Sie sind auf Seite 1von 9

Les théories de l'architecture

C. L'Allemagne

Il nous reste encore à parler de l'esthétique de l'architecture et de ses représentants en Allemagne et


en Angleterre.

A l'époque de la Renaissance, nous ne trouvons en Allemagne aucun théoricien de l'architecture.


Tout ce que nous connaissons de cette époque c'est la traduction de l'oeuvre de Vitruve par le
célèbre peintre et graveur Durer (1471-1528).

L'esthétique de l'architecture en Allemagne fut, au début, cultivée par des philosophes comme une
partie de l'esthétique générale. Aujourd'hui encore, elle est annexée à un système esthétique, pour
figure dans les divisions ou classifications des arts. Mais, à côté de cette esthétique partielle de
l'architecture , nous trouvons en Allemagne, à partir du XIX siècle, une esthétique totale de cet art.
Dans ce pays classique de l'esthétique générale, l'esthétique de l'architecture compte ses meilleurs
représentants. C'est pourquoi la partie de notre ouvrage consacrée à l'Allemagne est la plus grande
et la plus importante.

Parmi les philosophes-esthéticiens de l'architecture, nous avons choisi : Kant (1724-1804),


Schopenhauer (1788-1860), Hegel (1770-1831) et Fr. Vischer (1807-1887). Le premier parce qu'il
est un des plus grands esthéticiens de tous les temps; le deuxième parce qu'il a donné la plus
complète théorie statique de l'architecture; le troisième à cause de la merveilleuse éstude de
l'architecture gothique et de l'architecture symbolique et, encore, parce qu'il est un des plus grands
représentants de l'esthétique idéaliste; le quatrième à cause de sa théorie de l'Einfuhlung, qu'il a
appliquée, le premier, à l'architecture.

Mais, pour justifier davantage notre choix des philosophes-esthéticiens de l'architecture et


compléter notre aperçu historique de cette esthétique à travers les époques et les pays, nous
exposerons ici les vues des principaux esthéticiens de ce groupe en Allemagne.

C. Alemanha

Falamos ainda sobre a estética da arquitectura e seus representantes na Alemanha e na Inglaterra.

Na época do Renascimento, não encontramos nenhum teórico da arquitetura na Alemanha.


Tudo o que sabemos sobre esse período é a tradução da obra de Vitrúvio do famoso pintor e
gravador Durer (1471-1528).

A estética da arquitetura na Alemanha foi inicialmente cultivada pelos filósofos como parte da
estética geral. Ainda hoje, está anexado a um sistema estético, para figurar nas divisões ou
classificações das artes. Mas além dessa estética parcial da arquitetura, encontramos na Alemanha, a
partir do século XIX, uma estética total dessa arte. Neste país clássico da estética geral, a estética da
arquitetura tem seus melhores representantes. É por isso que a parte de nosso trabalho dedicada à
Alemanha é a maior e a mais importante.

Entre os filósofos-estetas da arquitetura, escolhemos: Kant (1724-1804), Schopenhauer (1788-


1860), Hegel (1770-1831) e Fr. Vischer (1807-1887). O primeiro porque é um dos maiores
esteticistas de todos os tempos; o segundo porque deu a mais completa teoria estática da arquitetura;
o terceiro pelo estudo maravilhoso da arquitetura gótica e da arquitetura simbólica e, novamente,
porque ele é um dos maiores representantes da estética idealista; o quarto por causa de sua teoria de
Einfuhlung, que ele aplicou pela primeira vez à arquitetura.
Mas, para justificar ainda mais nossa escolha de filósofos e estetas da arquitetura e para completar
nosso panorama histórico dessa estética ao longo dos tempos e países, apresentaremos aqui as
visões dos principais estetas desse grupo na Alemanha.

