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Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou

Faculté de la Construction

Département de Génie Civil

Module : Système d’Informations


Géographique

Réalisation d’une carte thématique

Réalisé par :

SADOUDI YANIS
ZEGGANE HOUCINE
Introduction :

Avant l’apparition des systèmes d’information géographique (SIG), les cartes


géographiques ont été faites sur papier, ainsi les services techniques des
collectivités locales, les gestionnaires des réseaux souterrains et les services
d’urbanismes utilisent des cartes planes sur papier dans le cadre de leurs
activités. Les cartes sur papiers en exemplaire unique ont l’inconvénient d’être
figées, encombrants, fragiles (elles se déchirent au fur et à mesure de leur
utilisation).

La numérisation vient en premier lieu faciliter leur stockage. Enfin arrive la


cartographie moderne pour simplifier leur mises à jour, mais celle-là ne satisfait
plus des informations géométriques des cartes ; on cherche de plus en plus à leur
associer des informations thématiques, comme associer une parcelle de terrain le
nom du propriétaire, la surface constructible, le périmètre…
Le SIG va permettre d’introduire de l’interactivité entre les documents
graphiques et les utilisateurs.

L’objectif de notre travail est de construire un système d’information


géographique (SIG) en associant des informations graphiques et des données
récoltées sur terrain .
I. Définitions

1.1. Définition d’un système d’information géographique :

Le SIG est un système informatique de matériel, de logiciel et de processus permettant de


faire la collecte, la gestion, la manipulation et l’affichage des données à références spatiales
en vue de résoudre des problèmes d’aménagement et de gestion.
On appelle donné à référence spatiale toute donnée pouvant être localisée d’une manière
directe (école, route) ou indirecte (adresse, propriétaire) à la surface de la terre.

Les SIG permettent entre autre :


 De stocker sous forme numérique de gros volume de données,
 D’actualiser ou de modifier les données sans avoir à recréer un autre document,
 D’analyser les données,
 D’afficher et de consulter les données sur l’écran,
 D’ajouter ou d’extraire des données
 D’éditer des plans et des cartes.

Un SIG comprend principalement Cinque composantes :


 Le matériel informatique,
 Le logiciel SIG,
 Les données organisées en bases,
 Les méthodes,
 Les ressources humaines (les utilisateurs).

1.2. Intérêts des SIG :

Les SIG présentent beaucoup d’intérêts, les plus importants sont :


Les informations sont stockées de façon claire et définitive.
Gérer une multiplicité d'informations attributaires sur des objets.
Comprendre les phénomènes, prévoir les risques (simulations).
Établir des cartographies rapides.
Localiser dans l'espace et dans le temps.
Réagir rapidement après des évènements ayant un impact sur le territoire.
Calculer des coûts ou des bénéfices.
Associer un plus grand nombre de partenaires aux choix d'aménagement.
Fournir des itinéraires, des plans adaptés.
Analyser l’information sur le territoire.
Effectuer des simulations.

1.3. Organisation des informations dans un SIG :

Un SIG organise les informations géographiques sous forme de thèmes (Appelés aussi
couches, calques, plans,…). Chaque thème représente un ensemble de données similaires.
1.4. Entités géographique d’un SIG :

Les entités géographiques d’un SIG sont :


 Symboles linéaires (les lignes).
 Symboles ponctuels (les points).
 Symboles surfaciques (les surfaces).

1.5. Notion d’échelle :

L’échelle est le rapport existant entre une longueur réelle et sa représentation sur la carte
(Rapport entre les dimensions ou distances marquées sur un plan avec les dimensions ou
distances réelles). Avec les SIG, on parle plutôt d’échelle d’utilisation, c’est-à-dire le radio
entre l’échelle à laquelle la donnée a été numérisée et les limites de son exploitation.
Un SIG permet de représenter des informations à n’importe quelle échelle, cependant la
précision des données spatiales impose le type d’entité à utiliser et l’échelle à laquelle on peut
les représenter.

