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Supérieur des Systèmes Industriels de Gabès
Fascicule de Travaux Pratiques
Techniques de mesure
Proposé par : Amairi Messaoud
Assistant à l’ISSIG
Année Universitaire 2010‐2011
Amairi Messaoud Page 1
Introduction et rappel théorique ISSIG
Le GBF (Générateur basse fréquence)
Il génère des signaux alternatifs (carré, sinusoïdale et triangulaire) en sa sortie « output ‐
50 ». Pour chaque signal, on peut modifier :
L’amplitude
La fréquence
Le rapport cyclique
On peut également, ajouter au signal de sortie une composante continue variable (en tirant
sur le bouton « DC Offset »).
Le GBF possède une deuxième sortie, nommée « output pulse », qui génère un signal carré
positif (TTL) d’amplitude fixe 5 V et de fréquence réglable.
Le GBF possède une entrée, qui sert pour signal modulant lorsqu’on veut générer un signal
modulé en amplitude ou en fréquence. Cette entrée est utilisée en électronique de
communication.
Les boutons « ‐20 db » et « ‐40 db » servent à diminuer l’amplitude du signal de sortie d’un
rapport de 10 ou de 100.
Remarque : les GBF modernes, peuvent générer d’autres signaux (modulés en amplitude et
en fréquence) qui sont utilisés en électronique de communication.
Alimentation stabilisée
C’est un générateur de courant/tension continu(e) réglable en tension et en courant. La
tension de sortie variable de 0 à 30 V. Le courant débité variable de 0 à 2 A.
Pour le modèle disponible aux laboratoires de l’Institut Supérieur des Systèmes Industriels
de Gabès, chaque alimentation stabilisée possède :
2 générateurs réglables en tension (0 – 30 V) et en courant (0 – 2 A) et qui peuvent
être utilisés indépendamment ou en série ou en parallèle selon le besoin.
1 générateur 5 V fixe en tension et pouvant débiter un courant allant jusqu’à 3 A
maximum.
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Introduction et rappel théorique ISSIG
Chaque générateur (réglable) possède un afficheur qui permet de lire la valeur de la tension
désirée ou la valeur du courant débité (grâce au commutateur courant – tension). Pour les
générateurs réglables, on peut les associer :
en série si on a besoin d’une tension supérieure à 30 V.
en parallèle si on a besoin d’un débit d’un courant supérieur à 2 A.
Oscilloscope
C’est un appareil de mesure (mesure de tension) qui permet de visualiser la tension mesurée
sur un écran gradué selon deux axes. L’axe vertical (tension en volt) possède 10 divisions et
l’axe horizontal (temps en seconde) possède aussi 10 divisions. Chaque division est divisée
en 5 sous divisions.
L’oscilloscope possède 2 entrées CH1 et CH2 dont l’impédance d’entrée de chaque entrée
est : (Rentrée = 1 MΩ, Centrée = 20 pF). Ces deux entrées peuvent être visualisées sur
l’écran séparément en agissant sur le bouton CH I/II ou en ensemble en agissant sur le
bouton (Dual). On peut également additionner ces deux entrées, si on a besoin, en appuyant
sur le bouton (ADD)
Chaque entrée de l’oscilloscope peut être utilisée sur l’un des trois modes suivants :
mode GND (mise à la masse)
mode AC (couplage alternatif)
mode DC (couplage direct)
Vers l’entrée de
l’oscilloscope
Signal à mesurer
Le couplage DC, permet de visualiser signal d’entré tel qu’il est mesuré, par contre le
couplage AC, permet d’éliminer la composante continu du signal et ne laisse passer que la
composante alternative du signal mesuré.
Il faut toujours brancher l’oscilloscope en mode DC
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Introduction et rappel théorique ISSIG
Pour lire une courbe sur l’écran de l’oscilloscope :
Sur l’axe vertical, on multiplie le nombre de division lues par la sensibilité verticale
choisit (volt / div),
Sur l’axe horizontal, on multiplie le nombre de divisions lu par la base du temps
(ms/div)
L’oscilloscope possède des signaux de calibrages, qui sont des signaux standards en
amplitude et en fréquence, qui servent pour le calibrage de l’oscilloscope. Ces signaux de
calibrage sont des signaux carrés de fréquences 1 KHz ou 1 MHz et d’amplitude 0.1 V ou 1 V.
Ils sont disponibles et repérés par « CAL. »
Un oscilloscope, peut servir aussi pour tester des composants (diodes, résistances,
transistors, condensateurs …).
