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Faculté de la Construction
Réalisé par :
SADOUDI YANIS
ZEGGANE HOUCINE
Introduction :
Un SIG organise les informations géographiques sous forme de thèmes (Appelés aussi
couches, calques, plans,…). Chaque thème représente un ensemble de données similaires.
1.4. Entités géographique d’un SIG :
L’échelle est le rapport existant entre une longueur réelle et sa représentation sur la carte
(Rapport entre les dimensions ou distances marquées sur un plan avec les dimensions ou
distances réelles). Avec les SIG, on parle plutôt d’échelle d’utilisation, c’est-à-dire le radio
entre l’échelle à laquelle la donnée a été numérisée et les limites de son exploitation.
Un SIG permet de représenter des informations à n’importe quelle échelle, cependant la
précision des données spatiales impose le type d’entité à utiliser et l’échelle à laquelle on peut
les représenter.
2.Mapinfo :
2.1. Définition et utilité de Mapinfo :
Les tables Mapinfo permettent d’exploiter des données provenant de source diverses, on peut
afficher, interroger et analysée les informations des tables.
Si une table contient des coordonnées géographiques ou cartographiques on peut afficher ces
points sur une fenêtre carte pour mettre en évidence la situation géographique de ces données
étudiées.
Une table Mapinfo regroupe des entités géographiques après avoir établir des liens entre ces
entités et leurs attributs :
C’est quoi les entités ?
C’est quoi les attributs ?
Les entités sont des objets géographiques (montagne, rivière, bâtiment….) représenté sur des
cartes, et tous ces objets ont une position géographiques, une forme et un symbole
(coordonné).
Les attributs : le système S I G stocke dans une base de donnée les informations
alphanumériques décrivant les entités et associe ces informations aux entités correspondant.
a. Table attributaire
La table attributaire d'un raster peut contenir plusieurs champs (créés par l'utilisateur) et peut
être modifiée dans ArcMap (Ajout/Suppression de champs, Calculatrice, …). Les tables
attributaires de raster supportent complètement les mécanismes de jointure d'ArcGIS et
peuvent être utilisées en entrée de toutes les commandes de géo-traitement acceptant des
tables.
La table attributaire d'une couche raster contient autant d'enregistrement qu'il y a de valeurs
uniques dans l'image. Chaque enregistrement de la table attributaire est associé à l'ensemble
des pixels de l'image ayant la même valeur
b. Tables de donnés
Une table de donné est la représentation graphiques des données alphanumériques, elle
contient des informations sous forme des lignes et des colonnes, chaque ligne définie un
membre de groupe représenté et chaque colonne définit une seule caractéristique (ou attribut).
3. Le mode raster :
3.1. Définition
Ce mode correspond à une division régulière de l'espace sous forme de cellules ou mailles
généralement carrées appelées pixels, qui définissent la précision minimale de la structure.
Les pixels sont par exemple, les centaines de milliers de points lumineux et colorés qui
composent votre écran d'ordinateur. Le mode raster s'applique aux traitements d'images
(satellitaires, photos aériennes). On appelle résolution la taille du pixel : (un pixel équivaut à x
mètres sur le terrain)
a. Photo aérienne :
La photo est la base de nombreuses données géographiques. A partir d’appareil photo ou de
caméra aéroportée (avion, ballon, ...) il est possible d’avoir de nombreux détails de la surface
de la terre. Elle peut être :
Scannée,
Numérique (directement intégrable sur un disque dur),
Ortho rectifiée (corrigée des déformations d’échelle dues aux différentes altitudes, à
l’assiette de l’avion. Le résultat sera une ortho aérienne dépend de la dimension du plus
petit détail visible (notion de résolution).
La précision de la photo aérienne dépend de la dimension du plus petit détail visible
b. carte scannée :
C’est la représentation d’une information déjà interprétée. Ceci montre ses limites. Par contre,
la carte scannée est un bon référentiel visuel car elle est souvent issue de carte papier destinée
au grand public (carte au 25000 ° de l’INCT, plan cadastral, carte routière).
c. Image satellite
Image issue de capteurs embarqués dans des satellites d’observation placés sur des orbites de
500 à 36000 km d’altitude. L’image représente le rayonnement solaire réfléchi par les objets
au sol dans le domaine visible ou proche infra-rouge. Elle doit subir plusieurs traitements
radio métriques et géométriques avant d'être utilisable dans un SIG.
Il existe plusieurs formats de fichier pouvant contenir des images raster,MapInfo peut lire les
formats suivants : JPEG, GIF, TIFF, PCX, BMP, TGA , BIL .