2.Mapinfo :
2.1. Définition et utilité de Mapinfo :

MapInfo Professional est un Système d'Information Géographique à l'origine bureautique créé


dans les années 1980 aux Etats-Unis. C'est un logiciel qui permet de réaliser des cartes en
format numérique.
MapInfo est conçu autour d'un moteur d'édition de cartes qui permet la superposition de
couches numériques. Il permet de représenter à l'aide d'un système de couches des
informations géo localisées : points, polygones, image raster... Il incorpore un grand nombre
de formats de données, de fonctions cartographiques et de gestion de données... Un système
de requêtes cartographiques adapté permet la conception des cartes et bases de données
cartographiques. MapInfo est ouvert vers le Web et les globes virtuels ; il permet de publier
sur le web des cartes réalisées sur un PC, de faire de la cartographie interactive, d'incorporer
des informations des globes virtuels...
MapInfo Professional est un logiciel destiné aux chargés d'études et d'aménagements
territoriaux, aux chargés d'études d'implantations, de géomarketings, aux analystes des
réseaux physiques et commerciaux.
Connexe et complémentaire au logiciel desktop MapInfo Professional, il existe une vaste
gamme de modules permettant de faire des traitements de localisation par géocodage
automatique d'adresses, de l'optimisation des déplacements routiers, des analyses de risques
locaux (Crédit, Assurance,...), des analyses géomarketing et sociodémographique, de
l'enrichissement de fichiers d'adresses à l'aide d'informations localisées, ainsi que de la
diffusion de cartes et données sur support WEB.

Ces traitements peuvent être réalisés :


 Avec une grande précision locale et à l'échelle mondiale à l'aide des bases de données
cartographiques (teleatlas, navtech...),
 Sur des volumes de données importants (traitements en mode batch de plusieurs
millions d'enregistrements),
 Sur un ordinateur local et/ou à distance, via des API et en mode WEB.
La société PBBI et l'ensemble de ses partenaires de la communauté MapInfo proposent les
services permettant d'optimiser l'usage et l'efficacité opérationnelle de ces technologies
(fourniture de données cartographiques et/ou avec attribut spatial, conseils géomarketing et
géomatique, développement d'applications cartographiques, management de projet, formation,
support, maintenance.

2.2. Interfaces Mapinfo 

a. Interface Mapinfo : C’est la fenêtre d’applications que nous pouvons déplacer,


redimensionner, réduire en icône ou agrandir au maximum.
b. Fenêtre carte : Certains types d’informations exploités sous Mapinfo possèdent des
fenêtres cartes.
c. Interface utilisateur : L’interface de Mapinfo se compose d’élément divers, menus,
boutons et outils, regroupés sous trois barres différentes, le haut de la fenêtre
d’application, la barre de menue donne accès aux commandes Mapinfo qui s’affichent
lorsqu’on déroule un menu donné.
La barre de boutons, offre un moyen rapide d’accéder aux commandes les plus utilisées
(parmi celles proposées dans les menus). La barre d’outils sert aux opérations exigeant
l’utilisation de la souris. Quand vous cliquez sur un outil (pour le sélectionner), l’aspect
du curseur change selon l’outil choisi.
d. Barre d’état : Quand nous plaçons le curseur (sans cliquer) sur une option de menu, un
bouton ou un outil, la barre d’état donne une brève description de la fonction de
l’élément d’interface choisi.
La barre d’état renseigne par ailleurs, sur les enregistrements sélectionnés, nombre total
d’enregistrement, la carte en écriture, la table sélectionnée, et les coordonnées de la
carte naturelle.

2.3. Tables Mapinfo :

Les tables Mapinfo permettent d’exploiter des données provenant de source diverses, on peut
afficher, interroger et analysée les informations des tables.
Si une table contient des coordonnées géographiques ou cartographiques on peut afficher ces
points sur une fenêtre carte pour mettre en évidence la situation géographique de ces données
étudiées.

Une table Mapinfo regroupe des entités géographiques après avoir établir des liens entre ces
entités et leurs attributs :
 C’est quoi les entités ?
 C’est quoi les attributs ?

