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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET

POPULAIRE
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Scientifique

Université M’hamed Bougara


Boumerdes Faculté de
technologie

Compte rendu TP
Département : Génie Mécanique

Traitement de Signal

Présenté par :
 DAFAL Zine Eddine
 BOUALLOUL Houssem eddine

Groupe : M1/MI

Pr.DJEDID

Promotion 2020/2021

2
Sommaire  :

I. Introduction ………………………………………………………………… (2)

II. Définition……………………………………………………………………… (2)

III. L’utilisation de la bielle manivelle ………………………………………………………… (2)

IV. Rôle d’une bielle manivelle ………………………………………………………………… (3)

V. Les différents types des engrenages ………………………………………………… (3)

VI. Comment calculer le nombre de dents d'un engrenage ………………………………… (5)

VII. Perte de puissance dans la transmission par engrenage …………………………… (5)

VIII. Trains d’engrenages………………………………………………………………………………… (6/7/8/9)

I. Introduction :

2
La transformation du mouvement est une fonction mécanique complexe qui consiste à transmettre un
mouvement d'une pièce à une autre, tout en modifiant sa nature. Le type de mouvement change, soit d'un
mouvement de rotation à un mouvement de translation ou inversement.

Dans certains objets techniques, le mouvement d'une pièce provoque celui d'autres pièces. Toutefois, le type
de mouvement de l'organe moteur change lorsqu'il est transmis à l'organe récepteur. Ainsi, un mouvement
de translation de l'organe moteur peut provoquer un mouvement de rotation chez l'organe récepteur.
L'inverse est aussi possible. Parmi les systèmes de transformation du mouvement, on retrouve le système
bielle manivelle.

II. Définition de la bielle manivelle :

Le système à bielle et manivelle transforme un mouvement de rotation en mouvement de translation


alternatif (mouvement de va-et-vient rectiligne) et vice versa.

Dans ce système, la bielle est la tige rigide liée par une liaison pivot à ses deux extrémités alors que la partie
« manivelle » représente la pièce sur laquelle on peut appliquer un mouvement de rotation. Le contact entre
la bielle et la manivelle est essentiel afin que le mouvement puisse être transmis dans le système. Le
mouvement est généralement initié par la rotation de la manivelle qui transmet un mouvement de translation
alternatif à la bielle. Toutefois, la bielle peut aussi jouer le rôle d'organe moteur dans certains systèmes. Il
s'agit donc d'un système réversible puisque l'organe moteur peut être à la fois la bielle et la manivelle. 

Il est à noter que la bielle, parfois organe récepteur, peut aussi être un organe intermédiaire qui transmettra
le mouvement de translation à une autre pièce, par exemple à un piston. Dans un moteur à combustion, le
système à bielle et à manivelle occupe une place importante. Le piston est relié à la bielle qui elle est reliée à
la manivelle qui entraînera le vilebrequin. Ainsi, en remontant, le piston comprime le mélange de gaz dans
le cylindre.

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III. Exemples d’applications :

Quelques exemples de systèmes :

 Les moteurs à piston (la manivelle est alors réceptrice) : la source d'énergie vient de l'explosion
des gaz introduits dans la chambre et poussant le piston ;
 Les pompes hydrostatiques (la manivelle est alors motrice) : un couple moteur appliqué à la
manivelle anime l'ensemble, le piston propulse alors le fluide contenu dans la chambre ;
 Les mécanismes d'ouverture de certaines barrières automatiques (péages ou parking) : l'intérêt du
dispositif réside dans le fait que le moteur animant le mécanisme tourne dans le même sens pour
la levée ou la descente de la lisse, à l'instar des mécanismes d’essuie-glace. La manivelle
effectue exactement un demi-tour pour chaque mouvement ;
 Les automates ludiques des vitrines décorées des grand magasins : toutes les pièces animées d'un
mouvement alternatif sont entraînées par des moteurs électriques tournant en continu ; simplicité
et effet garanti.

IV. Avantages et inconvénients :

 Avantages : Ce type de mécanisme permet d'obtenir une oscillation de la grande roue à partir de la
rotation de la petite. L'oscillation varie selon l'endroit où est placée la manivelle.

2
 Inconvénients : Entretenir le mouvement de la petite roue à l'aide de la grande roue. Nécessite une
coordination de mouvement difficile à exécuter.

V. Cinématique :

Considérons :

 Le rayon de la manivelle r = OA,


 La longueur de la bielle l=AB ,
 La distance x = OB  entre le point O et la droite de déplacement du point B,
 L’angle de rotation θ = θ(t) = ωt dans le cas d'une rotation à vitesse constante.
 Le rapport bielle/rayon manivelle λ= l⁄r
Nous pouvons écrire les relations géométriques :
(1) OH=r.sin θ  (2) HA=r.cos θ  (3) HB = HO+OB = OB+HO = x-r.sin θ
Le théorème de Pythagore donne :  AB² = HB² + HA² soit (4) HB = √AB² − HA²

Nous devons distinguer deux cas : l'axe du piston peut-être concourant avec l'axe de manivelle, ou pas.

Calcul de la vitesse du piston.

V ( )   .r (sin 
 sin 2 ) [m/s]
2
 L ‘accélération du piston.

J ( )   ². r.(cos   . cos 2 )
2
[m2/s]

 Les forces exercées sur le piston:

Les forces totales agissent sur la tête de la


bielle.
Fs  Fg  Fj [N]

Avec Fg : la force de gaz et Fj : la force


d’inertie.
Fg  P . S
[N]

Ou S : la surface de la tête du piston


2
S  D
4 [m²]
 détermination de la force de pression des gaz:
Vx 
S .c [m3]
Où c: est la course du
piston.
c  r.(1  cos ) [m]

• Pour la phase d ‘admission:


Pg  Fg . S
[N]
• Pour la phase de
compression:

 Pc.(Vc)n1 
Pg S .
  [N]
(Va  (s . r (1  cos ))) 
n1

• Pour la phase de combustion:


Pg  Fg . S
[N]

• Pour la phase de détente:

2

Pg  S .  Pz . (Vz) n2 
(Vz  (s . r(1  cos )))n2 [N]
 

• Pour la phase d’échappement:


Pg  S . Pr
[N]
 Calcul la force d ‘inertie Pj:
Pj  mb . r . ² . (cos   . cos 2 )
[N]
Où mb: la masse de la bielle
mb  mgp  m j
mgp : masse de group piston.
mj : masse de la bielle participé au mouvement du piston.

En utilisant le principe fondamental de la dynamique, l’équation


classique obtenue pour les mouvements de rotation donne une relation

entre le couple moteur Cm et l'accélération angulaire du vilebrequin &


J& Cm  Cr (III.16)
Où Cr: représente le couple résistant du moteur (couple de frottements
plus couple de charge), et J le moment d'inertie de l'arbre moteur. On peut
également considérer un moment d'inertie dépendant de l'angle vilebrequin
et l'équation (III.16) devient alors : [2]

J ( )& Cm  Cr (III.17)
Avec le moment d'inertie
variable

( )  
J J 2M f1 ( )2 (III.18)
r eq eq

2

Jeq est le moment d'inertie équivalent des masses rotatives;
Meq la masse équivalente des masses alternatives;
r est le rayon du vilebrequin ;t

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