Commençons par Schelling. Selon cet auteur "l'architecture est forme artistique inorganique de la
musique plastique". Schelling n'est pas de l'avis de ceux qui excluent l'architecture des beaux-arts,
en définnissant de bel art comme quelque chose d'absolu, n'ayant aucun but extérieur et ne
satisfaisant aucun besoin, commec'est le cas pour l'architecture. L'architecture ne peut être un art,
selon Schelling, qu'à condition que sa forme utile devienne une forme belle, une forme d'art, une
forme qui exprime l'absolu et fait oublier son but pratique. "L'architecture, dit-il, en tant qu'un des
Beaux-Arts, est en dehors de tout rapport avec le besoin." Seul, aménagé dans un but artistique.
L'architecture est, pour Schelling, "la musique dans l'espace", "la musique figée" ou "la musique
concrète". Il cite comme exemple le rythme des colonnes (Zeitdistanzen). Le point de vue de
Schelling est celui de l'esthétique idéaliste de contenu. "L'architecture, dit'il, est un art libre et un bel
art en tant qu'elle est l'expression des idées, en tant qu'elle est l'image de l'univers et de l'absolu." Il
affirme aussi que, taut que l'architecture est utile, elle ne peut pas être belle; elle ne deviendra un art
que lorsqu'elle transformera l'utilité et la réalité en apparence au moyen de l'imitation des formes
brutes de l'art de bâtir (rohe Baukunst). Il cite comme exemple les colonnes qui ont imité le tronc
des arbres; les colonnes, qui, au début, ont servi un besoin et que l'art a façonnées ensuite dans un
but purement artistique. Schelling se montre finaliste en disant que "l'architecture est un bel art en
tant qu'elle représente l'inorganique comme allégorie de l'organique. En d'autres termes
"l'architecture est, dit'il, une allégorie de l'art mécanique de bâtir".

Selon Solger, l'art de bâtir est un bel art en tant qu'il construit les maisons de Dieu et de l'État,
puisque celles-cine servent pas à un besoin comme les maisons destinnés à l'habitation de l'homme.
L'architecture employée dans un but de simple ornementation représente, selon Solger, une véritable
dégradation.

Vamos começar com Schelling. Segundo este autor "a arquitetura é uma forma artística inorgânica
de música plástica". Schelling discorda daqueles que excluem a arquitetura das belas-artes,
definindo as belas-artes como algo absoluto, sem finalidade externa e sem satisfazer nenhuma
necessidade, como é o caso da arquitetura. A arquitetura só pode ser uma arte, segundo Schelling, se
sua forma útil se tornar uma forma bela, uma forma de arte, uma forma que expressa o absoluto e
faz esquecer sua finalidade prática. "Arquitetura", diz ele, "como uma das Beaux-Arts, não tem
nada a ver com necessidade." Sozinha, arranjada para fins artísticos. Arquitetura é, para Schelling,
"música no espaço", "música congelada" ou "música concreta". Ele cita como exemplo o ritmo das
colunas (Zeitdistanzen). O ponto de vista de Schelling é o da estética idealista do conteúdo.
“Arquitetura”, diz ele, “é uma arte livre e uma bela arte na medida em que é a expressão de ideias,
como é a imagem do universo e do absoluto”. Ele também afirma que, assim como a arquitetura é
útil, não pode ser bela; só se tornará uma arte quando transformar a utilidade e aparentemente a
realidade por meio da imitação das formas brutas da arte de construir (rohe Baukunst). Ele cita
como exemplo as colunas que imitavam os troncos das árvores; as colunas, que a princípio serviram
a uma necessidade e que a arte posteriormente moldou com um propósito puramente artístico.
Schelling é um finalista dizendo que "a arquitetura é uma bela arte na medida em que representa o
inorgânico como uma alegoria do orgânico. Em outras palavras," a arquitetura é, diz ele, uma
alegoria do 'arte mecânica da construção'.

Segundo Solger, a arte de construir é uma bela arte na medida em que edifica as casas de Deus e do
Estado, já que estas não atendem a uma necessidade como as casas destinadas à habitação do
homem. A arquitetura utilizada para fins de ornamentação simples representa, segundo Solger, uma
verdadeira degradação.
Senon krause, tout est utile, que sert à un but extérieur, comme par exemple la cosmétique, la
rethórique, l'art philosophique, l'art des jardins, l'architecture, etc. L'architecture peut s'illustrer,
d'après lui, dans les monuments architecturaux tels que les monuments commémoratifs
(Denksteine, Denkgebaude, etc.), car ils servent à un but purement humain et élevé. Par conséquent,
l'architecture est, selon Krause un art esclave, car utilitaire. Krause confornd l'utile et le beau et
prétend que son nutzlich-schone (utile-beau) a le droit d'être un objet pour l'art. C'est ce qu'il entend
par "art utile".

