Sie sind auf Seite 1von 18

Procédure pénale en Floride

1. La procédure pénale de FL est divisée en 5 parties


un. Détention provisoire
b. Libération préalable au procès
c. Pré-procès (déplacement de l'affaire)
d. Essai, ET
e. Après le procès

2. Grand aperçu :
un. Le domaine principal n°1 est la garde à vue et la libération avant le procès
je. La détention provisoire et la libération impliquent :
1. Avis à comparaître
2. Première apparition
3. Détermination des causes probables ET
4. Une audience préliminaire contradictoire du CP
b. Le domaine principal n°2 est le « déplacement de l'affaire » avant le procès.
je. Problèmes impliqués dans la progression de l’affaire VERS LE PROCÈS , tels que :
1. Les documents de facturation
2. Jonction et séparation des infractions et des défendeurs
3. Motions pour
un. Un procès rapide [Important]
b. Changement de lieu ET
c. Disqualification ET
d. Découverte [Important]
ii. ET les questions liées à la résolution de l'affaire AUTRE QUE LE PROCÈS , telles que :
1. Négociation de plaidoyer
2. Mises en accusation
3. Procédure de plaidoyer ET
4. Mouvements
un. De rejeter
b. Supprimer
c. Incompétence pour procéder
d. Pour les continuations
c. La zone majeure n°3 est l'essai qui comprend :
je. Voir-dire, c'est-à-dire sélection du jury
ii. Plaidoiries finales ET
iii. Le processus de délibération des jurés
d. La zone principale n°4 est post-procès (qui ne se produit que si le D est reconnu coupable) et
comprend :
je. Appel
ii. Libération après condamnation ET
iii. Motions pour
1. Un nouveau procès
2. Une arrestation du jugement ET
3. Motion pour annuler, annuler ou corriger un verdict
iv. Détermination de la peine

3. Catégories d'infractions
un. Crime
je. Incarcération potentielle – plus d’un an
ii. Peine purgée – généralement dans un établissement correctionnel d’État (prison)
b. Délit
je. Incarcération potentielle – jusqu’à un an
ii. Peine purgée – généralement dans un établissement correctionnel du comté (prison)
c. Violations non pénales qui ne sont pas considérées comme des crimes et sont UNIQUEMENT
punissables par une amende, une confiscation ou une autre sanction civile.
d. Infractions au code de la route qui ne sont pas non plus considérées comme des délits
je. MAIS certaines infractions, comme la DUI, sont des infractions pénales au code de la route et
sont classées comme des délits ou des crimes.
4. Compétence des tribunaux
un. Pyramide judiciaire de Floride
je. Cour suprême de Floride
ii. DCA
b. Les tribunaux de première instance
je. Circuit pour les cas les plus graves ET
ii. Tribunal départemental pour les cas les moins graves
c. La compétence du tribunal de première instance est divisée entre le tribunal de circuit et le tribunal de
comté.
je. En Floride. La compétence des tribunaux de circuit est limitée (20 circuits en Floride) aux
affaires impliquant :
1. Tous les délits
2. Délits qui ont été joints pour jugement à un ou plusieurs crimes
3. Affaires juvéniles ET
4. Brefs, par exemple brefs d'interdiction, mandamus ou certiorari
ii. En Floride. Le tribunal de comté a compétence sur toute affaire qui ne relève pas de la
compétence de la cour de circuit , c'est-à-dire que le tribunal de comté a compétence sur :
1. Délits, à l'exception de ceux joints au procès avec un ou plusieurs crimes ( supra ).
2. Violations d’une ordonnance du comté ou d’une municipalité ET
3. Procédure de première comparution
d. Les procureurs chargent une affaire, présentent des requêtes, négocient des plaidoyers et, si nécessaire,
jugent l'affaire (~ 5 %)

5. Droit à l'assistance d'un avocat


un. Le droit à l’assistance d’un avocat existe dans la PLUPART, MAIS pas dans toutes les poursuites.
bie, si vous pouvez vous permettre un avocat, vous avez le droit que cet avocat soit présent à tout moment.
CEPENDANT , les D indigents (et partiellement indigents) ont droit à un avocat commis d’office dans les
cas suivants :
je. Crimes
ii. Délits ou violations des ordonnances de la ville et du comté passibles d'incarcération
iii. Affaires juvéniles ET
iv. Dans le premier appel direct de l'un des éléments ci-dessus
c. CEPENDANT, aucun avocat n'est requis pour un indigent D accusé d' un délit ou d'une violation d'une
ordonnance passible d'incarcération OU dans une affaire de mineur, SI un juge ordonne, par écrit,
qu'AUCUNE incarcération n'entraînera
je. MAIS un avocat est toujours fourni pour un indigent D dans les affaires criminelles
d. Même si un accusé peut avoir droit à l'assistance d'un avocat, il n'est pas tenu d'avoir un avocat, c'est-à-
dire que le D peut renoncer à l'assistance d'un avocat.
je. Conditions requises pour une renonciation valide à l’assistance d’un avocat :
1. La renonciation doit être consciente, intelligente et volontaire , c'est-à-dire que le D
doit comprendre quels droits il perdra en renonçant à un avocat.
un. Les facteurs pris en compte par le tribunal pour déterminer si la renonciation
est consciente, volontaire et intelligente sont : l'éducation du D, son expérience
judiciaire antérieure, la nature et la complexité de l'affaire, son âge, son état
mental et tout autre facteur pertinent.
ii. Plaider coupable ne constitue pas une renonciation suffisante
iii. Si la renonciation du D est faite hors tribunal , la renonciation doit être :
1. Par écrit ET
2.2 Les témoins doivent déclarer devant le tribunal que la renonciation était volontaire
iv. Le juge a le devoir, à chaque étape ultérieure de l'affaire, de rappeler à l'accusé la possibilité
d'être accompagné d'un avocat.
v. La D n'a PAS le droit absolu de faire valoir son propre appel.
6. Problèmes de garde et de mise en liberté avant le procès
un. Aperçu : la « garde » est définie comme le maintien de l'accusé en prison ou l'imposition de restrictions
(par exemple, prison, assignation à résidence, tests de dépistage de drogues, ordonnances d'éloignement,
etc.) à la liberté de l'accusé.
b. Les raisons justifiant le maintien de Ds en prison en attendant son procès comprennent :
je. Cela MINIMISE leur menace pour la société
ii. Cela MINIMISE leur menace pour le processus judiciaire, c'est-à-dire les menaces contre les
juges, les procureurs, etc. ET
iii. Il EMPÊCHE le D de fonctionner
c. Le retour d'un accusé au tribunal pour sa première comparution est assuré par :
je. Un juge délivrant un mandat d’arrêt ou un mandat d’arrêt OU
ii. Le bureau du greffier délivre une assignation pour violations délictuelles OU
iii. Un policier délivre une convocation. c'est-à-dire ce qu'on appelle une « arrestation sur
papier » :
1. Une convocation est :
un. Une promesse signée par un accusé de revenir au tribunal
b. Il n'est disponible que pour les délits et les violations des ordonnances
je. Et ne peut être délivré que si le D s'avère fiable pour apparaître
d. AD sera jugé peu fiable si :
je. L'accusé refuse de signer l'avis, de s'identifier ou de fournir les
renseignements requis OU
ii. L’accusé présente un risque déraisonnable de blessures corporelles
pour lui-même ou pour autrui OU
iii. L'accusé n'a aucun lien avec la juridiction ou est peu susceptible de
répondre à un avis OU
iv. L'agent soupçonne que l'accusé pourrait être recherché OU
v. Il semble que l'accusé ait violé un avis, une assignation ou une
condition de mise en liberté dans le passé.
2. Si l'agent ne délivre pas d'avis de comparution, l'accusé est amené au commissariat
pour être réservé.
un. Ici, l'accusé a une seconde chance d'être libéré avec convocation par l'agent
de réservation, s'il estime, après une enquête raisonnable, que le D est fiable.
d. Qui a le droit de libérer ?
je. TOUT accusé en détention a présumément droit à sa libération à des CONDITIONS
RAISONNABLES.
1. SAUF SI :
un. L'accusé est accusé de crimes passibles de la peine capitale ET
b. « La preuve de culpabilité est évidente ou la présomption de culpabilité est
grande » – preuve par affidavit, etc.
2. Le juge doit prendre en compte les facteurs suivants pour assurer la comparution
du D (les règles en matière de preuve ne s'appliquent pas)
un. La nature et les circonstances de l'infraction
b. Le poids de la preuve
c. Historique d'emploi du D
d. Les ressources financières du D
e. Le caractère et l'état mental des D
F. La durée de résidence du D dans la communauté
g. Le dossier des condamnations du D
h. Le dossier de comparution du D lors des procédures judiciaires requises
je. Risque de fuite
j. Si le D présente un danger pour la communauté s'il est libéré
k. Que le D soit en liberté conditionnelle ou en probation
3. Un accusé qui omet sciemment de comparaître et qui se rend volontairement par la
suite n'est PAS admissible à la libération sur son propre engagement.
4. Une personne qui ne se présente pas sciemment et qui est ensuite arrêtée après la
confiscation de la caution n'est pas éligible à une autre caution , À MOINS que la caution
soit d'au moins 2 000 $ ou 2 fois la valeur de la caution initiale, selon la valeur la plus
élevée.

