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M  

Liaison Téléinformatique

PROTOCOLE ET MODE DE TRANSMISSION


LES MODES D¶EXPLOITATION OU DIALOGUE EN T.D.

Õ  

CIRCUITS PRINCIPAUX SERIE 100 ET CONNECTEUR OSI 2110


EXPLOITATION DE LA JONCTION V24 SUR LIGNE LOUEE
LES DIFFERENTES HORLOGES.

ASPECT ELECTRIQUE
LES CIRCUITS DE JONCTION DISSYMETRIQUES ET SYMETRIQUE
SPECIFICATIONS MECANIQUES

SYNOPTIQUE D¶UN MODEM BANDE DE BASE


Õ ÕÕ 

MODULATIONS UTILISEES DANS LES MODEM SERIE V 


ÕÕ     
   Õ

STRUCRURE DE LA TRAME HDLC:
TRAME AVEC CHAMPS DE DONNEES
F O R M A T N O N S E Q U E N T IE L U

CONTRÖLE DE FLUX : LE PARAMETTRE K FENËTRE DE TRAME

LES CIRCUITS VIRTUELS

   
  

6
L¶évolution Technologique plus l¶alliance des Télécommunications et de
l¶Informatique ont conduit :
- A une distribution des applications sur les équipements reparties au
sein des Entreprises
- A une forte pénétration des terminaux dans tous les secteurs de
l¶activité
- A la mise en place des systèmes de toute nature devant dialoguer entre
eux
Les contraintes Techniques et économiques font en plus apparaître les
besoins de :
- Spécialiser certains ordinateurs
- D¶avoir des Données communes
- De banaliser les terminaux pour pouvoir accéder a n¶importe qu¶elle
application
- Trouver des structures de circulation et de manipulation de
l¶Information . plus proches de la structure même des organisations et
des utilisateurs .
C¶est a ces objectifs , besoins et contraintes , que répond La
TELEINFORMATIQUE


Liaison Téléinformatique

DTE
DTE

Modem

DCE DCE

Modem

Ê
G ETTD : Equipement Terminal de Traitement de données
- ETCD : Equipement de Terminaison de circuit de données
- MODEM : Modulateur ± Démodulateur
- ERBDB : Emetteur ± Récepteur- Bande de base

Commutateur paquet
Réseau Commutateur téléphonique (RTC =Réseau
téléphonique Commuté ) - Réseau de TRS


  


En matière de télécommunication, la normalisation est issue d¶organismes


divers. Du groupement de constructeurs aux organismes internationaux, la
normalisation couvre tous les domaines de la communication. D¶une manière
générale, la normalisation ne s¶impose pas, sauf celle émanant de l¶ETSI(
European Telecommunication Standard Institute) qui normalise les réseaux
publics et leurs moyens d¶accès.
Les principaux groupements de constructeur
ECMA (European Computer Manufatures Association)l¶ECMA comprend aujourd¶hui tous
les grands constructeurs mondiaux (IBM, NEC, UNISYS«.)En matière de
télécommunications, l¶ECMA comprend deux comités: le TC23 pour l¶interconnexion des
systèmes ouvers et le TC24 pour les protocoles de communication
EIA (Electronic Industries Association) connue,essentiellement,pour les recommandation
RS232C«
Les principaux organismes nationaux

AFNOR, Association Française de Normalisation


ANSI, American National Standard Institute
DIN, Deutsches Institut für Normung
BSI, British Standard Institute

-
Les organismes internationaux

CEI, Commission Electrotechnique Internationale affiliée à l¶ISO en


est la branche éléctricité

ISO, International Sandardization Organization. L¶ISO est organisée


en Technical Committee(TC) environ 200, divisés en Sub-Committee
(SC),eux- même subdivisés en Working Groupe (WG).

UIT-T, Union Internationale des Télécommunication qui a


succédé au CCITT (Comité Consultatif International
Télégraphie et Téléphonie), publie des commandations.Celles-
ci sont éditées tous les 4ans sous forme de recueils. Les
domaines d¶application sont identifiés par un lettre
-V concerne les modems et les interfaces,
- T s¶applique aux applications télématiques ne les
- X concerne les réseaux de transmission de données«.
‰
 
La décomposition proposé par l¶ISO comprend 7 couches.
1- la couche physique: assure le transport de l¶information entre l¶ETTD et l¶ETCD (Interfaces:V24,
X21, X21 bis, V35). L¶unité d¶information utilisée dans cette couche est le bit.
2-la couche liaison: est responsable de l¶acheminement sans erreur de blocs d¶information sur des
liaison de données. Les blocs d¶information sont nommés trames.
3-la couche réseau: est responsable de de l¶acheminement des paquets de données de nœud à un
nœud voisin. Un routage est nécessaire. Le contrôle de flux est compris dans cette couche pour éviter
des pertes de paquets de données par engorgement de certains chemins. Le service réseau est défini
dans les documents ISO 8348 et CCITT X.213.
4-la couche transport: est responsable du contrôle du transport des informations de bout en bout, au
travers du réseau. Une des fonctions de cette couche est de ré assembler les messages qui ont été
découpés en morceaux (les paquets) par commodité pour le transport. Le service transport est défini
dans les documents ISO 8072 et CCITT X.214, et les protocoles de transports dans ISO 8073 et
CCITT X.224.
5-la couche session: est responsable de la mise en place et du contrôle du dialogue entre tâches
distantes et les modalités de reprise en cas s¶incident. Par exemple dans le cas de données dupliquées
en plusieurs points d¶un réseau, il est important que deux utilisateurs qui veulent faire des mises à
jours sur le même enregistrement le fassent dans le même ordre sur l¶ensemble des bases de données.
Le service session est défini dans les documents ISO 8326 et CCITT X.215, et les protocoles de
session dans ISO 8327 et CCITT X.225.
6-la couche présentation: est responsable de la présentation des données échangées par les
applications (compatibilité entre tous les matériels raccordés au réseau).
Par exemple les avis T.60 et T.61 du CCITT définissent les protocoles de présentation de TELETEX.
m
7-la couche application: qui est la couche la plus externe du modèle de référence permet la
compréhension et l¶exécution des commandes liés aux processus d¶application.
Par exemple les avis de la série X400 définissent les services de messagerie.

mm
10 1 0 0 0 10 0 0 0 1101 0 010

ette couche réalise le contrôle H I de la liaison (soit ligne


métallique soit coaxiale soit H )
lle contrôle les signaux binaires. es caractéristiques des signaux
binaires transportés sur ces supports sont dé inies par des I de
l¶ IT-T ,tels que l¶ I 24, l¶ I 28
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GÝ   
    


 
 


 


 

  
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Se signal analogique : n signal analogique est un signal continu dans le
temps :
A

ignal sinusoïdal périodique


Caractéristique d¶un signal périodique.
n signal périodique se caractérise par son amplitude, sa période et
donc sa fréquence
Période ± Fréquence d¶un ignal analogique .
A

m
Mériode d¶un signal analogique : c¶est le temps T qui sépare deux
valeurs d¶amplitude égales après changement d¶alternance .
- 9réquence d¶un signal périodique : la 9réquence d¶un signal
périodique est égale aux nombres de périodes en une seconde .
-
- Se signal numérique : n signal numérique est un signal à valeurs
d¶amplitude discrètes(2,4, )
ignal numérique à 2 valeurs de tension : ¶est un signal binaire .
haque valeur est représentée par un bit ; par exemple

ignal numérique à 4valeurs de tension :


oit les 4valeurs de tension : 1, 2 , 3 et 4 pour pouvoir représenter
ces 4 valeurs il 9ait 2 bits par valeur ou 2 4 soit
1 00 , 2 01 , 3 10, 4 11

m-
Sig al ¶h rl g
 Sig al ¶i f rmati
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tpar apéri
  a
fréqu


 

 T F
ignal d¶in9ormation ou signal code : ¶est un signal électrique à deux
états représentant d¶une manière aléatoire les deux éléments binaires 0 et
1
xemple : soit le signal d¶in9ormation du mot M  en code II sur 7
bits Sa combinaison code du mot M  est :
101000010000011010010
Se signal d¶in9ormation ne peut être déterminé qu¶après avoir dé9ini le
signal d¶horloge qui le pilote pour en déterminer la durée des bits . en
e99et la durée des bits est égale à la période du signal d¶horloge
onc on a :
ombinaison code 1 0 10 00 0 10 00 0 0 110 1
ignal d¶horloge

ignal d¶in9ormation en
ode BIN I

n signal d¶in9ormation est caractérisé par son débit ou vitesse de


transmission exprimé en bits par seconde (bits/s) et multiples .
Kbit/s, bit/s, bit/s (Kilo, éga, iga)
Se débit d¶un signal d¶in9ormation est égal au nombre d¶éléments binaire
(bit) émis en une seconde .

