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École Nationale Polytechnique d’Alger Électrotechnique générale

On a toujours, puisque V s  V s cos:


VsOC et V=OA  V= Vs-V= OC -OA= AC =AB-CB =2r c Jcos -2x c J|sin|
V=2r c Jcos2x c J|sin| pour récepteur capacitif

Remarque importante
On exprime le plus souvent la chute de tension en %. Celle-ci a pour expression V/V, V
étant la tension exigée par la charge (et non celle, réelle, délivrée par la source). Le calcul
se fait en supposant que la tension de service est nominale aux bornes du récepteur.
D’une manière générale, les variations de tension doivent se situer entre —2,5 à 5% de la
valeur nominale pour les circuits d’éclairage et jusqu’à 10% pour les circuits de
puissance. Aussi, la chute ne doit pas être supérieure à ces valeurs.
4) Rendement d’une ligne
Le rendement d’une ligne doit également être pris en considération pour éviter les pertes
inutiles. Ce rendement, dans le cas d’une ligne bifilaire (monophasée) s’exprime comme :
VJ cos 

VJ cos   2rc J 2
IV- Exercices résolus
Exercice1
Partie A
Un atelier est alimenté à partir d'un réseau monophasé de 380 V, par une ligne composée
de deux câbles. Chaque câble possède une résistance rc de 0,06  et une réactance xc de
0,08 .
L'atelier est constitué de:
 Un ensemble de machines consommant un courant total de 100 A avec un facteur de
puissance de 0,8 sous la tension de 380 V.
 Un ensemble de lampes pour l'éclairage consommant une puissance totale de 1400 W
pour une tension de 380 V (cos=1).

1) Etablir le bilan de puissances actives, réactives et apparentes de l'atelier. En déduire


le courant total absorbé ainsi que le facteur de puissance global de l'atelier.
2) Quelle est la tension que doit fournir le réseau afin de maintenir la tension à 380 V
aux bornes de l'atelier. En déduire la chute de tension occasionnée par la ligne. Est-elle
admissible si on désire avoir une chute en pourcentage inférieure à 6,5 %? Déterminer le
rendement de la ligne dans ces conditions. Conclusion.
Partie B
On décide de procéder à l'agrandissement de l'atelier. Pour cela, on place plusieurs
machines supplémentaires ainsi qu'un réseau de lampes pour l'éclairage. Les machines
absorbent une puissance de 19 kW avec un facteur de puissance de 0,8 sous 380 V,
tandis que les lampes consomment une puissance de 1 kW pour une tension de 380 V.
1) Etablir le nouveau bilan de puissance. La chute de tension est-elle admissible dans ce
cas? Que devient le rendement de la ligne ?

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2) Afin de réduire la chute de tension, le responsable de l'atelier est prié de relever son
facteur de puissance à 0,95. Quelle capacité doit-il placer pour obtenir ce résultat? Que
devient la chute de tension et le rendement dans ces conditions ? Donnez vos
conclusions.
Solution
Partie A
1) Etablissons le bilan des puissances :
 P1  380.100.0,8  30400W 
Machines  
Q1  380.100.0, 6  22800VAR  Pt  P1  P2  30400  1400  31800W
 
Lampes 
 P2  1400W  Q t  Q1  Q 2  22800VAR

Q2  0 
On en déduit la puissance apparente globale, le courant total absorbé ainsi que le facteur
de puissance :
S 39129 P
St  Pt 2  Q t 2  318002  228002  39129VA  J t  t   103A et cost  t  0,813
V 380 St
2) A partir des résultats précédents, on peut établir la chute de tension en utilisant la
formule approchée de Kapp :
V  2rJ t cost  2xJ t sint
On remplace par les valeurs calculées, sachant qu’on a cos  0,813  sin  0,582 :
V  2.0, 06.103.0,813  2.0, 08.103.0,582  19, 7V  Vs  V  V  380  19, 7  400V
On obtient donc une chute en pourcentage de :
V 19, 7
  5, 2%  6,5%
V 380
Cette chute est donc parfaitement admissible.
Le rendement dans ces conditions vaut :
Pt 31800
   96%
Pt  2rJ t 2
31800  2.0, 06.1032
Partie B
1) On établit le nouveau bilan des puissances, compte tenu de l’agrandissement de
l’atelier :
P 't  Pt  19000  1000  51800W  31800  19000  1000  51800W

