83 SGN 277 Idf

: ^SYNDICAT INTERCÖMMUKÄL : :
POUrtAMENAGJEMENTÍDU MORBRAS '"

-i....
COMMUNES DE ROISSY-EN7BRIE, PONTAULT-COMBAULTi PONTCARRE
Etude hydrogéologique et géotechnitiue

de rayant-projef sommaire
de la digue du bassin de retenue du Morbras
_ ( Seine-et-Marne )
-.5./-: 7 198A
BUREAU DERÉCHERCHÉS GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service géologique régional ILE D E F R A N C E
RAPPORT DU B.R.G.M.
83SGN 277 IDF
SYNDICAT INTERCOMMUNAL POUR L'AMÉNAGEMENT DU MORBRAS
COMMUNES DE ROISSY-EN-BRIE, PONTAULT-COMBAULT, PONTCARRE
ROISSY-EN-BRIE
(Seine-et-Marne)
SYNTHESE HYDROGEOLOGIQUE ET HYDROCKEMIOüE
EN VUE DE IA CREATION DU PLAN D'EAU
DE PONTILLAULT
• : par
G. BERGER
avec la collaboration de Ph. M3RCX et X. RICH
83 IDF 032 Juin 1983
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES

SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX - Tél. : (38) 63.80.01
Service géologique régional Ile de France

65, rue du général Leclerc
77170 BRIE COMTE ROBERT
Tél. : (6) 405.27.07
83 IDF 032 Brie, juin 1983

Le plan d'zaa de VontUHaalt qvJL do<Lt ¿ùta. cJizz ¿un. Iz Mon.bnaA,
au dfioLt du la con£lu<ince. de. ce. HUÍÁÍOJCLU avzc Iz nu. do. la L.onguU.oH.2. pe.ut
Q£H<L aLúnzntz pan. l<¿6 eaux ¿apeM-^cAeZlzi pteovenant dea siuÁ¿>¿>exiux. o.ux-mmte>
et de¿ dhjjÁJtá,cú.nA¿ que. pan. lu zaux ¿outeAÂaLnz&, ic.oalme.Yvt dz la nappz
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thz¿z hydn.ogzologA.quz da hzdtzan., Iz B . R . G M . a n.zatuz zi {¡alt n.zatu>zn.
pax Iz labonxxtoÁJiz dz l'E¿t pan¿&¿zn divznA ¿ondagu, 4o¿u-¿ó de pom.pa.gzi>
- 2-
1. - TRAVAUX DE JUILLET 1982
Le 28 juillet 1982, les travaux de forages destinés à mettre en pla-

ce les piézomètrès ont été'réalisés par-le laboratoire de l'Est parisien, à
l'aide d'une sondeuse Highway.
Ces premiers sondages (Cf implantation sur fig. 1 et coupes en an-

nexe) ont posé un certain nombre de problèmes aux solutions peu évidences.
En effet, il est apparu :
- que les Calcaires de Brie, en rive droite du Morbras étaient quasi inexis-
tants (F.1) voire absents (F.4),
- quelles Marnes vertes subaffleurantes montraient entre F.1 et F.4, où ne

pouvaient exister de phénomènes de fluage, un pendage de l'ordre de 10
pour 1.000, identique, d'ailleurs, il faut le remarquer, à la pente du
terrain,
- qu'il n'existait aucune nappe de surface, . . •
- que les forages implantés dans le fond du vallon (F.2 et F.3) recoupaient
des formations non en place constituées presqu* exclusivement de Marnes
vertes glissées.
Il fut donc décidé de procéder à l'étude géotechnique du site et

de programmer un complément de reconnaissance en fonction des divers résul-
tats connus à la fin de l'année 1982.
RETENUE DU RU DU MORBRAS Fig.l
Implantation des ouvrages et des coupes géologiques
Stamn dtpuratton
les Vieilles Vignes
le Ru du Moulin
S!- Martin
les
Regains
la Frette les Dix H u
la Mare du
18416-4
e de Pontillault
le Pommerot
100 200 300 400 500 m

Echelle : 1 / 5 000
- 4-•
2. - TRAVAUX DE MARS 1983
Du 18 au 28 mars 1983, trois forages ont été réalisés en fond de

vallon (Pz. 1 à Pz. 3) par le laboratoire de l'Est parisien à l'#aide d'une
sondeuse B. 40. .
Les coupes géologiques, techniques et les diagraphies gamma-ray

figurent en annexe.
Le premier forage, Pz. 1, a été réalisé au tricône et au trilame, alors

que les deux autres ont été carottés entièrement.
Comme pour les sondages précédemment exécutés, il s'avère que l'in-

terprétation géologique des coupes est difficile.
Les Marnes blanches de Pantin ont été érodées puis recouvertes

tout d'abord de pans de Marnes vertes glissées et ensuite d'alluvions argi-
lo-sableuses à rognons calcaires.
Le toit des Marnes d'Argenteuil se situe entre 5 et 7 mètres de

profondeur. . .
Le sondage Pz. 1 a été poursuivi jusqu'à la tête du Calcaire de

Champigny induré qui a été atteinte à 21 mètres de profondeur.
Les trois piézomètres ont été équipés de tubes PVC RABANAP de

80 nxn de diamètre, lanternes face aux Marnes de Pantin.-On bouchon d'ar-
gile surmonté d'une cimentation isole les terrains alluvionnaires de surface.
- 5 -
Des ponçages d'essai d'une durée de deux à trois heures ont été
effectués sur chacun des piézomètres. .
- 6-
3. - RÉSULTATS GÉOLOGIQUES
Les données géologiques apportées par les forages foncés dans le

secteur de Pontillault ont-permis de tracer les coupes géologiques 1 à 4
(figures 2 et 3 ) .
çqu?Ej_
Cette coupe qui épouse approximativement le lit du Morbras de

l'Ouest vers l'Est intègre les résultats géologiques du forage d'alimen-
tation en eau potable de Pontault-Combault (184.6X.0004), celle du forage
de reconnaissance hydrogéologique de Roissy (184-6X.0074) et celle du
piézomètre Pz. 1.
Au droit du Morbras de Pontillault à La Frette, il apparaît que

les Marnes vertes et les Marnes blanches ont été totalement ou en partie
érodées, et que les formations glissées" provenant des pentes, en particu-
lier les Marnes vertes, reposent directement sur les Marnes bleues d'Ar-
genteuil.
A la base de ces Marnes, sur 7 à 8 mètres d'épaisseur, existent

des Marnes beiges qui pourraient être déjà le sommet de la formation dite
des"Calcaires de Champigny".
La partie indurée de ces calcaires se situe entre les cotes 70

et 80 NGF.
Fig. II
RETENUE DU RU DU MORBRAS
Coupe géologique W . E
LA FRËTTE
Ru du MOULIN
10-
oo- s
--70
-60
-50
TV : Terre végétale
FB ; Formation de Brie . Limon * argiles + meulière

Echelle horizontale 1 / 5 000
C : Colluvions * Marnes vertes glissées
Echelle verticale 1 / 1000
MV : Marnes vertes en place
MP : Marnes de Pantin ( blanches calcareuses )
MA : Marnes d'Argenteuit ( Marnes bleues * sommet du Calcaire de Champigny marneux )
CC : Calcaire de Champigny
- 8 -•
Les coupes II, III et IV implantées au droit de la future retenue

confirment les résultats précédents :
- les formations de Brie, argile à meulière et calcaire démantelé, sont pré-
sents de part et d'autre du Morbras, avec toutefois, une exception en rive
droite, où existe, en certains secteurs, une lacune de sédimentation (fora-
ge F.4), •
•
- dans le fond du vallon, à proximité du Morbras et de la Longuiolle, l'érosion
atteint le sommet des Marnes bleues, sauf dans le profil amont (IV) .où la
base des Marnes de Pantin est en place.
RETENUE DU RU DU MORBRAS
Coupes géologiques N - S
S'N.NW S.SE
L E S VIEILLES V I G N E S LA M A R E DU COQ
RU DU MORBRAS
Ml M2
1
P3 91 Pi PZ1 P7
I I lpt1 I FB TV -110
»O-i TV FB I '
I 1 Mil \ I L_-100
100-
MP
MA -90
90- MA
TV»Umons*C MV
-80
so-
70- -70
6 0 -I
I
N.NW S_SE]N
i
LES VIEILLES VIGNES RU DU MORBRAS LA MARE DU COQ

Ml
11C-, -110
N.NW S.SE,N_NE s_sw

LES VIEILLES VIGNES RU DU MORBRAS RU DE LA LQNGUIOLLE
Ml M2
PÍO PZ3
110-1 TV r-110
FB FB TV
100--
r
•_ -I 100
90- MA -90
MV
MV
80- -80
-70
-60
TV : Terre végétale
FB : Formation de Brie Limons * argiles * meuiière Echelle horizontataLe : 1 /5000
C ; CoUuvions * marnes vertes glissées Echelle verticaLe : 1/1000
MV : Marnes vertes en place
MP : Marnes de Pantin ( blanchesf catcareuses )
MA : Marnes d'ArgenteuiL (marnes bleues)

- 10 -
4. - AQUIFÈRES POTENTIELS
A chaque formation perméable, correspond un aquifère potentiel :
Ils sont le siège d'une nappe temporaire, présente de novembre à

avril, alimentant d'une part les drains agricoles, d'autre part, la forma-
tion de Brie.
Les "Calcaires de Brie" quand ils existent, sont généralement bai-

gnés par l'eau qui a transité au travers des limons. '
Ils comportent une nappe perenne lorsque le substratum des Marnes

vertes est tabulaire, une nappe temporaire lorsque le substratum est affecté
d'un pendage important, comme c'est le cas sur la rive droite du Morbras.
- i:§S_MARWES_PE_PANTIN .
Les bancs calcaires qui forment l'assise supérieure des Marnes de

Pantin sont généralement aquifères. Par contre, la partie inférieure est
envahie par des sédiments essentiellement marneux et argileux.
A l'aplomb de la retenue, les assises supérieures ont été éro-

dées ; seuls subsistent les lambeaux des assises inférieures.
- 11 -
Les alluvions du Morbras sont hétérogènes, le plus souvent argileu-

ses. Cependant, à leur base les forages ont recoupé des sédiments calcaréo-
sableux provenant du démantellement des formations de Brie et des Sables de
Fontainebleau, sédiments assez perméables où circule de l'eau en sous-écoule-
ment. . .
- 12 -
5. - POMPAGES D'ESSAI
En dehors des essais de panpage et d'absorption réalisés sur les

trous creusés à la pelle Poclain pour les besoins de l'étude géotechnique,
les trois piézomètres foncés en mars 1983 et lanternes face aux Marnes de
Pantin ont fait l'objet de ponçages d'essai. •
Soit par suite d'un colmatage dû à la foration à l'aide d'un trila-

me, soit à cause de sédiments essentiellement marneux oui argileux, ce pié-
zomètre n'a pu débiter que quelques litres à l'heure.
- PIEZ0METRE Pz. 1
Après nettoyage à l'air lift, un ponçage de trois heures a permis

l'exhaure d'un débit moyen de 420 litres/heure pour un rabattement de 4,20 m,
d'où un débit spécifique de 2,8.10 m2/seconde.
La courbe de la remontée du niveau piézométrique portée sur gra-

phique semi-log (fig. 4) donne une valeur de transmissivité égale à 10~ m 2 / s ,
valeur assez faible, mais qui prouve cependant que le niveau des Marnes de
Pantin est susceptible de fournir un peu d'eau.
LE M O R B R A S _ PZ2 Remontée après 3h de pompage _ Le 25-03-1983
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- 14 -
- PIEZÖMETRE ?z. 3
Après nettoyage à l'air lift, tin pompage de deux heures a donné un

débit de 490 litres /heure pour un rabattement de 3,30 m, soit un débit spé-
cifique de 4,1.10 m2/seconde.
La transraissivité calculée à partir de la courbe de la figure 5

est de l'ordre de 2,5.10 m2/seconde.
A partir de ces valeurs, il est possible de connaître de façon ap-"*"

prochée le débit pouvant transiter par la retenue, débit provenant des niveaux
calcaréo-marneux. .
On considérera :
- que le gradient de la nappe est de l'ordre de 2 pour 1.000, gradient faible
mais qui .tient compte du fait que la nappe est en charge,
- que l'arrivée s'effectue sur un front de 200 mètres.
Le débit est donné par la formule
Q =T i 1
Q = débit en m3 /seconde
T = transmissivité en m2/seconde
i = gradient en m
1 = front en m . •
d'où . Q = ----1- Z-ï-Z-™. = 1,2.1o"5 m 3 /s = 40 litres/heure

1
1000
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- 16 -
1 x 10 x 2 x 200 = 4.10~5 m 3 /s
1000
Q_ =140 litres/heure
Ces débits sont faibles, nais n'oublions pas d'une part qu'ils ne
concernent que la partie marneuse des Marnes de Pantin,' et d'autre part, que
la partie calcaire présente à l'amont de la retenue, que nous n'avons pu
testée par suite de 1 'inaccessibilité du secteur, a donné 25 m3/heure à l'épui-
sement lors du fonçage du puits de Eoissy.
- 17 -
6. - HYDROCHIMIE
Trois prélèvements d'eau ont fait l'objet d'une analyse physicochi-

mique complète réalisée par le laboratoire agréé de Melun :
- le 13 septembre 1982 dans un puits creusé à la pelle, l'eau provenant des
alluvions sablo-calcaires,
- le 28 mars 1983 dans les piézomètres Pz. 2 et Pz. 3.
Les résultats détaillés figurent en annexe.

- Les eaux des alluvions sont assez minéralisées, carbonatées, calciques et
magnésiennes, très faiblement chargées en azote (2,8 mg/1 de NO,), mais
paraissant cependant chlorurées sodiques (47 mg/1 de Cl ; 32 mg/1 de Na) .
- Les eaux de Pz. 3, piézomètre foncé à proximité de la Longuiolle se rappro-

chent de celles des alluvions avec 5,1 mg/1 de NO.,, 49,8 mg/1 de Cl et
17,5 mg/1 de Na. ; . ' . , •
- Par contre, celles de Pz. 2, piézomètre foncé à la confluence des deux rus
sont peu minéralisées. Elles se caractérisent par une absence totale d'azo-
te peu de sulfates et de chlorures. Elles sont bicarbonatées calciques.
Ces eaux sont chimiquement pures ; leur faible taux d'azote est
un atout des plus favorables pour la dilution des eaux qui alimenteront
la future retenue.
- 18 -
6. - CONCLUSION
La synthèse des travaux de sondages réalisés sur et à proximité du

site de la future retenue de Pontillault a montré que l'aquifère des Calcai-
res de Brie était quasi inexistant sur la rive droite du Morbras et que le
pendage accentué du substratum imperméable constitué par les Marnes vertes .
favorisait une vidange rapide aussi bien des limons que des calcaires.
En l'occurrence/ durant les mois d'étiage, l'apport d'eau dû aux

drains et/ou à la nappe des Calcaires de Brie est inexistant.
Au centre de la vallée, à l'aplanb de la retenue, l'érosion des

Marnes vertes et des assises perméables des Marno-calcaires de Pantin limite
les possibilités d'alimentation par ce dernier aquifère.
Cependant, un horizon sablo-calcaire situé à la base des alluvions

et peut être aussi les Marno-calcaires de Pantin à l'amont de la retenue
qui n'ont pu être testés, par suite del'inaccessibilité du terrain, sont
susceptibles de fournir de l'eau si ce n'est en quantité, du moins en qua-
lité canne le montrent les résultats des analyses physicochimiques, eau
moyennement minéralisée au taux d'azote pratiquement nul, inférieur à
6 mg/litre. . .
N'oublions pas, de plus, que l'alimentation du plan d'eau sera

assurée par l'apport d'eaux pluviales provenant presqu'exclusivement des
zones imperméabilisées de la cannune de Roissy, l'apport d'eaux souter-
raines devant principalement compenser 1'evaporation des mois d'été soit
6 m 3 /h dans le cas le plus défavorable.
- 19 -
S'il s'avère que le cubage ne peut être obtenu dans les horizons
géologiques superficiels et, seuls les travaux de décaissement permettront
de s'en assurer, il sera nécessaire de foncer un forage profond qui pour-
:
rait avoir plusieurs buts :
- alimenter en eau potable les installations de la base de loisirs,
- assurer le chauffage des locaux de cette base par la mise en place d'une
pompe à chaleur eau-eau, les eaux froides et propres étant rejetées dans
la retenue,
- alimenter cette même retenue lors d'etiage sévère,
- voire, alimenter en eau de dilution, la future station d'épuration. •

COUPES DES SONDAGES REALISES LE 28 JUILLET 1982 PAR LE LABORATOIRE
DE L'EST PARISIEN A LA TARIERE HIGHWAY.
FORAGE F.1 - Cote 102
0,00 - 1,20 m Limon

1,20 - 2,00 m Calcaire blanchâtre et marne
2,00- 2,50m Banc dur de calcaire blanchâtre
2,50 - 4,00 m Marnes vertes.
Absence d'eau. •
Equipement : tube plastique plein de + 0,50 à - 1,50
crépine de - 1,50 à - 3,00
tube acier protecteur, cimenté.
0,00 - 1,50 m Limon

1,50 - 4,60 m Marnes vertes
4,60 m Marnes blanches (bande blanche ?)
Absence d'eau.
0,00 - 0,40 m Terre végétale noire

1,50 - 2,20 m Argile enrobant des graviers calcaires
PRESENCE D'EAU
2,20 - 2,70 m Marnes blanches
2,70 - 2,80 m Marnes vertes blanchâtres
2,80 - 6,00m Marnes blanchâtres et vertes
Equipement : tube plastique plein de + 0,50 à - 1,50
crépine de - 1,50 à - 2,50
tube acier protecteur cimenté.
A.2
FORAGE F . 4 - Cote 103
0,00 - 1,50 m Limon

Absence d'eau.
LE MORBRAS-Ptézomètre n°l
o COUPE GEOLOGIQUE COUPE TECHNIQUE GAMMA-RAY

