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métropole isolation

ISOLATION NATUREL EXPERTISE ET POSE

AUDIT
Expertise conseil en
rénovation energetique

50, rue Robert Schuman


59700 Marcq en Barœul

MÉTROPOLE ISOLATION
38 rue Clémenceau 59830 BOURCHELLES - Tél : 00 00 00 00 00 / Fax : 00 00 00 00 00
RCS : 000 000 000 / Compagnie d’assurance : XXXXXXXX n°000000000
métropole isolation Audit Energie en Maison Individuelle 50, rue Schuman - Marcq en Barœul 1
Sommaire
1. Etat actuel du bâtiment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 03
1.1. Données d’entrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 03
1.2. Elément de confort et inconfort thermique à prendre en compte. . . . . . . . . . . . . . . . P. 05
1.3. Consommation et coûts énergétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 08
1.4. Étiquettes de consommation en énergie et émission des gaz à effet de serre . . . . . . . P. 08
1.5. Analyse des performances et faiblesses du bâti. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 09

2. Propositions de travaux d’améliorations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 10


2.1. Désidérata des occupants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 10
2.2. Détails des préconisations par poste. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 10
2.3. Performances après travaux par rapport à la Règlementation Thermique existant
« élément par élément » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P.14

3 Etat projeté du Bâtiment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 15


3.1. Calcul des déperditions par poste de travaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 15
3.2. Consommation et coûts énergétique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 16
3.3. Analyse des performances du bâti. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 17

4 Montage financier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 18

5 Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 20
Annexe I : Lexique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 20
Annexe II : Économie d’énergie au quotidien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 00
Annexe III : Destiné à la Maîtrise d’œuvre et aux entreprises

Méthode et détail de calcul

Préconisation de mise en œuvre

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1. État initial
du bâtiment
L ‘Audit permet de définir un « état initial du bâti », soit les différentes formes de déperditions
(niveaux d’isolation, étanchéité à l’air, circulations et renouvellement d’air, …), de les quantifier
par poste, et de trouver l’origine des éléments d’inconfort (sensations de froid, point d’humidité,
désordre visible ou invisible, …).
Cette première étape est la base d’étude pour l’amélioration du confort et des économies
d’énergie

1.1  Données d’entrée


Situation du bâtiment
Le bâtiment est de type « semi flamande », de 1954. Il est composé d’une dalle sur terre-plein, et
cave partielle, murs en brique de terre cuite double, et toiture mansardée de tuile de terre cuite.
Les murs sont faiblement isolés. Les combles sont non isolés.
La production de chaleur est assurée par des radiateurs électriques type céramique, et un
convecteur dans la salle de bain. L’eau chaude sanitaire est produite par un cumulus électrique
de 200 litres installé en 2009 dans la cave non isolée.
L’ensemble des baies vitrées est en double vitrage, non renforcé thermiquement.

Type de logement Maison individuel


Département 59 - Nord
Altitude 350
Rigueur climatique H1a
Année de construction entre 1948 et 1974
Surface habitable 77
Nombre de niveaux 2
Nombre de pièces principales 3
Nombre d’occupants Double mitoyenne
Environnement Double mitoyenne

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1.1  Données d’entrée
Détail de l’enveloppe du bâtiment

Niveau 1 Mur extérieur, mur mitoyen et mur cuisine


Niveau 2 Mur mitoyen, mansarde et comble

Type 1 Type 2
Performence Performence
Description de Description de
thermique thermique
la paroi la paroi
U (en W/m2.K-1) U (en W/m2.K-1)
Brique 20 Mur mitoyen
Mur extérieur 0,42 0,16
Placo isol 6 en brique 20
Mur extérieur Parpaing de 10
Cuisine Placo isol 6
Mur intérieur Cloison
0,8
sur LNC placosteel isol 5
Plancher entre
Plancher haut 2,3
solive
Mansarde brique en
couverture +
Autre «plancher» 2,5 allège et couverture 0,6
placo isol 6 en partie haute

Béton sur terre


Plancher bas 0,774 Entrevous béton 1
plein
Chassis bois +
Ouverture 1,8
double vitrage

Équipements

Chauffage Convecteur électrique panneau rayonnant


Refroidissement
Eau chaude sanitaire Cumulus de 200L
Ventilation VMC non utilisée

Abonnements et tarifs des énergies

Electricité Simple tarif 6 kVA

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1.2  Éléments de confort et inconfort thermique
Plan : État existant

Observation :

Façade rue

Observation : Interventionsur le parement


impossible administrativement. Le coût du
remplacement du vitrage n’est pas rentable.
La porte d’entrée est à remplacer mais
n’est pas la priorité.