Les entités sont des objets géographiques (montagne, rivière, bâtiment….) représenté sur des
cartes, et tous ces objets ont une position géographiques, une forme et un symbole
(coordonné).
Les attributs : le système S I G stocke dans une base de donnée les informations
alphanumériques décrivant les entités et associe ces informations aux entités correspondant.
a. Table attributaire 
La table attributaire d'un raster peut contenir plusieurs champs (créés par l'utilisateur) et peut
être modifiée dans ArcMap (Ajout/Suppression de champs, Calculatrice, …). Les tables
attributaires de raster supportent complètement les mécanismes de jointure d'ArcGIS et
peuvent être utilisées en entrée de toutes les commandes de géo-traitement acceptant des
tables.
La table attributaire d'une couche raster contient autant d'enregistrement qu'il y a de valeurs
uniques dans l'image. Chaque enregistrement de la table attributaire est associé à l'ensemble
des pixels de l'image ayant la même valeur

b. Tables de donnés 
Une table de donné est la représentation graphiques des données alphanumériques, elle
contient des informations sous forme des lignes et des colonnes, chaque ligne définie un
membre de groupe représenté et chaque colonne définit une seule caractéristique (ou attribut).

3. Le mode raster :

3.1. Définition 
Ce mode correspond à une division régulière de l'espace sous forme de cellules ou mailles
généralement carrées appelées pixels, qui définissent la précision minimale de la structure.
Les pixels sont par exemple, les centaines de milliers de points lumineux et colorés qui
composent votre écran d'ordinateur. Le mode raster s'applique aux traitements d'images
(satellitaires, photos aériennes). On appelle résolution la taille du pixel : (un pixel équivaut à x
mètres sur le terrain)

3.2. Image raster 


L’image raster est déterminée par le nombre total de pixels ("Picture élément") et la quantité
d’information contenue dans chaque pixel (souvent appelée profondeur de numérisation des
couleurs. Chaque pixel porte une information identifiant sa couleur et l’entité à laquelle il est
attaché. Plus il y aura de pixels, plus il y aura de détails fins visibles. On dit que plus une
image a de pixels, plus elle est de grande qualité. Une image numérisée avec une définition de
640×480 pixels (donc contenant 307 200 pixels) apparaîtra très approximative et sous forme
d’un pavage de petits carrés de couleur, par comparaison à une image numérisée à 1280×1024
(1 310 720 pixels).
On peut distinguer les différentes représentations d'une image raster a utilise dans mapinfo
soit :
Dans un fichier, pour le stockage et l'échange. Dans ce cas, l'image est le plus souvent
compressée et stockée dans un format graphique. Les principaux formats sont : BMP, GIF,
TIFF, PNG et JPEG. Ces format est généralement sans aucune compression pour pouvoir être
directement exploitable et affichable sur MapInfo.
On peut avoir ces donnée (image raster) à partir de :

a. Photo aérienne :
La photo est la base de nombreuses données géographiques. A partir d’appareil photo ou de
caméra aéroportée (avion, ballon, ...) il est possible d’avoir de nombreux détails de la surface
de la terre. Elle peut être :
 Scannée,
 Numérique (directement intégrable sur un disque dur),
 Ortho rectifiée (corrigée des déformations d’échelle dues aux différentes altitudes, à
l’assiette de l’avion. Le résultat sera une ortho aérienne dépend de la dimension du plus
petit détail visible (notion de résolution).
La précision de la photo aérienne dépend de la dimension du plus petit détail visible

b. carte scannée :

C’est la représentation d’une information déjà interprétée. Ceci montre ses limites. Par contre,
la carte scannée est un bon référentiel visuel car elle est souvent issue de carte papier destinée
au grand public (carte au 25000 ° de l’INCT, plan cadastral, carte routière).

