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MANUEL DE FORESTERIE VILLAGEOISE


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 Françoise Leboeuf (/user/24404349/)  il y a 4 ans  Total a chages : 77


 Transcription
RECHERCHES 1 BURKINA FASO MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT ET DE
Manuel technique gratuit L'EAU MANUEL DE FORESTERIE VILLAGEOISE Manuel de fo-
resterie villageoise - page 1/67
Foresterie villageoise
2 AVANT PROPOS Ce document intitulé manuel de Foreste-
rie Villageoise est un outil d'accompagnement des orientations techniques dé nies par
le Programme National de Foresterie Villageoise. Sa publication s'inscrit dans le cadre
de la di usion de l'information technique par le Ministère de l'environnement et de
l'eau (MEE) en vue de l'accroissement des compétences des agents pour soutenir et ac-
compagner les e orts communautaires et individuels, dans le cadre de la gestion des
terroirs. Di érentes techniques sont présentées à travers vingt ches assorties
d'illustrations. Pour faciliter l'exploitation du manuel, les ches techniques ont été re-
groupées en six thèmes : la reforestation ; l'agroforesterie ; la conservation des eaux et
des sols ; la protection de la végétation ; l'exploitation forestière ; l'économie d'énergie
domestique. Ce regroupement thématique a certes ses limites, mais il tient compte des
relations qui peuvent être établies entre les di érentes technologies. Ce manuel de fo-
resterie villageoise est destiné aux techniciens de terrain et le vœu le plus cher du Minis-
tère de l'environnement et de l'eau, est qu'il contribue à l'amélioration des interventions
quotidiennes des utilisateurs, pour une gestion rationnelle des ressources naturelles et
une augmentation de la production agrosylvo-pastorale. PREFACE Face au retour cy-
clique des périodes de sécheresses depuis les années 1970, le Burkina Faso a engagé
des actions multiples et multiformes pour atténuer les e ets néfastes de la sécheresse
et de la déserti cation. Ainsi plusieurs plans, programmes et projets ont été élaborés et
mis en oeuvre avec l'appui des partenaires et avec la participation des populations.
L'objectif visé à travers toutes ces actions est de contribuer à une gestion durable des
ressources naturelles pour une auto-su sance alimentaire. Le Programme National de
Foresterie Villageoise(PNFV) élaboré en 1984 s'inscrit dans ce cadre. Document de réfé-
rence pour la conduite des actions de gestion des ressources naturelles dans le do-
maine protégé, sa mise en oeuvre a longtemps sou ert entre autres du manque d'outils
didactiques. Cette situation a limité l'intégration harmonieuse de la foresterie, de l'agri-
culture et de l'élevage dans l'utilisation des terres. Aussi, l'objectif stratégique de gestion
durable des ressources naturelles reste toujours un dé à tous les niveaux
(producteurs, techniciens, pouvoirs politiques) et le renforcement des capacités des ac-
teurs est sans conteste un levier important pouvant permettre d'asseoir les bases d'une
gestion durable des ressources naturelles. A travers l'élaboration de ce manuel, la Direc-
tion de la Foresterie Villageoise et de l'aménagement Forestier(DFV AF), apporte une
contribution fondamentale à la formation continue des techniciens. Guide pratique, ce
manuel est le fruit de la coopération entre le Ministère de l'environnement et de l'eau et
l'agence de Coopération Internationale du Japon (JICA) à qui nous adressons nos sin-
cères remerciements pour son appui nancier qui a permis l'élaboration et l'édition de
ce manuel. Nos remerciements vont aussi à Monsieur Jotaro YASUI-II5A, Expert de la
JICA, Conseiller Technique auprès de a DFVAF pour son appui technique. Goudouma ZI-
GANI Directeur de la Foresterie Villageoise et de l'aménagement Forestier Manuel de fo-
resterie villageoise - page 2/67

3 SOMMAIRE Première Partie : Reforestation FICHE TECHNIQUE I : Les techniques de


production des plantes FICHE TECHNIQUE II : Techniques de plantation Deuxième Partie
: Agroforesterie FICHE TECHNIQUE I : Les cultures en couloirs FICHE TECHNIQUE II : La
haie vive défensive FICHE TECHNIQUE III : Les brise vents FICHE TECHNIQUE IV : Régéné-
ration Naturelles Assistée (RNA) FICHE TECHNIQUE V : Le défrichement contrôlé FICHE
TECHNIQUE VI : Les banques fourragères Troisième Partie : Protection de la végétation
FICHE TECHNIQUE I : La mise en défens FICHE TECHNIQUE II : La lutte contre les feux de
brousse FICHE TECHNIQUE III : Le pare feu vert Quatrième Partie : Conservation des
eaux et sols FICHE TECHNIQUE I : Les cordons pierreux ou cordons en pierres ou di-
guettes en pierres FICHE TECHNIQUE II : La digue ltrante FICHE TECHNIQUE III : Végéta-
lisation des diguettes anti-érosives FICHE TECHNIQUE IV : Les demi-lunes FICHE TECH-
NIQUE V : Le zaï forestier FICHE TECHNIQUE VI : Le compostage FICHE TECHNIQUE VII :
La xation des berges Cinquième Partie : Exploitation forestière FICHE TECHNIQUE I :
L'exploitation des ressources forestières ligneuses Sixième Partie : Economie d'énergie
renouvelable FICHE TECHNIQUE I : Les foyers améliorés Manuel de foresterie villageoise
- page 3/

4 Première Partie REFORESTATION FICHE TECHNIQUE I LES TECHNIQUES DE PRODUC-


TION DES PLANTS I- DEFINITION La pépinière est un site particulier destiné à la produc-
tion et à l'élevage des plants avant leur mise en terre. Le but de l'élevage en pépinière
est d'obtenir : des plants bien aoûtés, ligni és, capables de résister aux intempéries dès
la plantation, des plants aussi jeunes que possible pour que la reprise soit assurée. Se-
lon que le jeune plant est planté avec un enracinement mis à nu ou au contraire main-
tenu dans la terre, on distingue deux procédés principaux de productions : la produc-
tion des plants à racines nues la production des plants dans des contenants. II- CHOIX
DU SITE DE LA PEPINIERE L'emplacement de la pépinière doit prendre en compte les
éléments suivants : Relief et topographie. Il est important de rechercher une surface
aussi plane que possible bien dégagée, permettant une bonne exposition solaire et où
le régime des vents sera le plus faible possible. Une légère pente est parfois nécessaire
pour éviter une stagnation de l'eau. Une pente trop marquée entraîne des problèmes
d'érosion et impose un aménagement du sol approprié tel que terrasses, fossés de
drainage. Le sol Pour la production à racines nues, un sol perméable et fertile est à
rechercher. Un sol léger sableux convient. Il faut éviter et même proscrire les sols trop
caillouteux ou fortement argileux. Pour la production dans des contenants le sol de la
pépinière n'a pas d'importance puisque le substrat peut être di érent, et provenir de
l'extérieur. L'eau Il est indispensable de disposer d'une possibilité d'approvisionnement
en eau qui peut être un puits, un forage, un cours d'eau, un lac dont la disponibilité en
eau est permanente. Il est nécessaire de prévoir le stockage d'une réserve d'eau su -
sante pour assurer les besoins de la pépinière a n de pallier d'éventuelles ruptures
d'approvisionnement. L'accès La pépinière doit être accessible en toute saison. Il faudra
donc avoir à l'esprit que son exploitation nécessitera des transports toute l'année. III-
AMENAGEMENT DE LA PEPINIERE L'aménagement d'une pépinière comporte les opéra-
tions suivantes : 1 ) Le nettoyage correct de la surface et des alentours ainsi que l'apla-
nissement de cette même surface au cas où le terrain comporte des petits reliefs ou
une faible pente ; 2 ) La délimitation et la mise en place d'une clôture de protection
contre les animaux. Cette clôture peut être en grillage ou en haie-vive. 3 ) La matérialisa-
tion de l'emplacement exact des planches pour les plants en pots et les plants à racines
nues, et des allées de circulation. 4 ) Prévoir un hangar où les pépiniéristes pourront
exécuter certains travaux pratiques comme le remplissage des pots. 5 ) Prévoir des bas-
sins de stockage d'eau a n de pallier d'éventuelles ruptures d'approvisionnement. Ma-
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5 6 ) Si les habitations sont éloignées du site de la pépinière, il faut prévoir un magasin


de stockage et de gestion de l'outillage de pépinière. IV- LISTE DU MATERIEL DE PEPI-
NIERE Le matériel souvent utilisé en pépinière se compose comme suit : matériel d'arro-
sage : arrosoirs, seaux, puisette, cordes, poulie, etc. outils : pioches, houes, pelles,
binettes, râteaux, couteaux, sécateurs, entonnoirs pour le remplissage des pots ; maté-
riel de transport : brouettes, charrettes, véhicules, caisses ; produits consommables : sa-
chets plastiques, fongicide, insecticides, fertilisants ; équipements spéciaux :
pulvérisateur, tamis, ombrières, germoirs. V- APPROVISIONNEMENT EN SEMENCES L'ac-
quisition des semences peut se faire de deux manières : 1- Avec les services forestiers
notamment le Centre National de Semences Forestières 2- En récoltant soit même les
fruits et en les préparant ; si les fruits sont récoltés soit même, il faut prendre les dispo-
sitions suivantes : récolter les fruits bien mûrs et sur des arbres bien portants et dis-
tants d'au moins 100m l'un de l'autre ; Éviter de ramasser les fruits tombés à terre. Il est
nécessaire de débarrasser les fruits des enveloppes qui les protègent a n d'avoir les
graines. Pour les fruits durs, les piler et les laver à l'eau. Pour les espèces à fruits mous,
les tremper dans de l'eau et les frotter pour enlever l'enveloppe. Les graines seront en-
suite séchées au soleil, puis conservées. VI- PRETRAITEMENT DES GRAINES Le prétraite-
ment est une opération qui permet la levée de l'inhibition tégumentaire ou dormance.
Cette opération permet d'améliorer la germination des graines. Le traitement peut se
faire à l'eau froide, tiède, bouillante ou à l'acide selon les espèces. Eau froide ( pour les
graines à tégument peu dur) : trempage des graines pendant 18 à 24 heures ; Exemples
: Khaya senegalensis, Azadirachta indica. Eau bouillante ( pour les graines à tégument
dur) : verser l'eau portée à ébullition sur les graines et laisser refroidir ; Exemples : Cas-
sia siamea, Delonix regia. Acide sulfurique (pour les graines à tégument très dur) : ce
procédé a l'avantage d'assurer un gain de temps appréciable. Tremper les graines dans
l'acide sulfurique concentré pendant une durée variable en fonction des espèces.
Exemples : Acacia albida, Gmelina arborea. NB : Compte tenu de la diversité des espèces
produites en pépinière, le producteur pourrait se référer au catalogue du Centre Natio-
nal de Semences Forestières qui donne les conseils pour le prétraitement d'une large
gamme d'espèces. VII- PRODUCTION DES PLANTS A RACINES NUES Les plants à racines
nues sont ceux que l'on élève dans des planches en pleine terre. 7.1 Préparation des
planches Tracé des planches : Il convient de déterminer dans quel sens les planches se-
ront orientées : en terrain plat : celles ci seront orientées en fonction de l'exposition au
soleil ; généralement Est - Ouest de manière à ce que les plants puissent béné cier d'un
ensoleillement dosé aussi bien dans la matinée que dans l'après midi. sur un terrain lé-
gèrement en pente : le tracé se fait perpendiculairement à la pente pour mieux retenir
l'eau. il est conseillé de confectionner des planches régulières ayant 1m de large et une
longueur variant entre 5-10m Creusage des planches : Pour le creusage on utilise des
pioches ou des bêches. Toute la planche sera correctement ameublie sur une profon-
deur Manuel de foresterie villageoise - page 5/67