(A
le 28-03-83
NS=-0,93
- «0,15
0
TV
0,30 J
Carottier —
Limons argileux, 0 168 .—«•
1,50
1,70
sableux
Sable argileux
Formation blanchâtre
argileuse .calcaire
Coulis de
ciment —
r
2,30 •
s
M a r n e s vertes T0 8O-
4,30
Bouchon
d'argile >
V)
Marnes blanches ?
-o
01
3'
»
9,80-
10
10,30 >
11,00
•te. #
Trilames — * ^
1
J—
Marnes bleues?
3Z
fti
3
(0
VI
15
•c:
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<n
m -ci =»
3 -,
10 —1
c
17,50
. . •' —
= ! •
Marnes bleues avec

passages d'argile
jaunâtre et calcaire
— — -
altéré h
20 1
21,10.
21,20 Calcaire
no
3-CU
LE MORBRAS _ Piézomètre n°2
o
in COUPE GEOLOGIQUE COUPE TECHNIQUE GAMMA-RAY
• 0,60 le 28-03-83
N S = -0,07
0
o TV — -
Limons argileux marron clair

• ^ -
r
- - - —
0,30 avec veines grisâtres Carottier

Limons argileux avec marnes __0168
1,00 grisâtres, pLus rognons cale.
Coulis de
2,10
Cale, avec marnes jaunâtres ciment —
-<
Bouchon'
2/10
Marnes vertes avec limons et d'argile _J
3,10
í5s¿*
rognons cale,végétaux vers Wr r- -*
2,70 m
S.
-p (u
0) -i
¿
f
Marnes blanches
5,10 •á r
TJ—T08O
Marnes bleues
.2 2 Carottier
"""0134
c «
LE MORBRAS _Piézomètre n° 3
COUPE TECHNIQUE GAMMA-RAY
o le 28-03-83
»0,40 NS=-0,19
a.
0
0,15 TV _L
Limons marron cLair -Carottier 0168 ?
1,50 ,Coulis d e ciment
id. avec rognons calcaires c
1.90 '¿8-g
M a r n e s vertes
M •
4.10 M a m e s blanches altérées -,

4,30 avec silex noirs anguleux
Marnes blanches
P B o u c h o n d'argile
>
5,40 Marnes grisâtres très |
-Carottier 0134
5,70 argileuses
Marnes blanches
compactes, sèches >3 K
7,20 -T08O
tO BU
M a r n e s bleues
^53 8.50 - -
9,20
10
de
iboratoire agréé par les Ministères . ANALYSE D'EAU effectuée pour le compte de
.de la Santé et de l'Environnement
3, Rue Barthel - 77000 MELUN

Téí. 0 6 8 . 8 9 . 9 0 B . R . G.M.
' "" "~ • . ' . : B . P . 34
0
d'analyse : 82B/4496 ... '• 77170 BRIE COMTE ROBERT
chantillons ]»«8Sea2S9idéposés le 20 SEPTEMBRE 1982
rovenance : Bassin du Morbras

prélèvement du 13/9/82 . . . .
AXES : F . F de frais.de prélèvement, soit :
- CARACTERISTIQUES DU CAPTAGE -
Situation géologique :
rigine : (source, puits, forage, rivière, etc.) Débit

:
Emplacement : ' ' . • . . .
Profondeur : ."'-."" "' Niveau statique : -
Gite géologique : :
•'- CARACTERISTIQUES ORGANOLEPTIQUES ET PHYSIQUES DE L'EAU -
Température de l'eau : . (Température de l'air :

Aspect : • , . . .-•..-'• '.'<.<:• ':,'..
Couleur : . .... .
Odeur :
:
Saveur : . • <). r .' : . •
Turbidité - indice de diffusion : .. :

Résistivité électrique (en Ohm. cm à 20° C ) : ,1205, •'. -M..•.
Conductivité (en îS/cm) : *............. - • • . . . .
PH à 20° c : •;..; . .7»o..
> - ANALYSE CHIMIQUE DE L'EAU - . . .
Résidu sec à 180 ° (en mg/1) : ..,

Matières en suspension' (en mg/1) :
Dureté : Titre hydrotimétrique total (en degré français) 37 °9
-
' •'• '' "'• Titre hydrotimétrique permanent (en degré français) 6°4
Alcalinité. :' Titre alcalimétrique en mg/litre de CaO 176,1

Titre alcalimétrique complet (TAC) ... 31°4
Oxygène cédé par K MnO4 mg/litre 02 (en milieu alcalin à chaud 10').. 0,20
Oxygène dissous immédiat en mg/litre 02 ;.
Oxygène dissous : pourcentage de saturation •
Azote Kjéldahl en mg/litre •.•••" * •-— •-• •••••••. -
Dioxyde de carbone libre en mg/litre C02 ............
Sulfure d'hydrogène en mg/litre H2S ...
Silice totale en mg/litre SiO2 ..; 27,8
Agressivité vis-à-vis*du carbonate de. calcium : essai au marbre •*:••"•• .
. Avant marbre ' : Après marbre
pH 7,0 :- 7,3 ;;
Alcalinité en mg/litre de CaO ... " 176,1 : • 185,0 .
ANIONS mg/1 Meq/1 CATIONS .. mg/1 Meq/1
Carbonate en Co3 Calcium en Ca . 128,88 6,44

Hydrogénocarbonate 387,96 6,36 Magnésium en Mg 13,80 1,13
en HC03 Sodium en Na 32,00 1,41
Silicates en H SiO3 38,09 0,50 Potassium en K • 2,80 -0,07
Chlorures en Cl 47,10 1,32 Ammonium en NH4 / 0,05 0,00
Sulfates en S04 72,40 1,45 Fer en Fe 0,07 0,00
Nitrites . en N02 0,02 0,00 Manganèse en Mn 0,03 0,00
r
Nitrates "" en N03 ^"2,80 • 0,04 Aluminium en Al - / 0,20 0,00 .
10
Orthophosphates en P04 L °> 0,00 . • • • . .
Fluorures en F 0,28 0,01 . ' • • - • • • •
Tetal des Anions .. 548,65 9,68 Total des Cations .. 177,58 9,06
A MELDN, le 6 OCTOBRE 1982

. LevDirecteor
. M. BILLECOCQ
•ENTRE DEPARTEMENTAL DE LUTTE -. Département de Seine-et-Marne .-
CONTRE LA POLLUTION
;
>oratoire agréé par les Ministères ANALYSE D'EAU effectuée pour le compte de
le la Santé et de l'Environnement
3, Rue Barthel - 77000 MELUN . . ,

Tél. 068.89.90 . . B. R. G. M. '
B.P. 34 :
d'analyse : 83B/1459 : 77170 BRIE COMTE ROBERT
hantillons ^S2S3^XHSè-déposés le 29 MARS 1983
ovenance : MORBRAS
P Z 2 . . . • • . » •
XES : F. sans • F de frais de prélèvement, soit :
• . . . • • - CARACTERISTIQUES DU CAPTAGE - " 's '
.tuation géologique : ' . . . •. .
igine : (source, puits, forage, rivière, e t c . ) ,:..•• Débit :

iplacement : . ' . . ' _• . . . . • . . / • • •
:ofondeur : • . . . , • . . . Niveau statique : • . •
.te g é o l o g i q u e : . . . .' • . . : ' • •
• •'"-.'•:. . .. :. -CARACTERISTIQUES ORGANOLEPTIQUBS ET.PHYSIQUES DE L'EAU -
empérature de l'eau : ' , (Températ.ure de l'air : . )

:
s p e c t : . . • ' . ; . - • • • ' * • • " - - • - • • " - • ' • . • - ' . ' • J . , ' " . " ' • -' •• ' •
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a v e u r : . . • • • . - . . . • • ' • • ' " . " ' . . • ' • .. •
urbidité - indice de diffusion : .......' •..;.•....-.-••. 1,3 .

ésistivité électrique (en O h m . cm à 20° C ) : ,. > , . . . . . . . • ; . . . • .169.5
onductivité (enyiS/cm) : »¿.. » , , . » . , •. : ' ; :
pH à 2 0 ° C : •..;•.... 7,3
- ANALYSE CHIMIQUE D E L ' E A U -
Résidu sec à 180 ° (en m g / 1 ) : î f ........i ;-: ; .« . .

stieres en suspension" (en m g / 1 ) : ,,•..,,.....•..• -..
-'Dureté : Titre hydrotimétrique. total . •. (en degré français) 33°3
- -/»-îTitre hydrotimétrique permanent (en degré français) 3°3
Alcalinité ':. Titre" alcalimétrique en mg/litre de CaO .. : 193,6

Titre alcalimétrique complet- ( T A C ) " ........... 34°6
Oxygène cédé par K MnO4 mg/litre 02 (en milieu alcalin à chaud 10').. 0,4
Oxygène dissous immédiat en mg/litre 02
;
'Azote Kjeldahl en mg/litre '. .
:
Dioxyde de carbone libre en mg/litre C02
Sulfure d'hydrogène en mg/litre H2S ....
Silice totale - en mg/litre SiO2 ; ... 26
Agressivité vis-à-yis du carbonate de calcium : essai au marbre . • . • " -••*.*
."•'"•• Avant marbre ' : Après marbre
pH ...... • 7,3 : 7,1
Alcalinité en mg/litre de CaO ... .193,6 : . "" .189,9 , ,
AVIONS• mg/1 Meq/1 . CATIONS .. . • mg/1 Meq/1
Carbonate en Co3 Calcium en Ca . . 115,42 5,77

Hydrogénocairbonate 422,12 6,92 Magnésium en Mg 10,80 0,89
en HCO3 Sodium en Na 19,50 0,86.
Silicates en H SiO3 35,62 0,46
Potassium en K 2,70 ,.0,07
Chlorures en Cl 11,00 0,31
Ammonium > en NH4 / . 0,05 0,00
Sulfates en S04 28,50 0,57
Fer en Fe . 0,15 0,01
01
Nitrites en N02 L °>
1 00
0,00
.Manganèse en Mn j_ 0,02 o,oo'
Nitrates en K03 L > 0,00
Aluminium en Al / 0,20 . 0,00
Orchophosphates en P04 L 0,10 0,00
Fluorures en F 0,24 0,01
Tetal des Anions .. 497,48 . 8,27 Total des Cations . 148,57 7,58<
A MELDN, le 25 AVRIL 1983

Ç \. \ Le Directeur
. M. BÏLLECOCQ
boratoire agréé par les Ministères ANALYSE D'EAU effectuée pour le compte de
;e la Santé et de l'Environnement
3, Rue Barthel - 77000 MELUN

G
Tél. 068.89.90 . .. " '
d'analyse : 83B/146O 77170 BRIE COMTE ROBERT
hantillons ^ptSISSeSt-dép le 29 MARS 1983
ovenance : MORBRAS
PZ 3
ÄES : " F F de frais de prélèvement, soit :

•
. - CARACTERISTIQUES DU CAPTAGE -
tuâtion géologique : . ^
' •—,• .- ' - - • . -
rigine. : (source, puits, forage, rivière, etc.) Débit :

mplacement : .• • : "' • •'
rofbndeur : ' ••'-. • " Niveau statique :

ite géologique : . . ' ' •• • .
-• CARACTERISTIQUES ORGANOLEPTIQUES ET PHYSIQUES DE L'EAU -
:
empérature de l'eau : \ - '. (Température-de l'air :
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ideur : ; . •
• i I • •
aveur : . . . . •• '
"urbidité - indice de diffusion :

ésistivité électrique (en Ohm.cm à 20° C) : : 1350
onductivité (enyiS/cm) :
7
H à 20° c : .'..'.......'/......... >3
- ANALYSE CHIMIQUE DE L'EAU -
tésidu sec à 180 ° (en mg/1) : . . ,

{atieres en suspen6ion' (en mg/1) :
Dureté : Titre hydrotimétrique total (en degré français) — 41°8
Titre hydrotimétrique permanent (en degré français) . 13°7
Alcalinité : Titre alcalimétrique en mg/litre de CaO .;.... 168,9

Titre alcalimétrique complet (TAC) ;. 30°l
Oxygène cédé par K MnO4 mg/litre 02 (en milieu alcalin à chaud 10').. 6
Oxygène dissous immédiat en tng/litre 02
Azote Kjeldahl en mg/litre /
Dioxyde de carbone libre en mg/litre C02 .,.
Sulfure d'hydrogène en mg/litre H2S
Silice totale ;'.. en mg/litre S iO2 J ..22,0
Agressivité vis-à-vis du carbonate de calcium :. essai au marbre .
Avant marbre" ' : Après marbre
pH " : .......
Alcalinité en mg/litre de CaO ... --. -^. ^ ,.-: . ' ' •
ANIONS mg/1 Meq/1 CATIONS , • Dg/1 Meq/1
• ' Carbonate en Co3 Calcium en Ca 153,37 7,67

Hydrogénocarbonate 367,22. 6,02 Magnésium' en Mg 8,40 0,69
: en HC03 Sodium en Na V 17,50 0,77
Silicates en H SiO3 30,14 0,39
Potassium en K 2,30 0,06
Chlorures en Cl 49,80 1,39 Ammonium en NH4 0,05 0,00
Sulfates en S04 84,90 1,70 Fer en Fe 0,47 0,02
Nitrites en N02 0,43 0,01 02
Kitrates en K03 . 5,10 0,08
• Manganèse en Mn L °> 0,00
10 Aluminium en Al ¿ 0,20 0,00

Orthophosphates en P04 L °> 0,00
Fluorures en F 0,16 0,01
Total des Anions .. 537,75 9,60 Total des Cations . 182,09 9,19
A MELUN, le ; 25 AVRIL 1983

.) Le Directeur
SYNDICAT INTERCOMMUNAL POUR L'AMENAGEMENT DU MORBRAS
COMMUNES DE ROISSY EN BRIE, PONTAULT-COMBAULT, PONTCARRE
RESULTATS ET INTERPRETATION
DES JAUGEAGES EFFECTUES
SUR LE BASSIN DU MORBRAS (SEINE ET MARNE)
DURANT L'ETIAGE 1982
par
G. BERGER
avec la collaboration de M. RICHARD
83 IDF 034- juin 1983
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL
P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX - Tél. : (38) 63.80.01
SERVICE GEOLOGIQUE ILE DE FRANCE
65, Rue du Général Leclerc - 77Í70 BRIE-COMTE-ROBERT
Tél. : (6) 405.27.07

Le. Ru du tÁonbn.a¿ dJiaA.no., à V amont e.t au dnoit de. ta communs, de.
, la nappe. de¿ CalcaJjie.¿ de. Buie.. En pe.sU.ode. d'étiage., ce.t appont
d'e.au tiOute.hJx.ai.ne. peJvme.ttn.aLt un tie.nouveZlemznt deJ> taux de. ta. tie.te.nue.
que. l'on e.nv¿¿age. de. cjié.e.1 à VontÂJLlault, de. même, qu'il, poumuxit
tempotvt-iejL le¿> phé.nomè.nes!> d'ç.utn.ophAAatÂ.on.
Afiln de. cki^tieji cet apport, le. B. R. G. M., dutiant l'été. 1982,
a tiéat-Lié. um ¿>én.ie. de! jaugzageA ¿un. le¿> tua, du Won.bn.ai, e.t de. la
Longuiolle.. • :
I. - IMPLANTATION DES STATIONS DE JAUGEAGES
Le positionnement des stations de jaugeages est reporté sur les

figures I et II ci-après. " . .'
11. - STATIONS DU MORBRAS . ' '
STATION n° 1. Cote 113 . • .
Cette station est implantée à l'aval du ponceau de la rue des

Maisons brûlées, après le passage du ru du Morbras dans le lotissement
de .Pontcarré. L'encombrement de la section a nécessité plus de deux heures
de nettoyage. . • '
STATION n° 2. Cote 112,5
Cette station qui permet de vérifier les résultats de la station

précédente se trouve à l'amont immédiat des rejets des eaux d'épuration
de Pontcarré.
Il faut noter qu'à cet endroit lors des différentes visites, il a

été possible d'observer la présence de poissons du genre Epinoche.
".Ma Mare aux Sangsue
les Dix-Huit Afp exit s \
Pontcarre
lûufe
les
les Maisons
Botîeaux Brûlées^
la Petite
le Palaiseau:r<fA{.
P l a n t s
Fig. I Pontcarré la Cour des Vilains
Situation des stations de jaugeages
Ech. 1 / 5 0 0 0
Fig. II Roissy-en-Brie le Pommier
Situation des stations de jaugeages
Picard
ia -H—ValLèe de Lagny
- 4 -
STATION n" 3.Cote 112
Implantée sur le chemin forestier de Braque, à l'entrée du Bois

du Cormier, cette station aurait dû nous permettre-de chiffrer le débit
provenant principalement des rejets de Pontcarré. Malheureusement la présence
d'une forte épaisseur de vase putride dans le fond du lit du ruisseau a
conduit à son abandon dès la deuxième tournée de jaugeages.
STATIONS 4 et 4 bis. Cote 107 . . . .
Ces stations sont implantées de part et d'autre de la mare du

Pommier Picard à la sortie du Bois du Cormier. .
En cet endroit le Morbras coule sur des blocs meulièrisés équivalents

du " Calcaire de Brie ".
STATION n° 5. Cote 102 •
Cette station se situe à l'aval du pont de chemin de fer, au débouché

du vallon encaissé qui se dessine entre le Centre Commercial et le lotisse-
ment du Pommier Picard. . . . ' • • •• .
STATIONS 6 et 7. Cote 100
Les stations 6 et 7 qui sont implantées dans le Parc montrent, en

fond de lit, de nombreux blocs de meulière.
STATION 8. Cote 98 .
La station 8 qui se situe à l'amont immédiat du pont principal et

d'un déversoir d'orage (?) montre un substratum marneux (creusement à la
pelle au niveau du Morbras recalibré). ..
12. - STATION DE LA LONGUIOLLE . '
La Longuiolle a été jaugée au bac déverseur avant la confluence du

