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SUPPORT DE COURS
Informatique Appliquée
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I. HISTORIQUE
L'utilisation des ordinateurs repose sur le principe que tout calcul compliqué peut être
décomposé en une suite d'opérations plus simples, susceptibles d'être exécutées
automatiquement.
- 1500 av. J.C. ( ?) : le boulier. Il est toujours utilisé dans certains pays.
- en 1937 : le Mark I d'IBM : il permet de calculer 5 fois plus vite que l'homme. Il est
constitué de 3300 engrenages, 1400 commutateurs et 800 km de fil électrique. Les
engrenages seront remplacés en 1947 par des composants électroniques.
- en 1943 : Colossus I : Composé de 1500 lampes et d'un lecteur de bandes capable de lire
5000 caractères à la seconde, ce calculateur électronique anglais a été conçu pour décoder
des messages chiffrés.
- en 1958 : mise au point du circuit intégré, qui permet de réduire encore la taille et le
coût des ordinateurs.
Cet ordinateur qui n'apporte aucune idée révolutionnaire est la réaction du numéro un
mondial face à la micro-informatique. Le PC et ses clones (produits de copiage asiatiques)
vont rapidement devenir un standard. Les modèles récents sont adaptés au multimédia. Ils
sont de moins en moins coûteux.
Non ! Ce n’est pas un rêve ! A l’université Georgia Tech d’Atlanta aux Etats-Unis, le
professeur William Ditto et son équipe ont entrepris de fabriquer des ordinateurs qui
réfléchissent par eux-mêmes !
Ils ont extrait des neurones de sangsues (facilement manipulables), les ont plongées dans
un bain nutritif, ont relié les neurones entre eux et les ont branchés sur une puce
électronique au silicium. Ensuite on les excite à l'aide de petites décharges électriques !
Les neurones font office de transmetteurs. Comme les neurones humains, ils sont
capables d’établir des connexions entre eux. La stimulation électrique revient à leur
donner des ordres.
Les chercheurs américains partent du principe que les ordinateurs actuels, même les plus
puissants, ne seront jamais aussi intelligents qu’un cerveau vivant. Il faut donc inventer des
ordinateurs capables de penser par eux-mêmes et plus seulement d’exécuter un
programme écrit par l’homme. Rassurez-vous, ces machines mi-animales mi-électroniques
n’attaqueront personne. C’est ce qu’affirme William Ditto. Mais cette expérimentation de
sangsues reliées à des puces ouvre la voie à une discipline nouvelle : la « bio-informatique ».
Au milieu des années 40 : « Moteurs de calcul » utilisant des relais mécaniques (temps de
cycles en secondes) remplacés ensuite par des tubes à vide ce qui donne des machines
énormes que l'on programmait en basculant des interrupteurs.
Les machines devaient être installées dans des locaux climatisés, programmées en FORTRAN
ou en assembleur via des cartes perforées que les programmeurs remettaient aux opérateurs.
Les opérateurs chargeaient les programmes dans l'ordinateur avec le compilateur si
nécessaire. Les résultats étaient imprimés puis remis aux programmeurs.
⇒ Ces manipulations engendraient des pertes de temps trop coû teuses vu l'importance
de l'investissement
Une machine Une machine moins onéreuse (IBM 1401) lisait les cartes (a) pour en recopier le
code sur une bande magnétique (b). Le gros calculateur lisait cette bande (c), exécutait les
jobs (d) puis transcrivait les résultats sur une autre bande (e) postposant ainsi l'impression
des résultats (impression off-lineensuite par un ordinateur plus léger (f).
Ceux qui comme le 7094 étaient orientés vers des tâ ches de calculs intensifs.
L'unité de donnée y est le mot.
Ceux à vocation plus commerciale dont l'unité de donnée est le caractère (IBM 1401) et
qui étaient utilisés par de gros organismes tels que les banques et les compagnies
d'assurances pour la gestion de bandes magnétiques et l'impression de données.
Le system 360 d'IBM, une série de machines compatibles au niveau logiciel (même
architecture et même jeu d'instructions) tentait de convenir aussi bien aux applications
scientifiques que commerciales.
Ces machines étaient les premières à utiliser les circuits intégrés permettant une baisse de
prix ; le succès fut immédiat.
