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LYCEE SECONDAIRE

SIJOUMI DEVOIR DE SYNTHESE N° 2

Sections : MATHEMATIQUES + TECHNIQUES Coefficient : 4


SCIENCES EXPERIMENTALES Coefficient : 4

EPREUVE : SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures

Proposé par : Mme Mermech


Mrs Mejri & Benaich Date : 07 / 03 / 2008

L’épreuve comporte deux exercices de chimie et trois exercices de physique répartis sur quatre
pages numérotées de 1/4 à 4/4 .
Chimie :  Exercice 1 : Exercice Physique :  Exercice 1 : Oscillations mécaniques libres .
documentaire .  Exercice 2 : Oscillations mécaniques forcées .
 Exercice 2 : Acide base .  Exercice 3 : Ondes progressives le long
d’une corde élastique .

« Les sources hydrothermales , rejettent des solutions de pH voisin de 3 , riches en sulfure


d’hydrogène H2S . Ces solutions sont le siège de l’équilibre symbolisé par l’équation suivante :

H 2S + H 2O HS- + H3O+
La circulation hydrothermale prend naissance dans le réseau de fissures qui se développe au cours
du refroidissement du magma . De l’eau s’infiltre alors par les fissures du plancher océanique et , au
contact de la lave en fusion , elle s’échauffe et se charge en sels métalliques qui précipitent dans
l’eau froide des grands fonds . C’est ce qui donne aux panaches des sources hydrothermales leur
couleur noire .
Lorsqu’il ne subit pas de dilution , le fluide émis est chaud ( 350° C ) , acide ( pH voisin de 3 )
et riche en composés sulfurés .
Lorsque le fluide est émis sans dilution préalable , les sulfures polymétalliques précipitent pour
former des édifices hydrothermaux lors du mélange avec l’eau de mer . Des cheminées se forment
par lesquelles de l’eau jaillit sous pression » .

1°) Préciser les couples acide/base mis en jeu au cours de la réaction du sulfure d’hydrogène avec
l’eau .
2°) Donner l’expression la constante d’équilibre relative à ce système . Donner son nom .
3°) Citer les conditions dans lesquelles précipitent les sulfures métalliques .

Les mesures sont faites à 25°C , température à laquelle le produit ionique de l’eau est Ke = 10-14 .
On considère deux solutions aqueuses (S1) et (S2) de deux monoacides A1H et A2H de
concentrations molaires C1 = C2 . La mesure du pH de ces deux solutions donne pH1 = 2
et pH2 = 3,4 .
1°) Comparer les forces des deux acides A1H et A2H . Justifier votre réponse .
page 1/4 Voir
Voir suite au verso 
2°) a) Déterminer la valeur du taux d’avancement final τf de la réaction d’ionisation de chacun des
-2 -1
deux acides dans l’eau , sachant que C1 = C2 = 10 mol.L .
b) Déduire que A2H est un acide faible .
3°) a) Dresser le tableau descriptif relatif à l’ionisation de A2H dans l’eau .
b) En précisant les approximations utilisées , montrer que l’expression du pH de la solution (S2)
s’écrit : pH2 = 1 ( pKa – logC2 ) .
2
c) Déduire la valeur pKa du couple acide/base auquel A2H appartient .
4°) On se propose de préparer à partir de (S2) , un volume V’2 = 100 mL d’une solution (S’2) de
concentration molaire C’2 = 4.10-4 mol.L-1 .
a) Déterminer la valeur du prélèvement V2 à effectuer à partir de (S2) pour préparer
les 100 mL de (S’2) .
b) On dispose du matériel suivant :
- Des fioles jaugées de 100 mL , des béchers et de l’eau distillée .
- Des pipettes jaugées de 1 mL , 2 mL , 10 mL , 20 mL et une pipette graduée de 5 mL .
Décrire le mode opératoire permettant d'effectuer cette dilution en choisissant la
verrerie la plus adéquate et qui nécessite le minimum d'opérations .
c) Déterminer la nouvelle valeur du pH’2 après cette dilution .