Selon Trahndorf l'architecture estm d'une part, un art puisqu'elle représente, dans ses créations les
plus hautes (par exemple le temple grec), "l'idée pour l'idée" (ibid. p. 197). D'autre part,
l'architecture sertd'abri pour l'homme. Trahndorf considère cet art, somme toute, comme non-libre,
car il "se rapporte à la vie" (in die Beziehung auf das Leben), mais il le classe, néanmoins, parmi les
beaux-arts. Il soutient que l'architecture est un art simultané; c'est-à-dire qu'elle n'appartient pas au
temps (an und fur sich unzeitlich).

Selon Weisse, l'architecture est un art véritable; sa finalité n'est qu'accidentelle. Il distinque la belle
architecture de la "beauté ornementale" (verzierende Schonheit), qui s'applique aux bâtiments,
ustensile, bateaux, etc. Cette dernière, selon lui, n'est qu'un reflet de la première. Il soutient que la
beauté architecturale ne se trouve pas uniquement dans l'harmonie de ses rapports spatiaux, mais
aussi dans la lutte entre la pesanteur et les forces spirituelles que l'architecture s'efforce de vaincre.

Segundo krause, tudo é útil, que serve a um propósito externo, como por exemplo cosméticos,
retórica, arte filosófica, a arte dos jardins, arquitetura, etc. A arquitetura pode ser ilustrada, segundo
ele, em monumentos arquitetônicos como os memoriais (Denksteine, Denkgebaude, etc.), porque
servem a um propósito puramente humano e elevado. Consequentemente, segundo Krause, a
arquitetura é uma arte escrava, porque é utilitária. Krause confirma o útil e o belo e afirma que seu
nutzlich-schone (belo-útil) tem o direito de ser um objeto de arte. Isso é o que ele entende por "arte
útil".

Segundo Trahndorf, a arquitetura é, por um lado, uma arte, pois representa, em suas criações mais
elevadas (por exemplo, o templo grego), "a ideia da ideia" (ibid. P. 197). Por outro lado, a
arquitetura serve de abrigo ao homem. Trahndorf considera essa arte, afinal, não livre, porque "se
relaciona com a vida" (in die Beziehung auf das Leben), mas a classifica, no entanto, entre as belas-
artes. Ele afirma que a arquitetura é uma arte simultânea; isto é, não pertence ao tempo (an und fur
sich unzeitlich).

De acordo com Weisse, a arquitetura é uma arte real; seu propósito é apenas acidental. Ele distingue
a bela arquitetura da "beleza ornamental" (verzierende Schonheit), que se aplica a edifícios,
utensílios, barcos, etc. Este último, segundo ele, é apenas um reflexo do primeiro. Ele argumenta
que a beleza arquitetônica não é encontrada apenas na harmonia de suas relações espaciais, mas
também na luta entre a gravidade e as forças espirituais que a arquitetura se esforça para superar.

Selon Schleiermacher, l'architecture est le prototype de l'inorganique, tandis que la sculpture est le
prototype de la création organique. "Un édifice, dit-il, doit être considéré comme une
cristallisation"; mais construite par l'homme et non par la nature. Quant à l'analogie entre
l'architecture et l'art des jardins elle est la même, selon Schleiermacher, que celle entre la plastique
et la peinture. L'architecture monumentale, d'après lui, est celle que a un rapport quelconque avec la
vie commune et publique; elle n'appartient pas à une personne en propre, mais à des groupes, dont
les buts sont religieux, esthétiques ou sociaux. L'architecture ne devient libre qu'appliquée à un
monument éthique (social). Enfin, l'architecture et l'art des jardins sont des réalités et non pas des
images, des Scheine, des apparences.
Pour Deutinger, l'architecture s'explique, comme pour Schopenhauer, par la loi de la pesanteur.
"L'architecture, dit-il, est l'art dans lequel cette pesanteur est relativement vaincue et soumise à un
emploi." Mais Deutinger trouve que cette victoire de la pesanteur sur la matière constitue le but de
tout l'art de bâtir; celui-ci n'a donc rien de commun avec l'idée; car cette dernière s'oppse à tout but
particulier. Deutinger n'admet que l'architecture monumentale et son caractère symbolique. Il
renforce cette idée en affirmant que même l'art de bâtir peut devenir un art proprement dit, à
condition toujours qu'une simple demeure (Wohnung) acquière in caractère simbolique, etc. "Le
temple ou l'église devient, dit-il, une cristallisation due à un processus de la vie plastique". Puis,
Deutinger élève l'architecture jusqu'au trône de l'Eternel Infini (das Unendlich-Ewige) ; bien au-
dessus, par conséquent de son rôle de serviteur (Dienstbarkeit) dont le but serait, selon lui, hors-
esthétique (ausserasthetisch). Mais il retourne de nouveau à l'idée de Schopenhauer et voit, dans les
architecture hindoue, égyptienne et grecque, se développer le architecturales servent, en tout cas, à
un but qui n'est pas esthétique; ce but consiste, presque toujours, à envelopper de l'espace, soit de
côté, soit par en haut (la toiture), soit par en bas"...

