Sie sind auf Seite 1von 152
Joan=Pierre PETIT Chargé de Recherche au ONRS 10 rue du Félibre Gaut 13100 Aix on Provence Consultant au GEPAN ONES-Toulouse. 18 av B.Belin 31055 Toulouse PERSPECTIVES SI HaGNEYOHYDRODYNAAT QUE ABRODYNES NACHETOHYDRODYNAMITQUES CONVERSION MHD HORS prSQUILIARS Décenbre 1980 cnaxge ce xeénerone au CNRS élibre Gaut 10 rue du 13100 4ix en Provence Consultant au CEPAN CNES-Toulouse. 18 av B.Bolin 31055 Toulouse SOMMATRE + AVERDISSBRENT pages 2 & 7 I GENERALTTES SUR LES PLASM!4S HORS D+SQUILIERE peges 8 4 40 Température.¥tat. d'équilibre thermodynamiques sections efficaces de collision.¥réquence de collision. tenps de relaxetion.Ionisation non thermique.effet Hall instabilité de Vélikhov. TI RESULTATS DB CALCUL : pp. 41 a 54 Densité électronique hors d’équilibres performances des aceélérateurs MHD. TIT ARRODYNSS 4AGNETOMYDRODYNAHiques Lionde de choceLes effets de l'onde de choc.Expériences on analogie hydreuligue.Vers des expériences dans les gaz. Promiére géométrie sphérique.L'aceélérateur pa¥iétel. Une autre géonétrie sphérique.Géomstrie disoue.Centrifugeus Accolerateur parietal et ionisstion.Accélérateurs 4 inducti Accélérateur A moduletion d'ionisation,Problemes de confinement spécifiaues au g@2.Lteffet Hall,Solution pour confiner 4 la paroi.Combinaison du confinement pariétal et du confinement latéral.Zéne de confinement. Autres méthodes de contréle de l*ionisation. TV ASRODYNHS MHD, SVALUAPION PECHNOLOGIQUE, Généralités sur la propulsion MAD.Elemonts de calcul. Aérodynea 4 induction.Projets d'expérionces. V CONVERSION MHD, GENSRATZURS,aPPLICATIONS INDUSTRISLLES : Température.etat. avequiiaore tnenwuuynawsyuoe 7 > sections efficaces de collision.¥réquencs de collision. temps de relaxetion,lonisation nom thermique. effet Hall Anstabilité de Véliknov. II RESULTATS DE CAUCUL pp. 41 a 54 Densité électronique hors d'équilibresperformancas des aceélérateurs MHD. TII ABRODYNGS AGNETOHYDRODYNAM ques L'onde de choc.Les effets de l'onde de choc.Expériences AVARPISSORENT Co rapport était bien difficile 4 constituer.in effet,en fonction des demandes qui avaient été faites,il devait correspondre & trois types de leoteurs : = Des non spéclalistes désirant se faire uns idée sur la situation actuelle de la MHD — Des spécialistas souhaitant dégager rapidement les quelques idées originales présontos. = Des chercheurs débutante souhaitant stinitier A ¢es questions. Dans la mesure du possible on a offectué un découpage de 1 exposé qui permette au lectour d'une de ces trois catégories do s'y repéror. — Des non spécialistes désirent se faire uno idéo sur la situation actuelle de la MHD = Des spécialistes souhaitant dégager repidenent les quelques idées originales présentes. = Des chercheurs débutants souhaitant stinitier & ¢es questions. Dans la mesure dz possible on a effectud un découpage de 1 exposé qui pormotte au lecteur d'une de ces trois catégories de s'y repérer. I_INTRODUCLION + La MED comporte-deux volets.Dans l'tn on cherche A transformer do L'énergie cinétique, thermique,en électricité,sans pidces mobiles, Ctest le domaine de 1a conversion directe de 1'énorgie par la MiD. Dans l'autre on socdlarere un fluide ( ow on le ralentire ) & l'aide des forces de Laplace J xB. Si lea gaz, la température ordinaire,étaient aussi conductours que L'eau salée,la MHD ferait depuis longtowps partie de notre vie de tous les jours. Hélas ils no sont des conducteurs acceptables que portés & des milliers de dagrés.D'od toute une suite d'ennuis qui retardent l'entrée de le MED dans notre monde technologique. CONVRBTON MED + Un convertisseur MAD est avent toute chose une enceinte o% circule un gaz aniné d'une viteess V et possddant une température T.Ce gaz coupe los lignes do force d'un champ magnétique et se trouve alors sollicité par un champ électronotour VX Be Bq MKSA le vitesse est on mitres per seconds et lo cheap en tesles. Avec une vitegso,dicons,de mille adtres par seconds,et un champ d’un Tesla, on aun champ de mille volts par matre..,ce qui n'est pas considérable. La Joi a'0HM dans le gaz s!