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Les Roumains s’identifient volontiers à la langue latine, héritiers

de Dacia et de l‘Empire Romain.

Une autre composante de l'identité s'enracine dans l'Empire


byzantin dont les Roumains ont hérité la foi orthodoxe (87%).

L’Italie a inspiré la création de la Roumanie moderne avec ses


idéaux d'émancipation, de progrès, egalite etc.

Plusieurs influences moins démocratiques ont marqué le pays :


fasciste, a partir des annees 1930 et communiste - la seconde
moitié du XXe.
România (Roumanie)
• Hymne national Deşteaptă-te, române ! (« Réveille-toi, Roumain! »)
– Total : 258 000 km²
– Population: 23 000 000 (20 mil. en 2012, 3 mil. migrants)
• Divisions administratives : Les subdivisions administratives utilisées
aujourd'hui sont les 41 judeţe (judeţ, au singulier du latin judicium, ou
« juge »; en francais - departement).
• La capitale, BUCAREST, compte aussi comme subdivision
administrative autonome, « le municipe de Bucarest » (municipiul
Bucureşti, du latin municipium).
• La monnaie roumaine est le leu (lyon; 1€ ≈ 4,35 RON en janvier
2011).
• Le salaire mensuel moyen net = 500 € (le salaire minimum garanti par
la loi est de 200 euro), montant minimum de retraite 150 €.
• Le PIB de la Roumanie dépend des services pour 54,2%, de
l'industrie pour 34,7% et de l'agriculture pour 10,1%
• Le rythme de croissance économique est + 2% en 2011.
• L'inflation = environ 4%;
• l'endettement de l'État est moins de 30% du PIB.

• LA ROUMANIE EST MEMBRE UE DEPUIS LE 1er JANVIER 2007.


Il est difficile de parler de la Roumanie, sans parler de Dracula …
Les Roumains décrivent souvent leur pays comme
une "île de latinité dans un océan de slaves“…
• Mihai Eminescu, "poète national"
• George Enescu, compositeur et violoniste
• Mircea Eliade, écrivain, essayiste et
historien des religions
• Constantin Brancusi, sculpteur
A partir de Sud-Ouest du pays…

TIMISOARA
Brasov, Sighisoara
L'église typique de Maramures
Le regime communiste
• Après 1945, ceux qui ont accédé au pouvoir ont accepté: l’abandon des intérêts nationaux, la
soviétisation de la Roumanie, l’instauration de la dictature du prolétariat, l’annihilation de
l’État de droit et du pluralisme, la destruction des partis politiques et de la continuité
constitutionnelle de l’État roumain, l’annihilation de certaines catégories sociales (par
emprisonnements, déportations, travail forcé, marginalisation, assassinats).
• Les mouvements et les actions étudiantes ont été réprimées, les paysans s’opposant à la
collectivisation ont été arrêtés, déportés, tués, les mouvements ouvriers ont été réprimés, les
partisans de la résistance anticommuniste ont été exterminés.
• On ne peut pas ignorer la répression contre la culture et les cultes, contre le patrimoine
historique et culturel (par des démolitions), le rejet de la civilisation et de la culture
occidentale.
• On ne peut pas ignorer les effets de la « politique démographique » (la Loi 36/1966 interdisait
l’avortement), de « l’alimentation rationnelle » (la suppression des vivres), de l’interruption du
chauffage, la destruction des repères et leur remplacement par des dogmes (collectivisation,
industrialisation, suppression de la propriété privée), le « contrôle social » de la vie intime des
personnes, l’isolement par rapport au monde...
• La pauvreté et l’appauvrissement ont conduit à l’abrutissement, à la perte du respect de soi, de
la confiance et l’esprit de solidarité...
• croître la dépendance à l’égard des ressources publics (cette dépendance n’a pas été
strictement économique, toutes les libertés ont été limitées par l’État ayant des aspirations
totalitaires).
• En 2006, le président de la Roumanie a condamné le système communiste – depuis sa création
(1944– 1947), jusqu’à son effondrement (décembre 1989) – le définissant comme « illégal et
criminel » .
La mentalité paternaliste
• Dans quelle mesure les habitants manifestent-ils de l’intérêt pour la gouvernance locale? Sont-ils
prêts à s’impliquer dans le développement de la localité? Que savent-ils et de quelles sources sur
l’activité de la Mairie et du Conseil Local? Participent-ils aux réunions publiques? Dans l’affirmative,
quelles sont les questions qu’ils soulèvent? Croient-ils que les projets visant le développement
durable pourraient être menés à bonne fin dans leurs communautés? etc.
• À partir des données de l’Eurobaromètre de 2010, 24% des villages, pendant les deux années avant,
n’ont pas organisé de réunions publiques ; 48% des habitants interrogés n’ont pas participé à des
réunions pareilles ; dans 73% des communautés territoriales n’existaient pas des organisations
communautaires ; 75% des villages n’ont déposé de projets pour obtenir des fonds europeens etc.