Morbras, au moulinet en aval immédiat du CD21.
II. - PERIODES DE JAUGEAGES .•
Après l'hiver et le printemps pluvieux du début de l'année 1982,

les jaugeages ont été programmés en août et septembre, à la suite, autant
que possible, de périodes sèches.
Les jaugeages effectués le 5 novembre étaient destinés à vérifier,

la reprise de l'écoulement des drains après plus de 100 mm de précipita-
tions d'octobre. .
III. - RESULTATS DES JAUGEAGES ' "
Les résultats bruts ainsi que les calculs de jaugeages sont donnés
en annexe. Le débit en litres/seconde de chacune des stations est reporté
dans les tableaux ci-après.
31. - MORBRAS • • •
^"•-^rPstation 1 2 3 4 4bis 5 6 7 8
Date " "-'^-^
0,5 0,5 2 2 4 5 6
<j-
10 et 11/08/82 4
25/08/82 0 0 2 2 4 .5 5
i
'
10/09/82 0 0 3 2 3 2
i
16/09/82 0 0 2 2 3 3
i
i "3
05/11/82 4 .4 6 6
¡••8
i
1 •-' • 1
! ' •
32. - R U DE LA LONGUIOLLE
10/08/82 2
. 23/08/82 1,8
16/09/82 1,8
05/11/82 17
•
- 6 -
IV. - INTERPRETATION DES RESULTATS .
41. - LE MORBRAS A PDNTCARRE . '•
En étiage, suivant les résultats des stations 1 et 2, il apparaît

que le Morbras à Pontcarré n'est pas alimenté par la nappe superficielle.
Son alimentation provient de manière intermittente du réseau pluvial

et de façon continue de la station d'épuration.
Sachant que la consommation annuelle en eau potable de la Commune

de Pontcarré est d'environ 140 000 m 3 , sachant qu'il transite 90 000 m3
par la station, le débit moyen d'eaux "usées" pouvant alimenter le ru est
compris entre 2,5 et 4 1/s.
42. - LE MORBRAS A ROISSY . .
Au sortir du Bois du Cormier, aux stations 4 et 4 bis du Pommier

Picard, le débit moyen du Morbras est de 2 1/s, débit correspondant à celui
des rejets de Pontcarré. Il est donc vraisemblable qu'en période d'étiage
et avant qu'existe la station d'épuration, le Morbras était sec à l'entrée
de Roissy.
A l'aval de la ligne de chemin de fer et au droit du parc, (station

5 - 6 et 7), en plein étiage, c'est à dire en septembre, le débit moyen
n'excède pas 3 1/s, ce qui, compte tenu des marges d'erreur, montre qu'il
n'y a aucun apport souterrain entre le Pommier Picard et le parc.
A la sortie du Parc, à la station 8, l'apport souterrain est de

l'ordre de 1 1/s, sauf dans la deuxième quinzaine de septembre où il est
nul. .
43. - LA LONGUIOLLE • .
En étiage, le débit de la Longuiolle est nul ; le

débit jaugé, de l'ordre de 1,5 1/s, provient essentiellement des rejets
de Roissy, en particulier du lotissement du Verger du Château.
- 1 --
44. - JAUGEAGES DU 5 NOVEMBRE 1982
Les jaugeages du 5 novembre 1982, réalisés après les fortes pluies

d'octobre, montrent l'effet tampon dû à la présence de la forêt dans le
bassin du Morbras, à l'amont de Roissy.
Le débit, au Pommier Picard, n'est que de 4 1/s, soit une augmenta-

tion de 2 1/s par rapport aux jaugeages de l'étiage. Il est, à l'aval du
Parc, de 8 1/s,la reprise de l'écoulement des "drains" n'apportant que 4 1/s
dans la traversée de Roissy. .
Par contre, le débit de la Longuiolle, porté à 17 1/s, décuplé par .

rapport au débit d'étiage, est dû au fait qu'une grande partie du bassin
versant est occupée par des parcelles culturales drainées, où la reprise
d'écoulement intervient plus rapidement que dans les zones boisées du
bassin du Morbras.
V. - TEMPERATURE DES EAUX '
Le 23 août 1982, la température des eaux a été relevée sur chacune

des stations : . .
Station 0° station 0°
3 • 17°3 6 . 14°55
4 13° 7 14°40
4 bis 13°25 . 8 15°8
. 5 13°8 Longuiolle 14°35
Ces mesures permettent les remarques suivantes :
- la traversée de la forêt sur plus de deux kilomètres abaisse la

température des eaux du Morbras de plus de 4°. :
- l a semi-stagnation des eaux, de la voie ferrée, à l'aval du parc,
fait augmenter la température de 3°. '
- cette augmentation montre quiln'ya aucun apport d'eau souterraine
en étiage.
- 8 -
VI. - CONCLUSION
Bien que l'année 1982 soit une année largement excédentaire en ce

qui ce qui concerne la recharge des nappes d'eau souterraine, intervenant
après quatre années, elles aussi excédentaires, il apparaît que la nappe
des Calcaires de Brie est quasi inexistante à l'amont de Roissy.
Les possibilités capacitaires des terrains sont faibles, ceci étant

dû à la matrice argileuse qui englobe les meulières.
Il est vraisemblable que les eaux météoriques qui s'infiltrent dans

les limons de surface sont reprises immédiatement par les fossés et les
drains. . .
Ainsi les jaugeages effectués en 1982 ont montré.que la seule alimen-

tation du Morbras en étiage était due aux rejets d'eaux "usées" de Pontcarré.
Il est donc exclu de compter sur un apport d'eau souterraine prove-

nant de la nappe superficielle des "Calcaires de Brie" pour alimenter en
étiage la retenue de Pontillault.
A N N E X E I
TOURNEE DU 11/08/1982
• . H3SCÜAS . JEAUGEAGES . 82
DAT!! : 11-8-82 STATION : K0R3 V
COTE EAU AfiONT : O.'CO COTE EAU AVAL T'; 0.00 LARGEUR DE LA SECTION HESUREE : .40 B
HOULIîO : OTT " • HELICE : 2-0004
itöWiESPACiP.TOTSP.KES! T INDR.IV UNITAIRE!ÔU(CU«ULE)!3 SUR CETTE VERTICALE (EN K . M / S ) !
| 1! . . 0 ¿ ! .11! . . .
• ! .03160.! 7 0 . ! .14137! ..00424!
! .08!¿0.! 65.! .13348! .01111!
• • • . ' • • • • - . - ¡. .01578 .• !
! ' 2! .07! .10!
! -03Î60.! 87.i .17023! .00426! • .
. ! .-.03160.1 65.! .13343! .01261!
-, . . • ! . .01595
! 3! . 0 7 ! .10! . : ' .
! .05!60.! 63.! .13033! .00652!
. ! : .01303
! 4! .07! . 0 7 ! ' ' ' ... -: . '
! .04!60.! 70.! .14137! .00523!
: •'. • ! . • . .01C60
i ji .11/ i .L1/ i
! .03!60.! 0.! .03100! .00108!
.' • ! • . • .C32
s DEBIT TOTAL (en E 3 / S ) = . .004 »

x (en litr-e/5) = 4. *
• . KORCRAS . JEAUGEAGES .82
DATE ? 10.8.1902 - . STATION : H0R4 OBJET DU CONTROLE : MORERAS .
COTE EAU AMONT : 0.00 ' COTE EAU AVAL : 0.00 ' LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .30 »
HOULINET : OTT HELICE : 2-0004
! MOV ! ESPAC ! P .TOT ! P. KES ! T ¡NDR.iV UNITAIRE!QU(CUKULE)!Û SUR CETTE VERTICALE (EN h.M/S) !
! -1! . .00! .06!
! .03Í60.! 93.! .18067! .00542!
.-. " • . . ¡ . .01034

! 2! .09! .05! : •
! .03!60.! 95.! .13414! .00460! ' .
• :' • ! - .00921
! 3! .09! .05!
! .03!60.! 97.! .18762! .00507!

! .01032
xxxxxxxxxxxxxxxxmxxxxx *x*xx*íxxx**;!f*x*
* DEBIT TOTAL (sn B3/S) = .002 *
* . (en Utre/s) = 2. *
' HCRBRAS . JEAU8EACES . 82 .
DATE : 10.0.02 STATION ; HGS4BIS . OBJET DU CONTROLE : HORBRAS
COTE EAU «SONT : 0.00 COTE EAU AVAL : '' 0.00 .. LARGEUR DE LA SECTION .MESUREE : .40 u
MOULINET : OTT HELICÍ Ï-2-00004
ItiOVlESPACÎPJOTIP.HES: T !NBR.!V UNITAIRE ! oui CUMULE) ! Q SUR CETTE VERTICALE (EN H.fi/S)!
! 1!. .06! .05! • ' •
! .02¡¿0.¡ 6 7 . ! .13¿Í4! .00301!

:
. , • • ! . .00615 , . !
! 2! .07! .05!
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. . ! .00707 !"
! 3! .07! .05! ' • .
! .Q3Î60.Î 70.! .14137! .00353! .
. !. .00707
! 4! .07! .05! . .
. . ! .03¡¿0.¡ 5 7 . ! .12087! .00302! .
. . • • . ! .00604
:
! 5! .07! .05! " . • .
! .02!60.! 5 1 . ! .11141! .00245!
.' • . ! .00501
* DEBIT TOTAL (en e3/á) = .C02 *

» (cil litre/s) = 2. x
KS8CSAS .'JEAUGEAGES . 8 2
DATE : 1C.ii.19B2 STATION : K0R5 "- . ODJET DU CONTROLE : KORBRAS .
COTE EAU AIÍONT : ' O.GO . . COTE E&L AVAL V 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : - . 5 2
MOULINET : OTT HELICE ^ 2-00004' ' .
¡HOVÎEGPACiP.TOTiP.MES! T ¡N3R.SV UNITAIRC!fiU(CUHULE)!Q SUR CETTE VERTICALE (EN M . H / S ) !
! 1! ,D¿¡ . 0 6 ! . .
! .03160.: 44.! .10037! .00301!
•-.-'• . ! .00602 . !
! 2! .10! .05! •
! .03160.! 81.! .15980! • .00431!
• . ! .0087?
! 3! .10! .07!
! .03!60.¡ 94.! . .18240! .00630!
• ! .01277
! 4! .10! .07! . .' -.
! .03160.! 91.! .17719! .00620!
! .01240
-
! 5! .10! .06!
! .03163.! 44.! .1CGG7! .00301!.
. • . ! . . ' .GQ602
¥ DEBIT TCThL (en H 3 / S ) = .004 *

s- (en litre/5) = 4. *
RAS . JCAUGEAGES . 82 ,
DATE : 10.B.19B2.D . STATION s H0R6 OBJET DU CONTROLE s HORBRAS
COTE EAU AHOMT : . 0-00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR CE LA SECTION MESUREE : .85
MOULINET : OTT . HELICE : 2-00004
!NCV!ESPAC!P.TOT!P.MES! T IHBR.iV UNITAIRE!6U(CUKULE)¡e SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S)!
! 1! .10! .05! . ;
! .03i60.'¡ 20.! .06253! .00156!
.. • .. ! .00281 !
! 2! .13! .10!
! .05!60.! 28.! .07515! .00376!
! .00751 !
! V. 1°.! Í19!
I OI • l\J I iU7 I
! .05!60.! 29.! .07672! .00345!
' . - • • ' ! .00691
! 4! .13! .10! .
. • . ! .05!60.! 24.! .06884! .00353!

! . .00723 .
! 5! .13! .09!
! .05!60.! 17.! .05780! .00260!
! . .00520
i u: & toi. «üüi . .
! .Ô3!60.i 0.! .031001 .00093!
! .00186
s DEBIT TOTAL (en a3/s) = . .004 *

* (en litre/s) = 4. *
KORDRAS . JEAUGEAGES . 8 2 . " •
DATE : 10.8.1982 STATION : M0R7 OBJET DU CONTROLE : «ORBRAS

COTE EAU AKONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 . LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .50 a
MOULINET s OTT HELICE : 2-00004
¡KOViESPACiP.TOTIP.NESi T ¡NBR.iV UHITAIRE!8U(CUftULE)!Q SUR CETTE VERTICALE (EN M.H/S»!
! 1! .05! .05! ,
! .02!60.¡ 59.! .12402! .00273!
• • ! , - ' • .00558 !
! 2! .10! .05! • '
! .03160.1134.1 .25194! .00630!
.01260
! 3Í .10! .05!
! .03160.¡142.ï .26534! .00665!
.01329 -
4! .10! .06!
.Q3ÍÓD.Í100.I ,20674! .DCÓ20!
.01240
! 5! .101 .06!
.03160.! 68.! .00415!
.00829
XXXXXXXXXXXXXXXXÍXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
* DEBIT TOTAL (en m3/s) = .005 *
# (en litre/s) = 5. x
XXXXXXKXXXXXXXXXKXXXXmXttXXXKXXttXXXXXXK
HORDRAS ; JEAUGEAGES . 82
DATE ; 10.8.82 STATION : H0R8 OBJET DU CONTROLE : HORBRAS

COTE EAU AMONT : 0.00 COTE EAU AVAL : O.C LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .60
HOULINET : OTT HELICE : 2-00004
CETTE VERTICALE (EN M.M/S)!
! 1! .00! .09!
.05!¿0.! 5 2 . ! .11299! .00508!
• • •
i .01017
1 m
1
Cl
.12! .11!
1
1 .03160.! 65.! •.13343! .00334!
1
1 .08:60.! 45.! .10175! .01040!
1
1 .01295
! 3! .12! .10!
1
r .05!60.! 59.! .12402! .00¿20!
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1
1 5! .12! . .03!
1
1 .O4!ÓO.¡ 3Ó.! .00776! .00369!
1
1 .00746
DEBIT TOTAL (en >3/s) = .006 . *

(en litre/s) = ¿. *
KÖMRAS . JEAUGEAGES . 8 2 ;
DATE : 10.8.1982 STATION : LONGUIO OBJET DU CONTROLE : «ORBRAS
COTE EAU AMONT :. 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 . LARGEUR DE LA GECTION MESUREE : .25 m
MOULINET : OTT HELICE : 2-00004
ÎNOViCSPACÎP.TOTiP.KES! T ¡NBR.iV UNITAIREÎGUiCUhULE)JS SUR CETTE VERTICALE (EN O / 3 ) !
! 1! .05! .07! '
! .03!60.! 29.! .07672! .00269!
! .00537
! 2! .05! .07! . . .
! .03!60.! 96.! .18588! . .00595!
• ! .01208
•' 3! .05! .07!
. ! .03!60.!123.! .23281! .00745!
î V .01513
! 4! .05! .07!
! .04!60.! 87.! .17023! .00630!
•. . . ! .01277
XS**************************************
* DEGIT TOTAL (en u3/s) = .002 *
x • (En litre/s) = 2. «
A N N E X E II
• • ; . ' • HCSSRAS . JEAUGEAGES . 8 2 . .
DATE : 23.8.1982 STATION : H0R4 OBJET DU CONTROLE : KORBRAS
COTE EAU AMOMT : 0.00 .COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .30
KOULINET î OTT HELICE : 2-OC004 . .
¡NQViESPfiCIP.TOTiP.HES! T ¡NGR.IV UNITAIRE!GU(CUHULE)!G SUR CETTE VERTICALE (EN M.H/S)!
i 1!, .06! .07! ' ;
! .03ÍÓO.! 81.¡ .15980! .00559!
! 2! .09! .05!
! .03Î60.! 87.! .17023! .00460!
! 3! .09! .05! .
! .03!60.! 82.! .16154! .00404!
. !• .00808
* DEBIT TOTAL (en s3/s) = .002 x

* / (en litrc/î) = 2. *
«OlíBRAS1. JEAUGEAGES . 8 2
DATE : 23.8.1982 STATION : H0R4BIS OBJET DU CONTROLE : KORBRAS
COTE EAU AKONT : 0.00 COTE EfiU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION HESUREE : .40 M
MOULINET : OTT HELICE : 200QODDDD-0004D "; ••
¡NOViESrACiP.TOTiP.îiES! T ¡NBR.iV UNITAIRE!QU(CUKULE)!Q SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S)!
! 1! .06! .02!
! .CI ¡60.! 70.! .14137! .00141!
. . ! . • .00283 !
! 2! .071 .05!
; ! 6D.! 6D.i .12560! . .00314!
i
i .00565
! 3! .07!. .05!
! .03Í60.! 70.!. .14137! .00382!

! .00778
! 4! .07! .05! :
.02!60.! 61.! .12718! .00280!

! .00572
! 5! .07! .05! . . .
! .03!60.! 57.! .12087! .00302!
• • • . ! .00604
* DEDIT TOTAL (en B3/S) = .002 *

x (en litre/s) = 2. *
tiSRSRAS . JEAUGEAGES .82 '
DATE : 23.8.1932 STATION': HC-R5 ODJET DU CONTROLE : MORERAS
COTE EAU AfiONT : 0.00 COTE 03? AVAL'Y 0.00 LARGEUR DL LA SECTION HC3UREE : .52
HOULINET : OTT HELICE s. 2-C0004
ÏNOV! ESPAC¡P.TOT !P.KEB! T !NBR.!V UNITAIRE!6U(CUHULE)!Û SUR CETTE VERTICALE (EN M.H/S)!
! 1! .06! .07!
! .04160.! 69.! .13979! .00517!

• ! .01048
! 2! .10! .07! .
! .03160.! 86.! .16850! .00590! ,

i
i .01179 i
t 11
I 01 a 10! .07!.
i .03!60. ! 67.!. .13664! .00437! : '
i .00888 !
: 4i .10! .07!
i
.04!60. ! 79.! .156335 .00578!
1
t .01172 i
: 5! .10! .08!
• .04!¿0. ! 19.! .06096! .0C256!

1
1 .00518 i
s DEBIT TOTAL (en »3/s) = .004 *

* (en litre/5) = 4. *
fíORBRAS . JEAUGEAGES . 8 2
DATE : 23.8.1982. STATION : M0R6 ODJET DU CONTROLE : MORBRAS
COTE EAU AHONT '• 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .85 B
MOULINET : OTT HELICE : 1
!NÔV!ESPAC!P.TOT!P.HES! T ¡NDR.iV UNITAI8E!QU(CUHULE)!8 SUR CETTE VERTICALE (EN M.M/S)!
! 1! .10! .04!
! .02Î60.! 0.! .03700! .00074!
!. .00148 !
! 2! .13! .12!
1
1 .06 ¡60.! 24.! .05992! .00360!
1
1 .00719
! 3! .13! .17!
1 .03 • 60.i 36.1 .07138! .00178!