Ce concept de « famille unique » a donné un SE devant être aussi efficace sur des petites
machines que les grosses, avec peu ou un très grand nombre de périphériques, pour des
applications commerciales ou scientifiques ⇒ SE énorme : Des millions de lignes d'assembleur
écrites par des milliers de programmeurs. Cela donne des milliers de bogues !
Problème ! Impossibilité de suivre le programme durant son exécution pour sa mise au point
⇒ Nécessité du temps partagé : plusieurs utilisateurs = Chacun dispose d'un terminal en ligne.
C'est aussi l'époque de la percée des mini-ordinateurs tels que le DEC PDP-1 en 1961.
Le PDP-1 possédait 4 k mots de 18 bits pour 120.000 $ (5% du prix d'un IBM 7094). D'autres
lui ont succédé jusqu'au PDP-11.
C'est sur un PDP-7 que Ken Thompson a commencé à écrire une version mono-utilisateur de
MULTICS qui a servi de base au système UNIX .
En 1987, Andrew TANENBAUM a développé le MINIX un petit clone de UNIX à des fins
pédagogiques. 24
Linus Torvald a fait une version de production : LINUX
Ingénieur Informatique M. N’GORAN Pacôme 08 19 70 58 / 46 08 81 43
Cours d’informatique Année Scolaire 2019-2020
NB. Les notes ce chapitre doivent beaucoup à cet excellent pédagogue qu'est Andrew
Tannebaum et dont voici le site personnel
Les circuits LSI Large Scale Integration ciruit contenant des milliers de transistors / mm² a
conduit à la fabrication de ce qu'on appelait les micro-ordinateurs. Ils n'étaient pas très
différents des PDP-11 sauf pour le prix ⇒ un individu peut posséder sa propre machine : le PC
= ordinateur personnel.
Gary Kildall, l'un des consultants d'Intel, a écrit un contrô leur de disquettes 8 pouces
pour ce processeur puis un système d'exploitation orienté disque appelé le CP/M
(Control Program for Microcomputer) .
Pensant que ce système avait peu d'avenir Intel a cédé les droits sur le CP/M à Kildall qui
fonda Digital Research pour développer et commercialiser le CP/M.
1977 Le CP/M est réécrit pour fonctionner sur de nombreuses plates-formes.
1981 IBM PC/XT - Processeur 8088 4,77 MHz - 640 Ko max
IBM se tourne vers Bill Gates pour l'OS que celui-ci rachète ( le DOS) à un petit
constructeur pour 50 000$ dit-on. Il engage ensuite Tim Paterson l'auteur du DOS pour
y apporter quelques modifications -> le MS-DOS 1.0 8 Ko de code
1983 MS-DOS 2.0 Les 24 Ko de code contiennent maintenant un interpréteur de commandes
et des fonctions inspirées de UNIX
Steve Jobs co-inventeur de l'Apple découvre l'interface graphique lors d'une visite chez
Xerox Parc. L'idée est exploitée pour donner le Lisa (trop chère) puis le Machintosh
d'Appel (succès)
1985 L'environnement d'exploitation Windows 1.0 est considéré comme un gadget.
C'est une sur-couche de MS-DOS, un interpréteur de commandes graphique
1986 IBM PC/AT Processeur 80286 - 8 MHz - 16 Mo
Le MS-DOS 3.0 fait 36 Ko de code. Le CP/M tombe dans l'oubli.
1987 Windows 2.0 ne fait toujours pas plus sérieux
1990 Sortie du 80386 qui est un processeur 32 bits
1990 Windows 3.1 et 3.11 = les premières versions réellement adoptées par les utilisateurs.
Ce ne sont qu'une interface, pas un OS. Le programme est du code 16 bits.
1993 Windows NT 3.1 est une version imaginé pour le monde professionnel (sécurité) et pour
mettre à profit les instructions 32 bits. Reçoit le n° de version 3.1 pour remplacer
Windows 3.1. Il réclamait malheureusement plus de mémoire et les applications 32 bits 24
2002 Windows XP
Cette version parvient enfin à rassembler tous les utilisateurs. Fondée sur Windows 2000
se décline en plusieurs versions : Familiale, Professionnelle, Server et Advanced Server
Nouvelle interface
Amélioration au niveau multimédia (pour le grand public)
Prise en charge de lecteurs DVD
Création de CD audio
Pour les images affichage de miniatures pour les répertoires + Diaporama
Lien plus étroit au WEB
Pare feu
Dossiers WEB
Activation des produits par Internet
Assistance à distance et d'autres « services WEB » ;
service en échec.