Transmission asynchrone, Transmission synchrone
Les bits sont émis sur la ligne à une certaine cadence. Cette cadence est définie par une horloge dite
horloge émission. Pour décoder correctement la suite de bits reçue, le récepteur doit examiner ce qui
lui arrive à une cadence identique à celle de l¶émission des bits sur le support. Les horloges récepteur
et émetteur doivent batter» en harmonie.

orloge d¶émission orloge réception


SYNCHRONISATION
Figure 3.9 Principe de la synchronisation.
Il ne suffit pas que les horloges battent au même rythme, encore faut-il que les instants d¶analyse des
niveaux électriques de la ligne soient les mêmes pour les deux éléments, ils sont dits en phase.
L¶opération qui consiste à asservir l¶horloge de réception sur celle d¶émission s¶appelle la
synchronisation (figure 3.9). Selon le mode de synchronisation de l¶horloge du récepteur sur celle de
l¶émetteur, on distingue deux types de transmission : les transmissions asynchrones et les
transmission synchrones.
Dans les transmissions asynchrones les horloges sont indépendantes; au contraire, dans les
transmission synchrones on maintient en permanence une relation de phase stricte entre
les horloges émission et réception. 
Lorsque les systèmes terminaux sont reliés via un réseau de transport, c¶est ce dernier qui fournit les
horloges de référence (figure3.10).

RESEA
U
orloge

orloge orloge

Figure 3.10 Synchronisation des horloges sur l¶horloge réseau.

Notion d¶horloge
La synchronisation des différentes horloges mises en œuvre dans les systèmes de transmission est
l¶une des préoccupations principales des concepteurs de systèmes de transmission. Les dérives
d¶horloge et, par conséquent, les pertes de synchronisation sont, aujourd¶hui, les principales causes
des pertes de données et des erreurs de transmission dans les réseaux.
Les bits sont émis au rythme de l¶horloge locale de l¶émetteur que nous supposons stable. L¶horloge
du récepteur est supposée fonctionner à la même cadence ou fréquence (nombre d¶instants
significatifs par seconde identique). Cependant, rien ne permet de garantir sa stabilité. La fréquence
varie, on dit que l¶horloge dérive. En admettant que lors de la réception du premier bit, l¶horloge du
récepteur soit parfaitement calée sur l¶horloge d¶émission (synchronisée), la dérive de l¶oscillateur
local du récepteur fait que quelques bits plus tard, l¶instant significatif de lecture est sur le bit
suivant ou précédent selon le sens de la dérive. En admettant (hypothèse simplificatrice), que
l¶instant d¶interprétation du signal reçu corresponde au front descendant de l¶horloge de réception, la
dérive illustrée figure 3.11 (dérive positive) montre que, du fait de cette dernière, le cinquième bit
est omis. Une erreur de transmission est apparue. m
3orloge émetteur dérive

Train de bits émis Bit perdu en


réception
1 0 1 0 1 0 1 0 1
3orloge récepteur
Instants
significatifs de
lecture
1 0 1 0 0 1 Train de bits lus


Le signal de synchronisation peut être transmis sur un lien spécifique ou détruit du train binaire. La
première méthode plus complexe et plus onéreuse est utilisée par les opérateurs de
télécommunication pour transmettre la synchronisation aux différents éléments du réseau. En
général, les équipements terminaux utilisent la seconde méthode, le signal d¶horloge est extrait du
train binaire transmis.
La figure 3.12 montre le principe de l¶extraction, à partir du train numérique reçu, d¶un signal de
pilotage de l¶oscillateur local (horloge locale).

Signal reçu
C D C

Tension de T
R
correction
Circuit
RC
Horloge
locale Signal d¶horloge

Figure 3.12 Principe d¶asservissement de l¶horloge du récepteur.


6
Transmission asynchrone
Dans les transmissions asynchrones, les horloges émetteur et récepteur sont
indépendantes. Pour assurer la synchronisation des horloges on envoie, avant toute
suite binaire significative, un signal spécifique d¶asservissement. Après cette
opération, l¶horloge de réception est libre, elle dérive. L¶intervalle de temps,
pendant lequel la dérive est tolérable et autorise un décodage correct de la
séquence binaire, est faible. Cet intervalle de temps n¶autorise que la transmission
d¶une courte séquence binaire : le caractère.


En transmission asynchrone, les caractères émis sont précédés d¶un signal de synchronisation : le bit
de start. Entre chaque caractère, pour garantir la détection du bit de start suivant, la ligne est remise
à l¶état zéro. Cet temps de repos minimal varie de 1 à 2 temps bit, il constitue le ou les bits de stop
(figure 3.13). Le niveau de repos de la ligne ou niveau zéro est fixé à un certain potentiel (V) et non
pas au zéro électrique pour ne pas confondre un zéro binaire avec une rupture de ligne. Cette tension
de repos signale aux systèmes que les terminaux sont actifs.

Le passage du niveau0 au niveau 1 En fin d¶émission du caractère, la ligne


provoque le déclenchement de revient à l¶état repos. Cet état délimite
l¶horloge du récepteur la fin du caractère et permet la
(synchronisation) détection du start suivant
V Volt

Niveau repos
Ou niveau 0

Bit de start Bit de stop

Temps

Figure 3.13 Principe de la synchronisation en transmission asynchrone. Ê


Le bit de start et celui ou ceux de stop servent de délimiteur de caractère (figure 3.14). Les
transmissions asynchrones s¶effectuent selon un ensemble de règles régissant les échanges
(protocole).).

Bits émis
V Volt
Caractère émis

Bit de start Bit de stop


0 0 1 0 1 1 0 1

Temps

Figure 3.14 Caractère asynchrone.


. On distingue deux types de protocoles asynchrones (figure 3.15):
-Le mode caractère: la transmission a lieu caractère par caractère. L¶intervalle de temps qui sépare
chaque caractère peut être quelconque (multiple de la fréquence d¶horloge).
-Le mode blocs: les caractères sont rassemblés en blocs. L¶intervalle de temps entre l¶émission de 2
blocs successifs peut être quelconque (multiple de la fréquence d¶horloge).

Asynchrone en mode caractère

Intervalle de temps
Start CAR STOP Start CAR STOP Start CAR STOP
quelconque
(multiple d¶une période d¶horloge)

Asynchrone en mode blocs

Start CAR STOP Start CAR STOP Start CAR STOP Start CAR STOP

Figure 3.15 Mode caractères et mode blocs.


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Transmission synchrone

En transmission synchrone, la synchronisation des horloges émission et réception est maintenue


durant toute la transmission par un signal particulier : le signal de synchronisation. Il est alors
possible de transmettre des blocs de taille importante. Cependant, entre chaque blocs transmis,
l¶horloge réception n¶est plus pilotée et dérive. Chaque blocs transmis est par conséquent précédé
d¶une séquence de synchronisation qui servira aussi à délimiter le début et la fin de bloc (figure
3.16).


Synchronisation Commande Blocs de n caractères de Contrôle
8 bits 8 bits données 8 bits

Figure 3.16 Structure type d¶un bloc de données en transmission synchrone.

