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Porffesseur : Najy Soraya

Réalisé par : l’étudiant Mohamed Taziat


Introduction :

Un arrêt ventilatoire, ou arrêt


cardio-respiratoire (ACR), c’est l’arrêts du sang et de respiration
chez l’individu l’arret-ventilatoire, Un arrêt ventilatoire, ou arrêt
cardio-respiratoire (ACR), est l'arrêt de la circulation du sang et
de la respiration chez un individu. On parle aussi parfois
simplement d'arrêt circulatoire ou d'arrêt cardiaque.
L'arrêt cardio-circulatoire ne signifie pas nécessairement la mort
de la victime : en cas de constatation d'un arrêt cardio-
circulatoire, il faut immédiatement prévenir les secours et commencer la réanimation cardio-
pulmonaire en attendant les secours.

I les Signes d'un arrêt circulatoire :


• Il se manifeste par un état de mort apparente :
coma profond aréactif : la personne est totalement inconsciente, elle ne bouge pas
spontanément, ne réagit ni à la parole ni au toucher, ni à la stimulation douloureuse, ni à la
lumière ; elle est complètement hypotonique (n'est pas « crispée ») ;
absence de pouls carotidien ou fémoral. La technique de palpation est parfois difficile dans
ces circonstances, avec possibles erreurs de diagnostics[2] ;
on ne perçoit pas sa respiration même après libération des voies aériennes : on ne sent pas son
souffle avec la joue, on ne voit pas la poitrine ou le ventre se lever ni se baisser ;
pâleur ou cyanose (couleur bleuâtre secondaire au manque d'oxygénation des tissus) ;
les pupilles se mettent en mydriase (elle se dilatent).

II Les causes de l’ACR sont multiples :

• Cardiovasculaires (trouble du rythme, trouble de la conduction, infarctus du myocarde,


dissection aortique, hémorragie…)
• Traumatiques (accident de la voie publique, chute, blessures par armes, brûlures…)
• Neurologiques (accident vasculaire cérébrale,…)
• Intoxications (monoxyde de carbone, médicamenteuses, éthyliques,…)
• Respiratoires (« fausse route », noyade,…)
• Autres (troubles métaboliques, électrisations
• L'infarctus du myocarde :est une nécrose (mort de cellules) d'une partie du muscle
cardiaque. ...
• dissection aortique:est une affection rare et grave caractérisée par l'irruption de sang à
l'intérieur de la paroi de l'aorte. ...
III Bilan vital du patient
Quelque soit le moment, le lieu et la situation où l’on se trouve, il faut d’abord
éliminer tous risques de suraccident afin, dans un deuxième temps, d’évaluer en
toute sécurité et rapidement l’état du patient comme suit :
 1. évaluer l’état de conscience
-la victime peut elle me parler ?
-la victime peut elle me serrer les mains ?
-la victime peut elle ouvrir les yeux ?
Si la réponse à ses trois questions est négative, la victime est
inconsciente.

 2-La libération des voies aériennes


• La libération des voies aérienne(LVA) intervient après avoir constaté
l’inconscience du patient et se déroule en trois étapes :
-Desserrer et/ou dégrafer tout ce qui peut gêner la ventilation du patient (col de
la chemise, cravate, ceinture, jupe,…)
-Basculer prudemment la tête en arrière tout en élevant le menton.
• Vérifier si aucun corps étranger ne se situe dans la bouche en ouvrant celle-ci
(dentier, aliment,…).
 3. évaluer la détresse ventilatoire
• Tout en maintenant la tête basculée, venir placer sa joue au dessus de la bouche de la
victime tout en observant la cage thoracique et ainsi pouvoir :
-entendre la présence ou non d’une ventilation
-sentir sur sa joue la présence ou non d’un souffle
-observer la présence ou non de mouvements de la cage thoracique

Cette constatation doit durer 10 secondes


Dans le cas où toutes les réponses sont négatives, la victime est en arrêt ventilatoire.
• Prendre le pouls carotidien sur une durée maximale de 10 secondes.
• La prise de pouls se fait en carotidien. En effet, le pouls carotidien est le dernier à
disparaître (pression artérielle systolique minimale de 40 mm Hg).

