puissant que dans le cas de la modulation
directe.
12
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Le principe physique utilisé dans ces modulateurs externes est soit la variation
de l’indice de réfraction soit la variation de l’absorption (dispositif à base de
semi-conducteur).
13
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
a)-Les applications :
14
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
b)-Les avantages :
- Immunité électromagnétique
- Faible sensibilité aux facteurs extérieurs (température, humidité…)
c)-Les inconvénients :
15
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
constitue le cœur est entouré d’une silice de moindre qualité qui forme la gaine
optique. On réalise un écart d’indice entre le cœur et la gaine en incorporant des
dopants, tels que :
16
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
I.3.5.1 Réflexion :
I.3.5.2 Réfraction :
Un rayon lumineux passe obliquement avec un angle d’incidence I₁, d’un milieu
d’incidence n₁ à un milieu n₂ alors sa direction est réfractée vers l’axe d’indice sont
inversement proportionnel à leurs indices : n₁sin I₁=n₂sin I₂
17
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
- Le cœur: C’est dans cette zone, constituée de verre, que la lumière est guidée
et se propage le long de la fibre.
-La gaine: Couche de verre qui entoure le cœur de la fibre avec un indice de
réfraction légèrement supérieur à celui du cœur ce qui permet par conséquent,
la réflexion totale et perpétuelle des modes a l’interface cœur-gaine.
-La couche de protection: permet le contact de la fibre avec des supports sans
perturber le fonctionnement de la partie optique donc, cʼest un revêtement de
protection mécanique.
I.3.7 Propagation :
18
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
2𝜋𝑎
V=𝑎 √𝑘₁2 + 𝑘₂2 = 𝑂𝑁 (1.1)
𝜆𝑜
19
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
20
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Ce type de fibre est dit multi mode car la lumière se propage suivent
plusieurs mode c'est-à-dire qu’elle peut suivre plusieurs trajets à l’intérieure du
cœur. , le diamètre du cœur est en générale compris entre 50 et 90 μ m et pour
le diamètre extérieure de la gaine de 125 μ m.
21
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Les fibres à gradient d’indice ont été spécialement conçues pour les
télécommunications à fin de minimiser l’effet de la dispersion intermodale sans
trop réduire l’ouverture numérique, donc la puissance couplée. Deux
améliorations sont apportées.
Ainsi, un rayon lumineux qui ne suit pas l’axe central de la fibre est
ramené « en douceur » dans le chemin droit. La figure 3 montre la fibre optique
à gradient d’indice.
22
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
- ouverture numérique.
23
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
- L’atténuation.
- La bande passante.
- La dispersion.
I.5.1 Ouverture numérique :
Pour les fibres monomodes il est préférable d’utiliser une source laser car
l’ouverture numérique est faible. Mais pour les fibres à gradient d’indice, où il
varie le long d’un diamètre, l’ouverture numérique est alors maximale sur l’axe
de la fibre et s’annule à la périphérie du cœur [4].
Si l’entrée de la fibre se fait par l’air (=1), l’ouverture numérique est donnée
par :
24
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
I.5.2 Atténuation :
Avec :
25
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
26
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
La bande passante est un des paramètres les plus importants pour définir
les propriétés de transmission d’une fibre optique.
La définition de la bande passante totale (BT) qui dépend de l’effet conjonctif
des deux phénomènes de dispersion modale et chromatique, permettra de
stabiliser la fréquence maximale transmissible en ligne.
Remarque :
● Pour une fibre à gradient d’indice, la dispersion modale est minimale pour
une distribution quasi parabolique de l’indice.
●Pour une fibre monomode, la bande passante devient théoriquement infinie,
puisque la dispersion est nul ainsi que la dispersion du matériau, si on choisi
convenablement le matériau et la longueur d’onde de travail [10].
27
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
I.5.4 Dispersion :
La dispersion se manifeste par un élargissement des impulsions au cours
de leur propagation. Il existe deux types de dispersion.
28
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Dans les fibres monomode, il n’y a qu’un seul mode de propagation donc il
n’aurait aucun effet de dispersion intermodal.
I.6.1 Définition :
Les effets non linéaires peuvent avoir des impacts significatifs sur la
performance des systèmes optiques WDM. Les effets non linéaires dans la fibre
peuvent conduire à l'atténuation, la distorsion, et des interférences inter-canaux.
Dans un système WDM, ces effets induisent des contraintes sur l'espacement
entre deux longueurs d'onde, limitent la puissance maximale sur toute la
chaîne et limitent également le débit maximum, à savoir que les principaux
effets non-linéaires dans la fibre sont : XPM, SPM et FWM.
