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Sujet 1 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// On considère dans ℂ le complexe 𝑢 tel que : 𝑢 = −1 – 2𝑖√2
1
3- Montre que : |
𝑍1
+ 𝑍1 | = √2
2
2) Une maison a pour dimensions 4,5𝑚 et 3,2𝑚. On souhaite carreler cette pièce avec un
nombre entier de dalles carrées, sans aucune découpe.
a- Détermine l’ensemble des points invariants, Précise celles qui sont bijectives.
II// Une urne contient un jeton marqué 1 ; deux jetons marqués 2 et 𝑥 jetons marqués 3 (𝑥 ≥ 2).
On tire simultanément 2 jetons de l’urne. On suppose que le tirage est équiprobable et on
désigne par X la variable aléatoire égale à la somme des points marqués sur les 2 jetons extraits
de l’urne.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A :
b- Démontre que l'équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique α telle que : 1,89 < 𝛼 < 1,90.
𝑙𝑛𝑥
2) On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ] 0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = et soit (C)
1 + 𝑥2
sa courbe représentative dans le repère orthonormé (o ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗ ) (unité graphique 2 𝑐𝑚 )
1
b) Vérifie que 𝑓(𝛼) = . En déduis un encadrement de 𝑓(𝛼) d'amplitude 2•10−1
2𝛼2
Partie B :
𝑥
On considère la fonction numérique définie sur ] 0 ; +∞[ par : 𝐹(𝑥) = ∫1 𝑓(𝑡)𝑑𝑡
𝑙𝑛𝑡 𝑙𝑛𝑡
2) a) Vérifie que ∀ 𝑡 ≥ 1 ; on a : (1 ≤ 𝑓(𝑡) ≤
+𝑡 )2 𝑡2
𝑥 𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑙𝑛𝑡
b) Pour tout 𝑥 > 0 et 𝑡 ≠ 0 ; on pose 𝐼(𝑥) = ∫1 dt et 𝐽(𝑥) = ∫1 dt
𝑡2 (1 +𝑡 )2
1 1 1
- A l'aide d'une intégration par partie et de l'égalité : = + , Calcule 𝐽(𝑥).
𝑡(1 + 𝑡) 𝑡 1+𝑡
𝑥 → +∞
𝑥 2 − 𝑦 2 = −1 𝑥 2 − 𝑦 2 = −1 (1)
{ 2𝑥𝑦 = −2√2 { 𝑥𝑦 = −√2 (2)
𝑥 2 + 𝑦2 = 3 𝑥 2 + 𝑦2 = 3 (3)
Effectuons : ( 1 ) + ( 3 )
On a : 2𝑥 2 = 2 => 𝑥 2 = 1 = >𝑥 = −1 𝑜𝑢 𝑥 = 1
− √2
( 2 ) : 𝑥𝑦 = −√2 => 𝑦 =
𝑥
− √2
• Si 𝑥 = −1 => 𝑦 = = √2 et 𝛿 1 = 𝑥 + 𝑖𝑦 => 𝛿1 = −1 + 𝑖√2
−1
− 2√
• Si 𝑥 ′ = 1 => 𝑦 ′ = = −√2 et 𝛿 2 = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦 ′ => 𝛿 2 = 1 − 𝑖√2
1
Alors les racines carrées de Z 𝑠𝑜𝑛𝑡 ∶ 𝛿 1 = −1 + 𝑖√2 et 𝛿 2 = 1 − 𝑖√2
D’où:
− 𝑏+ 𝛿2 1 1−2√2 1
− 𝑖 1+22 2 ; − 21 − 𝑖 1−22
√ √2
𝑍2 = =− −𝑖 =>S={
2
}
2𝑎 2 2
1
3) Montrons que : |
𝑍1
+ 𝑍1 | = √2
2
𝑖
1 1 𝑍1 + 𝑍2 − 2
𝑖√2
|𝑍 + 𝑍 | = | 𝑍 |=| |= = √2
1 2 1 ×𝑍2 2 √2
a- Déterminons l’ensemble des points invariants, précisons celles qui sont bijectives.
Pour l’application 𝒇.
𝑥′ = 𝑥
𝑓 Admet un point invariant si et seulement si 𝑓(𝑀) = 𝑀 c’est-à-dire {
𝑦′ = 𝑦
𝑥 ′ = 2𝑥 + 1 𝑥 = −1
=> { ′ { => 𝐴(−1 ; −1) est le point invariant.