Façade arrière

Observation : La toiture rez de chaussée est


obsolète. Le mur avant est en parpaings, fisuré et
non isolé. Le mur en brique correspond à la tête
du mur de refend.

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1.2  Éléments de confort et inconfort thermique

Séjour et sas d’entrée

Observation : Orientation Nord.


A l’exeption de la porte d’entrée,
aucune amélioration thermique n’est
pertinante compte tenu des travaux
envisagés au sud et du budget
global.

Cuisine et débara

Observation : Orientation sud.


Le mur de refend, ancien mur de
façade avant extension précédente,
est plaqué de platre sans isolant.Les
puits de lumière créés par l’absence
ponctuel de plafond montrent une
éfficacité sans conteste (photo début
oct fin de matinée). Le plancher
cuisine est plus bas de 9 cm par
rapport au plancher séjour.

Sous-sol ou cave

Observation : Le sous-sol est situé


sous le salon entre la cuisine et le
séjour. La sous face du plancher
n’est pas isolé.

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1.2  Éléments de confort et inconfort thermique

Cumulus

Observation : Situé au sous-sol, il


à été installé en 2009. Des panneau
de polystyrene ont été installé en
parti haute sur son poutour.

Étage côté Sud

Observation : Vu sur le bureau et


la salle de bain. Le doublage, droit
jusqu’au plafond, couvre la tête du
mur de refend (sur lequel est posé
le chéneaux) et la couverture. Les
combles ne sont pas isolés.

VMC

Observation : Situé au rez-de-


chaussée, elle est coincée et non
accessible dans le faux plafond du
recoin au dessus des WC actuel.

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1.3  Consommations et coûts en énergie

Type d’énergie Consommations Coûts annuels (hors abonnements)


Utilisation
kWh/an s TTC

Chauffage électrique 22 071 2 326

Eau chaude
électrique 2 700 285
sanitaire

TOTAL 24 771 2 611

1.4  Étiquettes de consommations d’énergie


et d’émissions de GES

Les étiquettes ci-dessous ne peuvent en aucun cas se substituer à un DPE. Elles sont issues d’un calcul
utilisant des données standards pour les apports gratuits, la rigueur climatique, les températures de
consigne et les périodes d’occupation. Ce bilan est établi suivant des hypothèses de cout d’énergie et
de mode de vie fixés à un moment donné. Il a pour but de permettre des comparatifs entre énergies
et solutions techniques de chauffage, il ne constitue donc en aucune manière, ni directement ni
indirectement un document contractuel engageant le bureau d’études ou le ou les fabricants ou
intermédiaires intervenants.

