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Sommaire
1) Introduction
2) Objectifs des contrôles non destructifs
2) Principe doctrinal du contrôle
3) Examen visuel
4) Ressuage
5) Magnétoscopie
6) Courants de Foucault
7) Essais hydrauliques
8) Test d ’étanchéité ( hélium)
9) Rayonnements ionisants ( radiographie et gammagraphie)
10) Emission acoustique
11) Les ultrasons ( notions fréquence, mesures épaisseurs…)
12) Tableau de synthèse comparatif
13) L ’application aux bouteilles de plongée
14) Conclusion
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Positionnement du contrôle dans l’entreprise
Etudes et Spécification
de
fabrication
Réalisation du produit
Contrôle du produit
Conformité ???
Service Contrôle
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Principe doctrinal du contrôle
Produit à
contrôler Qualité Produit
Sécurité
Fiabilité
Pourquoi? Coûts...
Critères
d ’évaluation
Décision
( acceptation ou rebut)
Démarche Qualité4
Les acteurs du contrôle: « les contrôleurs »
Industrie FFESSM
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Les techniques Contrôle et leur objectif
Non destructifs
Destructifs
Visuel, ressuage,
Essais mécaniques vide,radio…..
Métallographie
Intégrité du matériau
Dégradation du
Connaissance des
matériau
défauts
( localisation, géomètrie...)
Souci Qualité,sécurité
d ’économie...
Stage National TIV-Version 2006 7
Définition du contrôle non
destructif
Variantes
Assistance de matériel complémentaire ( loupe, miroir, endoscope, fibroscope)
Règles
Tout examen visuel doit être réalisé suivant des prescriptions définies dans un
ensemble de documents( procédures, spécifications lesquels doivent comporter à
minima les informations suivantes:
Type, forme et dimensions des éléments examinés
Références des documents applicables ( ex:spécification FFESSM)
Caractéristiques du matériel de contrôle
Processus de contrôle: zones d’examen, état de surface….
Critères d’acceptation d’après la spécification de contrôle avec un référentiel
( CODAP,SNCT, RCCM,FFESSM…)
Qualification et références du contrôleur 9
L’examen visuel 2/3 Les moyens 1/2
L’ oeil Loupe
La lampe du TIV
L’examen visuel 3/3 Les moyens 2/2
Les fibroscopes
L’imagerie associée
Caméra
Exemple: flamme
Stage National de four
TIV-Version 2006 Ecran de visualisation
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Le Ressuage 1/10
Principe:
Détection de cavités débouchantes à la surface d’un matériau qui repose sur la
Capacité de certains liquides à pénétrer, puis à ressuer par capillarité, dans ces
discontinuités géométriques
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Le Ressuage 2/10
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Le Ressuage 4/10
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Le Ressuage 5/10
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Le Ressuage 6/10
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Le Ressuage 7/10
Ressuage classique
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Le Ressuage 9/10
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La Magnétoscopie 1/4
Conditions opératoires:
- un aimant ou un électro-aimant
- des matériaux ferromagnétiques
- des défauts proches de la surface ( débouchants ou non)
Principe:
-La zone à contrôler est soumise à un flux magnétique, crée par l’aimant
-projection de poudre magnétique, qui se répartit de manière homogène si la pièce
est saine
-agglomération de poudre dans les zones de défauts
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La Magnétoscopie 2/4
Le principe
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La Magnétoscopie 3/4
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La Magnétoscopie 4/4
Les limites de la technique
Conditions:
-Matériaux conducteurs d’électricité
-Capteur générant un champ magnétique
-Création de courants induits « courants de Foucault »
-Présence de défauts créant une variation d’impédance du capteur
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Les Courants de Foucault
Principe
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Les Courants de Foucault
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Les Courants de Foucault
Les limites de la technique
Fonction de la fréquence
Les moyens:
- Eau
- Pompe épreuve Opérateurs de contrôle
- Manomètres de contrôle
( pompe, sur la rampe, bouteille) Procédure, protocole
- Flexibles de raccordement
- Vannes d’isolement Critères
- Vannes de purge
- Caisson type « bunker » ( ?)