À la réception, le récepteur doit être capable de se positionner correctement pour la lecture des bits.
Cette opération de synchronisation des horloges est réalisée à l¶aide d¶une séquence de bits
contenant un grand nombre de transitions (synchronisation bits). Puis, il doit identifier les
différents caractères transmis (alignement de la lecture sur des frontières de mots ou
synchronisation caractère).
Dans la procédure BSC (Binary Synchronous Communication), le caractère utilisé pour ces
fonctions est le caractère ASCII SYN 0010110». En réception, la lecture du flot de bits arrivant
s¶effectue dans un registre à décalage contenant autant de bits que le caractère à lire en comporte.
Chaque bit qui arrive est introduit dans le registre en poussant le premier bit entré; enfin, on
examine le mot contenu dans le registre pour y rechercher le caractère SYN. Lorsqu¶une station
reconnaît ce caractère, elle positionne les frontières de caractère en se basant sur le caractère
reconnu (synchronisation caractère).
Les principaux protocoles synchrones sont:
-BSC, Binary Synchronous Communication (IBM);
-SDLC, Synchronous Data Link Control (IBM);
-HDLC, 3igh Level Data Control (ISO);
-PPP, Protocol Point to Point, ce dernier est aussi un protocole asynchrone (IETF).
6
Selon le mode de transmission électrique
Les zéros ou les uns sont différenciés par un niveau électrique différent. On distingue deux modes
selon la manière dont sont lus les niveaux électriques.
Le mode dissymétrique
Dans le mode asymétrique (ou dissymétrique), l¶information d¶état est fournie par la différence de
potentiel entre le conducteur concerné et un conducteur de retour. Le fil de retour peut être commun
à plusieurs fonctions. Ce conducteur commun est souvent désigné sous le terme de terre de
signalisation. La figure 3.19 représente les variations de potentiel (+V, -V) autour d¶une valeur de
référence dite zéro électrique».
Ce mode de transmission est simple à réaliser au niveau de l¶électronique,il ne nécessite que 2
conducteurs mais est très sensible aux parasites.
Le mode symétrique
Dans le mode symétrique appelé aussi transmission différentielle, l¶information d¶état est déduit
de la différence de potentiel entre deux conducteurs. La figure 3.20 illustre ce mode de trasmission.

Parasite
+V +V
«0» binaire

«1» binaire
-V -V

Figure 3.19 Transmission asymétrique 6m


À l¶état repos, chaque conducteur est, par exemple, au potentiel +Volt par rapport à une référence
commune, la différence de potentiel entre ces conducteurs est nulle ( repère1). Pour transmettre une
information binaire, chacun des conducteurs voit son potentiel évoluer en sens inverse (repère2 et 3)
de la figure 3.20
+Va +Va
6V 6V Parasite

5V 5V

4V
+Vb +Vb
1 2 3 1 2 1
6V

5V 5V
Le parasite ne
4V 4V modifie pas la
valeur Va-Vb

Figure 3.20 Transmission symétrique ou différentielle

En 1, position de repos, la tension lue (Va ± Vb) est nulle. En 2, l¶expression Va ± Vb = 6 ± 4 = 2 V


c¶est par exemple le niveau 0; alors qu¶en 3, Va ± Vb = 4 ± 6 = -2 V. pourrait représenter le 1
binaire. Ce mode de représentation , plus complexe, nécessite plus de conducteurs mais un parasite
électrique ne modifie pas le niveau relatif. La transmission présente une certaine insensibilité aux
6
parasites.
- Le mode synchrone : le mode synchrone se caractérise : par
- les trames d¶information ne contiennent que les bits d¶information
- la trame de synchronisation ne contient que les caractères de
synchronisation : SYN (0 0 1 0 1 1 0).
En mode caractère .

11 11 1 1 11 11 11
000 0 00 0 000 0 0

its d¶I aractère de its d¶I


1 trame I synchronisation 1trame I
1 trame synchro

En mode bit : un fanion 7 E au début et fin de chaque Trame


Le mode de transmission est une caractéristique des M DEM.

66
PROTOCOLE ET MODE DE TRANSMISSION
25 28

25

32

28

6
LES MODES D¶EXPLOITATION OU DIALOGUE EN T.D.
Il existe trois modes d¶exploitation en transmission de donnée dans les
quels peuvent dialoguer doux terminaux :
- Le mode simplex : dialogue unidirectionnel avec un émetteur et un ou
plusieurs récepteurs :ex cas de la radio diffusion .

Récepteur

MODE SIMPLEX
Le Mode HAL DUPLEX : Dialogue bidirectionnel à l¶alternat .Ex Le
Talky ± Walky.

Recepteur

Récepteur
MODE HAL DUPLEX
- Le Mode UL DUPLEX : Dialogue bidirectionnel Simultané.

Récepteur

Récepteur

MODE ULL DUPLEX
GENERALITES
L¶interface entre modem et terminal a pour but de permettre la gestion par le
terminal du déroulement d¶une communication. Dans le cas général , la
communication comprend quatres phases :
- Etablissement d¶un circuit entre les deux correspondants
- Initialisation de la transmission
- Transmission
- Libération de la liaison.

L¶établissement d¶un circuit consiste à effectuer les opérations qui permettent de


créer un chemin pour la transmission des données. Dans le cas ou la liaison est
assurée par une ligne spécialisée utilisable alternativement pour le téléphone et la
transmission de données , l¶établissement du circuit consiste simplement à
connecter le modem à la ligne. Dans le cas d¶une ligne spécialisée utilisée
uniquement pour la transmission de données, la phase d¶établissement n¶a lieu
qu¶une fois au moment de la mise en service des équipements.
La phase d¶initialisation a pour but de conditionner les équipements de
transmissions pour qu¶ils soient en mesure de transmettre les informations d¶une
façon correcte. Cette phase comprend les opérations de détection de présence de
signal, de convergence des différents asservicements internes. Si la liaison
fonstionne à l¶alternat , une nouvelle initialisation est effectuée à chaque
retournement.
La phase de transmission est la période au cours de laquelle les informations
utilisateurs sont effectivement transmises.
La phase de libération termine la communication une fois la transmission achevée
et libére le circuit.
L¶enchaînement de ces opérations nécessite un DIALOGUE entre l¶ETTD qui
contrôle et l¶ETCD qui exécute et rend compte.
Ce dialogue s¶effectue à travers une INTERFACE NORMALISEE
La normalisation porte sur trois types de caractéristiques

6
Les caracteristiques FONCTIONNELLES , Recommandation V24

Les caractéristiques ELECTRIQUES, Recommandations V28 ,V10, V11..

Les caractéristiques MECANIQUES , Recommandation ISO 2110

6-
L ¶asp ect fo n ctio n n el d éfin it les d ifféren ts typ es d e sign au x éch an gés et leur
fo n ctio n .
L ¶asp ect éléctriq u e co n cern e les sp écification s relativ es au co u ran t, à la
ten sion « d es circu its ém etteu rs et récep teu rs.
L ¶aso ect m écan iqu e d éfin it le typ e d e co n n ecteu r utilisé et la rép artitio n d es
sig n au x su r les p in s (b ro ch es) d u co n necteu r.
A S P E C T F O N C T IO N N E L
L ¶asp ect fo n ctio n n el a été d éfin i p ar l¶U IT -T d an s la reco m m an d atio n V 2 4 ( X 2 4
p ou r co m m u tatio n d e circu it ).
L ¶ A v is V 24
L ¶ av is V 24 d éfin it u n e lig n e de d ém arcatio n en tre l¶E T T D et l¶E T C D .
D an s certain s cas , on peu t ajou ter un éq uip em en t in term éd iaire en tre l¶E T T D et
l¶E T C D . E IPE ENT E E A CATION

ETTD ETCD

J CTI V24 J CTI V24


Dans l¶avis V24 chaque type de commande ou de signalisation est matérialisé au
niveau de l¶interface par un circuit physique distinct.
Les circuits se répartissent en deux groupes :
-Le groupe de la série 100 pour utilisation générale
- Le groupe de la série 200 réservé à l¶appel automatique.
La série 100 comprend une quarantaine de circuits.
La série 200 comprend 12 circuit .
TOUS CES CIRCUITS V2HICULE DES INFORMATIONS A DEUX ETATS 6‰
ETAT 1 = REPOS
ETAT 0 = TRAVAIL
n pratique , une partie seulement des circuits d¶inter9aces de l¶ vis 24 sont
utilisés simultanément. Ses principaux sont représentés dans les deux pages ci-
dessous.
CIRCUITS PRINCIP UX SRI 100 T CONNCTUR ISO 2110


