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Utilisateur à l’arrêt
Permettre à l’utilisateur de
se déplacer par rapport au Utilisateur en mouvement
sol
Energie électrique
A0
Energie électrique
Consignes Programmes Réglages
Utilisateur à l’arrêt
Permettre à l’utilisateur de
se déplacer par rapport au Utilisateur en mouvement
sol
A0
Q3a
0 0
TSol roues avant 0 0
Z 0 N ,Rf
N
Q3b
XM 0
TSol roues arrière 0 0
Z 0 M ,Rf
M
Q3c
0 0
TPoidsfauteuil 0 0
M g
S 0 G ,R
G,S / R0 0
Le bilan des actions mécaniques exercées par l’extérieur sur le système S donne :
Sol en N
Roues
libres
pesanteur
Forces électromagnétiques
(moteurs)
« Je le présente de cette façon car il faut fournir de l’électricité aux moteurs pour qu’ils fournissent de la puissance
mécanique aux roues motorisées, ce qui est forcémént à l’extérieur du système » .
Les actions des forces électromagnétiques ( moteurs ) sur les roues et sur le fauteuil s’annulent.
Rappel : 0 , on obtient donc :
1 X M MS g sin MS xt
2 ZN ZM MS g cos 0
M G Sol roues avant yf GN ZN zf yf h zf e xf ZN zf yf e ZN
M G Sol roues arrièret yf GM X M xf ZM zf yf h zf l xf X M xf ZM zf yf h X M l ZM
3 e ZN h X M l ZM 0
Rappel : 0
12
Application numérique : on a alors tan pour une pente de 12%, d’où 6,8
100
x 4,15 m.s 2
On a
ZM XM
Le système isolé est à présent constitué des deux roues motorisées. La masse et l’inertie de ces
roues étant négligées, j’applique le théorème du moment statique en projection sur l’axe Of , yf :
M Of Sol roues arrièret yf M Of motoréducteurs roues arrièret yf 0
M Of Sol roues arrièret yf Of M X M xf ZM zf yf R zf X M xf yf R X M
avec X M f ZM
On a donc : 5 2Cm R f ZM 0
On avait précédemment trouvé :
1 f ZM MS g sin MS xt 2
Cm
MS xt g sin
R
MS xt g sin
R
Cm
2
Cm 160 Nm
Les moteurs étant incapables de fournir ce couple élevé, le fauteuil ne patinera pas.
ZN 317 N
Ce qui est impossible : ZN ne peut être que positif s’il y a contact entre la roue avant et le sol ou nul
s’il n’y a pas contact avec le sol.
5 2Cm R X M 0 X M 350 N
xt
2Cm
g sin Application numérique : xt 1,17 m.s 2
R MS
Le fauteuil ne glissera pas sur une pente de béton mouillé de 12% puisque Cm<160 Nm.
On cherche à présent ZN pour vérifier qu’il y a contact entre la roue avant et le sol.
On a le système d’équations :
2 ZN ZM MS g cos
3 e ZN l ZM h X M
Le fauteuil ne bascule pas puisque ZN 0 , les roues avant sont en contact avec le sol.
Le fauteuil ne glisse pas sur une rampe de béton mouillé dont la pente est 12%. .
Ce cas de figure étant le cas le plus défavorable, les moteurs mis en place sur le fauteuil permettent
de respecter les normes d’accès aux bâtiments.
Q11
Le système isolé est le fauteuil qui est soumis à trois forces :
L’action de la pesanteur en G
L’action du sol sur les roues motrices en M
L’action de la bordure sur les roues avant en P
On considère que le fauteuil commence à monter : d’où l’action nulle en N du sol sur les roues
avant.
Pour que le fauteuil puisse monter, il ne faut pas qu’il patine :donc il ne peut y avoir glissement en
M et la force exercée par le sol sur les roues motrices ne peut être placée qu’à l’intérieur du cône
d’adhérence.
Le point de concourance des trois forces ne peut se trouver que sur la demi-doite verticale au-
dessus du point B.
Quand le fauteuil monte, s’il y a glissement en P sur la bordure et en sachant que les roues avant
ne sont pas motrices , la bordure va s’opposer au mouvement des roues avant et donc la direction
de la force exercée par la bordure sur les roues avant sera sur la limite inférieure du cône
d’adhérence de sommet P.
Donc il faut que l’effort tangentiel exercé par la bordure sur les roues avant soit dirigé vers le bas :
la force exercée par la bordure sur les roues avant est forcément comprise dans la partie inférieure
du cône d’adhérence de sommet P.
Le point de concourance est alors forcément sur le segment [BC]. Alors l’équilibre est impossible
car il n’y a pas de concourance des forces et le chariot retombe.
Q12
Pour que le chariot puisse monter, il faut que le point C soit placé sur la verticale au-dessus du
point B afin que les forces exercées sur le chariot puissent être concourantes.
Solution 1 :on peut augmenter le rayon des roues avant . Par exemple :
Mais on voit qu’on a alors un fauteuil très encombrant et peu maniable et on ne peut pas
déplacer G vers la droite car les mains de l’utilisateur doivent pouvoir agripper le cerclage des
roues arrière.