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1.5  Analyse des performances du bâti
Répartition des déperditions thermiques du bâtiment
Les pourcentages indiquent la proportion de pertes
d’énergie en fonction des éléments constitutifs du
bâtiment. Par ordre décroissant apparaissent _ _ _
L’isolation des combles, par la pose d’un isolant
directement sur le plancher, est la première et la plus
rentable des démarches.
Compte tenu des contraintes administratives, et de
l’orientation de départ du budget, il a été décidé de
concentrer les améliorations thermiques côté jardin.
La volonté de déposer l’ancienne extension pour la
réhabiliter complètement permet à l’audit une optimisation
de l’investissement structurel et d’amélioration thermique.
La tête de mur du refend, la partie extérieure, peut être
isolée par l’extérieur pour mieux assurer la continuité de
l’isolation de la nouvelle couverture.
Le nouveau mur porteur Sud, compte tenu du nombre de
ponts thermiques potentiels (perte de chaleur le long des
ouvrages d’ouverture) doit faire l’objet d’une mise en œuvre de matériaux adaptés.
Le rattrapage des niveaux de sol, entre la cuisine et le séjour, profiterait à l’amélioration des
performances thermique en introduisant la pose d’un isolant après décaissement du carrelage
existant.
Lors de la visite, il est apparu que le sas d’entrée est une source de sensation de froid (paroi
froide & et courant d’air) due aux déperdition de la porte d’entrée vieillissante et à sa très haute
perméabilité à l’air.
D’autre part, le radiateur électrique (type céramique) de la cuisine n’est pas utilisé par soucis
d’économies. La seule source, le second radiateur du niveau, de 1500 W, a une capacité
maximum théorique de 35 m3 pour 120 m3 à traiter. Celui-ci, situé sous la fenêtre façade
nord, crée un mouvement d’air convectif important avec les zones froides situées à l’opposé du
niveau. Ces courants d’air créent une grande sensation d’inconfort.
Le mur de refend, en brique de terre cuite, est actuellement recouvert d’une peau en plaques
de plâtre. Sa mise à nu, sans créer de déperditions grâce à la mitoyenneté des murs latéraux,
permettrait de gagner en inertie. Dans le cas où l’option de l’installation d’un poêle à bois était
retenu, cette inertie améliorait beaucoup le confort d’utilisation du poêle par sa capacité de
stockage, et de déphasage de diffusion d’une partie des calories apporté par celui-là.convecteur
dans la salle de bain. L’eau chaude sanitaire est produite par un cumulus électrique de 200 litres
installé en 2009 dans la cave non isolée.
L’ensemble des baies vitrées est en double vitrage

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2. Proposition
de travaux
Cet audit peut permettre une optimisation de l’investissement avec une orientation économe
en énergie. Les préconisations sont présentées par ordre de priorité en rapport entre le montant
investit, les économies engendrées à court et long terme, et le confort apporté.

2.1  Désirata des occupants


Les travaux d’aménagement sont prévu initialementde trois ordres :
Structurel, soit démolition et reconstruction de l’avancée sud avec changement des ouvertures.
Technique, soit déplacement de la salle de bain du côté sud au côté nord de l’étage.
D’enveloppe, soit création d’une ouverture dans la mansarde nord pour l’éclairage naturel de la
nouvelle salle de bain, isolation des combles, isolation de l’extension recréée.

2.2  Détail des préconisations par poste


Parois opaques

Isolation des combles

2 couches croisées d’isolant placé sur le planché des combles.

Surface à couvrir 20 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0038 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 0,18 W/m2.K au lieu de 2,3)

Coûts : 800 E TTC

Isolation de la nouvelle couverture

2 couches croisées placées entre et devant les pannes.

Surface à couvrir 20 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0038 W/m.K

Coûts : 1587 E TTC

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2.2  Détail des préconisations par poste

Isolation de la dalle extension


Mise en oeuvre d’un isolant de polystyrene extrudé rainuré boufté de 3 cm d’épaisseur et d’une
chappe de béton maigre après dépose de l’ancien carrelage
Surface à couvrir 18 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0036 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 0,38 W/m2.K au lieu de 0,56)

Coûts : 1170 E TTC

Mur porteur

- Continuité de l’isolant dallage avec les fondations.


- Mise en oeuvre de brique alvéolaire type biobrique ep 20 (R = 1,6
- Isolation par l’extérieur, matériaux dense en panneau rigides ep 14 (R = 3,7 m2.K/W)

Surface à couvrir 18 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0036 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 0,38 W/m2.K au lieu de 0,56)

Coûts : 1170 E TTC

Nouvelles baie vitrée cuisine

2 couches croisées d’isolant placé sur le planché des combles.

Surface à couvrir 20 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0038 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 1,6 W/m2.K au lieu de 2)

Coûts : 1831 E TTC

Remplacement de la VMC

2 couches croisées d’isolant placé sur le planché des combles.

Surface à couvrir 20 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0038 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 1,6 W/m2.K au lieu de 2)

Coûts : 1831 E TTC

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2.2  Détail des préconisations par poste

Remplacement de la porte d’entrée


Mise en oeuvre d’un isolant de polystyrene extrudé rainuré boufté de 3 cm d’épaisseur et d’une
chappe de béton maigre après dépose de l’ancien carrelage
Surface à couvrir 18 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0036 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 0,38 W/m2.K au lieu de 0,56)

Coûts : 1170 E TTC

Isolation sous-face de plancher sur cave

- Continuité de l’isolant dallage avec les fondations.


