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La newsletter pour décideurs
[ 24 FÉVRIER 2011 – N° 7 ]

La FEB lance son calculateur d’impact à long terme


Pour ceux qui ne croient que ce qu’ils voient ...
que nos finances publiques connaissent un Nus sommes bien conscients du fait que les
pareil dérapage ! responsables politiques et les leaders d’opi-
Bonne nouvelle, toutefois : aujourd’hui, nous nion ne reconnaissent l’inéluctabilité des
avons encore toutes les cartes en main pour choix et l’évidence de certaines options que
déjouer un tel scénario. Mais, comme nous s’ils sont guidés dans le labyrinthe des
l’avons déjà souligné, cela requiert que nous chiffres et prévisions.
rectifiions au plus tôt un certain nombre de
dysfonctionnements et de déséquilibres appa-
Quel est l’impact réel du vieillis-
Imaginez un instant l’exercice de réflexion rus ces dix dernières années.
sement ? Quel est l’impact du
suivant. Supposez que notre taux d’emploi, la
choix A ou B sur la croissance
croissance de notre productivité et l’augmen- Malheureusement, il y a tout lieu de craindre
ou la dette ?
tation des dépenses, telles que les frais de que cette rectification glisse encore entre les
fonctionnement des pouvoirs publics, les mailles du filet lors des prochaines discussions
dépenses de santé, les pensions et les alloca- budgétaires. Qu’est-il nécessaire de faire si Comme dans tout ménage, ils doivent, eux
tions de chômage, évoluent ces quinze pro- nous voulons stabiliser notre dette publique à aussi, soumettre leurs rêves et idéaux à un
chaines années de la même manière que ces un niveau acceptable, sans pour cela devoir exercice de sagesse. Quel est l’impact réel du
dix dernières années, quel en serait l’impact accroître plus avant la pression fiscale ? Les vieillissement ? Quel est l’impact du choix A
sur nos finances publiques ? Selon les calculs calculs de la FEB montrent que nous devrons ou B sur la croissance ou la dette ?
de la FEB, le déficit budgétaire continuerait recourir à une combinaison de mesures : une
de déraper et notre taux d’endettement dépas- amélioration de l’efficacité des pouvoirs publics Pour ceux qui ne croient que ce qu’ils voient,
serait, en 2025, le niveau de 150% du PIB. À pour comprimer les frais de fonctionnement la FEB lance aujourd’hui son calculateur d’im-
un moment où les marchés financiers guettent ainsi qu’une modération de la croissance des pact à long terme. Celui-ci permet de simuler
les moindres mouvements de notre pays, il dépenses de santé, une adaptation de l’actuelle les scénarios évoqués ci-dessus, ainsi que
n’est peut-être pas judicieux d’envoyer un tel liaison au bien-être entre l’évolution des bien d’autres. J’invite toutes les parties pre-
message vers l'extérieur. Cependant, vu l’im- salaires et celle des allocations, une augmenta- nantes à faire cet exercice. Développez avec
passe persistante au niveau fédéral et le fait tion du nombre de personnes au travail (à ter- votre propre parti politique, institution ou
que les leaders d’opinion sont de plus en plus me, même au-delà de 65 ans) et la réalisation organisation une stratégie socio-économique
nombreux à parler d’élections, il importe d’at- des réformes nécessaires pour stimuler la crois- sur la manière dont le vieillissement doit être
tirer une nouvelle fois l’attention de tous sur sance de notre productivité. C’est en appli- financé. Une fois que vous aurez défini vos
les immenses défis qu’entraînera le vieillisse- quant ces recettes que nous parviendrons à choix, qui ne peuvent bien entendu pas être
ment de la population. Soyons clairs : ni les sauvegarder notre modèle de prospérité sociale contradictoires, vous pourrez vérifier à l’aide
marchés financiers, ni l’Europe n’accepteront pour les générations actuelles et futures. du calculateur d’impact à long terme de la >