6 d'au moins 30cm. Elle peut être améliorée par un apport de compost ou de fumier
décomposé. 7.2 Les semis La date de semis dépend essentiellement de l'époque à la-
quelle les plants seront utilisés et du temps nécessaire aux plants pour atteindre la hau-
teur souhaitée pour la plantation. En zone sahélienne, le séjour en pépinière varie de 8
à 12 mois pour les semis en pleine terre. Les semis se font dans des sillons espacés de
20 à 25 cm et ayant une profondeur de 1 à 2 cm. Sur le sillon il faut déposer 1 ou 2
graines espacées de 1 ou 2 cm. Après cette opération un arrosage abondant est néces-
saire matin et soir. 7.3 Entretien des plantules Quand les graines auront germé : désher-
ber chaque fois que les mauvaises herbes poussent dans la planche ; faire un binage
pour casser la croûte super cielle du sol pour faciliter l'in ltration de l'eau. Un bon clas-
sement des pots facilite les interventions ultérieures 7.4 Préparation des plants avant
plantation A deux semaines de la date de plantation, il faut diminuer la quantité d'eau à
apporter aux plants(une fois par jour au lieu de deux). A la veille de la plantation, il faut
arroser abondamment les planches : le jour de la plantation, creuser la terre tout en évi-
tant de blesser les tiges ou les racines pour arracher les plants ; il est conseillé d'utiliser
un sécateur ou un couteau tranchant pour tailler les racines. VIII- PRODUCTION DES
PLANTS EN POTS Pour la production des plants en pot on utilise généralement des sa-
chets plastiques. La terre à utiliser pour le remplissage des pots doit être riche. A titre
indicatif on peut utiliser le mélange suivant : 2 brouettées de terre + 1 brouettée de
sable + 1 brouettée de compost ou de fumier décomposé. 8.1 Remplissage et classe-
ment des pots Les pots sont remplis directement à la main ou à l'aide d'un entonnoir.
Tasser bien les pots et laisser une réserve d'environ 1 cm dont l'avantage sera de sto-
cker l'eau d'arrosage pour améliorer l'in ltration. Les pots remplis seront classés dans
les planches de production. 8.2 Les semis et la protection des plantules Les semis de la
plupart des essences élevées en pots se font entre les mois de février et mars. En règle
générale le semis se fait en raison de deux graines par pot. Il faut prendre soin d'enfon-
cer les graines à une profondeur d'environ 1 cm. Après les semis mettre une ombrière
et e ectuer les arrosages une fois le matin et une fois le soir. 8.3 Les soins à donner aux
plantules Quand les plantules auront 5 cm de hauteur : faire le démarriage en suppri-
mant la plus petite plantule et laisser la plus grande s'il y a plusieurs plantules dans le
Manuel de foresterie villageoise - page 6/67

7 pot ; enlever les mauvaises herbes qui poussent dans le pot et faire un léger binage ;
déplacer les pots tous les 15 à 20 jours a n que les racines ne pénètrent dans le sol ;
lors du déplacement tailler les racines qui ont pu traverser le pot. 8.4 Traitements phy-
tosanitaires Très souvent les pépiniéristes sont confrontés à des problèmes sanitaires il
faut alors les diagnostiquer rapidement. Il peut s'agir de maladies ou d'attaques parasi-
taires il faudra donc appliquer des traitements adaptés. Ce sont en général : de nom-
breux ennemis : insectes, chenilles, pucerons, crapauds ; de maladies provoquées par
les champignons microscopiques : fonte de semis ; des nématodes qui sont de tout pe-
tits vers, détériorent le système racinaire des plants et gênent leur développement. 8.5
Préparation et transport des plants pour la plantation Le transport des plants est une
opération délicate. Les précautions suivantes sont à considérées : Au niveau de la pépi-
nière il faut : bien arroser les plants la veille de la sortie ; véri er une dernière fois qu'il
n'existe plus d'un plant dans un pot ; éviter de superposer les plants lors du chargement
quelque soit le moyen de transport ; Au lieu d'accueil : au cas où les plants ne seront
pas immédiatement mis en terre, il faut les déposer là où on peut les arroser et sous
ombrage. La production des plants sains gage de succès des plantations Manuel de fo-
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8 FICHE TECHNIQUE II TECHNIQUES DE PLANTATION I- DEFINITION La plantation est


l'ensemble des opérations qui s'égrènent depuis le piquetage jusqu'à l'entretien des
plants mis en terre. Il est certainement un point critique dans le processus de
reboisement. II- OBJECTIFS Selon le type de plantation, les objectifs peuvent être : la pro-
duction de bois de feu et / ou de service pour les plantations classiques. la production
fruitière pour les vergers l'amélioration de la production agricole pour les plantations in-
tercalaires améliorantes et les brise-vent l'embellissement, etc.. III- DESCRIPTION TECH-
NIQUE Le processus de plantation respecte le cheminement suivant : 3.1 Piquetage Le
piquetage se fait en tenant compte des essences à planter et de l'écartement à
respecter. Il est nécessaire a n de donner à chaque plant un espace su sant pour son
développement. Il permet également de planter sur des lignes équidistantes a n de fa-
ciliter de futurs travaux (entretien, cultures intercalaires,). Il existe plusieurs méthodes
de piquetage qui peuvent être utilisées selon les moyens disponibles : les grands pas, la
celle, le bâton. Dans tous les cas, les piquets devraient être préparés auparavant ou
alors appliquer la méthode du petit trou à la daba : L'opérateur se place sur un côté de
la parcelle à reboiser. Il compte en grands pas la distance prévue de l'écartement (1
grand pas = 1 m) Il plante un piquet ou fait un petit trou de marquage avec la daba Il
continue dans la même direction avec le même nombre de pas Il plante un deuxième
piquet ou fait un deuxième trou Et ainsi de suite jusqu'à la n de la ligne Les piquets ou
les trous ne doivent pas être placés sous les grands arbres Il est conseillé qu'une per-
sonne reste sur le bord de la parcelle et oriente l'opérateur pour qu'il ne dévie pas trop
de la ligne. (La boussole peut être utilisée à cet e et si elle est disponible). 3.2 Trouaison
Après avoir piqueté le terrain à reboiser on procède à la trouaison dont le but est
d'ameublir le sol a n de faciliter l'in ltration de l'eau dans la terre et de permettre une
implantation rapide du système racinaire. Au cours du creusage, il faut séparer la terre
supérieure de la terre qui se trouve au fond du trou. La couche supérieure du sol
contient généralement plus de matière nutritives que la couche inférieure plus pauvre
(rouge). Les trous ronds ou carrés doivent avoir une profondeur et un diamètre d'au
moins 60 cm sur 60 cm. 3.3 Rebouchage des trous Une fois creusés, les trous forment
de véritables bassins dans lesquels l'eau va parfois stagner très longtemps après les
pluies, empêchant ainsi toute plantation correcte. Il convient donc de les reboucher et
d'attendre qu'au moins une pluie tombe sur la terre remise en place avant de commen-
cer la plantation. Pour le rebouchage, on met au fond du trou la terre de la couche su-
périeure donc celle qui avait été enlevée en premier pour compléter ensuite avec la
terre de moins bonne qualité; ceci permettra aux racines de pro ter rapidement de la
terre de bonne qualité. Le rebouchage ne se fait pas complètement : les 5 derniers cen-
timètres ne sont pas remplis a n de : matérialiser l'emplacement des trou pour la
plantation. Manuel de foresterie villageoise - page 8/67