Q 't  Q t  14250  37050VAR  22800  14250  37050VAR
On en déduit la puissance apparente globale, le courant total absorbé ainsi que le facteur
de puissance :
S't  P 't 2  Q 't 2  518002  37050 2  63686VA 
S't 63586 P'
J 't    167, 6A et cos 't  t  0,813
V 380 S't
La chute de tension en utilisant la formule approchée de Kapp devient:
V  2rJ 't cos 't  2xJ 't sin 't
Avec cos 't  0,813  sin 't  0,582

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V  2rJ t ' cos 't  2xJ t ' sin 't  2.0, 06.167, 6.0,813  2.0, 08.167, 6.0,582  32V 
Vs  V  V  380  32  412V
On obtient donc une chute en pourcentage de :
V 32
  8, 4%  6,5%
V 380
Cette chute est donc trop élevée et il peut y avoir des conséquences dans le
fonctionnement correct des différents récepteurs.
Le rendement dans ces conditions :
P 't 51800
   94%
P 't  2rJ 't 2
51800  2.0, 06.167, 62
On note également une baisse du rendement de la ligne. L’agrandissement de l’atelier
influe donc de façon notable sur la qualité de la distribution.
2) Etablissons de nouveau le bilan des puissances en imposant un facteur de puissance
de 0,95 et en gardant la même valeur de la puissance active puisque les capacités ne
fournissent que de la puissance réactive:
P ''t  P 't  51800W

Q ''t  P ''t tg ''t  51800tg(arc cos 0,95)  17026VAR
La valeur de la capacité à placer est donnée par la différence des deux puissances
réactives :
Qc 20024
Q c  Q ''t  Q 't  V 2 C  37050  17026  20024VAR  C    440µF
V  3802 2.50
2

La nouvelle puissance apparente globale et le courant total absorbé:


S''t 54526
S''t  P ''t 2  Q ''t 2  518002  170262  54526VA  J ''t    143,5A
V 380
La chute de tension devient:
V  2rJ ''t cos ''t  2xJ ''t sin ''t
Avec cos ''t  0,95  sin ''t  0,312
V  2rJ t '' cos ''t  2xJ 't ' sin ''t  2.0, 06.143,5.0,95  2.0, 08.143,5.0,312  23,5V 
Vs  V  V  380  23,5  403,5V
On obtient donc une chute en pourcentage de :
V 23,5
  6, 2%  6,5%
V 380
Ce qui est un bon résultat, et il reste à évaluer le rendement de la ligne dans ces
nouvelles conditions :
P ''t 51800
   95%
P ''t  2rJ ''t 2
51800  2.0, 06.143,52
Le rendement est donc aussi amélioré, ce qui était prévisible puisque l’apport capacitif a
réduit le courant de ligne global de l’atelier.
On voit l’intérêt de la compensation dans ces conditions.

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Exercice2
Une boulangerie industrielle est alimentée par un réseau 500
V, 50 Hz et comprend les récepteurs suivants :
 5 pétrins identiques entraînés chacun par un moteur dont
la plaque signalétique comporte les indications : 500V,
cos=0,7, P u =6,5kW, =0,8.
 Un four à résistances dont la tension nominale est de 500V
 5 capacités de 250F chacune et dont la tension nominale
est de 500V
 10 lampes à fluorescence, chaque lampe portant les
indications : 500W, 250V, cos=0,5 (selfique)
1) Montrer par un schéma clair le montage que l’on doit effectuer pour alimenter
correctement tous les récepteurs.
2) Quelle est la puissance du four si les mesures de V et J relevées aux bornes des
ampèremètre et voltmètre (voir figure) sont :
V= 500 V et J=278 A
3) Quelle est la chute de tension si on donne l’impédance de chaque câble
d’alimentation : z c  0,08  j0,1  . Commentaires.
4) Evaluer cette même chute si les capacités sont débranchées. Commentaires et
conclusions.
Solution
1) Le schéma est le suivant et il faut noter qu’il faut placer deux lampes en série pour leur
assurer le fonctionnement nominal sous peine de les griller :

2) La puissance apparente de l’ensemble des récepteurs peut être calculée puisque la


tension et le courant de ligne sont mesurés :

V  500V J t  278A  St  V.J t  500.278  139kVA


Le bilan total
Pt = Pf + Pp + Pc + P
  S t = Pt ² + Q t ²
Q t = Q f + Q p + Q c + Q 
Pétrins
6500
Pp = 5× = 40625W Q p = Pp tg(arccos0,7) = 41466Var
0, 8
Capacités
Qc  5   500   250 106 100    98175VAR
2
Pc  0

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Lampes
P = 10× 500 = 5000W Q  = P tg(arcos0, 5) = 8660VAR

La puissance du four se déduit des calculs précédents :


