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M
Liaison Téléinformatique
Õ
ASPECT ELECTRIQUE
LES CIRCUITS DE JONCTION DISSYMETRIQUES ET SYMETRIQUE
SPECIFICATIONS MECANIQUES
6
L¶évolution Technologique plus l¶alliance des Télécommunications et de
l¶Informatique ont conduit :
- A une distribution des applications sur les équipements reparties au
sein des Entreprises
- A une forte pénétration des terminaux dans tous les secteurs de
l¶activité
- A la mise en place des systèmes de toute nature devant dialoguer entre
eux
Les contraintes Techniques et économiques font en plus apparaître les
besoins de :
- Spécialiser certains ordinateurs
- D¶avoir des Données communes
- De banaliser les terminaux pour pouvoir accéder a n¶importe qu¶elle
application
- Trouver des structures de circulation et de manipulation de
l¶Information . plus proches de la structure même des organisations et
des utilisateurs .
C¶est a ces objectifs , besoins et contraintes , que répond La
TELEINFORMATIQUE
Liaison Téléinformatique
DTE
DTE
Modem
DCE DCE
Modem
Ê
G ETTD : Equipement Terminal de Traitement de données
- ETCD : Equipement de Terminaison de circuit de données
- MODEM : Modulateur ± Démodulateur
- ERBDB : Emetteur ± Récepteur- Bande de base
Commutateur paquet
Réseau Commutateur téléphonique (RTC =Réseau
téléphonique Commuté ) - Réseau de TRS
-
Les organismes internationaux
mm
10 1 0 0 0 10 0 0 0 1101 0 010
m
Mériode d¶un signal analogique : c¶est le temps T qui sépare deux
valeurs d¶amplitude égales après changement d¶alternance .
- 9réquence d¶un signal périodique : la 9réquence d¶un signal
périodique est égale aux nombres de périodes en une seconde .
-
- Se signal numérique : n signal numérique est un signal à valeurs
d¶amplitude discrètes(2,4, )
ignal numérique à 2 valeurs de tension : ¶est un signal binaire .
haque valeur est représentée par un bit ; par exemple
m-
Sig al ¶h rl g
Sig al ¶i f rmati
Sig al ¶h rl g
: ¶
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a
fréqu
m
T F
ignal d¶in9ormation ou signal code : ¶est un signal électrique à deux
états représentant d¶une manière aléatoire les deux éléments binaires 0 et
1
xemple : soit le signal d¶in9ormation du mot M en code II sur 7
bits Sa combinaison code du mot M est :
101000010000011010010
Se signal d¶in9ormation ne peut être déterminé qu¶après avoir dé9ini le
signal d¶horloge qui le pilote pour en déterminer la durée des bits . en
e99et la durée des bits est égale à la période du signal d¶horloge
onc on a :
ombinaison code 1 0 10 00 0 10 00 0 0 110 1
ignal d¶horloge
ignal d¶in9ormation en
ode BIN I
RESEA
U
orloge
orloge orloge
Notion d¶horloge
La synchronisation des différentes horloges mises en œuvre dans les systèmes de transmission est
l¶une des préoccupations principales des concepteurs de systèmes de transmission. Les dérives
d¶horloge et, par conséquent, les pertes de synchronisation sont, aujourd¶hui, les principales causes
des pertes de données et des erreurs de transmission dans les réseaux.
Les bits sont émis au rythme de l¶horloge locale de l¶émetteur que nous supposons stable. L¶horloge
du récepteur est supposée fonctionner à la même cadence ou fréquence (nombre d¶instants
significatifs par seconde identique). Cependant, rien ne permet de garantir sa stabilité. La fréquence
varie, on dit que l¶horloge dérive. En admettant que lors de la réception du premier bit, l¶horloge du
récepteur soit parfaitement calée sur l¶horloge d¶émission (synchronisée), la dérive de l¶oscillateur
local du récepteur fait que quelques bits plus tard, l¶instant significatif de lecture est sur le bit
suivant ou précédent selon le sens de la dérive. En admettant (hypothèse simplificatrice), que
l¶instant d¶interprétation du signal reçu corresponde au front descendant de l¶horloge de réception, la
dérive illustrée figure 3.11 (dérive positive) montre que, du fait de cette dernière, le cinquième bit
est omis. Une erreur de transmission est apparue. m
3orloge émetteur dérive
Le signal de synchronisation peut être transmis sur un lien spécifique ou détruit du train binaire. La
première méthode plus complexe et plus onéreuse est utilisée par les opérateurs de
télécommunication pour transmettre la synchronisation aux différents éléments du réseau. En
général, les équipements terminaux utilisent la seconde méthode, le signal d¶horloge est extrait du
train binaire transmis.
