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Protection de l'Environnement

IMPORTANCE DE LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT


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INSTALLATIONS CLASSÉES POUR LA PROTECTION
Ingénieurs en DE L'ENVIRONNEMENT
Sécurité Industrielle

I - PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT - RISQUE INDUSTRIEL ................................... 1

II - LA PROCÉDURE DE DÉCLARATION............................................................................. 2

III - LA PROCÉDURE D'AUTORISATION.............................................................................. 3

IV - LES PRESCRIPTIONS DE FONCTIONNEMENT............................................................ 4

Ce document comporte 11 pages

EN DIV - 01898_B_F - Rév. 1 15/09/2005


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I- PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT - RISQUE INDUSTRIEL
Les Installations Classées pour la Protection de l'Environnement regroupent l'ensemble des installations qui
présentent des dangers ou des nuisances pour l'environnement.
Ces installations sont soumises depuis Napoléon 1er au contrôle de l'administration. En effet, le décret
impérial du 10 octobre 1810 fixe les premiers fondements réglementaires de l'Inspection des Installations
Classées modernes. L'ensemble de la réglementation française actuelle sur les ICPE est maintenant
rassemblée dans le titre 1er du livre V du code permanent de l'environnement (Ancienne loi n°76-663 du
19 juillet 1976) depuis le 18 septembre 2000.
La section du code permanent de l'environnement relative aux installations classées pour la protection de
l'environnement encadre leurs activités afin de réduire ou d'éviter toute pollution en provenance de ces
installations.
La législation relative aux ICPE est la base juridique de la politique environnementale industrielle en
France. En dehors des installations nucléaires et des mines, elle vise toutes les activités industrielles, les
élevages intensifs et les activités de traitement de déchets.
Le risque industriel majeur est un événement accidentel se produisant sur un site industriel et entraînant
des conséquences immédiates graves pour le personnel, les populations avoisinantes, les biens ou
l'environnement. Afin de limiter l'occurrence et les conséquences d'un accident majeur, l'administration
répertorie et soumet les établissements les plus dangereux à la réglementation sur les ICPE. Cette
réglementation distingue :
_ les installations, assez dangereuses, soumises à DÉCLARATION
– les installations, plus dangereuses soumises à AUTORISATION et devant faire l'objet d'une
étude d'impact et d'une étude dangers
– les plus dangereuses, dites "installations SEVESO", qui sont soumises à AUTORISATION et
servitudes d'utilité publique pour certaines installations et assujetties à une réglementation
spécifique
(La servitude d'utilité publique est une procédure administrative qui vise à empêcher la
construction sur certains terrains autour du site classé pour des questions de sécurité et de
salubrité publique).
Ne sont soumises à cette réglementation que les installations dont une ou plusieurs de ses activités font
l'objet d'une inscription sur une liste appelée nomenclature des installations classées pour la protection de
l'environnement (Décret du 20 mai 1953 - modifié à plusieurs reprises). Cette classification s'opère pour
chaque établissement en fonction de différents critères : activités, procédés de fabrication, nature et
quantité de produits élaborés, stockés…
la nomenclature définit plusieurs régimes de classement qui tiennent compte à la fois de la quantité et de la
dangerosité des produits utilisés et des activités exercées.

NC D A AS
NON CLASSÉE Soumise à déclaration Soumise à autorisation Soumise à autorisation et
d'utilité servitude
publique

• Pas de contrainte • Réglage de déclaration • Enquête publique • Idem Autorisation


spécifique • Arrêté préfectoral • Avis des communes et des • Maîtrise de l'urbanisme
• Prescription spécifique services administratifs • Informations du public
concernés • Organisation des secours
• Arrêté préfectoral Plans d'urgence POI et
d'autorisation PPI
• Prescriptions spécifiques

* POI : Plan d'IOpération Interne


** PPI : Plan Particulier d'Intervention
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Exemple :

Rubrique n°1135 - Fabrication de l'ammoniac

Rubrique modifiée par le décret n°99-1220 du 28 décembre 1999

Ammoniac (fabrication industrielle de l')


La quantité totale susceptible d'être présente dans l'installation étant :
1. Supérieure ou égale à 200 t (A - 6) S
2. Inférieure à 200 t (A - 3)

Rubrique n°1412 - Stockage de Gaz inflammables liquéfiés

Rubrique créée par le décret n°99-1220 du 28 décembre 1999

Gaz inflammables liquéfiés (stockage en réservoirs manufacturés de), à l'exception de ceux visés
explicitement par d'autres rubriques de la nomenclature :