Il faut noter que dans le PSC1 (Prévention et Secours Civiques de niveau 1), destiné
au grand public, la prise de pouls n’est plus recommandée tant est difficile cet usage si
sa pratique n’est pas renouvelée régulièrement. Elle est remplacée par une observation
rapide d’éventuels mouvements du patient.
IV . L’alerte
• Noms et qualifications
• Numéro de téléphone où l’on peut vous joindre
• Lieu exact où vous êtes (soit le service + étages + aile + numéro de chambre soit la rue
ou voie de circulation et sens + numéro de la maison + ville)
• Circonstances de la survenue du problème
• Nombre de victimes et le bilan vital de chacune d’elle
• Actes conservatoires entrepris
V. Techniques et matériels
• Les insufflations
• Afin de réaliser une insufflation correcte, il faut d’abord avoir fait un bonne (libération
des voies aériennes) en basculant prudemment la tête en arrière et en soulevant le
menton.

• Ensuite saisir le BAVU:Ballon auto remplisseur à valve unidirectionnelle


• (est un instrument médicale) niveau du masque avec la main gauche pour les droitiers
et la main droite pour les gauchers (garder la main la plus habile pour comprimer le
ballon) et plaquer le masque sur le visage comme suit. La taille du masque doit être
adaptée au visage du patient.
L’étanchéité doit être parfaite. Pour ce faire, il faut maintenir le masque comme suit :

 Les compressions thoraciques


Elles ont pour but d’éjecter le sang hors du cœur vers les artères (temps de compression), mais
aussi de lui permettre de se remplir de sang (temps de décompression)

Il faut commencer par dénuder le torse du patient (couper les vêtements, les arracher,
déboutonner…).

 La hauteur de compression doit être située entre 4 et 5 cm

 avec le talon de la paume de la main uniquement


• et les bras doivent être tendus et verrouillés
Le rythme du massage est celui équivalent à 100 compressions par minute (ce qui
permet d’avoir 60 compressions par minute accompagnées de 8 insufflations suivant le
cycle 30 compressions thoraciques/2 insufflations))
• Afin que les compressions thoraciques soient efficaces, il est nécessaire que le patient
soit installé sur une surface rigide :
• Lit prévu à cet effet (ex : lit de réanimation).
• Sol.
• Planche dans le dos du patient, planche existant parfois sur les chariots d’urgences.
• L’installation du patient doit être rapide.

• Le DAE (Défibrillateur Automatisé Externe)

• Les DAE regroupent les différents types de défibrillateur à caractère automatique, que
ce soit le Défibrillateur Automatique ou le Défibrillateur Semi Automatique. Ils
permettent à un personnel non médical de délivrer des électrochocs lorsque ceux-ci le
recommandent. En effet, les DAE analysent le rythme cardiaque du patient et permet
de « choquer » précocement les fibrillations ventriculaires, ce qui accroît
considérablement les chances de survie des personnes retrouvées en arrêt cardio-
respiratoire.

• Il est du rôle propre de l’IDE d’utiliser un DAE et de surveiller le patient placé sous
ces appareils.
L’utilisation de ces appareils ne nécessite pas de formation préalable. Néanmoins elle
est conseillée et peut être obtenue lors d’un PSC1 ou lors de l’AFGSU de niveau 1
(Attestation de Formation aux Gestes et aux Soins d’Urgences)
Lorsque le DAE est positionné, suivre ses instructions et les précautions d’utilisations
liées à son emploi.

• Conclusion :
• Pour conclure en peux dire que la rapidité et réagir vite avec des simple gestes de
secourisme aide a éviter la more du victime et sauvé une vie.

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