- Mise en oeuvre de brique alvéolaire type biobrique ep 20 (R = 1,6
- Isolation par l’extérieur, matériaux dense en panneau rigides ep 14 (R = 3,7 m2.K/W)

Surface à couvrir 18 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0036 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 0,38 W/m2.K au lieu de 0,56)

Coûts : 1170 E TTC

Isolation de la tête du refent

2 couches croisées d’isolant placé sur le planché des combles.

Surface à couvrir 20 m2
Caractéristique isolant souple de 100 mm, λ = 0,0038 W/m.K
Resistance thermique R = 5,26 m2.K/W (U= 1,6 W/m2.K au lieu de 2)

Coûts : 1831 E TTC

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2.2  Détail des préconisations par poste
Parois oxoxoxoxo
Les menuiseries doubles vitrages permettront de diminuer les déperditions thermiques et
d’augmenter la sensation de confort grâce à leur bonne étanchéité à l’air. Le phénomène
de parois froides disparaît. Leur faible émissivité, permet de limiter les apports solaires en été.

Changement des meunuiseries - M


 ise en place de meunuiserie mixtes Bois/Alu
double vitrage 4/16/4 faible émissivité

Dimension LxH Type UW(W/m2.K) Protection Localisation Coût


Oxoxoxox 4/12/4 Oxoxoxox Oxoxoxox 1000 e
Oxoxoxox oxoxo Oxoxoxox Oxoxoxox 1000 e
Oxoxoxox oxoxo Oxoxoxox Oxoxoxox 1000 e
Oxoxoxox oxoxo Oxoxoxox Oxoxoxox 1000 e
Oxoxoxox oxoxo Oxoxoxox Oxoxoxox 1000 e
Oxoxoxox oxoxo Oxoxoxox Oxoxoxox 1000 e

Surface à couvrir Oxoxoxo


Surface à couvrir Oxoxoxo
Surface à couvrir Oxoxoxo
Oxoxoxooxoxoxoxo oxox Oxoxoxo
Oxoxoxooxoxoxoxo oxox Oxoxoxo

Coûts : Oxoxoxoxox

Ventilation

Oxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxo
Oxoxoxooxoxoxoxo oxoxxxoxxxoxo oxoxoxoxox oxoxoooo xoxooxoxox xoxoxoxoxo xoxoxoxox
xoxoxoxoxo xoxoxoxo
Surface à couvrir Oxoxoxo
Oxoxoxooxoxoxoxo oxox Oxoxoxo
Oxoxoxooxoxoxoxo oxox Oxoxoxo

Coûts : Oxoxoxoxox

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2.3  Performance après travaux par rapport
à la réglementation thermique existante
«élément par élément» (arrêté du 3 mai 2007)

Performances des matériaux Gardes fous relatifs à la RT


Poste
et équipements préconisés «élément par élément»

Murs extérieurs Rparoi >


_ 2,3 m2.K/W

Planchers bas
(sur sous-sol Rparoi >
_ 2 m2.K/W
ou vide sanitaire)

Rampants de toiture Rparoi >


_ 4 m2.K/W

Planchers hauts
Rparoi >
_ 4,5 m2.K/W
de combles perdus

Parois vitrées Uw <


_ 2,3 m2.K/W

Amplitude de régulation < à 0,5 K


Chauffage et
Dérive en charge maximum de 1,5K

Pour un volume de stockage


Eau chaude sanitaire
de 200 litres Qpr < 2,17 kWh/j

Ventilation Consommation < 0,25 Wh/m3

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3. État projeté
du bâtiment
3.1  Calcul des déperditions
selon préconisation de travaux

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3.2  Consommations et coûts en énergie

Type d’énergie Consommations Coûts annuels (hors abonnements)


Utilisation
kWh s HT s TTC

Chauffage Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox

Eau chaude
Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox
sanitaire

TOTAL Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox

État initial Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox

RÉSULTAT Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox Oxoxoxoxox

3.3  Étiquettes de consommations d’énergie


et d’émissions de GES

Les étiquettes ci-dessous ne peuvent en aucun cas se substituer à un DPE. Elles sont issues d’un calcul
utilisant des données standards pour les apports gratuits, la rigueur climatique, les températures de consigne
et les périodes d’occupation. Ce bilan est établi suivant des hypothèses de cout d’énergie et de mode
de vie fixés à un moment donné. Il a pour but de permettre des comparatifs entre énergies et solutions
techniques de chauffage, il ne constitue donc en aucune manière, ni directement ni indirectement un
document contractuel engageant le bureau d’études ou le ou les fabricants ou intermédiaires intervenants.