À ÉPINGLER LE CHIFFRE DE LA SEMAINE


> >
ACCORD INTERPROFESSIONNEL
Le gouvernement exécute la proposition de médiation Des économies grâce à la libéralisation
>
COMMERCE INTERNATIONAL
En 2011, Doha sera conclu ou ne sera pas
PLATE-FORME FINANCEMENT DES ENTREPRISES >
1,6 La semaine dernière, le Parlement européen a officiellement
donné son appui à l’accord de libre-échange négocié entre
l’UE et la Corée du Sud. Cet accord extrêmement ambitieux
milliard EUR permettra aux entreprises européennes d’économiser jusqu’à
1,6 milliard EUR en droits de douane. Il prévoit également la
Les conclusions sur une première année de travaux
suppression de nombreuses barrières non tarifaires.
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959 www.feb.be > publications > chiffres et faits
>
[ INFOR FEB 7 — 24 FÉVRIER 2011 ]

FEB si cette stratégie conduit en effet au plan pluriannuel global. Un tel plan doit être feront preuve d’un plus grand réalisme, plutôt
résultat escompté. Vous trouverez facilement élaboré d’urgence, si nous ne voulons pas que que de lancer des slogans à tout-va.
ce calculateur à l’adresse suivante : notre pays soit mis à mal au sein de la zone RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ

www.feb.be (Dossiers > Macroéconomie). Un euro et sur les marchés financiers. Nous espé-
Testez le calculateur d’impact à long
reality-check édifiant ! rons que, grâce à notre calculateur, les partis terme sur www.feb.be
La FEB entend ainsi alimenter le débat sur un qui participeront à l’élaboration de ce plan (Dossiers > Macroéconomie)

> COMMERCE INTERNATIONAL sont au point mort. La réunion du G20 à Séoul la menace d’un retour au protectionnisme en
en novembre dernier a cependant laissé appa- décrédibilisant l’OMC.
En 2011, Doha sera raître une réelle volonté politique de conclure Vincent Caulier – vc@vbo-feb.be
conclu ou ne sera pas le cycle. À la demande de certains pays, Peter
Sutherland, ancien directeur de l’OMC, et (*) www.feb.be > Dossiers >
Lancé il y a bientôt 10 ans dans la capitale du Entreprendre à l'échelle internationale
Jagdish Bhagwati, économiste de renom, ont
Qatar, ce cycle de négociations sous l’égide de
présenté à Davos le mois passé un rapport sur
l’OMC a pour ambition de libéraliser le com-
l’état des négociations (*). Il en ressort que
merce international. Force est toutefois de > PLATE-FORME FNANCEMENT
l’accord actuellement sur la table est ambi- DES ENTREPRISES
constater que, depuis deux ans, les discussions
tieux, mais encore incomplet. Les dossiers
relatifs à l’agriculture et à la facilitation du Les conclusions sur une
commerce apparaissent particulièrement bien première année de
développés, à l’inverse des discussions sur les
travaux
biens industriels et les services. Les auteurs
soulignent également la nécessité de fixer une Le 25 mars 2010, Febelfin, la fédération du
date limite, fin 2011, pour conclure (ou arrê- secteur financier, organisait la toute première
ter) les négociations. assemblée plénière de la Plate-forme
Le libre-échange étant le moyen le Financement des entreprises. Celle-ci ras-
moins cher pour relancer l'économie et la com- semble tous les stakeholders – par lesquels la
pétition, la FEB insiste sur l’importance FEB bien sûr – pour analyser les principaux
d’aboutir à un accord équilibré, quitte à faire problèmes qui se posent au niveau du finan-
des concessions. De plus, les coûts d’opportu- cement des entreprises ainsi que les solutions
nité d’un éventuel revers sont importants. Un à y apporter. La plate-forme devrait prochai-
échec ferait perdre en effet plus de 360 mil- nement rendre ses conclusions finales. Un vas-
liards à l’économie mondiale, et augmenterait te éventail de sujets a été abordé au cours de >