• Les perceptions et les représentations concernant le rôle de l’État dans la vie de ses citoyens
peuvent prouver le degré de (in)dépendance à l’égard de l’État, aussi que la (in)capacité d’assumer
des responsabilités individuelles. Dans une recherche de 2010 utilisant des indicateurs de mesure de
la perception du rôle de l’État, on a constaté que
• les Roumains perçoivent l’État comme protecteur (78% en 1990, 63% en 2010),
• ils considèrent que l’État doit protéger les gens face aux problèmes économiques (32% en 2010,
• 36 % affirment que « chacun doit savoir prendre soin de soi-même »).
• 88% voyent l’obligation du Gouvernement d’assurer des emplois aux citoyens ;
• 97% considèrent que c’est l’obligation de l’État d’assurer un niveau de vie décent aux vieillards,
d’assurer du soin médical aux malades, un niveau de vie décent aux chômeurs.

• Le paternaliste perd peu de terrain, surtout au niveau déclaratif …


• Après 1989 (la chute du Ceausescu) personne n'a pas proposer un trajet, schéma assez
claires pour la société roumaine, mais elle a été bombardée de suggestions, modèles,
directions, postulats…
• "C'était clair" que: "le bon Dieu a tourné la tête vers les Roumains« ,"ils reviennent en Europe" et
ils serons tous comme les Occidentaux…

• Nombreux ont profité du nouvel ordre (la meuleuse…)


http://www.arte.tv/fr/2816758,CmC=2954622.html: Kapitalisme, notre recette secrète

• La crédulité, l'autoilusionnement ont alimentés les frustrations , les essais desperes de


s’enrichir ; des "fraudes pyramidales" (type FNI).

• L' entrée en NATO et UE ne s'est pas accompagnée de l'amélioration de la situation économique


individuelle et collective…
• Les mecontents et les perdants de la transition de l’union sovietique a l’Union europeenne
sont les pauvres et les appauvris, ceux qui payent les factures de la crise, ceux qui se
sentent perdus dans le nouveau contexte politique, économique et culturel…

Comment dépasser la passivité, l’indifférence au niveau macrosocietal, meso- et microsocial?


On peut distinguer quelques étapes dans le développement de l'assistance sociale en Roumanie:
1. jusqu'à la fin du XIX-ème siècle, lorsque l'église, les particuliers et les communautés assumaient
l'assistance et l'intervention dans ce domaine,
2. durant la période de l’entre-deux-guerres, quand le système de l'assistance sociale s'est formé et
organisé tout comme l'enseignement spécialisé dans la formation des travailleurs dans ce
domaine,
3. pendant le régime communiste instauré après la deuxième guerre mondiale, lorsque le système
et l'enseignement dans le domaine de l'assistance sociale ont été supprimés parce que l'on a
considéré que dans la société socialiste (“multilatéralement développée”) il n'y avaient plus de
problèmes sociaux exigeant l'intervention de l'assistance sociale spécialisée…
4. après 1990, la (re)construction et la (re)élaboration des programmes d'assistance sociale.
Après la Grande Union de 1918, le Ministère du Travail, de la Santé et
des Prévoyances Sociales (1920) s'est proposé de créer et d'organiser
le système d'assistance sociale.
Un rôle à part : l' Institut Social Roumain sous la direction du sociologue
Dimitrie Gusti qui a publie la revue Archive pour la Science et la
Réforme Sociale.
A été fondée l' Ecole Supérieure d'Assistance Sociale "Princesse
Ileana" (1928) qui s'est proposée: l'investigation, la diagnose et la
thérapie sociale etc. principes communiqués à la société par la revue
l'Assistance Sociale et par l'activité de l'Association pour le Progrès
de l'Assistance Sociale (1936).

Il faut également remarquer dans cette période l'activité de l'Ecole de


Théorie et de Pratique de l'Assistance Sociale de Iasi.

En 1938 est paru le volume L'Assistance sociale en Roumanie, qui a


été présenté à l'Exposition Universelle de Paris.
Si quelqu'un se laissait emporté par les décrets et lois pendant le régime communiste
(1945 - 1989) dans le domaine de l'assistance sociale, il aurait l'impression que les choses
allaient tres bien. Mais ce fut justement le contraire…

“L'Assistance sociale qualitative, personnalisée, orientée vers la résolution des problèmes


humains, sociaux, a été pratiquement supprimée. On considérait que les mécanismes de
l'économie planifiee, doublés par les mécanismes politiques-administratifs étaient à
même de résoudre automatiquement tous les problèmes individuels et collectifs. C’est par
cela qu’à travers le temps s'est créé un système de dépendence accentuée de l'individu
par rapport à l' Etat. Il y avait un aide institutionnalisée pour les personnes agees,
handicapés, malades croniques somatiques ou neuropsychiques et les enfants en
situations spéciales. Souvent, les institutions ne pouvaient pas assurer les standards
minimaux de vie. D' habitude, il s’agissait des centres isolés, clos, situés dans des endroits
peu accessibles, dont la plupart du personnel n'était pas qualifié. Après 1985, on a
remarqué une dégradation évidente suite à la réduction des fonds."

(Politiques sociales. La Roumanie dans le contexte européen, Editions Alternatives,


Bucarest, 1995, p.104)
On (re)construit l'assistance sociale en Roumanie.
C’est une chance, car on a eu l’ouverture européenne, possibilités réelles des
contacts, interinfluences etc.