éorit + j= cE 0% J est le densité de courant et H le chanp électrique,Sigma est la conductivité électrique,qui s'exprins en mhos par nétre. L'énergio cinétique, thermiqua,en électricité,sans piices mobiles. Crest le domaine de la conversion directe de 1'énergie par la MiD. Dans l'autre on aocélérera un fluide ( ou on le ralentira ) A l'aide des forces de Laplace 3 XB. Si los gaz,4 la température ordinaire,étaient aussi conducteurs que L'eau salée,la NHD ferait depuis longtemps partie de notre vie de tous les jours. Hélas ils ne sont des conductours acceptables que portés A des milliera de dagrés.D'od toute une suite d'ennuis oui retardent 1'entrée de la HED dans notre monde technologique. Si J est trop faible,la longuour L risque d'étre prohibitive. Second point + le rendonont dlectrique.Lorsqu'on couple un alternateur sur une turbine,Ios conductours métalliques de cette machine sont faits du natériau ayant 1x plus faible résistance possible.Ceci pour avoir un yon rendesent + résistance oxtérioure 4 résistanos extérioure plus résistance intérieure Si le résistance intéricura est trop forte,ce rendement sera mauvais, On souhaite done disposer d'un gaz ayant la condictivité électrique 1a vlus élevée possible.Coci dépend de plusicurs facteurs et sers analysé dans la partie du rapport spécielement dévolue A la conversion MHD. On cherchora,entre autre, avoir unevitesse V élevée ( convertisseur traveillant en supersonique ).Cette vitesse,relativenent linitée dans le cas dos tuyares on fonctionnement continu,pourra étre un facteur détermin: dana le ces dos génératours 4 explosifs. On onsomencera le gaz avec une substance a faible potentiel dtionisation: Césium ou Sodium Dans les cas particulier des cycles feraés on pourra rechercher un fonetionr mont hors d‘équilibre thernodynamicue ( 7, > tT, ).Dans ce cas le conduc tivité Slectrique dépendra de la densité de courant J,laquelle se calculera alors A l‘aide d'une itération + J2f)-E La conductivité électrique croitra alors avec le champ électromoteur VB Dtot l'intérét de travaidler A forte vitesse V et & fort champ B ( configu ration de Hall }.0n se heurtera alors au probléme de 1'instabilité d'ioni sation ( instavilité de Velikhov ).Nous pensons dans ce document apyortor Ace sujet des idées nouvelles,qui seront exposées dans la partie consecrée résistance oxtérieure 4 résistance extérieure plus résistance intéricure Si le résistance intérieure est trop forte,ce rendement sera mauvais. On souheite dons disposer d'un gaz ayant la condictivité électrique la plus élevés possible.Coci dépend de plusieurs facteurs et sera analysé dans la partie du rapport spécielement dévolue & la conversion MHD. On cherchera,entre autre,4 avoir unevitesse V élevée ( convertisseur travaillant en supersonique ).Cette vitesse,relativement limitée dans le cas des tuyéres en fonotionnement continu, pourra tra un fecteur détermin: Electrode on cuivre Les petite aimants ernanents aecollés donnaient dans la tuyéze prisnatiovs un champ d'onviron mille gauss.Le bateau était relié a un générateur de courant continu donnant vingt enpéres sous trente volts ( 600 Watts ). Les 20 andres se distribuaient sur 20 om” do surface d'électrode.Co qui correspondait & une densité de courant do10° — anpores per matze carsé. Le champ valant 0.1 Tesla ( un tesla = 104 gauss) , JB valait 1000 Weu/n}, Calculons 1a poussée de ce moteur.Le volume de la tuyére est de 20 on, soit 2107 a3, Aimants permanents I vors le générateur de coursnt continu - Pourquoi un rendement aussi faible ? Crest simple,on peut faibe une anslogie avec une hélice de bateau, Dans laquelle J sorait le nombre de tours ot B le pas de l'hélice, Ala limite si B= 0 c'est équivelont & une hélice tournent furieusement dans de l'eau,a pas nul. Il se trouve que Be 0.1 ost un "nes" ridiculo.Notre moteur MiD chauffo beaucoup plus l'eau qu'il ne l'aecélére. IB On veut écrire + 4 1 2 Rv + ed% 4 t+ fJ g on e est la résistivité de l'eau ( salée ).Donnée sur laquelle on ne peut agir. _ On voit que l'accroiasement de B entraine une montée du rendement. AJB ( pousaée ) égale,il faut B fort et J faible. Quelle valeur du "pes",du champ magnétique ,donnerait un rendenent propul~ aif acceptable ? Donnons & Bune valeur 300° fois plus éley2e + 30 Teslas. Au dela,cela ne serait plus compatible avec des impératifs de résistance dos matériaux.Avec un ton dessin de earéne la vitesse pourrait croitre dans la néme proportion,soit atteindre 30 n/a, La puissance consacrée a 1a propulsion serait alors multipliée par 100,000 et le rondoment attoindreit 0.5 Le jours o& des champs d'un million de Gauss ( 100 tesles ) pourroat étro installés sur les ongins navigant,la propulsion MHD deviendra intéressante, Dawn Ta manent Tan inntatindiqna cmnsaandunthi nan aatialaa aéwalannant beaucoup plus l'eau qu'il ne l'accélére. Bw on » ut Sorize 1 4 1 2 RU + ed% On O est la résistivité de l'eau ( salée ).Donnée sur lanuelle on ne vant QUID DES GAZ 2 Le gaz le plus intéressant est évidenment l'air.On L'aceélérera toujours on situation de non équilibre thermodynamique ( T, > 7, ). Alt sa conductivité électrique serait beaucoup trop faible. quilibre,dans les conditions normales de température et de pression, Il eat nécéssaire d'élover la tompérature électronique A une valeur o& commenceront 4 apparaitre des collisions inélastiques,génératrices de pertes radiativas.le rendement s'écrira donc : 2 " SBve eS? 4 per utter . Les pertes radiatives croissont tris vite avec la température électronique. On introduira plus tard un coofficiont de porte © aui reprisentent le rapport pertes par collisions inélestiques/effet Joule,au dela de 7000°% co coofficiont so mot & grimper do telle manidre que l'accdélératour n'ost plus qutune lampe ! Nous sonmes donc limités en 7, ,donc en densité de courent J. Si nous voulons avoir des JB forts et des rendoments de propulsion élevés il faut travailleraec des B olevés. A la preseion atmosphérique l'effet Hella n'apvarait que vers B= 4 toslas. Avec des chanps de 10 A 30 teslas,physicuenont envisageatles,il faudrait concevoir des uachines & offet Hall. Par ailleurs ces systines seraient alors trés sensibles & 1'instabilité de Velikhov.C'est dans ce domaine que nous pensons apporter des idéos nouvelles, tant sur le plan théorique cue sur le plan expérimentel.Ceci sere déteillé dans la partie du rapport consacrée au accélératears MED. Be UUHUUY YAY Eve CLOUULUYUE SoLedy VoauLUUY wiv LeLuiee Ti est nécéssaire d'élever la température électronique 4 une valeur ob commenceront 4 apperaitre des collisions inélastiques,génératrices de pertes radiatives.le rendement s'éerira done + JB 1 IRve edt 4 pet, waiter . es pertes radiatives croissent trés vite avec la température électronique. On introduira plus tard un coefficient de perte © qui représentent CHAPTTRS T : GENERALTTWS SUR LwS PLASMAS HORS BQUILTSRS Co chapitra n'intéressara pas le spécialiste.I] est s®écialonent concu pour les étudiants devant participer eu travail théorioue et expérimantal.Ces quelques pages sont une initiation aux thémes ‘ fondenentauz, CHAPITRS 1 + GMSRALINSS UR LSS PLASMAS HORS SQUILESRS UNE REWARQUE PRELIMINAIRE + L'oavrage de base dans ce domaine est d'apras nous " SNGINSRRING bAGNSTOHYDRODYNAMICS " de SUPTON et SHERMAN chaz Mao GRAW HILL, I.1)_LA TEMPERATURE + - ag de molécules ou dtatomes,de masse m,Cos objets Un gaz est cons sont anings d'une vitesse appellée vitesse @'agitation thermique V,ot l'énorgie cinétique corresspondante ost 1/2 mV. Commengons par onsidérer un gaz constiteé d'élénents ayant tous méne mass Les vecteurs vitesse d'agitation sont “distribués" dans toutes des directions. Les intensités des vitesses instantannées dtagitation thermiques sont égelenent distribuées.Si on on faisait la statistique on cbtionérait uns ‘Lochs courbe en cloche + cyhet fv) Sh poi On pout aussi imaginer quo l'on puiase calewler dans un élénent do gaz la valeur moyenne do ce 1/2 aV® d'agitation thermique. On identifie cette quantité & la température dans le gaz,4 travers 1 Z2-eT 2 bt m ‘Un gaz est Gonstitués de “pelééules ou d'atomes,de masse m,Ves objets sont animés d'une vitesse appellée vitesse d'agitation thermique V,et Aténergie cinétique corresspondante ost 1/2 m V°, Commengons par considérer un gx constited d'élénents ayant tous méne mass: Les vaoteurs vitesse d'agitation sont “distribués" dans toutes des directions: Les intensités des vitesses instantennées dtagitation thermiques sont également distribuées.Si on on faisait la wre on obtiendrait une courbe en cloche + FO Be Tv -10- Co qui permet de définir une température par eapéce conposent le mélange. La température n'étant que la mesure do 1a valour moyenne de 1'énercie cingtique dtagitation d'une molécule,dans la population considérée. STAT D1QUILIBRE THRRMODYNAMIQUE . Lorsqu'on Iaisse un aélange gazeux livré 4 lui mime pendant...un certain ‘temps,comne dirait Fernand Reynaud,il se place en situation d'équilibre ‘thermodynamique.Tous les gradients de température s'annullent,et les tompératures prennent une valour connune T, «Les fonctions de distritutions deviennent par ailleurs marwelliennes.Soit pour l'espace s la forme : ma (agave ews’) 5 eeTy ma \ ——— ]@ 2TMETS | Fob 2 Narre ebb aan Les collisions “randomisent" les distributions,pour employer cet_anglicisne f (4apvaima)= 4 verbare.Des échanges d'énergie se font dans les collisions,et tout ceci méno 