ACTION FEB

> Franc succès pour la FEB tif à long terme, ainsi que la différence entre lea- Steven Vanackere était invité à la réunion de
Social Academy consacrée à dership (= faire de bonnes choses) et manage- Belgian Business for Europe (BBE). Il a profité
la concertation sociale ment (= bien faire les choses). Koen Laenens, du début de l'Année du lapin selon l'horoscope
Le 17 février, plus de 80 participants ont assis- le négociateur social d’essencia, et Thierry chinois pour mettre en exergue les opportunités
té à la 4e session de la 3e année de la FEB Nollet, du Groupe S, ont témoigné de la maniè- et défis que représente l'essor économique de la
Social Academy. Celle-ci portait sur les leçons re d’accroître l’efficacité de la concertation Chine pour nos entreprises. Il a par ailleurs invi-
issues de la pratique de la concertation sociale. sociale au niveau du secteur ou de l’entreprise té les membres du BBE à l'informer en temps
Pieter Timmermans, négociateur pour la FEB, a et émaillé leurs propos de conseils concrets. La utile et de manière proactive des problèmes
introduit la session en évaluant la saga du récent prochaine session est prévue le 29 mars sur le d'accès au marché dans des pays tiers. Ensuite,
AIP à l’aune des règles de l’art de la concerta- thème de l’intérêt stratégique de la sécurité et Didier Seeuws, Damien Levie et Thomas
tion sociale au niveau national. Il a évoqué la du bien-être au travail. Le président de cette Tindemans ont respectivement commenté les
prédominance de l’impact médiatique et de l’in- journée sera Marc Degreef, CEO de Prevent, un travaux récemment effectués par le Conseil, la
dividualisme à court terme sur l’intérêt collec- institut de connaissance multidisciplinaire dédié Commission européenne et le Parlement.
à la prévention des risques professionnels. Michiel Humblet – guesteurop@vbo-feb.be

Intéressé ? Consultez www.feb.be, rubrique FEB


Social Academy ou contactez Nathalie Petit
(T 02 515 09 64 ou np@vbo-feb.be). > Les sessions sur le projet
d’AIP 2011-2012 sont un
> Le ministre Vanackere et grand succès
‘l’Année du lapin’ Ces derniers jours, la FEB a organisé, en colla-
Le 17 février dernier, le ministre des Affaires boration avec le CRFRT, plusieurs sessions sur
De nombreux représentants du monde des entreprises et
des organisations sectorielles ont pris part à cette ses- étrangères et des Réformes institutionnelles le projet d’AIP. Les orateurs ont informé le
sion.
[ INFOR FEB 7 — 24 FÉVRIER 2011 ]
> ACCORD INTERPROFESSIONNEL

Le gouvernement exécute la proposition de médiation


La saga de l’accord interprofessionnel (AIP) se poursuit. Le 18 janvier, mique et politique fragile que nous connaissons aujourd’hui.
tous les membres du Groupe des 10 – employeurs et travailleurs – ont Or, la saga perdure malgré tout. Les deux syndicats réfractaires conti-
paraphé le projet d’AIP, estimant tous qu’il s’agissait d’un compromis nuent à mener l’action. Ils jugent insuffisante l’augmentation salariale
équilibré et honorable. Or, deux semaines plus tard, la FGTB et la de 4,2%, c’est-à-dire l’indexation de 3,9% prévue par le CCE (mais déjà
CGSLB ont rejeté ce compromis. Depuis, la situation est entre les dépassée entre-temps) + 0,3%. Comprenne qui pourra. Les travailleurs
mains du gouvernement qui, selon la loi sur la norme salariale, doit fai- de Volkswagen en Allemagne, pour leur part, ont accepté, à la satis-
re une proposition de médiation (*). Les partenaires sociaux n’étant pas faction générale et sans grève, un accord de 3,2% (inflation comprise).
parvenus à un consensus à ce sujet, le gouvernement a décidé d’exé- Si l’on refuse de voir cette réalité en face, on va droit dans le gouffre.
cuter sa proposition de médiation. Le conseil des ministres du 25 Dans les années ’70 et ’90 du siècle dernier, nous avons connu le même
février approuvera les premiers arrêtés royaux, dont celui concernant la phénomène : des syndicats en grève ont provoqué l’accélération du déra-
norme salariale maximale de 0,3% (au-delà de l’index) en 2012. page salarial pour voir ensuite la réalité économique leur revenir en plei-
Lorsque les partenaires sociaux n’aboutissent pas, il est logique que le ne face comme un boomerang, sous la forme d’un chômage massif et
gouvernement intervienne, particulièrement dans la situation écono- d’un dérapage des finances publiques. La génération actuelle en paie
toujours la facture.
Soit on opte pour des augmentations
salariales insoutenables économique-
ment au profit de ceux qui ont un
Si l’on refuse de voir emploi, soit on choisit de respecter la
la réalité en face, norme salariale pour augmenter les
on va droit dans le chances d’emploi de ceux qui sont au
gouffre. chômage aujourd’hui. Telle est la ques-
tion fondamentale !
Pieter Timmermans – pt@vbo-feb.be