EXPLOITATION DE LA JONCTION V24 SUR LIGNE LOUEE

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Ý  Ý+ Ý' Ý Ý* ,Ý


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ŒÝ m "mÝ Ý  Ý Ý
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SIGNAUX UTILISES AU COURS DE LA PHASE « ETABLISSEMENT DU CIRCUIT »

Ces circuits ne sont utilisés que lorsque le support de transmission n¶est pas affecté
en permanence à la transmission de données ; on se trouve alors dans l¶un des deux
cas suivant :
-Ligne louée exploitée alternativement pour le téléphone et la transmission de
données
-Ligne d¶un réseau commuté ( RTC )
CIRCUIT 107 : Poste de Données Prêt ( PDP )
Direction : vers le terminal
L¶état 0 sur le fil 107 indique au terminal que le modem est relié à la ligne de
transmission ; l¶indication contraire signifie que la ligne est branchée sur le poste
téléphonique.
Du point de vue de la procédure, l¶état 0 sur le fil 107 indique que la phase
d¶établissement de la communication est terminée, le terminal peut alors déclencher
la phase d¶initialisation.
CIRCUIT 108
Direction : vers le modem
Le circuit 108 peut être exploité de deux façons différentes , selon le cas
, il prend la dénomination 108/1 ou 108/ 2 :
108/1 : Connecter le modem à la ligne ( CPD )
108/2 : Terminal de Données Prêt ( TDP )
L¶état 0 sur le circuit 108 oblige le modem à se connecter sur la ligne.
L¶état 1 oblige le modem à se déconnecter de la ligne aussitôt que les
données présentées précédemment sur le circuit 103 ou 118 ont été
m
transmises.
SIGNAUX UTILISES AU COURS DE LA PHASE « INITIALISATION »

CIRCUIT 105 : Demande Pour Emettre ( DPE )


Direction : vers le modem
En appliquant l¶état 0 sur ce circuit , le terminal oblige le modem à se mettre en
position émission et à transmettre en ligne le signal porteur.
En appliquant l¶état 1 sur ce circuit , le terminal oblige le modem à se mettre en
position de non-transmission » dés que toutes les données appliquées jusqu¶à cet
instant sur le circuit 103 auront été transmises.
CIRCUIT 106 : Prêt A Emettre ( PAE )
Direction : vers le terminal
L¶état 0 sur le circuit 106 signifie que le modem est prêt à transmettre des données.
L¶état 0 n¶est appliqué par le modem sur ce circuit qu¶au bout d¶un certain temps
D ( appelé temps de retard circuit 105 / circuit 106 ou temps de retournement )
après l¶apparition de l¶état 0 sur le circuit 105. Ce temps doit être suffisant pour
permettre au modem distant de détecter la présence du signal en ligne ( porteuse )
et si la transmission est synchrone , de synchroniser sa base de temps.
Le terminal peut transmettre des données au modem sur le circuit 103 aussitôt après
l¶apparition de l¶état 0 sur le circuit 106.

SIGNAUX UTILISES AU COURS DE LA PHASE « TRANSMISSION »


CIRCUIT 103 : Emission des Données ( ED )
Direction : vers le modem
C¶est le circuit par lequel le modem délivre au terminal les signaux de données à
transmettre.
CIRCUIT 104 : Réception des Données ( RD ).
Direction : vers le terminal
C¶est le circuit par lequel le modem délivre au terminal les signaux de données 
reçus de la ligne.
C IR C U IT 1 09 : D étecteu r d u sig na l de lig ne ( D S )
D irection : v ers le term in al
C e circuit n e jou e pas réellem ent un rôle actif au cou rs d e la phase transm ission ; il
d onn e l¶alarm e lorsq ue le niveau du sig nal reçu par le m o dem est inférieur à un
seuil p réd éterm iné.
E n d eh ors des p ériod es d e transm ission , les circuits 1 03 et 104 do iv en t être
m ain tenu s à l¶état 1 .

C IR C U IT 1 11 : S électeu r d u d ébit bin aire « source : E T T D »


D irection : v ers l¶E T C D
L es sign au x tran sm is su r ce circuit servent à assurer la sélection d u d éb it dans le
cas des E T C D synchro nes à d eu x d éb its, ou la sélection d e la g am m e d e débits
d an s le cas d es E T C D asynch rones à d eu x gam m es d e débits

C IR C U IT 1 12 : S électeu r d u d ébit bin aire « source : E T C D »


D irection : d e l¶E T C D
L es sign au x tran sm is su r ce circuit servent à assurer la sélection d u d éb it ou de la
g am m e d e débits dan s l¶E T T D en fon ction du d ébit utilisé dans u n E T C D à d eu x
d éb its o u de la g am m e de débits utilisée dans un E T C D asyn chro ne à d eux débits.

L E S C IR C U IT S D ¶H O R L O G E S : 113 , 1 14 et 115
T rois circuits son t réserv és p ou r l¶éch an ge d ¶h orloges entre le term in al et son
m o dem :

C IR C U IT 1 13 : B ase d e tem p s E m ission « externe » ( H E )


D irection : v ers le m o d em
L o rsq ue le systèm e term inal-m odem travaille en ho rloge extern e , le term inal 6
fournit ,sur le circu it 113 , l¶horloge au m odem d ont l¶ h orloge in terne est inh ib ée.
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S 
           
           
     

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ÝLES DIFFERENTES HORLOGES.
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parÝlÝmÝ(115).H
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ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ
uÝparÝlÝTrmialÝ113.H
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ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ
TT ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝTC ÝÝÝÝÝTC ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝTT
114 HE 115 HR ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ

ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ103 E.DÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ 104R.D


115 HR 113HE

104 RD 103 ED

H.xtÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝH.itÝÝÝH.it.ÝÝÝÝÝÝÝÝÝH.xt.
ÝÝÝÝÝÝÝ(ÝÝ114Ý)ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ(ÝÝ113Ý)

ÝÝTT ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝTC ÝÝÝÝÝTC ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝTT


ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ
ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ113HE 115HR

ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ103 E.D 104 RD


115 HR 114HE

104 RD 103 ED

H.xtÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝH.it.ÝÝH.it.ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝH.xt Ê
ÝÝÝÝÝÝÝ(mÝ113)ÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝÝ(mÝ114)
Les circuits 140 , 141 sont utilisés pour effectuer des boucles automatiques de
type : boucle 2 , boucle 3 et boucle 1 et indiquer l¶ état de maintenance du
modem
LES BOUCLES DE TEST 1, 2, 3 ,et 4

ETTD ETCD ETCD ETTD


B o u c le 1 :T e s t E T T D
ETTD
103 b o u c le a u s s i p ré s q u e p o s s ib le
d e l¶in te rfa c e m a is d a n s l¶E T T D )
104
1 0 9 o u v e rt
1 0 5 o u v e rt
Boucle 3 : Boucle locale Test ETCD : Circuit activé 141
ligne aussi prés que possible de la ligne
test modulateur/ démodulateur

aucun signal n¶est


transmis en ligne
B o u c le 2 T e s t c o m p le t d u c irc u it d e d o n n é e s : C irc u it a c tiv é 1 4 0

E T C D d is ta n t
103
104
105
109 ouver
106 ouvert
107 ou vert
113
115 H R F o n c t io n n e m e n t n o r m a l d e H R e t H E
114 H E

B o u c le 4 te st lig n e
ETCD ETCD
U n iq u e m e n t s u r lig n e s 4
fils

d é c o n n e x io n
ASPECT ELECTRIQUE
Bien que , de toute évidence , il soit souhaitable de n¶avoir qu¶un seul standard ,
d¶application universelle, la diversité des application et l¶évolution de la technique
ont conduit l¶UIT-T à définir différents types d¶interface électrique.
Ces interfaces appartiennent à deux catégories :