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3.4  Analyse des performances du bâti

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4. Montage
financier
4.1  Détails des investissements et coûts

Coûts annuels actuel en énergie 0 000,00


Coûts annuels projetés en énergie 0 000,00 e TTC
Economie annuelle prévue 0 000,00

Investissements brut par poste* 0 000,00


- isolation des murs par l’intérieur 0 000,00
- isolation des combles 0 000,00
e HT
- Changement des meunuiseries 0 000,00
- VMC Hygro B 0 000,00
Total investissement HT 0 000,00
TVA (à 5,5%) 0 000,00

TOTAL investissement TTC 0 000,00 e TTC

4.2  Crédit(s) d’impôts

Montant éligible au crédit d’impôts e TTC

Poste Taux Montant par poste


- changement des meunuiseries (hors MO) 25% 0 000,00 e TTC

TOTAL investissement TTC 0 000,00 e TTC

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4.3  Éco prêt à taux Zéro (bouquet de 2 travaux)

Montant éligible à l’éco PTZ 0 000,00


Montant de l’éco PTZ (crédit d’impôts déduit) 0 000,00 e TTC
Mensualité de remboursement (sur 10 ans) 0 000,00

L’écart de consommation entre l’état initial et l’état projeté ne permet pas d’être éligible à l’éco
PTZ option méthode globale.
Le changement de la ventilation est considéré comme travaux induit et peut être intégré à l’éco
PTZ.

4.4  Bilan financier

Montant financier restant 0 000,00


Mensualité sur 10 ans (prêt à 4%) 0 000,00 e TTC
Coût du prêt 0 000,00

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5. Annexe
4.1  ANNEXE II : ECONOMIE DENERGIE AU QUOTI-

CONSOMATION D’EAU ET DE SON ENERGIE INDUITE


par personne et par an
   DOUCHE EVIER LAVABO WC TOTAL
Temps d’utilisation    4 mn 2 mn 2 mn 4 fois  
Débit standard   20 l/mn 10 l/mn 10 l/mn 9l  
Consommation journalière  80 l 20 l 20 l 36 l 156 l**
Consommation par an (330 jours) 26,4 m3 6,6 m3 6,6 m3 12 m3 51 m3
Consommation d’énergie*  790 kWh 0 198 kWh 0 990 kWh
Coût moyen en eau (2,90€ TTC/m3) 76,52 € 19,05 € 19,05 € 34,70 € 149,40 €
Coût énergétique (à 0,04€ le kWh) 60,22 € 0 15,24 € 0 75,46 €
Coût total eau + énergie  136,74 € 19,05 € 34,29 € 34,70 € 224,86 €

ECONOMIES POSSIBLES
avec une douchette éco, 2 aérateurs (évier et lavabo), WC à 2 commandes
   DOUCHE EVIER LAVABO WC TOTAL
Réduction de débit d’eau  50% 40% 40% 40%  
Economie en eau par pers./an  13,2 m3 2,6 m3 2,6 m3 4,8 m3 23,2 m3
Economie en énergie par pers./an 380 kWh 0 99 kWh 0 479 kWm
Economie en euros par pers./an 68,30 € 7,62 € 13,72 € 13,87 € 103,66 €
Investissement de départ (installation) 22,56 € 12,04 € 12,04 € 18 €*** 46,64 €
Economie la 1ère année par pers. 45,74 € -4,42 € 1,68 € -4 € 39 €
Economie à partir 68,30 € 12,04 € 13,72 € 18 € 112,06 €
de la 2ème année par pers./an 448 Fr 79 Fr 90 Fr 118 Fr 735 FR

* 30 kWh sont nécessaires pour chauffer 1m3 d’eau à 38 °C


** Consommation moyenne en France par personne et par an 150 l à 250 l
***Différence à l’achat entre un WC standard et un WC éco. à deux chasses 

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