c. Image satellite
Image issue de capteurs embarqués dans des satellites d’observation placés sur des orbites de
500 à 36000 km d’altitude. L’image représente le rayonnement solaire réfléchi par les objets
au sol dans le domaine visible ou proche infra-rouge. Elle doit subir plusieurs traitements
radio métriques et géométriques avant d'être utilisable dans un SIG.
Il existe plusieurs formats de fichier pouvant contenir des images raster,MapInfo peut lire les
formats suivants : JPEG, GIF, TIFF, PCX, BMP, TGA , BIL .
4. Avantages et Inconvénients du raster

4.1. Avantages du raster

 Facilité d'utilisation : données sont sous forme de tableau. Par rapport au mode vecteur, la
dimension thématique est donnée par des valeurs numériques de la grille et la dimension
spatiale est déduite par la position relative du pixel dans la grille.
 Le croisement des données est facile à réaliser : toutes les grandeurs sont ramenées à la
même unité de base (le pixel).
 Il se prête bien à certains types de traitements numériques car chaque pixel contient une
valeur numérique (ex : classification supervisée). Cette valeur est stockée dans un canal
(raster monocanal) ou plusieurs canaux (raster multi-canal), chacun d'eux représentant une
Info distincte. Le canal est au raster ce que l'attribut est au vecteur.

4.2. Inconvénients du raster

 Fichier lourd en mémoire


 Manque de précision
 Qualité médiocre des documents à l'impression (phénomène d'aliasing ou marches
d'escalier)
 Pas d'individualisation des objets

5. mini projet :
L’objet de notre mini projet consiste à réaliser une carte thématique d’un bassin versant sur le
Mapp-info, a travers ce compte rendu on va expliquer les étapes essentielles qui nous ont
permis d’aboutir aux résultats.

5.1. Première étape : Calage de l’image raster TIZI-OUZOU 32 ouest.

Mapinfo permet de travailler facilement avec des images raster. Les formats lus par le logiciel
sont les suivants :
 JPEG, GIF, TIFF
 PCX, BMP, TGA, BIL
 MrSID
«Caler » une image raster signifie entrer des coordonnées géographiques dans une projection
définie et indiquer quels points de l’image correspondent à ces coordonnées.

Il est indispensable de caler chaque image raster avant de l’utiliser dans la base de données
surtout si on utilise l’image avec des données vectorielles. Les informations de calage sont
stockées dans le « fichier .tab »
Il est également conseiller d’utilise quatre points de calage afin d’évaluer l’erreur commise au
moment de la saisie des points de calage.

Nous ouvrons le fichier à caler :

Le message suivant apparait dans l’écran :

Il est utile de caler correctement l’image sur laquelle on va ensuite travailler, il faut donc
cliquer sur le bouton «décaler» pour entrer les points de calage de l’image raster.

La boite de dialogue suivante s’ouvre :


Avant de commencer le calage, il faut définir le système de projection en cliquant sur le
bouton « Projection… ».

 Nous ajustons l’unité de mesure en mètre :


Catégorie : Non terrestre,
Projection : Non terrestre (mètre)

 Nous définissons le système de


projection :
Catégorie : Universal
Transverse Mercator WGS84
Projection : UTM zone 31,
Northen hemisphere (WGS
84)
Nous saisissons le premier point de calage :

Nous cliquons sur le


bouton « Nouveau » et
nous plaçons le point de calage.
Les icones + et – nous permettent d’agrandir ou de diminuer le zoom de la carte. Le zoom se
fait sur le point centrale de la vue afficher dans la fenetre. Les ascenseurs en bas et à droite de
la fenetre, nous permettent de nous déplacer dans la fenetre
Les coordonnées des quatre points de calage sont fournies pour effectuer cette opération.

Point de calage X(m) Y(m)


1 612000 4067000
2 612000 4054000
3 622000 4054000
4 622000 4067000
Nous entrons les coordonnées de longitude (X) et latitude (Y) du point numéro 1 « Pt1 » et
nous validons sur OK.