Pt = Pf + Pp + Pc + P = Pf + 40625  0  5000 = 45625 + Pf

Q t = Q f + Q p + Q c + Q  = 0  41466  98175  8660 = 48069VAR

S t = 139000 = 48069 2 +  45625 + Pf 


2

On obtient donc P f :
45625 + Pf = 139000 2  48069 2  Pf = 139000 2  48069 2  45625 = 84800W
3) Chute de tension
La formule de Kapp :
ΔV = 2 ×  0, 08× 278× cosφ t  0, 1× 278× sinφ t  (capacitif)
Les puissances P t et Q t :
Pt = 45625 + Pf = 45625 + 84800 = 130425W

Q t = 48069VAR
On en déduit :
P 130425
cosφ t = t = = 0, 938  sinφ t = +0, 346 (capacitif)
S t 139000
Et le chute de tension :
ΔV = 2 ×  0, 08× 278×0, 938  0, 1× 278×0, 346   22, 5V
ΔV
  4, 5% et Vs = V + ΔV = 522, 5V
V
4) Capacités débranchées
La puissance active reste inchangée mais le courant total est modifié puisque l’apport
capacitif est éliminé:
Pt' = 130425w = Pt 
  S't = P't ² + Q't ² = 139719VAR
Q t = 41446  8660 = 50106Var(selfique)
'

S' P' 130425


 J't = t = 279, 5A et cosφ't = t = = 0, 933  sinφ't = 0, 359
V S't 139719
On obtient :
ΔV = 2 ×  0, 08× 279, 5×0, 933 + 0, 1× 279, 5×0, 359 
ΔV
ΔV  61, 8V   12, 35% et Vs  562V
V
On note que la chute de tension est très importante alors que le courant n’a pas
beaucoup augmenté, ce qui montre l’influence de la nature de la charge (capacitive ou
selfique) dans la qualité d’une ligne de distribution.

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Exercice3
Une installation électrique est alimentée à partir d'un réseau monophasé de 220 V et
comprend les récepteurs suivants :

 3 lampes de 112 W chacune,


 une bobine dont l’impédance équivalente est ZB  66  j88    ,
 une capacité fournissant une puissance réactive de 152VAR.
 un moteur qui possède les caractéristiques : U=220 V, tg m =0,5 et  m =0,85 ;

On désire connaître les caractéristiques du moteur, pour cela on effectue deux mesures
au niveau de l’installation globale (voir schéma). On trouve :
I=25 A, U=220 V
1) Déterminer la puissance active absorbée par le moteur. En déduire la puissance utile
fournie par le moteur puis le facteur de puissance global de l’installation.
2) Quelle est la tension que doit fournir le réseau afin de maintenir la tension à 220 V
aux bornes de l'installation si la caractéristique de chaque câble d’alimentation est
donnée par : zC  0,35  j0, 75    . En déduire la chute de tension occasionnée par la
ligne (proposer deux méthodes puis comparer les résultats). Est-elle admissible si on
désire avoir une chute en pourcentage inférieure à 6 % ?

Solution
1) Etablissons le bilan des puissances :
 V 220
J B  Z   2A 
 B 66 2
 88 2

 PL  3.112  336W
Lampes  Bobines  PB  R B J B 2  66.22  264W
QL  0 
Q B   X B J B  88.2  352VAR
2 2



 Moteur toujours selfique donc :

 PC  0 Q
Capacités  Moteur  tgm  0, 5  tgm  0,5  M
 QC  152VAR  PM

 Q M  0, 5PM
Le bilan total :
PT  PL  PC  PB  PM  336  0  264  PM  600  PM

QT  Q L  QC  Q B  Q M  0  152  352  0,5PM  200  0,5PM

Chapitre2 Les puissances en monophasé Mme Dalila Sator-Namane 20


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On exprime la puissance apparente globale :


St  VJ t  220.25  5500VA
Et on a d’autre part :
 600  PM    200  0,5PM 
2 2
St  VJ t  Pt 2  Q t 2   5500VA
55002   600  PM    200  0,5PM 
2 2

On trouve :
PM  4359W et Q M  2179VAR
La puissance utile est égale à la puissance absorbée au rendement près, on a donc :
PU  PM  0,85.4359  3705W
Et le facteur de puissance global :
Pt 600  PM 600  4359
cos t     0,9
St 5500 5500
2) La chute de tension:
a) 1e méthode : Loi des mailles

VS  2zc Jt  V  2  rc  jx c  Jt  V
Prenons V comme étant l’origine des phases, on aura alors :
Jt  J t cos t  jJ t sin t  25.0,9  j25.0, 436  22,5  j10,9  A 
On a donc :
VS  2  0,35  j0, 75 22,5  j10,9   220  252  j26  V 
 VS  2522  262  253V
b) 2e méthode : Formule de Kapp