9 emmagasiner davantage d'eau. 3.4 Mise en terre des plants Moment de plantation
On plante dès que les pluies ont commencé à bien s'installer (seconde moitié du mois
de Juillet, généralement) a n que le plant ait le temps et la quantité d'eau nécessaires
pour s'enraciner et, grâce à cela, supporter sa première saison sèche. La plantation sera
réalisée tôt le matin ou dans le courant de l'après-midi (après 16 h), si possible par
temps couvert et juste après la passage d'une pluie. Il faut cependant éviter de planter
sur un terrain détrempé; dans ce cas, il vaut mieux attendre quelques heures pour que
l'excédent d'eau s'écoule ou s'in ltre Mise en terre proprement dite Plants en pot : Le
plant en pot est délicatement couché à côté du trou de la plantation. A l'aide d'un outil
tranchant (couteau par exemple), on réalise au centre du trou préalablement rebouché
une ouverture dont les dimensions correspondent exactement à celle du sachet
plastique. Le collet du plant doit correspondre exactement au niveau du sol. On re-
couche ensuite le plant sur le sol et à l'aide d'une lame ou tout autre objet tranchant
(couteau, lame de rasoir...), on découpe le fond du pot, sur une épaisseur d'environ 2 à
4 cm. Cette opération est indispensable pour supprimer les racines qui se sont enrou-
lées dans le fond du pot, et permettre ainsi un redémarrage de la croissance racinaire
vers les couches plus profondes. On incise ensuite le sachet plastique ainsi débarrassé
de sa partie inférieure sur toute sa hauteur; on écarte légèrement les bords du sachet
a n que la feuille plastique n'adhère plus à la terre du pot. Cette succession de manipu-
lation est toujours réalisée avec le plant couché sur le sol. On dépose ensuite délicate-
ment le pot, toujours entouré de la feuille plastique dans le trou préparé au préalable.
On procède de la sorte a n de garder intacte la motte de terre qui entoure la racine du
plant. Une fois le plant dans le trou, on dépose un peu de terre autour du pot pour le
maintenir droit et on enlève en n complètement ce qui reste de l'enveloppe plastique
en la tirant vers le haut. On ôte complètement l'enveloppe plastique pour favoriser au
maximum la croissance du système racinaire pivotant et latéral qui permettra au plant
de se développer dans de bonnes conditions. On rebouche complètement le trou en
prenant soin de bien tasser la terre autour du plant tout en créant une légère dépres-
sion qui permettra de retenir l'eau au pro t du plant. plantation d'un plant produit en
pots Manuel de foresterie villageoise - page 9/67

10 Plants en racines nues : Les plants en racines nues étant particulièrement sensibles
à l'action du vent et du sol, on les protège avec des feuilles avant leur mise en terre qui
se présente comme suit : Manuel de foresterie villageoise - page 10/67

11 Le plant est déposé à côté du trou. A l'aide d'un coupe-coupe ou d'un objet tran-
chant droit, on réalise au centre du trou préalablement rebouché une ouverture dont la
profondeur sera de 5 à 10 cm. Le plant est maintenu légèrement au dessus du collet par
une main. Il est placé dans le trou de manière à ce que le niveau du collet corresponde
exactement au niveau du sol. On s'assurera que le chevelu racinaire est bien orienté
vers le bas et qu'il ne touche pas le fond du trou. De la main libre et à l'aide d'une daba
on ramène progressivement la bonne terre autour des racines du plant et on tasse ré-
gulièrement le sol de manière à éviter toute formation de poche d'air autour des
racines. Tout au long de cette opération on évitera de bouger la main qui soutient le
plant a n de ne pas modi er la position du collet par rapport au niveau du sol. planta-
tion d'un plant produit à racines nues Manuel de foresterie villageoise - page 11/67

12 3.5 Entretien Une fois la plantation réalisée, le arbres ont besoin d'entretien. Les
di érents travaux d'entretien sont : La protection contre les animaux et contre les ter-
mites Le desherbage à temps. Des cultures intercalaires sont possibles dans les par-
celles de plantation durant les trois prémières années. L'ouverture de pare-feu à l'ap-
proche de la saison sèche (mois d'octobre) pour protéger les arbres contre les feux de
brousse. La largeur minimale est de 15 m. L'arrosage : Dans les conditions di ciles il est
conseillé d'arroser les plants une à deux fois par semaine a n d'aider les racines à se
développer su samment. Des cultures intermédiaires sont possibles dans les parcelles
de plantation durant les trois premières années, ce qui assure du même coup,
l'entretien. Manuel de foresterie villageoise - page 12/67

13 Deuxième Partie AGROFORESTERIE FICHE TECHNIQUE I LES CULTURES EN COU-


LOIRS I- DEFINITION La culture en couloirs ou en allées est un système d'exploitation
des terres où les cultures vivrières saisonnières sont cultivées dans les couloirs formés
par des haies de végétaux. Les haies sont régulièrement taillées et enfouies dans le sol
pour améliorer sa fertilité. II- OBJECTIFS Améliorer et conserver la fertilité des sols par
l'enfouissement des feuilles comme engrais verts ; Protéger le sol contre l'érosion ; Ré-
duire la dépendance vis à vis des engrais chimiques ; Production de bois de feu ; Pro-
duction de fourrage. III- DESCRIPTION TECHNIQUE 3.1 Conditions de réalisation La tech-
nique de culture en couloirs est appropriée pour les régions tropicales humides et sub
humides. Dans les régions semi-arides la production de biomasse est insu sante pour
améliorer la fertilité des sols. Dans ces milieux l'objectif pourrait être la production de
fourrage et de bois de feu. 3.2 Implantation L'implantation des cultures en couloirs se
fait selon les paramètres suivants : la bande de végétation est composée d'une à deux
lignes ; écartement sur les lignes 0,5 à 2m écartement entre les bandes 6 à 10m pour
une parcelle d'exploitation présentant un risque d'érosion éolienne installer les bandes
perpendiculairement au vent dominant pour créer un e et brise-vent pour une parcelle
d'exploitation présentant un risque d'érosion hydrique les bandes doivent suivre les
courbes de niveau donc perpendiculairement à la pente. Manuel de foresterie villa-
geoise - page 13/67

14 Dispositif de système de culture en couloirs 3.3 Conduite des bandes végétales les
premières coupes ont lieu en général entre 18 et 24 mois la hauteur de coupe est de
1,50 à 2m les tailles s'e ectuent une fois par an et en début d'hivernage (juin-juillet) les
branches taillées sont immédiatement répandues sur toute l'allée ; ainsi les feuilles lais-
sées sur le sol après séchage, contribuent à améliorer la fertilité du sol et favorisent l'in-
ltration de l'eau pour optimiser la production d'engrais vert, les bandes végétales
peuvent être coupées à une hauteur de 30 à 60cm 3.4 Choix des espèces Le choix des
espèces tient compte des principales caractéristiques suivantes : avoir une couronne
ouverte et perméable à la lumière ; avoir une bonne capacité de rejeter après les
coupes ; avoir des feuilles qui se décomposent bien et vite ; avoir un système racinaire
pivotant ; avoir peu de racines traçantes ; avoir des capacités de xer l'azote
atmosphérique. D'une manière générale, les légumineuses sont les espèces les plus in-
diquées pour les cultures en couloirs en raison de leur croissance rapide et de leur ca-
pacité de xer l'azote atmosphérique. 3.5 Liste de quelques espèces couramment utili-
sées pour les cultures en couloirs Leuccaena leucocephala Acacia albida Cassia siamea
Azadirachta indica Albizia lebbeck Sesbania sesban Cajanus cajan Manuel de foresterie
villageoise - page 14/67

15 Culture en couloirs avec Azadirachta indica (Neem) (Emondage et paillage) IV- AVAN-
TAGES ET EXIGENCES 4.1 Avantages augmentation de la fertilité des sols, limitant ainsi la
dépendance vis à vis des engrais chimiques amélioration des rendements agricoles pos-
sibilités d'obtenir des produits secondaires : bois de feu et fourrage technique facile-
ment reproductible. 4.2 Exigences technique peu adaptée pour les régions semi-arides
suivi rapproché de la bande végétale(développement des branches pouvant produire
un e et d'ombrage sur les cultures vivrières) émondage des arbres chaque début
d'hivernage. Manuel de foresterie villageoise - page 15/67

16 FICHE TECHNIQUE II LA HAIE VIVE DEFENSIVE I- DEFINITION La haie vive défensive


est un alignement d'arbustes aux branches inextricables permettant d'empêcher le pas-
sage d'animaux. II- OBJECTIFS Protection des parcelles de production (périmètres
maraîchers, vergers, plantations, pépinières...) contre les animaux en divagation Lutte
anti-érosive : stabilisation des diguettes en terre favorisant ainsi l'in ltration de l'eau de
ruissellement ; associées au brise-vent, assure une protection plus e cace contre les
e ets du vent (érosion éolienne) ; Outils d'aménagement : permet la délimitation des
parcelles de production. Haie vive avec Euphorbia balsamifera III- TECHNIQUES D'INS-
TALLATION 3.1 Positionnement de la haie vive L'objectif de la haie vive est la protection
des parcelles de production, contre les animaux en divagation, il faudra donc l'installer
tout autour du terrain à protéger. 3.2 Préparation du terrain Généralement. il est re-
commandé l'ouverture d'une tranchée dont la largeur est variable selon le mode de
plantation : double ligne ou ligne unique. Dans le cas de la double ligne avec disposition
des plants en quinconce, les dimensions de la tranchée sont : 60 cm de large et 60 cm
de profondeur ; Dans le cas de la ligne unique, retenir les dimensions 50 cm de largeur
sur 60 cm de profondeur. 3.3 Mode de plantation Trois modes de plantation sont sou-
vent utilisés à savoir : les semis direct : certaines espèces peuvent être semés directe-
ment dans des poquets réalisés à cet e et (Acacia senegal Acacia nilotica, Acacia seyal...)
; la bouture : des espèces comme Euphorbia balsamifera, Jatropha curcas, Commiphora
africana...poussent mieux dans les cas de bouturage ; à partir plants produits en pots :
c'est le mode d'installation de la haie vive défensive le plus pratiqué avec des taux de
réussite souvent très élevés. 3.4 Entretien de la haie Manuel de foresterie villageoise -
page 16/67
17 L'élagage naturel fait que la haie vive a tendance à se dégarnir à la base. Il est donc
nécessaire de tailler régulièrement la haie pour favoriser le développement des ra-
meaux à la base. La taille peut s'e ectuer deux fois par an (en n de saison sèche et en
n de saison des pluies. Les résidus de la-taille peuvent être utilisés pour fermer les
brèches ou peuvent être utilisés comme fourrage. Pour favoriser une rami cation basse
à même d'empêcher toute pénétration d'animaux, les premières tailles doivent s'e ec-
tuer à une hauteur inférieur à 1 m. Par la suite, les tailles d'entretien peuvent s'e ectuer
à 1,50m. IV- LISTE DE QUELQUES ESPECES RECOMMANDEES POUR LES HAIES VIVES DE-
FENSIVES Acacia macrostachya Acacia nilotica Acacia senegal Acacia seyal Balanites ae-
gyptiaca Combretum aculeatum Combretum micranthum Commiphora africana Jatro-
pha curcas Lawsonia inermis Mimosa pigra V- AVANTAGES ET EXIGENCES 5.1 Avantages
Assure une protection plus e cace et plus durable des parcelles de production ; Permet
de lutter contre la coupe abusive du bois par l'abandon des haie mortes installées an-
nuellement ; permet de dégager une économie de temps dans la protection des par-
celles par les di érentes tailles, permet d'obtenir des sous produits divers ( bois de
chau e, fourrage...) 5.2 Exigences L'installation est relativement chère au départ et né-
cessite de grands travaux (ex : ouverture des tranchées) ; pour être e cace, la haie vive
nécessite une protection intégrale pendant les trois (3) premières années ce qui aug-
mente son coût d'installation ; nécessite des entretiens réguliers notamment les tailles
en début et n de la saison des pluies. Haie vive d'acacia sp utilisée comme enclos Ma-
nuel de foresterie villageoise - page 17/67