Windows Update apparait comme faisant partie du panneau de configuration et
non plus comme un logiciel en ligne.
Des fonctions de recherche plus développée grâ ce à l'indexation des fichiers
"Recherche pendant la frappe"
Windows 7 : Successeur réussi de Vista, dès son installation Windows 7 semble
2009 plus rapide et est donc perçu un produit plus performant. Cette version a aussi été
développée pour s'adapter plus facilement au WiFi.
I- PERIPHERIQUES D'ENTREE :
Rôle : Ils permettent d'entrer des données, des commandes et des programmes qui sont gérés
par l'unité de traitement. Exemples:
Pavé numérique,
Pavé alphanumérique,
Touches de fonction (F1, F2, ..., F12),
Touches de contrô les (ALT, ALTGR, CRTL, Shift, Echap...)
Touche de déplacement
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Rôle : Ils permettent de recevoir les résultats des données manipulées par l'ordinateur.
Exemples:
Il existe deux principales technologies d'écran: les écrans à tube cathodiques (CRT) et les
écrans plats (LCD,TFT)
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L'écran permet de visualiser les informations à travers la carte graphique. Il est composé d'un
ensemble des points appelés Pixels. L'ensemble de ces points forme une image, une lettre ou
un chiffre.
La dimension de leur diagonale qui est mesurée en pouces (15", 17", 19", 21" ...) [1 pouce=2.54 cm]
La résolution graphique exprimée en pixel par pouce. Elle est mesurée en fonction du
nombre des points affichés sur l'écran ainsi l'espace qui les sépare.
Le taux de rafraîchissement qui détermine la vitesse de renouvellement d'image exprimé en
Hertz "Hz" (avec 50 Hz on peut afficher 25 images).
La tête d'impression est formée d'une matrice de points (9 ou 24 aiguilles) qui frappe un
ruban en carbone déroulant pour former des caractères sur le papier.
Elle est caractérisée par :
faible vitesse, faible qualité d'impression, fait de bruit,... économique, prix raisonnable,
possibilité d'imprimer sur plusieurs papiers à la fois
Elle est caractérisée par : vitesse rapide, haute qualité d'impression, silencieuse et prix chère.
Haut-parleur
Vidéo projecteur
Table traçante
Rôle : Ils sont utilisés pour entrer des informations dans l'ordinateur ou d'en recevoir des
résultats. Ils permettent de transférer les informations d'une manière bidirectionnelle (dans
les deux sens).
Il est caractérisé par sa vitesse de transfert exprimée en bits par seconde (B/PS) 24
Lecteur de disquette
Disque dur
Graveur CD ou Graveur DVD
Flash disque
Ces sont des supports de stockage et d'enregistrements des informations d'une manière
permanente indépendamment de la mémoire centrale de l'ordinateur. Accessibles à
l'utilisateur en Lecture et É criture, capable de retenir les informations hors ou sous tension et
ont une grande capacité de stockage.
Remarque : L'unité de mesure de la mémoire c'est l'octet : 1 octet=8 bits
1) Disquette:
C'est un support magnétique permanent, souple, en plastique fin, recouvert d'une substance
capable de retenir les données sous forme de pulsions électromagnétiques. Sa capacité de
stockage est nettement moins importante que celle du disque dur.
Le type de disquette le plus connu est la disquette 3 pouces et ½ de taille 1.44Mo
1) Disque dur : Le disque dur est le support de stockage, destiné à stocker de gros
volumes d'informations. Il regroupe les données (textes, images, son, etc.) et les
logiciels qui les traitent. C'est un support magnétique constitué d'un ensemble des
disques superposés les uns sur les autres et liées par un axe central.
Un disque dur est caractérisé par :
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2) CD-ROM : Le CD-ROM (Compact Disk Read Only Memory) est un disque, en lecture
seulement, de douze centimètres de diamètre et a une très grande capacité de stockage
d'informations. En effet, il peut contenir jusqu'à 650 Mo de données (l'équivalent de
451 disquettes de 1,44 Mo).
