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J'ai peur

Àla guerres de mes défauts


À mon être, je respire mais à une erreur, je m'obsède
comme de l'obscure. L'idéal de moi à mes dérives les
plus diaboliques, aussi bien que dans ma vie que sur
la lune, m'est honteux qu'à l'absence d'une correction.
Je ne peux être un astre qui s'éclaire qu'en étant
purifier de mes défauts multiples. C'est vraiment
absurde de vivre sans défauts sur cette boule de
doute radieux. Autre, du rien me dira sans critique de
mes inconnus, à vrai dire dans quel langage ? Je me
juge de l'inconscience. En outre, la parole qui te vise
par des doigts, est mutante et sans regret. Ce qui est
vrai à mon âme, ressemble à mon image mais peu
importe, je suis imparfait et en contradiction avec
mon reflet. Et mon seul espoir dans ce monde n'est
que l'accueil de la discipline et de la sagesse. Que
sera ma vie, en égarant de ma droiture ? Cette
question m'est bouclante à l'infini car la raison est de
vastes pensées. J'avoue à mon regard, quand mes
défauts m'éclatent, qu'il me reste un dernier souffle
avec l'air. Au vrai sens de la rotation de mes larmes,
je ne suis qu'une bête qui ne cherche qu'une tête bien
faite. Derrière tout pardon se trouve une nouvelle
vague de vie. C'est mieux de brûler ses négations que
d'en les percevoir causer du mal. Je ne peux prouver
ma raison qu'en dehors de mes défauts. A vrai dire
corrige toi même de ce que ton intime divulgue
comme absurdité en acceptant ton imparfaitisme.

Enquoi part ma peur


La vie est un faisceau de rêve. De plus, on n'est point
venu sur la terre pour semer du désordre. En effet, le
chemin à suivre est d'embûches inestimables. Quoi
faire pour passer aux rubriques est toujours une perle
de la pensée. Parfois, du pire et dure me cartonnent
jusqu'à ignorer le sens de la vie, par atteinte de pic
insupportable mais tout finit par s'arranger. Autre, la
peur condame mon esprit et j'ai peur sans détour. Ma
conscience apeurée me devient troublante. J'ai
tellement espérer que j'ai fini par avoir peur de finir
déçu et en dépression à mon destin et tellement
donner que j'ai fini par avoir peur de finir par tout
perdre. J'ai peur de la solitude et de la grandeur en
moi. Une fin d'un début de tout n'est autre qu'une vie
nocturne et sans certitude. Ce monde reste une
bande de droiture tout comme une parcelle de
divulgation pleine de couvercles. Je me gèle d'une
confiance brûlée et du bizarre qui chauffe mon âme à
cendre de bois. Cette peur qui m'accompagne dans
l'univers c'est uniquement de l'obscure que je
m'intensifie.

Madésolante peur
Quoi faire ? Est toujours de moi un empire sans roi.
De mon espoir à mes tracas, j'en ai eu que de la
même saveur de larmes. En voyant tout décroître
dans sa conscience, les pensées se désespèrent et
on se devient toujours de raison perdue. Je suis le
chemin que Dieu m'a tracé malgré les obscures à
mon être sans choix. Je me gouverne de la peur par
ma tristesse sans procès mais que je juge trés
incompréhensif à ma vie. Puisse t_on être d'esprit
propre de ce qu'on est de pensées naïf. Je me nuis
déjà sans province à mon destin achevé quand ma
vie se manifeste comme une périodique de période
(T) qui m'équivaut qu'au terrible. J'ai peur du malheur
répétitif en moi par cause de ce que j'ai eu à vivre
avec ce dernier. Ma vie ne me rassure plus et j'en ai
aucun espoir sur les routes que je me véhicule mais
je sais que seul le prophète est mon remède à tout.
Je me sombre jour comme nuit à mon langage
intérieur. À ma confiance devenue non perçable, je
me tourmente sans vocation. Nombreux seraient
d'étoiles comptées et nombreux auraient être réel.
Par contre, je me réclame que nullement dans ma
misère.

Jeme sombre
Le silence m'appelle de ce que je ne serai jamais un
aimable d'esprit somptueux. Certe nul n'est logique
dans ses pensées et ce que je me ronge, reste de
l'ombre à l'essence d'une vérité. Et le soi même n'est
jamais un désire à la force des preuve. L'obscure est
devenu le miroir de mon regard. La lumière m'est
imperceptible et sans rayures. A l'image que je
m'eclaire, ma peur est illuminée de nocturne très
lucide. Autre que de nouveaux ailes mais sans
décollage. Je serais être le pilote de mes larmes que
dans l'histoire de ma folie. De percer mon réel jusqu'à
dompter ma raison, le possible de moi n'est point le
nécessaire de moi. Une charge au regard lunaire est
d'un esprit bouclé d'épines à une vie sans merveille
que quand je me trouble d'une pensée utopique et de
l'opprime me condamne sans succès. Parfois je
suppose d'emblée mon intime d'injures afin de
contredire mon inconscience. Et rouler loin des
ennuis est un vaccin que je me prescrits mais ma vie
est devenue une roulette perdue dans l'air. Le mal
détient ma vie, au sens de recourir à mes larmes qui
me noient déjà dans la profondeur de mon cœur.
J'honore le terrible dans sa beauté s'il en possède.
Un cœur sans astre
Aussi bien que je me sombre, l'amour ronge mon
cœur à de pleine fenêtre. Mes pensées ont ruiné mon
âme et ma vie est devenue d'espoir sans lumière.
Mes yeux s'inclinent devant la ferveur de mes larmes
d'un visage archivé de tristesse. Toute une déception
qui m'immerge dans l'inconnu que je me voile dans
mes pas. Je suis qu'une étoiles éteintes et qui ne
crois en aucun sens de se rallumer. Je suis
d'inquiétudes sans detour et mon coeur tombe en
dépression dans mes souciantes peurs. Mon
existence s'imprègne de fissures et ma vie s'imprime
sur de coupures. Autre que de cœur sans astre qui
me rayonnent de tournure diabolique et pitoyable. Ma
vocation s'émerveille de la parole du silence et
l'amour m'est transformé en de faiblesse. Et souffrir
sans dire un mot me devient une devise sous
l'aveugle de mes choix. De voir mon cœur s'effondre,
c'est de percevoir ma vie décroître vers sa fin. Un
escargot d'yeux bandé par de complaisance se ruine
sans aller. Je suis qu'un trop plein de sel devant des
lampes d'hommes. Autre qu'un rassurant, je ne serai
être débordé que de mer. Au sens propre, je suis
qu'un arbre abandonné.

La vie c'est du simple


qui ne se simplifie pas
mais sa voie est la
mienne.

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