(R) (S) figure -1-


G
I/-Les frottements sont supposés négligeables .
r
Le pendule élastique représenté par la figure -1- i
x’ x
est constitué par : O
 Un ressort (R) à spires non jointives , d'axe horizontal , de masse négligeable et de raideur k .
 Un solide (S) , supposé ponctuel , de centre d'inertie G et de masse m .
Lorsque (S) est au repos , son centre d'inertie G occupe la position O origine d'un axe x'Ox
horizontal .
On écarte (S) de sa position d’équilibre O jusqu’au point d’abscisse x0 =-2 2 cm et on lui
communique une vitesse v0 à un instant qu’on prendra comme origine des dates .
A une date t quelconque , le centre d'inertie G de (S) a une élongation x et sa vitesse
instantanée est v .
1°) En utilisant la relation fondamentale de la dynamique , monter que le solide (S) est animé d’un
mouvement rectiligne sinusoïdal de période propre T0 dont on donnera l’expression en
fonction de m et k .
2°) a) Donner l’expression de l’énergie mécanique E du système { solide (S) , ressort (R) } lorsque
(S) passe par un point M quelconque d’abscisse x avec une vitesse v .
b) Déduire de 1°) que le système { solide (S) , ressort (R) } est conservatif .
3°) L’enregistrement graphique de ce x(10-2 m)
mouvement est représenté sur figure -2-
4
la figure – 2 - .
a) Déterminer à partir du graphe 0 t(s)
la figure – 2 -l’équation horaire -2 2
π
0,08π
du mouvement de (S) .
b) Déduire la valeur de la vitesse initiale vO ainsi que sa valeur maximale vm .
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EC(t) (10-3 J)
4°) La courbe de la figure – 3 - , représente
les variations de l 'énergie cinétique EC(t) 8
du solide (S) en fonction du temps . figure -3-
a) Etablir l’expression de l’énergie 4
cinétique EC en fonction du temps .
b) Montrer , en utilisant la courbe ci-contre , t
0
que k a pour valeur k = 10 N.m-1 .
Déduire alors la valeur de m .

II/-Les frottements ne sont plus négligeables


A l’aide d’un dispositif approprié , on soumet maintenant le solide (S) à des frottements visqueux
r r r
dont la résultante est f = -h. v où h est une constante positive et v la vitesse instantanée
du centre d'inertie G de (S) .
1°) a) En utilisant la relation fondamentale de la dynamique , établir l’équation différentielle
régissant le mouvement du solide (S) .
b) Déduire que l’énergie mécanique E du système { solide (S) , ressort (R) } n’est pas
conservée au cours du temps .
2°) L’enregistrement des différentes positions de G au cours du temps donne la courbe de
la figure – 4 - .

figure -4-

Déterminer la perte d’énergie entre les instants t1 = 0s et t2 = 2T .


( T étant la pseudopériode ) .

Un oscillateur est formé d’un ressort (R) de constante de raideur k et d’un solide (S) de masse
m = 50 g . Le solide (S) est soumis à l’action de forces de frottement visqueux dont la résultante
r r
est de la forme f =-h. v où h est une constante positive et à l’action d’une force excitatrice de
r r
la forme F = Fmax sin(ω ω.t). i exercée à l’aide d’un dispositif approprié .
dx d2 x
Ainsi , à tout instant t, l’élongation x de G , sa dérivée première et sa dérivée seconde
dt dt 2
vérifient la relation :
dx d2 x
kx + h + m 2 = Fmax sin (ω.t) dont la solution est x(t) = xm sin(ωt + ϕx) .
dt dt
Page 3/4 Voir suite au verso 
Les fonctions x(t) et F(t) sont représentées sur le diagramme de la figure – 5 - .
x(t) en m
F(t) en N F(t) x(t)
1°) a) A partir des diagrammes de la figure – 5 -, 3
déterminer les expressions de x(t) et de F(t) .
b) Préciser en le justifiant s’il existe des t en s
0
valeurs de la pulsation ω de la force
-1,5.10-2
excitatrice pour lesquelles le déphasage
-3.10-2 π
de x(t) par rapport à F(t) change de signe . seconde
35
figure -5-
c) Faire la construction de Fresnel , et en déduire les valeurs de h et de k .
2°) a) Donner l’expression de l’amplitude xm en fonction de Fm , h , ω , k et m .
En déduire l’expression de l’amplitude vm de la vitesse instantanée en fonction des mêmes
données .
Fm
b) Déterminer le rapport en fonction de h , ω , k et m . Déduire , à l’aide de l’analogie
vm
mécanique - électrique que l’on précisera , l’expression correspondant à ce rapport en
électricité et en donner la signification physique .