- Les interfaces dissymétriques : chaque circuit est matérialisé par un fil,


l¶information est donnée par le signe de la différence de potentiel entre ce fil et une
masse commune de référence.
Ce type d¶interface ne permet pas la suppression d¶éventuelles erreurs.
- Les interfaces symétriques : chaque circuit est matérialisé par une paire de fils ,
l¶information est contenue dans le signe de la différence de potentiel entre ces deux
fils.
Les interfaces symétriques nécessitent davantage de fils d¶interconnexion que les
interfaces dissymétriques mais permettent de supprimer d¶éventuelles erreurs.
Ces interfaces sont utilisées pour les transmission à grande distance et à plus grand
débit.
CARACTERISTIQUES ELECTRIQUES: AVIS V28, AVIS V10 ET AVIS V11

-
LES CIRCUITS DE JONCTION DISSYMETRIQUES ET SYMETRIQUE

CIRCUIT DE JONCTION DISSYMETRIQUE

ETTD RL ETCD
Générateur Récepteur
Retour commun

L¶erreur éventuelle n¶est pas supprimée

CIRCUIT DE JONCTION SYMETRIQUE


+2V
+V b V

b -

ETTD ETCD
-V

retour terre

L           à   LETCD

SPECIFICATIONS MECANIQUES

Cinq types de connecteurs normalisés par l¶ISO sont utilisés selon les cas.
- Connecteur à 25 broches norme ISO 2110 - 1980
- Connecteur à 9 et 37 broches norme ISO 4902 - 1980
- Connecteur à 15 broches norme ISO 4903 - 1980
Modems de débit inférieur 20 Kbit/s
- L¶interface électrique actuellement utilisée est conforme à l¶avis V28
et met en œuvre le connecteur 25 broches ISO 2110.

Modems de débit supérieur 20 Kbit/s


Les modems tels que ceux définis par les avis V36 ou V37 «possèdent
une interface V10 et/ou V11 et un connecteur à 37 broches ISO 4902.
Réseaux public de données AVIS X20 , AVIS X21
Les accès aux réseaux publics conforme à l¶avis X20 et X21 sont munis
d¶une interface électrique V10 ou V11 et d¶un connecteur à 15 broches.

CAPACITE D¶UN CANAL ET RAPIDITE DE MODULATION

N p : 10 log à 3dB

ëë        
ë
    
       

 2 Sog nombre e valence ¶un signal


[bit/s] n binaire
2 et log 1

onc  2 ½1  2 
Ê
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 +ë     % #

Êm
SYNOPTIQUE D¶UN MODEM BANDE DE BASE
1 1 11 1 1
0 00 00 0

1 1

Modem Bande de Base : ERBDB .


Avantages : Modem Simple , utilisé pour les courtes distances (30 m)
et débits jusqu'à (256 kbit/s)

Ú   
Se signal de données source présente une 9orte composante continue c¶est à dire
que le maximum de son énergie se situe à la 9réquence zéro est , de ce 9aite ,
inapte à se propager sur les lignes métalliques utilisées par les émetteurs
récepteurs bande de base.
Marmi les méthodes de codage supprimant cette composante continue , les trois
plus courantes sont :
Se code Biphase
Se code de MISSER Ê
Se code bipolaire.
Le code Biphase
Le code Biphase est construit à partir de deux signaux impulsionnels 0 et 1
+a +a
0 = 0 = 0

-a -a
n établit une correspondance entre ces signaux et les symboles binaires
0 et 1 tel que :
0 = 0 et 1 = 1

n voit bien que la loi de codage équivaut à une modulation de phase de l¶horloge
au signal binaire, d¶ou la désignation
biphase ».
Le spectre de puissance , c¶est à dire la densité de puissance en fonction de la
fréquence du code biphase correspondant à une séquence binaire aléatoire est
S(f) = T a 2 (Sin 2 ( /2)f T ) 2 Ê6
( ( /2)f T )
D¶OU LA COURBE CORRESPONDANTE

Le coe biphase exige un repérage e 9ils e ligne , en e99et , le croisement es 9ils
à une extrémité inverse les polarités et provoque une interversion es symboles.
Pour pallier à cet inconvénient, on utilise e pré9érence une variante u coe
biphase , le Coe Biphase Di99érentiel qui comporte les mêmes signaux
élémentaires 0 et 1 mais utilisés avec une loi e corresponance i99érentielle :
onnées binaires a n 0  n  n-1
onnées binaire a n 1 n   n-1

Le spectre e puissance u coe biphase i99érentiel est le même que celui u coe Ê
biphase
Le Code de MILLER
Se coe e ISS est un coe à eux niveaux, il est généré à partir u coe
biphase en supprimant une transition sur eux.

Se écoage est e99ectué en exploitant le 9ait qu¶il n¶y a pas e transition au milieu
¶un intervalle T si le symbole binaire est 0 alors qu¶une transition existe s¶il s¶agit
u symbole 1.
Se écoage utilisant seulement la présence ou l¶absence e transition , le coe e
ISS n¶est pas sensible à un croisement es 9ils e ligne. ÊÊ
Courbe du spectre de puissance du code de MILLER

Ê
Le code Bipolaire
Le code bipolaire est un code à trois niveaux : + a , 0 , - a.
La loi de codage est la suivante :

Symbole 0 niveau 0

Synbole 1 alternativement + a et ± a.

Ê-
  ormalisés e la érie
Ses moems ( oulateurs émoulateurs) par transposition e
9réquence et qui sont normalisés par l¶ IT- T ans la série
réalisent le transcoage plus la moulation à l¶émission et la
émoulation plus le transcoage à la réception .
Sa normalisation u ITT porte principalement sur :
- Se ébit
- Se oe e transmission
- Se oe ¶exploitation
- Se upport utilisé
- Se type e oulation
S¶inter9ace
YNOPTIQUE ¶UN O E ERIE V »
1 1 11
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MODULATIONS UTILISEES DANS LES MODEM SERIE V


  

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ette couche correspon au contrôle S I  e la liaison e99ectué selon la
procéure HS (High ata Sink ontrol )
Ses 9onctions principales e cette couche sont :
-tablissement et coupure e la liaison trame
-ynchronisation es échanges par 
I

-équencement :
umérotation es trames
-ontrôle u 9lux : le système 
T
-ontrôle ¶

S  S
Mremier stanar : HS en moe non équilibré S M (Sink cces Mroceur).
euxième stanar :HS en moe équilibré S M- (Sink cces M roceur) .ette
procéure S M moulo 8 est la seule o99erte ans tous les réseaux.
S¶
IT ¶I
  TI
 TT  H T S T .

S Ú S
Ses trames HS sont e trois types :
- T  ¶I
  TI
: T  I
- T   MII
: T  
- T 


 T  T 


TISS : 
T  
STRUCRURE DE LA TRAME HDLC:

Séquence de Fanion
Toutes les trames commencent et finissent par une séquence de fanion. Cette
séquence est formée par un O » suivi par six 1 » consécutifs et un O » à la fin
. L¶ETTD et L¶ETCD n¶envoient que des séquences de fanion complètes (8bits)
lorsqu¶il envoient des séquences multiples de fanion .Un même fanion peut être
utilisé à la fois comme fanion de fermeture d¶une trame et comme fanion
d¶ouverture de la trame suivante .
Champ d¶adresse
Le champ d¶adresse s¶étend sur un octet .Il identifie le destinataire prévue d¶une
trame de commande Adresse A = 11000000 et l¶expéditeur d¶une trame de réponse
B = 10000000, bits transmis par un ETCD.
Trame de commande Adresse B = 10000000 et trame de réponse Adresse -
A = 11000000 ; bits transmis par un ETTD.
X25- PRINCIPE D¶ADRESSAGE NIVEAU LIAISON

Réseau
X25 ETTD

@=03, commande
@=03, réponse

@=01, commande
@=01, réponse Adresse
03
Adresse
01

Champ de commande
Pour le fonctionnement modulo 8 (de base ), le champ de commande s¶étend sur un
octet, pour le fonctionnement modulo 128 (étendu ), il s¶étend sur deux octets pour
les trames contenant des numéros de séquence et sur un octet pour les trames ne
contenant pas de numéros de séquence .