𝑦 = 2𝑦 + 1 𝑦 = −1
2 0
La matrice de 𝑓 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀 = ( ) et le déterminant associé à cette
0 2
2 0
Matrice est 𝑑𝑒𝑡𝑀 = | |
0 2
2 0
𝑑𝑒𝑡𝑀 = | | = 4 ≠ 0. Alors 𝑓 est bijective.
0 2
Pour l’application 𝒈.
𝑥′ = 𝑥
𝑔 Admet un point invariant si et seulement si 𝑔(𝑀) = 𝑀 c’est-à-dire { ′
𝑦 =𝑦
𝑥 =𝑥+2 0 = −1
=> { { =>𝑔 n’admet pas de point invariant.
𝑦=𝑦−1 0 = −1
1 0
La matrice de 𝑔 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀′ = ( ) et le déterminant associé à cette
0 1
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 4
Sujets de Bac
1 0
Matrice est 𝑑𝑒𝑡𝑀′ = | |
0 1
1 0
𝑑𝑒𝑡𝑀′ = | | = 1 ≠ 0. Alors 𝑔 est bijective.
0 1
Pour l’application 𝒇.
1ère Méthode
𝑥 ′ = 2𝑥 + 1
On a 𝑓 ∶ { ′
𝑦 = 2𝑦 + 1
Exprimons 𝑍′ en fonction de 𝑍.
𝑥 ′ = 2𝑥 + 1
On sait que 𝑍 ′ = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦′. Or {
𝑦 ′ = 2𝑦 + 1
𝑍 ′ = (2𝑥 + 1 ) + 𝑖(2𝑦 + 1)
= 2𝑥 + 1 + 2𝑖𝑦 + 𝑖
= 2𝑥 + 2𝑖𝑦 + 1 + 𝑖
= 2(𝑥 + 𝑖𝑦) + 1 + 𝑖 . Or 𝑍 = 𝑥 + 𝑖𝑦
=>𝑍 ′ = 2𝑍 + 1 + 𝑖
NB :
On a : 𝑍 ′ = 2𝑍 + 1 + 𝑖. Avec 𝑎 = 2 et 𝑏 = 1 + 𝑖
2ième Méthode
𝑥 ′ = 2𝑥 + 1 𝑥 ′ = 𝑘𝑥 + 𝑥0 (1 − 𝑘)
On a 𝑓 ∶ { ′ sous la forme { ′
𝑦 = 2𝑦 + 1 𝑦 = 𝑘𝑦 + 𝑦0 (1 − 𝑘)
D’où 𝑓 est une homothétie de rapport 𝑘 = 2 et de Centre 𝐴(−1 ; −1) ∶ point invariant.
Pour l’application 𝒈.
1ère Méthode
𝑥′ = 𝑥 + 2
On a 𝑔 ∶ { ′
𝑦 =𝑦−1
Exprimons 𝑍′ en fonction de 𝑍.
𝑥′ = 𝑥 + 2
On sait que 𝑍 ′ = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦′. Or {
𝑦′ = 𝑦 − 1
𝑍 ′ = (𝑥 + 2 ) + 𝑖(𝑦 − 1)
= 𝑥 + 2 + 𝑖𝑦 − 𝑖
= 𝑥 + 𝑖𝑦 + 2 − 𝑖
= (𝑥 + 𝑖𝑦) + 2 − 𝑖. Or 𝑍 = 𝑥 + 𝑖𝑦
=>𝑍 ′ = 𝑍 + 2 − 𝑖
NB :
⃗⃗ et d’affixe 𝑏.
𝑠𝑖 𝑎 = 1 , alors 𝑜𝑛 a une translation de vecteur 𝑢
On a : 𝑍 ′ = 𝑍 + 2 − 𝑖. Avec 𝑎 = 1 et 𝑏 = 2 − 𝑖
2
⃗⃗ et d’affixe 𝑏 = 2 − 𝑖 => 𝑢
Ici 𝑎 = 1, alors 𝑔 est une translation de vecteur 𝑢 ⃗⃗ (−1 )
2ième Méthode
𝑥′ = 𝑥 + 2 𝑥′ = 𝑥 + 𝑎
On a : 𝑔 ∶ { ′ sous la forme { ′
𝑦 =𝑦−1 𝑦 =𝑦+𝑏
⃗⃗(ba).
Qui est l’expression analytique d’une translation de vecteur 𝑢
2
D’où 𝑔 est une translation de vecteur 𝑢
⃗⃗(−1 ).