La figure 3.12 montre le principe de l¶extraction, à partir du train numérique reçu, d¶un signal de
pilotage de l¶oscillateur local (horloge locale).
Signal reçu
C D C
Tension de T
R
correction
Circuit
RC
Horloge
locale Signal d¶horloge
En transmission asynchrone, les caractères émis sont précédés d¶un signal de synchronisation : le bit
de start. Entre chaque caractère, pour garantir la détection du bit de start suivant, la ligne est remise
à l¶état zéro. Cet temps de repos minimal varie de 1 à 2 temps bit, il constitue le ou les bits de stop
(figure 3.13). Le niveau de repos de la ligne ou niveau zéro est fixé à un certain potentiel (V) et non
pas au zéro électrique pour ne pas confondre un zéro binaire avec une rupture de ligne. Cette tension
de repos signale aux systèmes que les terminaux sont actifs.
Niveau repos
Ou niveau 0
Temps
Bits émis
V Volt
Caractère émis
Temps
. On distingue deux types de protocoles asynchrones (figure 3.15):
-Le mode caractère: la transmission a lieu caractère par caractère. L¶intervalle de temps qui sépare
chaque caractère peut être quelconque (multiple de la fréquence d¶horloge).
-Le mode blocs: les caractères sont rassemblés en blocs. L¶intervalle de temps entre l¶émission de 2
blocs successifs peut être quelconque (multiple de la fréquence d¶horloge).
Intervalle de temps
Start CAR STOP Start CAR STOP Start CAR STOP
quelconque
(multiple d¶une période d¶horloge)
Start CAR STOP Start CAR STOP Start CAR STOP Start CAR STOP
Transmission synchrone
Synchronisation Commande Blocs de n caractères de Contrôle
8 bits 8 bits données 8 bits
À la réception, le récepteur doit être capable de se positionner correctement pour la lecture des bits.
Cette opération de synchronisation des horloges est réalisée à l¶aide d¶une séquence de bits
contenant un grand nombre de transitions (synchronisation bits). Puis, il doit identifier les
différents caractères transmis (alignement de la lecture sur des frontières de mots ou
synchronisation caractère).
Dans la procédure BSC (Binary Synchronous Communication), le caractère utilisé pour ces
fonctions est le caractère ASCII SYN 0010110». En réception, la lecture du flot de bits arrivant
s¶effectue dans un registre à décalage contenant autant de bits que le caractère à lire en comporte.
Chaque bit qui arrive est introduit dans le registre en poussant le premier bit entré; enfin, on
examine le mot contenu dans le registre pour y rechercher le caractère SYN. Lorsqu¶une station
reconnaît ce caractère, elle positionne les frontières de caractère en se basant sur le caractère
reconnu (synchronisation caractère).
Les principaux protocoles synchrones sont:
-BSC, Binary Synchronous Communication (IBM);
-SDLC, Synchronous Data Link Control (IBM);
-HDLC, 3igh Level Data Control (ISO);
-PPP, Protocol Point to Point, ce dernier est aussi un protocole asynchrone (IETF).
6
Selon le mode de transmission électrique
Les zéros ou les uns sont différenciés par un niveau électrique différent. On distingue deux modes
selon la manière dont sont lus les niveaux électriques.
Le mode dissymétrique
Dans le mode asymétrique (ou dissymétrique), l¶information d¶état est fournie par la différence de
potentiel entre le conducteur concerné et un conducteur de retour. Le fil de retour peut être commun
à plusieurs fonctions. Ce conducteur commun est souvent désigné sous le terme de terre de
signalisation. La figure 3.19 représente les variations de potentiel (+V, -V) autour d¶une valeur de
référence dite zéro électrique».