1990 - M.M.P.S. (le Ministère du Travail et de la Protéction Sociale) avec la


Direction d'assistance sociale.
Par la Décision Gouvernamentale 587/1990 ont été créé la specialisation
assistance sociale dans les universites de Iasi, Bucarest, Cluj et Timisoara
etc.

Le Livre Blanc de l'Assistance Sociale, 1993, contenait les objectifs de


la réforme dans le domaine:
-l'analyse des phénomènes socio-économiques qui rendent nécessaire
l'existence et l'intervention sociale,
-la construction du cadre institutionnel, juridique, administratif, financier
nécessaire,
-la création des ONG, associations, fondations etc.
Une série de lois:
• la Loi 11/1991 et la Loi 65/1995 concernant les adoptions;
• la Loi 53/1992 et la Loi 57/1992 concernant la protection des personnes handicapées
• la Loi 61/1993 (completé par la Loi 261/1998) - concernant l'allocation pour les enfants,
• la Loi 87/1993 concernant le soutien pour les familles avec des revenus insuffisants ou sans revenus;
• Loi 119/1997 - l’allocation suplémentaire pour les familles qui ont des enfants,
• Loi 208/1997 – sur les cantines d’aide social,
• Loi 34/1998 - les subventions pour les associations et les fondations roumains qui font et gestionnent
des unités d’assistance sociale,
• Loi 17/2000 - l’assistance sociale des personnes agées,
• Loi 195/2001 sur le volontariat,
• Loi 366/2001 - la fondation et l’utilisation du Fond national de solidarité,
• Loi 416/2001 - le Revenu Minimum Garanti,
• Loi 116/2002 - prevention et combat de la marginalisation sociale etc.

2011 - la nouvelle Loi de l’assistance sociale (apres 1991, 2001).

principes:
• l’universalité: chaque personne a le droit d’assistance sociale dans les conditions prévus par les lois;
• la solidarité sociale: la communauté participe a l’aide des personnes en dificulté pour maintenir la
cohésion sociale;
• le parténariat: les institutions publiques et les organisations de la societé civile cooperent pour
organiser et developper les services sociaux;
• la subsidiarité: l’Etat intervient quand l’initiative locale ne satisfait pas suffissament les besoins des
personnes et des groupes.
L’ORGANISATION ET LE FONCTIONNEMET DU SYSTEME D’ASSISTANCE SOCIALE
AU NIVEAU CENTRAL

 MMSSF (Ministère du Travail, Solidarité Sociale et de la Famille)


 Elabore la politique d’ d’assistance sociale,
 La stratégie pour promouvoir les droits de la famille, de l’enfant, personne seule, agée,
handicapée etc.;
 Etablit les directions prioritaires d’action,
 Standards de qualité pour les services d’assistance sociale,
 Programmes de perfectionnement du personnel,
 Organise l’acréditation et évaluation des institutions d’assistance sociale,
 Finance les programmes nationaux d’ assistance sociale etc.

 Comission Interministèrielle d’ assistance sociale


 Organisme consultativ, personnalité juridique qui :
 Elabore la politique unitaire dans le domaine d’ assistance sociale
 Coordination nationale des activités d’ assistance sociale
 Projéts d’actes normatifs
 Avis de programmes nationaux dans le domaine
 Information du gouvernement sur l’activité dans le domaine etc.
Comission Antipauvreté et d’Inclusion sociale
 Elabore le PNAPIS
 Monitorise la pauvreté et l’inclusion
 aide les autorités locales pour élaborer et apliquer les programmes APIS
 Idéntification et sollutionnement des problemes sociaux etc.

Autorité nationale pour la Protection de l’Enfant et Adoption


 Fonctions : stratégie, reglémentation, administration, représentation, autorité d’Etat
 Etudes et prognoses pour la protéction de l’enfant et l’adoption
 Projets d’actes normatifs dans le domaine
 Elabore de normes, méthodologies et standards pour le fonctionnement des
services et institutions,
 Guides méthodologiques pour le fonctionements des services et institutions
 Gestionne les biens publiques et privés de l’Etat en administration ou utilisation
 Gestionne les fonds
 Etablit relations de colaboration et coopération internationale
 Controle le respect des standards etc.