Les gaz sont maintenus liquéfiés à une température telle que la pression absolue de vapeur
correspondante n'excède pas 1,5 bar (stockages réfrigérés ou cryogéniques) ou sous pression quelle que
soit la température.
1. La quantité totale susceptible d'être présente dans l'installation étant supérieure
ou égale à 200 t (A - 4) S
2. La quantité totale susceptible d'être présente dans l'installation étant
a) Supérieure ou égale à 50 t (A - 2)
b) Supérieure à 6 t mais inférieure à 50 t (D)

(D) D : Soumises à déclaration

(A - R) A : Soumises à autorisation - R : Rayon d'affichage

(A - R) S A : Soumises à autorisation - R : Rayon d'affichage - S : Servitude d'utilité publique

La planche en annexe 1 résume la chronologie et l'imbrication des principaux textes législatifs de la


réglementation ICPE.

II - LA PROCÉDURE DE DÉCLARATION
Ce régime concerne les installations qui ne présentent pas de dangers ou d'inconvénients graves pour le
voisinage, la santé ou la salubrité publiques.

Il s'agit d'une procédure légère et rapide qui consiste à faire connaître au préfet son activité et à respecter
des prescriptions standardisées.

Pour cela, le futur exploitant adresse au préfet un dossier précisant la nature des activités qu'il souhaite
exercer. Si le dossier est confirmé, l'exploitant reçoit du préfet un récépissé de déclaration et les
prescriptions type applicables à l'établissement, c'est-à-dire les contraintes concernant l'installation et
l'exploitation du site.

Les prescriptions générales applicables aux installations soumises à déclaration font l'objet d'arrêtés
préfectoraux.

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III - LA PROCÉDURE D'AUTORISATION


C'est une procédure longue. Il faut compter en général de 8 à 10 mois entre le début de l'instruction et
l'obtention de l'arrêté d'autorisation. La demande d'autorisation doit être obtenue avant toute exploitation
d'une installation.

Ce régime concerne les installations qui présentent des risques ou des nuisances potentielles
plus importantes. Préalable à la mise en service des installations, l'autorisation d'exploiter n'est
délivrée qu'à l'issue d'une procédure d'instruction visant :
– à apprécier l'impact environnemental du projet, en fonctionnement normalement et en
cas de dysfonctionnement, sur la base d'un dossier technique détaillé élaboré sous la
responsabilité du futur exploitant
– à élaborer les prescriptions particulières applicables à ce dernier au travers de l'arrêté
préfectoral d'autorisation proprement dit.

La procédure d'autorisation débute par la constitution d'un dossier de demande d'autorisation.

a) Le dossier de demande d'autorisation

Le dossier, dont le contenu est explicité dans le décret du 21 septembre 1977 (Art. 2), comporte plusieurs
documents obligatoires parmi lesquels deux pièces incontournables :
– une étude d'impact (santé et environnement) afin d'identifier et d'évaluer les effets
directs et indirects, temporaires et permanents du projet envisagé au regard des
intérêts protégés par l'article 1er de la loi du 19 juillet 1976 et l'article 2 de la loi du
3 janvier 1992 sur l'eau (par exemple : bruit, transport routier supplémentaire, etc.)
– une étude de dangers afin de recenser et de décrire les accidents susceptibles
d'affecter l'installation et son environnement pour justifier par la suite les mesures
propres à réduire la probabilité d'occurrence et/ou les conséquences de tels
accidents. L'étude de dangers doit également préciser l'organisation des secours en
cas de sinistre.

⇒ C'EST LE DOCUMENT DE RÉFÉRENCE dans l'élaboration de la Politique de


Prévention des Accidents Majeurs

Ces deux documents sont fondamentaux pour expliciter comment le projet a été conçu, justifier les
mesures de prévention proposées et donner une évaluation des incidences que l'exploitation entraînerait
pour l'homme et l'environnement, en situation normale au travers de l'étude d'impact et en cas d'accident
au travers de l'étude de dangers.

Dans le cadre des établissements SEVESO, l'étude de dangers permet l'élaboration du Plan d'Organisation
Interne (POI) et du Plan Particulier d'Intervention (PPI).

Les études sont orientées autour de 3 axes prioritaires, à savoir :


– la prévention des risques sanitaires
– la sécurité industrielle
– la protection du milieu naturel

Ce dossier a trois fonctions :


– aider le maître d'ouvrage à concevoir un projet respectueux de l'environnement
– informer le public concerné par les risques identifiés
(Les planches 2 et 3 en annexe 2 donnent quelques exemples d'information du public
dans le cadre d'une demande d'autorisation ou de renouvellement de l'autorisation).
– permettre à l'administration de disposer d'éléments d'appréciation pour justifier la
décision du préfet.
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L'arrêté préfectoral valide la demande d'autorisation et encadre les conditions de fonctionnement de
l'établissement, suivant un plan relativement standard, à savoir :

– conditions générales
- prévention de la pollution de l'eau
– prévention de la pollution atmosphérique
– prévention du bruit et des vibrations
– traitement et élimination des déchets
– prescriptions propres à certaines activités
– dispositions administratives - délais d'application.