18 FICHE TECHNIQUE III LES BRISE - VENT I - DÉFINITION Les brise-vent sont des struc-
tures linéaires, le plus souvent vivantes, ( mais aussi inertes ) composées d'espèces
ligneuses, semi-ligneuses et parfois herbacées installées de telle manière qu'elles per-
mettent de protéger les zones cultivées, pâturées ou d'habitation contre les e ets né-
fastes des vents dominants. Un brise-vent comporte deux(2) parties : un côté au vent
(exposé aux vents dominants ) et un côté sous le vent. II- OBJECTIFS Un brise-vent bien
conçu et correctement orienté permet de : réduire la vitesse du vent des deux (2) côtés (
au vent et sous le vent ) sans en augmenter la turbulence ; protéger les cultures contre
les e ets mécaniques au vent (verse des céréales, troubles de pollinisation, chute des
fruits) ; piéger la charge solide du vent et donc limiter les transferts de sol (et sou vent
de fertilité ) ; réduire ou supprimer l'érosion éolienne à l'intérieur de la surface
protégée, très vulnérable quand elle n'est pas cultivée ou couverte de végétation ; amé-
liorer les rendements des cultures dans la zone protégée grâce aux e ets positifs sus-
cités ; produire du bois, des fruits, des médicaments et autres spéculations écono-
miques qui rendent attrayants de tels dispositifs auprès des populations rurales. Un
brise-vent d'eucalyptus III- TECHNIQUE DE MISE EN PLACE 3.1 Terrain d'application Les
brise-vent peuvent être utilisés dans les périmètres irrigués, sur les terres de culture
pluviale,pour la xation des dunes et dans les vastes plaines dénudées. 3.2 Technique
de mise en place La construction de brise-vent constitue une technique assez délicate
dans la mesure où doivent être pris en compte à la fois l'orientation, la structure, la
composition et son aménagement dans le temps. L'orientation n'est pas toujours facile
à choisir car les vents dominants changent au cours de l'année. Aussi, il est conseillé de
mettre en place un réseau de brise-vent car un seul brise-vent sera de peu d'e et. C'est
une succession ou un quadrillage qu'il faut prévoir Préparation du sol Elle consiste au
piquetage et à la trouaison de la zone à protéger. Manuel de foresterie villageoise - page
18/67

19 L'écartement entre les plants sera de 1,5 à 2 m sur les lignes. Un réseau de ligne de
brise-vent Plantation L'association de plusieurs espèces feuillues est recommandée à un
triple point de vue : elle assure un meilleur e et brise-vent l'association d'espèces est
biologiquement plus riche l'association est peu vulnérable aux attaques parasitaires. La
plantation s'e ectue dans les conditions habituelles et les plants sont disposés en quin-
conce d'une ligne à l'autre. Des arbres de hauteurs di érentes constituant plusieurs
strates forment souvent des brise-vent plus e caces. IV- CONDITIONS D'EFFICACITE
D'UN BRISE-VENT Un brise-vent possède une hauteur (H) qui dé nit son champ d'action
selon sa perméabilité(p). Cette perméabilité doit être de 50% répartie de façon homo-
gène sur toute la surface. Le tableau suivant donne l'étendue de la zone protégée en
fonction de la perméabilité. Densité du brise- vent Etendue de la zone de protection
30% 12H 50% 27H 100% 15H Etendue de la zone de protection en fonction de di é-
rentes densités du brise-vent L'ennemi du brise-vent est le phénomène de VENTURI qui
est provoqué par la présence de brèches et le manque de sousétage. En e et, toute
brèche créée dans un brise-vent accélère la vitesse de vent, ce qui provoque des turbu-
lences du côté sous le vent. V- ESPECES UTILISABLES AU BURKINA FASO Le choix des es-
pèces est capital. Les qualités requises pour les espèces choisies sont : - avoir un
feuillage persitant mais pas trop dense supporter les tailles sévères ou rejeter vigoureu-
sement après recepage ou étetage. Avoir une croissance rapide et une hauteur su -
sante Avoir un enracinement pivotant et profond Ecartement par espèces : ARBRES
ECARTEMENT Azadirachta indica 4 m sur la ligne Eucalyptus camaldulensis 2 m sur la
ligne ARBRES Cassia siamea ECARTEMENT ARBUSTES ECARTEMENT 2 m sur la ligne Aca-
cia nilotica 2 à 4 m sur la ligne Acacia seyal Prosopis julitlora Manuel de foresterie villa-
geoise - page 19/67

20 ARBUSTES ECARTEMENT Parkinsonia aculeata Psidium guajava ARBRISSEAUX ECAR-


TEMENT ARBRISSEAUX ECARTEMENT Ziziphus mauritiana Acacia holosericea 2 m sur la
ligne Acacia senegal L'écartement entre les arbres et les arbustes est de 1 à 2 mètres
L'écartement entre les arbustes et les arbrisseaux est de 1 à 2 mètres VI- AVANTAGES ET
INCONVENIENTS 6.1 Avantages amélioration de la productivité des zones protégées; di-
minution de l'in uence des vents sur la zone protégée; production de fruits et de bois;
création de micro-climat. 6.2 Inconvénients perte d'eau par transpiration des arbres ;
e et d'ombrage sur une zone d'exploitation. Manuel de foresterie villageoise - page
20/67

21 FICHE TECHNIQUE IV REGENERATION NATURELLE ASSISTEE ( R N A ) I- DEFINITION


La régénération naturelle assistée est un ensemble d'interventions entreprises par
l'homme pour provoquer ou stimuler la régénération naturelle de la végétation ligneuse
et / ou le développement de celle-ci. Dans le contexte de l'agroforesterie il s'agit de l'in-
tégration des espèces ligneuses à buts multiples dans l'espace agricole (champ) de fa-
çon qu'elles puissent augmenter le rendement total de cet espace II- OBJECTIFS favori-
ser une meilleure gestion des ressourcès ligneuses et assurer la dynamique du couvert
végétal conserver et restaurer le sol exploiter les sous produits ligneux ( eurs, feuilles,
fruits, ) à des n utiles minimiser la production des plants qui s'avère onéreuse. III-
CONDITIONS DE REALISATION ET CONDUITE DE LA RNA 3.1 Conditions de réalisation La
caractéristique principale est la présence dans le champ d'un certain nombre d'espèces
à retenir suivant une densité variable et acceptable. On parlera de parc sélectionné, (
plusieurs espèces ) lorsque les arbres sont délibérément épargnés dans les champs
pour les diversités des produits qu'ils fournissent. Les espèces généralement rencon-
trées sont Parkia biglobosa, Butyrospermum parkii, Lannea niicrocarpa, etc. Lorsqu'une
espèce devient dominante, soit par plantation, soit par régénération naturelle on par-
lera de parcs construits ( mono spéci que ). Comme exemple on cite celui d'acacia al-
bida et de Butyrospermum parkii. Les cultures sont pratiquées pendant longtemps, par-
fois même de façon permanente, bien que ne béné ciant pas, le plus souvent, d'apport
extérieur en matières fertilisantes. 3.2 Conduite de la régénération naturelle assistée ;
Les étapes à suivre sont les suivantes : Evaluation des super cies I1 faut déterminer la
forme du site et la rapprocher d'une gure géométrique pour laquelle la méthode de
calcul de la super cie est connue (rectangle. carré, triangle, trapèze, cercle...). Lorsque la
forme est connue, il devient alors possible d'é ectuer des mesures de distance qui per-
mettront de calculer la super cie. Ces mesures peuvent se faire à l'aide de pas. L'agent
de terrain doit à ce e et étalonner son pas ou son double pas Inventaire qualitatif et
quantitatif des essences Il s'agit de procéder à l'identi cation et au comptage des pieds
adultes et des plants issus de la régénération naturelle a n d'évaluer le potentiel du site
par rapport à l'application de la RNA Sélection des essences et sujets à protéger Cette
sélection tiendra compte de l'utilisation faite du site(champ, jachère,pâturage...), de la
diversité et de la répartition des espèces sur le site. Dans tous les cas le choix des es-
pèces doit être laissée à l'initiative des paysans qui le fera avec l'appui-conseil des ser-
vices techniques. Les espèces protégées par la législation forestière sont à prendre en
compte. On retiendra : 25 pieds adultes à l'ha et 60 à 80 jeunes pousses ou rejets à l'ha
Repérage de sujets sélectionnés Manuel de foresterie villageoise - page 21/67

22 Il se fait à l'aide de piquet, bande colorée, peinture..., Protection Les jeunes plants
repérés doivent être protégés : contre la divagation des animaux ( paniers individuels,
badigeonnage avec bouse de vache, gardiennage ) contre les feux de brousse (sarclages,
pare - feux, paillage ) contre la concurrence des mauvaises herbes (sarclages Entretien
éclaircis, émondage, élagage, tuteurage, coupe sanitaire, diguettes, demi lunes. Elagage
des branches IV- ESPECES GENERALEMENT EPARGNEES Butyrospermum parkii, Tama-
rindus indica, Adansonia digitata, Parkia biglibosa, Acacia albida, Sclerocarya birrea, Af-
zelia africana, Bombai costatum, Lannea microcarpa, Detarium microcarpum, Pterocar-
pus erinaceus, Diospyros mespiliformis, Balanites aegyptiaca, Ficus gnaphalocaya, Da-
niellia oliveri, Anogeissus leiocarpus, Borassus aethiopum, etc. V- AVANTAGES ETEXI-
GENCES 5.1 Avantages les espèces épargnées connaissent un meilleur developpement
car elles se sont déjà adaptées aux conditions locales on réalise des économies car la
production des plants en pépinière (qui est très onéreuse ) n'est pas nécéssaire on ob-
tient une plus grande diversité d'espèces et par conséquent une gamme plus variée de
produits notamment dans les zones où la ore est riche et diversi eé la technique est
très simple et facile à vulgariser. 5.2 Exigences le choix des espèces est limité en raison
du fait qu'on reste dépendant d'une source de régénération la disposition des espèces
n'est pas ordonnée sur le site. Ceci peut rendre di cile les travaux à l'aide d'engins
mécaniques( charrues, tracteurs) Manuel de foresterie villageoise - page 22/67