Autorité Nationale pour les Personnes Handicapés


 Coordination au niveau central des activités de protéction spéciale et promouvoir
les droits de p.h., elabore le politiques, les stratégies et les standards etc.
ORGANISATION AU NIVEAU TERRITORIAL
Directions pour dialogue, famille et solidarité sociale departamentales
 Evidence des bénéficiaires et des dépenses
 Acréditation du personnel specialisé en aide à domicile
 Fait des etudes et analyses
 Evalue l’impact des politiques sociales sur les bénéficiaires
 Controle l’application de la législation dans le domaine
Conseils Départementaux
 Organise des compartiments d’assistance sociale pour la protéction de l’enfant ,famille, personne seule, âgée,
handicapée
 Approuve le plan departemental d’assistance sociale
 Mesures de prévention de la marginalisaion et exclusion sociale
 Approuve la constitution, le financement ou cofinancement des institutions publiques d’ assistence sociale
 Conventions de parténariat avec les représentants de la société civile
Conséils locaux
 Emploi des personnes qui ont atributions d’ assistance sociale
 Identifie les problemes sociaux
 Gestionne les fonds
 Organise de services en fonction des besoins locaux
 Donne des éspaces, moyens financieres et logistiques pour les activités d’ assistance sociale
 Assure d’ habitations sociales
Service publique d’ assistance sociale au niveau territoriel
 Service publique d’ assistance sociale au niveau départamental (SPAS)
 Service publique d’ assistance sociale au niveau de municipes, villes, villages (qui ont atributions dans le
domaine de la protection de l’enfant, des personnes adultes, des institutions d’ assistance sociale, du
financement)
Inspéctions régionales pour la protéction sociale des personnes handicapées
POLITIQUES SOCIALES
buts:
-l’aténuation ou l’élimination des risques qui menent a la destruction de
la famille
-diminution de la crise de logements
-chances égales pour les femmes
-l’encouragement de la natalité (en forte diminution)
-protéction contre l’appauvrissement etc.
-Les personnes les plus vulnérables : les familles avec un grand nombre
d’enfants, les chomeurs, les enfants, les personnes âgées, les tziganes etc.

Ont droit aux prestations et services :


- Tous les citoyens roumains sans discrimination de rasse, nationalité, origine etnique, langue,
réligion, sex, opinion, appartenance politique, fortune, origine sociale etc.
- Les citoyens étrangers et les apatrides (dans les conditions de la législation roumaine).
- Tous ont le droit d’etre informés sur leurs droits
- Il faut faire une demande etc.
- L’evidence des bénéficiaires se realise sur la base du code numérique personnel etc.
A. LES PRESTATIONS SOCIALES (en argents ou nature)

 1. Allocations familliales (pour naissance, éducation, entretien des enfants) ;


 2. Aides sociaux et spéciaux (pour les familles qui n’ont pas de revenus, ou ont de
revenus insufisantes pour couvrir les besoins minimes; les personnes qui ont
defficiences physiques, sensorielles, psychiques ou mentales).

B. LES SERVICES SOCIAUX


 Les services de soin socio-médicale pour les personnes qui sont en impossibilité
d’avoir une vie digne dues aux affections physiques, psychiques, mentales ou
sensorielles ; pour les personnes qui souffrent de maladies incurables en derniere
phase etc.
 Les services d’assistance sociale - services professionnalises, par methodes et
techniques specifiques de diagnose et intervention (information, consilliation,
therapie)
 A domicile
 En institutions specialises de jour
 En Institutions residentielles
LES PRESTATIONS SOCIALES
1. Les allocations

a. Allocation d’Etat pour les enfants


 La Constitution de la Roumanie, art. 45 prevoit: l’allocation pour les enfants est un droit universel pour tous les enfants, sans avoir
en vue les revenus mensuelles des parents ;
 Jusqu’a l’âge de 16 ans; ceux qui continuent les études jusq’au 18 ans
 Les invalides, handicapés - jusqu’au 18 ans (en quantum majoré 100% par le Secretariat d’Etat pour les handicapés)
 Le quantum est indexé periodiquement
 L’allocation est donné aux parents (...)
 Les enfants qui ont 7 ans et ne vont pas a l’école ne reçoivent pas allocation.
 L’allocation n’est pas imposable.
 Elle est distribué par les offices postales etc.

b. Allocation supplementaire pour les familles qui ont d’enfants (Loi 119/1997)
 Les conditions pour obtenir cette allocation sont prouvés par le livret de famille (dans lequel sont inscrits : les membres de la
famille, la filiation des enfants, leur situation juridique etc.
 Il est completé par la mairie (en base de documents originels: certificat de mariage, actes d’identité de deux épouses, certificats
de naissance des enfants etc.) et donné au titulaire par le maire, a l’ocasion du mariage ; completé a la main, l’ancre noire, en
langue roumaine ; n’est permise aucune modification ; chaque complétation ulterieure, chaque actualisation est faite par le service
d’état civile du conseil local de la localité de domicile.
 Les enfants confiés aux instituions de protéction ne sont considerés dans l’entretien de la famille.
 Ni cette allocation n’est imposable.

c. Allocation complementaire pour les familles dont chaque membre a sous 40 euros par mois, et pour les familles monoparentales.

d. Allocation d’entretien pour les enfants en placement famillial ou confiés (environ 20 euros par mois)
 Une comission au niveau de departement analyse la situation d’un enfant en difficulté et, dans son interet, decide :
Le confier a une famile, personne ou organism privé autorisé ;
 L’adoption
 Provisoirement dans un service publique autorisé
 Placement dans une famille
 Placement dans un service publique specialisé
 Placement en regime d’urgence
 Placement dans une famille assistée.
! Le respect de la continuité rationelle de l’éducation de l’enfant, de son origine étnique, réligieuse, culturelle, linguistique.

