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der
Kirchengeschichte
mit steter Rücksicht auch auf die dogmengeschichtliche Bewegung.
von
Dritter Band.
Neuere Kirchengeschichte.
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Leipzig,
Verlag von Wilhelm Engelmann.
1867.
Suit la table des matières pour avoir une idée du contenu du livre et avant de
présenter le passage concernant le Dr Chas. F. Zimpel dit Dr. Zimpel.
L’édition de 1866 de ce livre comporte exactement le même passage. Une
traduction approximative en français se trouve en fin, après les textes en allemand.
Abschn. II. Protestantismus. Ep.II. Reformirte Kirche. §. 96. Neueres Leben 407
Des Gefängniß (gest. 20. Januar 1790); als Schulmann ein Thoms Arnold,
geb. am 13. Juni 1795, gest. 12 Juni 1842, Direktor der Schule zu Rugby und Lehrer
der neueren Geschichte an der Universität zu Oxford (vgl. A. P. Stanley The life and cor-
respondence of Th. Arn. Lond. ed. 5. 2 Voll. 1845.; G. H. v. Schubert Jüge aus
dem Leb. eines christl. Schulmannes, Ev. K. Z. 1845. Nr. 94 ff., und K. Heintz Th. Ar-
nold. Potsd. 1847.); als christliche Volkschriftstellerin unter den neueren atheistischen ten-
denzen Hanna More, gest. im 89sten Jahre am 7tes Sept. 1833 (vgl. Tholuck Lit. Anz. 1847.
Nr. 16. und J. Kavanagh Frauen der Christenheit, deutsch v. Friedenberg. Berl.
1852. S. 369 ff.); u. A. – Als praktisch-christliche Gesammtbestrebung tritt vor allen die
Verderben herauszuheben, erst seit wenigen Jahrzehnden von einem Dav. Nasmith (D.
Nasmith, von F. Layfer. Hamb. 1853.), Roger Miller (R. Miller. Hamb. R. H.
1852.) u. A., und jetzt schon von mehr als 300 Missionaren fortwährend betreiben.
1) Zur Zeit der Religionsstürme im 17. Jahrh. vornehmlich waren ganze Hausen der
Sonderbarsten Sectirer aus den englischen Bewegungen hervorgegangen, die sich aber ent-
Weder von selbst wieder verloren, oder, nach Amerika abgestzt, dort, fern von den kirchlich-
2) So enstand z. B. am Ende des 18ten Jahrh. Die kleine noch fortbauernde Secte
tastisch chiliastischen Ideen bewegt, das ganze Mosaische Gesetz beobachten; gestiftet von Jo-
welche aus der bischöflichen Kirche zu den Wesleyanern übertrat, von diesen aber um der
Geltendmachung ihrer Visionen willen ausgeschlossen wurde; angeblich das Weib aus Offen-
Bar. 12, 16., als welches sie auch, obwohl unverheiratet, den Messias von neuem gebären
wollte, für dessen Empfang eine kostbare Wiege im „Haus Gottes“ zu Southwark zu Schau
Gestellt wurde; eine Aussicht, die aber aus natürlichen Gründen an ihr sich nicht erfüllte,
und an deren Phantom sie selbst bereits 1814 starb), und geleitet durch „Hauptpropheten“
und „Propheten,“ von denen die ersteren durch Träume, Gesichte u. s. w. Offenbarungen zu
erhalten meinen, welche niedergeschrieben und an die „Propheten“ zum Vorlesen in den Ge-
meinden versandt werden; - eine Secte, verwandt der noch neueren amerikanischen „christ-
licher Israeliten,“ einer Stiftung des John Wroe (vgl. Zimpel Das Gebot des Ge-
seßes 1855.).
Ainsi apparut par exemple, à la fin du 18° siècle les petites sectes encore en train de se
constituer des Nouveaux Israélites ou Southcotianer en Angleterre dont les membres,
développaient des idées fantastiquement chiliastiques, observant toute la loi Mosaïque (de
Moïse); fondée par Johanne Southcote, (la fille d'un campagnard de Saint Mary Otterry dans
Devonshire, lequel passait de l’église épiscopale aux Wesleyanern, cependant à ceux-ci la mise
en valeur de leurs visions était exclue; soi-disant femme de la révélation 12, 16., elle voulait
aussi en tant que telle, bien que célibataire, mettre au monde le nouveau Messie, pour la
réception duquel un berceau précieux fut installé et exposé (à la visite) dans la "maison de Dieu"
à Southwark; un espoir/projet qui ne se réalisa cependant pas pour des raisons naturelles propres
à celle-ci (elle était alors âgée de 42 ans), et auprès du fantôme (de son père ?) duquel elle
décéda en 1814), conduite par des "grands prophètes» et des «prophètes», parmi lesquels les
premiers, grâce auxquels elle pensait obtenir, au moyen de rêves et de visages, etc. des
Révélations, lesquelles furent mises par écrit et envoyées aux « prophètes » pour être lues à
haute voix dans les communautés;- une secte apparentée à la encore plus nouvelle (secte)
américaine « Israélite-chrétienne», fondée par John Wroe (voir Zimpel Le commandement de la
Loi 1855).
etc. etc. …
Il y a là pour nos adeptes français de Jacob Lorber, amateurs de «Nouvelles Révélations » par
visions ou rêves, et de toute évidence très révérencieux envers Carl Friedrich Zimpel (nom
allemand du Dr Zimpel) une nouvelle source à exploiter.
Les allemands du milieu du 19° siècle étaient très bien informés et n’ignoraient rien des divers
mouvements. Ce livre comporte entre autre des études sur les Irvianistes, les Quakers, les
Mormons, les baptistes, Swedenborg etc. Ils étaient parfaitement à même de faire la distinction
entre les différents courants chrétiens, les « églises libres », et les sectes, et ils utilisaient le mot
secte uniquement pour les mouvements que nous qualifions aujourd’hui de sectes totalitaires
nuisibles.