Pour tester un composant, il suffit d’appuyer sur le bouton « comp.Tester » et de placer le
composant à tester entre la masse et la borne repérée par « comp.Tester ». Pour ce mode
de fonctionnement l’oscilloscope affiche la caractéristique i = f( u ) du composant à tester et
l’utilisateur décide si le composant est en bonne état ou non, en comparant la
caractéristique affichée par l’oscilloscope à celle d’un composant en bonne état du même
type.
Voici une démarche à suivre lorsqu’on utilise un oscilloscope :
tous les boutons soient sortis,
tous les verniers des calibres en position calée à droite,
Mettre les voies d’entrés CH I et CH II en mode GND pour régler les axes des deux
voies confondues avec l’axe horizontal de l’écran. Une fois le cadrage est réglé,
enlever ce mode de couplage et utiliser le mode de couplage DC.
Appliquer le signal à visualiser sur l’une des deux voies et agir sur la sensibilité
verticale (volt/div) et sur la base du temps (ms/div) jusqu’à obtenir une image nette
sur l’écran.
Remarque : l’oscilloscope peut aussi mesurer :
le temps (période, temps de monté, temps de réponse …),
la fréquence,
Le déphasage entre deux signaux….
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Introduction et rappel théorique ISSIG
Evaluation des travaux pratiques
Objectifs évalués :
Les objectifs qui font objet de cette évaluation sont :
savoir réaliser un montage de mesure d’une grandeur physique donnée,
savoir choisir un appareil de mesure,
savoir brancher un appareil de mesure,
savoir lire l’indication d’un appareil de mesure,
savoir calculer les incertitudes sur une mesure (directe ou indirecte),
savoir présenter un résultat de mesure.
Déroulement des TP :
Dans ce module « techniques de mesure », on a prévu une série de 6 TP, qui vont être
réalisés par groupes de 4 personnes au maximum.
Chaque TP dure 3 h au maximum, qui se déroule en deux parties :
1ère partie : partie expérimentale, qui consiste à :
o Relever les caractéristiques des appareils de mesure,
o Réaliser les montages de mesures,
o Relever les tableaux de mesure.
2ème partie : partie rédaction du compte rendu : dans cette partie chaque groupe doit
présenter dans son compte rendu les éléments suivants :
o Page de garde :
Institut Supérieur des Systèmes Industriels de Gabès
Titre du TP
Réalisé par :
……………….……………….
Classe :
Groupe :
Date :
A.U
But du TP,
Réponses aux différentes questions posées dans le fascicule de TP,
Interprétations des résultats obtenues et conclusions.
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Introduction et rappel théorique ISSIG
Evaluation de chaque TP (à titre indicatif):
Partie expérimentale : ( 10 points )
montage ( 2 points )
choix des appareils de mesure ( 3 points )
branchement des appareils de mesure ( 3 points )
lecture des appareils de mesure ( 2 points )
Compte rendu : ( 10 points )
structure (propreté, langue, organisation) ( 3 points )
exactitude des résultats (2 points )
présentation des résultats ( 2 points )
interprétations des résultats et conclusions ( 3 points )
Evaluation finale :
A la fin du semestre, un examen de TP aura lieu durant les deux dernières semaines qui
portera sur les TP réalisés au cours du semestre selon un tirage au sort.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire
TP 1
Familiarisation avec les équipements du
laboratoire (voltmètre et ampèremètre)
I. Objectif
L’objectif de ce TP est de savoir utiliser les appareils de mesure présente dans le laboratoire
(multimètre, générateurs de tension continu et alternatif, oscilloscope, etc.).
II. Le multimètre
Le multimètre est un appareil de mesures qui peut être utilisé:
en voltmètre pour mesurer des tensions
en ampèremètre pour mesurer des intensités
en ohmmètre pour mesurer des résistances
en capacimètre pour mesurer des capacités
en testeur de composants pour tester les diodes, les transistors, etc.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
1. Mesure d’une tension
a. Représentation
Une tension est représentée par une flèche. Par exemple, la tension aux bornes
d’un dipôle AB est représentée par une flèche dirigée de B vers A comme le montre la
figure suivante :
b. Le voltmètre
Le voltmètre est un appareil qui permet de mesurer la tension (ou différence
de potentiel électrique) entre deux points, grandeur dont l'unité de mesure est
le volt(V).
Représentation symbolique d'un voltmètre dans un circuit
Un voltmètre se branche en dérivation (en parallèle), aux bornes d'un composant,
une fois le circuit principal terminé.
c. Bornes du voltmètre
Bornes à utiliser: V et COM
o Mesure d'une tension continue: Zone
o Mesure d'une tension alternative: Zone
Pour mesurer la tension UAB:
o Borne V point A
o Borne COM point B
La tension est une grandeur algébrique: UAB = ‐ UBA
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
d. Choix du calibre
Faire une estimation de la tension à mesurer et adopter un calibre supérieur à la
valeur estimée.