d. Allocation pour les nouveaux-nes (environ 60 euros) pour les premiers 4 enfants nés vivants.
2. LES AIDES SOCIAUX ET SPECIAUX

a. Revenu minimum garanti mensuel, pour les familles et pour les personnes seules.
 Une ênquète établit tous les revenus realisés par la famille (y compris les terrains, les batiments, biens mobiles et imobiles etc.).
 L’obligation d’une declaration sur responsabilité de la part de la personne qui sollicite le RMG.
 Le montant est assuré par le budget local (en argent, nature, payement de dépenses pour entretien, le chauffage de la maison) etc.
 Les personnes aptes de travail qui ont RMG sont obligés a effectué 72 heures de travail d’interet local.
 Quand les conditions ne sont pas accomplies, le RMG peut-etre suspendu ou modifié.
 La responsabilité pour l’enquete appartient au travailleur social etc.

b. Aide d’urgence
 pour couvrir les dépenses avec l’enterrement
 aide financier pour les personnes en extreme difficulté a cause de la santé,
 Aide pour les personnes ayant afféctions tres graves, pour traitement et interventions chirurgicales a l’étranger
 aides pour les réffugiés
 aide pour chauffage pendant le saison froid (5 mois, 1novembre-1 avril)
 aide pour les veterrains de guerre etc.

c. Autre formes de soutien materiel


 subventions pour associations et fondations (Loi 34/1998 : les associations et les fondations roumaines qui ont personalité juridique, qui
constitue et administrent des unités d’assistance sociale peuvent recevoir subventions budgetaires d’etat ou locales, utilisés en exclusivité pour
les services d’assistance sociale pour les beneficiares qui ont le droit, conformement aux lois en viguer).
Il faut faire :
-Une demande
-Presenter le rapport d’activite pour les derniers 12 mois
-Le statut juridique
-Les documents legales
-Bilan comptable
-Raport avec les activites de services d’assistance sociale
-Atestation juridique du siege de l’association
-Autorisation sanitaire de fonctionnement
B. LES SERVICES SOCIAUX

1. Les services d’assistance sociale sont des services professionnalisés, par méthodes et téchniques spécifiques de diagnose et intérvention
(information, consilliation, thérapie individuelle et collective).
2. Les services de soin socio-medicale pour les personnes qui sont en impossibilité d’avoir une vie digne, dues au afféctions physiques,
psychiques, mentales ou sensorielles ; ainsi, pour les personnes qui souffrent de maladies incurables en derniere phase.

1. Les services d’assistance sociale

a. services primaires
 idéntification de besoins individuelle et de groupe
 idéntifier les beneficiaires
 information sur les situation de risque, sur les droits des personnes,
 mesures éducatifs et de surveillance
conseils pour:
 les personnes agées, handicapés, malades croniques, dependants d’alcool, substances toiques, drogues, contaminés SIDA, pour
leurs familles,
 pour les familles qui adoptent des enfants,
 pour les jeunes qui quittent les institutions de protection,
 pour les personnes negligés, abusés, victimes de la violence, de trafique de personnes, prostitution etc.
 pour les SDF, victimes du trafique etc.

b. Services specialises
 accueil, soin, recupération, réhabilitation, reinsertion pour les handicapés, malade croniques, dependantes d’alcool,
substances toxiques, drogues, victimes de la violence etc.
 support et assistance, accompagnement pour les enfants et les familles en difficulté
 l’insértion de jeunes qui quittent le systeme de protéction apres 18 ans
 assistance et soutien pour les personnes agées
 acceuil et soin en situations d’urgence etc.
2. Les services de soin, surveillance socio-medicale

 Services de base : aide pour l’hygiene corporelle, (des)habiller, nourir, hidrater,


deplacement, communication etc.

 Services de support : aide pour preparer la nourriture, pour livrer la nourriture, faire des
achats, activités de menage, accompagner dans les moyens de transport, recréation etc.

 Services de recuperation et reabilitation : physiotherapie, psychotherapie, logopédie etc.

 Services de reabilitation et adaptation de l’ambient : aménagements, réparations etc.

 Les furniseurs de services sont personnes physiques ou juridiques, publiques ou privés qui
sont acreditées dans les conditions de la loi; le personnel de specialité est formé en
institutions d’enseignement supérieur.
 Les standards de qualité etablis par MMSSF.
 Les furnisseurs ont des contrats, conventions.
 Les membres desfamilles et les volontaires peuvent être impliqués.
 Les services spécialisés sont realisés par les équipes pluridisciplinaires (assistant social,
assistent maternel, intendant, accompagnateur, assistent personnel, éducateur specialisé,
psychothérapeute, psychopédagogue, thérapeute, kinetothérapeute, logopede, médecin etc.
La sollicitation - en étapes :
 Evaluation initiale
 Plan d’intervention
 Evaluation complexe
 Plan individuel
 Implementation des mesures du plan
 Monitorisation
 Reevaluation

Les Services communautaires d’assistance sociale (l’administration publique locale paye le furniseur pour un service
accordé au beneficiaire)
changer les mentalités et acquerir un minimum de connaissances de culture sociale, culture de la vie saine.
impliquer les specialistes bien formés
impliquer les ONG
developper, diversifier les services, leur efficacité
un systeme correcte de monitorisation des services et de fonds depensés.