Remarque : Pour stocker des données (textes, images, sons, séquences vidéo) sur un
CD, il faut disposer d'un enregistreur appelé Graveur et d'un CD-ROM vierge appelé
CD-R (R : Recordable , en français enregistrable).
Carte mémoire
Micro drive
Disque magnéto-optique (exemple minidisk)
Disquette Zip
Flash disk ou clé USB
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Les ports : Ce sont des circuits d'entrée ou de sortie de données servant à connecter les
périphériques à l'ordinateur. On trouve des ports séries et des ports parallèles :
a- Ports séries : Le transfert se fait dans une seule ligne, bit par bit (exp : connecteur clavier,
souris, modem)
-port USB (Universal Serial Bus) Plus rapide que le port série
b- Ports parallèles : Le transfert se fait sur un câ ble à plusieurs lignes en parallèles (exp :
connecteur imprimante, scanner)
Autre port:
Le port FIREWIRE : qu'on peut trouver sur certaines cartes mères, offre des caractéristiques
semblables à l'USB, en beaucoup plus performant : le bus FIREWIRE permet d'atteindre de 25
à 100 Mo par seconde ! Ses défauts sont que les périphériques qui se branchent sur ce type de
port sont rares (et chers).(2)
Processeurs pentium
Processeurs AMD
Processeurs PowerPC
Autres processeurs
Caractérisé par :
Sa marque ( intel 486, Intel pentium 4, Cyrix, AMD k6,celeron, Athlon 64,Pentium Dual Core...) 24
Logos processeur
1993 Pentium 3 100 000 60 à 233 MHz 32 bits/64 bits bus 100
1997 Pentium II 7 500 000 233 à 450 MHz 32 bits/64 bits bus 300
1999 Pentium III « !!! » 9 500 000 450 à 1400 MHz 32 bits/64 bits bus 510
2000 Pentium 4 42 000 000 1,3 à 3.8 GHz 32 bits/64 bits bus 1 700
2004 Pentium 4D « Prescott » 125 000 000 2.66 à 3.6 GHz 32 bits/64 bits bus 9 000
2006 Core 2TM Duo 291 000 000 2,4 GHz (E6600) 64 bits/64 bits bus 22 000
2007 Core 2TM Quad 2*291 000 000 3 GHz (Q6850) 64 bits/64 bits bus 2*22 000 (?)
2008 Core 2TM Duo (Penryn) 410 000 000 3,16 GHz (E8500) 64 bits/64 bits bus ~24 200
2008 Core 2TM Quad (Penryn) 2*410 000 000 3,2 GHz (QX9770) 64 bits/64 bits bus ~2*24 200
Unité Arithmétique et Logique (UAL) : Elle est chargée d'effectuer toutes les opérations
arithmétiques (+, -, /, *), logiques (ET, Ou, Non, ...) et comparaison.
Unité de Contrôle et de commande (UCC) : Elle est chargée de contrô ler et de commander
toutes les opérations effectuées par l'ordinateur, gère l'accès à la mémoire centrale et supervise la
circulation des informations entre les différentes parties de l'ordinateur.
Les signaux de commande sont des signaux électriques qui permettent au processeur de
communiquer avec le reste du système (le signal Read/Write - lecture/écriture - permet
notamment de signaler à la mémoire qu'il désire lire ou écrire une information.
Registres : Sont des zones mémoires de stockage temporaires, qui conserve les données, les
instructions, ainsi que les résultats des opérations qui sont en cours de traitement.
Caractérisé par :
Sa marque ( intel 486, Intel pentium 4, Cyrix, AMD k6,celeron, Athlon 64,Pentium Dual Core...) 24
Unité Arithmétique et Logique (UAL) : Elle est chargée d'effectuer toutes les opérations
arithmétiques (+, -, /, *), logiques (ET, Ou, Non, ...) et comparaison.
Unité de Contrôle et de commande (UCC) : Elle est chargée de contrô ler et de commander
toutes les opérations effectuées par l'ordinateur, gère l'accès à la mémoire centrale et
supervise la circulation des informations entre les différentes parties de l'ordinateur.