Segundo Schleiermacher, a arquitetura é o protótipo do inorgânico, enquanto a escultura é o


protótipo da criação orgânica. “Um edifício, diz ele, deve ser considerado uma cristalização”; mas
construída pelo homem e não pela natureza. Quanto à analogia entre a arquitetura e a arte dos
jardins, é a mesma, segundo Schleiermacher, que entre o plástico e a pintura. Arquitetura
monumental, segundo ele, é aquela que tem alguma relação com a vida comum e pública; não
pertence a uma única pessoa, mas a grupos, cujos objetivos são religiosos, estéticos ou sociais. A
arquitetura se torna livre apenas quando aplicada a um monumento ético (social). Por fim, a
arquitetura e a arte dos jardins são realidades e não imagens, Scheines, aparências.

Para Deutinger, a arquitetura se explica, como para Schopenhauer, pela lei da gravidade.
"Arquitetura", disse ele, "é a arte na qual essa gravidade é relativamente superada e posta em uso."
Mas Deutinger descobre que essa vitória da gravidade sobre a matéria constitui o objetivo de toda a
arte da construção; o último, portanto, nada tem em comum com a ideia; porque o último se opõe a
qualquer objetivo particular. Deutinger só admite arquitetura monumental e seu caráter simbólico.
Ele reforça essa ideia ao afirmar que mesmo a arte de construir pode se tornar uma arte
propriamente dita, sempre com a condição de que uma simples habitação (Wohnung) adquira um
caráter simbólico, etc. “O templo ou a igreja se torna, diz ele, uma cristalização devido a um
processo de vida plástica”. Então, Deutinger eleva a arquitetura ao trono do Eterno Infinito (das
Unendlich-Ewige); bem acima, conseqüentemente, de seu papel de servo (Dienstbarkeit) cujo
objetivo seria, segundo ele, estético-externo (ausserasthetisch). Mas ele volta novamente à ideia de
Schopenhauer e vê, na arquitetura hindu, egípcia e grega, desenvolver o serviço arquitetônico, em
qualquer caso, para um propósito que não é estético; esta meta consiste quase sempre em envolver o
espaço, seja de lado, seja de cima (o telhado), seja de baixo "...

"Une ceuvre architecturale est une réalité et, étant réalité, elle sert à son but extérieur; elle évoque
cependant plus ou moins des sentiments, comme le patriotisme, la dévotion religieuse, etc."
L'architecture, selon Hartmann, a pour but de créer des espaces; c'est un art industriel, où le beau
n'intervient que pour réaliser esthétiquement son but pratique.

Telles sont les vues que nous avons dégagées des systèmes esthétiques des principaux philosophes
en Allemagne jusqu'à la fin du XIX siècle.
Il nous reste maintenant à dire quelques mots des auteurs qui se sont spécialement occupés de
l'esthétique architecturale. Parmi ceux-ci nous avons choisi pour notre ouvrage: 1º le Dr. Adamy, qui
a écrit l' étude la plus complète sur l'esthétique de l'architecture, avec des documents précieux
savamment exposés; 2º August Thiersch, qui est, à notre avis, le plus grand représentant de
l'esthétique géométrique de l'architecture; 3º Goller, qui a donné le plus important essai esthético-
psychologique de l'architecture; 4º Wolffling, qui a, le premier, essayé d'appliquer la psycho-
physiologie aux recherches esthétiques relatives à l'art architecture et qui est, en même temps, un
des plus grands esthéticiens de l'architecture. Il faut cependant mentionner les autres esthéticiens,
depuis Semper jusqu'à Schmarsow at Behrens et essayer d'exposer les grandes lignes de leurs
doctrines.