Les différentes phases de la procédure d'autorisation sont détaillées dans les planches en annexe 3.

IV - LES PRESCRIPTIONS DE FONCTIONNEMENT


Ces prescriptions sont fixées dans l'arrêté préfectoral, sur la base :

• de l'arrêté intégré du 2 février 1998 relatif aux prélèvements et à la consommation d'eau ainsi
qu'aux émissions de toutes natures des installations classées pour la protection de
l'environnement soumises à autorisation. Les prescriptions de cet arrêté qui ne présentent pas
un caractère précis en raison de leur généralité, ou qui n'imposent pas de valeurs limitées, sont
précisées dans l'arrêté d'autorisation.

Cet arrêté :

– s'applique aux rejets des ICPE soumises à autorisation

– s'intéresse à l'ensemble des milieux (air, eau, sol) et aux déchets

– préconise le principe de mise en œuvre des meilleures technologies disponibles à un


coût économiquement acceptable dans le respect de la qualité des milieux naturels

• Et pour les activités n'entrant pas dans le champ d'application de cet arrêté (comme les
installations d'incinération, de traitement de surface, les cimenteries, …) sur la base d'arrêtés
ministériels.

L'arrêté intégré du 2 février 1998 sert de référence pour l'élaboration des arrêtés d'autorisation notamment :

– la mise en œuvre de technologies propres, le développement de techniques de


valorisation, la collecte sélective et le traitement des effluents et déchets en fonction
de leurs caractéristiques et la réduction des quantités rejetées

– la captation à la source et la canalisation des effluents

– l'emploi de meilleures technologies disponibles à un coût économiquement


acceptable, dans le respect de la qualité des milieux naturels

– des valeurs limites selon le flux horaire maximal autorisé

– le débit d'odeur

– des dispositions spécifiques pour certaines activités (raffineries, sidérurgie, centrales


d'enrobages au bitume de matériaux routiers, …)

– des points de prélèvements d'échantillons et des point de mesure


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– le calcul de hauteur de la cheminée, des calculs de dispersion des polluants*

– le programme de surveillance* des émissions

– des bilans* annuels pour certaines substances, dont les gaz à effet de serre

– une surveillance* de la quantité de l'air ou des retombées

* à partir de certains seuils

En matière de bruit et de vibrations, les émissions sonores doivent respecter l'arrêté du 23 janvier
1997.

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– Annexe 1 –

LE CADRE LEGISLATIF ET LA REGLEMENTATION


Installations Classées pour la Protection de l’Environnement ICPE

Fondement de la réglementation sur


Les ICPE : 3 classes d’établissements Décret impérial du 15 octobre 1810 Pose le principe de l’autorisation
définies : Relatif aux manufactures et ateliers insalubres, administrative préalable
1. « Ceux qui doivent être éloignés des habitations incommodes ou dangereux Confie l’autorité au préfet
particulières »
2. « Ceux dont l’éloignement des habitations n’est pas
rigoureusement nécessaire , mais dont il importe
néanmoins de ne permettre la formation qu’après avoir
acquis la certitude que les opérations qu’on y pratique sont
exécutées de manière à ne pas incommoder les
propriétaires du voisinage, ni leur causer des dommages » Loi du 19 décembre 1917 Libéralisation de la troisième classe
3. « Ceux qui peuvent rester sans inconvénient auprès des
habitations mais doivent rester soumis à la surveillance de
Relative aux établissement dangereux, insalubres (Régime de déclaration)
la police » ou incommodes

Décret du 20 mai 1953 Classification des différentes activités


Nomenclature des installations classées présentant un risque

DROIT EUROPEEN
SEVESO Loi ICPE : base juridique de la politique
environnement industriel en France
Directives Européennes : Cadre législatif et réglementaire
1. Du 24 juin 1982 (Seveso 1) actuel
Concerne la prévention des d’accidents Concerne les Installations Classées
majeurs impliquant certaines activités. pour la Protection de l’Environnement
2. Du 9 décembre 1996 (Seveso 2 Loi du 19 Juillet 1976
Abroge la précédente directive) Transposée dans le code de Définit 2 régimes :
Concerne la maîtrise des risques liés aux l’environnement (Titre I – Livre V) D : Déclaration
accidents majeurs impliquant des substances (Depuis le 18 septembre 2000) A : Autorisation
dangereuses