Dans les montages réalisés au TP, il suffira de choisir un calibre supérieur à la
tension du générateur.
Par exemple, si le montage est alimenté par un générateur de tension 6 V, le calibre
20V conviendra.
e. Montages
A
Com
+
4V R V
=
V
‐
B
Voltmètre branché en dérivation
Réaliser le montage ci‐dessus sans brancher le voltmètre.
Placer le multimètre comme l'indique le schéma.
Régler le multimètre en fonction "voltmètre" pour mesurer une tension continue et
placer le sélecteur sur le calibre "20".
Allumer le multimètre et mesurer la valeur de la tension UAB.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
1) Copier le tableau. Compléter la colonne correspondante du tableau puis les autres
colonnes du tableau.
2) Sachant que sur le calibre "20 V" le voltmètre peut mesurer des tensions comprises
entre 0V et 20 V. Expliquer pourquoi le voltmètre n'affiche pas la valeur de la tension
UAB sur les deux premiers calibres.
3) Quel est le calibre le plus précis ? Pourquoi ?
4) Se placer sur le meilleur calibre et inverser les bornes du voltmètre. Quelle tension
mesure t‐on ici ? Quelle relation a‐t‐on entre UAB et la tension mesurée ?
2. Mesure de l’intensité d’un courant
a. L’ampèremètre
Un ampèremètre mesure l'intensité d'un courant qui le traverse.
L'intensité s'exprime en ampère (Symbole A).
Un ampèremètre se branche en série dans un circuit, en ouvrant le circuit.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
b. Bornes de l’ampèremètre
Bornes à utiliser: A et COM
Mesure d'une intensité continue: Zone DCA
Mesure d'une intensité alternative: Zone ACA
A
A Com
c. Branchement
Si l'intensité entre par la borne A l'intensité mesurée est positive.
Si l'intensité entre par la borne COM l'intensité mesurée est négative.
Exemple de Branchement d’un ampèremètre
d. Calibre de l’ampèremètre
Réaliser le montage ci‐dessous.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
Régler le multimètre en fonction "ampèremètre" pour mesurer une intensité
continue et placer le sélecteur sur le calibre "200 m".
Allumer le multimètre et mesurer la valeur de l'intensité I qui traverse le conducteur
ohmique. Compléter la colonne correspondante du tableau ci‐dessous:
Calibre 200 µA 2 mA 20 mA 200 mA 2A
I en mA
Chiffres
significatifs
de I
a) Compléter les autres colonnes du tableau.
b) Pourquoi l'ampèremètre n'affiche pas de valeur de l'intensité sur les deux premiers
calibres.
c) Quel est le calibre le plus précis ? Pourquoi ?
d) Se placer sur le meilleur calibre et inverser les bornes de l'ampèremètre. Pourquoi
l'intensité mesurée est telle négative ?
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire
TP 1b
Familiarisation avec les équipements du
laboratoire (GBF et Oscilloscope)
I. Objectif
L’objectif de ce TP est de savoir utiliser les appareils de mesure présente dans le laboratoire
(multimètre, générateurs de tension continu et alternatif, oscilloscope, etc.).
II. Le Générateur à Basse Fréquence (GBF)
Cet appareil délivre divers types de signaux périodiques dans une gamme de fréquences
dite « basse fréquence ». De nombreux paramètres de réglage permettent de modifier la
forme du signal général. En effet, il est possible de modifier la fréquence et le rapport
cyclique mais aussi de modifier l'amplitude du signal, voire de le moduler avec un autre
signal. L'ajout d'une composante continue est également souvent possible.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
Numéro Fonction
1 Marche / Arrêt
2 Sélection du type de signal
3 Sélection de la gamme de fréquence
4 Réglage de la fréquence
5 Réglage de l’amplitude
6 Réglage de l’OFFSET (bouton tiré)
7 Ecran d’affichage de la fréquence
A l’aide du tableau donner le nom du (ou des) bouton qui se trouve sur la face avant de
l’appareil et qui assure les fonctions suivantes :
1) type de signaux : quels sont les différents types de signaux que peut délivrer
le GBF ?
2) gamme de fréquences : quelles sont les fréquences maximale et minimale
que peut délivrer le GBF ? A quelles périodes cela correspond‐il ?
3) variation de l’amplitude du signal de sortie : entre quelles valeurs limites en
pratique ?