Ce mode de transmission est simple à réaliser au niveau de l¶électronique,il ne nécessite que 2
conducteurs mais est très sensible aux parasites.
Le mode symétrique
Dans le mode symétrique appelé aussi transmission différentielle, l¶information d¶état est déduit
de la différence de potentiel entre deux conducteurs. La figure 3.20 illustre ce mode de trasmission.
Parasite
+V +V
«0» binaire
«1» binaire
-V -V
5V 5V
4V
+Vb +Vb
1 2 3 1 2 1
6V
5V 5V
Le parasite ne
4V 4V modifie pas la
valeur Va-Vb
11 11 1 1 11 11 11
000 0 00 0 000 0 0
66
PROTOCOLE ET MODE DE TRANSMISSION
25 28
25
32
28
6
LES MODES D¶EXPLOITATION OU DIALOGUE EN T.D.
Il existe trois modes d¶exploitation en transmission de donnée dans les
quels peuvent dialoguer doux terminaux :
- Le mode simplex : dialogue unidirectionnel avec un émetteur et un ou
plusieurs récepteurs :ex cas de la radio diffusion .
Récepteur
MODE SIMPLEX
Le Mode HAL DUPLEX : Dialogue bidirectionnel à l¶alternat .Ex Le
Talky ± Walky.
Recepteur
Récepteur
MODE HAL DUPLEX
- Le Mode UL DUPLEX : Dialogue bidirectionnel Simultané.
Récepteur
Récepteur
6Ê
MODE ULL DUPLEX
GENERALITES
L¶interface entre modem et terminal a pour but de permettre la gestion par le
terminal du déroulement d¶une communication. Dans le cas général , la
communication comprend quatres phases :
- Etablissement d¶un circuit entre les deux correspondants
- Initialisation de la transmission
- Transmission
- Libération de la liaison.
6
Les caracteristiques FONCTIONNELLES , Recommandation V24
6-
L ¶asp ect fo n ctio n n el d éfin it les d ifféren ts typ es d e sign au x éch an gés et leur
fo n ctio n .
L ¶asp ect éléctriq u e co n cern e les sp écification s relativ es au co u ran t, à la
ten sion « d es circu its ém etteu rs et récep teu rs.
L ¶aso ect m écan iqu e d éfin it le typ e d e co n n ecteu r utilisé et la rép artitio n d es
sig n au x su r les p in s (b ro ch es) d u co n necteu r.
A S P E C T F O N C T IO N N E L
L ¶asp ect fo n ctio n n el a été d éfin i p ar l¶U IT -T d an s la reco m m an d atio n V 2 4 ( X 2 4
p ou r co m m u tatio n d e circu it ).
L ¶ A v is V 24
L ¶ av is V 24 d éfin it u n e lig n e de d ém arcatio n en tre l¶E T T D et l¶E T C D .
D an s certain s cas , on peu t ajou ter un éq uip em en t in term éd iaire en tre l¶E T T D et
l¶E T C D . E IPE ENT E E A CATION
ETTD ETCD
6
EXPLOITATION DE LA JONCTION V24 SUR LIGNE LOUEE
Ý 3 Ý*
Ces circuits ne sont utilisés que lorsque le support de transmission n¶est pas affecté
en permanence à la transmission de données ; on se trouve alors dans l¶un des deux
cas suivant :
-Ligne louée exploitée alternativement pour le téléphone et la transmission de
données
-Ligne d¶un réseau commuté ( RTC )
CIRCUIT 107 : Poste de Données Prêt ( PDP )
Direction : vers le terminal
L¶état 0 sur le fil 107 indique au terminal que le modem est relié à la ligne de
transmission ; l¶indication contraire signifie que la ligne est branchée sur le poste
téléphonique.
Du point de vue de la procédure, l¶état 0 sur le fil 107 indique que la phase
d¶établissement de la communication est terminée, le terminal peut alors déclencher
la phase d¶initialisation.
CIRCUIT 108
Direction : vers le modem
Le circuit 108 peut être exploité de deux façons différentes , selon le cas
, il prend la dénomination 108/1 ou 108/ 2 :
108/1 : Connecter le modem à la ligne ( CPD )
108/2 : Terminal de Données Prêt ( TDP )
L¶état 0 sur le circuit 108 oblige le modem à se connecter sur la ligne.