' 1
1 .06 ¡¿0.! 29.! .06469! .00566!
1
.14 iiû.l 0 . ! .03700! .00861!
1
1 .00954
! .4! .13! .14!
I
.03 !60.! 20.! .05610! .00140!
1
1 .11 ¡ÓG.¡ O . ! .03700! .00536!
1
1 • .00047
! 5! .13! .03!
1
I .G4 !6Q.¡ 0.! .03700! .00155!
.00314
! 6! .13! .07!
.04!60.¡ 0.! .03700! .00137!
.00277
XXXXXXXXXXXKXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
* DEBIT TOTAL (en n3/s) = . .004 *
* (en Iitre/s) = 4. *
XXXXXXÏXXXXXXÏXXHXXSXXXimXiiXXXXXXXXÎX
JÎ5E3SAS . JEAUGEAGES .82
DATE : 23.8.1982 STATION-: H0R7 •'• .OBJET DU CONTROLE : MORERAS.
COTE CAU AMOMT : 0.00 COTE WJN&*': fr 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .50 œ
MOULINET : OTT HELICE: 1 /:
¡HOViESPACiP.TOTiP.HESi T INBR.IV UNITAIREiGU(CUM.E)!Q SUR CETTE VERTICALE (EN «.U/S)! .

! 11 .05! .06! ' . .'
! .03!ó0.¡ 42.! .07711! .00231! . •
•'•'..•• ! .00463 . !
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' .. ! .01079 ',

! 3! .10! .07! ... '
! .03!60.!136.i .16688! .00584! \
! -..". .01168
! 4! .10! .08!
! .04!60.!215.! .24232! .00969! .
- . : " !'•.'•/' .01939
! '5! .10! .07!
! .03!60.! 90.! .12295! .00393! .
! • .00799
s DEBIT TOTAL (en B3/S) = .005 * •

* (£n litre/s) = . 5. «
. HÖX3RAS . JEAUGEAGES . 8 2
DATE : 23.8.1982 STATICS-:" MORB ^ OBJET DU CONTROLE : MORERAS .
COTE EAU AMONT : 0.00 . COTE ES»AVAL*:"' 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .60
MOULINET : OTT " . HELICE - V " . . ' •• .
INOViESPACiP.TOTiP.HES! T ¡NBR.iV UNITAIRE!QU(CUMULE)!Ô SUR CETTE VERTICALE (EN M.K/S)!
! 1! .06! .09!' • ._
! .05160.! 0.! .03700! .00174!
••'•..-" ! .00351 !
! 2! ,12! .101 . . . : '

! .05!60.! 42.! .07711! ' .00401!
! .00810 !
! 3 ! . 1 2 ! . 0 9 ! .••'.; " • . - ^
! .05!60.!120.! .15160! .00713! ' .
! 4! .12! .09!
! .05!60.!125.! .15637! .00704!
: . ! ' .01407
! 5! .12! .08! '
! .04!60.! 0.! .03700! .00155! ,
. •• . ! .00314
Ï DEBIT TOTAL (en B3/S) = .005 «

* (en litre/5) = 5. x
ANNEXE- III
KGSBRAS'. JAUGEAGES . 8 2
DATE : 10-9.1982 STATION : ÍÍ0R4 OBJET DU CONTROLE : HORBRAS
COTE EAU fiKONT : : 0.00 COTE E&l AVAL V i 0.00 LARGEUR DE LA SECTION HESUREE : .30 a
MOULINET : OTT HELICE = 1 - 3 • -.
,'HOViEGPACiP.TOTIP.HES! T 5NDR.ÎV UNITAIRE!ÜU(CUHULE)!S SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S)!
! 11 .06! .07!
! ".03160.1161.! .17478! .00632! .
! 0 1 3 6 3 !
- . . • • • • • -
! 2i .09! .06!
. \ .03!60.!160.! ,19337! .00582!
! .01163
! 3! .09! .06! :
! .03!60.!182.! .21392! .00642!-..
• ! .01284
« DEBIT TOTAL (en «3/s) = .003 «

* . (en litre/5) = 3. *
MOKSRAS . JEAUGITAGES . 82 • "
DATE : 10.7.17B2 - STATIC« S Î1OR4BIS OBJET DU CONTROLE : KORBRAS
COTE EAU AKOHT :" 0.00 . COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .40 »
KOULINET : OTT HELICE : 1-3
iN8ViESPACiP.T0TIP.HESi T ¡NER.IV UNITAIRE!GU(CUMULE) ¡ô SUR CETTE VERTICALE (EN
! 1! . 0 0 ! . 0 3 !
.. ! .02!60.!132.i .16334! .00286!
! • .0058?
! 2! .07! .05! ' - .
! .02!60.!120.! .15740! .00346!
. .! .00708
! 3! .07! .05!
! .03160.1112.1 .15063! .00407! •
- • • ' • • • • . i .00828
! 4! .07! .05!
! .D3S60.I101.I .14241! .00356! .
• .. ' ! .00641
! 5! .07! .05!
! -03!6D.!107.! .14689! .00367!
! . .00734
« DEBIT TOTAL (en H3/S) = .002 *

* (en litre/s) = 2. »
¡Í0KCRA5 . JEAUGEAGES .82 .
W T C : 10-9.1932 . .' : STATIC-:-: : HORS OB-JET DU CONTROLE : MORDRAS
CC-TE EAU ÍIKONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .40 H
«OULItiET : OTT . HELICE" ; 1 -3 - . .
!N:GVJESPAC:F.TOT!P.MES! T ¡NBR. ¡M UNITAIRETíGUÍCUflULE) Í5 SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S)!
¡ 1! .00! .05! . .
! .03¡6D.¡ 64.! .11479! .00310!
: í .00631 !
¡ 2! .07! .05!
! .03!¿0.! 49.! .10359! .00230!
. ! • . .00570 [
! 3! .07! .07!
'• ! .03!60.¡ 55.! .10307! .00346!
• •_.... ! .00702
! 4! .07! .07! ' ' .
! .03!60.¡102»! .14316! .00501!

! .01002
! .C3¡60.¡ 96.! .13360! .00485!

! . ' .00971
K DEBIT TOTAL (en a3/5) = .003 *

* (en litre/s) = 3. *
HCRßRAS . JEAUGEAGES . 82
DATE : 10.9.1982 STATION : H0R6 ODJET DU CONTROLE : flOSBRAS
COTE EAU AfiONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .30
NOULIfET : OTT HELICE : 1-3
¡N0V!E3PACiF.T0T¡P.HE8¡ T ¡N3R.!V UNITAIRE¡QU(CUHULE)¡fi SUR CETTE VERTICALE (EN H . H / S ) !
! 1! .06! .06!
! .03S60.I105.Í .14540! .00436!
! 2! .09! .07!
! -.03160.¡123.1 .16013! .00514!
! .01041
! 3! - .09! .07!
! .03!á0.¡121.! .15831! .00554!
.01108 -
* DEBIT TOTAL (En a3/s) = ' .002 x

* . (en litre/s) = 2. x
íiORCGAS . JCAÜEEACES .62
DATE '- 10.7.1932- STATION : HORS ' OBJET DU CONTROLE : MCR8RAS
COTE EAU AÎIGÎIT : O.OC COTE EAU AVAL : 0.00 .LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .60 a
KOULINCT : OTT HELICE : 1-3 .
iUCVÎCGFACiP.TOTîP.MCS: T ¡NBR.iV UNITAIREÎÛUiCUîluLE)ÏS GUR CETTE VERTICALE (EH M.M/S)!
! 1! .Coi .10! .
! .01160.1104.! .14465! .00217!
! .09160.¡ 42.! .09336! .01128!
!• .01276 !
! 2! .12! .10!
! .01560.: 92.! .13569! .00204!
! .08!60.! 56.! .10081! " .01059!
• ! .01223 .!
! 3! .12! .11!
! .01160.: 26.! .08641! .00130!
! .09!60.! O.l .06700! .00743!
i ¿i .i n i *ni
t hi .Ici . I U I
! .01¡60.! 8.! .07297! .00109!

! .08!60.! 0.Í .06700! .00599!
¡ .C0700
t ri Am rn i
i Ji tICI »Uùi
! .01Ï60.! 0.! .06700! ' .00100!

! .07160.! 0.! .067CC! .00435!
! .00536
» DEBIT TOTAL (en B3/S) = . .005 *

» (en litre/5) = 5. *
A N N E X E IV
iíORERAS . JEAUGEAGES . 82
DATE : 16.9.1982 . STATION ; KÖR4'" OBJET DU CONTROLE : KORBRAS
COTE EAU AKONT : 0.00 COTE EAl* AVAL*':'.'" 0.00 ' LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .30 a
KOULINET s OTT " HELICE : 1-3
¡{MWiESPAC¡P.TOT!P.HES¡ T ÏNBR.IV UNITAIREÍQUÍCUHULE)!Q SUR CETTE VERTICALE (EH N . M / S ) !
i i! . 0 6 ! . 0 7 !. : ' " • • :
! .04Î60.Î111.! .14908! .00555!
• ! ' . .01124
í . 2 ! .09! .06!
. ! -.03160.'¡116.Í .15375! .00461!
. ! .00923
! 3! .09! .05! . .
! .03160.!138.i. .17381! .00469!
. ! .00956
* DEDIT TOTAL (en B 3 / S ) = .002 *

* (en litre/3) = 2. *
ÍÍORSRAS . JEAUGEAGES . 3 2
CATE : 16.7.1782 STATION 3 K0R4BIS OBJET DU CONTROLE : KORÖRAS
COTE EAU AMONT ": O.DO " CCTC EfiH.AVAL1':"" 0.00 LARGEUR DE LA SECTION KESUREE : • " .40 •
HOÙLINET.: OTT HELICE Ï 1-3
'«MOVIESPACiP.TOTiP.HES! T IKBR.iV UNITAIREiaKCUMULDiQ SUR CETTE VERTICALE (EN H . H / S K
! 1! .00! .04!
! .G2!ÓO.!11Ó.¡ .15375! .00308! . .
! .00615 !
! 2! .07! .05! . .
! .03!60.!106.¡ .14615! .00365!
! 3! .07! .05!
! .03:60.1108.: .14764! .00369!
_•'.-•' . ! .00664
4! .07! .05! ' . . .
! ,03!60.¡102.! .14316! .00358!
! .00644
5! .07! .05!
! .03Í60.Í103.! .14764! .00369!
. '! .00664
DESIT TOTAL (en B3/S) = .032 «

(EÎÏ îitrE/sî = 2. *
KCKBRAS .' JEAUGEA6ES . 8 2
DATE : 16.9.1982 ' STATION ' H0R5 ODJET DU CONTROLE : HORBRA3 .
CÔTE CAü AîiONT : 0.00 COTE EAU AVAL': ' 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .40 «
HOULINET : OTT HELICE s 1-3 '
! MOV ! EGJ1 AC ! P. TOT : P. MES ! T ¡NBR.W UNITAIREifflKCUHULE)!8 SUR CETTE VERTICALE (EN H . H / S ) !
! 1! .26! .05!
!. .03!60.! 8 0 . ! . .12673! .00342!
! .00697 !
! 2! .07! .06!
! .03!60.! 9 0 . ! .13420! .00403! .
! .00005 !
Í 3! .07! .07!
! ,03!60.! 9 0 . ! .13420! .00429!
• • -.' . . ! - .00872 !
! 4! .07! .07! •
. ! .03Í60.Í124.! .16105! .00564! . . .
¡ .01127 !
! .04SÓD.M16.! .15375! .00569!
.011
ï DEGIT TOTAL (en rô/s) = .003 *

s (en litre/s) = 3. *
KQRBRAS . JEAUGEAGES . 82
DATE : 16.9.1982 STATION : H0R6 OBJET DU CONTROLE : KORDRAS
CCT[ CftU AHONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION IÍESUREE .30 a
KOULINET : OTT HELICE : 1-3 .
!NOV!ESPAC!P.TOT!P.liES! T :KBR.!V UHITAIRE!QU(CUHULE)!Q SUR CETTE VERTICALE (EH H.M/S)!
! 1! .06! .06! • .
! . .G3IÓ0.¡122.1 .15922! .00478!
! .00955 • !
! 2! .09! .07! .
! .03ÍA0.¡137.1 .17290! .00553!
.01124
î 3! .09! .07!
.03M0.Í136.S .17199! .0C6D2!
.01204
DEDIT TOTAL (en B3/S) = .003 *

(en litre/s) = 3. *
fíCSCRAS . JEAUGEAGES . G2
DATE : 16.9.1982 STATIOii : MOR8 ODJET DU CONTROLE : «ORBRAS
COTE EAU AMONT : 0.00 . • COTE EAU AVAL*:" 0.00
MOULINET : OTT HELICE s 2-3 •' . ,'.
!NOv'!ESPAC!P.TOT!P.NES! T IKBR.IV UNITAIREÍ5U(CUKULE)!S SUR CETTE VERTICALE <EN H . H / S ) !
! 1! . 0 5 ! .03!
! .01!60.!356.¡ .64707! .00971!
. • ' ' • • ' ' ! .01941 !
! 2! .06! .03! . .
! .01!60.!344.! .62627! .00939!
, ! .01879 !
! 3! .06! .03!
! .G1Î60.Î352.Ï " .64013! .00960! ' •
! .01920
if DEBIT TOTAL (en rô/s) = .003 *

« (en litre/5) = 3. *
ANNEXE V
. : *. -
HORBRAS .JEAUGEAGES . 82
DATE : 5.11.82 STATION : H0B4 ^ OBJET DU CONTROLE : HORBRAS
COTE EAU AMONT : 0.00 COTE EAU AVAL i f 0.00 LARGEUR DE LA SECTION HESUREE : .30
HOULINET : OTT HELICE : 1-3 4?,
!NOViESPAC!P.TOT!P.HES! T INBR.ÎV UNITAIRE!fflKCUHULE)!Q SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S)!
! 1i .06! .07!
! .04!30.! 95.! .22122! .00819!
! .01659
! 2! .09! .07!
! .04130.! 8Ó.I .20481S .00758!
! .01536
! 3! .09! .07!
! .03130.!10¿.¡ .24127! .00772!
! .01568
»m*»*****»*»****«*«*«»******«**«»«»
* DEBIT TOTAL (en i3/s) = .004 «
* (en litre/s) = 4. «
*W««tt««««tt«*K*ft*X**f«ft*M«**»***ft«m»X
ttORBRAS . JEAU6EAGES . 82
DATE : 5.11.82 STATION : HOR4BIS OBJET DU CONTROLE : KORBRAS
COTE EAU AMONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .50 i
!N0V!ESPAC!P.TOT!P.MES! T ¡N8R.IV UNITAIRE!ôU(CUHULE)!ô SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S)!
! 1! .06! .06!
! .03330.: 7 1 . ! .17744! .00532!
! .01065
¡ 2! .07! .06!
! .03!30.¡ 7 4 . ! .18293! .00549!
! 3! .07! .07!
! .03130.1 75.! .18475! .00647!
! 4! .07! .06!
! .03Î30.! 7 9 . ! .19204! .00576!
! .01152
! 5! .07! .05!
! .03130.! 70.í .17563! .00474!
! .00966
XXXXXXXXXX*XXXXXXXXX»XXXX*X*X«XXXX»X«H«
» DEBIT TOTAL (en rô/s) = .004 *
* (en litre/s) = 4. x
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXMXXH*
KORBRAS . JEAUGEAGES . 82
DATE : 5.11.82 STATION : MÖR5 ' OBJET DU CONTROLE : HORBRAS
COTE EAU AMONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION HESUREE : .40 •
HOULINET : OTT HELICE r 1-3
!NOV!ESPAC¡P.TOT¡P.NES! T ¡NBR.IV UNITAIRE!QU(CUNULE)!8 SUR CETTE VERTICALE (EN H.H/S):
! 1! .06! .08!
! .04130.! 91.! .21392! .00850!
! .01711
! 2! .07! .09!
! .05:30.: 82.: .19751 ! .00928!
! .01876
! 3! .07! .10!
! .05!30.! 81.! .19569! .00978!
! 4! .07! .10!
! .05Í30.Í 80.! .19387! .00969!
! 5! .07! .10!
! .05130.: 76.! .18657! .00933!
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
x DEBIT TOTAL (en i3/s) = .006 *
XX»XXXXXX*XXXXift»X*X*XX»XKXXXXXXX«X«XXX»
KORBRAS . JEAUGEAGES . 82
DATE : 5.11.82 STATION : H0R6 OBJET OU CONTROLE : HORBRAS

COTE EAU AHONT : 0.00 COTE EAU AVAL : 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .30 •
!NOV!ESPAC!P.TOT¡P.MES! T ¡NBR.iV UNITAIRE!GU(CUMULE)iû SUR CETTE VERTICALE (EN K.H/S)!

! 1! .06! .09!
! .05130.1142.1 .30691! .01381!
! .02762
S 2! .09! .08!
.04Î30.M46.! .31421! .01257!
! .02514
! 3! .09! .07!
! .03130.Í107.I .24310! .00851!
! .01702
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
x DEBIT TOTAL (en ri/s) = .006 *
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx*
HORBRAS . JEAUGEAGES .82
DATE : 5.11.82 STATION : Ä S 8 í OBJET DU CONTROLE : MORBRAS
COTE EAU AHONT : 0.00 COTE EAU AVAL":"$ 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .30 M
HOULINET : OTT : HELICET: 2-3'¿&-
¡NOVÎESPACIP.TOTÎP.KES! T ¡NBR.!V UNITAIRE!«J(CUHULE)!8 SUR CETTE VERTICALE (EN H.M/S)!
: i: .o¿¡ .os:
! .02130.1215.! .77533! .01706!
! .0348?
! 2! .09! .04!
! .02130.¡227.I .81693! .01634!