Les signaux de commande sont des signaux électriques qui permettent au processeur de
communiquer avec le reste du système (le signal Read/Write - lecture/écriture - permet
notamment de signaler à la mémoire qu'il désire lire ou écrire une information.
Registres : Sont des zones mémoires de stockage temporaires, qui conserve les données, les
instructions, ainsi que les résultats des opérations qui sont en cours de traitement.
La capacité des registres peut varier d'un à plusieurs octets. On trouve trois styles de
registres :
La mémoire centrale est constituée d'un ensemble de cases (Zone mémoire). Chaque case est
désignée d'une façon unique à l'aide d'une adresse et capable de stocker une information. On
distingue deux types de mémoires : ROM et RAM
Mémoire "morte",
Permanente (non volatile),
Fixé par le constructeur,
Réservée au fonctionnement de l'ordinateur,
Accessible en lecture seulement.
Mémoire "vive",
Volatile,
Manipulée par l'utilisateur,
Réservée aux données de l'utilisateur,
Accessible en lecture/écriture.
Remarque: Stock les informations pendant le temps de fonctionnement de l'ordinateur par contre
elle est détruite lorsqu'il est éteint. Contrairement à une mémoire de masse (disque dur...)
Pourquoi alors utiliser de la mémoire vive alors que les disques durs reviennent moins chers à
capacité égale ? La réponse est que la mémoire vive est extrêmement rapide par comparaison aux
périphériques de stockage de masse tels que le disque dur. Elle possède en effet un temps de
réponse de l'ordre de quelques dizaines de nanosecondes (environ 70 pour la DRAM, 60 pour la
RAM EDO, et 10 pour la SDRAM voire 6 ns sur les SDRam DDR) contre quelques millisecondes
pour le disque dur. La mémoire vive se présente sous la forme de barrettes qui se branchent sur les
connecteurs de la carte mère.
Exemples: SDRAM (Synchronous Dynamic RAM). On distingue la SDRAM 66, 100 et 133
(fréquence d'accès en MHz). Pour les machines de la génération Pentium II, Pentium III, Elle
comporte normalement 168 broches.
RDRAM (Rambus Dynamic RAM).utilisée pour les machines de génération Pentium III et Pentium 4.
DDR SDRAM (Double Data Rate Synchronous Dynamic RAM).On distingue les DDR PC1600,
PC2100, PC2700, PC3200 Le numéro représente la quantité théorique maximale de transfert
d'information en Mégaoctets par seconde (il faut multiplier par 8 pour obtenir cette vitesse en
Mégabits par seconde, un octet étant composé de 8 bits). Pour les machines de génération Pentium
III et Pentium 4. Elle comporte normalement 184 broches.
DDR2 SDRAM (Double Data Rate two SDRAM). On distingue les DDR2-400, DDR2-533, DDR2-
667, DDR2-800 et DDR2-1066. Le numéro (400, 533, ...) représente la fréquence de
fonctionnement. Ou en quantité de données théoriquement transportables (PC2-4200, PC2-5300,
etc. Pour les machines de génération Pentium 4 et plus. Elle comporte normalement 240 broches.
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DDR3 SDRAM (Double Data Rate three SDRAM). Il s'agit de la 3e génération de la technologie
DDR. Commercialisés à partir de l'année 2007 offrant des améliorations de performances tout en
diminuant la consommation électrique.(3)
Mémoire cache : La mémoire cache est une mémoire qui permet d'accélérer le fonctionnement du
micro-ordinateur en stockant sélectivement une partie des données les plus fréquemment utilisées.
Plus la mémoire cache est importante, plus le micro-ordinateur sera rapide en fonctionnement. On
retrouve ce genre de mémoire sur les microprocesseurs, sur les lecteurs CD-ROM, sur les cartes
contrôleurs du disque dur, etc.(4)
Exemple de fonctionnement:
C’est un type de mémoire alimentée par une pile dans laquelle sont stockées les
informations concernant les fonctions systèmes de l'ordinateur (Paramètres du Setup).
c- Les bus
Le bus est un système de communication interne qui permet de transmettre les informations traitées
entre le microprocesseur du micro-ordinateur et ses périphériques d'entrée-sortie. Il y a trois types
de bus:
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Les ports PCI, AGP et PCI Express, et les fréquences de bus associées : Une carte-mère comporte
un certain nombre de ports destinés à connecter différents périphériques. Voici les plus connus :
Le port PCI : Cadencé à 33 MHz et pouvant transporter 32 bit de données par cycle d'horloge (64
sur les systèmes 64 bit), le port PCI est encore utilisé dans les configurations les plus récentes. Il
n'est trop lent que pour les cartes graphiques, lesquelles utilisent un port encore plus rapide, le port
AGP ou le port PCI Express (encore plus rapide).