 Nous entrons les coordonnées des autres points de calage 2, 2 et 4. (Il n’est pas nécessaire
de saisir plus de points car le logiciel Mapinfo ne gère pas bien les moindres carrés. Avec
quatre points saisis nous pouvons estimer l’erreur commise lors de la saisie.
 Une fois les quatre points saisis, il faut vérifier l’erreur en pixels donnée pour chaque
point. Dans ce cas, l’erreur doit être inférieure à 10.
Cette information est importante à retenir pour la précision que l’on va saisir à partir de
l’image calée.

5.2. Deuxième étape  : construction de la table bassin versant

Les bassins versant est délimité suivant les lignes de crêtes sur les cartes topographiques a
l’échelle 1/25000, c’est l’unité de base pour la détermination du bilan hydrologique, il est
défini comme la surface parcourue par un cours d’eau et ses affluents.

Pour délimitée le bassin versant :

 Carte –contrôle des couche –en sélectionne le crayon pour pouvoir délimité notre bassin
versant.
 On utilise l’outil de dessin polygone et en délimite notre bassin versant en suivant les
hauteurs de chaque courbe de niveau.

On aura la figure si dessous :

 Une fois le bassin versant délimitée : carte – on enregistre la couche de


dessin sous le nom de bassin versant.

Grandeur physique du bassin versant : La surface du bassin est obtenu en


réalisons un double clique avec la souris
Gradeur physique Valeur numérique
Périmètre 3,243 KM
Surface 0,7639 sqkm

5.3 Troisième étape : Construction de la table chevelue

Coche le crayon de la couche de dessin. puis en utilisons


l’outils (poly line), on trace les chevelues primaire
puis secondaire puis trisiére.
.

Table chevelu primaire :

 Une fois l’étape de dessin terminé ouvrir carte – puis enregistré la couche de dessin en
nome la couche (chevelu1), puis en refait la même étape pour tracer les chevelues
secondaire et tertiaire .

 Cree une nouvelle table la nommé (talweg) est faire l’assemblage des couches :
chevelu1, chevlue2, chevelu3 en faisons édition copier dans la couche talweg ,enregistre
 la table et en aura la figure ci-dessous :

5.4 Quatrième étape : Construction de la table courbe de niveau 

Aller dans barre d’outils map-info choisir l’outils polygone puis tracer la surface
comprise entre la première courbe de niveau et la digue qui correspond au altitude (160-170)
en enregistre la couche de dessin sous le nom de courbe NIv160-170,on répète les opérations
pour les autre surface jusqu'à atteindre la courbe 210-228 en ouvre une table sous le nom de
digue et courbe et en colle toute les courbe et la digues en utilisions édition copier édition
coller en enregistre .

En ouvre la carte caller et la table digue et courbe :


5.5 Cinquième étape : réalisation d’une jointure
La jointure consiste a crée un fichier Excel puis l’introduire dans le map-info, pour notre cas il
nous ait demandé de déterminer les surfaces des courbes de niveau qui en été pré défini si
dessus.

 Ouvrir une feuille dans le classeur Excel et on introduit les courbe de niveau délimiter
lors de l’étape précédente, le tableau va comporter les surface, surface partielle,
périmètre.

Le tableau une fois réaliser aura la forme suivante :


 Enregistre le classeur Excel sous classeur EXCEL97-2003 pour qu’il puisse être lue par
le logiciel MAP-INFO.
 On utilise l’outil pour identifier les surface des courbes de niveau de 1jusqu’a7 la
numérotation doit correspondre a celle réaliser sur l’Excel. Pour crée des point commun
entre l’Excel et le map info se qui nous permuteras de crée la jointure.

