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Perspective
Les premiers historique
modèles de formation
• L’Ecole Polytechnique 1794 – 1850
• Belhoste,
CommissionDahan-Dalmedico etde
Internationale Picon (1994)
l’Enseignement de
Mathématiques (CIEM)
Monge : le modèle « encyclopédiste » (1794)
une alliancethéorie/applications
possible entre les Sciences et les Arts
Disciplines intermédiaires
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 4
contexte expérimental théorique expérimental projets cours perspectives
Contexte actuel
théorie-modélisation mathématique
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 5
Contexte actuel théorique expérimental projets cours perspectives
Mathématiques dans les pratiques professionnelles
Invisibles
« Une fois qu’on a quitté l’université nous n’utilisons
pas les mathématiques que nous avons apprises,
calculer un carré ou un cube est la chose la plus
complexe que l’on fait. Pour la plupart des ingénieurs
dans cette entreprise, une affreuse majorité des
mathématiques qu’on nous a enseignées et je ne dirais
pas apprises, n’ont pas encore fait leur apparition »
(Kent et Noss, 2001)
Prudhomme (1999)
Le monde industriel : « Les outils utilisés (abaques, formules,
connaissances empiriques, maquettes…) sont légitimés par
l’expérience.
Le monde universitaire : « Les connaissances et leurs usages sont
construits pour une finalité disciplinaire, pour répondre à une
prescription de l’enseignant, sans que l’on sache si elles deviennent
réellement un moyen de résoudre des problèmes dont les solutions
restent d’ailleurs virtuelles. »
Kent et Noss (2001)
• Réduction de la place accordée aux mathématiques
• Problématisation et incorporation de la technologie
Bourguignon (2001)
« l’évolution des formations demande de développer une vision plus
générale des mathématiques prenant en compte les types de
contenus déclinés en compétences, concepts et modèles
mathématiques, en connexion étroite avec les autres disciplines »
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 8
Contexte actuel théorique expérimental projets cours perspectives
Quelle place accorder aux mathématiques
dans une formation d’ingénieurs ?
• le choix fait de me situer dans un modèle de
formation d’ingénieurs qui soit proche du monde de
la pratique
Praxéologie [T/τ/θ/Θ]
θ technologies [θ/Θ]
Bloc technologico-théorique
Θ théories
“savoir”
Institutions
d’enseignement E(M) E(DI)
Projets
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 11
Contexte actuel théorique expérimental projets cours perspectives
Modèle élargi de la technologie
(Castela, 2008)
th
T , τ , θ, Θ P(M)
θ p
P(DI), Ip
Institutions
utilisatrices
Six fonctions de la technologie
1. Décrire
2. Motiver
3. Favoriser
4. Valider
5. Expliquer
6. Evaluer
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 12
Contexte actuel théorique expérimental projets cours perspectives
Contexte et méthodologie expérimentale
Projets d’ingénierie
• réalisés par des équipes d’étudiants en quatrième année de
formation
• durée de cinq semaines (200h)
Soufflerie
Bloc en béton
i(t )k Cm e(t ) k (t )
U ( p) E ( p) C m ( p) C r ( p)
I ( p) ( p )
R Lp ( Jp f )
1
( p ) 1
I ( p)
R
U ( p) E ( p) L C m ( p) C r ( p) ( Jp f )
1 p
R
1 1
( p) C m ( p) C r ( p)
f
I ( p) U ( p) E ( p) R 1
1 p
L
1 p
R J
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 22
contexte expérimental théorique expérimental projets cours perspectives
3) Du modèle mathématique au « schéma bloc »
1 1
U ( p) I ( p)
U ( p) E ( p) R I ( p) +- R
L
L 1 p
1 p E ( p) R
R
I ( p) Cm
I ( p) K C m K
1 C r ( p)
C m ( p ) C r ( p ) ( p )
f
1
jp Cm ( p) ( p)
1 +- f
f 1
jp
f
( p)
E ( p) k( p) E ( p)
K
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 23
contexte expérimental théorique expérimental projets cours perspectives
Schéma bloc
Cr ( p)
1 1
U ( p) I ( p) Cm ( p) + ( p)
+- R
L
K - f
1 p 1
jp
E ( p) R f
technologique
U ( p) E ( p) RI ( p) reflétant
LpI ( p) si onl’utilisation
fait par exemplefaite de la I(p))
ça (factoriser
transformée de Laplace. L’accent est mis sur la
On aura I ( p)( R Lp) U ( p) E ( p) donc ça, ça veut dire que
succession des calculs algébriques plus que sur la
U ( p) E ( p) I ( p)
1
transformation R Lp et si
elle-même on fait l’inverse U ( p) E ( p) R Lp
I ( p)
dny d n1 y d mu
dt dt Notion
bn n bn1 n1 b1
dy
dt
b0 y am m a1
dt
du
dt
a0u
dy d2y dny
L p.Y ( p) L p .Y ( p) L p n .Y ( p)
d’automatique
2
dt dt dt
bn p nY ( p) b1 pY ( p) b0Y ( p) am p mU ( p) a1 pU ( p) a0U ( p)
am . p m a1 p a0
Y ( p) H ( p).U ( p) .U ( p)
bn . p b1 p b0
n
Moteur
Commande Fonction
du moteur de sortie
Moteur
Moteur
Tâche : Dimensionnement
des lames
Lames
portance 9N et 15N
traînée 0,4N et 0,8N
F force appliquée
x -3== 6FL/Ebh²
10 L distance
b longueur de la lame
h épaisseur de la lame
F E module de Young
Acier = 21000kg/mm²
h Aluminum = 7000kg/mm²
L
Tâche
« Dans ce système de mesure de déplacement par
ressort, nous chercherons donc à maximiser la flèche
afin d’avoir une grande plage de mesure d’efforts »
F
h
L L b
FLx 2 Fx 3
y C1x C2 les conditions aux limites nous donnent :
2EIz 6EIz
En x = 0 y’ = 0 et donc C1 = 0
de même en x = 0 y = 0 et donc C2 = 0
FL3
Nous avons donc la formule de la flèche en x = L : y =
3EI z
pour le cas d’une lamelle en flexion simple comme modélisée ci-dessus. »
350
300
250
200
182,857
150
100 102,857 La largeur en fonction de la flèche
50
65,829
45,714
33,586 pour l’effort de la traînée
0
0 50 100 150 80
20 17,143
10 10,971
7,619
5,598
0
0 50 100 150
Fleche (y en m m )
Internet
• La recherche d’information y compris relative à des contenus
de formation passe de façon souvent privilégiée par l’usage
d’Internet
Perspective historique Cadre Contexte et méthodologie Analyse de Analyse de Conclusions et 39
contexte expérimental théorique expérimental projets cours perspectives
Analyse praxéologique des cours
• Université de Savoie
pt
L( f )( p) f (t )e dt
0