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Université A.

MIRA - Bejaia
Faculté de Technologie
Département G.E /A.T.E

Cycle : Licence Télécoms


Cours UEF3211
Introduction aux Communications Numériques

Chapitre Introductif
Notions Préliminaires

Enseignant : M. TOUNSI

1
Année 2019 /2020
Chapitre Introductif
Notions Préliminaires

Plan du cours

1. Introduction
2. Techniques de transmission
3. Chaine de transmission numérique
3.1. La Source
3.2. L’Emetteur
3.3. Le Canal de transmission
3.4. Le récepteur
4. Quelques mesures de performances

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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

1. Introduction
 Un système de communication numérique transporte de l’information entre une source
(émetteur) vers un destinataire (récepteur) à travers un canal de transmission qui peut être
filaire (câble ou fibre) ou radioélectrique (OEM ou optique) ;

 L’information véhiculée sous forme de signaux électriques, peut provenir directement d’une
source numérique (réseaux de données…) ou d’une source analogique (parole, image,
musique...) qu’il conviendra de numériser (échantillonnage/ quantification/codage) ;

 Avantages des communications numériques par / aux communications analogiques :


• Meilleure immunité au bruit via des techniques de détection et correction d’erreurs. Ce
qui garantie une probabilité d’erreur inférieure à une limite fixée (selon les applications)
quelle que soit la distance ou les conditions de la transmission ;
• Meilleure qualité de transmission grâce à des facilités de stockage et de régénération des
signaux (répéteurs, régénérateurs, circuits numériques standardisés….) et aux facilités de
lutte contre le bruit ;
• Facilités de traitement des signaux grâce à une profusion d’outils de traitement
numérique de données techniquement et économiquement accessibles : compression,
cryptage, multiplexages… ;
 Inconvénients des communications numériques par / aux communications analogiques :
• Complexité matérielle (notamment des récepteurs) ;
• Complexité logicielle (à cause des différents traitements numériques).
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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

2. Techniques de transmission
 Définitions :
• On parle de transmission en bande de base (baseband transmission) quand l’information
est directement envoyée sur le canal dans la même bande de fréquence que celle de
l’information transmise. Ce type de transmission rarement réalisé en pratique (sauf pour
certains réseaux locaux), ne nécessite aucune transposition spectrale.

• La transmission sur fréquence porteuse (ou en bande transposée) par contre, nécessite de
transposer l’information de sa bande de base vers une bande de fréquence bien plus haute
présentant des caractéristiques bien meilleures pour la transmission. Il s’agira de moduler
une onde sinusoïdale porteuse de fréquence convenable par le signal à transmettre :
l’opération de modulation consiste à translater le spectre du signal à l’intérieur de la
bande passante d’un canal de transmission. Cette technique favorise un partage de canal
entre divers utilisateurs ou divers systèmes de télécommunications.

 Remarques :
• Souvent, le terme « modulation » se traduit « improprement » en une transposition de la bande
de fréquence B du signal informatif autour d’une fréquence porteuse ou centrale fp (ou fc) telle
que : fp > B/2. C’est le cas des transmissions sur fréquence porteuse ;

• Dans les transmissions en bande de base, le terme modulation s’utilise pour signifier une remise
en forme ou formatage du message dans sa bande autour de la fréquence nulle. Il s’agit au fait
d’une modulation d’amplitude PAM (Cf. Chapitre 1).
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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

3. Chaine de transmission numérique


Le schéma de base d’une chaine de transmission est représenté par la figure suivante :

Le schéma général suivant sied beaucoup plus aux transmissions sur fréquence porteuse.

Nous donnons ci-après une description succincte de ses éléments essentiels, en partant de la
source vers le destinataire.
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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

3.1. La source
Le message à transmettre dans cette chaine de communication, doit être numérique. Si la
source délivre des signaux analogiques, ils doivent être numérisés.
L’opération de numérisation consiste à échantillonner ces signaux, les quantifier et les coder en
éléments binaires, tel qu’illustré par le figures suivantes.

Rappels :
• L’échantillonnage d’un signal continu
consiste en sa discrétisation temporelle selon
une cadence bien définie (Te ≤ (1/2fmax); s(t) de
bande [ fmin; fmax ] / Cf. au théorème de
Nyquist-Shannon) ;
• Le respect de ce critère empêche tout
chevauchement dans le domaine spectral (à
démontrer en T.D) ;
• La quantification est une discrétisation de
l’amplitude du signal échantillonné selon un
pas de quantification ;
• La quantification d’un signal doit être
optimisée car l’erreur qui en découle est
irréversible (à estimer en T.D).
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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