L¶état 1 oblige le modem à se déconnecter de la ligne aussitôt que les
données présentées précédemment sur le circuit 103 ou 118 ont été
m
transmises.
SIGNAUX UTILISES AU COURS DE LA PHASE « INITIALISATION »
L E S C IR C U IT S D ¶H O R L O G E S : 113 , 1 14 et 115
T rois circuits son t réserv és p ou r l¶éch an ge d ¶h orloges entre le term in al et son
m o dem :
S
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ÝLES DIFFERENTES HORLOGES.
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104 RD 103 ED
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ÝÝÝÝÝÝÝ(ÝÝ114Ý)ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ(ÝÝ113Ý)
104 RD 103 ED
H.xtÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝH.it.ÝÝH.it.ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝH.xt Ê
ÝÝÝÝÝÝÝ(mÝ113)ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ(mÝ114)
Les circuits 140 , 141 sont utilisés pour effectuer des boucles automatiques de
type : boucle 2 , boucle 3 et boucle 1 et indiquer l¶ état de maintenance du
modem
LES BOUCLES DE TEST 1, 2, 3 ,et 4
E T C D d is ta n t
103
104
105
109 ouver
106 ouvert
107 ou vert
113
115 H R F o n c t io n n e m e n t n o r m a l d e H R e t H E
114 H E
B o u c le 4 te st lig n e
ETCD ETCD
U n iq u e m e n t s u r lig n e s 4
fils
d é c o n n e x io n
ASPECT ELECTRIQUE
Bien que , de toute évidence , il soit souhaitable de n¶avoir qu¶un seul standard ,
d¶application universelle, la diversité des application et l¶évolution de la technique
ont conduit l¶UIT-T à définir différents types d¶interface électrique.
Ces interfaces appartiennent à deux catégories :
-
LES CIRCUITS DE JONCTION DISSYMETRIQUES ET SYMETRIQUE
ETTD RL ETCD
Générateur Récepteur
Retour commun
b -
ETTD ETCD
-V
retour terre
L
à
LETCD
SPECIFICATIONS MECANIQUES
Cinq types de connecteurs normalisés par l¶ISO sont utilisés selon les cas.
- Connecteur à 25 broches norme ISO 2110 - 1980
- Connecteur à 9 et 37 broches norme ISO 4902 - 1980
- Connecteur à 15 broches norme ISO 4903 - 1980
Modems de débit inférieur 20 Kbit/s
- L¶interface électrique actuellement utilisée est conforme à l¶avis V28
et met en œuvre le connecteur 25 broches ISO 2110.
N p : 10 log à 3dB
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SYNOPTIQUE D¶UN MODEM BANDE DE BASE
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1 1
Ú
Se signal de données source présente une 9orte composante continue c¶est à dire
que le maximum de son énergie se situe à la 9réquence zéro est , de ce 9aite ,
inapte à se propager sur les lignes métalliques utilisées par les émetteurs
récepteurs bande de base.
Marmi les méthodes de codage supprimant cette composante continue , les trois
plus courantes sont :
Se code Biphase
Se code de MISSER Ê
Se code bipolaire.
Le code Biphase
Le code Biphase est construit à partir de deux signaux impulsionnels 0 et 1
+a +a
0 = 0 = 0
-a -a
n établit une correspondance entre ces signaux et les symboles binaires
0 et 1 tel que :
0 = 0 et 1 = 1
n voit bien que la loi de codage équivaut à une modulation de phase de l¶horloge
au signal binaire, d¶ou la désignation
biphase ».
Le spectre de puissance , c¶est à dire la densité de puissance en fonction de la
fréquence du code biphase correspondant à une séquence binaire aléatoire est
S(f) = T a 2 (Sin 2 ( /2)f T ) 2 Ê6
( ( /2)f T )
D¶OU LA COURBE CORRESPONDANTE
Le coe biphase exige un repérage e 9ils e ligne , en e99et , le croisement es 9ils
à une extrémité inverse les polarités et provoque une interversion es symboles.