- SORTIE PRÉ-ESSAI
o Peut examiner les condamnations, pas les dossiers d'arrestations

7. Conditions possibles de mise en liberté provisoire qui doivent être raisonnables à la lumière du crime et des
circonstances
un. Avant le procès, le D peut être :
je. Libéré sous engagement personnel (se produit environ 50 % du temps)
ii. Libéré lors de l'exécution d'une caution d'apparence non garantie
iii. Placé sous la garde d’une personne ou d’un organisme désigné qui s’engage à le superviser
iv. Le tribunal peut imposer des restrictions au travail, au couvre-feu, aux déplacements, à
l'association (cas domestiques = ordonnance de séjour) au jour du jour.
v. Le D peut être libéré lors de l'exécution d'une caution avec cautions
vi. Le D peut être libéré moyennant le dépôt d’une caution en espèces auprès du tribunal OU
vii. Le tribunal peut imposer toute autre condition raisonnable
b. La première comparution est une audience administrative, ce n'est PAS la mise en accusation
je. La première comparution est une audience d'information au profit des D.
ii. Toute personne arrêtée DOIT être présentée devant un huissier de justice en personne ou par un
appareil audiovisuel électronique dans les 24 heures suivant son arrestation , SAUF si elle a été
préalablement libérée de manière légale.
1. Le non-respect du délai de 24 heures donne droit à la libération, mais n'empêche PAS
le D d'être poursuivi ni n'affecte l'admissibilité de bons aveux.
iii. Lors de la première comparution :
1. Le D est nommé Conseil ET
2. Le D reçoit un CONSEIL du juge , c'est-à-dire :
un. L'accusé est informé des accusations
b. L'accusé est informé de son droit à l'assistance d'un avocat
c. L'accusé est informé de son droit de communiquer avec son avocat actuel
d. L'accusé est informé de son droit de communiquer avec sa famille/amis
e. L'accusé est informé du droit de garder le silence
3. Le juge détermine si le D sera libéré
4. GÉNÉRALEMENT, une détermination de cause probable a lieu lors de la
première comparution.
un. CEPENDANT, une détermination de cause probable doit avoir lieu si tous
les documents nécessaires sont remplis ( infra ).
c. La détermination non contradictoire d’une cause probable (CP) n’est pas une audience de cause
probable
je. Il s’agit essentiellement d’une condition préalable au maintien en détention d’un accusé arrêté
sans mandat d’arrêt valide . Si aucun PJ n'est trouvé pour garder le D en détention, le D est
libéré.
ii. Horaire
1. Si le D est en GARDE À GARDE, le D a droit à une détermination judiciaire de PC
dans les 48 heures suivant son arrestation.
2. CEPENDANT, le procureur peut demander 2 prolongations de 24 heures de la règle
des 48 heures sur présentation d'un motif valable. Par conséquent, le Procureur dispose
d’une limite totale de 96 heures pour conserver le D avant qu’une décision PC ne soit
requise.
iii. La détermination du PC est effectuée par un magistrat sur la base de tous les documents
disponibles, c'est-à-dire le rapport de police, etc.
iv. Si le D a été libéré avec des restrictions importantes à sa liberté, une procédure
légèrement différente s'applique. Dans ce cas:
1. Le D doit demander une décision de PC par requête dans les 21 jours suivant
l'arrestation.
2. Si le tribunal estime que les restrictions sont importantes, il rendra une décision PC ET
3. Le tribunal doit rendre la décision PC dans les 7 jours suivant la requête.

- DÉTERMINATION DU PC : Si Δ est arrêté en vertu d'un mandat valide, il n'a PAS DROIT À UN
d. L' audience préliminaire contradictoire du PC est une seconde chance pour une détermination du PC
accordée à un Felony D qui a été arrêté sans mandat d'arrêt valide et qui est généralement détenu par
le gouvernement et qui n'a pas fait l'objet d'accusations formelles contre lui dans les 21 jours suivant
son arrestation.
je. L’audience préliminaire contradictoire du CP est une audience complète au cours de
laquelle :
un. Les W comparaissent et sont soumis à un interrogatoire direct, à un contre-
interrogatoire, à des objections et le D a droit à l'assistance d'un avocat.
b. L'audition du PC est généralement à l'avantage du D car elle produit de la
DÉCOUVERTE.
ii. Conséquences de l'audience du PC
1. Si le PC n'est pas retrouvé, le D est libéré, mais l'affaire peut continuer car la décision
du PC et l'audience du PC déterminent uniquement s'il y a un PC pour garder le D en
détention et non s'il y a un PC pour poursuivre l'enquête. cas
2. Si le PC est trouvé, il n'y a aucun changement dans le statut de contention ou de garde.
3. CEPENDANT, si l'État ne parvient pas à inculper officiellement le D dans les 33
jours APRÈS son ARRESTATION, la libération du D est OBLIGATOIRE.
un. MAIS, l'État peut demander 7 jours supplémentaires sur présentation d'un
motif valable.
b. Il y a donc une limite de 40 jours, mais les juges ont accordé un peu plus de
temps, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une norme flexible.