3.2. L’Emetteur
3.2.1. Le Codage de source
Après numérisation, le message transmis se présente sous forme d’une suite d’éléments
binaires discrets dénommés symboles ou caractères de l’alphabet fini d’un certain code. Le choix
du code à adopter se base sur des techniques de théorie de l’information.
Souvent, on choisit des codes M-aires à longueur fixe i.e. que l’on dispose de M symboles,
chacun formé par un regroupement de m bits tq : M  2m , m entier naturel .
Le nombre de symboles émis par unité de temps, définit le débit symbole Ds de la source,
exprimé comme suit : D  1/ T (symbole.s 1 ) où T  durée d ' un symbole.
S s s

Comme chaque symbole est formé de m bits : Ts = m.Tb , Tb  durée d’un bit.
Il s’ensuit : DS  1/ Ts  1/(m.Tb )  (1/ Tb ) / m  Db / log 2 (M )
où Db est le débit binaire, défini comme le nombre de bits émis par unité de temps.
Le rôle du codeur de source est de réduire la redondance de la source pour diminuer le débit de
transmission en supprimant certains éléments binaires peu significatifs.
Exemple :
Dans le réseau téléphonique RTCP, la numérisation du signal de parole avec un codage dit « MIC :
Modulation par Impulsions Codées » (Préfiltrage sur la bande [300,3400 Hz], échantillonnage à 8 kHz,
codage des échantillons quantifiés sur 8 bits) produit une source numérique d’un débit binaire de 8*8000
éch./s = 64 kbps. Avec des codages plus élaborés, ce débit peut être considérablement réduit. Les systèmes
cellulaires GSM utilisant des vocodeurs, le ramènent à 13 kbps (voire 5 kbps).
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3.2.2. Le Codage de canal

Ce codage dit aussi codage détecteur/correcteur d’erreurs, permet de protéger le message


des perturbations du canal de transmission. C’est une adaptation du code source aux
caractéristiques du canal.

Il consiste à ajouter au message compressé des éléments binaires dits de redondance suivant
une loi donnée. Si cette loi (connue du décodeur de canal à la réception) n’est pas respectée, le
décodeur détecte la présence d'erreurs de transmission qu'il peut corriger sous certaines
conditions.

Le code de canal le plus simple est la technique des bits de parité/imparité.

N.B: Le codage de canal est spécifique aux transmissions numériques (inexistant en transmissions
analogiques). Il implique une augmentation du débit binaire et n'est pas toujours implémenté
car la complexité des équipements de transmission augmente (leur coût aussi).

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3.2.3. La modulation

La transmission se fait toujours à l’aide des signaux électriques. Les symboles de codage -
qui sont des grandeurs abstraites -, doivent être mis en forme i.e. qu’il faut leur associer une
représentation physique sous forme de signaux électriques. Cette opération est appelée
modulation.
Les techniques diffèrent selon que la transmission est effectuée en bande de base ou sur
fréquence porteuse :
• Dans le premier cas, on utilise des codes en ligne représentant la valeur des symboles
durant le temps symbole considéré.
• Dans le second cas, les symboles sont portés par la valeur de l’amplitude, de la phase ou
de la fréquence d’un signal HF émis. On parle de moments ou de signaux élémentaires
représentant les symboles.
Le nombre de signaux élémentaires émis par le modulateur par unité de temps, définit la
rapidité de modulation R (exprimée en Bauds):
R =1/Ts où Ts est la durée signal (ou symbole).
On retrouve aisément la relation avec le débit binaire :
R  Db / log 2 (M )  DS

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3.2.4. Organes d’émission

En pratique, le signal électrique issu du modulateur n’est pas prêt pour être émis. Il doit
encore subir divers traitements pour être adapté au milieu physique dans lequel il va se
propager. Pour cela, un émetteur dispose réellement de divers organes d’émission
généralement non-représentés sur les schémas des chaines de communication.

Parmi les traitements assurés par ces organes, on retrouve les opérations de changements de
fréquence, de filtrage, d’amplification, de transformation du signal électrique en signal
électromagnétique, et d’émission effective (par des dispositifs tels que les antennes).

Par exemple, le filtrage du signal modulé sert à limiter son occupation spectrale pour
permettre à plusieurs utilisateurs de partager une même bande de transmission c.-à-d. les
multiplexer sur un même canal sans risque d'interférences. Cette bande est centrée autour
d'une fréquence d’émission fo élevée. Le modulateur élabore d’abord un signal dont le spectre
est centré autour d'une fréquence dite intermédiaire (plus basse que la fréquence fo) puis des
organes de changement de fréquence permettront de centrer le signal modulé autour de la
fréquence d’émission fo souhaitée.