Pour pallier à cet inconvénient, on utilise e pré9érence une variante u coe
biphase , le Coe Biphase Di99érentiel qui comporte les mêmes signaux
élémentaires 0 et 1 mais utilisés avec une loi e corresponance i99érentielle :
onnées binaires a n 0 n n-1
onnées binaire a n 1 n n-1
Le spectre e puissance u coe biphase i99érentiel est le même que celui u coe Ê
biphase
Le Code de MILLER
Se coe e ISS est un coe à eux niveaux, il est généré à partir u coe
biphase en supprimant une transition sur eux.
Se écoage est e99ectué en exploitant le 9ait qu¶il n¶y a pas e transition au milieu
¶un intervalle T si le symbole binaire est 0 alors qu¶une transition existe s¶il s¶agit
u symbole 1.
Se écoage utilisant seulement la présence ou l¶absence e transition , le coe e
ISS n¶est pas sensible à un croisement es 9ils e ligne. ÊÊ
Courbe du spectre de puissance du code de MILLER
Ê
Le code Bipolaire
Le code bipolaire est un code à trois niveaux : + a , 0 , - a.
La loi de codage est la suivante :
Symbole 0 niveau 0
Synbole 1 alternativement + a et ± a.
Ê-
ormalisés e la érie
Ses moems ( oulateurs émoulateurs) par transposition e
9réquence et qui sont normalisés par l¶ IT- T ans la série
réalisent le transcoage plus la moulation à l¶émission et la
émoulation plus le transcoage à la réception .
Sa normalisation u ITT porte principalement sur :
- Se ébit
- Se oe e transmission
- Se oe ¶exploitation
- Se upport utilisé
- Se type e oulation
S¶inter9ace
YNOPTIQUE ¶UN O E ERIE V »
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MODULATIONS UTILISEES DANS LES MODEM SERIE V
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Ê
ette couche correspon au contrôle S I e la liaison e99ectué selon la
procéure HS (High ata Sink ontrol )
Ses 9onctions principales e cette couche sont :
-tablissement et coupure e la liaison trame
-ynchronisation es échanges par
I
-équencement :
umérotation es trames
-ontrôle u 9lux : le système
T
-ontrôle ¶
S S
Mremier stanar : HS en moe non équilibré S M (Sink cces Mroceur).
euxième stanar :HS en moe équilibré S M- (Sink cces M roceur) .ette
procéure S M moulo 8 est la seule o99erte ans tous les réseaux.
S¶
IT ¶I
TI
TT H T S T .
S Ú S
Ses trames HS sont e trois types :
- T ¶I
TI
: T I
- T MII
: T
- T
T T
TISS :
T
STRUCRURE DE LA TRAME HDLC:
Séquence de Fanion
Toutes les trames commencent et finissent par une séquence de fanion. Cette
séquence est formée par un O » suivi par six 1 » consécutifs et un O » à la fin
. L¶ETTD et L¶ETCD n¶envoient que des séquences de fanion complètes (8bits)
lorsqu¶il envoient des séquences multiples de fanion .Un même fanion peut être
utilisé à la fois comme fanion de fermeture d¶une trame et comme fanion
d¶ouverture de la trame suivante .
Champ d¶adresse
Le champ d¶adresse s¶étend sur un octet .Il identifie le destinataire prévue d¶une
trame de commande Adresse A = 11000000 et l¶expéditeur d¶une trame de réponse
B = 10000000, bits transmis par un ETCD.
Trame de commande Adresse B = 10000000 et trame de réponse Adresse -
A = 11000000 ; bits transmis par un ETTD.
X25- PRINCIPE D¶ADRESSAGE NIVEAU LIAISON
Réseau
X25 ETTD
@=03, commande
@=03, réponse
@=01, commande
@=01, réponse Adresse
03
Adresse
01
Champ de commande
Pour le fonctionnement modulo 8 (de base ), le champ de commande s¶étend sur un
octet, pour le fonctionnement modulo 128 (étendu ), il s¶étend sur deux octets pour
les trames contenant des numéros de séquence et sur un octet pour les trames ne
contenant pas de numéros de séquence .