29
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
30
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
L’effet Raman est le plus connu des effets non-linéaires. Il s’agit d’une
interaction photon-phonon, c’est-à-dire d’échange d’énergie entre l’onde
optique et les vibrations du matériau. L’effet Brillouin est de même nature que
la diffusion de Raman, mais l’interaction se fait avec des phonons acoustiques,
c’est-à-dire avec les vibrations d’ensemble du matériau, se propageant à la
vitesse des ondes acoustiques.
Ces effets sont sensibles dès que la puissance injectée dépasse un certain
seuil.
Une solution mise en œuvre pour les combattre consiste à moduler en
amplitude à très basse fréquence le courant d’injection du laser par un signal
sinusoïdal, ce qui provoque une modulation de fréquence du signal optique
émis et élargit le spectre jusqu’à quelques GHz [12].
31
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Récepteur optique
Recouvrement d’horloge
- l’interface optique de réception, dans une liaison à fibre optique, est chargée
de convertir le signal lumineux en signal électrique.
- il existe deux types de photo détecteurs :
● PIN : positive Intrinsèque Photodiodes.
● APD : Avalanche Photo Diode.
I.7. 1 Le photodétecteur :
32
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
Afin que le rapport signal sur bruit soit suffisamment important, l’idée
d’utiliser le phénomène de multiplication interne pour qu’un photon incident
33
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
n’engendre plus un seul photoélectron, mais plusieurs a été soulevée, ceci pour
augmenter la puissance du signal électrique correspondant à une puissance
optique incidente donnée. En faisant croître le champ électrique dans la jonction
PIN, l’énergie des porteurs s’élève, jusqu’au point d’ioniser un atome en cas
d’impact avec celui-ci. Des ionisations en chaîne se produisent alors et les
porteurs se multiplient. Ce photo détecteur à gain interne est appelé
photodiode à avalanche ou PDA (en anglais APD). Le gain de multiplication
par ionisation par impact, appelé aussi facteur de multiplication M, est le
rapport entre le nombre moyen de porteurs secondaires créés par ionisation et
le nombre de porteurs primaires provenant de la photo détection. La valeur du
courant relatif au nombre de photons absorbés devient :
IPDA = M (V) * S (V) * Popt (1.5)
34
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
35
Chapitre I : Généralité sur les fibres optiques
I.8 Conclusion :
36
Chapitre II:
II.2 Introduction :
37
Chapitre II : Chaine de transmission optique
Fibre
Optique
Modulation Diode Photodiode Démodulation
Codage Laser Décodage
Signal
Électrique
Signal restitué
Électrique à Transmission
Transmettre optique
Dans le cas d’une transmission par fibre optique, le signal est tout d'abord
codé ou modulé suivant une séquence connue qui peut être contrôlée à la
réception. Ce signal est injecté dans la fibre optique par l'intermédiaire de
l'émetteur. À la sortie de la fibre, le signal est reçu sur une photodiode puis
amplifié avant d'être décodé pour être remis sous sa forme initiale.
38
Chapitre II : Chaine de transmission optique
39
Chapitre II : Chaine de transmission optique
40
Chapitre II : Chaine de transmission optique
41
Chapitre II : Chaine de transmission optique
correspondent pour l’essentiel à des lignes interurbaines point à point avec tout
au plus un ou deux multiplexeurs d’insertion-extraction optiques (OADM)
pour insérer et extraire le trafic en des points intermédiaires. Les réseaux
métropolitains introduisent une infrastructure optique à haut degré de
connectivité. Les anneaux métropolitains se caractérisent généralement par un
trafic maillé avec un certain degré de concentration lié à l’interconnexion avec le
réseau longue distance.
Les anneaux d’accès, à la différence, collectent en général le trafic de plusieurs
nœuds pour le concentrer vers un nœud partagé avec un réseau métropolitain
structurant.
La complexité de ce réseau ne se traduit pas uniquement par le haut degré de
connectivité. A la différence des réseaux longue distance, les réseaux
métropolitains doivent prendre en charge des formats, des protocoles et des
débits de transmission très divers, mêlant les trafics de la hiérarchie numérique
synchrone (SDH) ou du réseau optique synchrone (SONET) ou autres encore.