8. La détention provisoire a parfois lieu en même temps que la première comparution


un. La détention provisoire est une catégorie spéciale pour maintenir enfermée les personnes
dangereuses , c'est-à-dire les D accusés de crimes graves tels que :
je. Vol
ii. Batterie sexuelle
iii. Piraterie aérienne
iv. Enlèvement
b. AD accusé de ce qui précède peut être détenu pendant un maximum de 90 jours sur requête de
l'État et audition des preuves démontrant :
je. Le D a déjà violé les conditions de sa mise en liberté
ii. Le D a menacé, intimidé ou blessé une victime, un W potentiel, un juré ou un huissier de justice
iii. Le D est accusé de trafic de substance contrôlée et il est probable que le D ait commis
l'infraction.
iv. Le D est une menace de préjudice pour la communauté
v. Le D est accusé d'homicide involontaire avec conduite en état d'ébriété et il est probable qu'il ait
commis l'infraction et porté préjudice à la communauté.
1. Par exemple, le D conduisait avec un permis suspendu lorsque l'infraction a été
commise
vi. Le D était en probation, en libération conditionnelle ou en toute autre liberté en attendant
l'achèvement de sa peine pour un crime dangereux au moment de l'infraction en cours OU
vii. Le D a violé une ou plusieurs conditions de sa mise en liberté provisoire ou de sa caution pour
l'infraction reprochée et il appuie la conclusion selon laquelle aucune condition de mise en liberté
ne protégera la communauté du risque de préjudice pour assurer sa présence au procès.

9. Procédures préalables au procès , c'est-à-dire propulser l'affaire vers le procès


un. L'infraction reprochée dans l' instrument d'accusation doit être indiquée avec suffisamment de
précision pour informer le défendeur de la nature de l'infraction reprochée.
je. Une particularité est requise afin de garantir une procédure régulière D en fournissant un AVIS
raisonnable.
ii. Il existe trois types d'instruments de recharge :
1. Actes d'accusation , c'est-à-dire les instruments d'accusation rendus par un grand jury
qui décide s'il y a ou non un PC pour poursuivre l'affaire ET
un. Des actes d'accusation sont requis pour les crimes capitaux, c'est-à-dire les
crimes passibles de la peine de mort – meurtre au 1er degré
je . CEPENDANT, en Floride, tout crime peut être imputé à GJ et
inculpé d'un acte d'accusation MAIS le GJ peut refuser d'inculper le D.
2. Une dénonciation déposée par le procureur ET
3. Les inscriptions au dossier, les affidavits ou les avis de comparution sont
généralement utilisés dans les affaires des tribunaux de comté pour des délits mineurs tels
que les délits et les violations des ordonnances.
iii. Formalités de l'instrument de facturation, c'est-à-dire que l'instrument de facturation
doit indiquer : [NICE SANTA]
1. Le nom de l'accusé, ou le pseudonyme, ou le prénom si le nom de famille est inconnu
2. [ L'intention de frauder peut être invoquée en termes généraux]
3. Une légende , c'est-à-dire les noms du tribunal et des parties
4. Un endossement ou une signature (l'acte d'accusation doit être signé par le président
et visé par le procureur)
5. Signature et serment , c'est-à-dire que le procureur de l'État doit signer l'information
et, dans les cas de crime, jurer que le témoignage a été donné
6. Autorité , c'est-à-dire que l'instrument doit indiquer sous les auspices de qui l'acte
d'accusation ou l'information doit être déposé, par exemple « sous l'État de Floride, ville
X ».
7. Nature de l'infraction et exposé des faits essentiels
un. Remarque : La déclaration ne peut pas être modifiée pour un procès en
raison de l'exigence constitutionnelle de préavis.
8. L' heure et le lieu où l'infraction a eu lieu , c'est-à-dire où et quand l'infraction s'est
produite avec autant de précision que possible ET
9. Une allégation de faits qui doit être répétée pour CHAQUE CHEF, c'est-à-dire « voir
ci-dessus » n'est PAS BON

iv. Le D peut élever les 3 Défenses suivantes aux instruments de charge


1. Le D peut :
un. Alléguer que l'information ou l'acte d'accusation est défectueux , par
exemple, le D peut faire valoir que l'instrument est trop vague ou qu'il induit en
erreur ou gêne la défense
b. Requête pour une déclaration sur les détails , c'est-à-dire que le D allègue
que l'instrument ne fournit pas un préavis suffisant, par exemple, le D veut
connaître le lieu, la date et la nature de l'infraction OU
c. Demandez une copie anticipée de l’information ou de l’acte d’accusation 24
heures avant de plaider.
je. CEPENDANT, si le D ne reçoit pas la copie préalable et qu'il plaide
quand même, sa requête est annulée.