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3.3. Le Canal de transmission


Le canal de transmission est le milieu ou le support physique approprié pour assurer le lien
entre l’émetteur et le récepteur. Il s’agit de toute liaison filaire (câble bifilaire, câble coaxial,
fibre optique..) ou de l’espace libre (communication par ondes électromagnétiques, par
infrarouge).
Ce canal inclut souvent du bruit induit par le milieu de transmission (affaiblissement,
distorsions, interférences) et par les dispositifs électroniques de transmission (bruit
thermique).
3.3.1. Distinction Théorie/Pratique

La notion de canal de transmission prend des significations différentes selon le contexte de


son utilisation :
• Au sens des praticiens des transmissions, le canal de transmission est la portion du
milieu physique de propagation (on parlera ainsi de canal ionosphérique, troposphérique..) ;
• Au sens de la théorie de l’information, le canal inclut tous les éléments de la chaine de
transmission placés entre la source et le destinataire. La source lui fournit des symboles
qu’il doit fournir au destinataire (on parlera ainsi de canal binaire symétrique, de canal à
effacement …) ;

• Au sens de la théorie des communications, on combine les 2 significations précédentes :


Le canal regroupe le milieu physique et les organes d’émission et de réception. C’est cette
signification que nous retiendrons dans ce cours.

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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

Ceci nous amène à distinguer l’émetteur réel de l’émetteur théorique et le récepteur pratique
du récepteur théorique comme montré sur le schéma suivant :

L’émetteur réel est dissocié en 2 entités aux fonctions distinctes :


• L’émetteur théorique fournissant un signal électrique en bande de base ou sur fréquence porteuse
(qui sera modélisé par un processus aléatoire) ;
• Les organes d’émission qui vont adapter le signal électrique au milieu physique de transmission
par divers traitements (filtrage, amplification, changement de fréquence, transformation du
signal électrique en signal électromagnétique, émission …) ;

Idem le récepteur réel se voit assigné 2 fonctions réalisées par 2 entités distinctes :
• Les organes de réception réalisant divers traitements sur le signal reçu (signal émis souvent
bruité) : transformation de la nature du signal filtrage, amplification, changement de
fréquence..;
• Le récepteur théorique qui doit traduire le signal électrique reçu en message numérique pour le
destinataire.
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3.3.2. Modélisation du canal de transmission

Il existe diverses modélisations car il y’a plusieurs facteurs pouvant modifier le signal
électrique entre l’entrée et la sortie du canal. Le modèle le plus courant (canal BBAG) est un
modèle simple qui considère que le signal reçu résulte de l’addition du signal émis et d’un bruit
indépendant de ce signal. Un canal qui n’introduit aucune autre modification du signal, est dit
sans distorsion.

3.3.2.1. Canal BBAG : canal à bruit blanc additif Gaussien

Le bruit additif est considéré comme un processus aléatoire stationnaire gaussien (de
distribution normale), centré (à moyenne nulle) et de densité spectrale bilatérale de puissance
constante (généralement notée No /2).

Le signal reçu à la sortie du canal s’écrit :

r(t) = e(t) + b(t)

N.B : Le bruit est dit blanc car sa puissance est uniforme sur toute la bande de fréquences par
analogie avec la lumière blanche dans le spectre visible. Un bruit est dit coloré quand il
privilégie une certaine bande de fréquences .
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Chapitre Introductif : Notions Préliminaires

Le bruit qui s’ajoute au signal peut être d’origine interne aux équipements de transmission,
ou externe (bruit capté par l’antenne). Le modèle de canal BBAG même simpliste, est bien
valide car, pour une transmission radioélectrique avec fréquence porteuse élevée, le bruit est
essentiellement d’origine interne. Le signal reçu est souvent faible et doit être amplifié à
l’entrée du récepteur. C’est cette amplification souvent imparfaite, qui rajoute au signal
amplifié un bruit thermique pouvant être modélisé par un bruit BBAG.

3.3.2.2. Autres modèles

• Le canal à filtre linéaire : Canal BBAG intégrant un filtre linéaire pour modéliser le
filtrage dû aux organes d’émission/réception et au milieu physique. Le filtre est caractérisé
par une fonction de transfert et sa bande passante.
Le signal reçu s’écrit :
r(t) = (e(t) * h(t)) + b(t)
«* » : produit de convolution
h(t): réponse impulsionnelle du filtre

r (t )  (  x(t ).h(t   ).d )  b(t )

• Le canal non linéaire : Ce modèle tient compte des distorsions non-linéaires dues aux
imperfections inhérentes aux organes de transmission : distorsion harmonique, distorsion
d’intermodulation (saturation d’amplificateurs), distorsion de phase (instabilité des
oscillateurs).
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Il existe d’autres facteurs influençant les transmissions, tels que :

• L’affaiblissement de parcours (ou évanouissement à grande échelle) qui augmente avec la


distance émetteur-récepteur. Il n’est pas pris en compte dans le canal BBAG (réduit à un
facteur d’échelle) mais il doit l’être en pratique lors du dimensionnement du système ;

