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communication
Thème de recherche : la question de la collaboration au sein
des organisations
Les idées du texte :
Le développement de la communication dans les
discours managériaux et médiatiques depuis le milieu
des années 2000
Le rôle de l’initiative individuelle sur le développement
de la communication au sein des entreprises
Le rôle de la communication dans la satisfaction des
besoins de toutes les parties prenantes et la contribution
de ces derniers dans la production et le partage des
savoirs et de savoir faire
Ainsi le collaboratif fondé sur des logiques empruntant
largement à l’auto-organisation et renvoie à des modes
d’organisation du social traversant les organisations
instituées traditionnelles (entreprises, administrations,
service publics), sans oublier que le collaboratif nous
renvoie aussi vers des structures plus émergents telles
que les réseaux, tiers lieux, plateformes numériques de
mise en relation
La conception de quelques méthodes et outils
permettant de favoriser l’activité collaborative
correspond à une demande sociale .
La gouvernance des organisations se trouve influencées
par l’activité collaborative dans la mesure où-celle –ci
transforme la capacité d’agir pour les acteurs et
implique des nouveaux modes opératoires managériaux
Il est primordial d’interroger la relation entre dispositifs,
pratiques, discours collaboratifs et organisations en
s’intéressant aux processus communicationnelles
constitutifs des organisations qui se trouvent au cœur de
la question collaborative
La question collaborative peut être appréhendée comme
une tension existant entre 2 formes collectives
travaillant l’idée collaborative : la communauté et la
multitude
La foule est posée comme condition d’efficacité de la
collaboration
La collaboration est rendue possible par l’existence des
ambigüités organisationnelles et communicationnelles
La collaboration se trouverait au milieu des tensions
entres systèmes d’action programmées et zones d’action
concrets
Théories et concepts :
Le référentiel de compétences collaboratives : associé à un outil
d’évaluation en cours de développement, permet d’identifier les talents et besoins en
formation spécifiques à la disposition collaborative. De nombreux facteurs socio-
économiques concourent pour faire de la collaboration, ie de la capacité à partager des
objectifs et à les poursuivre grâce à un travail collectif constructif, un levier majeur de
la création de valeur. Le niveau élevé d’interactions entre les parties prenantes des
entreprises et entre les entreprises ou les organisations elles-mêmes, l’évolution rapide
des attentes de ces mêmes parties prenantes, l’impact des technologies sophistiquées,
le poids de l’innovation, font que la créativité individuelle n’est plus suffisante
pour créer de la valeur. Elle doit être associée à cette capacité à partager un
projet et à le mettre en œuvre avec d’autres acteurs, aux logiques différentes, voire
dans certains cas avec des concurrents.
5 étapes pour instaurer une organisation collaborative :
Les services de relation client ont tout intérêt à adopter des pratiques
Elle fournit, en outre, un cadre pour surveiller les actions stratégiques menées, la définition et
la bonne utilisation des moyens pour un niveau de performance attendu. Elle définit qui
contrôle quoi et comment ce contrôle s'exerce. Pour cela, elle fixe des règles, des pratiques à
suivre et des codes de conduite selon les situations rencontrées
Le processus d’invisibilisation :
Les tendances présentes dans l’organisation de la production et du travail (instauration d’une
autonomie et d’une responsabilisation – même limitées –, évaluation standardisation...)
conduisent au développement d’activités invisibles, non perçues, non pensées et non
reconnues. Sans traiter de nouveau la question de l’écart entre travail prescrit et travail réel, ce
colloque vise à mettre en évidence toutes les dimensions cachées et occultées du travail
aujourd’hui, dans tous les secteurs et pour tous les statuts de travailleurs. Qu’est-ce qui n’est
pas vu, qui n’est pas comptabilisé dans le travail et qui est pourtant indispensable aux résultats
? Pourquoi une partie croissante du travail est rendue invisible et ignorée dans les processus
d’évaluation ? Pourquoi n’est-elle pas reconnue comme intrinsèquement nécessaire à la
production de biens ou de services ? Quels rôles jouent les dispositifs de gestion dans ce
processus d’invisibilisation ? Existe-t-il un rapport entre cette invisibilité et les nouvelles
formes de management (privé ou public), voire avec le mal-être au travail ? Quel rôle jouent
les sociologues en rendant visibles les faces cachées du travail et quels sont les enjeux ainsi
créés ?