Une corde élastique , tendue horizontalement , est attachée en A au bout d’une lame vibrante
qui lui communique à partir de l’instant t = 0 s un ébranlement sinusoïdal de fréquence N .
y ( t )(10 -3 m )
M1
Le digramme de la figure 6 représente
2
le mouvement d’un point M1 situé à un t(10-3s)
distance x1 = 7,5 cm de O . 0
2,5
1°) Soit AB la partie tendue -2
horizontalement de la corde de
longueur AB = ℓ = 45 cm . figure -6-
a) Préciser , en le justifiant , la nature ( longitudinale ou transversale ) de l’onde ainsi obtenue .
b) Proposer un moyen permettant d’éviter la réflexion de l’onde .
2°) A partir du diagramme de la figure 6 :
a) Déterminer fréquence N de la lame vibrante .
b) Montrer que la célérité v de propagation de l’onde issue de A est égale à 10 m.s-1 .
c) Calculer la valeur de la longueur d’onde λ .
3°) a) Etablir l’équation horaire du mouvement du point M1 .
b) Déduire que la phase initiale de la source est ϕA = π rad .
4°) Représenter l’aspect de la corde à l’instant de date t1 = 2,25.10-2 s .
5°) La corde est éclairée par une lumière stroboscopique de fréquence Ne réglable .
Décrire ce que l’on observe lorsque Ne prend les valeurs :
 Ne = 25 Hz .
 Ne = 51 Hz .

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Correction du devoir de synthèse N°2

1°) Les deux couples acide/base sont H2S/HS- et H3O+/H2O

[HS - ].[H3 O + ]
2°) Ka = : constante d’acidité .
[H2 S]

3°) Les sulfures précipitent lorsque le fluide est émis dilution préalable .

1°) C1 = C2 et pH1 < pH2 ⇒ A1H acide plus fort que A2H
-3,4
y f1 [H3 O + ]1 10 -2 y f2 [H3 O + ]2 10
2°) a) τf1 = = = soit τf1 = De même , τf1 = = = = 10-1,4 soit τf2 = 3.98.10-2
C1 C1 10 -2 C2 C2 10 -2

b) τf2 < 1 ⇒ A2H acide faible

3°) a) Equation de la réaction A2H + H2O A2- + H3O+


Etat du
Avancement Concentrations (mol.L-1)
système
pKe
-
Initial 0 C2 en excès 0 2
10
-pH
Final yf C2 - yf en excès yf 10

b) On néglige les ions provenant de l’ionisation propre de l’eau ⇒ [H3O+] = yf .


[A2- ].[H3 O + ] [H3 O + ] 2 [H3 O + ] 2
Ka = = = et τf2 = 3.98.10-2 < 5.10-2 ⇒ τf2 << 1 ( acide faiblement ionisé)
[A2H] C2 - y f C2 .(1 - τ f2 )
[H3 O + ] 2 1
Donc , Ka= ⇒ logKa = 2.log[H3O+] – logC2 . Soit pH2 = ( pKa – logC2 )
C2 2
1
c) On pH2 = ( pKa – logC2 ) ⇒ pKa = 2.pH2 + logC2 soit pKa = 4,8
2
ajout d’eau
4°) a) (S2) C2 (S’2) C’2
V2 V’2
C'2
Les deux solutions contiennent le même nombre de moles⇒ C2.V2 = C2.V’2 ⇒ V2 = V’2 soit V2 = 4 mL
C2
b) A l’aide de la pipette graduée de 5mL , on prélève 4 mL de (S1) qu’on introduit dans la fiole jaugée de
100 mL , puis on complète avec de l’eau distillée jusqu’au trait de jauge . Enfin , on agite la solution .
1
c) pH’2 = ( pKa – logC’2 ) soit pH’2 = 4,1
2

