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Sommaire 

:
Remerciement  :
1) Introduction  : p 03
2) Historique  : p 03
3) Organisation de sonatrach  : p 04
4) Description de DRGB  : p 05
5) Organisation de DRGB  : p 05
6) Carte satellitaire du terminal nord et sud de DRGB  : p 06
7) Département maintenance  : p 06
8) Chapitre 01  :système automatisé  : p 08
a. Définition  :
b. Les buts d’un système automtisé  :
c. Les composants de système automatisé  :
1) partie commande :
2) partie opérative :

d. Structure d’un système automatisé  :


e. Les transmetteurs et indicateur  :
1) capture :
2) actionneur :
f. Quelque transmetteur et indicateur  :
1) les électrovannes  :
a) définitions  :
b) les types de carte électroniques d’une
électrovanne contient  :
g. Les transmetteurs de pression différentiels  :
h. Les jaugeurs  :
9) Chapitre 02  : Automate programmable industriel siemens  : p
11
a. Décomposition  :
1) Structure externe  :
2) Structure interne :
b. Rôles principaux dans un processus  :
c. Système automatisé  :
d. Cycle dans un API  :
10) Chapitre03  : profibus  : p
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a. Définition  :
b. Historique et protocole  :
c. Classification  :
1) Profibus DB  :
2) Profibus FMS  :
3) Profibus PA :
d. Nature hybride  :
e. Transmission  :
11) Conclusion  : p 17

R
e
Ma reconnaissance s’adresse à Mr Mustapha LOUIBA. Son accueil, sa confiance ont

rendu ce stage intéressant. Je le remercie pour sa patience, l’amabilité et le soutien

m
technique qu’il m’a apporté.

er
Je tiens à remercier tout particulièrement et à témoigner toute ma reconnaissance aux

personnes suivantes, pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’elles m’ont fait

ci
vivre durant mon stage au sein de Sonatrach :

e
Mr OUCHEN Azouz pour le temps qu’il nous a consacré tout au long de cette

période, sachant répondre à toutes nos interrogations.

m
Enfin, je remercie l’ensemble du personnel de l’atelier instrumentation pour leur

en
accueil sympathique et leur coopération professionnelle tout au long de cette période.

t
2
1) Introduction  :
Sonatrach est une entreprise nationale qui joue un roule très important dans
l’économie Algérienne qui consiste sur :

 Prospection, exploration et exploitation ;

 Développement, gestion et management de transport, stockage et


moyens de chargement ---Transformation et raffinage ;

 Marketing ;

 Liquéfaction du gaz naturel, traitement et valorisation des


hydrocarbures gazeuses;

 Mise en place de toutes formes d’activités en joint-venture à l’intérieur


et à l’extérieur du territoire algérien, en collaboration avec des
compagnies étrangères ;

 Une fourniture constante d’hydrocarbures à usage domestique ;

 La recherche pour la promotion et la valorisation de toute forme


d’énergie et source;

 Le développement de toute activité étant directement ou


indirectement liée avec l’industrie des hydrocarbures.

Et on trouve l’une des plus importante et ancienne direction est la DGRB ,qu’on
va la décrire précisément dans que ce suit.
2) Historique  :
Le 31 décembre 1963, la SOciété NAtionale de TRAnsport et de
Commercialisation des Hydrocarbures – SONATRACH - a été créée par décret
N°63/491. Elle avait pour mission de prendre en charge le transport et la
commercialisation des hydrocarbures dans un contexte marqué par la
mainmise des compagnies étrangères

3) Organisation de la Sonatrach  :