Champ d¶information
Le champ d¶information d¶une trame , s¶il existe , suit le champ de commande et
précède le champ de séquence de contrôle de trame
La longueur maximale du champ d¶information ; le nombre maximal de bits dans
une trame I est le paramètre N1. Pour permettre un fonctionnement universel
l¶ETTD devrait supporter une valeur de N1 QUI NE SOIT PAS INFERIEUR A
1080 bits (135 OCTETS )

Transparence.
En émission, l¶ETTD ou l¶ETCD examine le contenu de la trame entre les deux
séquences de fanion, y compris les champs d¶adresse , de commande,
d¶information et FCS, et insère un bit 0 » après toute séquence de 5 bits à 1»
consécutifs afin de s¶assurer qu¶une séquence de fanion n¶est simulée. En
réception, l¶ETTD ou l¶ETCD examine le contenu de la trame et élimine tout bit
0 » qui suit immédiatement 5 bits 1 » consécutifs.

Champ de séquence de contrôle de trame (FCS)


Ces deux octets servent à détecter et corriger en réception les erreur survenue dans
la trame.

FORMATS DES CHAMPS DE COMMANDE ET PARAMETRES LAPB


Le champ de commande contient une commande ou une réponse ainsi
que des numéros de séquences s¶il y a lieu  
L¶octet de commande a trois structures suivant le.type deTRAME I , S, ou U
TRAME AVEC CHAMPS DE DONNEES
FORMAT D¶INFORMATION I
Le format I est utilisé pour effectuer un transfert d¶information. Les fonctions de
NS (NE) , NR et P sont indépendantes , ce qui signifie que toute trame I porte un
numéro de séquence NS, un numéro de séquence NR qui peut éventuellement
accuser réception de trames I supplémentaires reçues par l¶ETTD ou l¶ETCD et un
bit qui est P ou F selon qu¶il s¶agisse d¶une invitation à émettre issu d¶une
commande ( bit P ) ou un bit de fin lorsqu¶il est issu d¶une réponse.

NE Numéro de séquence en émission ( l¶élément binaire 2 étant de poids faible)


NR Numéro de séquence en réception (l¶élément binaire 6 étant de poids
faible). Ce NER de à 7 ( à 111) en fonctionnement de base modulo
8 CCSE RECEPTI N JS¶  TR ES NR -1
P/F it d¶invitation à émettre lorsqu¶il est issu d¶une commande
it de fin lorsqu¶il est issu d¶une réponse
Ú  Ú
 
Ú 
 I I
Le format S est utilisé pour effectuer les fonctions de commande de supervision de
la liaison de données, comme accuser réception de trame d¶information (TR E I)
,demander la retransmission de trames I et demander un arrêt temporaire de la
transmission des trames I .Les fonctions de NR et P/F sont indépendantes ; chaque
trame de supervisions porte un numéro de séquence NR qui peut éventuellement
accuser réception de trames I supplémentaires reçues par l¶ ETTD ou l¶ETCD et un
bit P/F.

-
Signification du digit SS Bits de la fonction de supervision

COMMANDE AFFIC3AGE

Commande et réponse : PRET A RECEVOIR (RR)


La trame de supervision PRET A RECEVOIR (RR) est utilisée par l¶ETTD ou
l¶ETCD pour :
Indiquer qu¶elle est prête à recevoir une trame I et
ACCUSE RECEPTION des trames I reçus précédemment et dont le numéro de
séquence est égal ou inférieur à NR-1.

Commande et réponse : NON PRET A RECEVOIR (RNR)


La trame de supervision NON PRET A RECEVOIR (RNR) est utilisée par
l¶ETTD ou l¶ETCD pour indiquer un état d¶occupation, c¶est à dire une incapacité
temporaire à accepter les trames I suivantes. La trame RNR accuse réception des
trames I dont le numéro de séquence est inférieur ou égal à NR-1. Elle n¶accuse pas
réception de la trame I NR ,ni d¶aucune trame I qui pourrait être reçue à sa suite.

Commande et réponse REJET (REJ):


La trame de supervision REJET (REJ) est utilisée par l¶ETTD ou l¶ETCD pour
demander la retransmission des trames I numérotées à partir de NR. La trame REJ
accuse réception des trames dont le numéro de séquence est inférieur ou égal à NR- -m
1. Les trames I suivantes en attente de transmission peuvent être transmises à la
suite de la ou des trame(s) I retransmise(s).
FORMAT NON SEQUENTIEL U
Le format U est utilisé pour exécuter des fonction supplémentaires de commande
de liaison de données et de réponse aux commandes. Il ne contient pas de numéro
de séquence mais un bit P ou F selon qu¶il s¶agisse d¶une commande ou d¶une
réponse à une commande.

Signification des bits M bit de fonction de modification.


1 2 3 4 5 6 7 8

 em ande de connexion 1 1 1 1P 1 0 0
logique m odulo 8

 em ande de  éconne 1 0 0 P 0 1 0
xion

Indique le m ode 1111F000


 éconnecté

ccusé de 1100F110
réception

 e et de tram e 1110F001

L a com m ande non num érotée S   est utilisée pour placer l¶ T T  ou l¶ T   -
appelé en état de connexion ou réinitialisation
Sa commane non numérotée I est utilisée pour emaner que prenne 9in le
moe établi auparavant. lle sert à in9ormer l¶TT récepteur e la emane I
que l¶TT émetteur e la commane I suspen son 9onctionnement. vant
¶actionner la commane l¶TT récepteur e la commane I con9irme
l¶acceptation e la commane I en émettant une réponse ¶accusé e réception
non numéroter  . S¶TT émetteur e la commane I passe à la phase e


 I
lorsqu¶il reçoit cette réponse  .
Sa ommane non numérotée  est utilisée pour signaler un état ans lequel
l¶TT est logiquement éconnecté e la liaison e onnées et se trouve ans la
phase e éconnexion. ¶est le moe éconnecté.
Sa éponse non numérotée  est utilisée par l¶TT pour accuser réception et
accepter une commane e mise en moe.
Sa éponse non numérotée  est utilisée par l¶TT pour iniquer r une
conition  erreur ne pouvant être corrigée par la retransmission e la trame
ientique ; c¶est à ire que l¶une au moins es conitions suivantes a résulté e la
réception ¶une trame sans erreur :
- Sa éception ¶un champ e commane ou réponse non é9ini ou
non mis en uvre
- Sa éception ¶une trame I ont le champ ¶in9ormation épasse la longueur
maximale 9ixée.
- Sa éception ¶un
 non valable .
- Sa éception ¶une trame contenant un champ ¶in9ormation, ce qui n¶est pas
permis, ou la réponse ¶une trame e supervision ou ¶une trame non numérotée e
longueur incorrecte.

-6
COMMANDES ET REPONSE LAPGB MODULO 8
Catégorie Type Commande Codage
/Réponse
8 7 6 5 4 3 2 1
Information I Information Commande N(R) P N( S ) 0
RR Prêt à Commande N(R) P/ 0 0 0 1
recevoir /Réponse F
REJ Rejet Commande N(R) P/ 1 0 0 1
Supervision
/Réponse F
RNR Non prêt Commande N(R) P/ 0 1 0 1
à recevoir /Réponse F
SABM connexion Commande 0 0 1 P 1 1 1 1
réinitialisation
DM Indicat. mode Réponse 0 0 0 F 1 1 1 1
Non
déconnexion
numérotée
DISC Déconnexion Commande 0 1 0 P 0 0 1 1
UA Acquittement Réponse 0 1 1 F 0 0 1 1
FRMR Rejet de Réponse 1 0 0 F 0 1 1 1
trame

Légende ( le rôle de ces paramètres sera expliqué plus tard):


N( S ) numéro de séquence en émission
N( R) numéro de séquence en réception
P bit d¶invitation à émettre
-
F bit de fin
SM  
 
S  

M 


0$&$))&$)86&$)*##)$(*#)
)$'
&$ )$)8,))&#)F)$$)())
'
Õ  ! )& #$(&$ )$
()$) G8G #)$&$ )$


)% #$035
#($() $4


%##$6# #$6#

&*#)0!9()) *#)! .())

79///,)- 0//!//

0 !//,)-!//7//

.//,)-7//9//

79//,)-9//0.//

!7//,)-0.//! /

-


!$&$)6#)&#*#&)3#
4&#$(*#))$#)$!))$$#$80

--
CONTRÖLE DE FLUX : LE PARAMETTRE K FENËTRE DE TRAME
S e p a ra m è tre a in  iq u e le n o m b re m a x im u m  e tra m e q u ¶o n p e u t
é m e ttre p a r a n tic ip a tio n ( c c u s é  e  é c e p tio n ).