! .03268
! 3! .09! .04!
! .02!30.¡222.¡ .79960! .01599!
! .03198
* DEBIT TOTAL (en i3/s) = .008 «

* (en litre/s) = 8. *
flUKBKHS . JtHUbtflbLä . ü¿
DATE : 5.11.82 STATIOH : LONGüV OBJET DU CONTROLE : KORBRAS
COTE EAU AMONT : 0.00 COTE EAU AVAL' t? 0.00 LARGEUR DE LA SECTION MESUREE : .65 •
MOULINET : OTT HELICE ï t
¡N0V!ESPAC!P.T0T!P.fO! T ÎNBR.ÎV UNITAIRES (CUMULE) !Q SUR CETTE VERTICALE (EN M.M/S)!
! 1! .05! .17!
.03160.1130.! .16115! .00403!
! .15160.! 64.! .09812! .02023!
! .0226?
! 2! .11! .16!
.03!60.!152.i .18216! .00455!
! .13Î60.! 78.! .11149! .02070!
! .0234?
3! .11! .16!
! .03!60.!234.i .26047! .00651!
! .13Î60.Î158.! .18789! .03117!
! .03587
! 4! .11! .16!
.03!60.!2?6.i .31968! .00799!
.13¡60.!1?6.¡ .22418! .03790!
! .04351
! 5! .11! .15!
.03Î6D.Î178.! .20699! .00517!
! .13160.1150.! .18025! .02454!
6! .11! .13!
! .03!60.! 69.! .10289! .00257!
.10160.! 50.! .08475! .01008!
! .01220
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXIXXXXXXXXX
x DEBIT TOTAL (en «3/s) = .017 *
x (en litre/s) = 17. »
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXKXXXXXX
SYNDICAT INTERCOMMUNAL POUR L'AMENAGEMENT VU MORBRAS
COMMUNES VE R0ISS1/-EN-BRIE, PONTAULT-COMBAULT, PONTCARRE.
RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE
DE LA DIGUE ET DU BASSIN DE RETENUE DU MORBRAS
par
J. SARRADIN, J.M. SIMON et J.N. TONNON
83 IDF 021 ' ' îoc-

Juin .7 983
BUREAU VE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES

SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL '
B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEVEK - TU. : ]3S) 63.SÓ.01
SERVICE GEOLOGIQUE ILE VE FRANCE

65, Rue du Gzn&voJL Ltclvic - 77170 BRIE-COMTE-ROBERT
TU. : (6) 405.27.07 '
-SÖMMAIRE-
I. - INTRODUCTION . 3
1.1 - Moyens de reconnaissance mis en oeuvre *. 3
1.2 - Objectifs de l'Etude 4
II. - PUITS DE RECONNAISSANCE 5

2.1. Implantation des puits 5
2.2. Description des puits • 5
2.2.1. - Les formations superficielles 6
2.2.2. - Les formations géologiques * 7
2.3. Mesures des niveaux piézométriques 8
. 2.3.1. - Puits P.1 9
2.3.2. - Puits P.2 10
2.3.3. -Puits P.4 11
2.3.4. - Puits P.5. 12
2.3.5. - Puits P.9 13
2.3.6. - Conclusion 14
III. - ESSAIS DÉ LABORATOIRE 15

3.1. Essais d'identification 15
3.2. Détermination des caractéristiques mécaniques % 17
3.3. Compressibilité - Perméabilité 19
3.4. Compactage - Perméabilité 21
3.5. Conclusion des essais de laboratoire 22
IV. - AVANT PROJET SOMMAIRE DE LA DIGUE 24
4.1. - Synthèse de la reconnaissance géotechnique 24
4.1.1. - Coupe transversale du vallon du Morbras
au droit de la digue (fig.411) 24
4.1.2. - Carte des formations superficielles du bassin
-..- de retenue (Fig. 412) 25
4.2. - Avant-projet sommaire de la digue 26
4.2.1. - Rappel des principales données de conception .. 26
4.2.2. - Géométrie et constitution de la digue . 28
V. - CONCLUSION 31
LISTE VES FIGURES
F.2.1. - Implantation des puits exécutés à la pelle mécanique

F.2.3.1. - Interprétation graphique des mesures du puits P.l
F.2.3.2. - Interprétation graphique des mesures du puits P.2
F.4.1.1. -' Coupe transversale du vallon du Morbras au droit de la digue
F.4.1.2. - Carte des formations superficielles du bassin de retenue.
TABLE VES ANNEXES :
ANNEXE 1. - Coupes descriptives des puits executes à la pelle mécanique

ANNEXE 2. - Cahier des essais de laboratoire *
ANNEXE 3. - Coupe-type de la digue du bassin de retenue du Morbras
R E S U M E
Lz Syndicat lYVtQAc.owmu.naJL pouA ¿'Aménagement du MoAbAOA a

au SeAvlcz Géo¿oglquz Ue.gA.onaZ I¿z-dz-¥ha.ncz du B . R . G . M . ¿'étude, hydtogéo
¿oglque. et géotzcknlquz de. ¿a Aztznuz du tÀotib>Acu>, ¿¿tuée. zntfiz Rol&6y-zn-
&Uz et Pontault-Combault (77).
Le pAé¿ent happant Aznd compte, de. ta Azconnal&Aancz géotzcknlquz

de. la digue, et du. ba¿¿ln dz Aztznuz du MoibJuu. Cettz étudz Azpo&z ¿UA
unz campagnz dz AzconnaL&iancz d& 11 puit& exécuté*, à ¿a peZZz mécaniquz.
Cz¿> pu¿t& ontfiait¿'objet dz AeZz\)é¿ du Yihoeau d'eau et dz ptiéJLzvzmzntA
d' échantl¿¿on& zn vuz d'e¿¿a¿¿ en ¿aboAotoÀAz. .
Lz6 AeZzv&t, du niveau d'eau dan& ¿z& puitt, ont montré ¿'zXyUtzncz
d'unz pztltz nappz aL¿uvia¿z peu ptiofiondz ¿ntéAz&&ant ¿z& aZZuvloni et ¿z
toit dzcompAlmé du manno-calcalnz dz Pantin. La peAmzablilté g¿oba¿z dz ¿'aqul-
{en.z pzut attzlndAz 5.10~ m / 4 . :
Lz& e¿¿al& dz ¿aboiatoÂAz Indlquznt que. ¿z&

clz¿¿z& pouAAont zt/LZ néemp¿oyéeA pouA conAtltueA'¿a dlguz moyennant ceA-
talnzà precautions. En pattlcutleA, ¿a ml&z zn ozuvfiz dzA co¿luvlon¿ dz
UaAneÀ veAtzà a¿tZKéz¿> ¿eAa déJLLcatz et pouAAa nzcz&àlteA un tAaltzmznt
du ficut dz ¿a natuAz aAgl¿o-¿lmoneuAz. Lz masino-caZccuAz dz Pantin zt
¿z& UaAneA vefiteA du Sannol&lzn ¿eAvltiont dz niveau dz fondation dz ¿a
dlguz. ..
La coupz-typz dz ¿a dlguz a été pKéclüéz à paAtln. dzt> z¿zmznt¿

fiouAnlb pan. ¿a 6ijntke¿z dz ¿a h.zconnal¿¿ancz géotzchnlquz. Enfiln, II a été
ptiz&cAlt dz& JizcomnundatlonA pouA ¿a conczptlon.dz ¿a. dlguz zn tznant
comptz du contZKtz hydiogzotzchnlquz du vation zt zn fonction dz& maténÀaxxx
d'emprunt dl¿ponlb¿za danA ¿z bcu>¿ln dz Aztenuz.
Rapport n° 83 IDF 021

- J -
I, - INTRODUCTION,
Le Syndicat Intencomnunal poun l'Aménagement du Moh.btux¿ a confié

au. Serviez Géologique. Regional Ile. de Thance du B . R . G . M , Vztu.de. hydnogéo-
logique et géotecknique de. la h.etem.e da \Áotibhja& ¿ituée enfrie Roi&¿y-en-
Bn¿e et Pontault-CombauU (77).
Le pfií&znt Kappofit nend compte de la n.econnait>¿ance géotecknique

de la. digue et du ba¿¿in de retenue du Mo^ívuw. L'étude kydnogéologique
iait l'objet d'un Kappont ¿épané.
U . - MOYEMS VE RECONNAISSANCE MIS EN OEUVRE. • / • . . •
La reconnaissance des sols a l'aplomb de la future digue et dans

le bassin de retenue a été effectuée à l'aide des 11 puits exécutés à la
pelle mécanique.
L'exécution des puits s'est accompagnée du suivi du niveau

piézométrique et du prélèvement d'échantillons destinés à la réalisation
d'essais en laboratoire.
Les essais en laboratoire ont consisté en :
- identification (classification LCPC et terrassements)

- essais de compactage (Proctor normal + perméabilité)
- essais de compressibilité à Véodomètre
- détermination des caractéristiques mécaniques (cisaillement à la
boite et triaxial).
- 2 -•
1.2. - OBJECT!FS PE L' ETUDE.
A partir des moyens de reconnaissance qui viennent d'être énoncés

les terrains du bassin de la retenue seront décrits et répertoriés en
formations superficielles et géologiques.
Le suivi du niveau d'eau dans les puits permettra d'évaluer

ponctuellement le débit des aquifères superficiels et d'en estimer la
perméabilité.
L'identification et la caractërisation des sols en laboratoire

serviront à déterminer le niveau de fondation de la digue. Pour les
matériaux provenant de l'excavation du bassin de retenue, leur réemploi
sera envisagé dans le remblai constituant la digue. Des recommandations
pour ce réemploi seront prescrites à partir des résultats des essais
d'identification et de compactage. Les caractéristiques mécaniques des
matériaux réemployés seront déterminées. • -•'
Ces objectifs aboutiront à la prescription de recommandations

pour la conception de la digue.
•- 3 -
II, 7 PUITS DE RECONNAISSANCE,
11 puits de reconnaissance ont été exécutés à la pelle mécanique,

les 9, 10.et 13 Septembre 1982. Des échantillons des différents terrains
ont été prélevés pour la réalisation d'essais en laboratoire. Chaque fois
qu'il a été possible, les variations du niveau piézométrique ont été suivies
dans chacun des puits. •
-2.1. --IMPLANTATION VES PUÏTS.
L'implantation des puits est reportée sur la figure n° 21.
Les puits PI, P2, P3, P7 et Pli sont disposés le long de l'empla-
cement de la future digue, en vue d'en définir les conditions de fondation.
Les puits P4, P5, P6, P8, P9 et P10, sont répartis dans la
future retenue pour en étudier les terrains et leur éventuel réemploi.
2.2. - VESOUVT10N VES PUITS.
Chaque puits a fait l'objet d'une description géotechnique des

terrains portant essentiellement sur la granulomêtrie et la compacité.
Le détail de ces descriptions/apparait en ANNEXE 1.

piste d^ß/rfret /en
niveau nominal
fond du bassin
VIEILLES
LES PRES
IMPLANTATION DES PUITS EXÉCUTÉS

î".
A LA PELLE MÉCANIQUE
CO
Echelle : 1 / 2000
- 5-
Les différents' terrains rencontrés dans les puits

ont été rattachés aux FORMATIONS SUPERFICIELLES ou à 1'ETAGE GEOLOGIQUE
auquel ils appartiennent.
2.2.1. - Les formations superficielles.
a) - Terre végétale
épaisse de 0,20 à 0,50 m, la terre végétale est.

le plus souvent limono-argileuse et de couleur brune.
Localement, elle peut être graveleuse en contenant des

éléments de calcaire beige dur et de taille inférieure
à 50 mm. . ,
b) - Calcaire de Brie altéré et colluvions de limon des
. plateaux.
Le Calcaire de Brie, altéré ne se rencontre qu'en surface

dans le puits P.3 qui est implanté en partie haute au
bord de la retenue. Il se présente sous forme de blocs
de calcaire dur emballés dans une matrice argileuse brune.
Les colluvions constituées du limon des plateaux se

trouvent en tête des puits P.7,'P.8,.P.10 et P.11,
également situés en partie haute de la retenue. De couleur
brun ocre, elles sont argileuses et limoneuses, mais peuvent
être sableuses (p.7 et P.10) ou graveleux (P.8). Ces
colluvions sont en général peu compactes et leur épaisseur
varie de 0,70 m (P.3) â 1,90 (P.11). .
- 6-
c) - Colluvions de Marnes vertes altérées
• Elles sont le plus souvent constituées de marnes

limoneuses bariolées ocres et gris verdâtre, moyennement à
assez peu compactes.Ces colluvions ont pour origine
les Marnes vertes du Sannoisien, plus ou moins fluées
et remaniées sur place. Leur épaisseur varie de 0,85 m
(P.4) à 1,40 m (P.5). . • .
d) - Alluvions
Dans les puits implantés en partie basse de la retenue,

c'est à dire, au fond du vallon du Morbras, il existe
des alluvions placées sous les colluvions. Plus ou moins
graveleuses, ces alluvions sont essentiellement sableuses
et de couleur grise et ocre. Elles sont le siège d'un
débit d'eau appréciable de 1'ordre d'une dizaine de litres
à la minute. Leur épaisseur varie de 0,10 m (P.7) à
1,10 m (P.2). Ces alluvions sont absentes dans les puits
situés au bord de la retenue (P.5, P.6, P.8, P.10 et P.ll).
2.2.2. - Les formations géologiques.
a) - SANNOISIEN : Marnes vertes de RomainvilleV
Compactes et raides, les Marnes vertes du SANNOISIEN

•apparaissent dans les puits situés au bord de la retenue.
(P.2, P.4, P.6, P.7, P.8 et P.ll). Elles, peuvent contenir
des nodules et des passées de marne blanche.
- 7-
b) - LUDIEN SUPERIEUR : Marno-calcaire de Pantin.
Le mamo-cal caire de Pantin a été rencontré directement

sous les alluvions,dans les puits P.l, P.2, P.5, et P.9
qui se situent vers le fond du Morbras,-où les marnes du
SANNOISIEN ont été érodëes. Ce faciès a été
rencontré le plus souvent sous forme d'une marne blanche
grumeleuse. Cette marne est décomprimée en tête et le
siège d'un débit atteignant quelques litres à la minute.
Dans le puits P.2, P.5 et P.10, des bancs calcaires très
fracturés1 s'intercalent dans ces marnes blanches.
2.3. - MESURES VES NIVEAUX P1EZ0UETR1QUES.
Pendant l'exécution des puits, les niveaux d'eau ont été relevés
et suivi en fonction du temps. A partir de l'appréciation du- volume,
des puits» les débits ont pu être estimés avec une précision acceptable.
En se fondant sur une méthode graphique (semi-log), la valeur de la perméa-
bilité a pu être estimée.
Les puits situés vers le bord et en partie haute de la retenue

ne présentaient pas d'eau. Il s'agit des puits P.3, P.6, P.7, P.8 et P.11.
Il convient de remarquer que ces puits sans eau, sont ceux où le marno-
calcaire de Pantin n'a pas été atteint.
Les résultats des mesures vont maintenant être présentés puits par
puits en adoptant les notations suivantes :
-8-
z : profondeur du niveau de l'eau par rapport au niveau

du sol
S : section du puits au droit du niveau de l'eau
Az : différence de niveau d'eau
V : volume d'eau écoulée dans le puits
At : intervalle de temps
Q : débit.
2.3.1. - Puits P.l.
z S Az' V - fit Q
m dm2 dm 1 mn 1/mn
3,00 64
64 1 : 64 ; 4 : (16)
2,90 • 64 .
:
. 82 . • 1 , 1 • 90 11 ¡ 8,2
2,79 100
:
103 0,4 41 5. 8,2
2,75 105
110 0,7 77 9 8,5
2,68 115
117 0,7 82 13 6,3
2,61 120
125 0,5 63 .11 5,7
2,56 . 130
133 0,3 40 8 5
2,53 135
137 0,8 vllO 19 5,8
2,45 140
- 9 -
Les mesures ont été effectuées le 9 Septembre 1982.
Le niveau piézométrique paraissait s'établir à 1,20 m de profondeur

par rapport au niveau du sol.
Les débits calculés se regroupent autour de deux valeurs moyennes :

6 et 8 1/mn. Cette variation de débit peut s'expliquer de la manière
suivante.. Le débit de 8 1/mn correspond à celui des venues d'eau provenant
des alluvions (1,70 m de profondeur) auquel s'ajoute le débit de la venue
d'eau du~ marno-calcaire de Pantin (2,50 m de profondeur).
L'interprétation graphique, figure 231, permet d'estimer globalement

la perméabilité de l'aquifère : K - 5.10"5 m/s.
2.3.2. - Puits P.2
S AZ..- V At Q
m dm2. ; dm 1 mn 1/mn
3,85 32
36 0 »5. 18 16 1,12
3,80 40
48 1 48 40 1,20
3,70 56
64- . 0 ,6 38 ,4 23 1,42
3,64 72
80 0 ,8 64 53 1,21
3,56 88
Fig: 2 3 1 . INTERPRETATION GRAPHIQUE DES M E S U R E S DU PUITS PI
TRANSMISSIVITE
-Débit moyen : 0 « 1,15.tO"c

_ Ptntf de la droite : s s 0-46
T z. 5.10' 5 m 2 / s
PERMEABILITE : K = T / ha
_ Epaisseur estimée de I aqu itère
4 5 6 7 8 9 10 2 3 4 5 6 7 d 9 ILT
Temps d» rtmontit m mn
Fig 232. INTERPRETATION GRAPHIQUE DES MESURES DU PUITS P 2
1
i
; ; : ! | '[
11
0.163 . 0
— -ri- rRANSMISSIVITE •T
s :
: :
!
0,9
_ Débit moyen ; Q «2.I.10" 5 m 3/S
—r: ----- —„ 1
_ Pente de la droite : s = 0,37

0,8
-H- — -
T — 1.10* 5 m 2
/s - : T .._4. i
i
0,7
. . . . . .
PERMEABILITE : K = T / ha _
E
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_ Epaisseur estimée de aquifère : ho: 1 m " \

cO.6 -~- ^^-
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K - 1.10' 5 m / s • "1 - ' i