sonatrach

3
Branche de
Branche de liquifaction
Branche de
transport Branche de
production hydrocarbures
commercialisa
tion

4) Description de la DRGB  :
La direction régionale de Bejaia est l’une des 5 directions régionales de la
Sonatrach, qui a :
pour tâche le transport, le stockage et la livraison du pétrole brut et le
condensât.
La DRGB se situe à 2Km de la ville de Bejaia qui est devisée en deux terminaux,
le terminal nord possédant 12 bacs de stockage de 35000M3, et le terminal sud
avec 5 bacs de 50000M3
Elle comprend également un port pétrolier qui se trouve à 8Km nord de la
DRGB possédant 3 postes de chargement.
- A propos de coté électrique elle possède :
Deux salle électrique sur les deux terminaux qui est divisée en trois chambres,
haute tension, moyenne et basse tension. On trouve dans la chambre de basse
tension, des redresseurs de tension, des chargeurs de batterie et des
armoires contenant les automates Allen Bradly et siemens S7
300, S7 400 et un ordinateur pour la supervision des installations qui sont
connectées directement avec l’automate S7 400 par un câble Ethernet. Dans
ces chambres on trouve des capteurs de fumée et des bouteilles de Halon pour
la sécurité de la salle électrique.
Et en fin on trouve la tour de contrôle sur le terminal nord qui  est une salle
dans laquelle on trouve les tables de commande pour le terminal nord et sud
pour commander l’ouverture des vannes et la sélection du bac, la pompe et le
chemin de circulation du fluide, en plus ça la tour a une auteur
importante permettant de visualiser l’état des vannes et des
bacs.

5) Organisation de la DRGB  :

4
Direction régionale

Assistant sûreté Chef de département


interne HSE

Centre Secrétariat direction


informatique

Sous direction Sous direction


exploitation administration

Département Département Départemen Département Départemen


exploitation exploitation t Moyens t
GAZ Généraux ADM/Social Ress.Hum/C

Département Département
protection des
Approvisionnement ouvrages
et transport

Sous direction Sous direction


technique 5 finances/juridique
Département Département Département Département Département
maintenance travaux neufs juridique finances Budg/Contrôle
gest

6) Carte satellitaire du terminal nord et sud de la DRGB  :

7) Carte du Réseau de Transport RTC Bejaïa  :

6
8) Département Maintenance  :
Le département maintenance est chargé de l’entretien de la
ligne et s’occupe de toutes les opérations de maintenance
a) Service mécanique :
Ce service s’occupe essentiellement de la maintenance des
parties mécaniques des équipements principaux des stations.
b) Service instrumentation  :
Il assure la sécurité des instruments (appareils de mesure)
installés sur toute la ligne.
c) Service électricité:
Ce service s’occupe de trois types d’équipements :
 Equipements industriels
 Equipements électromécaniques
 Equipements conditionnements
Et autres services bien sur.
9) Chapitre 01  :système automatisé
a) Définitions :
système automatisé ou automatique est un système réalisant des
opérations et pour lequel l'intervention humaine est limitée à la
programmation du système et à son réglage préalable.
Un système est dit automatisé s'il exécute toujours le même cycle de travail
après avoir reçu les consignes d'un opérateur.
b) Les buts d’un système automatisé :
 Réaliser des tâches trop complexes ou dangereuses pour l'homme.
 Faire des tâches répétitives et pénibles.
 Améliorer des performances (précision, rapidité...).
c) Les composants de système automatisé :

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Un système automatisé, quel qu'il soit nécessite un Opérateur, c'est une
personne qui donne des Consignes au système et qui est capable de
comprendre les signaux que la partie commande lui renvoie.
1) La partie Commande :
 Reçoit les consignes de l'opérateur et les comptes rendus de la partie
opérative.
 Adresse des ordres à la partie opérative et des signaux à l'opérateur.
 Son programme gère l'ensemble de ces échanges d'informations.
2) La partie opérative :
 Effectue les opérations par des actionneurs (moteur, vérin etc.).
 Elle reçoit des ordres de la partie commande.
 Elle adresse des comptes rendus à la partie commande.
d) Structure type d’un système automatisé :

Consignes Ordres Actionneur


Opérateur Partie s
commande Partie
Signaux Compte-rendu opérative
Capteurs

e) les transmetteurs et indicateurs :


1) Capteurs :
Un capteur est un élément de la partie opérative capable de détecter (avec
ou sans contact) un phénomène physique dans son environnement et de rendre
compte de ce phénomène à la partie commande.
2) Actionneurs :
Un actionneur est un élément de la partie opérative capable de produire un
phénomène physique à partir de l'énergie qu'il reçoit.
f) Quelques transmetteurs et indicateurs :
La DRGB est riche en instrument de mesure et capteur électronique,
hydraulique et autres. Parmi ces instruments on site  :
1) Les électrovannes  :
a) Définition :

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Une électrovanne est un dispositif commandé électriquement qui a pour
rôle d’autoriser ou d’interrompre par une action mécanique la circulation d’un
fluide ou d’un gaz dans un circuit.
b) Les types de cartes électroniques d’une électrovanne contient   :
 La carte d’alimentation :
Son rôle est d’alimenter la tête de vanne et les autres cartes elle dispose
de différents transformateurs qui fournissent les tensions nécessaires à
l’alimentation de ses différents organes.
 La carte de communication :
Elle assure la liaison entre la tête de la vanne avec les différentes cartes et
l’automate via un protocole de communication qui est dans notre cas ici le «
modbus ».
 La carte mère :
Elle assure le traitement de l’information ou la partie essentielle est le
microprocesseur .

