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A côté du pouvoir de faire les lois conféré à l’Assemblée nationale et du pouvoir d’assurer
l’ordre conféré au gouvernement, un troisième pouvoir est organisé par la Constitution : le pouvoir de
rendre la justice qui est une fonction essentielle de l’Etat.
Le pouvoir de rendre la justice est organisé suivant certains principes : le principe lié à
l’indépendance et à l’organisation de la justice (I), les principes découlant du droit commun et du
service public (II).
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A) –LE RÔLE DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL EN MATIÈRE DE SCRUTINS NATIONAUX
L’ancien régime en France, correspond à l’Etat de police. Et c’est la révolution française de
1789, qui a lutté contre cet Etat de police pour l’instauration de l’Etat de droit.
1. LES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES
A la lecture des textes fondamentaux qui constituent l’ordonnancement juridique, on se rend
compte qu’il y a une reprise des principes de l’Etat de droit au Sénégal. Ainsi, par exemple, dans le
préambule de la Constitution, on y affirme entre autres l’attachement du pays à la Déclaration des droits
de l’homme et du citoyen et à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Cet attachement
implique la proclamation des droits civils, politiques, économiques et sociaux.
Le texte de la Constitution, en son titre II, rappelle les libertés proclamées alors que le titre VII,
définit les procédés et mécanismes de garantie de ces droits et libertés.
Le pouvoir judiciaire est enfin considéré comme le gardien des droits et libertés définis par la
Constitution et les lois. C’est dans ce sens que le Conseil d’Etat est juge de l’excès de pouvoir des
autorités exécutives.
2. LES ÉLECTIONS PARLEMENTAIRES
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit.
3. LES OPÉRATIONS RÉFÉRENDAIRES
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit.
B) –LES ATTRIBUTIONS CONSULTATIVES DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
L’ancien régime en France, correspond à l’Etat de police. Et c’est la révolution française de
1789, qui a lutté contre cet Etat de police pour l’instauration de l’Etat de droit.
1. LA VACANCE DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE
A la lecture des textes fondamentaux qui constituent l’ordonnancement juridique, on se rend
compte qu’il y a une reprise des principes de l’Etat de droit au Sénégal. Ainsi, par exemple, dans le
préambule de la Constitution, on y affirme entre autres l’attachement du pays à la Déclaration des droits
de l’homme et du citoyen et à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Cet attachement
implique la proclamation des droits civils, politiques, économiques et sociaux.
Le texte de la Constitution, en son titre II, rappelle les libertés proclamées alors que le titre VII,
définit les procédés et mécanismes de garantie de ces droits et libertés.
Le pouvoir judiciaire est enfin considéré comme le gardien des droits et libertés définis par la
Constitution et les lois. C’est dans ce sens que le Conseil d’Etat est juge de l’excès de pouvoir des
autorités exécutives.
2. L’ARTICLE 16
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit.
C) –LE CONTRÔLE DE CONSTITUTIONNALITÉ
L’ancien régime en France, correspond à l’Etat de police. Et c’est la révolution française de
1789, qui a lutté contre cet Etat de police pour l’instauration de l’Etat de droit.
1. LE RESPECT DE LA CONSTITUTION PAR LES NORMES INFÉRIEURES
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A la lecture des textes fondamentaux qui constituent l’ordonnancement juridique, on se rend
compte qu’il y a une reprise des principes de l’Etat de droit au Sénégal. Ainsi, par exemple, dans le
préambule de la Constitution, on y affirme entre autres l’attachement du pays à la Déclaration des droits
de l’homme et du citoyen et à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Cet attachement
implique la proclamation des droits civils, politiques, économiques et sociaux.
Le texte de la Constitution, en son titre II, rappelle les libertés proclamées alors que le titre VII,
définit les procédés et mécanismes de garantie de ces droits et libertés.
Le pouvoir judiciaire est enfin considéré comme le gardien des droits et libertés définis par la
Constitution et les lois. C’est dans ce sens que le Conseil d’Etat est juge de l’excès de pouvoir des
autorités exécutives.
a)- Le contrôle obligatoire
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit
b) – Le contrôle facultatif
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit
b) – L’irrecevabilité
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit
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3. LA JURISPRUDENCE DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit.
a)- Le bloc de constitutionnalité
Les principes de l’Etat de droit ne sont pas d’application absolue. Ils sont en effet susceptibles
de degrés. Mais, lorsqu’on examine le droit positif, on se rend compte que les principes affirmés ne
produisent pas leurs pleins effets en Afrique.
Il existe des facteurs perturbateurs ou des facteurs limitant de l’application de l’Etat de droit