"Uma obra arquitetônica é uma realidade e, sendo realidade, atende a sua finalidade externa; porém,
mais ou menos evoca sentimentos, como patriotismo, devoção religiosa, etc." O objetivo da
arquitetura, segundo Hartmann, é criar espaços; é uma arte industrial, onde o belo intervém apenas
para atingir esteticamente seu objetivo prático.

Essas são as visões que extraímos dos sistemas estéticos dos principais filósofos da Alemanha até o
final do século XIX.

Agora temos que dizer algumas palavras sobre os autores que se preocuparam especialmente com a
estética arquitetônica. Entre estes escolhemos para o nosso trabalho: 1º Dr. Adamy, que escreveu o
estudo mais completo sobre a estética da arquitetura, com preciosos documentos habilmente
expostos; 2º agosto Thiersch, que é, em nossa opinião, o maior representante da estética
geométrica da arquitetura; 3º Goller, que deu a prova estético-psicológica mais importante da
arquitetura; 4º Wolffling, que foi o primeiro a tentar aplicar a psicofisiologia à investigação estética
relacionada com a arte arquitectónica e que é, ao mesmo tempo, um dos maiores estetas da
arquitectura. No entanto, devemos mencionar os outros esteticistas, de Semper a Schmarsow em
Behrens, e tentar delinear suas doutrinas.

Semper n'a pas écrit une oeuvre spéciale sur l'architecture et ce n'est qu'en parlant de l'art en
général, notamment des arts plastiques, qu'il mentionne l'art architectural. Selon cet auteur, l'oeuvre
d'art n'est autre chose qu'un "produit mécanique résultant de l'usage de la matière et de la
technique". Il s'agit done d'une esthétique génétique, du Kunstwerden. En ce qui concerne
l'architecture en particulier Semper prêche pour le style classique des ordres. Il y a selon lui, des
canons architecturaux; celui qui les méconnaîtra verra son art se décomposer en "un caprice sans
forme et sans signification". "L'architecture est, en ce sens-là, conclut-il, aussi conservatrice que la
misique" (Voir pour plus détails sur sa théorie l'essai de V. Barsh intitulé Les grands courants de
l'esthétique allemande contemporaine).

Nous ne ferons que mentionner les travaux des Botticher, des Bruckhard, des Buhlmann, des
Frankel etc., qui ont une valeur plutôt historique et archéologique qu'esthétique.

Semper não escreveu uma obra especial sobre arquitetura e foi apenas ao falar da arte em geral,
especialmente das artes visuais, que mencionou a arte arquitetônica. Segundo este autor, a obra de
arte nada mais é do que um "produto mecânico resultante do uso da matéria e da técnica". Trata-se,
portanto, de uma estética genética, de Kunstwerden. No que diz respeito à arquitetura, em
particular, Semper prega pelo estilo clássico das ordens. Segundo ele, existem cânones
arquitetônicos; quem os ignora verá a sua arte decompor-se em "um capricho sem forma e sem
sentido". “A arquitetura é, nesse sentido, conclui ele, tão conservadora quanto a música” (ver
para mais detalhes sobre sua teoria o ensaio de V. Barsh intitulado Les grands currents de
l'Aesthétique Allemand contemporain). TRADUZIDO

Mencionaremos apenas as obras de Botticher, Bruckhard, Buhlmann, Frankel etc., que têm mais
valor histórico e arqueológico do que valor estético.

Quant à Lipps, il n'a rien écrit de spécial sur l'architecture . Néanmoins, on trouve dans son
"Esthétique de l'espace" des éléments d'un haut intérêt pour l'esthétique de notre art. Cette oeuvre
contient deux théories, dont une concerne l'expression esthétique sur nous les formes géométriques,
l'autre s'occupant des illusions optiques relatives à ces formes. Selon Lipps, l'espace esthétique n'est
pas un espace inanimé, il est vivant. Les formes géométriques représentent une "activité
mécanique": la verticale se dresse en haut, l'horizontale s'étend à gauche et à droide etc... Et c'est
dans cette interprétation mécanique des lignes que se trouve, selon lui, la beauté des forme
géométriques. C'est là l'idée-maîtresse de "l'esthétique mécanique" de Lipps. Celle-ci est fondée sur
la sympathie (Einfuhlung), qui est le maître-problème de toute son esthétique. La vie mécanique des
formes géométrique est un fait subjectif; nous interprétons ces formes par "analogie" avec les
phénomènes mécaniques qui se passent en nous; c'est à dire en nous projetant en elles
(Hineinverlegung), en nous confondant avec elles. Cette interprétation est immédiante, sans aucune
réflexion. La colonne que nous contemplons se dresse devant nos yeux, comme nous nous
dresseons nous-mêmes. Cette force de la colonne nous réjouit, tout comme nous réjouit notre propre
force. "Je sympathise de cette façon avec la colonne dorique"; elle nous montre une activité vitale
que nous reconnaissons comme étant la nôtre.