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4
3 A 5 6 7 8 9 1 0 2 3 A 5 6 7 8 9 10'
Ttmps de re/nonfe» *n mn
- 12 -
Le niveau piézométrique paraissait s'établir à 1,60 m de

profondeur par rapport au niveau du sol.
Les débits calculés ne variant pratiquement pas en fonction

de la remontée du niveau de l'eau. La valeur moyenne s'élève à 1,2 1/mn.
L'interprétation graphique, figure 232, permet d'estimer

globalement la perméabilité de l'aquifère : K * 1.10 -5 m/s.
2.3.3. - Puits P.4
La mauvaise tenue des parois du puits n'a pas permis le

relevé des mesures de niveau d'eau en fonction du temps. Le 9 Septembre 1982,
le niveau piézométrique paraissait s'établir à 1,20 m de profondeur par
rapport au niveau du sol. Les venues d'eau au moins aussi importantes que
celles du puits P.l provenaient des alluvions (1,60 m de profondeur) et
du' marno^calcaire de Pantin (2,60m de profondeur).
-13 -
2.3.4. - Puits P.5.
z S V At
m dm2 Az
dm 1 mm Q
1/mn
3,10 75
85,5 2,5 213,75 30 7,1
2,85 96
96 •1,5 144 20 •7,2
2,70 96
* 105 1.6 168 25 . 6.7
2,54 114
114 0,4 45,6 10 (4,6)
2,50 114
Le niveau piézométrique paraissait s'établir à î,80m

de profondeur par rapport au niveau du sol.
Les débits calculés ne variant pratiquement pas en

fonction de la remontée du niveau de l'eau. La valeur moyenne s'élève à
7 1/mn.
L'interprétation graphique, figure 233, permet d'estimer

globalement la perméabilité de l'aquifère : K - 2,6 . 10" m/s.
Fig : 233 , INTERPRETATION GRAPHIQUE DES M E S U R E S DU PUITS P5
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: : : ) : : • : : : . • ( : • • :
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s
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0,9
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4
_ Débit moyen
_ Pente de la droite : !
T = 2.6.10 - 5 rn z /s
: C1 » 1.1. 1 0 ' * m 3 / s
ÍÏ 0,78
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0,7
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„»_ -- PERMEABILITE : K T / ha
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_ Epaisseur estimée de U iquifère : hc: Im

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o- K - 2,6.10*5 m / s
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3 4 5 6 7 8 9 I 0 2 3 4 5 6 7 8 9
î*mps d* rtmontit en mn
Fig : 2 3 4 . INTERPRETATION GRAPHIQUE DES M E S U R E S DU PUITS P9
1,
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— 0.183 . Q
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0,9 5
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_ Pente de la droite : s e. 0,33 " • : " !
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T s. 3.3.10"5 m 2
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_ Epaisseur «stimée de aquifére : ha= 1 m

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K s 3.3.10" m/i
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3 ï ATTENTION ESSAI PEU EXPLOITABLE
RESULTATS INDICATIF 5
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3 4 5 678910 2 3 4 5 6 7 8 9
Tmmps d» r*montit en mn
- 16 -
2.3.5. - Puits P.9
Z" S At
. dm2 ,Azdm V
1 mn Q
1/mn
m
3,40 24
44 2 88 25 3,5
3,20 64
76 . 0,5 38 47 (0,7)
:
3,15 88
92 1.5 138 30 4,6 .
3,00 96
Le niveau piézométrique paraissait s'établir à 1,70 m de profondeur

par rapport au niveau du sol.
La valeur moyenne du débit peut être estimée à 41/mn. Un prélèvement

d'eau a été effectué pour analyse chimique.
L'interprétation graphique, figure 234, permet d'estimer globalement

-5
la perméabilité de l'aquifère : K = 3,3 . 10 m/s.
- 17 -
2.3.6. - Conclusion.
Le relevé des niveaux d'eaux dans les puits ou moment

de leur exécution a montré que le fond du vallon du Morbras était le siège
d'une petite nappe alluviale peu profonde.
• •
Cette nappe intéresse également le toit du marno-calcaire

de Pantin.
La perméabilité globale de l'aquifère peut atteindre

5
5.10' m/s.
-18. -
III, -ESSAIS DE LABORATOIRE,
Les échantillons prélevés dans les puits exécutés à la.pelle

mécanique ont fait l'objet d'essais de sol en. laboratoire.
Il a été effectué les types d'essais suivants :
- identification
- détermination des caractéristiques mécaniques
• - compressibilité - perméabilité
- compactage - perméabilité.
Les courbes et résultats des différents essais, réalisés confor-

mément aux modes opératoires du L.C.P.C., sont présentés en annexe 2 dans
le cahier des essais de laboratoire. Les résultats y sont regroupés par puits,
3.1. - ESSAIS V'JVENTÏFJCATION.
Ces essais comprennent la détermination de :
- la teneur en eau W en %
- le poids spécifique apparent-sec y d ou t/m:
- la courbe granulométrique
- les limites d1 Atterberg : Wl, Wp, Ip en %.
-19 "
A partir delà granulométrie et des limites d'Atterberg, il est

défini pour chaque sol la classe L . C . P . C . et la classe terrassement.
La synthèse des essais d'identification apparait, par type de

formation, dans le tableau suivant :
Formation t/m LimitiA CloiiZ ClCL&éZ

zt valzwi zxthâmz zt VOlZUA d 'AttzJibeAg L.C.P.C TZAACU-
moyznnz moyznnz ¿zmznt.
Wl ' 37 ä 60
ColZd.v¿on& dz tímoni 21 7,63 Olp » 75 à 27,5 Ap A3
dz¿ plateaux.. Ip = 22 a 3S,5
Wl = 50 à 76
CoWivÁjoni, dz 77,0 â 52,4 . 1,08 a 7,52 Olp = 20 a Z3 Ai A3
Mannzi \lzfitz6 Ip = 30 à 53
alWizzi, OÎ ' 29,6 y~d at 7,39 A4
Altuvlom .. 17,0 à 29,0 S. A B5

'— • -. ou
w * 22,0 G.A
MaAnzi \Jz>vtzi 75,3 à 47,0 7,7« a 7,64 011 = 94 .

At A4 ,
du. SAMMOISIEW Olp ' 27
ôT . • 35,2 yd M 7,36
Ip ' 67 •
UaA.no - CaJLcainz 73,5 a 62,0 1,16 a 7,SO 011 = 29 '
Olp = 73 A2
dz PAWTÎN
w * 32,3 • yd 7,44 . Ip = 76
La c¿a&¿¿6¿ccLtíon £eAMit>¿zmznt &¿£ dífiinZz dorn lz¿ fizcormcundationi poux. ¿z&

¿znncL&izmznti, du S . E . T . R . A .
-20-
D'emblée, il apparait que l'ensemble des terrains de la retenue

sont essentiellement argileux (plasticité importante).
Leur teneur en eau est importante et leur densité faible.
D'une manière générale, la compacité des terrains s'améliore

en allant du fond du vallon du Morbras au bord de la retenue. La compacité
s'améliore également en profondeur, toutefois le toit des marno-calcaires
de Pantin est particulièrement décomprimé (yd = 1,16 t/m3 dans P.l).
3.2. - 0ETERMINATIÖM VES CARACTERISTIQUES MECANIQUES.
En vue d'étudier le taux de travail des sols de fondation de la

digue et la stabilité de la digue elle-même, les essais suivants ont été
réalisés :
4
. - cisaillement direct à la boite, consolidé et drainé

- essai triaxial consolidé non drainé avec mesure de
la pression interstitielle.
Les caractéristiques mécaniques (cohésion C et angle de frottement

interne <|>), déterminées par ces essais, sont explicitées dans le tableau
suivant : .
- 21 -
CISAILLEMEWT C.V. ESSAI TRIAXIAL 'C.V.

¥o matio n
C (faoA) $ taioi
Cca{bci) dix*) *' (°)
COZÍLLV¿OH¿ de.
MaAiiz \)<vt£<¿ Í6" 0,0S 15,5" -o,os Ji,5°
aJLtoAß.2.
Col£uv¿on¿ d&.
•tùnon c£e¿
Ö,/ • 27,5"
p-lcut&cuix
[P.11 ; 7,5 m)
MaAne. vejute. da
SANhlOlSlEM 0,2 n" 0,16 9° 0;16 Î0,5"
{P3 ; 2mJ
MaA.no -CaíctxÁAz
d<i Pantin . ö ; • 27,5° 0,04 2S,5" 0,04 33" .-'
(PI ; 2,90m)
Les essais effectués sur les colluvions de marne verte ont

été réalisés à partir d'un échantillon moyen provenant des puits PI, P2
P4, P5 et P9. Cet échantillon moyen a été reconstitué avec W = 17,5% et
yd = 1,63 t/m3, voisins de W optimale et yd maximal obtenus avec l'essai
Proctor normal .
Ces essais ont pour but d'étudier • la stabilité de la digue

dans le cas où les colluvions seraient réemployées.
- 22 -
En tout état de cause, les caractéristiques obtenues sont

médiocres et correspondent à celles d'un sol fin argileux plastique.
Les caractéristiques des colluvions de limon du plateau sont

bien meilleures, en particulier l'angle de frottement interne mesuré
s'élève à 27°5 et en accord avec la nature limono-sableuse de ces sols.
. Les caractéristiques effectives des Marnes vertes du Sannoi-

sien sont très faibles, l'angle de frottement interne étant de l'ordre
de 10°. .' . .•
Par contre, le marno-calcaire de Pantin offre des caracté-

ristiques de frottement intéressantes ( $ de l'ordre de 30°). .
Le marno-calcaire de Pantin peut donc constituer l'assise

de la digue. _ .
3.3 - CÖMPRESSIBUITE - PERMEABILITE
En vue d'évaluer l'amplitude et la durée des terrassements, il

a été effectué trois essais oedométriques sur les mêmes échantillons que
ceux ayant subi les essais de cisaillement.
- 23-
Fonmatlon Co ban Ce Cg
CoZJbxvlonà dt Mannt
Vesvte. atté.n.é.2. 0 ,67 _ 0,178'
Manne, vente, du. SANNOÏSJEU

[PS, 2 m ) . . - 1,05 3 o.m 0,095
Man.no-CaicxuAt de. Pantin 0 o, 5 0,05 - .0 :
avec : Co indice des vides initial.

ô'c : pression de préconsolidation en bar
Ce : indice de compressibilité
Cg : pression de gonflement.
De même que pour les caractéristiques mécaniques, les caractéris-

tiques de compressibilité des colluvions de marnes vertes sont médiocres
Les mesures de perméabilité, effectuées à charge variable pendant

l'essai oédométrique, indique des valeurs faibles de Tordre de 10" cm/s.
Les colluvions peuvent donc assurer une bonne fonction d'étanchéïté.
En contrepartie, les tassements seront longs et les pressions

interstitielles longues à dissiper.
- 24 -
Les Marnes vertes présentent une forte pression de gonflement et

pourraient donc, après dessication et saturation, donner lieu à des désor-
dres dans le remblai constituant la digue.
En effet, la dessication des marnes pourra avoir lieu pendant

l'ouverture des fouilles au cours des travaux et ensuite ces mêmes marnes
seront saturées après la mise en eau de la retenue . De ce fait, les
Marnes vertes constituent un niveau de fondation médiocre pour la digue.
Le marno-calcaire de Pantin, peu compressible, se confirme comme

niveau de fondation acceptable.
3.4 - COMPACTAGE - PERMEABILITE
Trois essais Proctor normal ont été effectués sur des matériaux
susceptibles d'être réemployés. Pour chacun des trois matériaux, la per-
méabilité a été mesurée au voisinage de l'optimum Proctor normal.
CJUute.
Formation (U opt. % ycf max. K m/¿ tzAJLO6.6me.nt
t/m3 •
ColZji\)iovu> dz MaAnzA
\)zntu aJLWizz6 1,63 U 1,5. 10~& A4 h
(PÍ, VI, V4, V5, P9) [100 % OPN) [W, not =30%)
Co¿uiv¿on¿ dz timon
dz6 plateaux 7,73 2. 10~7 A 3-.fc
(99 1 OVN) (W. not =21%)
AZtuv¿on¿
[VI, 2,50 m) 1,92 72 1,4..10'S B 5 h
(98,5% OVN) (W. mot =U°i]
- 25 -
avec : W opt. . : teneur en eau optimale ( %)

yd max. : poids spécifique apparent sec optimal (T/m3)
K : perméabilité (cm/s)
W. nat : teneur en eau naturelle
O.P.N. : Optimum proctor normal.
Même dans le meilleur des cas (P2, 1 m) les colluvions de Marnes

ertes altérées, seront d'un réemploi délicat dans le corps de la digue, à
cause de leur teneur en eau. naturelle très élevée. Il ne sera guère possible
de les réutiliser qu'en "sandwich" ou moyennant un traitement à la chaux.
De toutes manières l'extraction et la mise en oeuvre de ces matériaux ne
pourra avoir lieu qu'en été.
Les colluvions de limon desplateauxoffre des caractéristiques

de compactage à peine meilleures. Là encore, la teneur en eau naturelle
très élevée nécessitera également la mise en oeuvre de ce matériau en été.
Les alluvions, telles qu'eues ont été rencontréesdans le puits P2,

se compactent convenablement et présentent une densité sèche maximale
intéressante (1,92 t/m 3 ). Comme pour les colluvions, la mise en oeuvre par
beau temps permettra de réduire la teneur en eau naturelle importante.
3.5. - CONCLUSÎOH VES ESSAIS VE LABORATOIRE.
• Les essais de laboratoire ont permis d'identifier et de caractériser

les différentes formations comme l'indique le tableau de synthèse suivant :.
- 26 -
FORMATION IDENTIFICATION CARACTERISTIQ.UES NIVEAU REEMPLOI

Cla¿¿z L.C.V.C, de. VÛWATIOU clan e
TERRASSEMENT
Cot£uv.Lon¿ Ap . nwijui
du JLùnon de¿ [tùnon& ¿ablo- bonnes A 3k
plateaux OA.QU.QAXK)
CclZuv¿on& Ai" &aíble¿ di^lclle.

dz MafineA VeAtzA (aAg¿íe.¿ . zt dlLLcat
aJtt.zn.ZQj> Lcmon2ii6 2A) . : A 4h • •
AZJZuvÁonA S.A. - G.A.

[ghjxvoA <it
bonnes bon
¿abite Limono-
8 5h
anailoux)
Ha/inZà VOAtZA , At Ttâ& ialblzà mzdXjooJiz

da SANMOÍSIEN . [MaAnz]
Hanno -CalcaÁAe. : Ap
bonnes acceptable.
dz Pantin. : [Manne.
. ¿abluuAz)
- Les formations superficielles pourront être réemployées pour

constituer la digue moyennant certaines précautions. La mise en oeuvre
des colluvions de Marnes vertes altérées sera délicate et pourra nécessiter
un traitement à la chaux.
- Du fait des mauvaises caractéristiques des Marries vertes, c'est

le marno-calcaire de Pantin qui servira de niveau de fondation à la digue.
- 11 -
IV. - RECOMMANDATIONS POUR LA CONCEPTION DE LA DIGUE
4.1. - SVNTHESE VE LA RECONNAISSANCE GE0TECHN1QUE.
A partir des coupes descriptives des puits à la pelle mécanique,

il a été établi deux documents de synthèse qui serviront à la conception
de la digue de retenue : •
- coupe transversale du vallon du Morbras au droit de

la digue
- carte des formations superficielles du bassin de

. retenue.
4.1.1. - Çguge_transversale_du_ya^lon_du-Mgrbras_au_droit_de_la
digue {fig. 41Í).
Cette coupe a été établie à partir de la description des puits

PI, P2, P3, P7 et Pli et elle indiquera configuration des formations
superficielles au droit de la digue.
La dissymêtrie du vallon est bien mise en évidence.
Le versant Sud est plus abrupt et est recouvert de colluvions

de limon des plateaux. Le versant Nord est plus ample et est en majeure
partie occupé par les colluvions de Marnes Vertes altérées. Les colluvions
de limon des plateaux sont également présentes au sommet du versant Nord.
L'épaisseur des colluvions varie de 0,50 à 1 m. .
Fig.
C o u p e t r a n s v e r s a l e d u vallon d u M o r b r a s a u droit d e la d i g u e
LU
Û-
XJ
SUD NORD
P7 PII
GF NGF
Sommet de la digue = 97,50 NGF -»100
)0
- Profit d e La d i q u e
Niveau de fondation ^ 91.50 N G F

10 -»90
VERSANT R G. PARTIE CENTRALE VERSANT R D.
TV Terre végétale M V Marnes vertes du Sannoisien

EcheLLe des Longueurs : 1 / 600
CLP CoUuvions de Limon des pLateaux M C P Marno-calcaîre de Pantin
Echelle des hauteurs : 1 / 200
CMV CoUuvions de marnes vertes altérées o ° • O
. ' 0 . 0 .
• a
P .
\
• O '
AL Alluvions
- 28 -
Les alluvions occupent essentiellement le versant nord, où elles

apparaissent sous les colluvions de Marnes vertes altérées. L'épaisseur
des alluvions atteint 1,10 m en P2. C'est vraisemblablement au droit de ce
puits que s'établissait antérieurement le lit mineur du Morbras.
Les alluvions reposent directement sur le marno-calcaire de Pantin.