X a 3

    Ú  
>

<
I 1 ,1

I 1 ,2

I 1 ,3

I 1 ,4

I 1 ,5

I 1 ,6

  7

 I

 Ú


LE CONTRÔLE D¶INTÉGRITÉ
D¶une manière générale on doit, lors d¶une transmission de données, s¶assurer que les données
reçues n¶ont pas été altérées durant la transmission.Le contrôle d¶intégrité porte le nom de contrôle
d¶erreur.
Notion d¶erreur
Taux d¶erreur binaire
Les rayonnements électromagnétiques, les perturbations propres au système (distorsion, bruit«)
peuvent modifier les informations transmises (bits erronés). Compte tenu de l¶extension des réseaux
et de l¶utilisation massive de la fibre optique, la perte de la synchronisation des horloges est,
aujourd¶hui, la principale source d¶erreur.
On appelle taux d¶erreur binaire ou BER (Bit Error Rate) le rapport entre le nombre
d¶informations (bits) erronés reçues et le nombre d¶informations (bits) transmises.

Teb = Nb d¶info. (ou bits) erronés/ Nb d¶info. (ou bits) transmises

Soit, par exemple, la transmission de la suite «


011001001100100101001010» qui est reçue
«011001101100101101000010».
Le message reçu diffère de 3 bits du message émis. Le nombre de bits émis est de 24 bits.
Le taux d¶erreur binaire (Teb) est de :
Teb = 3/24 = 0,125 - 
Le taux d¶erreur binaire varie en pratique de 10-4 (liaisonsRTC2) à 10-9 (réseaux locaux). Dans les
réseaux, les erreurs se produisent généralement par rafale. Le Teb exprime une grandeur
statistique, l¶erreur affecte aléatoirement n bits consécutifs et non 1 bit tous les x bits.
Si te est la probabilité pour qu¶un bit soit erroné, la probabilité de recevoir un bit correct est de
(1-te). Soit, pour un bloc de N bits, une probabilité de réception correcte (p) de :
P = (1-te)(1-te)«««..(1-te) = (1-te)N
La probabilité de recevoir un bloc sans erreur est d¶autant plus faible que la longueur du bloc est
grande.
Par exemple, supposons une transaction de 100 caractère émis sur une liaison en mode synchrone
à 4800 bit/s avec un Teb de 10-4. Les erreurs sont supposées être distribuées aléatoirement. Quelle
est la probabilité de recevoir un message erroné ?
Le message de 100 caractères correspond à un bloc de:
100 . 8 = 800 bits
La probabilité de réception d¶un bloc correct (Pc) est de :
Pc = (1 ± 0,0001)800 = (0,9999)800 = 0,923
Soit la probabilité de recevoir un message erroné (Pe):
Pe = 1 ± 0,923 = 0,077
La détection d¶erreur
On appelle détection d¶erreur les mécanismes mis en œuvre pour que le système destinataire
puisse vérifier la validité des données reçues. La détection d¶erreur repose sur l¶introduction
d¶une certaine redondance dans l¶information transmise. Quatre techniques peuvent être mises en ‰
œuvre pour détecter et éventuellement corriger les erreurs:
-La détection par écho, le récepteur renvoie en écho le message reçu à l¶émetteur. Si le message
est différent de celui émis, l¶émetteur retransmet le message. Cette technique est utilisée dans les
terminaux asynchrones ( Minitel«.).
-La détection par répétition, chaque message émis est suivi de sa réplique. Si les deux message
sont différents, le récepteur demande une retransmission. Cette technique est utilisée dans les
milieux sécurisés tres perturbés et dans certaines application dites temps réel.
-La détection d¶erreur par clé calculée, une information supplémentaire (clé) déduite des
informations transmises est ajoutée à celle-ci (figure 6.5). En réception, le récepteur recalcule la
clé, si le résultat obtenu correspond à la clé reçue les données sont réputées exactes, sinon le
récepteur ignore les données reçues et éventuellement en demande la retransmission (reprise en
erreur).
-La détection et correction d¶erreur par code, cette technique consiste à substituer aux caractères
à transmettre, une combinaison binaire différente du codage de baser (code auto-correcteur).

MESSAGE Information
de détection

Bloc émis

Figure 6.5 Principe de la correction d¶erreur par redondance d¶information.

‰m
Détection d¶erreur par clé calculée
Principe
Dans les systèmes à clé calculée, une Séquence de Contrôle (SC1) déduite d¶une
opération mathématique appliquée au message à émettre est envoyée avec le message.
Le récepteur effectue la même opération. Si le résultat trouvé (SC2) est identique à la
clé calculée par la source (SC1) le bloc est réputé exact, dans le cas contraire le bloc est
rejeté (figure6.6).

DONNEES SC1 DONNEES RECEPTEUR

DONNEES OPERATEUR SC1 DONNEES OPERATEUR SC2

EMETTEUR

Calcul de la SC en émission Calcul de la SC en réception

Figure 6.6 Principe de la détection d¶erreur par clé calculée

‰
Technique dite du bit de parité
La technique du bit de parité consiste à ajouter, à la séquence binaire à protéger, un bit, telle que la
somme des bits à 1 transmis soit paire (bit de parité) ou impaire (bit d¶imparité). Cette arithmétique
modulo 2 est simple, mais elle n¶introduit qu¶une faible redondance. La protection apportée est
limitée au caractère. La figure 6.7 illustre le mécanisme de calcul du bit de parité.

DONNEES SC1 DONNEES RECEPTEUR

DONNEES ™bits à 1 mod 2 SC1 DONNEES ™bits à 1 mod 2 SC2

EMETTEUR

Calcul de la SC en émission Calcul de la SC en réception

Figure 6.7 Mécanisme du bit de parité

Le tableau de la figure 6.8 fournit quelques exemples de calcul du bit de parité. Les caractères ASCII (7bits)
sont protégés par l¶introduction d¶un 8e bit: le bit de parité.

caractère O S I
Bit 6 1 1 1
Bit 5 0 0 0
Bit 4 0 1 0
Bit 3 1 0 1
Bit 2 1 0 0
Bit 1 1 1 0
Figure 6.8 Exemple de calcul du bit de parité et d¶imparité. Bit 0 1 1 1
Bit de parité 1 0 1
‰6
Bit d¶imparité 0 1 0
Cette technique, connue sous le nom de VRC (Vertical Redundancy Check), vérification par
redondance verticale ne permet de détecter que les erreur portant sur un nombre impair de bits.
Elle est, essentiellement, utilisée dans les transmissions asynchrones (figure6.9).

Bit de parité

S
T S
A 0 0 0 1 1 0 1 1 T
O
R
T P

Caractère à protéger

Figure 6.9 Le contrôle de parité dans les transmissions asynchrones.

Dans les transmissions synchrones, les caractères sont envoyés en blocs (figure 6.10). La technique
du bit de parité est insuffisante, elle est complétée d¶une autre information : le LRC (Longitudinal
Redundancy Check).

Caractère bit Caractère bit ««. Caractère bit


à de à de LRC de
transmettre parité transmettre parité parité

Figure 6.10 Structure d¶un bloc de caractères protégé par LRC.

‰
Dans ce mode de contrôle dit de parité à deux dimensions, un caractère le LRC est ajouté au bloc
transmis (figure 6.10). Chaque bit du caractère LRC correspond à la parité des bits de chaque
caractère de même rang: le premier bit du LRC est la parité de tous les 1er bits de chaque caractère,
le second de tous les 2e bits« Le caractère ainsi constitué est ajouté au message (figure 6.11). Le
LRC est lui-même protégé par un bit de parité (VRC)

3 E L L O LRC

bit 0 0 1 0 0 1 0
bit 1 0 0 0 0 1 1
bit 2 0 1 1 1 1 0
bit 3 1 0 1 1 1 0
bit 4 0 0 0 0 0 0
bit 5 0 0 0 0 0 0
bit 6 1 1 1 1 1 1
VRC 0 1 1 1 1 0

1001000 0 1001000 1 1001000 1 1001000 1 1001000 1 1001000 0


3 E L L O LRC

Figure 6.11 Transmission du mot 3ELLO ».