4 l'équipartition de 1'énergie ot a une situation d'entrovie mexinele. Un mélange de gaz intéressant ‘est celui ob il existe des électrons libres. Un proton ost 1850 fois plus Jourd gu'um dlectron.Is masse _ moléculaire do l'air étant 29 , le molécule d'air est 29 x 1850 fois plus loarde cue 1'électron.Soit un rapport de 53.650 Un plasta,ou gaz contenant des électrona libres en quantité appréciable, est dono au départ un mélange de deux ospces tras dissemblables en massa, Considérons de l'air & température T,en état d'équilibre thernodynamique. La tompérature électronique T, est égele & 1a température gaz T, ot on ad wna ee 2 eet 11? - tomps,comme dirait Fernand Reynaud,il se placa en situation d'équilibre theraedynamique.Tous les gradionts de température s'annullent,et les *oupératures premnont une valour commune T, «Les Zonotions de distritutions doviennont per ailleurs maxwellionnes.Soit pour l'espece s la forme + wma (atv? WA’) %, z Ty. ma \ 2M” é (Hay 4 MTG] Fuohin te Newudll NeLljrranen -n- Un plssma d'air est donc assimileble A un ensemble d’objete lourds, les moléeules ou les ions,pratiquenent imaobiles les uns par rapport aux autnes,environnés d'électrons agités conma des abeilles affclldes. Des collisions se produigent,entre électrons,entre électrons et lourds, entre lourds.Mais d'abord qu'appelle-t-on collision ? Le mot Gvoque-une-rencontre physique ontre deux objet matériels,telles des poules de billard.Ce moddle ost pout-étre valable dans le cas de 1'interac— ‘tion lourd—lourd,mais il se préterait wala décrire une intercation Slectron ion par exemple ( forces en 1/r2 ). Si l'on vouleit plus do rigueur il faudrait entammer une approche 4 traver la théorie ci touvrage do Chapman et Cowling ( Canbridge University Press ) intituls " the mathematical theory of non uniform gases". On serait alora anoné a décrire le systéme par une suite d'équatéons intégrodifférentielles de Boltzmann,toutes couplées ontre olles.isa solution que des mélanges,ce qu'on pourra trouver par exemple dans serait recherchée par un spproche A l'aide d'un développement on série de fonction,celles ci Stent les fonctions propres des opérateurs de collision. Qui dit fonction propre dit valour propre.Soit un type de cohtision (on tection aficocas tot £0, velour. prspads os, optralime représanté par une force en 1/r™ yattractive. Une particule de type p arrive sur une particule de type q avec une vitesse relative v. Best le paramétre d'impact : plus petite distance a laquelle passerait P de q si 1'intercation n'existait pas. » ©. 10. ov) poules de billard.Co noddle est peut-dtre valeble dans le cas ds l'interec~ tion lourd—lourd,mais il se préterait gal a décrira une intercation Slectron jon par exemple ( forces en 1/r@ ), Si l'on voulait plus do rigueur il faudrait ontaamer une approche & travers la théorie cinétique des mélanges,ce qu'on pourra trouver par exemple dans Ltouvrage de Chapmen et Cowling ( Cambridge Universitg Press ) intinuls "the mathematical theory of mon uniforn gases". On serait alors amené & décrire 1s syaténe par une suite d'équataons intégrodi?férentielles de Boltzmann,toutes coupldes entre elles.la solution serait recherchéa par un approche & l'aide d'un développement on série de <12- Celle ci a ia dimension @une surface.Bt on lui donne le gom de section efficace de collision.On venplice alors le modéle collisionnel an 4/\-” Par une sorte de moddlo "tout ou rien". Posant Whe =@Q on considdre quo oi L< 4s 42 7 collisions b> te on considre que l'intoraction n'a pas lieu,Ceci pour évaluer plus aisément ce qu'on appellera une fréquenes da collision. Cotte section officace Q.,,(¥) dépend de 1a vitesse relative dos deux éléments. On distinguara trois types d'intersction dans Ies plasuas.Dane le cas de cAllisions lourds-lourds le modéle boutes de billerd sera retenu.Auguel cas point besoin de feire cette intégration.la donnée eat directement cells de le section da collision. Ltintercation électron ion ast de type Coulombien,en 1/r2 + In Liinteraction Slectron store va étra vrécisée A l'aide du nodale oi aprés + que l'intoraction n'a pes leu.Ceci pour évaiuer puts eiswueny ve qu vn appellera une fréquence de collision. Cotte section efficace Qyq (7) agpond de la vitesse relative des doux éléaenta. On distinguera trois types d'interaction dans les plasmas.Dans le cas de cdllisions lourde~lourda 1e modéle boubes de billard sors retent.Auquol cas point besoin de faire catte intémration.La donnée est directement cells