(*) Voir www.feb.be

> plusieurs réunions plénières ou en groupe de treprise dans leur recherche de financement, > CONJONCTURE
travail. Il a notamment été convenu de lancer au sens large du terme. En concertation avec
un site web en vue d'assister les chefs d'en- les institutions financières, la plate-forme a Rapport annuel de la
également examiné comment résoudre la pro- Banque nationale
blématique des indemnités de remploi et
déterminera les éléments indispensables à la Comme chaque année, le rapport annuel de la
constitution d'un dossier de crédit bien docu- Banque nationale dresse un aperçu très com-
menté. Les discussions ont également porté plet de l’année écoulée. À certains égards,
sur le financement des technologies respec- 2010 fut une année d’heureuses surprises.
tueuses de l'environnement et des exporta- Avec 2% de croissance du PIB, la reprise de
tions. notre activité en 2010 fut meilleure que pré-
Vu l'importance du volet financement vu. Ainsi, tant dans la phase de creux que dans
pour la réussite de l'entreprise, l'amélioration celle de reprise, l’évolution de notre activité
de l'accès au financement a toujours été une économique fut relativement favorable (voir
priorité pour la FEB. Dès le départ, nous avons graphique).
Un coin de voile a été soulevé sur les dessous de la
concertation sociale, au grand enthousiasme des dès lors collaboré de manière constructive aux Cependant, fin 2010, notre PIB se situe enco-
participants.
travaux de la plate-forme. Nous nous félicitons re 0,9% sous son niveau d’avant crise alors
public des grandes lignes du projet d’AIP et tout d'abord du lancement du site web men- que 7 trimestres se sont écoulés depuis le
commenté la proposition de médiation du gou- tionné ci-dessous. Nous conseillons à tous les creux. Ceci rappelle bien le choc inédit de cet-
vernement. Ils ont également révélé les dessous entrepreneurs à la recherche de financement te crise par rapport aux 3 récessions précé-
de la concertation sociale, au grand enthou- de consulter cette source d'information qui ne dentes où en moyenne 5 trimestres avaient
siasme des participants. Leurs commentaires manque pas d'intérêt. Les conclusions des suffi pour rattraper le niveau de richesses pré-
détaillés ont porté non seulement sur les points autres thèmes traités seront également com- valant avant la crise. Une autre heureuse sur-
traditionnels de l’AIP, mais aussi sur le dossier muniquées via ce site. Un site web qui mérite prise : nos performances en termes d’emploi
'ouvriers et employés'. Il est encore possible de le détour. intérieur. Après un tassement limité de 0,4%
s’inscrire à une session en français ou en néer- en 2009, celui-ci s’est déjà redressé alors que
Frederic Teerlynck - ft@vbo-feb.be
landais – voir la rubrique Agenda de cet Infor. son traditionnel temps de réaction après la
Monica De Jonghe – mjo@vbo-feb.be www.financementdesentreprises.be reprise de l’activité est normalement plus >
[ INFOR FEB 7 — 24 FÉVRIER 2011 ]

AGENDA Exécution ultérieure du projet d'AIP 2011-2012 Date et lieu : Contact : Laurent Sempot, T 02 515 09 83,
4 mars 2011 - Espace F 02 515 09 15, ls@vbo-feb.be
Durant cette séance d’information, les experts de la FEB exposeront les résultats des Vinçotte, Gembloux Info & Inscription : www.feb.be >
négociations interprofessionnelles. 09h00 – 12h30 Manifestations & séminaires

Dates and theme : Venue : FEB, Brussels


Specialised Study Programme (LL.M.) in Competition 11, 18, 25 March: The Information & Inscription:
Law and Economics Procedural and Institutional www.brusselsschoolofcompetition.eu,
This course is divided into 12 'learning blocks': with 15 hours of taught seminar for each Framework of EU Competition info@brusselsschoolofcompetition.eu
learning block, this programme seeks to offer the strongest possible training in the Enforcement
various disciplines of competition policy. From October 2010 to June 2011. From 12.30 p.m. to 6.30 p.m.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