 En ouvre la table du fichier XLS sur MAP INFO, comme suite et en règle les
informations Excel comme suite :
 Une fois le tableau Excel rapporter sur MAP INFO en va vers table-gestion table puis en
modifie la structure de la table comme suite :

 Puis aller vers table –mettre a jour colonne faire la jointure entre le tableau Excel et les
identifiant de chaque couche a la fin de cette étapes en aura le tableau des valeur des
surface périmètre surface partielle.
Résultats de la jointure sur map-info :

5.6 .Etape final :Analyse thématique et mise en page :

Cree la carte final ayant pour thématique la répartition des humidité suivant les differente
altitude qui surplombent la digue. ( la carte thématique est jointe en annexe )

Les étapes sont définis comme suit :


Mise en page et configuration de l’impression :
Calcul des Caractéristiques morpho métriques du bassin versant 

6.1 Surface et périmètre:

L’étude physique a eu pour but  la détermination des caractéristiques géométriques du bassin


versant. Ce dernier a été délimité à l’aide des courbes de niveaux :

altitude (m) surface(m²) surface cum(m) surface cum(%)

210 312096 312096 55.64837337

200 35557.1 347653.1 61.98839304

190 54297.6 401950.7 71.66994332

180 54353.9 456304.6 81.3615322

170 56026.6 512331.2 91.35137236

160 34665.5 546996.7 97.53241501

150 13839.1 560835.8 100

Totale 560835.8

 La surface totale est de : 0.5608358 km²


 Le périmètre est de : 3,21km

6.2La forme :
Elle est caractérisée par l'indice de compacité de Gravelius donné par la formule :

Avec :
K G :indice de compacité de Gravélius
A : surface du bassin versant (km²)
P : périmètre du bassin versant (km)
3.21
KG= ≈1.2
2 √ π∗0.5608385

Le coefficient KG de Gravelius est :

 1.0< K G < 1.15⇒≤bassin a une forme ramassée .


 K G ≈ 1.2⇒≤bassinest de type peuplier ou couloir .

6.3 Le rectangle équivalent :

Le bassin versant peut être assimilé à une surface rectangulaire de même superficie. Ses dimensions
équivalentes (longueur L et largeur l) ont été déterminées à l'aide de la formule suivante :

K G∗√ A 1.12 2
l=
1.12 √
[1− 1−
( )
KG
]

2
l=
1.20∗√0.5608385
1.12 [ √
1− 1−
1.12
1.20 ( )]
l=0.514

A 0.5608
⇒ L= =
l 0.514

L=1.09 km

6.4Courbe hypsométrique :
Elle caractérise la répartition de l’altitude en fonction de la surface du bassin versant exprimée
en pourcentage. La courbe hypsométrique du bassin versant est présentée sur le  graphique ci-
dessous :
240
230
220
210

Altitudes (m)
200
190
180
170
160
150
140
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100
surfaces cumulées (%)

A partir de cette courbe, les altitudes suivantes ont été déterminées :

 L'altitude maximum de 210m correspondant au sommet du bassin versant.


 L'altitude minimale (exutoire) de 150 m.
 L’altitude à 5% de surface cumulée est de 0m.
 L’altitude à 95% de surface cumulée est de 163m.

6.5Indice de pente global :

Il a été déterminé par la formule suivante :

D Z 5 % −Z 95 %
I g= =
L L

Avec :

D : Dénivelée Z a %−Z b %définie sur la courbe hypsométrique entre 5% et 95%ou à l'œil


sur la carte topographique.

L : Longueur du rectangle équivalent.

0−163
I g=
1090

I g=−0.15

⇒Les reliefs de ce bassin sont très faibles.


6. modélisation numérique du terrain.
6.1. Un Modèle numérique de terrain (MNT) correspond à une
représentation sous forme numérique du relief d'une zone géographique. Ce
modèle peut être composé d'entités vectorielles ponctuelles (points côtés),
linéaires (courbes de niveau), surfaciques (facettes) ou représenté en mode
raster.

Un MNT permet :

 de reconstituer une vue en images de synthèse du terrain.


 de déterminer une trajectoire de survol du terrain.
 de calculer des surfaces ou des volumes.
 de tracer des profils topographiques.
 d'une manière générale, de manipuler de façon quantitative le terrain étudié.