Les Services specialises d’assistance sociale en institutions et au domicile: enfants, pers.handicap, personnes agees;
services sociales : soin, prevention de la marginalisation, integration, conseils juridiques, administrative, soutien pour le
payement de dettes, menage du logement, preparation de la nourriture etc.
services sociomedicales : hygiene personnelle, readaptation physique et psychique, adaptation de la maison en foction
des besoins de la personne etc.
Les memes services dans les foyers pour les personnes agées.
 L’Accueil dans les institutions d’assistance sociale se realise quand le maintien au domicile n’est pas possible ; il faut une
évaluation sociale et sociomédicale de la personne.
 Il y a un nomenclateur des institutions d’assistance sociale.
 Problemes sociaux lies aux familles:
 familles desorganisées,
 Orphelins,
 abandon familial,
 Monoparentalite,
 enfants seuls,
 Divorcés,
 problemes d’ordre économique : revenu insufissant, budget desequilibré etc.
 problemes d’ordre éducatif : negliger, nesurveiller les enfants, manque de soin
 problemes d’ordre socio-afectif : mécontentements, tensions etc.

 Problemes sociaux lies au travail :


 manque d’emplois
 qualification incomplete
 instabilité au lieu de travail
 etc.

 Autres :
 Vagabondage,
 sans-abris
 mandience
 prostitution
 consommation d’alcool
 migration (i)legale etc.
FINANCEMENT:
 Le budget d’Etat
 Le budget local
 Fonds extrabudgetaires, donations, sponsorisations, contributions des
beneficiaires.
 Fond Roumain pour Developpement Social (Loi 129/1998)
 Activites autofinances

Les projets eligibles actuellement:


 Centres de jour
 Services pour promouvoir la sante
 Soin au domicile
 Abrit temporaire
 Centre d’information et conseil
 Centre d’integration sociale etc.
LA REFORME DU SYSTÈME

 Les arrangements institutionnels ont été le résultat des intérêts politiques internes et de réactions aux pressions
occidentales (Banque mondiale, FMI, UE) afin de rejoindre les structures euro-atlantiques, ou imposer des
conditions sur les prêts...
 Nominations à des postes sur des critères politiques (postes qui demandaient compétence, d’où l’entree dans la
structure des opportunistes incompétents qui ont commencé chaque fois de « zéro » …)
 Compensation de l'inefficacité par indemnisations généreuses et "dons" électoraux (fait qui a conduit à une
dépendance accrue de l'Etat de nombreux segments sociaux…),
 Ignoration de groupes sociaux à risque reel, mais sans impact contestataire et électoral.
 retraites anticipées, départs en retraite frauduleuse, retraites de luxe (MAPN, MI, SRI etc) ; ont conduit à
augmentation du nombre de retraités à 6 millions, tandis que le nombre d'employés est 5 millions (d’où
déséquilibres majeurs dans le système de protection sociale).
 La baisse du taux de natalite et de mariage (nombreux jeunes, en particulier de zones rurales, ont quité le pays
pour trouver un emploi).
 niveau des pensions et des salaires très faibles pour les plus nombreux, et tres hauts pour les privilégiés (les
élus ont voté eux-mêmes leurs pensions spéciales, les magistrats ont donné de verdicts afin d’avoir salaires et
pensions privilégiés, ainsi que les personnes retraitées du MI, MAPN, SRI, SIE, ME …
 les fonctionnaires publics etc ont eu leur système de rémunérations spéciales, benefices etc.
 Meme les prêtres - catégorie sociale qui à une grande influence dans les communautés et sur les politiques - ont
reçu des privilèges (salaires, subventions pour la construction et la réparation des églises, l'introduction de la
religion à l'école pour donner emplois au milliers des diplômés des facultés de théologie)...

Dans ce contexte,
 une polarisation des revenus
 ressources insuffisates pour les catégories qui sont vraiment à risque et ne demandent des aides...
La plupart des documents, lois etc. sont similaires a celles européenne ;
 la Roumanie a dû les appliquer ...
 Un gros problème est le manque de l'approche intégré et de la capacité de mise
en œuvre de stratégies

Effets négatifs :
 l'absence de cohérence decisionnelle et institutionnelle, expérimentation
continue, provisorat, incertitudes…
… toutes ont été estompees entre 2000 - 2008 grace a l'opportunité de travailler à
l'étranger.

 Après 2008, le contexte social est différent ;


 la crise économique etc. a eu des effets sur ​les revenus qui continuent de
baisser ;
 la demande accrue de protection sociale ; en même temps - la réduction des
revenus de l'Etat
 il faut ajouter les risques d'une population vieillissante, de la migration massive
et d’autres déséquilibres socio-démographiques...
Suite à l'analyse des politiques sociales, la Commission
Présidentielle a identifié (2010) les principaux problèmes:

 manque de cohérence institutionnelle, de vision et de


planification stratégique fondée sur donnees, evidences,
 l'absence de système de suivi et d'évaluation comme pratiques
de correction
 inefficacité, budgets déséquilibres
 inégalités dans la répartition des ressources
 risques sociaux posés par la crise économique interne et
européenne etc.