23 RNA : les paysans marquent les plants à épargner dans le champ Manuel de foreste-
rie villageoise - page 23/67

24 FICHE TECHNIQUE V LE DEFRICHEMENT CONTROLE I- DEFINITION Le défrichement


contrôlé consiste à épargner un certain nombre d'arbres et/ou de bandes de végétation
naturelle au cours des travaux de défriche. II- OBJECTIFS Limiter les risques d'érosion et
la dégradation des sols ; Créer un écran protecteur jouant le rôle de brise-vent en vue
d'atténuer les dégâts pouvant être causés par des vents dominants ; Préserver sur les
parcelles quelques arbres servant de semenciers et/ou présentant une utilité
agroforestière. III- DESCRIPTION TECHNIQUE 3.1 Zone d'application Au regard des objec-
tifs visés, le défrichement contrôlé est surtout indiqué pour des zones relativement peu
dégradées ou regorgeant encore de réserves en terres cultivables. 3.2 Mise en oeuvre
de la technique Deux procédés sont généralement utilisés : les bandes végétales les
arbres dispersés dans le champ Les bandes végétales Piqueter la surface à défricher.
Matérialisation des bandes de 3 à 5 mètres de large à écartements réguliers (soit 10 à
12 fois la hauteur moyenne de la bande végétale) perpendiculairement à la pente. La
détermination du niveau de la pente peut se faire avec le niveau à eau (technique assez
bien maîtrisée par les villageois). Marquage des arbres à protéger Identi er et marquer
les espèces protégées et celles présentant un intérêt pour les paysans. Abattage et Des-
souchage Les arbres non marqués sont coupés à rez de terre (maximum 15 cm au-des-
sus du sol) ; les produits de l'abattage sont utilisés «comme bois de chau e ou de ser-
vice et les rémanents sont utilisés par la suite comme paillage ou clôture Les arbres dis-
persés dans le champ Selon la législation au Burkina Faso la densité des arbres à laisser
dans le champ est de 20 arbres adultes et 60 jeunes arbres par hectare. Ces arbres
épargnés doivent être dispersés dans le champ de manière à éviter une concentration
pouvant être préjudiciable aux cultures par l'e et d'ombrage. Les opérations techniques
: marquage, abattage, dessouchage des arbres à couper sont les mêmes que dans le cas
des bandes végétales. IV- SUIVI ET ENTRETIEN A l'instar des autres systèmes de produc-
tions agro-sylvo-pastorales, le défrichement contrôlé, nécessite le respect des normes
techniques préconisées par le paysan avec l'appui des structures d'encadrement. Cet
entretien se résume principalement aux points suivants : L'ouverture de pare-feu pour
éviter les dégâts des feux de brousse ; Le suivi régulier des techniques d'élagage appro-
priées sur le port des arbres, permettant de minimiser les e ets négatifs de l'ombrage,
des oiseaux et autres rongeurs que les bandes pourraient abriter. Manuel de foresterie
villageoise - page 24/67

25 La plantation d'espèces d'arbres et arbustes dans les bandes boisées en vue d'aug-
menter leur e cacité. V- AVANTAGES ET EXIGENCES 5.1 Avantages La protection de la
parcelle contre les phénomènes d'érosion. L'accroissement de la productivité agricole
Augmentation de la fertilité des sols 5.2 Exigences : Suivi régulier des opérations tech-
niques ; Les arbres laissés dans le champ pourraient être des refuges pour les dépréda-
teurs des cultures. Dispositif de bandes boisées sur une parcelle d'exploitation agricole
Manuel de foresterie villageoise - page 25/67

26 FICHE TECHNIQUE VI LES BANQUES FOURRAGERES I- DEFINITION Une banque four-


ragère est une réserve de fourrage destinée à pallier au dé cit d'alimentation des ani-
maux en période sèche. Il s'inscrit dans le cadre des aménagements silvopastoraux. Elle
peut être constituée à partir de : L'aménagement du pâturage naturel Les cultures four-
ragères La plantation de ligneux fourragers. II- OBJECTIF La banque fourragère à pour
objectif principal d'assurer une bonne alimentation des animaux en saison sèche, pé-
riode pendant laquelle ils sont confrontés au problème de dé cit fourrager. III- DESCRIP-
TION TECHNIQUE 3.1 Aménagement des pâturages naturels Le système d'aménage-
ment des pâturages naturels peut comprendre les actions suivantes : Diviser le pâtu-
rage en parcelles Ouvrir des pare-feu de protection Faire des mise en défens de par-
celles pour permettre la constitution du fourrage Provoquer des feux contrôlés, les feux
précoces en particulier pour permettre une meilleure repousse Contrôler la capacité de
charge pour éviter le surpâturage Enrichir le pâturage par l'introduction de ligneux four-
ragers ou à usages multiples soigneusement choisis et bien répartis pour favoriser le ta-
pis herbacé. Organiser la coupe, le ramassage, le fanage de l'herbe, de feuilles et ra-
meaux de ligneux fourragers pour constituer des réserves. 3.2 Cultures fourragères
Pour cultiver les plantes fourragères on peut semer des graines ou planter des boutures
après avoir préparé le sol Préparation du sol On prépare le sol lorsqu'il n'est ni trop hu-
mide ni trop sec, et bien drainé. Pour cela, le nettoyer, désoucher et labourer. Le labour
ne doit pas être trop profond, 15 cm su sent. Ensuite, casser les mottes de terre : c'est
le hersage Choix et préparation des semences Le producteur peut choisir lui-même les
semences ou acheter des semences améliorées auprès de services spécialisés. On peut
récolter les graines en secouant la tige au-dessus d'un pagne, pour certaines espèces en
battant les tiges coupées sèches et en vannant, pour d'autres espèces Semis On sème
juste après les premières pluies. On peut semer à la volée ou en poquets selon les
espèces. Dans le second cas il vaut mieux semer en lignes pour donner un bon écarte-
ment entre les plants et faciliter le travail avec les animaux. Tremper les graines dans
l'eau tiède pendant 24 heures pour améliorer la germination. Après le trempage, mélan-
ger les graines avec du. sable sec ou avec de la cendre. Alors, il est plus facile de semer à
la bonne densité Bouturage Manuel de foresterie villageoise - page 26/67

27 Préparation des boutures : Il y a 2 façons de préparer les boutures des graminées


fourragères : Boutures de tiges : Couper la plante près du sol, enlever les feuilles, cou-
per la tige en morceaux. Chaque tige doit avoir 3 noeuds Eclats de souches : Arracher la
souche (tou e avec racines). Séparer la tou e en plusieurs morceaux ou éclats. Chaque
morceau à 1 ou 2 tiges, un collet et des racines. Avant de diviser la tou e, couper les
tiges et les racines trop longues. Les tiges doivent avoir 10 à 15 cm et les racines 2 à 3
cm. Mise en terre des boutures : Planter les boutures à des écartements égaux et en
lignes. Pour les boutures de tiges, enterrer 2 noeuds et laisser le 3e dehors. Pour les
éclats de souches, enterrer le collet 1 à 2 cm de profondeur. Période de plantation des
boutures : On doit planter les boutures le jour où elles sont préparées. Planter juste
avant une pluie si possible Entretien Remplacer les manquants Sarcler pour éliminer les
mauvaises herbes Protéger contre les animaux avec une haie Apporter du fumier ou du
compost 3.3 Plantation de ligneux fourragers Les végétaux ligneux judicieusement choi-
sis et employés peuvent permettre de mieux faire face au problème d'alimentation des
animaux en saison sèche : non seulement ils peuvent apporter du fourrage vert quand
le tapis herbacé est desséché, mais encore ils peuvent apporter plus de protéines que
l'herbe. L'avantage des ligneux en période sèche est alors quantitatif et qualitatif. Les
espèces légumineuses à usages multiples comme le Leucaena et les Acacia en général
sont les plus indiquées. Elles peuvent être utilisées en agroforesterie : Dans les jachères
pour une amélioration du sol en repos tout en produisant du fourrage. En association
avec les cultures sous ferme de cultures en couloirs Fauche et conservation du fourrage
Naturel ou cultivé herbacé ou ligneux, le fourrage peut être coupé et conditionné pour
constituer des réserves. Le foin est la forme la plus courante pari-apport à l'ensilage.
Couper l'herbe quand elle est encore jeune, tendre, avant qu'elle ne donne des eurs La
faire sécher à l'ombre à l'aide de siccateurs La conditionner en bottes à l'aide d'une bot-
teleuse Garder le foin dans un endroit sec. Manuel de foresterie villageoise - page 27/67
28 Stabulation des animaux grâce au stockage du fourrage 3.5 Liste de quelques es-
pèces fourragères Graminées Pennisetum perpureum (herbe à éléphant) Andropogon
gayanus (Ouaga en Bambara, Moraogo ou Mopoaka en Mooré) Digitaria sp. Brachiaria
sp. Panicum sp. Hyparrhenia sp Légumineuses Cajanus cajan (pois d'angole) Leucaena
leucocephala Acacia sp Ligneux fourragers Leucaena leucocephala Acacia sp Boscia se-
negalensis Cadaba farinosa Capparis corimbosa Crateva religiosa Pterocarpus erinaceus
IV- AVANTAGES ET EXIGENCES La banque fourragère présente des avantages certains
pour l'éleveur : Les animaux bien nourris en permanence grossissent vite sont en bonne
santé, se reproduisent bien et donnent beaucoup de lait et de la viande. De plus, dans le
cadre de l'exploitation : Les boeufs de traits, bien nourris, sont forts pour la culture atte-
lée Les animaux gardés dans un enclos ou dans une étable font leurs excréments sur
place, ce qui permet de produire du fumier à retourner sur les champs pour enrichir le
sol. La banque fourragère améliore le troupeau et le troupeau améliore le sol. En
somme, l'on aboutit à une amélioration des conditions socio-écono miques de l'éleveur.
Manuel de foresterie villageoise - page 28/67