V  2rc J t cost  2x c J t sint


On remplace par les valeurs calculées :
V  2.0,35.25.0,9  2.0, 75.25.0, 436  32V  Vs  V  V  220  32  252V
On note que ce résultat est très proche de la valeur exacte calculée précédemment.
On obtient donc une chute en pourcentage de :
V 32
  14,5%  6%
V 220
Ce résultat est clairement inadmissible et il semble que le câble d’alimentation soit mal
dimensionné.
Exercice4
Reprendre le schéma de l’installation de l’exercice 3 : il s’agit cette fois d’un atelier
alimenté à partir d'un réseau monophasé de 200 V et qui comprend les récepteurs
suivants :
 4 lampes d’impédances 400 chacune,
 une bobine qui absorbe une puissance réactive de 400 VAR et une puissance active
de 100W.
 une capacité ayant pour valeur : C=(50/)µF,
 un moteur qui possède les caractéristiques : U=200 V, │tg m │=0,5 et  m =0,85

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On désire connaître les caractéristiques du moteur, pour cela on effectue deux mesures
au niveau de l’installation globale (voir schéma). On trouve :
I=25 A, U=200 V.
1) Déterminer la puissance active absorbée par le moteur. En déduire la puissance utile
fournie par le moteur puis le facteur de puissance global de l’installation.
2) Déterminer l’impédance équivalente Ž =R+jX de l’atelier ainsi que les courants Īb,
Īm, Ī et Īc de chaque récepteur. Vérifier que l’on a bien Īb+Īm+ Ī +Īc=25A.
3) On désire relever le facteur de puissance à 0,95. Proposer une solution pour arriver à
ce résultat.
Solution
1) Etablissons le bilan des puissances :
 V2 2002
 LP  4.  4.  400W  P  100W
Lampes  R L 400 Bobines  B
Q L  0 Q B  400VAR

 PC  0
 2 2
Capacités Q   V   V 50
 V 2 C  2002 106.2.50  200VAR
 C
XC  1  
  
  C 
 Moteur toujours selfique donc :

Q
Moteur  tgm  0,5  tgm  0,5  M
 PM

 Q M  0, 5PM

Le bilan total :
PT  PL  PC  PB  PM  400  0  100  PM  500  PM

QT  Q L  QC  Q B  Q M  0  200  400  0,5PM  200  0,5PM
On exprime la puissance apparente globale :
St  VJ t  200.25  5000VA
Et on a d’autre part :
 500  PM    200  0,5PM 
2 2
St  VJ t  Pt 2  Q t 2   5000VA
5000 2   500  PM    200  0,5PM 
2 2

On trouve :
PM  3992W et Q M  1996VAR
La puissance utile est égale à la puissance absorbée au rendement près, on a donc :
PU  PM  0,85.3992  3393, 2W
Et le facteur de puissance global :
Pt 500  PM 500  3992
cos t     0,9
St 5000 5000

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2) L’impédance équivalente Z  R  jX
PT  500  PM  500  3992  4492  RI 2
QT  200  Q M  200  1996  2196  XI 2
On en déduit :
PT 4492 Q 2196
R 2
 2
 7,2 et X   2T   3,5 
I 25 I 252
Z  R  jX  7,2  j3,5   
Les courants partiels :
 P 400
 J La  L   2A
Lampes V 200  J L =2  A 

 J Lr  0
 PB 100
 J Ba  V  200  0,5A
Bobines   J B  0,5  j2  A 
 J  Q B   400  2A
 Br V 200
 PC
 J Ca  V  0
Capacités   J C  j A 
 J  QC   200  1A
 Cr V 200
 PM 3992
 J Ma  V  200  20A
Moteur   J M  20  j10  A 
 J  Q M   1996  10A
 Mr V 200
On en déduit le courant total:
 J T  J L +J B +J C +J M =2+0,5  j2+j  20  j10  22,5  j11 A 
Et donc  J T  J L +J B +J C +J M = 22,52  112  25A
3) Etablissons de nouveau le bilan des puissances en imposant un facteur de puissance
de 0,95 et en gardant la même valeur de la puissance active puisque les capacités ne
fournissent que de la puissance réactive:
P 'T  PT  4492W

Q 'T  PT tg 't  4492tg(arc cos 0,95)  1476,5VAR
La valeur de la capacité à placer est donnée par la différence des deux puissances
réactives :
Qc 719,5
Q c  Q 'T  Q T  V 2 C  2196  1476,5  719,5VAR  C    57,3µF
V  2002 2.50
2

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