Plus concretement:
REVENUS, INEGALITE, PAUVRETE

 Revenu moyen des ménages en Roumanie est un quart du revenu moyen des ménages dans les anciens
États membres de l'UE (UE-15)
 La Roumanie est parmi les pays européens à forte incidence de la pauvreté ( 19% en 2010).
 Les populations les plus exposes au risque de pauvreté sont : les enfants, les personnes âgées seules, les
agriculteurs chômeurs, les retraités, les tziganes etc.
 Le risque de pauvreté est plus élevé dans la population rurale et la population du Nord-Est, Sud-Est et du
Sud-Ouest du pays etc.

Propositions:
 distribution et redistribution des revenus centrées sur les familles avec nombreux enfants,
 encourager les jeunes et les chomeurs entrer sur le marché du travail,
 encourager ceux en préretraite restent plus longtemps au travail,
 garantir un revenu minimum pour les personnes âgées sans pension, pour les autres qui n’ont revenus.
 une loi unique pour les salariés budgétairs afin de réduire / éliminer les inequités du système.
 corrélation des revenus (salaires, bénéfices, etc.) avec les taxes / cotisations au système de sécurité
sociale
 relations bien pensés, harmonisés et réglementés entre le salaire minimum, les allocations de chômage,
la pension etc
 système de prévention et de contrôle de l'allocation des ressources publiques pour prévenir
et éliminer les inégalités et la fraude.
 L’interdiction par la loi, de toute approbation des dépenses, sans
couverture budgétaire certifié par le Ministère des Finances !
RISQUES, VULNERABILITES ET SOLUTIONS LIEES A L'EMPLOI

Une minorité d'employés soutienne l'économie, le budget, la population


La Commission presidentielle a identifié les principaux risques du marché du travail:
 (1) travail dans le secteur informel, noir, gris
 (2) travail dans le ménage, l’agriculture de subsistance);
 (3) chômage de longue durée;
 (4) impossibilite de rentrer sur le marché du travail (ex. femmes de 45-50 ans etc.)
 (5) l’appauvrissement de ceux qui travaillent etc.

Propositions prioritaires:
 La création d'emplois (exploitations minieres, PME etc.)
 Les jeunes de zones rurales, les tziganes, les femmes - groupes cibles prioritaires pour les
politiques de l'emploi.
- Mise en œuvre des programmes de travaux publics en se concentrant sur les zones rurales et pauvres.
- Promotion des formes flexibles d'emploi etc.

 - Améliorer l'employabilité (et la sécurité de l'emploi) par la formation professionnelle,


l'apprentissage continu tout au longue de la vie
 - la suppression des obstacles à l'entrée / au retour sur le marché du travail etc.
PROBLEMES,RISQUES ET SOLUTIONS POUR LE LOGEMENT

 En Roumanie - le plus faible taux de construction en Europe (centrale et orientale).


 Les maisons sont souvent anciennes et de mauvaise qualité ( 51,7% construit avant 1970).
 Environ 55 % sont connectés à l'eau potable,
 45% sont connectés au reseau de canalisation
 97% sont connectés au réseau électrique etc.

 L'accès des jeunes a un logement est difficile, surtout dans les zones urbaines (ne peuvent accéder aux prêts
hypothécaires; devraient faire économies plus de 30 ans pour acheter un appartement de deux chambres…)
 la plupart des tziganes vive dans les mauvaises conditions de logement (effets sur d'autres aspects importants
de leur vie, en particulier sur l'éducation et l’acces a la santé).
 le nombre de personnes sans-abri : 10 000-12 000 (24 morts pendant les derniers jours …)

Mesures prioritaires:
 L'augmentation des dépenses publiques pour logements
 Accroître l'accès aux services publics (eau etc.) en particulier dans les zones rurales.
 programme de micro-prêts pour améliorer les conditions de vie, isolation thermique, reparation des facades etc.
 Amélioration de l'accès à un logement décent pour les tziganes
 programme de logement pour les jeunes
 refuges et services pour les sans-abri etc.
LE SYSTEME DE PROTECTION SOCIALE

 Les pensions et les assurances santé - environ 78% des dépenses sociale totales
 Les dépenses annuelles totales pour les retraites - plus de 10 milliards euros (la plus grande
catégorie de dépenses budgétaires - environ 7,8% dans le PIB, en 2010).
 régimes spéciaux injustes, pensions d'invalidité incorrectes (le nombre de pensions d'invalidité a
augmenté quatre fois depuis 1990 ...)

Mesures:
 Réduction du nombre de retraités
 élimination de retraites aberrantes (exagérément élevés)
 Réduction du nombre de revolutionnaires remuneres
 Augmentation de l'âge de la retraite à 65 ans pour les deux sexes
 éviter de déséquilibrer le fond de retraite par decisions politiques ou judiciaires
 l'unification du système public de retraite etc.
SERVICES D’ASSISTANCE SOCIALE
 une concentration des services et institutions dans les villes chefs de
departement, loin des bénéficiaires, des communautés rurales…
 services publics sociaux (SPAS) dans les zones urbaine, mais en milieu rural 18% en
2010...
 l'amplification des problèmes sociaux et l'émergence des autres - "neufs" pour la société
roumaine : trafic de personnes, prostitution, consommation de drogues etc.
 Problèmes à long terme pour des personnes âgées dans les zones rurales etc.