29 Toutefois, elle présente quelques exigences : Une maîtrise des techniques exposées
plus haut Une bonne organisation des éleveurs dans le cas de l'aménagement des pâtu-
rages naturels Une main d'oeuvre su sante pour la fauche et la conservation du four-
rage Manuel de foresterie villageoise - page 29/67

30 Troisième Partie PROTECTION DE LA VEGETATION FICHE TECHNIQUE I LA MISE EN


DEFENS I- DEFINITION La mise en défens est une méthode ou un ensemble de tech-
niques mises en oeuvre dans un espace dé ni en vue de sa protection, de sa régénéra-
tion et /ou de son enrichissement. Ces techniques pouvant être des aménagements de
sites anti-érosifs, paillage, reboisement, scari age, sous-solage, zaï, etc. Les di érentes
aires d'application des mises en défens sont : les périmètres de restauration ; les bois et
bosquets sacrés ; les forêts villageoises ; etc... II- OBJECTIFS Restaurer les sols ainsi que
la végétation naturelle herbacée et arborée ; Protéger la végétation existante ; Favoriser
la reconstitution des zones dégradées par la régénération naturelle ; Fournir à long
terme aux populations les produits forestiers ; Obtenir une meilleure production agro-
sylvo-pastorale ; Promouvoir la prise en charge de la gestion des ressources naturelles,
la conservation et leur reconstitution par les populations elles-mêmes. III- DESCRIPTION
TECHNIQUE La super cie de la zone à mettre en défens, les techniques d'enrichisse-
ment à y entreprendre et sa.clurée sont des paramètres variables dont la détermination
dépend de plusieurs facteurs notamment, la disponibilité de terres cultivables, l'état de
dégradation du site, le niveau d'organisation des populations, etc. Toutefois, la nature
du site à restaurer doit permettre aux populations de voir assez rapidement l'évolution
positive de la régénération, étant entendu les problèmes de terres cultivables qui se
posent dans la majeur partie des terroirs. La zone choisie pour la mise en défens doit
être bien délimitée soit par des bornes, soit par de grands arbres de référence, marqués
; et ces balises doivent être connues et respectées par les populations. Lorsque l'état de
dégradation très accentué des sols (sols compactés), ne favorise pas une régénération
rapide de l'espace concerné; alors il faut l'appuyer par des mesures telles que les amé-
nagements anti-érosifs, le traitement du sol, l'ensemencement et la plantation d'arbres.
Manuel de foresterie villageoise - page 30/67

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matières 1-Dé nition 3 2. Les di érents types d engrais utilisés par les agri-
culteurs 3 21. Engrais d ordure de la ville 3 22.

Plus en détail (/320448-Lombricompost-il-faut-nourrir-le-sol-pour-nourrir-la-


plante.html)

Caisse Nationale de Mutualité Agricole (/1529115-Caisse-


nationale-de-mutualite-agricole.html)
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pra-
tiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de
la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail (/1529115-Caisse-nationale-de-mutualite-agricole.html)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)


(/2971590-Programme-d-habiletes-en-fauteuil-roulant-wsp-f.html)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIREC-
TRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-
FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1
peuvent se dérouler

Plus en détail (/2971590-Programme-d-habiletes-en-fauteuil-roulant-wsp-f.html)

TCS, strip-till et semis direct (/282153-Tcs-strip-till-et-semis-


direct.html)
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernau-
die 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi
repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté
dé nitivement

Plus en détail (/282153-Tcs-strip-till-et-semis-direct.html)

Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» (/2831211-


Debroussailler-autour-de-sa-maison-une-obligation.html)
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions
dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison :
«une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,

Plus en détail (/2831211-Debroussailler-autour-de-sa-maison-une-obligation.html)

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS


(/148777-Mise-en-decharge-une-entreprise-de-bayer-et-
lanxess.html)
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉ-
CHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect
de l environnement, de certains types de déchets est un complément
important

Plus en détail (/148777-Mise-en-decharge-une-entreprise-de-bayer-et-lanxess.html)

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE (/36236-Une-meilleure-


connaissance.html)
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE
MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le
Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des
dispositions

Plus en détail (/36236-Une-meilleure-connaissance.html)


Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal (/55401-Produire-avec-
de-l-herbe-du-sol-a-l-animal.html)
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal
avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4
Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail (/55401-Produire-avec-de-l-herbe-du-sol-a-l-animal.html)

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS (/2524899-Recueil-des-


actes-administratifs.html)
PREFET DE L YONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS spécial n
10/2013 du 10 juin 2013 Adresse de la préfecture : 1, Place de la Préfecture
- CS 80119-89016 Auxerre cedex tél. standard 03.86.72.79.89 Adresse

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Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008


(/105986-Fiche-technique- liere-maraichage-mais-doux-
septembre-2008.html)
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Fi-
lière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA
Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail (/105986-Fiche-technique- liere-maraichage-mais-doux-septembre-


2008.html)

Le printemps et l été du compost (/238105-Le-printemps-et-l-ete-


du-compost.html)
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de
l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant
les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant

Plus en détail (/238105-Le-printemps-et-l-ete-du-compost.html)

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de


terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon (/1808422-Fiche-
technique-sur-l-itineraire-de-fertilization-de-la-pomme-de-terre-
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tube-
rosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture impor-
tante qui participe à la sécurité alimentaire

Plus en détail (/1808422-Fiche-technique-sur-l-itineraire-de-fertilization-de-la-pomme-


de-terre-solanum-tuberosum-l-au-cameroon.html)

Formulaire d'adhésion PEFC (/712619-Formulaire-d-adhesion-


pefc.html)
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la dé-
marche de certi cation par portage proposée par la Coopérative Provence
Forêt I Présentation La certi cation PEFC doit permettre

Plus en détail (/712619-Formulaire-d-adhesion-pefc.html)

du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l


Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul
BOMBIRI (/892689-Du-cadre-de-vie-secretariat-permanent-du-
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent
du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable
Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste

Plus en détail (/892689-Du-cadre-de-vie-secretariat-permanent-du-conseil-national-


pour-l-environnement-et-le-developpement-durable-presente-par-paul-bombiri.html)

Construire un plan de nettoyage et de désinfection (/805668-


Construire-un-plan-de-nettoyage-et-de-desinfection.html)
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-
RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur
Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services
généraux

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mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes


de la lière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
(/106766-Mon-mais-fourrage-gnis-rassemble-toutes-les-parties-
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans,
le maïs fourrage a béné cié avec succès du progrès génétique et de l inno-
vation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail (/106766-Mon-mais-fourrage-gnis-rassemble-toutes-les-parties-


prenantes-de-la- liere-semences-francaise-soit-72-entreprises-de-selection.html)

Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une


lessive. (/2349833-Rincez-a-l-eau-froide-ensuite-lavez-
immediatement-avec-une-lessive.html)
Betterave rouge Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec
une lessive. Bière Boue/Terre Rincez à l'eau froide puis procédez à un la-
vage normal avec une lessive. Epongez la tache avec du

Plus en détail (/2349833-Rincez-a-l-eau-froide-ensuite-lavez-immediatement-avec-une-


lessive.html)

les cinq étapes pour calculer les jours d avance (/268039-Les-cinq-


etapes-pour-calculer-les-jours-d-avance.html)
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une
bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures
réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail (/268039-Les-cinq-etapes-pour-calculer-les-jours-d-avance.html)

Fertiliser le maïs autrement (/106185-Fertiliser-le-mais-


autrement.html)
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des res-
sources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agri-
culteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

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Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.


(/1763201-Fiche-technique-n-1-le-logement-construction-des-
boxes.html)
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le loge-
ment construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du
climat, - surexposition au soleil : déshydratation
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boxes.html)

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Mutter-


sholtz (/2477897-Constitution-d-un-reseau-ecologique-sur-la-
commune-de-muttersholtz.html)
Identité du territoire Structure porteuse de l'action : Ligue pour la Protec-
tion des Oiseau Alsace Entrée Thématique Agriculture Espèces et habitats
naturels Milieu aquatiques et humides Localisation :

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muttersholtz.html)

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité In-


formation et documents requis (/2371261-Nop-organic-system-
plan-osp-eos-description-de-l-unite-information-et-documents-
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Infor-
mation et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a),
un opérateur certi é doit transmettre chaque année à son

Plus en détail (/2371261-Nop-organic-system-plan-osp-eos-description-de-l-unite-


information-et-documents-requis.html)

1 Le chau age des serres agricoles (/684684-1-le-chau age-des-


serres-agricoles.html)
1 Le chau age des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres o rent aux
maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat
(température, humidité et lumière) et de produire, au moment

Plus en détail (/684684-1-le-chau age-des-serres-agricoles.html)

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!