Pour supporter cette diversité, ces réseaux sont souvent équipés de cartes
transpondeurs multi débits universelles, acceptant n’importe quel débit de 100
Mbits à 2,5 G bits/s, pouvant assurer ultérieurement le trafic à 10 G bits/s sans
modification (exemple du récent réseau Alcatel 1696 Metro Span), et dans une
transparence totale vis-à-vis de tous les formats et protocoles.
Dans ces réseaux intrinsèquement ouverts à n’importe quel type de signal,
le multiplexage en longueur d’onde (WDM), dont une description ultérieure
sera faite, trouve une application importante en luttant contre l’encombrement
que cela peut procurer tout en réduisant le coût par service apporté. De la
même manière, les amplificateurs optiques sont essentiels pour les applications
de réseaux métropolitains structurants. Les pertes élevées dans la fibre (dues à
l’interconnexion de courts tronçons de fibre) et le cumul des pertes associées
42
Chapitre II : Chaine de transmission optique
aux transits tout optiques dans des nœuds successifs peuvent imposer en effet
d’amplifier le signal optique. L’amplificateur optique peut représenter dans
bien des cas une solution à moindre coût comparée à la régénération optique-
électrique-optique.
Figure 2.3 : Les fibres dans les différentes zones réseaux - MAN
43
Chapitre II : Chaine de transmission optique
44
Chapitre II : Chaine de transmission optique
Les caractéristiques des trois types de réseau fixe sont résumées dans le
tableau ci-dessous.
45
Chapitre II : Chaine de transmission optique
Source Epissure
Détecteur
optique optique
j (dBm/km) L (dB/km)
CE (dB/km) CR (dB/km)
Figure 2.5 : liaison par fibre optique sans répéteur (régénérateur) avec des
présentations des différentes puissances et atténuation.
Avec :
-PE : puissance rayonnée par la source
-P0 : puissance injectée dans la fibre
-P1 : puissance à la sortie de la fibre
-PRmin : puissance minimum captée par le détecteur correspondant au seuil de réception
-pour un rapport S/B ou un TEB donné.
- CE : affaiblissement de couplage entre la source et la fibre
- j : affaiblissement des différentes jonctions (fixes et amovibles)
- L : affaiblissement linéique de la fibre
- CR : affaiblissement de couplage entre la fibre et le détecteur.
46
Chapitre II : Chaine de transmission optique
47
Chapitre II : Chaine de transmission optique
-Les limites :
II .4.2.1 principe :
48
Chapitre II : Chaine de transmission optique
Donc la modulation directe, plus simple et moins coûteuse est encore très
utilisée si les données sont transmises à un débit de quelques gigabits/s, selon
la qualité du laser. Mais au de là de 5 Gbits/s, la modulation externe est
indispensable pour maintenir une qualité de transmission correcte. Cependant,
le modulateurs ne sont pas parfaits et peuvent engendrer des défauts mais leur
impact est moins important.
49
Chapitre II : Chaine de transmission optique
II .5.1Introduction :
En fait, le nombre de bits transporté par une fibre optique augmente plus
vite que la loi de Moore électronique qui prédit une augmentation doublée de la
puissance des processeurs tous les 18 mois, puisque pour le moment, la capacité
de transport d’une fibre est doublée tous les 12 mois.
50
Chapitre II : Chaine de transmission optique
II .5.2Définition :
Emetteur 1 Récepteur 1
Emetteur k Récepteur k
Une liaison optique est réalisée principalement à l’aide d’un laser, d’une fibre
optique conduisant le signal et d’une photo détectrice. L’émetteur transforme la
suite de bits à transmettre en modulation par onde porteuse. La fréquence de cette
onde détermine la bande passante disponible sur ce lien car au plus un bit par
51
Chapitre II : Chaine de transmission optique
période peut être transmis. La bande passante offerte par les communications
optiques est leur principal point fort étant donné que les fréquences des signaux
optiques peuvent aller de 1014 à 1015 Hz. Ainsi, il est possible théoriquement
d’atteindre des débits extrêmement élevées de l’ordre d’une centaine ou d’un millier
de Térabits (1 Tb = 1012 bits/sec) en utilisant la fenêtre spectrale autour de la
longueur d’onde 1.55 µ m. Ceci est d'autant plus intéressant qu'aujourd'hui le
nombre et la taille des informations échangées sont de plus en plus importants.