do 1a saction de collision. Ltintercation électron ion est de type Coulombien,en 1/r? + ry ry -b-: Le champ oréé par 1"élection, est en 1/r” done 1 sere oti 1/z°, On sait par zilleurs que le champ d'un dipéle de moment e x 2 est en 2/2>.la force résultante sera done on 1/z? .Blle est attractive. A partir de lois de force en 1/2” on pout calculer le forme de la saction officeco de dollision. Dens le cas de iintoraction coulombienns ( y=2) ,la section efficace dot on 1/v* Dans le cas on 1/r? ( inte’ tion dia mexwellionne ),1a section est en i/r. PREQUENCS DE COLLISION + Nous sommes dono paseés de ces moddles 4 loi de force on 1/z¥ a des noddles "tout ou rien",ou "joules de billard".Ils vont nous permettre de calculer 16 némbre de collisions subies par une particule d'une espéce p avec les particules de l'espace qe Le particule d'espece p se ballade vitesse V,on emmonent avec olle sa section efficace de collision.Pendant un temps dt elle parcourt Vat metros ot balaio @¥ dt mbtres cubes,dans lesquels so trouvent ~ V, Bra Pp ak particules de l'espace a+ La fréquence de collision est done + swoon AGE), Sshg S02) Vip aoiiasion. Dans le cas de 1/intéraction coulombienns ( y= 2) ,la section efficace sot on 1/v4 Dans le cas en 1/r? ( inte: tion di’a mexwellionne ),la section est en Lfre FREQUENCS DE COLLISION + Nous sommes donc Pagsés de cos aodeles & loi de foros en 1/r¥ a dos noddles "tout ou rien",ou "boules de billard".I1s vont nous pernettre de calculer le nambre de collisions subies par une particule d'une eapéce P avec les particules de l'espace q+ Le particule d'espece p se ballade A vitesse V.en emmenant avec elle -14- Dans la pratique on confoxd + = 4 Yq Up) f Vp nq aM ause. Veq &Vp>) ceci au prix d'une erreur minime. KVP eet la vitesse moyenne dtagitation dans l'espce P,Si T, est la 7] température associée A ltespéce p,cells ci est t = joer T™ —> I, e 3 ep P Nous pourrons done définir des fréquences de collision : Vee = Vee C) sectron-éiectron Vet = Vat ({Ve>) sectronion Vem = Ven(K Ved) Slectron-neutre Vss = Vss (Ne> ) Lourd -loura Quels sont les effets de ces collsions ? Toute collision rend le distritution de la vitesse alatoire,Touto anisotropie de 1a vitesse se trouve ainsi redistibuge aux quatre vents cure Vp q &Vp>) ceci au prix d'une erreur minima, KN p> est le vitesse aoyonne d'agitation dans 1'espdce p.Si T, ast la température asgociée 2 l'eapace p,celle ci est + ) a > [2 ‘VAX -15- Cotte redistribution du vectour vitesse,du point de vue angulaire, est aussi appellée "thormalisation". ‘T.4 TenPs DE RELAXATION ¢ Cette notion est essentielle. Promior probléme 1 considérons un volume de gaz assez potit,dans un état quelconque du point de vue de le distribution des vitesses. La vitesse globale est nulle ( ce qui veut dire que 1'élément de gaz est eu repos ) et l'dnergie totale de 1'élément est fixée.Ce qui veut dire qu'il est isolé. La distribution de 1a vitesse n'est pas mazwollienne.I1 y a par exemple uné irrégulerité quelconque + nt) > ¥ Les collisions vont raboter cos irrégularités,et lz fonction va reprondra sa forne maxvellienne,stable,correspondant & 1'équilivre thermodynamique: t(#) > ~ js, Premier probléme 1 considérons un volume de gaz assez petit, dans un état quelconque du point de vue de la distribution des vitessas. La vitesse globale ost nulle ( cs qui veut dire que 1'élément de gaz est 2u reves ) ot 1'énergio tobale de 1'élénent est fixée.Co qui veut dire qu'il est isolé, La distribution de 1a vitesse n'est pas maxwellienne.Il y a par exemple £0) uné irrégularité quolconque + -16~ Les Seux distribution figurées sur la page précédentes correspondent & une méme densité ot une séme dneteie d'agitation thermgaue ¢ ne [f@iav BET af tm 0 FCA) av Ce qui differa c'est l'entropie + Sisk £ boa £ alg V Lue passege d'une courby & l'autre sa tradubt rar 1'évolution + SS Saran es é _& Sas. 4Smax-SJe La fréquence dg collision ost eu départ l'inverse du temps de tolexation de la fonction de distritution. Ma kp Van nat stage font tendre le gaz vers cot état d'équilibre, LET od[4 mv £02) te¥ 2 nye Co qui dizfare. ctest ltentropie + Ss ~k [Phy fos¥ -17- Gonsidérons maintenant un nélange de deux espéces p ot @,telles que m7 4, 1Cos doux ospécos sont A doa tompératures différentes T, ot 7, Le temps de relaxation 146 au phénoméne a! équipartition de l'énergie sora lo némo que le tompe C= 4/\) do rotour A une situation maxvellienne. Ainsi considérons un couple constitué par une population de neutres et une population dtions.Lie tenps de redaxation (Ti oA Th 14) sore AG we Prenons maintenant un mélange constitué d'éléments de masses dissemblables + me mq Supposons que les éléments q scient les plus lourds. Liégalisation des températures se fora en un temps égal A 2m ™ fp Sppposons que les partioules p soient les électrons ot les a les ions ou les x% Cpa noutresshe temps de relaxation de retour A 7, = 7, = 7, = 7, sore cinquante mille fois plus long que les temps caractéristiques de retour vers des états maxwelliens, Cot aspect pormettra a'observer des écarts 7, - 7, importants. 