Q13 a
Quand la trajectoire du fauteuil est une droite le rayon de courbure est infini : et g d
Quand le fauteuil tourne autour de l’axe Of , z0 , il pivote sur lui-même, le rayon de courbure est
nul : : 0 et g d
Q13b Quand le fauteuil tourne autour de l’axe Og , z0 , il pivote sur sa roue gauche et Of parcourt
un cercle rde rayon a autour de Og, le rayon de courbure est nul : : a et g 0
a
V Of ,Rf / R0 Rg xf
2
a
2
a
V Of ,Rf / R0 yf R zf d yf zf yf zf R zf d yf
2
a
V Of ,Rf / R0 Rd xf
2
a V t 1 a
V t 1
a
Rg Rg V t g
2 2 R 2
1 a
V t 1
a
Rd d
2 R 2
Pour que la vitesse de rotation du moteur soit correctement asservie, il faut que soit proportionnel
à cons m or K a cons K cap m .
Il faut donc K a K cap
m p
Q17 H1 p est la fonction de transfert lorsqu’on néglige le couple Cr p .
cons p
Dans ce cas, puisque K a K cap , le système peut être modélisé comme un système à retour unitaire :
m p Ki 1 Ki
Um p J pR m L mp K iK e K iK e J pR m L mp
1
J pR m L mp
K cap K pK i FTBO p
La FTBO est : FTBO p et on a H1 p
K iK e J pR m L mp 1 FTBO p
K cap K pK i K cap K pK i
H1 p
1
K iK e J pR m L mp K cap K pK i K cap K pK i K iK e J pR m L mp
1
K iK e J pR m L mp
K cap K p
H1 p
1
K cap K p K e JR m JL m
1 p p2
K i K cap K p K e K i K cap K p K e
m p
Q18 H2 p est la fonction de transfert lorsqu’on annule la consigne cons p . On a
C r p
maintenant le schéma-blocs suivant : -C
r 1 r
Jp
Ki
K e K pK cap
Rm Lm p
Corrigé CCP MP 2013 Page 11 sur 18
1
On a donc : m p
Jp
K i K p K cap K e
Cr p
1
J pRm Lm p
m p
Rm Lm p Cr p
J pRm Lm p K i K pK cap K e
Lm
1 p
Rm Rm
H 2 p
K i K capK p K e 1 J Rm
p
J Lm
p2
K i K capK p K e K i K capK p K e
K i K capK p K e K i K capK p K e
m
p
un polynôme d’ordre 2 dont les coefficients sont positifs , donc les racines sont à partie
réelle négative . Si on vérifie en utilisant le critère de Routh qui donne les calculs suivants :
J Lm J Rm
K i K capK p K e K i K capK p K e
1 0
J Rm
1 K i K capK p K e
On trouve bien un terme positif .
Le système sera stable en boucle fermée quelle que soit la valeur de Kp .
K capK pK i
Q20 D’après la Q17 , on a FTBO p
K i K e J pRm Lm p
K capK p 1
FTBO p et comme Ke=Kcap=Ki
Ke JRm JLm 2
1 p p
Ki Ke Ki Ke
Kp
FTBO p
JRm JL
1 2
p 2m p 2
Ki Ki
2m 2 ,25 10
2 ,25 m 11,25
0 2
Le coefficient d’amortissement étant nettement supérieur à 1 , il faut rechercher les racines car cette
FTBO correspond à deux premiers ordres en série :
1 1
FTBO p K p
1 T1 p 1 T2 p
Q23 Comme on nous a fait tracé la courbe de gain réelle, je privilégie ici aussi l’aspect
graphique. D’après le cahier des charges , on veut une marge de phase supérieure ou égale à 45°.Or
la courbe de phase passe par –135° pour 2 225 rad.s 1 . D’après le diagramme de Bode, il faut
20 log K p 56dB pour que 2 225 rad.s 1 soit la pulsation de coupure à 0dB.
56
20 log K p 56dB K p 10 20 K p 630
Il faut donc K p 630 pour que la marge de phase soit supérieure ou égale à 45°.
Le critère de précision sur la vitesse est une erreur statique de 10% pour la vitesse du chariot, or,
en ligne droite , la vitesse du chariot est proportionnelle à la vitesse de rotation du moteur, donc on
veut :
0 ,9 K p 0 ,9 K p 1 K p 9
Kp
Kp 1
K capK p 1
Q25 On a H1 p
K capK p K e 1 J R
p
J Lm
p2
K i K capK p K e K i K capK p K e
m
D’où :
K i K capK p K e 2m J Rm
0
J Lm 0 K i K capK p K e
Rm
m
2 Lm K i K capK p K e
Or Ke=Kcap=Ki
0 K i
K p 1 et m
Rm
J Lm 2K i Lm K p 1
Application numérique :
11,25
0 10 K p 1 m
Kp 1
t r 5% 41.10 3 s
K i K capK p K e K i K capK p K e
p
de Kp , le gain statique n’est pas nul et un couple perturbateur va avoir une influence sur la vitesse
de rotation du moteur en régime permanent, donc sur la précision.
m p H1 p cons p H2 pCr p ce qui justifie bien la diminution de la vitesse de rotation du
moteur à partir du moment où on applique un couple perturbateur cr t 50 U t [Nm].
Q30 –
Les couples résistants étant nuls, le théorème du moment dynamique appliqué à la roue droite donne
dd t
Jd Cmd t
dt
Donc, pour un couple donné, l’accélération angulaire est inversement proportionnelle au moment
d’inertie. Autrement dit , plus l’inertie est grande, plus les variations de vitesses sont faibles.
On retrouve bien ce résultat sur la figure 13.