> long : fin 2010, on compte 16.000 postes de > SÉCURITÉ DES un réseau d’informations des entreprises contre
travail supplémentaires par rapport au pic du ENTREPRISES les menaces terroristes (Early Warning System).
4e trimestre de 2008. Cette variation limitée
Une concertation efficace Christine Darville – cda@vbo-feb.be
de l’emploi trouve en grande partie son origi-
ne dans le fait que les entreprises, suite aux
entre le public et le privé
> SIMPLIFICATION
pénuries de main-d'œuvre qualifiée auxquelles Une collaboration étroite entre les pouvoirs ADMINISTRATIVE
elles ont fait face avant la crise, ont privilégié publics et les entreprises constitue une condi-
les outils de flexibilité interne tels que la tion de base pour lutter efficacement contre la
Pour de nouvelles propo-
réduction des heures supplémentaires et le criminalité dont celles-ci peuvent être la cible. sitions de simplification
chômage temporaire. Depuis plusieurs années, la FEB joue un rôle
Pour le monde des entreprises, la simplifica-
important en la matière. Depuis
Évolution du PIB (Point le plus haut avant la crise = 100; Source BNB et Eurostat) tion administrative constitue un élément clé
2003, la coopération public-
pour plus de croissance, d'emploi et de com-
100
privé a été consacrée par la
pétitivité. Depuis quelques années déjà, la
99
création de la Plate-forme de
Commission européenne mène un programme
98
concertation permanente sur la
d'action visant un allègement de 25% de la
sécurité des entreprises (ci-
97 charge administrative d'ici à 2012 par rapport
après, PCSE). L’objectif est de
96 au niveau de 2007. La Belgique aussi s'est fixé
mener une concertation public-
95 pour objectif une réduction des charges de
privé cohérente, d’obtenir une
94 25% d'ici à 2012. Grâce à une organisation
image précise de la nature et de
93 plus efficace de bon nombre de procédures
l’ampleur de la criminalité com-
92 administratives, il devrait être possible de les
2007Q1 2007Q2 2007Q3 2007Q4 2008Q1 2008Q2 2008Q3 2008Q4 2009Q1 2009Q2 2009Q3 2009Q4 2010Q1 2010Q2 2010Q3 2010Q4 mise envers les sociétés et d’at-
rendre plus rapides et moins onéreuses dans
BE DE FR NL tirer l’attention sur les nouveaux
l'intérêt des entreprises, des pouvoirs publics
phénomènes et les nouvelles
et des citoyens. Les instances publiques fédé-
Pour la FEB, ces résultats montrent tendances, comme la copie des cartes de
rales et régionales compétentes ont un plan
que le court terme est sous contrôle, mais ils crédit.
d'action de simplification administrative qui,
ne nous permettent pas de nous reposer sur La PCSE se réunit quatre fois par an. Elle exa-
chaque année, est mis à jour et adapté en
nos lauriers. mine des sujets divers, comme la criminalité
fonction des nouvelles propositions de simpli-
Le rapport de la Banque nationale rappelle en contre les biens des entreprises et les mesures
fication émanant des différents stakeholders.
effet que des réformes de notre marché du de prévention ; la protection des infrastructures
La FEB est fortement en faveur d'une
travail, de nos systèmes de pensions et de critiques ou encore la sécurité de certaines
réduction sensible des charges administra-
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

soins de santé sont nécessaires pour financer entreprises…Par ailleurs, dans le cadre de la
tives. Ces dernières années, elle a à plusieurs
le vieillissement de la population. PCSE, les ministres de la Justice et de
reprises formulé des propositions construc-
Anne Defourny – ad@vbo-feb.be l’Intérieur ainsi que la FEB ont activé en 2009
tives, dont plusieurs ont débouché sur des
résultats concluants. En ce moment, la FEB
mène à nouveau une réflexion en vue de dres-
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL ser la liste de plusieurs problèmes adminis-
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15

RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be


tratifs et de formuler, à l'intention des
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be autorités belges et européennes, des proposi-
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be tions en vue d'y remédier. Aussi lance-t-elle
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be
un appel pour que le monde belge des entre-
COPYRIGHT : Reproduction autorisée moyennant mention de la source prises lui communique de nouvelles proposi-
L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de l'écosystè-
me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est tions de simplification administrative.
responsable d'un point de vue économique.
Stefaan Verhamme – sv@vbo-feb.be

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