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16 mars 2018
Cours : Connaissances Générales
Sous la direction de Matthieu Pellet
Piera Honegger -Vanessa Guglielmino
Léo Morax - Erika Fauchere- Charlotte Von Doderer
Quelles sont les différences de représentation de la souffrance chez Hésiode et
chez Eschyle, et cette notion de souffrance se conjugue-t-elle chez chacun avec
l’idée de destin?
1. Les dons de Prométhée
1.1 Le sacrifice
Hommes
Viande Bonne partie Créatures Mortelles
Dieux
Os Mauvaise partie Créatures Immortelles
1. Les dons de Prométhée
1. 2. Le feu
Avec le feu Sans le feu
Dieu Dieu
FEU
=
Signe
distinctif
Hommes de
l’homme
“Ainsi, dans les ruches bien abritées, les abeilles nourrissent les frelons,
compagnons d'oeuvres mauvaises ; alors que, tout le jour jusqu'au
coucher du soleil, sans cesse, elles s'empressent de construire leurs rayons de
cire blanche, eux, au contraire ; sans bouger de l'intérieur, dans les ruches bien
abritées, ils recueillent, dans leur ventre, la moisson, fruit des fatigues d'autrui.”
Femme comme un mal nécessaire
Hésiode, Théogonie, 603-605
“Mais la femme ayant, de ses mains, soulevé le couvercle de la jarre, laissa les
maux se répandre et prépara, pour les hommes! de tristes soucis . Seul, l'Espoir
restait où il était, dans son infrangible prison, à l'intérieur de la jarre (...)”
Sentiment de misogynie chez Hésiode
● souffrance matérielle
2. La femme
- Contextualisation: le sort d’Io dans
Prométhée enchaîné
• La souffrance physique
Prométhée enchaîné, Eschyle, l.681-682: «…tandis que
moi, piquée du taon, je cours toujours sous l’aiguillon divin,
chassée de pays en pays.»
La femme salvatrice chez Eschyle
Elpis: espérance-espoir
Souffrances-espoir-destin
3
Hypothèse 1:
Les maux se répandent sur les hommes, l’espoir resté dans la jarre n’est pas, ou
plus, possédé par les hommes.
Souffrances-espoir-destin
Hypothèse 2:
Les maux qui sortent de la jarre représentent ce que les hommes ne maîtrise plus.
L’espoir devient illusoire car il n’est plus associé au contrôle.
Hypothèse 3:
L’espoir n’est pas libéré mais tout de même présent dans la vie des hommes.
Comme une menace qui pousse à la paresse, donc à la mort. Sorte d’espoir vide,
sans objet.
Conclusion
Quelles sont les différences de représentation de la souffrance chez Hésiode et
chez Eschyle, et cette notion de souffrance se conjugue-t-elle chez chacun avec
l’idée de destin?