Les Marnes vertes du Sannoisien ont donc été érodëes au fond du vallon et,
de ce fait, elles n'apparaissent qu'en bordure des versants, sous la couver-
ture colluviale.
Il a été montré précédemment que les marno-calcaires de Pantin

constituaient un bon niveau de fondation.
En fond de vallée., et compte tenu de la nécessité de réaliser un

bassin étanche au travers de la formation perméable des alluvions, la digue
reposera donc sur cette formation marno-calcaire dont les 50cm à 1 m supé-
rieurs auront été préalablement décapés. Le niveau de fondation s'établira
donc aux environs de la cote 91,5 NGF.
Les deux versants de la vallée sont, par contre, étanches grâce à

la remontée des Marnes vertes. Leurs caractéristiques mécaniques, bien qu'in-
férieures à celles des marno-calcaires, doivent être considérées comme accep-
tables compte tenu de la faible hauteur de digue considérée, d'autant que
celle-ci diminue naturellement lorsqu'on s'éloigne de l'axe du vallon. On
préconisera donc, de part et d'autre de la partie centrale, un simple déca-
page des colluvions faisant reposer la digue sur les Marnes vertes du Sannoi-
sien. La figure 411 montre l'allure du fond de fouille, en mettant en évidence
la différence de conception dans la partie centrale et sur les rives.
- 29-
4.1.2. - Carte_des formations superficielles_du_bassin
de~ritenüe~{figure 4Ï2)
Cette carte indique la répartition des formations superficielles

représentées par les colluvions et les alluvions.
L'extension des alluvions est limitée au fond du vallon et

elle est relativement développée au droit de la digue.
Les colluvions de Marnes vertes altérées recouvrent largement

les alluvions. Les colluvions de limon des plateaux occupent la bordure
du bassin et la plus grande partie du versant Sud.
Faute d'une accessibilité suffisante, la partie Est du bassin

comprise entre le Morbras et la Longuiolles n'a pu être reconnue.
Cett'e carte sera utilisée pour l'estimation précise des cubatures

de chaque type de formation superficielle susceptible d'être réemployée.
On notera cependant, en première approximation, que les quantités dispo-
nibles semblent suffisantes pour la réalisation de la coupe type décrite
ci-dessus.
4.2. - C0Ü?E-Ty?E VE LA VJGUE
Une coupe-type de la digue est présentée en annexe 3.
4.2.1. -
Les données* rappelées ci-dessous, sont celles exposées

dans le Dossier Définitif du Contrat Régional.
fond du bassin
VIEILLES
• • • • • • • • • • . • • • • • • • • • • • • - x r - • ' ; •
• , " - • . • • . • . • . • • • • . • - • • • ' . • ' • . • • 3 3 4 . • . ' . } K • : ' •
:^~iïl — Î T J ^ .*- -•"!• "î^T"^t^*
LES PRES
Colluvions de limon
des plateaux
Colluvions de m a r n e s vertes
•Itérées CARTE DES FORMATIONS SUPERFICIELLES
^ ) ^
DU BASSIN DE RETENUE
Alluvions sous couverture
coltuviale
Echelle : 1 / 2000
- 30 -
NU/EAU NOMINAL VU BASSIN : 94,50 WGF

COTE MAXIMALE POUR LE CALAGE VU NIVEAU NOMINAL : 95,80 NGT
: FONV VU BASSIN : 92,50 WGF
•'• SOMMET VE LA V1GUE:• 97,50 NGF
Rappelons que ces cotes ont été définies dans le dossier définitif
en tenant compte des contraintes suivantes :
- le marnage décennal, . •
- le respect des cotes de drainage des champs environnants,
- le bilan hydraulique de la retenue,
- la configuration du ru en amont du bassin et les pertes
de charges éventuelles dans le système de prétraitement
des eaux.
Le dimensionnement définitif du barrage, des ouvrages d'évacuation

des crues et des vidanges sera effectué dans le cadre de l'avant-projet défi-
nitif qui devra, en particulier, tenir compte des apports de l'aquifère.
La reconnaissance géotechnique a conduit à recommander comme

niveau de fondation le marno-calcaire de Pantin à la cote 91,50 NGF en
fond de vallée et les Marnes vertes sur les rives.
- 31 -
4.2.2. - GÉ2!ï§tne_et_cons;Utution_de_2a_digue
Compte-tenu de la synthèse de la reconnaissance-géotechnique des

terrains de fondation et des matériaux d'emprunt disponibles sur le site,
on a proposé la coupe-type de l'annexe 3, dont la conception répond essen-
tiellement à un souci de simplicité et de facilité de mise en oeuvre.
CORPS D E J A DIGUE
La digue sera du type homogène, l'ensemble des matériaux
participent aux fonctions d'étanchéité. Cette disposition a été
prise en raison des disponibilités importantes en colluvions
argileuses, ce qui entraîne, en corrélaire , l'adoption de pentes
de talus très faibles (4/1) en amont, et. dans la partie supérieure
du talus aval. Les colluvions des plateaux constituent le meilleur
matériau pour cette utilisation.Si elles se-présentaient en quantité
insuffisante, le volume nécessaire (environ- 14 000 m 3 ) serait
fourni en complétant par les colluvions de Marnes vertes dont l'emploi
présenterait cependant certaines difficultés, compte tenu de leur,
forte teneur en eau naturelle.
L'étanchéité sous l'ouvrage sera réalisée par les moyens d'uni

parafouille descendu; comme il l'a été expliqué précédemment, jus-
qu'aux Calcaires de Pantin.
Les dispositions constructives devront être prises par l'entre-

. prise pour évacuer les venues d'eau et assurer le décapage de la
partie supérieure du Calcaire.
En amont de ce parafouille, remblayé par des colluvions argi-

leuses, la digue sera fondée sur les alluvions dans la partie centrale
de la vallée, sur les Marnes vertes sannoisiennes pour chacun des ver-
sants.
- 3.2 -
RECHARGE_AVAL
Sur le parement aval, sera prévue l'utilisation de matériaux

de qualité inférieure grâce à l'adoption d'une pente de 10/1 per-
mettant une bonne intégration à l'ensemble paysager.
Ces matériaux pourraient être consitués par les colluvions de

Marnes vertes, sans autres précautions d'emploi que celles permettant
la circulation des engins.
Le fond de fouille pourra, à cet endroit, être représenté par

les colluvions en place dont les performances doivent être voisines
de celles des colluvions compactées.
Cette disposition permet d'économiser le décapage des terrains

sur une épaisseur de 1 à 2 m, ainsi que le remblaiement qui en r é -
sulterait. - • • - • • •
D'autre part, en remarquant que le niveau d'eau normal s'établit

à 94,5 NGF, les écoulements permanents à travers la digue sont provo-
qués par une surcharge hydraulique de 2,5 m au maximum. Pour cette
raison, et compte tenu du très faible fruit adopté pour le parement
aval (10/1), il n'a pas été jugé nécessaire de retenir les disposi-
tions classiques destinées à lutter contre les effets de l'écoulement
(drain cheminée ou drain de pied).
Il a été considéré enfin que les éventuelles percolations et,

en particulier celles qui s'établissaient sous le corps de digue et
au contact de celui-ci, seraient évacuées par l'horizon drainant na-
turel que constituent les alluvions en place dans la partie basse de
la vallée. .
- 3.3- ,
DISPOSrrpNSPARTICULIERESSURLE
Pour lutter contre les effets du bâti 11 age , il a été

jugé nécessaire d'interposer au contact de la retenue, un
matériau graveleux, à granulométrie continue 0-80, jusqu'au
niveau des plus hautes eaux.
Outre la protection contre le batillage, ce matériau,

grâce à une granulométrie continue, remplit les conditions
de filtre par rapport aux colluvions argileuses au contact,
et est, de plus, aisément compactable. Pour permettre une
mise en place rapide et peu onéreuse, il convient de lui
donner une épaisseur horizontale minimale de 2,5 m.
Le matériau idéal serait un tout-venant alluvionnaire

répondant aux critères granulométriques qui viennent d'être
définis et qui, de plus, présenteraient l'avantage d'une
bonne insertion paysagère.
En ce qui concerne la partie située sous le niveau normal

de la retenue, la fonction anti-batillage serait complétée
par.la mise en place de pavés auto-bloquants d'une épaisseur
de 15 cm normalement au parement.
Une solution en enrochements pourrait également être

envisagée.
- 34 -
V, - CONCLUSION,
L'étude géotechnique de 1'avant-projet sommaire de .la digue

du bassin de retenue du Morbras, repose sur une campagne de reconnaissance
de 11 puits exécutés à la pelle mécanique. Ces puits ont fait 1¡objet
de relevés du niveau d'eau et de prélèvement d'échantillons en vue d'essais
en laboratoire.
Sur le bassin de la retenue il a été mis en évidence des

formations superficielles relativement abondantes constituées de colluvions
composés de limon des plateaux ou de Marnes vertes altérées, et des alluvions
tapissant le fond du vallon et recouverts par les collusions. Les formations
superficielles reposent sur les Marnes vertes du SANNOISIEN et au fond
du val Ion.directement sur le marno-calcaire de PANTIN.
Les relevés du niveau d'eau dans les. puits ont montré l'existence
d'une petite nappe alluviale peu profonde interessant les alluvions et le
toit décomprimé du marno-calcaire de PANTIN. La perméabilité globale de
Taquifère peut atteindre 5.10" m/s.
Les essais en laboratoire indiquent que les formations superficielles

pourront être réemployées pour constituer la digue moyennant certaines
précautions. En particulier, la mise en oeuvre des colluvions de Marnes
vertes altérées sera délicate et pourra nécessiter un traitement du fait
de la nature argilo-limoneuse en cas d'utilisation en corps de digue.
- 35 -
Le marno-calcaire de Pantin servira de niveau de fondation du

corps de digue dans la partie basse du vallon alors que celui-ci repo-
sera sur les Marnes vertes sannoisiennes sur chacun des versants.
La coupe-type de la digue a été précisée à partir des

éléments fournis par la synthèse de la reconnaissance géotechnique.
Il a été prévu que la digue comporterait la structure suivante :

- le corps de digue s'élèverait depuis le niveau de fondation (91 NGF)
jusqu'à la cote 97,5 NGF. Il servirait d'organe d'ëtanchéité vis-à-vis
de la nappe alluviale.
- la protection amont serait assurée par un tout-venant alluvionnaire,

complété sous la retenue par un pavage auto-bloquant.
- à l'aval, l'adoption d'une pente de 10/1 garantit la stabilité sans

autre disposition particulière. . . '
Le décapage du fond du bassin fournira "a priori" suffisamment

de matériaux d'emprunt pour constituer le corps de digue et la recharge
aval. Toutefois, les colluvions disponibles nécessiteront de sérieuses
précautions de mise en oeuvre et éventuellement un traitement.
L'avant-projet détaillé de la digue devra être élaboré en har-

monie avec celui du bassin de retenue. Le choix définitif des cotes per-
mettra de fixer la géométrie du projet dont la stabilité sera alors véri-
fiée. C'est également au stade de 1'avant-projet détaillé que seront arrê-
tées les différentes dispositions constructives..
- ANNEXE 1. -
COUPES DESCRIPTIVES DES PUITS

EXECUTES A LA PELLE MECANIQUE.
A11
PI
i FORMATIONS
SUPERFICIELLES :
Caí¿ce.fi¿on.<i
de
p p
à. pae.z¿¿í û/e. O,7Onr?
1.20
í. de.
o/e. -
1.60
, LUCIEN
1.80
SUPÉRIEUR ;
Mc22.no -
2.90 H
A12
P2
FORMATIONS
SUPERFICIELLES :
c/e.
t.ée eé
efe.
1.00 -
1.60
efe. ale
f S snez^c x iSOynm I
2,50 -
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SUPÉRIEUR:
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3.50 -
A13
P3
FORMATIONS
SUPERFICIELLES :
co¿aejccjtjo n i
c¿e¿>
e/t 3ccJ?¿í
)
2) /r>rnr * /ûû/n/n )
SANNOISIEN:
A14-
Tecz.e FORMATIONS
¿¿mon SUPERFICIELLES
cLe.
1.20
cíe
SANNOISIEN :
LVDIEN
SUPÉRIEUR
Afcczno-
cíe
A15
P5
I FORMATIONS
SUPERFICIELLES :
a/e.
1.00 - -
1.50 -
1,80
Sac£¿e fin snacc.7irts.x-
LUDÍ EN
SUPÉRIEUR
s¿ ale.
2.60 -
2.90 -
A16
P6
- O
Tet.ce tségééaJüa. ùrrt.-ne.
ocaee.
-0,3
— 0.50
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SANNOISIEN
cujee, nooiíífía ¿/a
ai pa.t¿¿c e/e. /?.
d"erres. Le. ¿h<

A17
I Tezze
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1.00 -
/íjri e.¿rrrrr-<.tr
• SANNOISIEN :
cccrec a/m
e/i /?ornc2j¿-nL/¿ó£e.
—: ^J : ~TZJ~~ zzz 2,50
-2,90
¿/e. Le. ¿u
A18
P8
X -o FORMATIONS
X -0.20
SUPERFICIELLES:
o.so
¿dqice.nne.-r7e c/ñ Cisman
p fac¿Cccji¿sX. et
e/e.
de
•1,00
-1.50
-1.80
\ SANNOISIEN :
•2.00
cíe.
-2.50
1.2.60
c¿e. éc ¿/cx.r7S> Ce.

A19
P9
i FORMATIONS
SUPERFICIELLES :
1.50 f-
1.70
cft
2.00 -
2,20 -
LU DI EN
SUPÉRIEUR:
Afoctna- cex¿-
A 110
P10
I Tezte
FORMATIONS
SUPERFICIELLES,
e/e.
fízjgíüt ¿LmonettAt. et
0 , 6 0 I-
, act*. e¿ c/e
compacté*
7A _ _ _ _ ^^_
1
¿Je.
SANNOISIEN:
1,80 -
c/e.
LU DIEN
SUPÉRIEUR:
3,20 -
A 111
P11
I FORMATIONS
SUPERFICIELLES!
¿¿mon
¿.¿mom accaôt
Camp erren
1.50 -
SANNOISIEN :
//ex,cn¿-t> ve cía,
2,90 -
*- 3.00
m
- ANNEXE 2. -
CAHIER DES ESSAIS DE LABORATOIRE.

B.R.G.M.
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
B.E.R.G.A.
Classif je. Limites d Atterberg
Provenance : R U rju Morbras unifiée
Nature : m a r n e bariolée
Date de l'essai : S e p t . 82
Poids initial sec :
CD
"* ^Diamètres équivalents (u)"* . !

• >
1
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Classific. Limites d'Atterberg
Dossier : Provenance : Ru du M o r b r a s
unifiée
Echantillon n' : Nature : M a r n e Limoneuse
W
i. wp 1
P
, barioLée
Sondage : P1 Date de l essai : S e p t . 8 2 CL ' 50 20 30
Profondeur : 0 , 9 0 m Poids initial sec :
c^
• 200
1-
125 63 25 12.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mm) Diometres equivolents
O 250 K-
module Ï5Ô] [481 ¡JZ\ RTI fTFt fl4l (TÎ1 271 [241 f2T
AFNOR •— I
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Classif ic. Limites d'Atterberg
uni fiée
Echantillon n' : Nature : M a r n e blanche
W W 1
L P P
Sondage : P1 Date de l'essai : S e p t . 82 CL 29 13 16.

A.S.T.M. 5' 2" 1/2' 1/4- n»10 18 40 70 200
CAILLOUX GRAVIERS G R O S SABLE SABLE FIN LIMON ARGILE

100 0
90 10
80 20
3
£ 70 30
60 40
E
50 50
0) .
40
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o
1) 30 70
3
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i
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O
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—
I
250
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100
f
125
50
+
63
3
1
l\5
module
L Í501 nisi GO
AFNOR - I
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Classific. Limites d' Atterberg
unifiée
W W I
Echantillon n' : Nature : Marne Limoneuse L • P P
, bariolée '
Sondage : p 2 Date de I essai : S e p t . 8 2 CH 53 ,5 22 31, 5
tí
i ^ *j U1 >•<
^Diamètres equivalents 1
ce
CQ IN3
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Classific. Limites d Atterberg
unifiée
Echantillon n' : Nature : Sable marneux w L W
P
1
P
très graveleux
Sondage : P 2 Date de l'essai ¡ S e p t . 8 2
Profondeur : 2 , 5 0 m • Poids initial sec :
A.S.T.M. 5' . 1/2" 1/4- n*10 IS 40 70 200
CAILLOUX GRAVIERS G R O S SABLE SABLE FIN LIMON ARGILE

100
-I-
90
« 80
3 70
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CD
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10
• ' 200 100 50 20 10

im WO o
—
I 125 63 25 12.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mm) "^Diamètres équivalents
O 250 K-
module [50] [48] [44] R T | |T8i [24] [3Y] [27] [24] fTT PO
AFNOR *— i en
B.R.G.M.
ÍB.E.R.G.A.
Classif ic. Limites d 'Atterberg
unifiée
Echantillon n* ;
W W I
Nature ¡Grave s a b t o - m a r n e u s L P P
Sondage : P3 Date de l'essai : S e p t . 8 2 SC 60 21, 5 38 ,5
A.S.T.M. 200
i
to
i ro
: cri
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Dossier : Provenance : • Ru du M o r b r a s
unifiée
Echantillon ne :
W W 1
Nature : M a m e verte L P P
Sondage : P 3 Date de l'essai : S e p t . 8 2 . CH 94 27 67

A.S.T.M. 200
100
I 1
**4 m m w io -•• ** po ^ u*
1
un Lno OJ u» ^ **? w »v "*
"* ^"* "* ^Diamètres équivalents
fV3
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Classific. . Limites d'Atterberg
uni fiée
W W
Echantillon n 1 : Nature : M a r n e bariolée L P 1
P
Sondage : P 4 Date de l'essai : S e p t . 82 CH 76 23 53

Profondeur : Q , 8 0 ID Poids initial sec :
Diamètres équivalents lu)

>
i oo
B.R.G.M.
B.È.R.G.A.
Classif.ic. Limites d' Atterberg

unifiée •
Echantillon n 1 ;
W W 1
Nature : sable m a r n o - g r a v e L P P
leux
Sondage : \'^7 Date de l'essai : S e p t . 82
Profondeur : -] ^ Poids initial sec : •
10
20
30
40
50
60
70
80
90 5t
100
• 200 100 50 20 10 0,4 0,2 O.lSl, w 1* Jo
hl
\- -t- + ** "* ~* Diamètres équivalents (u.) .
O 250 125 63 , 25 12.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mm) K
module [50] [48"1 ¡~44~] [JT\ [3S\ [34~j [3\] [27] [24 §
AFNOR '—
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
C lass ¡f ic, Limites d'Atterberg
Dossier : Provenance : Ru du Morbras
uni fiée
W W P I
Echantillon n' : Nature ;Marne brun ocre L P
bariolée . •'
Sondage : P 5
Date de l'essai : S e p t . 82
Profondeur :1 r
Poids initial sec :
A.S.T.M. 5" 1/2' 1/4" n°10
100
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
p
O 250 125 63 25 12.5 6.3 2.5 1,25 0,5(mm)

K-
LT ^ "^ w' *y >
^ D i a m è t r e s équivalents I
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I
module 150 I [48 [441 i m Í381 [24] [JV [27\ [241 i
AFNOR ' ' '—'—
B.R.G-M.
B.E.R.G.A.
Dossier : Classific. Limites d'Atterberg

Provenance : Ru du M o r b r a s
unifiée
W W 1
Echantillon n" : Nature ¡Marne L i m o n e u s e L P P
bariolée
Sondage : p9 Date de l'essai : S e p t . 8 2 CH 59 19 40
A.S.T.M. 200
10
20
30
40
50
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70
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I
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200
250
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t
125
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25 12.5 6,3 2,5

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0,5(mm)
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^ D i a m è t r e s équivalents (tT)"^ .
o 3
1
module 150 j |48| | 4 4 | J 4 l | 1381 ' j 341 [31] [27] |24[ ro
AFNOR "- i
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
Dossier : Provenance : Ru d u M o r b r a s
uni fiée
Echantillon n 1 ; • W W 1
P
Nature : S a b L e marneux L P
Sondage : P 9 Date de l'essai : S e p t . 8 2
Profondeur : ' 2 , 0 0 m Poids initial sec :
A.S.T.M. 200
100
is
* Día m e tres- équivalents

I
ro
B.R.G.M.
B.E.R.G.A.
• Classific. Limites d'Atterberg
Dossier : Provenance : Ru d u Morbras
uni fiée
Echantillon n1 : Nature ¡Limon marneux brun
W W I P
L P
Sondage : P11 Date de l'essai : S e p t . 8 2
Profondeur : 1 , 5 0 Poids initial sec :
A.S.T.M. 5' 200
to
§
O 250 125 63 25 12.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mm) Diamètres équivalents
K-
module [50] [43! [44] [Jf! .["33] [34] [Jf] R y
AFNOR ' ' •—' ' ' L-' L-' ' ' L—' ' ' i OJ
•A.214
B. R. G. M .
ESSAI TRIAXIAL (ßtX . CU . Ut«)

Chantier : R U ¿U Morbras
DOSSI ER
SONDAGE Ech. moyen PROFONDEUR

NATURE DU SOL mélange desmarnes bariolées r •—• *•« ri- 63
2
wi 29 ip 16 CO 3 Ca . A
Echantillon : IftXtt ttttttHtt compacta / _,
.- i
Eprouvette ; Cyl. h: 7 cm i3: 3 / 5 cm'
aM- T , - 1
Drainai» : plsrr» poreuse Inf. s u p . flltr« latéral
1h/- —-r—
I-V
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Contreoresslon : U c -0 bar * - • .
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b
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a 3 bars O.5 1,0 2.0 3.0 t } ' 5 10
t 100 m n ' 1
A Vs cm3
Vitesse dt déformation 0,02 0,02 0,02 0,02
mm/mn . «
• cj 1—o ¿max 0.57 1 ?1 1 .60 2,33
ízl-cr3 r
bar
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e
P
U r bar 0,20 0,29 0,35 0,65 0 ,5
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«1
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OBSERVATIONS Eprouvettes compactées a yd m o - "a ¡ = 1b
yen correspondant
tor normal.
a 100% du yd max du p r o c -
7 r - f
b
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1 Cu ecu 0,08 b e C ,08!