L’électrovanne La carte mére

2) Les transmetteurs de pression différentiels  :


Ce transmetteur a pour rôle de surveiller la pression différentielle de
crépine. Il possède un processeur au sein de son architecture ; ce dernier lui
permet le traitement d’informations et l’autodiagnostic ce qui lui permet de se
rapprocher le plus d’un automate.
La mesure de la pression différentielle s’appuie sur la variation d’une
capacité à deux fils.

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Un transmetteur Instrument de mesure de pression

a) Les jaugeurs  :
 Le jaugeur ENRAF 854 ATG :
Les jaugeurs fabriqués par ENRAF Nonius dont la référence est 854 sont
utilisés pour connaitre et surveiller à chaque instant la hauteur de chaque bac
de la DRGB.ATG propose plusieurs autres fonctions en options comme la
mesure de température, la densité… et cela grâce à sa modularité (en ajoutant
des cartes en option) on peut rajoute d’autre fonctions ce qui nous permettra
de gagner en espace et en coût.

Le jaugeur ENRAF 854 ATG :

 Principe de mesure :
Le principe est basé sur la variation dans la flottabilité d'un palpeur. Le
palpeur est suspendu par un fil flexible qui est enroulé sur un tambour.
L'arbre du tambour est connecté à un moteur pas à pas par un accouplement
aimanté.

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Le poids apparent du palpeur est mesuré par un transducteur de force. La
production réelle de la force du transducteur est comparée avec une valeur
désirée pour le poids apparent du palpeur. Si une différence existe entre la
valeur mesurée et désirée, un programme sera exécuté en agissant sur le
moteur qui tend à déplacer le palpeur de façon à équilibrer le poids.

 Mesure de niveau :
La variation du niveau du produit dans lequel le palpeur est immergé
partiellement, cause un changement dans le poids apprends qui sera détecté
par le transducteur de force.
La différence résultante entre la valeur désirée et la valeur mesurée causera
une réaction du moteur pas à pas et par conséquent ajustera la position du
palpeur soit vers le haut soit vers le bas jusqu'à ce que la valeur mesurée soit
égale à la valeur désirée.
Pour éviter les oscillations, un temps d'intégration est prévu et est réglable
au niveau du logiciel. Cela aura pour effet une bonne stabilité lors de la
variation de niveau.
Le moteur pas à pas fait un tour complet pour chaque 10 mm de
mouvement vertical du palpeur. Une révolution est divisée en 200 pas, par
conséquent un pas est T .

 Interfaces entre deux produits :


La mesure de l'interface entre deux produits est accomplie en envoyant un
ordre de l'interface au jaugeur. Cela cause l’enclenchement du moteur pas à
pas et le déplacement du palpeur à une place où le poids apparent de ce
dernier soit égal à la valeur préprogrammée.

9) CHAPITRE 02  : AUTOMATES PROGRAMMABLES


INDUSTRIELS SIEMENS.

Figure 12–API S-7 400

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Les automates programmables industriels sont apparus à la fin des années
soixante aux Etats Unis, (General Motors en leader).
L’automate programmable industriel A.P.I ou Programmable Logic Controller
PLC est un appareil électronique programmable adapté à l'environnement
industriel, et réalise des fonctions d'automatisme pour assurer la partie
commande à partir d'informations logiques, analogiques ou numériques. C’est
aujourd’hui le constituant essentiel des automatismes. On le trouve souvent
dans tous les secteurs de l’industrie.
La force principale d’un automate programmable industriel API réside dans sa
grande capacité de communication avec l’environnement industriel d’interface
de communication avec le processus industriel de conduite.
a)Décomposition  :
1-structure externe :

Figure13-- armoire des API siemens « à DRGB »S7  400 modulaire


2) structure interne :

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Figure14 – structure interne d’un API

b) Rôles principaux dans un processus :


• D’assurer l’acquisition de l’information fournie par les
capteurs ;
• En faire le traitement ;
• Elaborer la commande des actionneurs ;
• Assurer également la communication pour l’échange
d’informations avec l’environnement.

c) Système automatisé :

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Figure15—système automatisé
d) Cycle dans un API

Figure16—le cycle dans un API.