Quanto a Lipps, ele não escreveu nada de especial sobre arquitetura. No entanto, encontramos na
sua "Estética do espaço" elementos de grande interesse para a estética da nossa arte. Este trabalho
contém duas teorias, uma das quais diz respeito à expressão estética sobre nós formas geométricas,
a outra trata das ilusões de ótica relacionadas com essas formas. Segundo Lipps, o espaço estético
não é um espaço inanimado, ele está vivo. As formas geométricas representam uma "atividade
mecânica": a vertical sobe, a horizontal estende-se à esquerda e à direita, etc. E é nessa
interpretação mecânica das linhas que, segundo ele, o beleza da forma geométrica. Esta é a ideia
central da "estética mecânica" de Lipps. Isso se baseia na simpatia (Einfuhlung), que é o problema
principal de toda a sua estética. A vida mecânica das formas geométricas é um fato subjetivo;
interpretamos essas formas por "analogia" com os fenômenos mecânicos que ocorrem em nós; isto
é, projetando-nos neles (Hineinverlegung), confundindo-nos com eles. Esta interpretação é
imediata, sem qualquer reflexão. A coluna que contemplamos está diante de nossos olhos, enquanto
nos levantamos por nós mesmos. A força dessa coluna nos deixa felizes, assim como nossa própria
força nos alegra. “Simpatizo desta forma com a coluna dórica”; mostra-nos uma atividade vital que
reconhecemos como nossa.
---
Un temple grec, dit Lipps, nous conte son histoire, celle de sa propre vie intérieure"; c'est un
organisme vivant. La matière ne joue aucun rôle dans la contemplation esthétique, la forme seule y
compte, forme interprétée par nous au moyen de l'Einfuhlung. Dire qu'une ligne courbe se plie n'a,
en réalité, "aucun sens"; c'est parce que nous nous indetifions avec les formes que celles-ci ont un
"sens spécifique", signifient ou "symbolisent" quelque chose, deviennent un langage. C'est pourquoi
les formes nous paraissent, les unes, légères, gracieuses, ne peinant pas, compréhensibles par elles-
mêmes; les autres, sérieuses, sévères, ayant le caractère puissant, impulsif, etc... L'acte esthétique
(Einfuhlung) n'est pas, selon Lipps, un acte visuel; il appartient à la pensée ou à la fantaisie. "La
beauté, dit-il, est l'unité dans la variéte. Toutefois, l'unité esthétique spécifique ne se trouve que dans
l'unité "esthétique mécanique". Tels sont les principes fondamentaux de l'esthétique formalle de
Lipps (Voir pour plus détails sur sa théorie l'essai de V. Barsh intitulé Les grands courants de
l'esthétique allemande contemporaine).

Um templo grego, diz Lipps, nos conta sua história, a de sua própria vida interior "; é um
organismo vivo. A matéria não desempenha nenhum papel na contemplação estética, só a forma
conta, a forma interpretada por nós por meio de Dizer que uma linha curva se dobra não tem, na
realidade, "nenhum significado"; é porque nos indetificamos com as formas que elas têm um
"significado específico", meio ou " simbolizam "algo, tornam-se linguagem. É por isso que as
formas nos parecem, algumas, leves, graciosas, não dolorosas, compreensíveis por si mesmas;
outras, sérias, severas, de caráter poderoso, impulsivo, etc. ... O ato estético (Einfuhlung) não é,
segundo Lipps, um ato visual; pertence ao pensamento ou à fantasia. ”A beleza, diz ele, é a
unidade na variedade. No entanto, a unidade estética específica só se encontra na unidade
"estética mecânica". Esses são os princípios fundamentais da estética formal de Lipps (ver para
mais detalhes sobre sua teoria o ensaio de V. Barsh intitulado Les grands currents de esthétique
Allemand contemporain).TRADUZIDO