-.
0 . 5
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10
déformations axialts E e n %
au CTO 15°5 a' 18°5

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B. R. G . M . ' A.215
ESSAI TRIAXIAL (GE> . C U . tKM)

Chantier : Ru du Morbras
DOSSIER
SONOAGE P1 PROFONDEUR 2.90 m '

NATURE DU SOL marne blanche à nodules calcaire
10.
wi 29 •P 16 CO3 Ca . •
Echantillon : Intact vtó<
7 cm D: 3,5 cm •>
Eprouvette ; Cyl. h:
Drainage: pierre poreus« nf. sup filtra latéral
Contreoresslon : Uc = 0 bar ~ 5.
l 2 3 4 — —
— ¿b
W Initial % 17,4 17P4 •17,3
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W final % 2A6_ 16,4 16.0
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1,71 1r88 b .—'

y d final k N m 3 1.85 o
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t 100 m n ?
' A V s cm3
Vitesse de déformation
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0
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j I déformations axiales E er»%
Cu ecu o,O4b C 0,041

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4 -
contrainte ! normali»í fl r
A.216
B. R. G . M .
ESSAI TRIAXIAL «?» . C U . Ö*J)

Chantier : Ru du Morbras
DOSSIER
SONDAGE p
3 PROFONDEUR 2 , 00 m
m a r n e V e r t e
NATURE DU SOL
2-
Wl ™ 67 C0 3 Ci .
'P
Echantillon : ' Intact m S
t 3=
Eprouvette : Cyl. h: 7 cm D: 3,5 cm s*
Drainage : pierre poreuse nf. sup. filtro latéral
Oc 2b
Contregresslon: Uc = 0 bar
l 2 3 4
-- Ày h
t/ D
W Initial % 37 .5 47 ,9 37 ,4 39 ,0 CO
b
ama
> t
37 34 p
41 ,7 41 .8
A*
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Y d final kN m 3
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1 39
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16
t 100 m n #
A Vs cm3
Vltcsso de déformation (J,02 02 02 0, 02
mm/mn . - - 0, 61 72 19 1, 56
o 1—er ¿mas
crl-<r3 r al'/ aV
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n. 13 31 o. 35 n. 26 0,5
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OBSERVATIONS
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n
4 . 8 12 16 .
| déformations axiales E «<1%
Cu
ecu 0 , 1 6 b C ' o ,161
CTU era 9° a'
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c
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cohéi
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1 .
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|1
i 1
f) • contraintes normale? '1 \ T
B.H.G.M. A,217
ESSAI D E C I S A I L L E M E N T
a 4b
30 |
CHANTIER Ru du Morbras /r
^~ ••••»
«=:
s* _ 3b
-** n
SONDAGE
Profondeur
:E ch . moyen Échantillon : .
:
1 /
/
tëature : m é l ange des marnes b a r i o l é e s t

20
i
Échantillon : x Btect compacté . 'S / 1
o Effort
Dtamètra : 60 mm
m 29 Ip : 16 ./ Y" •—i
—H
A u
i
anormal
W initial S
7d initial T / M 3
0,5
17,5
1,63
1,0
17,5
1,63
3,0
17,5
1,63
4,0
17,5
1 ,63
n
r -,
-e- r5t
+ 5 6 7
50 / i
W final % 22,7 25,1 23,4 26,4 * *

3
7d final T / M
40
Vittis» deform, m m / m n 0.02 0,02 0,02 0,02 /
r max 0,26 0,39 1,05 1,15 /
r résidu»! •
//
¡b
?i / • -
- O /_
OBSERVATIONS Eprouvettes compactées à
yd correspondant à yd max du proctor
10 / "a =
M,
:
normal. • .
0 k —i
C 3
, - o,51c>¡
Di h*»î«nfl»_
6
int in m m
COURBE INTRINSÈQUE
(în- Cea .-•-•.- C - 0,1b
5U = ycu = ip'= 1 6 °
E?
^-» «
13 ^»
^—-
Contraint« normal» a
B.R.G.M.
\ A.218
ESSAI DE CISAILLEMENT
¿.n ' - • - (4b

CHANTIER : Ru du Morbras
p1
SONDAGE : Échantillon : 50 ..
Profondeur : 2,90 m
Naturo :
Marne blanche • 40 . /
a =
j. - D
Échantillon : intact tffm# *mmtí
Oiamctr* : 60 mm
ë 1
WL : 29 IP : 16 II
a normal
m
1 -a 1b
06 2, 36 3,15 4,28
W initial % 22 ,9 16 ,4 18,6 16,9 0 71 1
yá initial T / M 3 1/ 64 1, 83 1,71 1,86 .í >
if Í 1 )
W final % 22 ,9 16 ,4 16. 17,2

yá f iíial T / M 3
40.
Vrtts» déform. m m / m n o;.o2
Or 02 Or 0? 0^02 C9 a 1h
T max . o, 46 19 1,38 2,22 35
r résiduel
§ —i • •
a 45
2|
ta
^r 3—
OBSERVATIONS •• w
—H
10 .
y
i* saerE
» • »
***
• - - .
COURBE INTRINSÈQUE
Co=s Cea- C - 0b ,
*« = . . vca= ^ ' = 27°5

•
2£ yS 1
s*
D i I
4.. Contrai.ttej norma!*: a
Í3.R.G.M.
A.219
ESSAI DE CISAILLEMENT
—e«-CD)
CHANTIER : Ru du Morbras .
SONDAGE : P3 •chantillón :
Profondeur : 2 ,00 m
Mature : p / | a r n e v e r t e 40 .
Échantillon : intact s* -*> _
Diamètre : 60 mm t f
WL : 94 IP : 67
J f F^ ~~.
• " - ^
a — >b
10 ""•^—
— •••««
"" C
=55
a b
a normal
W initial %
1,02 2,07
36 r 2 39 r 0
3,12
39,2
4,10
38.3
5,19
34^6 n
F ~—,
7d initial T / M 3 1,36 1,36 1,32 1,36 1,34
»
3
r <
•
W f mol % 43,0 39,3 45,2 35,5 30,5

7d final T / M 3 20
Vitesse déform. mnÖn*2 0,02 0,02 0,02 0,02 Q
1/11
r max 0,45 0,56 0,81 0,83 1,22

r résiduel r~ ^—- ^ - - .—-
Q
-^
OBSERVATIONS
• • . _ • •
• -<- -^
n r\
-1 2 3 i^ptee«n&nt en non
COURBE INTRINSÈQUE
,1:n- CCQ C- 0,2b ' • • ' ' ' . ' " • . - ' • • ' • ' ' • %
• V ?u = = 11°
• - —
*—"
— -
-
•
»--
^ -
4. Contraintes nórmalas a
B.R.G.M.
A.220
ESSAI D E C I S A I L L E M E N T
(ÙI9-0I9-CD)
60 • ——. b-J
CHANTIER : RU DU MORBRAS
SONDAGE : P1 1 Échantillon . - r e c o n s t i t i
50 .
Profondeur : 1,50 m
//
Natura : L i m o n marneux brun ..
l
40 /
j
Échantillon : remania c*rh$&8 A? 23
Diamètre : 60 mm 13
/ ^-^
I/VL : 37 IP : 22 35 /
20 - b
——
r
10 ;
a normal 0,5 1 2 4 o. Sb
W initial S 15,7 15 ,7 15 ,7 15 ,7
c
•yd initial T / M 3 1,65 1/ 72 1, 72 1, 70 2 ? L 3
W final % 22,9 25 ,5 19,4 17 ,3
3
•yd final T / M 1,55 1, 58 1, 67 1, 68
80 •
Vites» déform. m m / m n o, 02 o, 02 4b
r max
3,02
0,38 °,
o,
02
64 1, 13 2, 15
o
o
*-- ——
r
— — 2E
r résiduel 7" ^*- »--
4¡- s* ^^ , •
OBSERVATIONS ^— - 1 b.
20- A
n ih
^—"——
ojptaccmnrt tu nnn
COURBE INTRINSÈQUE
i
Cu= Cco= C'=0,1b
i^)u= ^>cu= ¥''== 2 7 ° 5
vt
S"'
m
S
a
S
Contrai
y
S*
¿s
,.•
r n r 1 > Contraint« normal« a

A.ZZL
E t u d e : Ru du Morbras
ESSAI DE COMPRESSIBILITE
Sondage : Mélange P 1 ; P 2 ; P 4 ; P 5 ; P 9
PERMEABILITE E c h a n t i l l o n : Marne bariolée
Profondeur :
0,0 5 0,1 0,3 0,4 N 0 , S 0.6 0,7 OJ3O.9 1.0 4 5 6 7 « 9
ëff cient de pert néabilit é K er cm /s« co id

<O
> •
xî
•-^
c
• b /
/
\ \y
0,6 . \
.
y\ 1
•»« /
\
— i,
0,5
înfle nen1
Pressi >n de g Í5 b
•
>nsol idai ior
Pressi >n de c a c — 1,7 b
Indice de com jress ibil ite C 178 .
• - ' • • •>. -
Indice de gon fieme it ( g = 0 .0^ 4
Eprouvett« compactée i yd = 1,59 t/m3 et u 1 +•% soit 9 7 , 5 % de'yd du Pn or

ma>
normal.
-
0.0 5 0.1 0,2 , 0 . 3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,91.0 2 3 A 5 G 7 I 9

P Pression normale en Bar
A .222
Etude : Ru du Morbras
Sondag a : P1
Echanti Hon . Marne bLanche
PERMEABILITE
Profond eur : 2,90 m
0, 3 5 0,1 2 0,3 a4 0^
> 0.6 o' ;0 ^ 0,9 1.0 2 3 4 6 7 » 9 1
s
C( ëff cient de pennéabilit f K er cm /s« CO id a
íO
des
m -
065 — .
— • — -
o • — - .
•ö
c ~^-•*- *».
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-
• II
•"•«•M
>
—
• is te
0,4.
•
; r mi | f
• : • " • • ' •
Press ion de gonf eme It
Près; ion de cons »Lid 3ti sn • 5 b
Indie e de cimpre ;sib i Li té J 0!
infLe lent
Indi( e de g< : 07
•
•
0.0 5 0.1 0,2 0.3 0 . 4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,91.0 2 3 4 5 6 7 19 1
P Pression normale en B a r
A . 223
Sondage : p3
PERMEABILITE . Echantillon : " a r n e v e r t e
Profondeur : 2,00 m .
0, D5 0,1
o? 13 a < o;> ojs o1 ;Qp 0,9 1.0 î 3 Á î. 6 0 9
C( ë ff çient de pertnéabili t Ï K er cm /se co id ?

IJÖOO
Jice des vdes
•^,
s.
c
1,000. \
\
\
3,900
' Pressior i de. goif Lern ;nt : C ,5! 5 t
isoli lati on
Pressioi i d e co r 5b •"••:
Indice ( le comp •essi Dili té Ce = 0 1 ^8
Indice c le gonf .emen t Ce 0,1)9î
0,0 S 0.1 0.2 0.3 0 , 4 0,5 0,6 0,7 0,10,91.0 2 3 4 5 6 7 1 9 11
P Pression normale en B a r
B.R.G.M.
COMPACTAGE
Sondagermélange P1 + P2 + P4 + P5 + P9
Echantillon: marne bariolée
Profondeur :
Optimum PROCTOR
W V » teneur en eau
2,10 — é.R.G.M.1
i i
ESSAI DE COMPACTAGE
Etude: R u du Morbras
Sondage: P2 .
Echantillon: sable marneux très graveleux
Profondeur : 2,50 m
Optimum PROCTOR
Normal Modifié
Id max 1,92 t / m 3
W opt 12 •/. V.
W V » teneur en eau
5 20 25 30
IN3
en
2,10
1 11 ESSAI
'
DE
E t u d e : Ru du Morbras
' p R r7 M
COMPACTAGE
2,00
N S o n d a g e : P11
Limon
Echantillon: marneux brun
Profondeur : 1 , 5 0 m
L
1,90
N Optimum
Normal "
PROCTOR
Modifié
ïd max 1,73 t / m 3
1,80 -- -- •»
•I W opt 16,2 V. V.
ï
s poids s
s
1—
1,7 0 • \
/
1
1,60
1,50
- •
1,40
WV. tene jr e n 'tau

1,30
10 15 20 25 30
ro

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: ^SYNDICAT INTERCÖMMUKÄL : :

POUrtAMENAGJEMENTÍDU MORBRAS '"

COMMUNES DE ROISSY-EN7BRIE, PONTAULT-COMBAULTi PONTCARRE

Etude hydrogéologique et géotechnitiue

BUREAU DERÉCHERCHÉS GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

Service géologique régional ILE D E F R A N C E

83 IDF 032 Juin 1983

BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES

Service géologique régional Ile de France

83 IDF 032 Brie, juin 1983

kfain dz tizcoYina£tn.z ceó dzux aqul£zJiz& zt dz pfioazdex â anz ¿yn-

1. - TRAVAUX DE JUILLET 1982

Le 28 juillet 1982, les travaux de forages destinés à mettre en pla-

Ces premiers sondages (Cf implantation sur fig. 1 et coupes en an-

- quelles Marnes vertes subaffleurantes montraient entre F.1 et F.4, où ne

- qu'il n'existait aucune nappe de surface, . . •

Il fut donc décidé de procéder à l'étude géotechnique du site et

Implantation des ouvrages et des coupes géologiques

les Vieilles Vignes

la Frette les Dix H u

100 200 300 400 500 m

2. - TRAVAUX DE MARS 1983

Du 18 au 28 mars 1983, trois forages ont été réalisés en fond de

Les coupes géologiques, techniques et les diagraphies gamma-ray

Le premier forage, Pz. 1, a été réalisé au tricône et au trilame, alors

Comme pour les sondages précédemment exécutés, il s'avère que l'in-

Les Marnes blanches de Pantin ont été érodées puis recouvertes

Le toit des Marnes d'Argenteuil se situe entre 5 et 7 mètres de

Le sondage Pz. 1 a été poursuivi jusqu'à la tête du Calcaire de

Les trois piézomètres ont été équipés de tubes PVC RABANAP de

Les données géologiques apportées par les forages foncés dans le

Cette coupe qui épouse approximativement le lit du Morbras de

Au droit du Morbras de Pontillault à La Frette, il apparaît que

A la base de ces Marnes, sur 7 à 8 mètres d'épaisseur, existent

La partie indurée de ces calcaires se situe entre les cotes 70

FB ; Formation de Brie . Limon * argiles + meulière

MP : Marnes de Pantin ( blanches calcareuses )

MA : Marnes d'Argenteuit ( Marnes bleues * sommet du Calcaire de Champigny marneux )

Les coupes II, III et IV implantées au droit de la future retenue

LES VIEILLES VIGNES RU DU MORBRAS LA MARE DU COQ

N.NW S.SE,N_NE s_sw

FB : Formation de Brie Limons * argiles * meuiière Echelle horizontataLe : 1 /5000

C ; CoUuvions * marnes vertes glissées Echelle verticaLe : 1/1000

MV : Marnes vertes en place

MP : Marnes de Pantin ( blanchesf catcareuses )

MA : Marnes d'ArgenteuiL (marnes bleues)

A chaque formation perméable, correspond un aquifère potentiel :

Ils sont le siège d'une nappe temporaire, présente de novembre à

Les "Calcaires de Brie" quand ils existent, sont généralement bai-

Ils comportent une nappe perenne lorsque le substratum des Marnes

Les bancs calcaires qui forment l'assise supérieure des Marnes de

A l'aplomb de la retenue, les assises supérieures ont été éro-

Les alluvions du Morbras sont hétérogènes, le plus souvent argileu-

En dehors des essais de panpage et d'absorption réalisés sur les

Soit par suite d'un colmatage dû à la foration à l'aide d'un trila-

Après nettoyage à l'air lift, un ponçage de trois heures a permis

La courbe de la remontée du niveau piézométrique portée sur gra-

; : Ï ; :i¡: :::: ...

Après nettoyage à l'air lift, tin pompage de deux heures a donné un

La transraissivité calculée à partir de la courbe de la figure 5

A partir de ces valeurs, il est possible de connaître de façon ap-"*"

Le débit est donné par la formule

d'où . Q = ----1- Z-ï-Z-™. = 1,2.1o"5 m 3 /s = 40 litres/heure