b. Jonction et séparation des infractions et des défendeurs


je. Jonction des infractions
1. Test de jonction des infractions :
un. Des actes connectés peuvent être joints sous forme de chefs d’accusation
différents dans le même acte d’accusation ou la même information.
b. Les actes sont liés et la jonction est appropriée sur la base de 2 théories :
je. La théorie de la Spree, c'est-à-dire que les actes faisaient partie d'une
vague de crimes OU
ii. La théorie du lien de causalité, c'est-à-dire que le D a commis le
crime A afin de commettre le crime B.
ii. Jointure des défendeurs
1. Le test de jonction des défendeurs est autorisé si :
un. Chaque D est facturé dans chaque chef d'accusation OU
b. Chaque D est accusé de complot PLUS certains des D sont accusés de crimes
importants OU
c. Les infractions font toutes partie d’un projet ou d’un plan commun
je. Un schéma ou un plan commun est le moyen le plus simple de
rejoindre Ds.
iii. Regroupement des infractions connexes , c'est-à-dire joindre, avant le procès, les infractions
qui auraient pu être initialement jointes dans l'acte d'accusation ou la dénonciation.
1. Le critère de jonction des infractions susmentionné s’applique
iv. Dissolution des infractions
1. Le D a droit à la séparation de 2 accusations ou plus qui ont été incorrectement
facturées ensemble.
2. CEPENDANT, si les accusations sont correctement jointes, la séparation ne peut
avoir lieu AVANT LE PROCÈS que si :
un. La séparation des infractions est « appropriée pour promouvoir des
procédures équitables »
par exemple, si le D utilise deux défenses incohérentes pour les 2
accusations et qu'il serait injustement préjudiciable pour le jury
d'entendre les deux défenses
3. La séparation peut survenir PENDANT LE PROCÈS seulement si :
un. La séparation des infractions est « nécessaire pour promouvoir des
procédures équitables »
je. CEPENDANT, le procureur doit obtenir le consentement du D pour
décider de séparer les infractions au cours du procès.
v. Séparation des défendeurs
1. Est autorisé AVANT L’ESSAI si :
un. La séparation des D est « appropriée pour promouvoir une procédure
équitable » OU
b. Il est « nécessaire de protéger les droits du D à un procès rapide »
2. Est autorisé PENDANT L’ESSAI seulement si :
un. La séparation des D est « nécessaire pour promouvoir des procédures
équitables »
je. CEPENDANT, le procureur doit obtenir le consentement du D afin
de séparer les accusés pendant le procès.
vi. Bruton Des problèmes surviennent lorsqu'un co-D avoue et implique un autre co-accusé et la
question devient de savoir si les co-accusés doivent être séparés.
1. Question relative à la preuve : les aveux d'un co-conspirateur ne constituent pas une
déclaration de co-conspirateur car ils n'ont pas été faits dans le cadre d'un complot MAIS
le procureur a besoin de cette déclaration.
2. L’État dispose donc de 3 options :
un. L’État peut omettre complètement les aveux OU
b. Coupez les D et la déclaration sera considérée comme un aveu contre la
personne qui l'a faite OU
c. Supprimer les références préjudiciables de la confession entachée
je. LE TRIBUNAL PEUT TOUJOURS ACCORDER UNE REQUÊTE
EN RUPTURE SI LA DÉCLARATION RÉDUITE SERA
PRÉJUDICIAIRE AU MOUVANT
- DÉPART
o Aucune limite de temps
o Même si l'État accepte de supprimer les références au mobile, le tribunal peut toujours refuser s'il y a
préjudice

c. Requêtes préalables au procès


je. Formalités des requêtes préalables au procès
1. La Partie doit motiver sa motion ET
2. La motion doit être écrite et signée par l'auteur de la motion.
ii. Toutes les défenses juridiques doivent être soulevées dans le cadre d'une requête en rejet.
1. La requête en rejet doit être déposée avant la mise en accusation, SAUF si le tribunal
accorde un délai supplémentaire.
un. CEPENDANT , la requête en rejet peut être déposée à tout moment si :
je. Le D a été gracié pour l’infraction reprochée OU
ii. Le D a déjà été mis en danger pour la même infraction OU
iii. Le D avait bénéficié de l’immunité OU
iv. Les faits contestés ne constituent pas une preuve prima facie de
culpabilité
2. Toute défense qui n'est pas soulevée en temps opportun par une requête en rejet est
RENONCÉE.
un. SAUF si l'objection porte sur la compétence du tribunal ou est fondée sur
des « motifs fondamentaux » qui peuvent être soulevés à tout moment
je. Déclarer la loi nulle pour imprécision

iii. Requête pour un procès rapide , c'est-à-dire que l'accusé a un droit statutaire et un droit
constitutionnel à un procès rapide.
1. Si D demande un procès rapide, il est présumé que :
un. Le D est prêt à être testé dans les 5 jours ET
b. Que le D a enquêté sur l'affaire
2. Le D peut retirer une requête en accélération du procès à la discrétion du tribunal.
3. Une requête pour un procès accéléré peut UNIQUEMENT être déposée par un accusé
ACCUSÉ d'un crime

Δ n'a aucun droit à un procès rapide lorsqu'il se trouve en dehors de Floride : il doit (1) revenir et (2) informer le
procureur par écrit

4. Processus d'essai rapide


un. SI l'État ne respecte pas les limites de rapidité du procès, le D peut demander
une DÉCHARGE, c'est-à-dire une requête pour rejeter définitivement l'affaire.
je. CEPENDANT, l’expiration du délai d’essai rapide ne conduit pas à
elle seule à une décharge automatique. Au lieu de cela, une fois le délai
d'essai rapide écoulé, le D doit déposer un avis d'expiration. Une copie
de l'avis doit être signifiée au procureur et le tribunal tiendra une
audience sur l'avis dans les 5 jours . Si le tribunal estime que le retard
n'est pas excusable , le D doit être jugé dans les 10 jours .
5. Un accusé qui a été inculpé peut demander un procès rapide dans les 60 jours
suivant son arrestation.
un. S'il s'agit du PREMIER procès du D pour un crime et que le crime est :
je. Délit
1. Et le D exige un procès rapide, il doit être traduit en justice
dans les 50 jours suivant la demande.
2. S'il s'agit du premier procès du D et qu'il s'agit d'un délit et
que le D ne demande pas un procès rapide, le D doit être jugé
dans les 90 jours suivant l'arrestation/la garde à vue/la
convocation à comparaître.
ii. Crime
1. Et le D exige un procès rapide, le D doit être jugé dans les
50 jours suivant la demande.
2. S'il s'agit du premier procès du D et qu'il s'agit d'un crime et
que le D ne demande pas un procès rapide, le D doit être jugé
dans les 175 jours suivant l'arrestation/la garde à vue.
b. Nouveau procès du défendeur
je. N'importe quel crime
1. Si le D exige un procès rapide, il doit être jugé dans les 50
jours suivant l'ordonnance ou le mandat accordant un nouveau
procès ou déclarant l'annulation du procès.
2. Si aucune demande de procès rapide n'est faite, le D doit
être jugé dans les 90 jours à compter de l'ordonnance ou du
mandat accordant un nouveau procès ou déclarant l'annulation
du procès.
6. Toutefois, une prolongation de délai est autorisée SI :
un. Des audiences préalables au procès supplémentaires sont nécessaires OU
je. Par exemple, si l'affaire implique des questions complexes, des
preuves scientifiques, des données ADN
b. Les Parties stipulent une prolongation OU
c. D’autres audiences préalables au procès sont nécessaires OU
je. Par exemple, pour discuter de l'état mental de Ws, D ou de sa
découverte.
d. Le D est en attente de procès pour d’autres accusations criminelles en
cours OU
e. Des circonstances exceptionnelles existent. Les circonstances
exceptionnelles incluent, par exemple,
je. Un W important devient disponible OU
ii. Le cas est inhabituel et complexe, c'est-à-dire qu'il comporte de
nombreux D ou de nombreux documents OU
iii. Il y a des développements inattendus dans l’affaire OU
1. par exemple, AW apparaît ou disparaît
iv. Le D a provoqué le retard OU
v. Vous attendez des preuves supplémentaires
1. par exemple, les résultats des tests ADN
7. Une libération NE SERA PAS accordée SI :
un. Une prolongation de délai valide est déjà en vigueur OU
b. Le retard du procès est la faute de D, la faute d'un co-D ou la faute de l'avocat
de la défense OU
c. Le D a raté une procédure requise OU
d. La demande d'essai Speedy est par ailleurs invalide
8. Un procureur ne peut éviter une demande de procès rapide en abandonnant les
charges avec l'intention de déposer à nouveau un dossier.