Néanmoins, actuellement, le traitement électronique des signaux électriques avant
modulation et après détection n'atteint pas de telles fréquences. C'est pourquoi
diverses solutions ont été imaginées pour profiter des capacités de la fibre optique
et donc augmenter le transfert d'informations sur un même canal. Dans la plupart
des cas, le principe reste identique : utiliser N signaux au débit D équivalent en
termes de capacité à un signal au débit N*D, irréalisable à l'heure actuelle. C'est ce
qu'on appelle le multiplexage, et les débits transportés seraient désormais plus
importants. Le signal concentré des flux d'origines diverses est appelé signal
multiplex. Pour conserver l'intégrité de chaque signal sur le canal, le multiplexage
introduit, entre les signaux, une séparation temporelle, spatiale ou fréquentielle.
Dans ce qui suit, nous allons évoquer certaines solutions de multiplexage proposées
pour profiter de la grande capacité d’une fibre optique en termes de débit.
52
Chapitre II : Chaine de transmission optique
Figure 2.10: Répartition des périodes dans le cas d'un multiplexage TDM.
Il existe deux façons de multiplexage TDM qui sont utilisées dans les
réseaux optiques. Ces deux méthodes sont expliquées dans ce qui suit.
53
Chapitre II : Chaine de transmission optique
a- Optique OTDM :
54
Chapitre II : Chaine de transmission optique
b) Electronique(ETDM) :
55
Chapitre II : Chaine de transmission optique
56
Chapitre II : Chaine de transmission optique
57
Chapitre II : Chaine de transmission optique
Figure2.17: WDM.
58
Chapitre II : Chaine de transmission optique
59
Chapitre II : Chaine de transmission optique
60
Chapitre II : Chaine de transmission optique
61
Chapitre II : Chaine de transmission optique
La fibre monomode dont le cœur contient des ions de terre rare (l’erbium
pour l’amplification autour de 1.55 µm), et laser de pompage de forte puissance,
et un multiplexeur pour coupler la pompe (laser) et le signal a l’intérieur de la
fibre, et l’isolateur optique (des filtres) peuvent également être utilisé pour
égaliser le gain dans la plage d’amplification.
62
Chapitre II : Chaine de transmission optique
La portée optique est la distance maximale qui peut être couverte sans
régénération optoélectronique du signal.
63
Chapitre II : Chaine de transmission optique
64
Chapitre II : Chaine de transmission optique
conduit, toutes choses égales par ailleurs, à accroitre le rapport signal à bruit
optique en réception. Ce gain peut être mis à profit pour augmenter la portée
du système. En revanche, un espacement réduit induit un cout supplémentaire
pour l’operateur, en termes non seulement d’investissements mais aussi de
couts opérationnels, par l’accroissement du nombre de sites à superviser.
II.6.2.3 La capacité :
65
Chapitre II : Chaine de transmission optique
66
Chapitre II : Chaine de transmission optique
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Chapitre II : Chaine de transmission optique
nœud avec une certaine longueur d'onde d'en ressortir avec une autre.
On peut distinguer deux types de schéma de conversion:
Ces deux types de routeurs existent, mais dans la suite de notre travail,
nous ne considérerons que des réseaux dits « transparents », c’est-à-dire sans
conversion en longueur d’onde.
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a- Principe :
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b- Description :
C. Avantages :
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2,5 G bit/s et plus par canal. Par exemple un système à 16 canaux de 2,5
Gbit/s (soit 40 Gbit/s) permet l’acheminement de 500000 conversations
téléphoniques simultanément sur une seule fibre optique. Des recherches sont
actuellement en cours pour accroître le débit offert sur chaque canal.
Ainsi, on peut trouver sur une même fibre de la voix dans des trames
SDH, de la vidéo dans des cellules ATM, des données dans des trames IP, etc.
Le multiplexage de longueur d’onde est donc une technologie de transport
indépendante des protocoles. DWDM apporte une réelle solution aux
pénuries de bande passante.
d- Pénalités :
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-1- Trafic statique : Toutes les connexions sont connues en avance donc le
problème sera ramené à l’établissement d’une route-optique avec un
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-3- Trafic dynamique : Une route-optique est établie juste à l’arrivé d’une
connexion et elle sera libérée après une période de temps.
Pour les problèmes SLE, qui sont des problèmes NP-complet, des
algorithmes sont utilisés tandis que pour les problèmes DLE qui sont plus
difficiles, généralement ce sont des méthodes heuristiques qui sont
employées. Et la problématique, pour les deux, pourra être divisée en deux
sous problèmes (qui vont être présentés dans la section suivante) :
1- Problème du routage
2- Problème d’affectation de longueur d’onde.