Modification du décret d’application du Modification du décret du 20 mai 1953


21 septembre 1977 Maintien de la nomenclature ICPE
(Actualisée en permanence)

Définit les procédures : Nomenclature à 2 entrées :


De déclaration Par substances et préparations
D’autorisation Par activités
(impose un POI aux ICPE AS) Art 17

Loi du 22 juillet 1987 Prévoit des plans d’urgence externes


Relative l’organisation de la sécurité civile, à la (PPI et PSS)
protection de la forêt contre l’incendie et à la Le droit à l’information des
prévention des risques majeurs populations

Finalise une démarche en quatre points :


Décret du 6 mai 1988 La réduction du risque à la source
Relatif aux plans d’urgence L’organisation des secours
Maîtrise de l’urbanisme
L’information du public
Définit les plans d’organisation des secours :
Plans ORSEC – Plans d’urgence

* PPAM Politique de Prévention des Accidents Majeurs


Arrêté ministériel du 10 mai 2000 Création de catégorie (seuils Haut et * SGS Système de Gestion de la Sécurité
Seuils Bas) - Règle du cumul * POI Plan d’Opération Interne
* PPI Plan Particulier d’Intervention
Prévention des accidents majeurs impliquant des Effet domino
substances ou des préparations dangereuses Notification des accidents
D GEN 1116 A

présentes dans certaines catégories (1)Renforce des exigences :


Facteur Humain (SGS et PPAM)
d’installations classées pour la protection de Révision tous les 5 ans de l’étude de dangers
Renforce des exigences (1) Plan d’urgences : Test des POI (<3) Art 17 décret 21/9/77
l’environnement soumises à autorisation
Maîtrise de l’urbanisme et PPI (<5ans) Art 4 Décret du 6/5/88
Information du public (<3ans)

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– Annexe 2 –

D SEC 1304 A

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D SEC 1305 A

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– Annexe 3 –

Schéma de la procédure d’autorisation

Exploitant Le dossier comprend :


Constitution du dossier Nature et volume des activités
Procédés de fabrication
Les matières utilisées
Les capacités techniques et financières
Plans
Etude d’impact
Etude de dangers

Exploitant Dépôt du dossier en préfecture Demande de complément


(7 exemplaires)

DRIRE Instructions du dossier Etablissement du rapport de mise à l’enquête - 60 jours maximum si


Direction Régionale de l’industrie, de la publique le dossier est complet
Recherche et de l’environnement

Préfet Communication du dossier au tribunal


administratif
(après recevabilité par la DRIRE)

Tribunal administratif Désignation d’un commissaire enquêteur ou d’une - 15 jours maximum


commission d’enquête

Préfet Arrêté d’ouverture d’enquête publique

Préfet et maires Affichage et publication de l’arrêté d’enquête Affichage en mairie et dans le voisinage de l’installation - 15 jours avant le
Information dans deux journaux
début de l’enquête
publique

Exploitant Enquête publique Envoi du dossier aux services administratifs - Services administratifs
Réunion publique (facultatif) Police des eaux et conseils municipaux
DDE
Consultation du CHSCT Rapport de réunion publique (45 jours maxi)
DDAF
DDASS
(Possibilité pour le public de consigner un avis sur le registre DIREN, …
d’enquête et rencontrer le commissaire enquêteur) - Enquête publique
(1 mois + 15 jours éventuels de
Avis des conseils municipaux prolongation)

Commissaire enquêteur Remise des observations d’enquête à l’exploitant - Sous 8 jours

Exploitant Mémoire en réponse des observations - 12 jours maximum

Commissaire enquêteur Rapport et conclusion de l’enquête publique à Rapport communicable au public - 15 jours maximum
l’intention du préfet

DRIRE Rapport de synthèse


(Inspection des ICPE) Proposition de prescriptions
Informations : exploitant, L’exploitant prévenu 8 jours plus tôt peut se faire 8 jours minimum
DDASS membres du Comité Départemental d’Hygiène entendre
(Secrétaire du CDH) (CDH)

Préfet Projet d’arrêté Le projet d’arrêté est porté à la connaissance de - 15 jours maximum
l’exploitant pour y répondre

Exploitant Réponse de l’exploitant

Préfet L’arrêté contient les prescriptions que doit - 3 mois après


respecter l’industriel. réception du dossier
ARRETE PREFECTORAL
D GEN 1118 A

Ex : Pour les rejets, les valeurs limites de d’enquête publique


concentration et de flux des divers polluants (Prolongeable par arrêté
motivé)

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