6.2. La construction du model numérique du terrain :

il existe différentes méthodes pour recueillir le lever topographique qui servira de base a la
création du modèle numérique du terrain par interférométrie radar, par stéréoscopie à partir de
couples d'images aériennes (photogrammétrie) ou prises par satellite, par saisie directe des
coordonnées (x, y, z) des points du terrain, mesurées par triangulation (géomètres) ou
lasergrammétrie (technique permettant de capturer les coordonnées d'un point en x, y, z au
moyen d'un laser), par système laser aéroporté (LIDAR).ce pendant dans notre cas on utilisera
la méthodes de numérisation des courbe de niveau

 Logiciel de modélisation numérique :

Il existe actuellement un ensemble de programmes informatiques qui permettent de


développer des modèles numériques de terrain, parmi ces derniers le programme surfer .

 Le logiciel Surfer :

Conçu par Golden Software, nous permet de réaliser des Modèles Numériques de Terrain
(MNT) issus des données quand aura récoltées sur le Terrain via De GPS ou bien en ce basant
sur une carte déjà préétablie. le logiciel permet de créer des Grilles qui vont interpoler les
données irrégulières de nos points x, y, z afin de les ordonnées.

1) Etape 1 : La première étape consiste a générer un lever topographique en se basant sur la
carte préalablement callé et les courbe de niveau préalablement mise en évidence, on
insert les point dont on veux connaitre les coordonnées suivant la courbe de niveau puis il
suffit d’afficher l’information et on extrait les coordonnes planimétrique x et y pour les
altitudes (z) elles sont directement lu sur la courbe de niveau.

X Y Z

2) Etape 2 importé le fichier Excel contenant le lever topographique


vers le logiciel surfur.
3) Etape 3 : affiché la carte numérique du contour ou bien 3D. On clic sur Map suivi de
contour map pour les courbes de niveaux.
4) Etape 4 générer le modèle numérique du terrain le mnt nous permettra au final de mettre
une image tridimensionnelle sur la carte du bassin versant et visualiser concrètement le
relief du bassin versant.
Conclusion

Les SIG sont utilisés dans plusieurs domaines incluant celui de la production et de
l’utilisation des statistiques. L’intégration des données de diverses sources et la visualisation
en relations causales, les avantages offerts par les SIG, contribuent à l’amélioration de la
qualité de l’analyse et la compréhension des ensembles des données et d’autres phénomènes
complexes.
La prise de décision est ainsi rendue plus facile et plus précise. La cartographie constitue un
outil fondamental dans la conduite du recensement set des enquêtes.
Les cartes sont devenues des outils importants pour le développement des politiques
effectives notamment dans la réduction de la pauvreté, la lutte contre les épidémies et la
sécheresse, dans l’évaluation de la vulnérabilité de la situation alimentaire dans les pays et
l’élaboration et la mise en œuvre des stratégies visant à atteindre les plus démunis de la
société.
Ainsi, beaucoup d’autorités devraient renforcer leurs capacités en SIG afin de faciliter
l’analyse basée sur les cartes.

Au vu des énormes potentialités offertes par les SIG en termes de collecte, d’analyse et de
diffusion des données, ces institutions devraient être encouragées dans leur mise en œuvre
et/ou l’intensification de leur utilisation. Ceci devrait être précédé par une analyse des besoins
des utilisateurs et une évaluation des logiciels et des équipements nécessaires à leur mise en
place.

L’utilisation des SIG est susceptible de contribuer à la mise en œuvre efficiente de


programmes tels que les recensements de la population et de l’habitat, les recensements
agricoles ainsi que les autres enquêtes telles quelles enquêtes sur la santé et la démographie.
Il est nécessaire que les responsables au plus haut niveau soient sensibilisés sur les avantages
potentiels de l’utilisation des SIG dans leurs opérations quotidiennes.

Le personnel impliqué dans les SIG devrait rester aux faits des nouvelles avancées dans le
domaine. Tout effort visant à établir un SIG dans un organisme devrait donc être accompagné
des fonds suffisants pour former de manière continue le personnel comme partie intégrante du
budget annuel d’opération, ainsi, la mise en œuvre et le suivi des politiques économiques et
sociales ciblées d’une part et du rôle que pourrait jouer cette nouvelle technologie dans la
diffusion ou l’accès à l’information statistique d’autre part.

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