• Le délai de transmission (écoulé entre l’instant d’envoi du message et l’instant où il est


exploité par l’utilisateur). Ce délai (td) est déterminant pour certains services. En
théorie, ce retard est modélisé par un terme (exp(-2jπ f td) dans la fonction de transfert ;

• Le décalage Doppler (fluctuation de fréquences), et les interférences dues aux multi-


trajets (évanouissements à faible échelle) dans les communications sans fil (avec
mobilité) nécessitant un modèle de canal dit de Rayleigh ;

• Des fluctuations d’atténuation du signal reçu et/ou des modifications de la fonction de


transfert du canal nécessitant une prise de marges garantissant une qualité de
transmission ou des méthodes d’égalisation ;

• Les interférences dues à d’autres émissions (parasites, brouilleurs..) vu que le milieu de


transmission est souvent partagé par plusieurs émetteurs géographiquement distincts ;

L’utilisation du canal BBAG reste justifiée dans le cas de milieux de transmission naturels
(vide , atmosphère en temps clair) et renseigne beaucoup sur les autres cas.

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3.4. Le Récepteur
Le rôle du récepteur est d’extraire le message numérique du signal électrique en sortie du
canal de transmission (*). Cela est réalisé de manière séquentielle par une série d’opérations
sur ce signal :

• Démodulation (2*) : Une fois le signal filtré et ré-amplifié, une nouvelle transposition de
fréquence est nécessaire afin d'obtenir un signal en bande de base. Cette démodulation
sera dite cohérente ou non-cohérente selon que l’on connait ou pas la fréquence de la
porteuse ;
• Détection : Le rôle du détecteur est d’échantillonner le signal démodulé afin d’extraire les
symboles tout en maximisant le rapport signal à bruit. Certains critères aident à décider en
faveur des symboles les plus probablement émis.
• Synchronisation/ Égalisation/ Estimation canal : Si le canal peut induire des décalages de
fréquences ou de temps symbole, une synchronisation (porteuse, horloge) est nécessaire en
amont de la démodulation et de la détection. Les échantillons reconstitués doivent être les
plus proches possible de ceux émis. Une opération d’égalisation aide à estimer les symboles
émis si le canal introduit des distorsions (induisant des interférences entre symboles).
Notons que la connaissance du canal (techniques d’estimation) améliorent la
synchronisation et l’égalisation;
• Décodage canal et décodage sources : ce sont les opérations inverses des codeurs canal et
source de l’émetteur.
(*) : les organes de réception traitent le signal en sortie du milieu de transmission.
(2*): Cette opération n’existe pas pour une transmission en bande de base..
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4. Quelques mesures de performances

• Débit maximal : Le débit binaire est lié à la rapidité de modulation par la relation :
Db = m. R avec m = log2(M)
(m : nombre de bits/symbole; M : taille de l’alphabet de codage (ou sa valence)).

Pour améliorer le débit binaire, on doit agir sur ses 02 termes :


DbMax = mmax. Rmax
- Shannon (1948) : le bruit limite le nombre de bits pouvant être transportés par un symbole
Ps P
m max  log 2 ( 1  ), où ( s ) est le rapport signal sur bruit (RSB ou SNR)
Pb Pb
- Nyquist (1928) : la bande passante W du canal limite la rapidité de modulation :
Rmax = 2 W (limite théorique / en pratique : Rmax =1,25 W )

On en déduit le débit maximum : Ps P


DbMax  C  2.W . log 2 ( 1  )  W . log 2 (1  s )
Pb Pb
Ce débit maximum, définit la capacité (C) du canal de transmission.

Exemple : Capacité de la voie téléphonique :


sur W = 3100 Hz et un RSB de 20 dB: C = 20,6 Kbits/s environ.
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• Efficacité spectrale d’une modulation


C’est le rapport dudébit binaire [bit/s] àla bande occupée par le signal modulé sur le canal
[Hz]. C’est donc la quantité d’informations binaires transmises par ressource temps-
fréquence (par accès au canal).
Expression mathématique : η = Db / B [ bit/s/Hz]
Pour une modulation M-aire, cette efficacité vaut : η = (1/Tb.B) = (R/B) * log2(M)
L'efficacité spectrale augmente avec le nombre de bit/symbole (pour B et R donnés). C'est la
raison d'être des modulations M-aires.
L’utilisation efficace de la bande passante d’un canal, implique le choix de modulations à
grandes efficacités spectrales.

• Taux d'erreur par bit TEB (BER - Bir Error Rate)


nombre de bits erronés
TEB 
nombre de bits transmis
La qualité d'un système de transmission est évaluée en terme de probabilité d'erreur par bit
transmis. Elle est fonction de la technique de transmission utilisée, mais aussi du canal sur
lequel le signal est transmis.
Une estimation non biaisée au sens statistique de cette probabilité d'erreur par bit est le
TEB .
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