Champ d¶information
Le champ d¶information d¶une trame , s¶il existe , suit le champ de commande et
précède le champ de séquence de contrôle de trame
La longueur maximale du champ d¶information ; le nombre maximal de bits dans
une trame I est le paramètre N1. Pour permettre un fonctionnement universel
l¶ETTD devrait supporter une valeur de N1 QUI NE SOIT PAS INFERIEUR A
1080 bits (135 OCTETS )
Transparence.
En émission, l¶ETTD ou l¶ETCD examine le contenu de la trame entre les deux
séquences de fanion, y compris les champs d¶adresse , de commande,
d¶information et FCS, et insère un bit 0 » après toute séquence de 5 bits à 1»
consécutifs afin de s¶assurer qu¶une séquence de fanion n¶est simulée. En
réception, l¶ETTD ou l¶ETCD examine le contenu de la trame et élimine tout bit
0 » qui suit immédiatement 5 bits 1 » consécutifs.
-
Signification du digit SS Bits de la fonction de supervision
COMMANDE AFFIC3AGE
em ande de connexion 1 1 1 1P 1 0 0
logique m odulo 8
em ande de éconne 1 0 0 P 0 1 0
xion
ccusé de 1100F110
réception
e et de tram e 1110F001
L a com m ande non num érotée S est utilisée pour placer l¶ T T ou l¶ T -
appelé en état de connexion ou réinitialisation
Sa commane non numérotée I est utilisée pour emaner que prenne 9in le
moe établi auparavant. lle sert à in9ormer l¶TT récepteur e la emane I
que l¶TT émetteur e la commane I suspen son 9onctionnement. vant
¶actionner la commane l¶TT récepteur e la commane I con9irme
l¶acceptation e la commane I en émettant une réponse ¶accusé e réception
non numéroter . S¶TT émetteur e la commane I passe à la phase e
I
lorsqu¶il reçoit cette réponse .
Sa ommane non numérotée est utilisée pour signaler un état ans lequel
l¶TT est logiquement éconnecté e la liaison e onnées et se trouve ans la
phase e éconnexion. ¶est le moe éconnecté.
Sa éponse non numérotée est utilisée par l¶TT pour accuser réception et
accepter une commane e mise en moe.
Sa éponse non numérotée est utilisée par l¶TT pour iniquer r une
conition erreur ne pouvant être corrigée par la retransmission e la trame
ientique ; c¶est à ire que l¶une au moins es conitions suivantes a résulté e la
réception ¶une trame sans erreur :
- Sa éception ¶un champ e commane ou réponse non é9ini ou
non mis en uvre
- Sa éception ¶une trame I ont le champ ¶in9ormation épasse la longueur
maximale 9ixée.
- Sa éception ¶un
non valable .
- Sa éception ¶une trame contenant un champ ¶in9ormation, ce qui n¶est pas
permis, ou la réponse ¶une trame e supervision ou ¶une trame non numérotée e
longueur incorrecte.
-6
COMMANDES ET REPONSE LAPGB MODULO 8
Catégorie Type Commande Codage
/Réponse
8 7 6 5 4 3 2 1
Information I Information Commande N(R) P N( S ) 0
RR Prêt à Commande N(R) P/ 0 0 0 1
recevoir /Réponse F
REJ Rejet Commande N(R) P/ 1 0 0 1
Supervision
/Réponse F
RNR Non prêt Commande N(R) P/ 0 1 0 1
à recevoir /Réponse F
SABM connexion Commande 0 0 1 P 1 1 1 1
réinitialisation
DM Indicat. mode Réponse 0 0 0 F 1 1 1 1
Non
déconnexion
numérotée
DISC Déconnexion Commande 0 1 0 P 0 0 1 1
UA Acquittement Réponse 0 1 1 F 0 0 1 1
FRMR Rejet de Réponse 1 0 0 F 0 1 1 1
trame
M
0$&$))&$)86&$)*##)$(*#)
)$'
&$ )$)8,))&#)F)$$)())
'
Õ
! )& #$(&$ )$
()$) G8G #)$&$ )$
-Ê
)% #$035
#($() $4
%##$6# #$6#
79///,)- 0//!//
0 !//,)-!//7//
.//,)-7//9//
79//,)-9//0.//
!7//,)-0.//! /
-
!$&$)6#)&#*#&)3#
4&#$(*#))$#)$!))$$#$80
--
CONTRÖLE DE FLUX : LE PARAMETTRE K FENËTRE DE TRAME
S e p a ra m è tre a in iq u e le n o m b re m a x im u m e tra m e q u ¶o n p e u t
é m e ttre p a r a n tic ip a tio n ( c c u s é e é c e p tio n ).