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10) CHAPITRE 03 :PROFIBUS.
a)Définition :
PROFIBUS (Process Field Bus) est un réseau de terrain ouvert, permettant de
répondre à un large éventail d’applications dans les domaines concernant :
• les procédés manufacturiers (conduite des procédés séquentiels, procédés
discontinus par lots « batch »).
• les procédés continus (conduite, régulation).
• la gestion des bâtiments (gestion technique centralisée, gestion technique du
bâtiment).
b) Historique & protocole :
PROFIBUS est issu de travaux initiés en 1987 par le ministère fédéral allemand
pour la Recherche technologique, comprenant un groupement de sociétés
industrielles et d’instituts de recherche allemands, orchestrépar Siemens AG
[7].
Depuis 1999, le réseau PROFIBUS est reconnu dans la norme internationale CEI
61158,
PROFIBUS, étant un réseau adhérant à la norme internationale ISO, adopte le
modèle OSI (Open Systems Interconnections), qui définit un langage commun
aux échanges de données entre stations d’un réseau fondé sur des règles
d’interconnexion et des interfaces de transfert désignant un « protocole de
communication ». Ce protocole, construit en sept couches, définit les éléments,
structures et taches nécessaires à toute communication. Chaque couche
remplit une fonction bien précise dans l’architecture OSI[8]. Toutefois, à défaut
d’être utiles, certaines couches peuvent en être exclues, c’est ainsi que
PROFIBUS se cantonne aux couches 1,2 et 7.

Figure17--Les sept couches de profibus


c) Classifications :
1) Profibus-DP (Decentralized Peripheral) : destiné aux applications de type
maître-esclave en mono-maître pour la gestion des équipements d’entrées-

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sorties déportées avec des temps d’accès extrêmement courts. Le
fonctionnement multi-maître est possible.
2) Profibus-FMS (Fieldbus Message Specification) :
destiné aux applications nécessitant l’échange entre maîtres pour la
synchronisation d’activités de contrôle-commande,basé sur la messagerie MMS
(Manufacturing Message Specification).
3) Profibus-PA (Process Automation) : destiné aux applications de contrôle de
processus nécessitant la communication avec des équipements de terrain
(capteurs,actionneurs) ; permettant une télé alimentation des équipements
et un fonctionnement avec sécurité intrinsèque en ambiance explosive.
d) Nature hybride :
La nature hybride du principe d’accès au réseau implémenté par PROFIBUS
permet :
• d’une part une communication entre les stations maîtres par un mécanisme
de passage de jeton sur bus, déterministe et adaptatif. La circulation du jeton
est effectuée selon un anneau logique, indépendamment de la topologie bus
du réseau.
• d’autre part une communication simple de type maître esclave entre une
station maître et les équipements esclaves auxquels elle veut s’adresser. Elle en
définit donc les caractéristiques électriques et mécaniques : type de codage et
d’interface normalisée.
e)Transmissions :
Rappelons que la couche (1) du modèle OSI assure la transmission physique des
données.
1) Filaire :
est une technique de transmission simple et économique convenant surtout
aux taches exigent des débits élevés. Son support de transmission est la paire
torsadée blindée.
La structure du bus permet l’ajout ou le retrait de stations ou la mise en service
par étapes du réseau sans répercussion sur les autres stations.
Les extensions futures (dans des limites définies) ne pénalisent pas les stations
en exploitation.
A cela s’ajoute la possibilité d’exploiter cette liaison en zone à sécurité
intrinsèque [10].
2) optique :
Certaines applications de bus s’accommodent mal de la transmission filaire.
C’est le cas des milieux industriels à forte pollution électromagnétique ou des
réseaux à longue portée, des contraintes auxquelles remédie parfaitement la
fibre optique [10].

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11) Conclusion  :

Au cours de ce stage, nous avons pu acquérir une première expérience professionnelle dans
le domaine électrique et automatique .

On a eux ainsi eu l’occasion de mettre œuvre nos connaissances, et les confronter au


savoir faire des personnes qui m’entouraient.

De plus, le fait d’être intègre au sein d’une équipe, autorise les échanges d’idées, de
connaissances et d’expériences.

Dans ce milieu, l’écoute et le dialogue sont les maitres mots du progrès et du travail bien fait.

Nous avons également du nous adapter aux différentes règles à respecter,


notamment du point de vue sécurité.

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