- Moyens visuels de contrôle
Conditions d’acceptation:
1) Pas de fuite
2) Pas de déformation permanente
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Les essais hydrauliques 2/2
Principe:
Toute perte d’étanchéïté se traduit par une fuite que le contrôleur se doit
de détecter,
de localiser
de quantifier, si possible ( notion de taux de fuite
Les techniques:
La bulle dans l’eau
La mousse de savon ( ou le détecteur type « mille-bulles)
L’ammoniac
Les halogènes
L’oxygène-mètre
La technique à l’hélium ( la plus courante dans l’industrie)
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Tests étanchéité 2/4: le test Hélium
Principe:
La paroi dont on veut contrôler l’étanchéité est soumise à une différence de pression:
Gaz: l’hélium du fait de sa « fluidité »( bonne diffusion ( très sûr en terme de détection)
Capteur: un spectromètre de masse calé sur l’hélium
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Tests étanchéité 3/4: le test Hélium
2 techniques :
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Tests étanchéité 4/4 : le test Hélium
Les matériels
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Rayonnements ionisants 1/15
Principe:
Les moyens:
Principe général
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Rayonnements ionisants 4/15
La Radiographie
Principe:
Le rayonnement X est émis par un tube en verre ou en céramique sous un vide poussé
comportant, une cathode émettrice d’électrons ( par effet thermo-ionique) et une
anti-cathode encastrée dans une anode inclinée, portée à un potentiel électrique
Élevé ( 100 à 400 kV). Le champ électrique ainsi crée, permet l’accélération des
électrons arrachés à la cathode et qui viennent percuter la « cible », provoquant ainsi
la production du rayonnement X ( 0,01 nm < L< 0,18 nm).
Il est en principe récupéré au travers une fenêtre latérale
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Rayonnements ionisants 7/15
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Rayonnements ionisants 8/15
Principe de la Gammagraphie: :
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Rayonnements ionisants 9/15
Les caractéristiques des rayonnemments en gammagraphie
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Rayonnements ionisants 10/15
Le Matériel en gammagraphiel
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Rayonnements ionisants 11/15
Les limites de la méthode
il est plus délicat de mettre en évidence une bulle d’air dans un matériau léger
( type caoutchouc que dans l’acier
un défaut plat ( fissure) , ne sera détectable que dans la mesure où il est dans
une orientation correcte par rapport à la direction du rayonnement
Il est difficile, voire impossible de détecter des défauts mineurs derrière
une particule lourde
Stage National TIV-Version 2006 47
Rayonnements ionisants 12/15
Les limites de la méthode
Etat de surface:
Exemples
Corps de Vanne
Avantage:
Rapidité de contrôle
Possibilité de réaliser les contrôles sans altération du process
Domaine d’application
Les gaz:
Les molécules sont
très éloignées
Les liquides:
Molécules plus proches, moins
Mobiles car elles s’attirent
Les solides:
Les molécules sont très proches.
Ils sont dits cristallisés ( sous forme
de réseaux)
Le principe:
LA PERIODE ( T):
Le temps qui s’écoule entre 2 passages de la masse, dans le même sens, à
un endroit donné ( par exemple pour un maximum d’amplitude)
Unité: Seconde
LA FREQUENCE:
Le nombre de cycle du phénomène par seconde (F= 1/T)
Unité: le Hertz ( Hz)
Par exemple un événement se reproduisant 1 fois par seconde, a une
fréquence de 1 Hz Stage National TIV-Version 2006 58
Les ultrasons: les paramètres2/2
Les différents paramètres d’une onde 2/2
Enregistrement du déplacement
La longueur d’onde ( λ) :
La distance qui sépare 2 points dans le même état vibratoire
Unité: mètre
Exemple du ressort
Dans la matière
( propagation dans tous les milieux)
La vitesse de l’onde
Exemple du ressor:t
Dans la matière
( pas dans les gaz et les liquides)
La vitesse de l’onde
Définition:
Chaque matériau est caractérisé, en ce qui concerne son comportement face
aux ondes acoustiques qui s’y propagent, par son impédance acoustique ( Z)
capteur
ondes
Bouteille de plongée
Exemple industriel
Principe:
Toute discontinuité ou interface se comporte comme un réflecteur vis à vis des ondes
acoustiques. De ce fait, connaissant les caractéristiques du matériau et des ondes
( notamment la vitesse de propagation ( V) et les temps de parcours ( t)), il est possible
de calculer la distance correspondante, avec la relation:
Nota:
attention la distance correspond à un trajet aller et retour dans le matériau.
Ainsi pour accéder à l’épaisseur il faut diviser par un facteur 2
Nécessité d’avoir une référence préalable ( étalonnage notamment- cf TP)
La pérennité de l’action TIV est basée sur la Qualité du processus de formation des
Techniciens FFESSM et de leurs prestations au « quotidien »