**Les droits à un procès rapide ne sont PAS RENONCIÉS par la comparution de Δ au procès
**si Δ ne demande pas de délai et n'est pas jugé dans les 175/90 jours, il peut déposer une requête en
libération (comme un Δ qui a déménagé) et la règle 5-10 s'applique

iv. La requête en changement de lieu est accordée lorsque D ne peut pas obtenir un procès
impartial dans le comté où l'affaire est pendante.
1. La clé est « d’obtenir un procès équitable », et NON « une publicité excessive
avant le procès »
2. La requête en changement de lieu doit être déposée par le D au moins 10 jours avant le
procès.
un. CEPENDANT, le D peut demander un changement de lieu dans les 10 jours
suivant le procès sur présentation d'un motif valable.
3. La requête pour un changement de lieu DOIT être écrite et accompagnée d'affidavits et
de 2 personnes décrivant le fondement factuel de la requête.
4. Le D peut être jugé dans n'importe quelle ville où le crime a été commis

- MOTION POUR CHANGER DE LIEU


o Doit être accompagné d'un certificat de gf de l'avocat de l'auteur de la motion et d'affidavits de la partie et d'au
moins 2 autres personnes exposant le fondement factuel de la motion.

v. Une requête en récusation d’un juge peut être déposée parce que le juge a perdu son «
manteau de neutralité »
1. Les motifs de disqualification légalement suffisants comprennent :
un. Le juge a un préjugé pour ou contre une partie déterminée par les remarques
faites sur le banc ou le juge accepte des cadeaux de l'un des avocats OU
par exemple, dans l'affaire DUI, le juge est président de MADD
b. Le juge est lié au défendeur au troisième degré OU
c. Le juge est lié à un avocat du troisième degré OU
d. Le juge sera un témoin important dans l'affaire
2. Deuxième juge – une fois le premier juge révoqué, le deuxième juge ne sera pas
disqualifié pour les motifs ci-dessus, À MOINS QUE le juge admette que le préjudice est
un FAIT.

d. En FL, la découverte est réciproque


je. Dans les 15 jours suivant la demande de découverte, l’État DOIT divulguer :
1. Les noms et adresses des personnes connues pour détenir des informations pertinentes,
par exemple des témoins oculaires, des enquêteurs, etc.
2. Les déclarations de tout W
3. Tout témoignage écrit ou enregistré de l'accusé
4. Si l’État dispose d’informations importantes fournies par un informateur confidentiel
5. Objets tangibles ou papiers obtenus de l'accusé
6. Papier, objets non obtenus de l'accusé mais destinés à être utilisés par l'État
7. Mise sur écoute, câblage, preuves de perquisition/saisie
8. Rapports d'experts – psychologues, expériences scientifiques, ADN
9. TOUTE information à décharge, que D ait ou non engagé des obligations réciproques
de découverte
ii. CEPENDANT, l’État n’est pas tenu de divulguer :
1. Le produit du travail, c'est-à-dire la théorie des cas de l'État
2. Les noms des informateurs confidentiels SAUF SI l'informateur confidentiel va
témoigner OU
3. Les lieux de surveillance
4. MAIS le D peut être en mesure de démontrer la nécessité d'obtenir l'un des éléments
ci-dessus, à la discrétion du tribunal.
- DÉCOUVERTE
o Notes du grand jury – Δ peut les obtenir s'il a témoigné devant le grand jury ; et même alors, il n'obtient
qu'une transcription
o Ne peut pas destituer quelqu'un qui n'avait qu'un rôle ministériel dans l'enquête et dont le rôle est
entièrement exposé dans le rapport de police.

iii. Obligations de découverte du défendeur


1. Le D, dans les 15 jours suivant « l’obtention » de la découverte de l’État, doit «
donner » la découverte à l’État
un. Le défendeur doit fournir à l'État :
je. Toutes les déclarations autres que celles faites par le D
ii. Rapports d'experts
iii. Papiers et objets que le D envisage d'utiliser lors du procès ET
iv. Liste AW

iv. Le tribunal peut, à sa discrétion, imposer les sanctions suivantes en cas de violation de la
découverte :
1. Exclure complètement le témoignage
2. Conformité de la commande
3. Commander une prolongation
4. Déclarer l'annulation du procès
5. Sanctionner le W OR
6. Sanctionner l'avocat
7. CEPENDANT, le tribunal NE PEUT PAS ordonner la découverte des documents
fédéraux

e. ALIBI – si le D soulève une défense d'alibi, le D doit donner un avis de défense d'alibi sur demande ,
c'est-à-dire que si le procureur exige un avis de défense d'alibi, l'avis doit être déposé au moins 10 jours
avant le procès ou selon les instructions de le tribunal
je. L’avis d’alibi doit inclure :
1. L'emplacement de l'alibi ET
2. Une liste des W qui témoigneront
ii. Les mêmes règles s’appliquent à la défense du syndrome du conjoint battu

-ALIBI
o Δ doit fournir des informations sur l'État avec 10 jours d'essai
o L'État dispose de 5 jours pour répondre par une réfutation

2 . Propulser l’affaire vers une résolution autre que le procès


un. Procédures de plaidoyer
je. Négociation de plaidoyer
1. Le procureur peut négocier avec l’avocat de la défense ou directement avec un
défendeur non représenté (si la négociation est versée au dossier et que le procureur
explique en quoi elle est volontaire).
2. L'avocat de la défense DOIT obtenir le consentement du D pour plaider
3. Le juge PEUT accepter ou rejeter une négociation de plaidoyer
un. DOIT rejeter lorsqu'il n'existe aucune base factuelle
b. PEUT rejeter là où Δ maintient l'innocence
je. Si le juge rejette le plaidoyer, le D peut retirer le plaidoyer de non-
culpabilité ou nolo prétendre et négocier un autre plaidoyer ou inscrire
un plaidoyer de non-culpabilité.
ii. Mise en accusation , c'est-à-dire la procédure au cours de laquelle le D est informé des
accusations portées contre lui et le D répond en audience publique aux accusations formelles
déposées par l'État.
1. Lors de la mise en accusation, le D peut plaider :
un. Coupable
b. Non coupable OU
c. Pas de concours (ne peut être utilisé contre vous dans une affaire civile à titre
d'aveu)
2. Le D peut RENONCER à la mise en accusation en envoyant par courrier un plaidoyer
écrit