1,5 _LNLONISATION + Conmengons par 1'ionisation "naturollo",ctost 4 dire d'origine thormique. A une tenpéreture T,dans un gaa,les molécules s'entrechoguent les unos les autres.Il oxiste,dans la distribution de le vitesse,une "queue" de molécules rapides : . toe vy Ainsi considérons un couple constitué par uno population de neutres ot une ‘A population d'ions.be temps de redaxation (Ty oA Th 14) sora “fj Viw Prenons maintenant un mélange constitué d'éléments de masses dissemblables : mp mq Supposons que les éléments q soient les plus lourds. L'égalisation des températures se fera on un tomps égal a 2meg -18- Ces molécules véhivulent une énergie cinStique supérieure ou égale A l'énergie nécésseire pour arracher un électron lié a ug atome ou & une nolécule, Eneore faut il que 1a collision se présente bien,I1 existe 14 encore une section efficecs d'ionisation,esses feible. , woe sale vile hele vt Pour une densité donnée n,et une température donnée ? on peut eslepler le nombre moyen de collisions ionisantes dens un volume donné de gaz. Tnversenent ,les éloctrons libres tendent 4 retourner sur les atomes ou nolécules ioniaés + @ Cres dD onerpre ot brani men fet = aadiakine > e On peut, 1 aussi,caleuler le nombre de captures per seconde qui vourraient se produire dans un gaz constitué d'un mélenge de neutres,d'ions et atélectrona. Un Stat de régime s'éteblit.ivec un taux,ou degré d!ionisation d'Squilibre tel que: Ne a KX Rm A la température ordinaire,et dans toute le ganne des tempéretures Pour une densité donnée nyet une tempéreture donnée T on pout oaloglor le nombre moyen de collisions ionisantes dans un volume donné de gas. Inversement ,les électrons libres tendent & retourner sur les atomes ou molécules ionisés + lection Sersity or coisin Faquency Temperature, "4 310° 5.1 Electron deasity in high-tempersture tmospherio prewure. (By permission east ocolision Fequency ~20- On reproduit ici la valeur des potentiels d‘ionisation de gaz ou de vapeurs mételliques + Noble gases 56.14 40.9 278 26.4 ad 29.47 34.93 NO. Metal vapors (atoms) Lithium, ea | 73.26 Sodivm 47.08, Alumina, 18.74 Potassiuan 31.66 Caleium eo), ts Rubidium, 216 | 27.36 8 Bariaie 9.95 Mereury~ 15.05 From Handbook of Chemstiey and Physics, 384 ed., Chemical Rubber Publishing Company, Cleveland, Ohio, 1951 Toble 6,3 Molecular Weight and lonization Potentiols Tonisation potential, er cus Motecular 0 Mole gases Helier... 245 | 56.18 Neon. se rary | 40.9 Argon. is.ga!' | 27.76 Sarin, | ee wo fs 1.6 LALONESWTTON NON THUALGUE + ‘Appliguons un chemp électrique sur un gez contenent quelques Slectrens libres.Le chanp va agir ceux oi ot sur les ionsyet leur communiquer do L'énorgie.Cet apport d'énorgie so fera sur cheque libre parcours Slectro~ nique ou donique. - Le foren stexergant-sur ces particules chengées est 0 5 2 Pondant un temps ¢ le particule de masse m va parcourir L= 4 Ee t Bt le travail fourni sera t @ey. we 4 @E) é> cam Dans le méme tomps un électron gegnera 50.000 fois plus d'énorgie qu'un ion.L'apport énergétique se fera donc essentisllement au niveau des 6lectrons. Les collisions vont ensuite "thermaliser" ces électrons.C'est 4 dire cue le gain de vitesse acquis sur un libre parcours ve étre redistribué aléatoi- renent dang toutes les directions.I1 on sera de mime pour le vitesse faible acowise par l'ion.Les collisions électron~lourds sont spécialement efficaces pour assurer cette thermalisation.in effet il suffit d'une seule collision, statistiquement pour que 1l'électron accéléré "ne se souvienne plus de Ltaceé1éeation qu'il a subi".0n traduireit cola en disant que le coeficient de persistence de la vitesse de i'électzon dans sa collision avec un lourd est nul.Ceci aura son importance quand on arlera de l'effet Hall. Dans le cas de collisions mutuelles entre électrons ce coef serait de 0.4 Ce gain de vitesse des électrons va done dtre converti on température.Bt le