4) brancher la sortie du GBF sur une des voies de l’oscilloscope. Essayer de
visualiser les trois signaux suivants :
i. signal 1 : sinusoïdal de fréquence f = 2 kHz et d’amplitude 2V.
ii. signal 2 : carré d’amplitude 1 V et de fréquence 50 kHz avec un
décalage de –1 V.
III. L’oscilloscope
C’est un appareil qui permet de visualiser les signaux (et non de les mesurer !)
Il est toujours constitué de 4 blocs :
le système de balayage horizontal.
le système de balayage vertical.
le choix des fonctions pour la visualisation.
le système de synchronisation (en anglais : trigger).
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
En utilisant la notice du constructeur, repérer sur le dessin de l’écran quels sont les
principaux boutons qui se rapportent à ces 3 fonctions :
le système de balayage horizontal : règle la vitesse de balayage "du spot" sur l’écran.
le système de balayage vertical : règle la hauteur du signal à visualiser (ne règle pas
l'amplitude !).
le choix des fonctions pour la visualisation : il y en a toujours plusieurs, dont une
importante : le mode XY.
En mode autre que XY, on a sur la voie 1 V1 en fonction du temps, et sur la voie 2 V2 en
fonction du temps. En mode XY, on a en abscisse la tension V1 et en ordonnée la tension V2,
soit V2 en fonction de V1.
On considère le montage suivant : R = 2,2 kΩ et R’ = 1 kΩ.
e(t) est un générateur sinusoïdal de fréquence f = 500 Hz et de valeur maximale +3 V.
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TP1 : Familiarisation avec les équipements du laboratoire ISSIG
1) Visualiser e(t) sur la voie 1 et u(t) sur la voie 2 : quelle relation y‐a‐t‐il entre les deux
tensions ? Comment s’appelle cette relation ? Vérifier cette relation sur l'oscilloscope.
2) A l’aide du GBF, générer un signal sinusoïdal d'amplitude 1 V, de fréquence f = 2 kHz,
décalé de +2V, et mesurer avec l’oscilloscope : la fréquence, la période, la valeur de décalage
et l’amplitude de la sinusoïde. Vérifier que cela correspond bien à ce qui existe sur l’écran et
comparer les valeurs mesurées avec celles que donne un multimètre numérique.
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TP2 : Mesure des résistances ISSIG
TP 2
Mesure de résistances
I. Objectif
Connaître la valeur d’une résistance selon quatre méthodes :
- mesure à l’ohmmètre
- tracé de caractéristique
- méthode voltampère‐métrique.
- méthode des ponts
On dispose de 2 résistances R = 470 Ω et R’ = 1 kΩ.
II. Mesure à l’ohmmètre :
1) Donner un schéma de montage pour mesurer la valeur de chaque résistance à
l’ohmmètre.
2) Effectuer la mesure pour R et R’.
3) Comparer avec la valeur théorique R.
III. Méthode voltampère métrique :
1) Compléter le schéma en plaçant les bornes des I
A
multimètres.
10 V R V
2) Effectuer le montage
U
3) Pour R puis R’, faire les mesures de U et I et les
noter U1, I1, U2 et I2.
4) En déduire la valeur de chaque résistance.
5) Comparer avec la valeur théorique.
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TP2 : Mesure des résistances ISSIG
IV. Tracé de caractéristique :
1) Expliquer la méthode et les mesures à faire (quel montage et comment ?)pour tracer
la caractéristique d’une résistance.
2) Faire les mesures pour des tensions variant de 0 à 10 V et remplir un tableau de
valeur.
3) Tracé les caractéristiques et en déduire la valeur expérimentale des deux résistances.
4) Comparer avec la valeur théorique.
V. Pont de Wheatstone
‐ R3 et R4 résistances de rapport connu
‐ R2 résistance réglable connue
‐ R1 résistance à mesurer
En agissant sur les résistances R2, R3 et R4, il est possible d'annuler le courant dans le
microampèremètre μA. On dit alors que le pont est équilibré.
A l'équilibre du pont, les quatre résistances sont donc telles que :
R1 R4 = R2 R3
Remarquons qu'il est inutile de connaître les résistances R3 et R4 ; seul leur rapport
intervient R1 = K R3 (K = R3/R4)
1) Réaliser le montage précédent ou R1 représente l’une des résistances R = 470 Ω et
R’ = 1 kΩ.
2) Varier la valeur de résistance R2 jusqu’à trouver l’équilibre. En déduire la valeur de R1.
3) Comparer avec la valeur théorique.
4) Refaite la même démarche avec l’autre résistance
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