Propositions:
 un système (de services) d’assistance sociale suffisant afin de prévenir et empecher
l'aggravation de cas sociaux
 contrats des services sociaux
 développement du partenariat public-privé
 parce que les services dans les centres de soins de jour sont coûteux pour une
collectivité, sont necessaires centres de conseil et de soutien pour les parents etc.
dans le milieu rural etc.
SANTÉ
 L’effort publique pour la santé est très faible (par rapport à celui d'autres pays
européens) ; mais a augmenté de 1 milliard euros en 2000, a 5 milliards en 2010.
 Toutefois, il y a un décalage entre régions, communautes en ce qui concernent les
infrastructures et le personnel médical et pharmaceutique
Dans les zones urbaines sont:
 88,8% de tous les hôpitaux,
 91,7% de tous les cabinets médicaux,
 92,3% des centres de diagnostic et de traitement,
 98,1% des cabinets de specialite
 79,5% de toutes les pharmacies...

Propositions:
 programme national pour garantir l'accès aux services de santé de base et aux
pharmacies dans les zones rurales
 la réorganisation du système (la Loi de santé actuelle 2012 et les revoltes dans tout
le pays ...)
 Introduction d'assurance privée complémentaire etc.
EDUCATION
 La participation à l'éducation est similaire à d'autres pays européens
 La massification de l'enseignement supérieur
 Difficultes d’acces pour les jeunes issus de familles très pauvres et les tziganes
 Decalages etno-socio-culturelles etc.

Mesures
 Évaluation de la qualité de l'éducation (la nouvelle Loi de l’education - 2011)
 renforcer la collaboration entre l'école et les travailleurs sociaux en milieu
scolaire
 l'extension et modernisation d’ecoles (maternelles etc.)
 curriculum axé sur le développement des compétences, mieux adapté aux
réalités actuelles et aux exigences des employeurs.
 L'utilisation des NTIC (facilites pour les enfants de familles pauvres etc.)
 soutenir et de développer les programmes de type «la deuxième chance» etc.
GROUPES SOCIAUX A RISQUE ELEVE D'EXCLUSION SOCIALE

 Les enfants
 Si en 1989 en Roumanie les « maisons d’enfants », les «orphelinats» ont accueilli plus de 100.000,
en mars 2009, leur nombre a diminué à 19.856 (desinstitutionnalisation); même si des progrès
sont visibles, le nombre d'enfants à risque s’est peu diminué.
 Un problème majeur : la protection des enfant restes a la maison, les parents a l’etranger
(risque de maltraitance des enfants, d'exploitation par le travail etc.)
 Insertion socio-professionnelle des jeunes qui quittent le système aide à l'âge de 18 ans.

 Les personnes handicapées


 L’augmentation du nombre de personnes handicapées après 1990 (souvent frauduleux …)
 confusion dans les statistiques sociales disponibles aux ministères …

Mesures prioritaires
 une evidence claire et cohérente du nombre des personnes a risque, handicapées etc.
 Révision et unification des règles, des procédures pour encadrer dans un niveau, degré d’
handicap etc.
 Promouvoir les soins communautaires et a domicile
 Accroître l'accès public pour les personnes handicapées etc.
TZIGANES
(environ 600 000 en 2012 – recensement 2011)
 Les tsiganes sont victimes de discrimination directe ou indirecte.
 Une grande partie vit dans la banlieue de la société.
 Le risque de violence ethnique ne peut être négligée ( exploité politiquement -
comme en Italie, particulierement penadnat la crise économique actuelle…).
 Sortie premature du système d'éducation, associée à une trajectoire de vie difficile
 Seulement 53% des hommes et 23% des femmes effectuent un travail rémunéré
(seulement 27 % des hommes salariés)
 Environ 15% n'ont pas accès à l'électricité dans la maison etc.
 Polarisation forte a l’interieur de l’ethnie etc.

Propositions:
 La Strategie pour … continue
 un guide pour la surveillance des données privées afin de permettre le suivi et
l'élaboration des politiques adaptées à leurs besoins
 mécanismes de contrôle des aides etc.
LE CADRE INSTITUTIONNEL POUR LES POLITIQUES SOCIALES

 Au niveau local, en milieu rural - manque (peu) des services sociaux


 Agglomeration d'institutions dans les villes capitales de departement, grands villes
 fragmentation institutionnelle (un grand nombre de ministères et d'organismes qui
s'occupent de memes groupes et memes sujets (par exemple : Agence de famille,
Agence pour la protection de l'enfance, l'Agence pour les personnes handicapées,
l'Agence pour l'égalité des chances, l'Agence pour l'emploi, l'Inspection sociale,
secretariats d’Etat etc.
 le système de protection sociale est parfois hors contrôle et développé injustement,
incohérent et inefficace.

Propositions:
 création de l’Observatoire social national,
 un rapport annuel sur la situation sociale
 Plan opérationnel pour l'application du Pacte social, en particulier pendant la crise
actuelle etc.

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