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La stabilité des réseaux de

transport

SYSTÈMES ÉLECTROÉNERGETIQUES
La stabilité des réseaux de transport

 Chaque processus transitoire est un ensemble


des changements électroondulatoires,
électromagnétiques et électromécaniques,
dont les vitesses sont différentes. Ainsi
chaque tell processus uni peut être envisagé
comme composé des quelques processus
séparés, chacun reflétant les changements
d’un groupe déterminé des paramètres du
régime pendant une étape du
développement.
La stabilité des réseaux de transport

 Pendant les processus


électromécaniques sont analysés les
changements des paramètres
mécaniques telles que les vitesses
angulaires, et accélérations, les angles
de décalage et les puissances, tensions
et courants correspondants.
La stabilité des réseaux de transport

 STABILITÉ DU SE SELON L’ANGLE


La stabilité des réseaux de transport

 On dit qu’un R. est stable


lorsque toutes les machines
synchrones qui y sont
raccordées restent synchrones
entre elles.
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 Le problème de la stabilité du SE ne
se pose donc que dans le R. de
transport. La perte de synchronisme
entraîne la coupure du R. en
plusieurs sous-réseaux où l’équilibre
production-consommation n’est plus
nécessairement assuré, ce qui
provoque des arrêts de fourniture.
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 La reprise du service par remise en


parallèle de ces sous-réseaux est toujours
longue, car elle ne peut s’effectuer
qu’entre des sous-réseaux que l’on est
arrivé à resynchroniser, et sur chacun
desquels on a pu préalablement limiter la
consommation aux possibilités de
production (ou l’inverse).
La stabilité des réseaux de transport

 Dans les R. de distribution il n’existe que peu


de génératrices synchrones raccordées
directement au R. et elles sont de puissance
faible. De plus, le R. devant pouvoir
alimenter sa charge même en cas de panne
ou d’entretien de telles génératrices, la perte
de synchronisme entre l’une d’elles et le R.
se traduit sans inconvénient par sa
séparation instantanée.
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 La fonction la plus simple pour chaque


machine synchrone dans un état stable c’est:

 puissance mécanique = puissance électrique


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aperiodique
 Stabilité statique
 oscillatoire

 selon les angles


 Stabilité dynamique
 selon les tensions
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E2 E12

G
θ12 < π
E1
G
E.U

G G Pe = sin θ
E U=const
Ug xΣ
xg xL
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 Le problème de stabilité est en général divisé en


deux catégories pour la commodité de l’analyse.
Ce sont : stabilité statique et
 stabilité dynamique.
 La distinction entre ces deux cas reste assez
théorique, car le R. subit en permanence des à-
coups généralement de faible importance, mais
qui risquent de devenir dangereux d’autant plus
que les décalages permanents entre machines
intéressées sont plus importants.
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 Or la perte de synchronisme peut se produire de deux


façons différentes:
 - par l’augmentation lente de l’angle de phase des
machines fortement chargées, jusqu’à ce que cet
angle dépasse une valeur limitée: c’est le problème de la
stabilité statique;
 - par un à-coup dans le R. dû soit à une coupure
brutale d’une charge importante ou d’un groupe
générateur puissant, soit plus fréquemment à un défaut
sur une ligne et au déclenchement de cette ligne, se
traduisant par une variation brutale d’une impédance de
transfert: c’est le problème de la stabilité dynamique.
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 Stabilité statique: l’aptitude du


système de garder le synchronisme
entre ces groupes générateurs et ses
usagers pour toutes les charges
possibles (stabilité d’opération). Dans
ce type d’études on représente les
génératrices par leurs impédances
synchrones.
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 Le cas le plus simple d’un générateur relié à un R.


assez puissant pour qu’on puisse admettre que sa
tension reste pratiquement insensible aux
fluctuations de puissance de la machine considérée
permet des conclusions (fig 9.2) Le R. puissant
sera suffisamment défini par:
 U - le vecteur tension au point d’arrivée de la
liaison avec la machine (par hypothèse U est constante en
module);
 Z  X - l’impédance de la liaison entre le
générateur et le R. (que l’on pourra remplacer avec une
approximation suffisante par son inductance XL ).
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 Chaque état du générateur (G sur la fig.9.1) est défini à


partir de:
 ZG  XG - l’impédance interne du G. supposé égale à son
inductance;
 E - le vecteur “force électromotrice” (f.é.m.) de la
machine;
 UG - le vecteur tension aux bornes de la machine
 G -le déphasage interne (entre les vecteurs E et UG )
  - le déphasage entre les vecteurs UG et U les tensions
aux deux extrémités de la liaison
  = G + G G - le déphasage entre E et U.
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 Cette relation est une fonction sinusoïdale et elle est