(/1528689-Ne-laissez-pas-le-mauvais-temps-detruire-le-fruit-de-
votre-travail.html)
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soute-
nons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale
contre les aléas climatiques. AU SERVICE

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travail.html)

Poser du carrelage mural (/2491356-Poser-du-carrelage-


mural.html)
Poser du carrelage mural Le carrelage est un revêtement traditionnel pour
les murs des cuisines et des salles de bains. Outre son aspect décoratif, il
assure une parfaite protection contre les projections

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L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les pro-
priétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
(/228614-L-eau-c-est-la-vie-a-l-origine-etait-l-eau-la-planete-bleue-
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la
terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient
ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail (/228614-L-eau-c-est-la-vie-a-l-origine-etait-l-eau-la-planete-bleue-les-


proprietes-de-l-eau-l-homme-et-l-eau-et-l-eau-invita-la-vie.html)

Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR)


de saules (/205539-Note-recapitulative-culture-de-taillis-a-tres-
courte-rotation-ttcr-de-saules.html)
Convention de production et de vente de TtCR de saule Note récapitulative
: culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules 1. Généralités Le
taillis à très courte rotation (TtCR) est une culture

Plus en détail (/205539-Note-recapitulative-culture-de-taillis-a-tres-courte-rotation-


ttcr-de-saules.html)

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU


RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 (/329437-
Resultats-de-l-observatoire-technico-economique-du-rad-
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVA-
TOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable
2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l
Agriculture,

Plus en détail (/329437-Resultats-de-l-observatoire-technico-economique-du-rad-


synthese-2011-exercice-comptable-2010.html)

Comment concevoir son lit biologique (/99570-Comment-


concevoir-son-lit-biologique.html)
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des e uents
phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé
> Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail (/99570-Comment-concevoir-son-lit-biologique.html)

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit


une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller.
Les Québécois sont les (/64072-L-eau-potable-comment-la-
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une res-
source renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois
sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail (/64072-L-eau-potable-comment-la-preserver-bien-que-l-eau-soit-une-


ressource-renouvelable-il-ne-faut-pas-pour-autant-la-gaspiller-les-quebecois-sont-
les.html)

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RAC-


CORDS DE (/2487470-Standard-de-construction-conduits-
attaches-et-raccords-de.html)
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT
DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils de-
vraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail (/2487470-Standard-de-construction-conduits-attaches-et-raccords-


de.html)

INTRO. Comment appliquer une peinture en façade? Caisse à


outils. Matériaux nécessaires (/1762262-Intro-comment-appliquer-
une-peinture-en-facade-caisse-a-outils-materiaux-
Comment appliquer une peinture en façade? NIVEAU DE DIFFICULTÉ DÉBUTANT
Con rmé EXPERT Caisse à outils Une combinaison ou tenue de travail
adaptée Une bâche Des gants et lunettes de protection Une bande

Plus en détail (/1762262-Intro-comment-appliquer-une-peinture-en-facade-caisse-a-


outils-materiaux-necessaires.html)

Résultats et impacts (/2995651-Resultats-et-impacts.html)


Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraî-
chère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de
Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail (/2995651-Resultats-et-impacts.html)

* Extraits d'un entretien e ectué dans le Karyassa 'supres de


membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté
par Etienne Le Roy. (/245620-Extraits-d-un-entretien-e ectue-
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les
Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la
dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits

Plus en détail (/245620-Extraits-d-un-entretien-e ectue-dans-le-karyassa-supres-de-


membres-d-un-clan-tamashek-les-kel-taddak-document-presente-par-etienne-le-
roy.html)

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques


aux ns de transposition et de reproduction à plus grande échelle
(/12061-Agriculture-paysanne-durable-innovations-et-meilleures-
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de
lutte participative contre la déserti cation et de réduction de la pauvreté
dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts

Plus en détail (/12061-Agriculture-paysanne-durable-innovations-et-meilleures-


pratiques-aux- ns-de-transposition-et-de-reproduction-a-plus-grande-echelle.html)

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:


(/2348848-Notice-de-pose-notice-de-pose-1-2-1-fond-2-
important.html)
Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l
intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les pan-
neaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail (/2348848-Notice-de-pose-notice-de-pose-1-2-1-fond-2-important.html)

Quelques éléments de bibliographie : (/320936-Quelques-


elements-de-bibliographie.html)
Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas
sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de
Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau

Plus en détail (/320936-Quelques-elements-de-bibliographie.html)

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et


logiciel de calcul (/1298570-Rotations-dans-la-culture-de-pomme-
de-terre-bilans-humiques-et-logiciel-de-calcul.html)
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre
2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans hu-
miques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail (/1298570-Rotations-dans-la-culture-de-pomme-de-terre-bilans-


humiques-et-logiciel-de-calcul.html)

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1.


SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème
(/299073-Plan-de-situation-c-est-le-plan-qui-localise-votre-terrain-
PERMIS DE M. X. Plan de situation. Plan de masse 3. Coupe 4. Notice
descriptive. Façades et plan de toiture. Insertion graphique 7. Photo dans
le paysage proche 8. Photo dans le paysage lointain Mise à

Plus en détail (/299073-Plan-de-situation-c-est-le-plan-qui-localise-votre-terrain-pcmi-


1-saint-denis-bellepierre-parcelle-ay-592-ech-1-2000-eme.html)

S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte (/55326-S-


orienter-et-se-reperer-sur-le-terrain-avec-une-carte.html)
www.ign.fr > Espace éducatif > Les ches thématiques > Lecture de la carte S'orienter
et se repérer sur le terrain avec une carte Il s'agit d'e ectuer une correspondance
entre le lieu où l'on se trouve

Plus en détail (/55326-S-orienter-et-se-reperer-sur-le-terrain-avec-une-carte.html)

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur


une carte topographique (/1935711-Etude-de-la-carte-de-vezelise-
initiation-a-la-lecture-du-relief-sur-une-carte-topographique.html)
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte
topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de
côte Apprentissage de la lecture du relief sur une

Plus en détail (/1935711-Etude-de-la-carte-de-vezelise-initiation-a-la-lecture-du-relief-


sur-une-carte-topographique.html)

Dé nition des variables présentées dans le RICA (/2595203-


De nition-des-variables-presentees-dans-le-rica.html)
Les termes en gras italique sont dé nis par ailleurs dans le lexique. Les
termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le
Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail (/2595203-De nition-des-variables-presentees-dans-le-rica.html)

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 - (/2492287-


Carport-evolution-1-voiture-adossant-710470.html)
Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470-1 N O T I C E D E M O N T A
G E du Carport Evolution 1 Voiture Adossant Après l ouverture du colis de
votre Carport, n exposez pas les panneaux au rayonnement

Plus en détail (/2492287-Carport-evolution-1-voiture-adossant-710470.html)

VI) Exemple d une pépinière de plantes ornementales. (/2860997-


Vi-exemple-d-une-pepiniere-de-plantes-ornementales.html)
SOMMAIRE: Introduction. I) Dé nition d une pépinière. II) Objectifs de la
pépinière. III) Dé nition d une pépinière horticole (pour espèces
ornementales). IV) Implantation de la pépinière : IV.1) Le
Plus en détail (/2860997-Vi-exemple-d-une-pepiniere-de-plantes-ornementales.html)

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 (/1529678-Detail-des-


cultures-de-l-exploitation-en-2007.html)
République et Canton de Genève Département des nances Administra-
tion scale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à
déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail (/1529678-Detail-des-cultures-de-l-exploitation-en-2007.html)

Décrète : Ce règlement est applicable aux zones dé nies à l'article


premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964).
Ahmed Bahnini. (/1330604-Decrete-ce-reglement-est-applicable-
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) dé nissant les
zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de
construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)

Plus en détail (/1330604-Decrete-ce-reglement-est-applicable-aux-zones-de nies-a-l-


article-premier-fait-a-rabat-le-21-chaabane-1384-26-decembre-1964-ahmed-
bahnini.html)

Nourrir les oiseaux en hiver (/15237-Nourrir-les-oiseaux-en-


hiver.html)
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les
nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour
quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les

Plus en détail (/15237-Nourrir-les-oiseaux-en-hiver.html)

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT


PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice
jeune (FA < 3 f) (/2604446-Lutte-contre-les-adventices-annuelles-
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle
avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les
faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour

Plus en détail (/2604446-Lutte-contre-les-adventices-annuelles-qui-posent-probleme-


periode-d-application-pre-levee-ou-sur-adventice-jeune-fa-3-f.html)
Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de
courant de pointe (/1962497-Une-onzieme-machine-pour-200-
megawatts-supplementaires-de-courant-de-pointe.html)
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts
supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre
production d électricité et pointes de consommation A n d'augmenter

Plus en détail (/1962497-Une-onzieme-machine-pour-200-megawatts-


supplementaires-de-courant-de-pointe.html)

PREFECTURE DE LA LOZERE (/2632085-Prefecture-de-la-


lozere.html)
SOUS-PREFECTURE DE FLORAC POLE DE DEFENSE DES FORETS CONTRE L
INCENDIE PREFECTURE DE LA LOZERE Arrêté préfectoral n 2015071-0002 -
du 12 mars 2015 relatif à la prévention des incendies de forêts dans les

Plus en détail (/2632085-Prefecture-de-la-lozere.html)

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts


(/107211-Environnement-economie-societe-le-mais-sur-tous-les-
fronts.html)
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3
000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la
population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail (/107211-Environnement-economie-societe-le-mais-sur-tous-les-


fronts.html)

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions


céréalières (/375525-Revenu-agricole-2013-une-annee-delicate-
pour-les-productions-cerealieres.html)
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comp-
table agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des
exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail (/375525-Revenu-agricole-2013-une-annee-delicate-pour-les-


productions-cerealieres.html)
«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne
consomme pas» (/3088217-L-energie-la-moins-chere-et-la-moins-
polluante-est-celle-qu-on-ne-consomme-pas.html)
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne
consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de
l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail (/3088217-L-energie-la-moins-chere-et-la-moins-polluante-est-celle-qu-


on-ne-consomme-pas.html)

weber.cel bordure (procomix) (/293354-Weber-cel-bordure-


procomix.html)
Κ. ΚΑΛΦΙΔΗΣ ΕΠΕΞΕΡΓΑΣΜΕΝΑ ΔΟΜΙΚΑ ΥΛΙΚΑ ΤΕΧΝΙΚΑ ΚΟΝΙΑΜΑΤΑ
ΚΑΘΗΓ. Δ. ΕΥΡΙΓΕΝΗ 15 (ΚΕΡΑΜ. ΑΛΛΑΤΙΝΗ) ΤΚ 542 49 ΘΕΣ/ΝΙΚΗ ΤΗΛ /
FAX: 2310-330 003 e-mail: info@weberkal dis.gr www.weberkal dis.gr Το
έντυπο

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Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux (/95911-Chapitre-6-


coloniser-de-nouveaux-milieux.html)
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux
pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se
déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu

Plus en détail (/95911-Chapitre-6-coloniser-de-nouveaux-milieux.html)

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE


PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR (/2506682-Plan-general-d-
amenagement-forestier-seigneurie-de-perthuis-resume-note-au-
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certi cation forestière à la
norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous
vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier

Plus en détail (/2506682-Plan-general-d-amenagement-forestier-seigneurie-de-


perthuis-resume-note-au-lecteur.html)
6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'oc-
troi d'aides à l'agriculture Biologique (/2774996-6-novembre-2003-
arrete-du-gouvernement-wallon-relatif-a-l-octroi-d-aides-a-l-
6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi
d'aides à l'agriculture Biologique Le Gouvernement wallon, Vu la loi du 28
mars 1975 relative au commerce des produits de l'agriculture,

Plus en détail (/2774996-6-novembre-2003-arrete-du-gouvernement-wallon-relatif-a-l-


octroi-d-aides-a-l-agriculture-biologique.html)

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 (/106689-


Valerie-roy-fortin-agr-bio-pour-tous-6-mars-2015.html)
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Ré-
sultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de
variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail (/106689-Valerie-roy-fortin-agr-bio-pour-tous-6-mars-2015.html)

Moyens de production. Engrais (/2211970-Moyens-de-production-


engrais.html)
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les ton-
nages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à
peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est
principalement

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Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage


(/1878678-Preface-betterave-fourragere-un-concentre-de-
fourrage.html)
Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts in-
contestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bo-
vine de lait ou de viande ou pour la production ovine

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fourrage.html)

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE (/88740-Bancs-


publics-problematiques-traitees- che.html)
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc
public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à
retrouver des forces pour poursuivre son

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LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L


ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas
dans des Earthships. (/1757654-Les-pneus-sont-ils-dangereux-
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA
SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship,
où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail (/1757654-Les-pneus-sont-ils-dangereux-pour-la-sante-et-l-


environnement-les-pneus-sont-dangereux-dans-des-piles-pas-dans-des-earthships.html)

Plan de désherbage, plan de gestion di érenciée : objectifs et mise


en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par
les communes? (/1599390-Plan-de-desherbage-plan-de-gestion-
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion di érenciée : ob-
jectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en
place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction

Plus en détail (/1599390-Plan-de-desherbage-plan-de-gestion-di erenciee-objectifs-et-


mise-en-oeuvre-concrete-quelles-sont-les-actions-a-mettre-en-place-par-les-
communes.html)

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de


Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la ré-
gion de La Maxe-Thur;y (/1899152-M-guillaume-alimentation-en-
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Im-
plantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-
Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES
GEOPHYSIQUES

Plus en détail (/1899152-M-guillaume-alimentation-en-eau-potable-de-la-ville-de-


metz-implantation-de-nouvelles-stations-de-pompage-dans-la-region-de-la-maxe-thur-
y.html)

Les potagers Neerstalle (/1475152-Les-potagers-neerstalle.html)


Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environ-
nement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des
Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service

Plus en détail (/1475152-Les-potagers-neerstalle.html)

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la


réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du
07/07/97) (/2646168-Les-dimensions-mentionnees-sont-pour-la-
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises
dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du
07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers

Plus en détail (/2646168-Les-dimensions-mentionnees-sont-pour-la-plupart-reprises-


dans-la-reglementation-sts54-nbn-en-3509-rgpt-arrete-royal-du-07-07-97.html)

Construction en bottes de paille (/1523488-Construction-en-


bottes-de-paille.html)
Construction en bottes de paille Performance technique, économique et
écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R =
6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

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Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31


(/225684-Fiche-de-donnees-de-securite-selon-1907-2006-ce-
article-31.html)
Page : 1/5 1 Identi cation de la substance/du mélange et de la
société/l'entreprise Identi cateur de produit Utilisations identi ées perti-
nentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail (/225684-Fiche-de-donnees-de-securite-selon-1907-2006-ce-article-


31.html)

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures.


Geneviève Labrie (/319893-La-lutte-integree-contre-les-ravageurs-
de-sol-en-grandes-cultures-genevieve-labrie.html)
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La
lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880
avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détail (/319893-La-lutte-integree-contre-les-ravageurs-de-sol-en-grandes-
cultures-genevieve-labrie.html)

Diagnostic de la Tranche 1 du programme. de restauration de la


Sienne (/1352297-Diagnostic-de-la-tranche-1-du-programme-de-
restauration-de-la-sienne.html)
Diagnostic de la Tranche 1 du programme de restauration de la Sienne Mé-
thodologie : - Choix du secteur géographique Le chi rage a été fait à partir
d un diagnostic global de la Tranche 1 du programme

Plus en détail (/1352297-Diagnostic-de-la-tranche-1-du-programme-de-restauration-


de-la-sienne.html)

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie géné-


tique (/105536-Theme-selection-genetique-des-plantes-
hybridation-et-genie-genetique.html)
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations a n de
comprendre les caractéristiques et les limites de la modi cation

Plus en détail (/105536-Theme-selection-genetique-des-plantes-hybridation-et-genie-


genetique.html)

Annexe 3 Captation d énergie (/874043-Annexe-3-captation-d-


energie.html)
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation
Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l
octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail (/874043-Annexe-3-captation-d-energie.html)

Un expérience pluridisciplinaire de l intensi cation écologique en


Agriculture Familiale (/284225-Un-experience-pluridisciplinaire-de-
l-intensi cation-ecologique-en-agriculture-familiale.html)
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des
exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013)
Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail (/284225-Un-experience-pluridisciplinaire-de-l-intensi cation-


ecologique-en-agriculture-familiale.html)

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision:


25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
(/2652148-Raid-pieges-anti-fourmis-x-2-1-5-date-de-creation-
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY
FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1
IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID
PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail (/2652148-Raid-pieges-anti-fourmis-x-2-1-5-date-de-creation-revision-


25-10-1998- che-de-donnees-de-securite-non-classe.html)

FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Lar-


regle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) (/2421912-
Favoriser-la-biodiversite-dans-le-cimetiere-guillaume-larregle-
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle
(Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE
RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la
faune

Plus en détail (/2421912-Favoriser-la-biodiversite-dans-le-cimetiere-guillaume-


larregle-maison-de-l-environnement-de-seine-et-marne.html)

ACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET


LES MARGES (/2842852-Accessoires-et-temporaires-autorises-
dans-les-cours-et-les-marges.html)
TERMINOLOGIE (RÈGLEMENT 5001, ART.21) ABRI D AUTO PERMANENT
(CAR-PORT) Construction accessoire reliée à un bâtiment principal formée
d'un toit appuyé sur des piliers, dont un des côtés est mitoyen au bâtiment

Plus en détail (/2842852-Accessoires-et-temporaires-autorises-dans-les-cours-et-les-


marges.html)
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n
3 juillet 2012 (/2525260-La-lettre-electronique-du-service-
economie-agricole-de-l-essonne-n-3-juillet-2012.html)
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet
2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'es-
sonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée

Plus en détail (/2525260-La-lettre-electronique-du-service-economie-agricole-de-l-


essonne-n-3-juillet-2012.html)

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume


du bac à graisses. Pose (/2486431-Le-bac-a-graisses-
pretraitement-schema-de-principe-volume-du-bac-a-graisses-
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canali-
sation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique
toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail (/2486431-Le-bac-a-graisses-pretraitement-schema-de-principe-volume-


du-bac-a-graisses-pose.html)

TRANSFORMATION ET CONSERVATION DES PRODUITS Fabrication


de con ture et de pâte de fruit. Objectifs. Itinéraire pédagogique.
(/1759107-Transformation-et-conservation-des-produits-
TRANSFORMATION ET CONSERVATION DES PRODUITS Fabrication de con -
ture et de pâte de fruit Ce module est l apprentissage du métier de
con seur. La session permettra à ceux qui projettent de mettre en place

Plus en détail (/1759107-Transformation-et-conservation-des-produits-fabrication-de-


con ture-et-de-pate-de-fruit-objectifs-itineraire-pedagogique.html)

ANNEXE 6 LES SYSTEMES DE RIZICULTURE DE BAS FONDS


(/168512-Annexe-6-les-systemes-de-riziculture-de-bas-fonds.html)
ANNEXE 6 LES SYSTEMES DE RIZICULTURE DE BAS FONDS 1. L ITINERAIRE
TECHNIQUE Le choix de la parcelle de bas-fonds Les bas-fonds sont des
milieux moins étendus que les versants et une famille a en général

Plus en détail (/168512-Annexe-6-les-systemes-de-riziculture-de-bas-fonds.html)


http://www.allier.chambagri.fr/ leadmin/documents_ca03/divers_p
df/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures (/105712-Http-
www-allier-chambagri-fr- leadmin-documents_ca03-divers_pdf-
Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation va-
riétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos
cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,

Plus en détail (/105712-Http-www-allier-chambagri-fr- leadmin-documents_ca03-


divers_pdf-bon_usage_des_prdts_phyto-pdf-a-vos-cultures.html)

Bibliothèque Royale Albert 1er (/3158653-Bibliotheque-royale-


albert-1er.html)
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but
de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la
création de potagers écologique (sans pesticide,

Plus en détail (/3158653-Bibliotheque-royale-albert-1er.html)

Colle époxydique multi usages, à 2 composants (/428850-Colle-


epoxydique-multi-usages-a-2-composants.html)
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04
02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Des-
cription est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail (/428850-Colle-epoxydique-multi-usages-a-2-composants.html)

LIVRET DE RESTITUTION (/2828357-Livret-de-restitution.html)


LIVRET DE RESTITUTION ESPACE TRUILLOT...... IMAGINONS UNE PROME-
NADE PLANTÉE Atelier de sensibilisation à la ville et à l architecture 2012
CAUE de Paris 2 L architecture et le paysage urbain composent

Plus en détail (/2828357-Livret-de-restitution.html)

J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!


(/62047-J-ai-tellement-faim-que-je-pourrais-manger-un-arbre.html)
J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hy-
pertextes vers d'autres sites de l'internet ne signi ent nullement que l'or-
ganisation approuve o ciellement les opinions, idées, données
Plus en détail (/62047-J-ai-tellement-faim-que-je-pourrais-manger-un-arbre.html)

Guide de Terrain - Première ronde (/2434007-Guide-de-terrain-


premiere-ronde.html)
Guide de Terrain - Première ronde Programme Santé/Nutrition et WASH
dans le village de Magaji Arzita: Les plantations de Moringa Oleifera ATE-
LIER USAID/FFP SUR LA GESTION ET LES RÉGULATIONS
ENVIRONNEMENTALES

Plus en détail (/2434007-Guide-de-terrain-premiere-ronde.html)

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