Pour terminer cette courte éstude des esthéticiens de l'axchitecture en Allemagne, nous devons dire
encore quelques mots des théories esthético-architecturales de nos contemporains Ostendorf,
Behrens, et Schmarsow. Selon Ostendorf, le but proprement dit de l'architecture est de "créer des
espaces". Il nous donne comme exemple des créations à un seul espace et à plusieurs et essaie
d'esquisser une théorie esthétique concernant leurs aspects extérieur et intérieur. D'après cet auteur,
une facade doit être la plus simple expression formelle du plan; pour lui, la beauté se trouve dans
l'uniformité ou la simplicité de la forme (einfache Erscheinungsform). C'est là l'idée capitale
d'Ostendorf, dont l'oeuvre est d'un caractère plutôt pédagogique et pretique que théorique.
Peter Behrens, célèbre architecte allemand contemporain, s'est intéressé aux questions de
l'esthétique de l'architecture; mais il n'a pas encore fait un ouvrage définitif à ce sujet ni émis une
théorie spéciale. Selon Behrens l'art et la technique ne représentent aucun dualisme; il considère
comme une erreur l'affirmation que la forme artistique se déduit de la technique. Cette erreur
provient, d'après Behrens, de Semper, qui a prétendu que l'oeuvre d'art résulte d'un but utile, de la
matière et de la technique des outils. Behrens soutient que l'oeuvre d'art est un produit de l'intuition
d'une puissante individualité, libre de toute condition matérielle. "L'art est la réalisation d'un but
matériel que est transformé en un but psychique, ce que la musique démontre de la façon la plus
claire". L'ingénieur, selon Behrens, s'est noyé dans le progrès technique et n'a pas eu le temps de
résoudre les preblèmes esthétiques. La seule beauté des oeuvres de l'engénieur se trouve dans leur
aspect monumental (Grossartigkeit); leur affet esthétique n'est dû qu'au hasard. En résumé, Behrens
oppose au Kunstwerden de Semper, la conception téléologique de Riegl du Kunstwollen (le "vouloir
artistique). La technique et l'art doivent se fondre et non être séparés. Toutfois, la technique est
soumise à l'art et c´est la Formville (la "volonté de la forme") qui trouve la technique qui lui
convient. La meilleure preuve de cette vérité est, selon Behrens, l'architecture gothique.
Para encerrar este breve estudo sobre esteticistas da arquitetura axial na Alemanha, devemos dizer
mais algumas palavras sobre as teorias estético-arquitetônicas de nossos contemporâneos Ostendorf,
Behrens e Schmarsow. De acordo com Ostendorf, o objetivo real da arquitetura é "criar espaços".
Ele nos dá como exemplo as criações com um espaço e com vários e tenta esboçar uma teoria
estética sobre seus aspectos exteriores e interiores. Segundo este autor, uma fachada deve ser a
expressão formal mais simples do plano; para ele, a beleza é encontrada na uniformidade ou
simplicidade da forma (einfache Erscheinungsform). Essa é a ideia capital de Ostendorf, cuja obra
tem um caráter mais educacional e pretético do que teórico.
Peter Behrens, um famoso arquiteto alemão contemporâneo, estava interessado em questões de
estética arquitetônica; mas ele ainda não escreveu um trabalho definitivo sobre o assunto ou
publicou uma teoria especial. De acordo com Behrens, arte e técnica não representam qualquer
dualismo; ele considera um erro a afirmação de que a forma artística é deduzida da técnica. Esse
erro decorre, segundo Behrens, de Semper, que afirmava que a obra de arte resulta de uma
finalidade útil, do material e da técnica das ferramentas. Behrens afirma que a obra de arte é
produto da intuição de uma individualidade poderosa, livre de todas as condições materiais. “A arte
é a realização de uma meta material que se transforma em meta psíquica, que a música
demonstra da forma mais clara”. O engenheiro, segundo Behrens, se afogou no progresso técnico
e não teve tempo de resolver os problemas estéticos. A única beleza das obras do engenheiro está
em seu aspecto monumental (Grossartigkeit); seu apelo estético se deve apenas ao acaso. Para
resumir, Behrens compara o Kunstwerden de Semper com a concepção teleológica de Riegl du
Kunstwollen ("vontade artística"). Técnica e arte devem se fundir e não estar separadas. No entanto,
a técnica está sujeita à arte e É o Formville (a "vontade da forma") que encontra a técnica que lhe
convém. A melhor prova dessa verdade é, segundo Behrens, a arquitetura gótica.
Schmarsow, par lequel nous terminous la liste de tous les esthéticiens de l'architecture en
Allemagne, n'a écrit, à notre connaissance, aucune oeuvre spéciale sur l'architecture. Ce théoricien
s'est occupé de la Science de l'art en général, des concepts fondamentaux des arts et c'est à ce sujet
qu'il a parlé aussi de l'architecture. Ses vues sur l'esthétique architeturale se trouvent expossés dans
son discours au dernier congrès de l'esthétique et de la science de l'art, dont nous reproduirons les
traits essentiels. Selon Schmarsow, ce n'est pas seulement notre oeil qui joue un rôle dans la
contemplation d'une oeuvre architecturale. Celle-ci comporte les facteurs suivants: a) l'espace
tactile; b) l'espace visuel; c) l'espace de "la marche"(Gehraum) en avant. C'est, selon Shmarsow,
avec.ces trois facteurs que le problème psychophysique de l'investigation esthétique est posé. Il
définit l'architecture: "créatrice de l'espace". Il parle des trois dimensions d'une oeuvre
aarchitecturale et les explique par les dimensions humaines, Ainsi, la dimenson verticale, qui est la
première, s'explique par l'attitude verticale de l'homme. La symétrie ne vaut, selon Schmarsow, que
pour la largeur et la proportion que pour la hauteur.
La troisième dimension serait, d'après lui, le rythme de nos mouvements corporels. Il distinque deux
sortes d'espace: a) l'espace renfermé (murs, plafonds, etc.) et b) l'espace ouvert (fenêtres, portes,
etc.). Quant à la colonne, elle n'est qu'un membre qui divise l'espace. Schmarsow, admet la
simultanéité et la succession à la fois et dit que lorsque nous regardons un grand objet le procédé
visuel est successif, tandis que si l'objet est petit le procédé sera simultané.