- MISE EN accusation
o D'éventuelles irrégularités lors de la mise en accusation (c'est-à-dire un avocat non fourni) sont ANNONCÉES si
Δ se présente et plaide

iii. Acceptation du plaidoyer


1. Le D doit être présent lors de son plaidoyer, SAUF si le D est accusé d'un délit et que
le tribunal excuse son absence.
un. CEPENDANT, si le tribunal accepte le plaidoyer du D par contumace, celui-
ci doit être formulé par écrit.
iv. Pour accepter un plaidoyer, la Cour doit constater :
1. Qu'il existe une base factuelle pour le plaidoyer ET
2. Que le plaidoyer D est une renonciation volontaire aux droits légaux du D
aie, le D doit comprendre
je. Qu'il a le droit à un avocat
ii. Un droit d'affronter les W contre lui et de croiser X ces W
iii. Que Plaider coupable ou nolo contestere sans réserve expresse
d'appel constitue une renonciation au droit d'appel
1. SAUF si l’appel est une attaque collatérale ou un habeas
corpus
iv. Qu'un plaidoyer de culpabilité ou nolo prétendre constitue une
renonciation à un procès dans lequel l'accusation devrait prouver la
culpabilité hors de tout doute raisonnable
v. Qu'en plaidant coupable, le tribunal posera des questions au D sous
serment et que les réponses pourront être utilisées contre le D dans une
procédure ultérieure (procédure pour parjure)
vi. Que le D comprend tous les termes de l'accord de plaidoyer, en
particulier la durée potentielle de l'incarcération
vii. Que le plaidoyer peut soumettre un non-citoyen à l'expulsion
b. CEPENDANT, le D n'est PAS obligé de reconnaître sa propre culpabilité, le D doit
seulement reconnaître que le poids de la preuve est contre lui.

v. AD peut retirer un plaidoyer de culpabilité à la discrétion du juge

b. Mouvements
je. Requête en rejet – doit être présentée AVANT LA MISE EN ARRÊT ( supra )
1. SAUF si la requête est fondée sur :
un. Double incrimination sur les infractions reprochées
b. Immunité contre les poursuites
c. Pardonné
d. Aucune preuve prima facie – même si les faits de P sont vrais
- MOTION DE REJET
Objections techniques : doivent être formulées lors de la mise en accusation ou levées. peuvent être
formulées à tout moment.
Autres objections (« DIPNo ») : D= double incrimination ; I = immunité ; P= pardon; Non = pas de cas pf
ii. Requête en suppression – doit être déposée AVANT LE PROCÈS, sauf si aucune possibilité
n’existait ou si le D n’était pas au courant des motifs
1. La requête en suppression doit contenir :
un. Un exposé des faits sur lesquels la requête est fondée
b. Les raisons de la suppression ET
c. Une description particulière des preuves à supprimer
2. Suppression des preuves
un. Une saisie est illégale en vertu du 4e amendement si :
je. Il y avait un mandat MAIS
1. Il n'y avait aucun PC pour croire à son fondement, c'est-à-
dire qu'il n'y avait pas suffisamment de faits ou de
corroborations.
2. Le mandat était défectueux à première vue
3. Le policier a saisi le mauvais bien OU
4. Le mandat a été exécuté illégalement, par exemple, la police
ne s'est pas conformée à la règle « frapper et annoncer » OU
ii. Il n'y avait pas de mandat, et AUCUN PC
b. Si la requête est légalement suffisante, le tribunal tient une audience au cours
de laquelle les deux parties peuvent présenter des preuves.
3. Suppression des déclarations de D
un. Les déclarations d'AD peuvent être supprimées pour violations de Miranda
et du 5e amendement
je. Tout aveu ou aveu obtenu illégalement sera supprimé
ii. La procédure est la même que ci-dessus. CEPENDANT, le tribunal
peut soulever la question de sa propre initiative
4. LE TRIBUNAL DOIT TENIR UNE AUDIENCE PERMETTANT AUX DEUX
PARTIES DE PRÉSENTER DES PREUVES

iii. Une requête en prorogation :


1. Doit être déposé avant ou au moment où l’affaire est fixée pour le procès, À MOINS
que l’auteur de la motion ne présente des motifs valables ET
un. Par conséquent, la requête en prorogation sera généralement rejetée si elle
est présentée la veille du procès.
2. La requête doit être accompagnée d'un certificat de bonne foi signé par l'avocat
un. Peut être appuyé ou attaqué par des affidavits

iv. Motions relatives à l'incompétence du D à procéder


1. La compétence du D s'applique à toutes les étapes IMPORTANTES de la procédure
2. La compétence est juridictionnelle , c'est-à-dire que l'accusé NE PEUT PAS
renoncer à la compétence.
un. Un avocat ou le juge peut présenter cette requête
3. Les motions relatives à la compétence du D peuvent être présentées avant le procès,
pendant le procès ou après le procès.
4. AD est incompétent pour poursuivre SI :
un. La personne n’a pas « la capacité actuelle suffisante de consulter son avocat
avec un degré raisonnable de compréhension rationnelle » ou le D n’a pas « une
compréhension rationnelle et factuelle des procédures engagées contre elle ».
b. Si le D est déclaré incompétent, l'affaire pénale cessera JUSQU'À ce que le D
redevienne compétent.
c. Le D sera engagé jusqu'à ce que la compétence soit retrouvée
- COMPÉTENCE : Le tribunal doit :
􀂃 Commander un examen par 2-3 experts
􀂃 Mettre Δ en garde à vue
􀂃 Planifiez une audience sur la compétence dès que possible

3. Essai
un. Le D peut renoncer à son droit à un procès devant JURY SI l'ÉTAT LE CONSENT
b. Sélection du jury
je. Nombre – Les jurys sont composés de 6 jurés SAUF s’il s’agit d’une affaire capitale qui
nécessite 12 jurés
ii. Voir dire – les avocats et le tribunal peuvent poser des questions aux jurés potentiels du jury,
puis lancer deux types de contestations.
1. Contestations Pour motif – illimitées, l’avocat doit indiquer les motifs
2. Défis préemptifs – même numéro pour chaque camp, et un supplémentaire pour
chaque juré suppléant
un. Les récusations péremptoires peuvent être basées sur n'importe quoi, sauf la
race, le sexe, les catégories SS de personnes.
b. Le nombre de récusations péremptoires est basé sur l'accusation la plus grave
si le D est jugé pour plus d'une accusation :
je. Chaque camp reçoit 10 récusations péremptoires pour crimes
capitaux ou à vie
ii. Chaque camp reçoit 6 récusations péremptoires pour tous les autres
crimes ET
iii. Chaque camp reçoit 3 récusations péremptoires pour délits
- LE PROCÈS COMMENCE DÈS LA SERMENTATION DU JURY !
- VOIR-DIRE
o Ne peut être récusé pour un motif valable si le juré est fortement favorable à la peine de mort ; peut être
dans un cas capital cependant
o Peut accepter VICE, mais ne peut pas accepter de dépôts
o Les jurés peuvent demander et recevoir des instructions supplémentaires, et un juge, de sa propre
initiative, peut rappeler les jurés pour entendre des instructions supplémentaires ou corrigées. Peut
également réentendre les preuves du procès. NE PEUT PAS OBTENIR DE PREUVES
SUPPLÉMENTAIRES !
- APPARENCES
o Si Δ n'apparaît pas sciemment, peut être libéré sous caution monétaire d'au moins 2x le montant de la
caution initiale.
o Δ doit être présent chaque fois que le jury est là (c'est-à-dire faire une visite sur place)