température électronique va monter. Les collisions épongent cependant une partie de cette énerzie.Mais nous avons vu que le transfert entre verticules de masses trés disseublables La force s'exergant-sur ces particules chargées est e Ee t* B Pondeat un temps % le particule de masse m va varcourir L= 4 aS Et le travail fourni sera t we 4 @é) uu Dans le néme temps un électron gegnera 5U.000 fois plus d'énergie u'un ion.L'apport énergétiqua so fara donc essentiellenent au niveau des électrons. Tas anlisetana vant eanxiitea "tharmaliaan” can élantrone.Clest A dira nun Un exemple est le tube flucrescent.Basse prossion : done libre parcours noyen élevé,et forte température électronique, plusieurs dizaines do milliors de degréa. La fonetion de distribution du gaz va se déplacer vers lea plus bautes vitessos.[1 feut gerdor en téts qu'un doublement de la vitesse d'agitation roprésente un quadruplesent de la température électronique. “4a dts) Le nombre des électrons ayenz une énergie égale ou supérieure a 1'énergie tionieation est reprdsonté par l'aire hechurée.Ce nonbre va croitre. Le chauffage électronique vs entrainer un relévenent du teux d'ionisation, Plus précisément,los Slectrons cheuffés vont donner naissance & des électrons secondsires,eux ménos suscevtibles d'étre accélérés et de donner liew 2 da nouvelles ionisations.Co phénonnes est appellé ltavalanche ébectronicus. Un stat de égime va bien entendu apparaitre.Dont le bilan ast le suivant Le champ communique essentiollenent de.1 inersigaur SLAG ARE GOH ils. aR Ca) -22~ A partir d'une cortaine tenpérature électronique,les collisions inélastiques a0 feront fréquentes.Cello-ci mottront on vibration les nolécules,en rotattion Il se produira une désexcitation spontennée,radiative.D'oh une perte supplé- nentaire.be régime du plams sere différent suivent que ces radiations sant piégées ou non.On pourra raisonner en termes de libroparcours moyen des photons émis.Gi colui-ci est faible devant la dimension de l'ensointe,il y aura pidgesge. La question essentielle ast de savoir comment celculer cet Stat de régine du plasma hors d'équilibre.Nous envisagerons plus loin coment caleuler la densité électronique d'un plesma & température électronique Tes L'action du ewaranx champ EB se traduit par le passage d'un courant J. Le travail de cette force électrique correspond 4 le puissance JE Crest cotte puissance qui sera conmunicuée aux lourds per collisions, ou Svacuée radiativement. Liénergie moyenne de 1*électron est 3/2 ke 4 chaque collision il rétrocédere + 2k (Te -Tg) x 2 - Il y ang électrons par unité de volune.it la fréquence de collision est Vos vevec los particules lourdes d'eapéco s.Co cui recrécente un transfert d'énergie par collisions élastiques de + 3 Te Ta ) x ome no x Wey > k(Te 5 — x On peut tenir compte globelenent des pertes par radietion en introduisant dens le calcul un coef de pertes $ DA. photons émis.Gi colui-ci eat faible devant 1a dimension de l'enseinte,il y aura piégeege. La question essentielle est de savoir comment calouler ost état de régine du plasma hors d'équilibre.Nous envisagerons plus loin comment celoulor la densité électronique dtun plesma a température électronique Te. Liaction du mwxxanx champ B se traduit par le passage d'un courant J. Le travail de cette force électrique correspond & le puissance JE” Clest cette puissance out sera conmuniguée aux lourds par collisions,ou svacuée radiativement. L'énergie moyenne de 1'électron est 3/2 kTe A ahean antlieinn 41 Pétrachdara ¢ ~23- 004 —as_—sF gO ‘Avec electron energy, electron wots Figoxs 56 Energy loss of electrons with maxwellian welocity distribu tion with various gases. (Data compiled by H. Massey and J.D. Crowes, Handbuch der Physik, 37/1, pp. 314-415, 1950) Coof de pertes par collisions inélastiques. On voit que ce coef est important pour des molécules polyatomiques comae le gaz carbonigue.dn 1967 nous avions fait des expérionces de conversion sur des plesnas hors équilibretn mélange He-A ( 70 6 Hélium et 30% Argon ) pormettait & un génératour MHD A tube A choc de fonctionner A une température de 6000°K,et 1'extraction de puissance était de l'ordre ‘energy loss factor -24- Purssome oe baie oh S 4 zu 3 Of Venpenele con 6 Cotte renarque montre qu'il ost impossible d'envisager un fonctionnenent en régime d'ionisetion hors d'équilibre dans des gaz de combustion,du fait de 1a forte proportion du C02 présent. - 17 Li S BAT Tout a l'heure nous avons distingué des collisions électron ions