r r r r
I/-1°) R.F.D. : P + R + T = m. a
d2x d2x k
Sur (x’x) : -kx = m 2
⇒ 2
+ x=0
dt dt m

k k d2x
Posons ω02 = ⇒ ω0= . L’éq. précédente devient + ω02 .x = 0
m m dt 2
C’est une éq. diff. qui admet comme solution x(t) = xm.sin( ω0t + ϕx)
2π m
(S) est donc animé d’un mouvement rectiligne sinusoïdal de période propre T0 = ⇒ T0 = 2π
ω0 k
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1 2 1 2
2°) a) E = kx + mv
2 2
2 2
dE 1 1 d x d x
b) = k.2x.v + m.2v 2 + 0 = v.( k.x + m. 2 ) = 0 ⇒ E = cste
dt 2 2 dt dt

0 d’après 1°)
2.π 2. π
3°) a) T0 = 0,08 πs et ω0 = = = 25 rad.s-1 . xm = 4.10-2 m .
T0 0,08π
2 π
x = – 2 2 .10 4.10-2.sinϕx = – 2 2 ..10-2 sinϕx = – = sin(– ) π
At=0 ⇒ ⇒ 2 4 ⇒ ϕx = – rad
4
v>0 ω0.xm.cosϕx > 0 cosϕx > 0
π
Donc , x(t) = 4.10-2.sin(25t – ) (m)
4
π
b) v(t) = cos(25t – ) (m.s-1)
4
π
Donc , v0 = v(t=0) = cos(– ) soit v0 = 0,71 m.s-1 et vm = 1 m.s-1
4
1 1 k
4°) a) EC = mv2 avec v(t) = ω0.xm. cos(ω0t + ϕx) ⇒ EC(t) = m.xm2.ω02.cos2(ω0t + ϕx) avec ω02 =
2 2 m
1 1 1 + cos(2X)
⇒ EC(t) = k.xm2.cos2(ω0t + ϕx) = k.xm2[ 1 + cos(2.ω0t + 2ϕx) ] ( cos2X = )
2 4 2
1 2.EC max 2 × 8.10 -3
b) ECmax = k.xm2 ⇒ k = 2
A.N. : k = soit k = 10 N.m-1
2 xmax 16.10 -4
-3
1 2.EC max 2 × 8.10
ECmax = mvmax2 ⇒ m = 2
A.N. : m = soit m = 0,016 kg
2 v max 1
k k 10
Ou encore , ω02 = ⇒ m = 2 m.ω02 A.N. : m = soit m = 0,016 kg
m ω0 25 2
r r r r r
II/-1°) a) R.F.D. : P + R + T + f = m. a

dx d2 x
Sur (x’x) : kx + h +m 2 =0
dt dt
2
dE d x
b) = v.( k.x + m. 2 ) = -hv2 ≤ 0 ⇒ E décroît au cours du temps
dt dt

-hv d’après 1°) a)


2°) A t1 = 0 , x = x1m = 4.10-2 m et v = 0 et à t2 = 2T , x = x2m = 1,6.10-2 m et v = 0
1
Donc , ∆E = k.( x2m2 – x1m2 ) soit ∆E = -6,72.10-3 J
2


1°) a) Fm = 3 N et ω = = 70 rad.s-1 soit F(t) = 3.sin( 70t ) (N)
π
35
2π.Δt 2πx1 π
xm = 3.10 m et ∆ϕ =
-2
= = rad
T 12 6
π π π
x(t) est en retard de phase par rapport à F(t) ⇒ ϕx = ϕF - = 0 - = - rad
6 6 6
π
Soit x(t) = 3.10-2.sin( 70t- ) (m)
6
b) Non , car x(t) est toujours en retard de phase par rapport à F(t) .