c. Procédure d'essai
je. La déclaration d'ouverture a lieu une fois que le jury a été sélectionné et assermenté
1. L’État présente le premier argument d’ouverture ET
2. Le D peut passer ensuite ou il est autorisé à faire son plaidoyer d'ouverture au début de
la présentation des moyens de la Défense.
ii. La présentation des arguments de l’État s’effectue par :
1. Témoignage de Ws
2. Preuve physique
3. À la clôture du dossier de l'État, le D peut et doit demander un jugement
d'acquittement.
un. Test
je. Une JOA réussira si, en prenant les faits sous le jour le plus
favorable à l’état, une personne raisonnable ne pouvait pas déclarer le
D coupable.
iii. Présentation d'une défense
1. Le D n'a pas besoin de présenter de preuves en raison du droit du D de garder le
silence selon le 5ème amendement.
un. CEPENDANT, le D DOIT présenter des défenses affirmatives s'il souhaite
les faire valoir.
2. Types de défenses, c'est-à-dire que le D peut se défendre en :
un. Nier les éléments OU
b. Présenter des défenses affirmatives , c'est-à-dire « oui, je l'ai fait, mais... »
je. Des exemples de défenses affirmatives incluent la légitime défense,
la folie, la nécessité ou le piégeage.
1. La Floride suit la règle McNaughten qui prévoit qu'un D est
légalement fou s'il souffrait d'une maladie mentale grave au
moment de l'infraction qui l'a rendu incapable de connaître la
nature de son acte ou capable d'apprécier le caractère illicite
de ses actes.
iv. Réfutation de l'État
1. L’État peut réfuter les arguments de la défense. CEPENDANT, la réfutation est limitée
aux nouvelles questions soulevées par la défense.
v. Renouvellement de la requête en jugement d'acquittement
1. Le D peut renouveler sa requête en JOA MAIS le défaut de renouvellement ne renonce
PAS au droit du D de faire appel du rejet de la requête.

- REQUÊTE POUR JUGEMENT D'ACQUITTEMENT


o L'État ne peut pas faire appel car il s'agit d'une décision finale.
o Ne peut pas être déposé après qu'une motion de suppression a été accordée
o PEUT être réalisé :
􀂃 Après un verdict de culpabilité/une annulation du procès
􀂃 Clôture du dossier de l'État
􀂃 Fin de toutes les preuves

vi. La conférence d'accusation a lieu lorsque les parties discutent des instructions du jury avant
les plaidoiries finales.
vii. Les plaidoiries finales se déroulent dans l’ordre suivant :
1. Etat, Défense, Etat

d. Instructions au jury – Le juge n'est PAS contraint de donner uniquement les instructions standard
promulguées par le Florida SC.
je. Chaque partie peut demander des instructions supplémentaires au jury, par écrit , et le juge a le
pouvoir discrétionnaire d'accepter ou de rejeter les instructions proposées en tout ou en partie.
ii. Responsabilité du juge – Le juge peut uniquement instruire le jury sur le droit de l'affaire, et le
juge NE PEUT PAS instruire le jury sur la peine qui peut être imposée pour l'infraction
particulière, sauf dans les affaires capitales.
1. Les instructions doivent être données oralement SAUF dans les cas capitaux où les
instructions doivent être écrites.
iii. Les objections aux instructions du jury doivent être consignées dans le dossier avant que le
jury ne se retire pour délibérer, sinon elles sont levées.
1. Les parties auront généralement la possibilité de s'opposer aux instructions en dehors
de la présence du jury.

e. Délibérations du jury et verdict


je. Fondamentalement : le jury sélectionne le contremaître et délibère sur la base de preuves.
ii. Un jury peut prendre :
1. L’instrument de facturation formel
2. Tous les documents admis en preuve
3. Les formulaires de verdict ET
4. Le jury peut prendre une copie écrite de toutes les instructions du jury SAUF s'il s'agit
d'une infraction passible de la peine capitale, auquel cas le jury doit prendre une copie
écrite des instructions du jury.
iii. Des preuves supplémentaires ne sont pas autorisées une fois que le jury est en délibération
iv. Si le jury demande des instructions supplémentaires, le juge peut donner des instructions
supplémentaires après en avoir informé les deux parties.
v. De plus, le juge peut, de lui-même, rappeler les jurés pour donner des instructions
supplémentaires ou corrigées après en avoir informé les deux parties.

F. Exigences de retour du verdict


je. L'unanimité , c'est-à-dire au sein du jury, est requise pour rendre un verdict unanime, SAUF
dans le cas d'une condamnation à mort.
ii. Le verdict doit être publié , c'est-à-dire que le greffier le lit à haute voix.
iii. L'une ou l'autre des parties peut demander ou le tribunal peut ordonner que le jury soit
interrogé
iv. Le juge peut SEULEMENT REMERCIER le jury, c'est-à-dire que le juge ne peut pas
commenter la preuve.
4. Après le procès
un. Libération – Dans le cas de certaines infractions non passibles de la peine capitale, une personne jugée
coupable peut toujours être libérée en attendant l'appel ou l'examen de l'affaire par le tribunal de première
instance.
je. CEPENDANT, la libération après procès n'est pas disponible si la personne a été reconnue
coupable d'un crime ET
ii. La personne a déjà été condamnée pour crime (ET SES DROITS N'ONT PAS ÉTÉ
RETABLIS) OU
iii. Autres accusations criminelles en cours
b. Appel
je. Entendu par la division d'appel de la cour de circuit
ii. En plaidant coupable, Δ renonce à son droit de faire appel de quoi que ce soit, sauf si cela est
expressément réservé
c. Mouvements
je. Requête pour un nouveau procès
1. Une requête pour un nouveau procès DOIT être déposée dans les 10 jours suivant le
verdict, OU LE TRIBUNAL PERD SA COMPÉTENCE POUR L'ENTENDRE !
2. Un nouvel essai est obligatoire si :
un. Motifs en soi :
je. Le jury a décidé du cas par tirage au sort, c'est-à-dire en « lançant
une pièce de monnaie » ou en jouant « papier, pierre, ciseaux » OU
ii. Le verdict est contraire à la loi ou au poids de la preuve OU
iii. Il existe des preuves récemment découvertes qui pourraient changer
le résultat et le D, avec une diligence raisonnable, n'aurait pas pu
découvrir et produire les preuves pour le procès.
b. CEPENDANT, les motifs d'un nouveau procès ne sont pas en soi et le
préjudice doit être prouvé SI :
je. Le jury a reçu des preuves hors cour OU
ii. Les jurés se sont séparés sans autorisation pendant les délibérations
OU
iii. Le(s) juré(s) ou le procureur ont été coupables de faute OU
iv. Le juge a mal statué sur la loi au cours du procès ou a donné au jury
des instructions incorrectes OU
v. Le D, pour une raison qui n'est pas imputable à sa faute, n'a pas
bénéficié d'un procès équitable
3. La Cour peut :
un. Rejeter la requête ET le D peut faire appel OU
b. Le tribunal peut se mettre d'accord jusqu'à un certain point , c'est-à-dire
déclarer le D coupable d'un degré moindre ou d'une infraction moindre ET le D
peut faire appel OU
c. Le tribunal peut faire droit à la requête
je. Et l'État peut faire appel