et électron noutres.Les section efficaces de collision sont fort dissemblables. ga gros Qe = 10 Que Scrivons la fréquence de collision totale électronique + Ves Ve (mi Qai + %n Cou) Ye ven K Qot + Qu] —+ 4 z Do of Urecpranaile= Con 6 Cette remarque montre au'il est impossible d'enviseger un fonctionnement -25- 1.8 LS CALCUL Dy La DsNSITE SLEC/RONIOUR ¢ Lorsquo le plasma est on régime d'équilibro n, se celcule & L'aide de le LOI Da SAHA, ? z, > + © 3 é OX A ast une constante aépendant du gaz,et faicant intervenir les fonctions de partition. Dens les gaz de conversion,on utilise une semence comms source d'éloctrons-2n général Césiun ou Sodium. Densité électronique hors d'équilibre. Liionisation,a L'équilibre ou hors d'équilibre,proctde par collisions. Nous avons vu que les lourds pouvaient étre oonsidérés conme quasi immobiles. Seule leur densité compte.teur vitesse dtagitation pout dtre négligée. Nous avons done un wélange qui peut Stre schématieé de la maniéro suivante, Des électrons sont 3 ‘9 & lequelle correspond une vitesse dtagitation + I1 s évoluent au milieu de lourda,de densité n|,assimilés & des cibles ° immobiles. Ma Br ge AT e Od A est une constante dévendant du gaz,ot faisant intervenir les fonctions de partition. Dans les gaz de conversion,on utilise une semence comms soures L/9 GONDUCTIVITE BLBCTAIQUE 5 La théorie précise de le conduction électronique dans un gaz, A 1'équilibre ou hors d'équilibre,est wm probléme comploxe.Dans les calouls d'évaluation qui vont étrofaits on wtilisora la formule + oe ne er 5 me We> F (Com rng Qui a, SP2 Qui nous donnera la conductivité électrique scalaire. Il oxiste aussi des tables od la conductivité électrique scaléire do Lair est toute calculée,et qu'on pourra utiliser en le reteuchent pour tenir compte de lteffet dthors équilibre. 3,10 BPPST HALL + - Lorsqutun champ aegnétique estarssent,il influe sur le trajectoire des électrons,au long de keur libre parcours.Ces trajectoires aoviennent des ares de cyclotde. Lorsqu'an électron se déplace dans un champ magméticue transversal 41 tourne avec une gyrofrécuence (A)e = se x Or.tontas Tan T secondes il entre en collision avec un lourd.Nous avons a a ne € me Wed a (Gem nat Qk ne) 0, 582K Qui nous donnera la conductivité électrique scalaire. Il existe aussi des tables od le conductivité diectrique scaléire do l'air est toute caleulde,et qu'on pourra utiliser en le retouchant -27- Mais on aura une vision schématique valable de 1'effet’ Hall si on consid’ze que les collisions se produisent toutes les secondes + ay st e La description plus correcte de l'effet Hall pourra étre trouvée dens les ouvzages théoriques précités.Toujours est=il quo cet effet entraine Lfapoarition d'un courant transversel J1 . Soit B le champ électrique et B le champ magnétique transversal. Le courant fere avec B un angle & telque Mais on aura une vision schématique valable de l'e?fet Hall si on L consid’re que les collisions se produisent toutes les secondes : e 5 <= 2 = -28- Le paramétre de Hall se trouve étre le rapport entre la gyrofréquence Wa, et la fréquence de collision. Si b« A cot effet Hall sera négligeable. Concrétement on basera les calculs sur Ltexpression : a. it. Fee] Ww | ft | itp ae | J sekn — TREY P [trae ae oe KO des hee ety B > é ep La conductivité indiquées est la conductivité électdicue scaleire. Dans 1'équation du gaz d'électron,chaque monbre est ég2l 4 la puissance dissippée dans le plasma. 3 2 , a) = Pe (webb set) = JE En 4xprimant J 4 l'aide de l'expreasion ci dessus on voit que a. —? > AF uv fh j= || ~29- Tel) MODE DE CALCUL BU QuGIN® PLASMA + L'équation de 1 nergia dens le gaz d'électrons s'éerit + CE. Beem k (7, Ty) = ds Veo I+ p° AFe men Cr) os oC) Le er) Yor = Ver Fe] w L'équation donnant Te pour un chanp 5 et un champ B gonnés implique et de calculer les conditions électriques ( champ B ) qui assurent une telle température électronique. une itération.Mais le plus simple est de se donner T, Bien sir, tous les paramdtres varient en conséquence.La conductivité électronique,la densité électronique,le paranétre de Hall,otc... On sait 1'importence des collisions électron-ions.Lorsque le plaswa devient coulombien,la fréquence de collision grimpe brutalement + ve fs ve i o BRK ees ombme ni ifm tg oe I+ pt dd ge TRA meen Ch| oz c(t} he eC) Ven = Var (Te] L'équation donnant Te pour un champ 3 et un champ B donnés implique nen d4téuatinn Mele la wine eteantea aat da wa domman ®t de peletew

Das könnte Ihnen auch gefallen