Voici différents débits du port PCI en fonction de sa fréquence et de la largeur du bus de données
(on prendra 1Mo = 1024 octets):
PCI cadencé à 33 MHz en 32 bit : 125 Mo/s maximum
PCI cadencé à 33 MHz en 64 bit : 250 Mo/s maximum
PCI cadencé à 66 MHz en 32 bit : 250 Mo/s maximum
PCI cadencé à 66 MHz en 64 bit : 500 Mo/s maximum
Le port AGP : Il a un bus plus rapide que le bus PCI (allant jusqu'à 64 bit et 66 MHz). Il existe en
différentes versions : AGP 1x (250 Mo par seconde), AGP 2x (500 Mo par seconde, il ne change
pas de fréquence mais exploite deux fronts mémoire au lieu d'un, un peu comme la DDR, AGP 4x
(1 Go par seconde, qui dédouble encore les données) puis l'AGP 8x (2 Go/s maximum) présent
maintenant dans toutes les cartes-mères supportant encore l'AGP (place est donnée au PCI Express
maintenant).
Le port PCI Express : allant de 250 Mo/s pour le PCI Express 1X, les débits de ce bus peuvent
monter à 4 Go/s en mode 16X. C'est le remplaçant des bus PCI et AGP (voir plus haut pour les
spécifications de vitesses).
Sont appelées aussi des cartes contrôleuses ou interfaces, nécessaires pour relier certains
périphériques à l'ordinateur.
Exemples:
Carte graphique
Carte son
Carte réseau
carte modem interne
Carte TV
Carte Satellite
Conclusion
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LES LOGICIELS
Un système d'exploitation est un logiciel (ensemble des programmes) de base qui assure la
communication entre le processeur, les périphériques et l'utilisateur. Il est tout le premier
programme que peut contenir un ordinateur. Il permet de gérer le matériel et les autres
logiciels.
Exemples: MS-DOS, Windows (95, 98,2000, XP, Vista, ... ), UNIX, LINUX ....
• On a divers types des systèmes d'exploitation: le plus utilisé aujourd'hui est Windows,mais
il existe d'autres commeMSDOS, Linux, Unix, ....
Les Texteurs : qui sont des logiciels de traitement de texte. Ils permettent de réaliser
des documents Word (.doc), des pages web (.html ou .xml), des documents imprimés
(.rtf), .... (Exemples: Word, Works, ...).
Les Tableurs: qui sont des logiciels de gestion des tableaux. Ils permettent de créer
des Classeurs Excel (.XLS), des pages web (.html ou .xml), .... (Exemples: Excel, Loutis, ...
).
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Les navigateurs: qui son des logiciels conçus pour consulter le World Wide Web,
l'ensemble des sites web, pour lire des pages web Techniquement. (Exemple: Internet
explorer, Mozilla Firefox, Opera... ).
Les lecteurs multimédia: qui sont des logiciels conçus pour lire les fichiers son ou
vidéos de types (.MP3, .RM, .RAM, .MPEG, .WAV, .A VI, ... ) Exemples: Real Player,
Windows Media Player, VLC multimédia, .....
Les logiciels de création des animations: permettent de créer des images animées
(.GIF),des jeux flashs(.SWF), des pages web animées (.HTM), .... Exemples: Flash,
Gimps, ...
Les logiciels de gestion des bases de données (SQL, ACCESS, ORACLE, ....).
Les démos, ou version de démonstration, concerne principalement les coû teuses solutions
professionnelles (mais aussi les jeux). Le but de ce type d'application est d'appâ ter gentiment
le client en lui fournissant juste un aperçu des capacités du logiciel car bon nombre de ses
fonctionnalités seront bridées. Ainsi, par exemple, avec la version démo du célèbre
Photoshop vous ne pourrez ni imprimer, ni sauvegarder, ni même faire du copier-coller.