X a 3
Ú
>
<
I 1 ,1
I 1 ,2
I 1 ,3
I 1 ,4
I 1 ,5
I 1 ,6
7
I
Ú
-
LE CONTRÔLE D¶INTÉGRITÉ
D¶une manière générale on doit, lors d¶une transmission de données, s¶assurer que les données
reçues n¶ont pas été altérées durant la transmission.Le contrôle d¶intégrité porte le nom de contrôle
d¶erreur.
Notion d¶erreur
Taux d¶erreur binaire
Les rayonnements électromagnétiques, les perturbations propres au système (distorsion, bruit«)
peuvent modifier les informations transmises (bits erronés). Compte tenu de l¶extension des réseaux
et de l¶utilisation massive de la fibre optique, la perte de la synchronisation des horloges est,
aujourd¶hui, la principale source d¶erreur.
On appelle taux d¶erreur binaire ou BER (Bit Error Rate) le rapport entre le nombre
d¶informations (bits) erronés reçues et le nombre d¶informations (bits) transmises.
MESSAGE Information
de détection
Bloc émis
m
Détection d¶erreur par clé calculée
Principe
Dans les systèmes à clé calculée, une Séquence de Contrôle (SC1) déduite d¶une
opération mathématique appliquée au message à émettre est envoyée avec le message.
Le récepteur effectue la même opération. Si le résultat trouvé (SC2) est identique à la
clé calculée par la source (SC1) le bloc est réputé exact, dans le cas contraire le bloc est
rejeté (figure6.6).
EMETTEUR
Technique dite du bit de parité
La technique du bit de parité consiste à ajouter, à la séquence binaire à protéger, un bit, telle que la
somme des bits à 1 transmis soit paire (bit de parité) ou impaire (bit d¶imparité). Cette arithmétique
modulo 2 est simple, mais elle n¶introduit qu¶une faible redondance. La protection apportée est
limitée au caractère. La figure 6.7 illustre le mécanisme de calcul du bit de parité.
EMETTEUR
Le tableau de la figure 6.8 fournit quelques exemples de calcul du bit de parité. Les caractères ASCII (7bits)
sont protégés par l¶introduction d¶un 8e bit: le bit de parité.
caractère O S I
Bit 6 1 1 1
Bit 5 0 0 0
Bit 4 0 1 0
Bit 3 1 0 1
Bit 2 1 0 0
Bit 1 1 1 0
Figure 6.8 Exemple de calcul du bit de parité et d¶imparité. Bit 0 1 1 1
Bit de parité 1 0 1
6
Bit d¶imparité 0 1 0
Cette technique, connue sous le nom de VRC (Vertical Redundancy Check), vérification par
redondance verticale ne permet de détecter que les erreur portant sur un nombre impair de bits.
Elle est, essentiellement, utilisée dans les transmissions asynchrones (figure6.9).
Bit de parité
S
T S
A 0 0 0 1 1 0 1 1 T
O
R
T P
Caractère à protéger
Dans les transmissions synchrones, les caractères sont envoyés en blocs (figure 6.10). La technique
du bit de parité est insuffisante, elle est complétée d¶une autre information : le LRC (Longitudinal
Redundancy Check).
Dans ce mode de contrôle dit de parité à deux dimensions, un caractère le LRC est ajouté au bloc
transmis (figure 6.10). Chaque bit du caractère LRC correspond à la parité des bits de chaque
caractère de même rang: le premier bit du LRC est la parité de tous les 1er bits de chaque caractère,
le second de tous les 2e bits« Le caractère ainsi constitué est ajouté au message (figure 6.11). Le
LRC est lui-même protégé par un bit de parité (VRC)
3 E L L O LRC
bit 0 0 1 0 0 1 0
bit 1 0 0 0 0 1 1
bit 2 0 1 1 1 1 0
bit 3 1 0 1 1 1 0
bit 4 0 0 0 0 0 0
bit 5 0 0 0 0 0 0
bit 6 1 1 1 1 1 1
VRC 0 1 1 1 1 0
Ê
Sa couche réseau assure le routage et l¶acheminement es paquets e onnées à
travers le réseau par la gestion es circuits virtuels
Tout paquet evant être transmis est placé ans le champ ¶in9ormation es trames
I e la couche liaison e onnées qui élimite la longueur e ce paquet.