4. Avantages et Inconvénients du raster
Facilité d'utilisation : données sont sous forme de tableau. Par rapport au mode vecteur, la
dimension thématique est donnée par des valeurs numériques de la grille et la dimension
spatiale est déduite par la position relative du pixel dans la grille.
Le croisement des données est facile à réaliser : toutes les grandeurs sont ramenées à la
même unité de base (le pixel).
Il se prête bien à certains types de traitements numériques car chaque pixel contient une
valeur numérique (ex : classification supervisée). Cette valeur est stockée dans un canal
(raster monocanal) ou plusieurs canaux (raster multi-canal), chacun d'eux représentant une
Info distincte. Le canal est au raster ce que l'attribut est au vecteur.
5. mini projet :
L’objet de notre mini projet consiste à réaliser une carte thématique d’un bassin versant sur le
Mapp-info, a travers ce compte rendu on va expliquer les étapes essentielles qui nous ont
permis d’aboutir aux résultats.
Mapinfo permet de travailler facilement avec des images raster. Les formats lus par le logiciel
sont les suivants :
JPEG, GIF, TIFF
PCX, BMP, TGA, BIL
MrSID
«Caler » une image raster signifie entrer des coordonnées géographiques dans une projection
définie et indiquer quels points de l’image correspondent à ces coordonnées.
Il est indispensable de caler chaque image raster avant de l’utiliser dans la base de données
surtout si on utilise l’image avec des données vectorielles. Les informations de calage sont
stockées dans le « fichier .tab »
Il est également conseiller d’utilise quatre points de calage afin d’évaluer l’erreur commise au
moment de la saisie des points de calage.
Il est utile de caler correctement l’image sur laquelle on va ensuite travailler, il faut donc
cliquer sur le bouton «décaler» pour entrer les points de calage de l’image raster.
Nous entrons les coordonnées des autres points de calage 2, 2 et 4. (Il n’est pas nécessaire
de saisir plus de points car le logiciel Mapinfo ne gère pas bien les moindres carrés. Avec
quatre points saisis nous pouvons estimer l’erreur commise lors de la saisie.
Une fois les quatre points saisis, il faut vérifier l’erreur en pixels donnée pour chaque
point. Dans ce cas, l’erreur doit être inférieure à 10.
Cette information est importante à retenir pour la précision que l’on va saisir à partir de
l’image calée.
Les bassins versant est délimité suivant les lignes de crêtes sur les cartes topographiques a
l’échelle 1/25000, c’est l’unité de base pour la détermination du bilan hydrologique, il est
défini comme la surface parcourue par un cours d’eau et ses affluents.
Carte –contrôle des couche –en sélectionne le crayon pour pouvoir délimité notre bassin
versant.
On utilise l’outil de dessin polygone et en délimite notre bassin versant en suivant les
hauteurs de chaque courbe de niveau.
Une fois l’étape de dessin terminé ouvrir carte – puis enregistré la couche de dessin en
nome la couche (chevelu1), puis en refait la même étape pour tracer les chevelues
secondaire et tertiaire .
Cree une nouvelle table la nommé (talweg) est faire l’assemblage des couches :
chevelu1, chevlue2, chevelu3 en faisons édition copier dans la couche talweg ,enregistre
la table et en aura la figure ci-dessous :
Aller dans barre d’outils map-info choisir l’outils polygone puis tracer la surface
comprise entre la première courbe de niveau et la digue qui correspond au altitude (160-170)
en enregistre la couche de dessin sous le nom de courbe NIv160-170,on répète les opérations
pour les autre surface jusqu'à atteindre la courbe 210-228 en ouvre une table sous le nom de
digue et courbe et en colle toute les courbe et la digues en utilisions édition copier édition
coller en enregistre .
Ouvrir une feuille dans le classeur Excel et on introduit les courbe de niveau délimiter
lors de l’étape précédente, le tableau va comporter les surface, surface partielle,
périmètre.
En ouvre la table du fichier XLS sur MAP INFO, comme suite et en règle les
informations Excel comme suite :
Une fois le tableau Excel rapporter sur MAP INFO en va vers table-gestion table puis en
modifie la structure de la table comme suite :
Puis aller vers table –mettre a jour colonne faire la jointure entre le tableau Excel et les
identifiant de chaque couche a la fin de cette étapes en aura le tableau des valeur des
surface périmètre surface partielle.