ii. Requête en arrestation du jugement , c'est-à-dire, fondamentalement, une requête tardive en


rejet
1. Une requête en arrestation du jugement DOIT être déposée dans les 10 jours
suivant le verdict ET la requête peut être présentée à :
un. Défiez l' instrument de charge OU pour
b. Contester la compétence du tribunal OU
c. Parce que le verdict était si incertain qu'il ne semble pas que les jurés aient
reconnu coupable l'accusé d'une infraction énumérée dans l'instrument
d'accusation formel OU
d. Parce que le verdict condamne clairement D pour une infraction non
conforme à l'instrument d'accusation formel
iii. Attaque collatérale contre la condamnation , c'est-à-dire lorsqu'une poursuite distincte et
nouvelle est intentée pour contester certains aspects d'une affaire antérieure et distincte. Ceci est
différent d'un appel, qui est une contestation d'un aspect d'une décision rendue dans la même
affaire, par exemple une requête en annulation, en annulation ou en correction de la peine.
1. Ces requêtes servent de substituts à une procédure d'habeas corpus, c'est-à-dire une
procédure dans laquelle les détenus peuvent demander réparation d'un emprisonnement
illégal. Une ordonnance d'habeas corpus est une ordonnance du tribunal adressée à un
responsable de la prison (ou à un autre gardien) ordonnant qu'un prisonnier soit traduit
devant le tribunal pour déterminer si cette personne purge une peine légale et/ou soit
libérée.
2. Fondamentalement : permet au prisonnier de contester le jugement et la peine du
tribunal d'État au motif que :
un. Le tribunal a prononcé le jugement ou la peine de manière illégale ou
inconstitutionnelle OU
b. La Cour n’était pas compétente OU
c. La peine dépassait la peine maximale autorisée par la loi OU
d. Le plaidoyer a été inscrit involontairement OU
e. Que, à la discrétion du juge, la peine était par ailleurs sujette à des attaques
collatérales

LE TRIBUNAL NE PEUT PAS RÉDUIRE UNE PEINE DE MORT OU UN MINIMUM OBLIGATOIRE


UNE REQUÊTE DE RÉDUCTION DE PEINE DOIT ÊTRE DÉPOSÉE DANS LES 60 JOURS SUIVANT LE
PROCÈS DE LA PEINE

d. Détermination de la peine
je. Procédure
1. Le juge peut toujours demander un rapport d’enquête préalable à la condamnation («
PSI ») lorsqu’il a le pouvoir discrétionnaire quant à la peine à imposer.
un. CEPENDANT, un PSI est obligatoire SI :
je. Le juge veut placer un D prison pour son premier crime OU
ii. Pour toute personne reconnue coupable d'un crime alors qu'elle avait
moins de 18 ans OU
iii. Le juge a initialement placé le D en probation et cherche plus tard à
le mettre en prison pour violation de la probation.
b. Un PSI est également obligatoire dans un cas capital SI :
je. Le D choisit de ne pas contester la peine de mort ET
ii. Rater à présenter des preuves atténuantes
2. Avant le prononcé de la peine, le tribunal doit divulguer aux deux parties tous les
éléments factuels contenus dans le PSI ET le juge peut divulguer d'autres contenus du
PSI.
3. La détermination de la peine dans une affaire capitale est un processus en deux étapes
comprenant :
un. Phase de culpabilité ET
b. Phase de punition , c'est-à-dire si le D sera condamné à mort ou à la
réclusion à perpétuité
je. La recommandation de punition par le jury n'a pas besoin d'être
unanime, MAIS une audience, impliquant des facteurs atténuants et
aggravants par des preuves et des témoignages, doit avoir lieu.
c. Après la phase de culpabilité, le tribunal doit demander s'il existe des raisons
de ne pas condamner le D.
je. Il existe quatre raisons pour lesquelles un verdict ne devrait pas être
prononcé :
1. Le D est fou
2. Le D a reçu un pardon pour l'infraction
3. Le D n'est pas la même personne qui a été condamnée OU
4. La D risque la peine de mort et est enceinte

e. Lignes directrices en matière de détermination de la peine


je. Il existe 2 gammes de sanctions , c'est-à-dire que la punition peut être recommandée ou
autorisée.
un. CEPENDANT, les dérogations à la peine autorisée nécessitent une explication écrite
du tribunal.
ii. Si la peine doit être augmentée au-delà de la peine autorisée dans les lignes directrices sur la
détermination de la peine, le jury doit être l'enquêteur, À MOINS QUE le D consente à
l'établissement judiciaire des faits (Blakely)
iii. Considérations pertinentes lors d’une audience de détermination de la peine
un. La feuille de notation des lignes directrices préparée par l'État, présentée à la défense
et approuvée par le tribunal
1. Sur la feuille de pointage, une infraction est notée soit « primaire », soit «
supplémentaire ».
je. Une condamnation primaire est la condamnation entraînant la
sanction la plus sévère
2. Le casier judiciaire du D est pris en compte
je. Y compris les condamnations pour violations des lois de Floride,
fédérales, militaires et étrangères et violations des ordonnances de la
ville ou du comté.

5. RÉDUCTION/MODIFICATION DE PHRASE
un. dans les 60 jours après l'imposition
b. NE S'APPLIQUE PAS aux cas dans lesquels la peine de mort a été imposée ou dans lesquels le juge a
imposé la peine minimale obligatoire ou n'a aucun pouvoir discrétionnaire en matière de détermination de
la peine.
6. AMÉLIORER LE SCORE DE LA SENTENCE
un. Motivé par des préjugés religieux ou raciaux insuffisant

Das könnte Ihnen auch gefallen