Transmission e onnées e 32 , 64 ,256 , 512 ,1024 ,2048 , 4096 octets
S I S I
9in e permettre la coexistence à un instant onné e plusieurs communications
virtuelles et /ou e plusieurs circuits virtuels permanents , on utilise es voies
logiques.
n numéro e groupe e voies logiques (in9érieur ou égal à 15) et un numéro e
voies logique (in9érieur ou égal à 255) sont attribués à chaque circuit virtuel
permanent et à chaque communication virtuelle. ans le cas ¶une communication
virtuelle , les numéros e groupe e voies logiques et le numéro e voies logiques
sont attribuées penant la phase ¶établissement e la communication. ans le cas
¶un circuit virtuel permanent, le numéro e groupe e voies logiques et le numéro
e voies logiques sont attribués au moment e l¶abonnement au service.
La gamme de voies logiques utilisées pour les communications virtuelles et les
circuits virtuels permanents.
0
1 C ircuits virtuels perm anents
VEB
U nidirectionnelles
entrantes
VE3
VBB C om m unications
virtuelles
B idirectionnelles
VB3
V SB
U nidirectionnelles
sortantes
V S3
4095
VS
uméro de voie logique
VEB Voie Entrante de numéro le plus Bas
VE3 Voie Entrante de numéro le plus 3aut
VBB Voie Bidirectionnelle de numéro le plus Bas
VB3 Voie Bidirectionnelle de numéro le plus 3aut -
VSB Voie Sortante de numéro le plus Bas
VS3 Voie Sortante de numéro le plus 3aut
Voie Logique 1 à VEB-1 : Gamme des voies logique qui peuvent être attribuées à
des circuits virtuels permanent .
Voie logique VEB à VE3 : Gamme attribuée à des voie logique unidirectionnelles
entrantes pour des communications virtuelles
Voie Logique VBB à VB3 :Gamme attribuée à des voies logique bidirectionnelles
pour des communication virtuelle .
Voie Logique VBB à VS3 : Gamme attribuée à des voies logique
unidirectionnelles sortant pour des communication virtuelle.
Les voies logiques VE3+1 à VBB-1,VB3+1 à VSB-1 et VS3+1à 4095 sont des
voies logique non attribuée.
Chaque paquet transféré à travers l¶interface ETTD/ETCD comporte au moins 3
octets. Ces trois octets contiennent une identification générale de format, une
identification de voie logique et une identification de type de paquet. D¶autre
champs de paquets peuvent être ajoutés , selon les besoins
Les ty es e a ets et le r tilisation ans ivers services
y e e a et ervice
e l¶TT e l¶T
e l¶TT e l¶T
emane e réinitialisation Inication e réinitialisation
on9irmation e réinitial par l¶TT on9irmation e réinitial par l¶T
eprise
8 7 6 5 4 3 2 1
Octets
1
Identificateur général de format Numéro de groupe de voies logiques
3
Identificateur de type de paquet
0 0 0 0 1 0 1 1
Songueur de services complémentaires
ervices complémentaires
Bits
8 7 6 5 4 3 2 1
3 0 0 0 1 0 1 1 1
Bloc d ¶adresse à)
4
Longueur de services complémentaires
Services complémentaires a)
Bits
8 7 6 5 4 3 2 1
Octets
Identificateur général de format Numéro de groupe de voies logiques
1 Q D O 1
Numéro de voie logique
2
3 P(R) M P(S) 0
Données de l¶utilisateur
(modulo 8 )
M Bit données à suivre »
Paquet de contrôle de flux RR
Bits
8 7 6 5 4 3 2 1
Ê
Paquet de contrôle de flux RNR
Bits
Octets 8 7 6 5 4 3 2 1
Identificateur général de format Numéro de groupe de voies logiques
0 0 O 1
Numéro de voie logique