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Chapitre II : Chaine de transmission optique
-Routage fixe : La plus simple des approches pour router une connexion
est de toujours prendre le même chemin, en fait les routes sont calculées pour
les paires source/destination en OFF-LINE et à l’arrivée de chaque requête
pour une paire <s, d> un chemin <p> pré calculé va être assigné.
Avantage : Simplicité.
Inconvénients : Grande probabilité de blocage suite à une congestion ou
panne sur un lien.
-Routage fixe/auxiliaire : Chaque nœud doit maintenir une table de routage
contenant un ensemble de chemin pour chaque paire <s, d>, un primaire et les
autres auxiliaires.
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-3- Least-Used/SPREAD :
Cette approche choisit la L.O qui est la moins utilisée sur le réseau, afin
d’équilibrer la charge sur l’ensemble des L.O. Cette approche finira par
épuiser rapidement toutes les L.O disponibles sur le long chemin, ainsi le
réseau ne pourra plus que servir les demandes de connexions utilisant un
ensemble réduit de liens.
-4- Most-Used/PACK :
Cette approche est l’opposé de celle présentée précédemment, en effet la
L.O choisie est celle la plus congestionnée.
-5- Min-Product :
Cette approche est similaire à celle du First Fit mais la seule différence
réside dans la nature du réseau d’application : MP est utilisée dans les réseaux
multifibres tandis que FF dans un réseau à fibre unique.
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-7- MAX-SUM :
Proposé pour les réseaux multifibres mais peut être appliqué aux
réseaux mono-fibre. MS considère tous les chemins possibles (les connexions
ave leurs chemins présélectionnées) sur le réseau et essaye de maximiser la
capacité restante sur chemin après l’établissement d’une connexion. Cet
heuristique assume que la matrice du trafic est connue à l’avance, et
que la route pour chaque connexion est présélectionnée.
Basé sur MS (MS peut être vue comme une approche permettant la
minimisation de capacité perdu sur les chemins optiques), RCL est lancé suite à
l’observation que la minimisation de la capacité totale perdue ne mène pas au
meilleur choix, ainsi cette approche calcule la capacité relative pour chaque
chemin sur chaque L.O disponible et choisi alors la L.O qui minimise la
somme des pertes de capacités sur tous les chemins.
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-9-Wavelength Réservation.
-10- Protecting Threshold.
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II .11 Conclusion
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Chapitre III:
III .1 Introduction :
Comme le résument les deux chapitres précédents, le développement des
télécommunications par fibre optique a multiplié les architectures des réseaux,
les techniques de codage et les composants disponibles. La conception des
systèmes associés est de plus en plus complexe, tant le nombre de paramètres
influant sur les performances de la liaison est important. Aussi, les outils de
simulation constituent une assistance de plus en plus utilisée pour aider à
trouver rapidement des solutions, aussi bien au niveau du composant que du
Système.
Ce troisième chapitre sera consacré à la présentation des différentes
fenêtres du logiciel de simulation appelé COMSIS. Puis sera venu le temps de
présenter l’ensemble des résultats de simulations obtenus pour une liaison
optique. Enfin, une étude sur l’influence de certain des composants de cette
liaison sur les performances d’un système de transmission, a été entamée et sera
présentée dans ce dernier chapitre. Ce chapitre propose une description
exhaustive de COMSIS, le logiciel de simulation retenu pour cette étude,
destinée à faciliter la connaissance et la maîtrise du simulateur par les futurs
utilisateurs.
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Chapitre III Simulation et interprétation des résultats
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d’erreurs, les fonctions logiques, les modulations, les démodulations, les filtres,
les perturbations, le GSM, l’UMTS, les composants optiques…
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III.5.1.2 Le débit :
Les résultats de simulation pour un débit de 2.5 G.bit/s se propageant
sur une distance de 100 Km sont représentés sur la figure suivante :
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III.6 Conclusion :
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Conclusion Générale
Conclusion Générale
Conclusion générale :
L’étude de ce mémoire est basé sur des généralité sur la fibre optique, ces
différentes types, leurs utilisation et finalement ces inconvénients et ces
avantages, ainsi que l’étude de l’atténuation et de la dispersion chromatique
dans les fibres optiques par la simulation système à l’aide du logiciel COMSIS
qui permet des gains de temps et d'argent en évitant les expérimentations
itératives sur des démonstrateurs de systèmes. Le procédé employé consiste à
modifier les longueurs de la fibre et les paramètres des composants nécessaires
à la simulation système, tout en essayant de maintenir les performances
globales de la liaison.
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Bibliographie
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déploiement du FTTH″, L'écho des Recherches, 1997.
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