Résultats de la jointure sur map-info :
Cree la carte final ayant pour thématique la répartition des humidité suivant les differente
altitude qui surplombent la digue. ( la carte thématique est jointe en annexe )
Totale 560835.8
6.2La forme :
Elle est caractérisée par l'indice de compacité de Gravelius donné par la formule :
Avec :
K G :indice de compacité de Gravélius
A : surface du bassin versant (km²)
P : périmètre du bassin versant (km)
3.21
KG= ≈1.2
2 √ π∗0.5608385
Le bassin versant peut être assimilé à une surface rectangulaire de même superficie. Ses dimensions
équivalentes (longueur L et largeur l) ont été déterminées à l'aide de la formule suivante :
K G∗√ A 1.12 2
l=
1.12 √
[1− 1−
( )
KG
]
2
l=
1.20∗√0.5608385
1.12 [ √
1− 1−
1.12
1.20 ( )]
l=0.514
A 0.5608
⇒ L= =
l 0.514
L=1.09 km
6.4Courbe hypsométrique :
Elle caractérise la répartition de l’altitude en fonction de la surface du bassin versant exprimée
en pourcentage. La courbe hypsométrique du bassin versant est présentée sur le graphique ci-
dessous :
240
230
220
210
Altitudes (m)
200
190
180
170
160
150
140
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100
surfaces cumulées (%)
D Z 5 % −Z 95 %
I g= =
L L
Avec :
0−163
I g=
1090
I g=−0.15
Un MNT permet :
il existe différentes méthodes pour recueillir le lever topographique qui servira de base a la
création du modèle numérique du terrain par interférométrie radar, par stéréoscopie à partir de
couples d'images aériennes (photogrammétrie) ou prises par satellite, par saisie directe des
coordonnées (x, y, z) des points du terrain, mesurées par triangulation (géomètres) ou
lasergrammétrie (technique permettant de capturer les coordonnées d'un point en x, y, z au
moyen d'un laser), par système laser aéroporté (LIDAR).ce pendant dans notre cas on utilisera
la méthodes de numérisation des courbe de niveau
Le logiciel Surfer :
Conçu par Golden Software, nous permet de réaliser des Modèles Numériques de Terrain
(MNT) issus des données quand aura récoltées sur le Terrain via De GPS ou bien en ce basant
sur une carte déjà préétablie. le logiciel permet de créer des Grilles qui vont interpoler les
données irrégulières de nos points x, y, z afin de les ordonnées.
1) Etape 1 : La première étape consiste a générer un lever topographique en se basant sur la
carte préalablement callé et les courbe de niveau préalablement mise en évidence, on
insert les point dont on veux connaitre les coordonnées suivant la courbe de niveau puis il
suffit d’afficher l’information et on extrait les coordonnes planimétrique x et y pour les
altitudes (z) elles sont directement lu sur la courbe de niveau.
X Y Z
Les SIG sont utilisés dans plusieurs domaines incluant celui de la production et de
l’utilisation des statistiques. L’intégration des données de diverses sources et la visualisation
en relations causales, les avantages offerts par les SIG, contribuent à l’amélioration de la
qualité de l’analyse et la compréhension des ensembles des données et d’autres phénomènes
complexes.
La prise de décision est ainsi rendue plus facile et plus précise. La cartographie constitue un
outil fondamental dans la conduite du recensement set des enquêtes.
Les cartes sont devenues des outils importants pour le développement des politiques
effectives notamment dans la réduction de la pauvreté, la lutte contre les épidémies et la
sécheresse, dans l’évaluation de la vulnérabilité de la situation alimentaire dans les pays et
l’élaboration et la mise en œuvre des stratégies visant à atteindre les plus démunis de la
société.
Ainsi, beaucoup d’autorités devraient renforcer leurs capacités en SIG afin de faciliter
l’analyse basée sur les cartes.
Au vu des énormes potentialités offertes par les SIG en termes de collecte, d’analyse et de
diffusion des données, ces institutions devraient être encouragées dans leur mise en œuvre
et/ou l’intensification de leur utilisation. Ceci devrait être précédé par une analyse des besoins
des utilisateurs et une évaluation des logiciels et des équipements nécessaires à leur mise en
place.
Le personnel impliqué dans les SIG devrait rester aux faits des nouvelles avancées dans le
domaine. Tout effort visant à établir un SIG dans un organisme devrait donc être accompagné
des fonds suffisants pour former de manière continue le personnel comme partie intégrante du
budget annuel d’opération, ainsi, la mise en œuvre et le suivi des politiques économiques et
sociales ciblées d’une part et du rôle que pourrait jouer cette nouvelle technologie dans la
diffusion ou l’accès à l’information statistique d’autre part.