Aprés ce court aperçu des vues et theories esthético-architecturales telles que nous les avons
trouvées en Allemagne depuis kant jusqu'à nos jours, nous croyons avoir suffisamment justifié le
choix des auteurs que nous avons introduits dans cet ouvrage.

Schmarsow, com quem completamos a lista de todos os esteticistas da arquitetura na Alemanha, não
escreveu, até onde sabemos, nenhum trabalho especial sobre arquitetura. Este teórico preocupou-se
com a Ciência da arte em geral, com os conceitos fundamentais das artes e é sobre este assunto que
fala também da arquitectura. Seus pontos de vista sobre a estética arquitetônica encontram-se em
seu discurso no último congresso de estética e ciência da arte, do qual reproduziremos os traços
essenciais. Segundo Schmarsow, não é apenas o nosso olho que desempenha um papel na
contemplação de uma obra arquitetônica. Isso inclui os seguintes fatores: a) espaço tátil; b) espaço
visual; c) o espaço de "caminhar" (Gehraum) para a frente. É, segundo Shmarsow, com esses três
fatores que se coloca o problema psicofísico da investigação estética. Ele define arquitetura:
"criador do espaço". Ele fala das três dimensões de uma obra arquitetônica e as explica pelas
dimensões humanas, assim, a dimensão vertical, que é a primeira, é explicada pela atitude vertical
do homem. A simetria é válida, segundo Schmarsow, apenas para a largura e a proporção apenas
para a altura.
A terceira dimensão seria, segundo ele, o ritmo de nossos movimentos corporais. Ele distingue dois
tipos de espaço: a) espaço fechado (paredes, tetos, etc.) eb) espaço aberto (janelas, portas, etc.).
Quanto à coluna, é apenas um membro que divide o espaço. Schmarsow, admite simultaneidade e
sucessão ao mesmo tempo e diz que quando olhamos para um objeto grande o processo visual é
sucessivo, enquanto se o objeto for pequeno o processo será simultâneo.

Após este breve esboço das visões e teorias estético-arquitetônicas tal como as encontramos na
Alemanha desde Kant até os dias atuais, acreditamos ter justificado suficientemente a escolha dos
autores que apresentamos neste trabalho.

Das könnte Ihnen auch gefallen