‰Ê
Sa couche réseau assure le routage et l¶acheminement es paquets e onnées à
travers le réseau par la gestion es circuits virtuels
Tout paquet evant être transmis est placé ans le champ ¶in9ormation es trames
I e la couche liaison e onnées qui élimite la longueur e ce paquet.
Transmission e onnées e 32 , 64 ,256 , 512 ,1024 ,2048 , 4096 octets

S  I S I
9in e permettre la coexistence à un instant onné e plusieurs communications
virtuelles et /ou e plusieurs circuits virtuels permanents , on utilise es voies
logiques.
n numéro e groupe e voies logiques (in9érieur ou égal à 15) et un numéro e
voies logique (in9érieur ou égal à 255) sont attribués à chaque circuit virtuel
permanent et à chaque communication virtuelle. ans le cas ¶une communication
virtuelle , les numéros e groupe e voies logiques et le numéro e voies logiques
sont attribuées penant la phase ¶établissement e la communication. ans le cas
¶un circuit virtuel permanent, le numéro e groupe e voies logiques et le numéro ‰
e voies logiques sont attribués au moment e l¶abonnement au service.
La gamme de voies logiques utilisées pour les communications virtuelles et les
circuits virtuels permanents.

0
1 C ircuits virtuels perm anents

VEB

U nidirectionnelles
entrantes

VE3

VBB C om m unications
virtuelles
B idirectionnelles
VB3

V SB
U nidirectionnelles
sortantes
V S3

4095

VS
uméro de voie logique
VEB Voie Entrante de numéro le plus Bas
VE3 Voie Entrante de numéro le plus 3aut
VBB Voie Bidirectionnelle de numéro le plus Bas
VB3 Voie Bidirectionnelle de numéro le plus 3aut ‰-
VSB Voie Sortante de numéro le plus Bas
VS3 Voie Sortante de numéro le plus 3aut
Voie Logique 1 à VEB-1 : Gamme des voies logique qui peuvent être attribuées à
des circuits virtuels permanent .
Voie logique VEB à VE3 : Gamme attribuée à des voie logique unidirectionnelles
entrantes pour des communications virtuelles
Voie Logique VBB à VB3 :Gamme attribuée à des voies logique bidirectionnelles
pour des communication virtuelle .
Voie Logique VBB à VS3 : Gamme attribuée à des voies logique
unidirectionnelles sortant pour des communication virtuelle.
Les voies logiques VE3+1 à VBB-1,VB3+1 à VSB-1 et VS3+1à 4095 sont des
voies logique non attribuée.

‰‰
Chaque paquet transféré à travers l¶interface ETTD/ETCD comporte au moins 3
octets. Ces trois octets contiennent une identification générale de format, une
identification de voie logique et une identification de type de paquet. D¶autre
champs de paquets peuvent être ajoutés , selon les besoins
Les ty es e a ets et le r tilisation ans ivers services

y e e a et ervice

e l¶TT vers l¶T e l¶T vers l¶TT  M

tablissement et libération es communications

ppel ppel ntrant


ommunication acceptée ommunication établie
emane e libération Inication e libération
on9irmation e libération par TT on9irmation e libération par T

onnées et interruption e communications

onnées e l¶TT onnées e l¶T


Interruption par l¶TT Interruption par l¶T
on9irmation ¶interruption par l¶TT on9irmation ¶interruption par l¶T

ontrôle e 9lux et réinitialisation

 e l¶TT  e l¶T
 e l¶TT  e l¶T
emane e réinitialisation Inication e réinitialisation
on9irmation e réinitial par l¶TT on9irmation e réinitial par l¶T

eprise

emane e reprise Inication e reprise


on9irmation e reprise par l¶TT on9irmation e reprise par l¶T
‰ 
Identification générale de format des paquets
Octet 1
Identification générale de format Bits
8 7 6 5
Numérotation modulo 8 X X 0 1
Paquets d¶établissement de la communication
Numérotation modulo128 X X 1 0
Numérotation modulo 8 X 0 0 1
Paquets de libération
Numérotation modulo128 X 0 1 0
Paquets de contrôle de flux, d¶interruption, de Numérotation modulo 8 0 0 0 1
, de reprise, d¶enregistrement et de diagnostique Numérotation modulo128 0 0 1 0
Numérotation modulo 8 X X 0 1
Paquets de données
Numérotation modulo128 X X 1 0
Paquet d¶appel et d¶appel entrant
Bits

8 7 6 5 4 3 2 1
Octets
1
Identificateur général de format  Numéro de groupe de voies logiques

2 Numéro de voie logique

3
Identificateur de type de paquet
0 0 0 0 1 0 1 1
Songueur de services complémentaires

ervices complémentaires

odé XX01 (modulo 8 ) ou XX10 (modulo 128).


 
Paquet de communication acceptée et de communication établie

Bits
8 7 6 5 4 3 2 1

Identificateur général de format  Numéro de groupe de voies


logiques
Numéro de voie logique
Identificateur de type de paquet
0 0 0 0 1 1 1 1
Bloc d¶adresse
Longueur de services complémentaires
Services complémentaires
Données d¶appel d¶usage
Ces champs ne sont pas obligatoires dans les paquets de communication
acceptée dans le format de base

Ce champ peut être présent seulement dans le format étendu

* Codé XX01 (modulo 8 ) ou XX10 (modulo 128).  m


Paquet de demande de libération et d¶indication de libération
Bits
8 7 6 5 4 3 2 1

Identificateur général de format  Numéro de groupe de voies


logiques
Numéro de voie logique
Identificateur de type de paquet
0 0 0 1 0 0 1 1
Cause de libération
Code de diagnostic à)
Bloc d¶adresse
Longueur de services complémentaires b)
Services complémentaires b)
Données de libération
*)Cechamp n¶est pas obligatoires dans les paquets de demande de libération du
format de base

b)Utilisé seulement dans le format étendu

*Codé XX001 (modulo 8 ) ou XX010 (modulo 128).  


Paquet de confirmation de libération
Bits
Octets
8 7 6 5 4 3 2 1
1 Numéro de groupe de voies logiques
Identificateur général de format b

2 Numéro de voie logique

3 0 0 0 1 0 1 1 1

Bloc d ¶adresse à)
4
Longueur de services complémentaires

Services complémentaires a)

* Codé XX001 (modulo 8 ) ou XX010 (modulo 128).


*) Utilisé
seulement dans le format étendu des paquets de confirmation de
libération par l¶ETCD.
 6
Paquet de données

Bits
8 7 6 5 4 3 2 1
Octets
Identificateur général de format Numéro de groupe de voies logiques
1 Q D O 1
Numéro de voie logique
2

3 P(R) M P(S) 0
Données de l¶utilisateur

(modulo 8 )
M Bit données à suivre »

 
Paquet de contrôle de flux RR

Bits
8 7 6 5 4 3 2 1

Identificateur général de format Numéro de groupe de voies


0 0 0 1 logiques

Numéro de voie logique


Identificateur de type de paquet
P(R) 0 0 0 0
1
(modulo 8 )

 Ê
Paquet de contrôle de flux RNR
Bits
Octets 8 7 6 5 4 3 2 1
Identificateur général de format Numéro de groupe de voies logiques
0 0 O 1
Numéro de voie logique

Identificateur de type de paquet


P(R)
0 0 1 0 1
(modulo 8 )
Paquet de contrôle de flux REJ
Bits
Octets 8 7 6 5 4 3 2 1
Identificateur général de format Numéro de groupe de voies logiques
0 0 O 1
Numéro de voie logique

Identificateur de type de paquet


P(R)
0 1 0 0 1
 
(modulo 8 )

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