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axe origine des phases

π h.ω.x m Fm π
c) sin = ⇒h= sin = 0,71 kg.s-1 m.ω2.xm
6 Fm ω.xm 6
2 Fm
π (k - m.ω ).xm Fm π h.ω.xm
cos = ⇒ k= cos + m.ω2 =331,6 N.m-1 π
6 Fm xm 6
6
k.xm
Fm
2°) a) xm =
h .ω + (k - m.ω 2 ) 2
2 2

Fm
vm = ω.xm soit vm =
k
h2 + ( - m.ω) 2
ω

Fm k 1
b) = h2 + ( - m.ω) 2 Fm ↔ Um ; Vm ↔ Im ; h ↔ R + r ; k ↔ et m ↔ L
Vm ω C

Fm Um
D’où , ↔ = (R + r) 2 + ( 1 - L.ω) 2 = Z : impédance électrique
Vm Im C.ω

1°) a) La direction de l’élongation d’un point M de la corde est perpendiculaire à la direction de propagation
⇒ onde transversale

b) Pour éviter la réflexion , on place un morceau de coton en B

1
2°) a) T = 4x2,5.10-3s = 10-2s et N = soit N = 100 Hz
T
3 x1
b) D’après la courbe , θ1 = T = 7,5.10-3s et v = soit v = 10 m.s-1
4 θ1

c) λ = v.T soit λ = 0,1 m = 10 cm

2.π
3°) a) Posons , yM1(t) = a.sin( t + ϕM1)
T
2.π π
D’après la courbe , à t = T , yM1 = -a ⇒ a.sin( T + ϕM1) = -a ⇒ sin(ϕM1) = -1 ⇒ ϕM1 = - rad
T 2
2.π π 3
Donc , yM1(t) = a.sin( t - ) ; t ≥ θ1 = T
T 2 4
π 3
yM1(t) = 2.10-3.sin(200.π.t - ) (m) pour t ≥ T=7,5.10-3 s
Soit 2 4
3
yM1 (t) = 0 pour t ≤ T=7,5.10-3 s
4

3
b) D’après le principe de propagation , yA(t) = yM1( t + θ1 ) avec θ1 = T
4
2.π 3 π 2.π 2.π 3 π
⇒ yA(t) = a.sin[ ( t+ T) - )] = a.sin( t+ T- )
T 4 2 T T 4 2
2.π
⇒ yA(t) a.sin( t + π ) ; t ≥ 0 s . Soit ϕA = π rad
T

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2.π 2.π.x
4°) On a déjà que yM(t) = a.sin( t- + π)
T λ
2.π.x 2.π
ou encore yt(x) = a.sin( - t);x≤d
λ T

2.π.x 2.π
Donc , yt1(x) = a.sin( - t1 ) ; x ≤ d1
λ T
-2
d1 t 1 2,25.10 45
Or = = = 2,25 et l = = 4,5 .
λ T 10 -2 λ 10
π
yt1(x) = 2.10-3.sin(250.π.x- ) ; x ≤ 4,5.λ
D’où , 2
y ( x ) = 0 pour 2,25.λ ≤ x ≤ 4,5.λ
t1

yt1(x) ( 10-3 m )

2,25λ
0 x
λ 2λ 3λ 4λ 4,5λ

-2

5°) N = 100 Hz .
 Ne = 25 Hz :
Te N 100
= = = 4 ⇒ Te = 4.T ⇒ immobilité apparente de la corde
T N e 25
 Ne = 51 Hz :
Te N 100
= = = 1,02 ⇒ Te = 1,96.T
T N e 51

⇒ Te légèrement < 2.T ⇒ m.v.t. apparent lent dans le sens contraire du sens réel (BA)

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