Les logiciels regroupés sous cet intitulé sont totalement gratuits et fonctionnels. On parle de
freeware lorsque l'auteur d'un logiciel ne soumet pas son utilisation au paiement d'un droit.
Ce type d'application peut donc être librement installé, conservé, copié et même massivement
distribué (par exemple sur les CD joints aux magazines informatiques) dès lors qu'on ne
modifie pas le logiciel, et qu'on ne le sépare pas des documents qui l'accompagnent, entre
autres pour témoigner de la paternité de l'auteur et de l'éditeur.
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Toutes les catégories précédentes sont des logiciels dits "propriétaires" que le logiciel vale
100 Euros ou 0 Euro. Car, il existe une dernière catégorie de logiciels qui, portés par le succès
grandissant de Linux et des initiatives OpenSource, a le vent en poupe : il s'agit des logiciels
sous licence GPL (Global Public License) par exemple l'environnement GNU (celui-là même
qui a vu naître Linux). Retenez simplement que bien au-delà de la gratuité, la logique ici à
l'œuvre est celle de la liberté. Ces "logiciels libres" sont en effet distribués avec leur code
source (le langage de programmation qui a permis de les concevoir), de sorte qu'on pourra
non seulement les utiliser à loisir, mais aussi les modifier pour les adapter à ses besoins.
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Interface Word
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1ère méthode
Sélectionnez la zone à quadriller et cliquez à l’endroit indiqué par l’image.
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Vous pouvez également sélectionner d'autres cellules et ajouter un autre style de bordure ...
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2e méthode
Sélectionnez les cellules de votre choix, faites un clic droit et cliquez sur « Format de cellule ».
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3e méthode
Cliquez à l’endroit indiqué par le pointeur ...
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Cela vous permet de tracer des bordures à la main. C'est une solution intéressante pour les tableaux
aux formes inhabituelles.
Vous pouvez sélectionner une couleur et un style de trait pour tracer vos bordures (méthodes 1 et 3)
depuis le bouton « Bordures ».
Vous pouvez sélectionner une couleur et un style de trait pour tracer vos bordures (méthodes 1 et 3)
depuis le bouton « Bordures ».
Vous retrouverez les mêmes choix si vous tracez vos bordures depuis « Format de cellule ».
Couleur de fond
Nous avons vu à la première leçon comment changer la couleur de fond d'une cellule. Si vous
voulez plus de choix (dégradé de couleurs/textures), rendez-vous dans « Format de cellule », onglet
« Remplissage ».
La couleur ne vous plaît pas ? Dans ce cas, cliquez sur l'onglet « Mise en page » puis sur « Thèmes
» pour choisir un nouveau thème pour votre tableau (ou sur « Couleur » si vous ne voulez modifier
que les couleurs).
Fonction Excel : SI
Voici un exemple :
Au-dessous de « prix », nous souhaitons afficher 21 € -pour les enfants (-16 ans) et 32 €
pour les autres.
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Afin de simplifier la suite des évènements, nous allons d’abord renommer les cellules C11 et C12.
Pour ce faire, cliquez sur C11 (voir image), inscrivez « adulte » et appuyez sur Entrer.
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Dans la case test logique, nous allons nous demander si l’âge est inférieur à 16 ans.
Si cela s’avère vrai, la fonction devra afficher le prix enfant et dans le cas contraire le prix adulte.
Le résultat s’affiche.
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Il s’agit donc d’ajouter un troisième prix dans la fonction SI (la cellule doit également être
renommée).
Nous démarrons alors de la même manière qu’auparavant, nous allons nous demander si l’âge est
inférieur à 16 ans. Si c’est la cas, il faudra afficher le prix enfant.
Cliquer maintenant dans la case « Valeur si faux » puis sur le SI en haut à gauche (voir image).
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Nous allons donc créer un nouveau test logique. Nous allons nous demander si l’âge est égal ou
supérieur à 60 ans. Si tel est le cas, la fonction affichera le prix retraité, si tel n’est pas le cas il
affichera le prix adulte.
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Il va s’en dire que si vous modifiez les prix (adulte, enfant, retraité) ou les âges, les cellules
contenant les fonctions s’adapterons automatiquement aux nouveaux âges et aux nouveaux prix.
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SYSTEME DE NUMERATION
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