montrée sur la fig. 9.3.
 Chez les grandeurs données de la f.é.m. E et de la
tension du S.-U il y a une puissance maximale déterminée
par
 E.U
 Pmax = --------------- .
 x
 L’équilibre entre les couples mécanique et électrique est
établi pour les grandeurs moindres que Pmax - pour une
puissance P0 de la turbine - avec les points “a” et “b”
auxquels correspondent les angles a b .
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 Stabilité dynamique
 L’étude de comportement des rotors des générateurs est
le but essentiel de l’analyse de la stabilité dynamique. La
rotation des rotors détermine la stabilité du système.
Cette rotation est déterminée pour chaque machine de
l’inertie et des couples agissant sur son arbre et
spécialement - des couples : mécanique et électrique.
électrique
 Pendant le travail normal les machines tournent à vitesse
synchrone. Les deux couples sont balancés.
 En cas de perturbation (défaut, commutation du schéma
du R.) un couple nonéquilibré apparaît.
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 En cas de défaut le couple électrique baisse


instantanément à une moindre valeur. L’excès (le
surplus) du couple mécanique accélère le rotor. Le
calcul de ces couples donne la solution du problème

de stabilité dynamique.
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 La manière qualitative d’illustration est donnée sur la fig.9.3,a. Ici deux


machines sont connectées par deux lignes parallèles. Au point f d’une
ligne il y a un défaut. Les trois courbes sur la fig.9.3,b sont des
représentations de l’équation (9.1).
 La ligne a exprime le travail normal du R. (sans défaut). Le point A
désigne l’état normal de travail.
 La ligne b correspond à l’état de défaut quand la réactance est assez
grande pour diminuer la puissance transférée.
 La ligne c est la courbe de changement de la puissance électrique
après l’élimination du défaut par déclenchement de la ligne en panne.
 La ligne horizontale montre la puissance constante fournie (Po ) par le
moteur primaire (turbine).
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 Au moment d’apparition du défaut, l’amplitude (capacité


de transporter la puissance) baisse jusqu’au point B.
 La puissance Po est beaucoup plus grande que la
puissance électrique. Cet excès entraîne l’accélération
du rotor, l’augmentation de la vitesse de rotation et en
conséquence - la déviation de l’angle  . Le point de
fonctionnement est transmis au point C où les forces
d’accélération et de décélération sont équilibrées.
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 Mais la machine ne s’arrête pas ici. Dans le


point C elle tourne assez vite et possède de
l’énergie cinétique de trop - donc le point
d’opération se déplace vers le point D. Mais
dans cette moitié de la courbe l’énergie
électrique dépasse l’énergie mécanique
fournie par la turbine et le rotor commence
à ralentir - l’angle  s’accroît mais plus
lentement.
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 L’accélération du point B au point C dépend de


l’inertie et de l’excès de puissance - les deux sont
représentées par l’aire ABC . Si cette aire est
plus grande que celle entre les points D et C et
la courbe pour P l’excès de l’énergie cinétique
n’est pas absorbé et l’angle  continue à
grandir. La machine perd sa stabilité, et sort du
synchronisme (le point D se trouve dans la
région d’accélération du rotor).
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 Il y a des systèmes qui sont stables même en ce cas-là. Mais


normalement la protection déclenche la ligne en panne - le
point d’opération maintenant c’est le point D (fig.9.4) sur la
courbe c où le couple est un couple décélérateur. Dans le
point E l’énergie cinétique égale 0 - les aires
ABCQ = QDER.
 Mais en point E l’énergie électrique dépasse l’énergie du
turbine et le rotor commence à ralentir - le point d’opération
est transféré vers le point G le long de la courbe c etc.
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 Après quelques oscillations le point F


est atteint le point où les couples sont
équilibrés.

 La fig.9.6 montre les changements de


l’angle  dans le temps.
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Courbes de changement de l’angle  - fig.9.6

 a

t
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 La probabilité d’apparition d’un tel incident est


heureusement devenue très faible car des mesures
ont été prises pour en reduire le risque:
 - reduction des temps d’élimination des
cour-circuits sur le réseau 400 kV et pratique
du déclenchement - réenclenchement monophasé;
 - emploi de régulateurs de tension et de
vitesse à action rapide.
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 FIN

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