𝑥 ′ − 𝑥 = −𝑘 𝑥′ = 𝑥 − 𝑘
D’où ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′ = 𝑘𝑛⃗⃗ (𝑦𝑥′−𝑥 −1 𝑥′−𝑥 −𝑘
′ − 𝑦) = 𝑘( 1 ) (𝑦 ′ − 𝑦) = ( 𝑘 ) { ′ { ′
𝑦 −𝑦=𝑘 𝑦 =𝑦+𝑘
𝑥′+ 𝑥 𝑦′+ 𝑦
Si I est le milieu de [𝑀𝑀′] alors : I( ; ).
2 2
𝑥′+ 𝑥 𝑦′+ 𝑦 𝑥′ = 𝑥 − 𝑘
I appartient à (∆) 𝑠𝑖 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑖 = 𝑥 ′ + 𝑥 = 𝑦 ′ + 𝑦 . Or {
2 2 𝑦′ = 𝑦 + 𝑘
(𝑥 − 𝑘) + 𝑥 = (𝑦 + 𝑘) + 𝑦 𝑥 − 𝑘 + 𝑥 = 𝑦 + 𝑘 + 𝑦 2𝑥 − 2𝑦 − 2𝑘 = 0
𝑥 ′ = 𝑥 − (𝑥 − 𝑦) 𝑥′ = 𝑥 − 𝑥 + 𝑦 𝑥′ = 𝑦
{ ′ { ′ {
𝑦 = 𝑦 + (𝑥 − 𝑦) 𝑦 =𝑦+𝑥−𝑦 𝑦′ = 𝑥
II//Une urne contient un jeton marqué 1 ; deux jetons marqués 2 et 𝑥 jetons marqués 3 (𝑥 ≥ 2).
On tire simultanément 2 jetons de l’urne. On suppose que le tirage est équiprobable et on
désigne par X la variable aléatoire égale à la somme des points marqués sur les 2 jetons extraits
de l’urne.
- Une urne contient un jeton marqué 1 ; deux jetons marqués 2 et 𝑥 jetons marqués 3
=> 𝑛 = 1 + 2 + 𝑥 = 𝑥 + 3.
- On tire simultanément 2 jetons de l’urne => 𝑝 = 2.
𝑝
- Le tirage est simultané alors le modèle mathématique utilisé est le 𝐶𝑛
Si X désigne l’ensemble de la somme des points marqués sur les 2 jetons extraits de l’urne
alors on a :
1 + 2 = 𝟑 ou 2 + 2 = 𝟒 ou 1 + 3 = 𝟒 ou 3 + 2 = 𝟓 ou encore 3 + 3 = 𝟔
D’où X= {3 ; 4 ; 5 ; 6}
b- Déterminons la loi de probabilité de X.
2 (𝑥 +3)(𝑥 + 3−1) (𝑥 + 3)(𝑥 + 2)
Le nombre de tirage possibles est Card(𝛺) = 𝐶𝑥+3 = =
2 2
2 4 4
=>𝑃(X = 3) = (𝑥 + 3)(𝑥 + 2) = =
(𝑥 + 3)(𝑥 + 2) 𝑥 2 + 5𝑥 + 6
2
𝑥+1 2𝑥 + 2 2𝑥 + 2
=>𝑃(X = 4) = (𝑥 + 3)(𝑥 + 2) = =
(𝑥 + 3)(𝑥 + 2) 𝑥2 + 5𝑥 + 6
2
2𝑥 4𝑥 4𝑥
=>𝑃(X = 5) = (𝑥 + 3)(𝑥 + 2) =( = 2
𝑥 + 3)(𝑥 + 2) 𝑥 + 5𝑥 + 6
2
𝑥2 – 𝑥
𝐶𝑎𝑟𝑑(𝑋 = 6) = 𝐶𝑥2 =
𝐶𝑎𝑟𝑑(𝑋=6) 2
𝑃(X = 6) = avec { 𝑒𝑡
𝐶𝑎𝑟𝑑 𝛺
( )
2 (𝑥 + 3)(𝑥 + 2)
𝐶𝑎𝑟𝑑(𝛺) = 𝐶𝑥+3 =
2
𝑥2 – 𝑥
2 𝑥2 – 𝑥 𝑥2 – 𝑥
=>𝑃(X = 6) = (𝑥 + 3)(𝑥 + 2) =( = 2
𝑥+3 𝑥+2
)( ) 𝑥 + 5𝑥 + 6
2
NB : Chercher par exemple 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝑋 = 3), revient à chercher la somme des numéros possible
porté par deux jetons affins d’obtenir le chiffre 3.
Ainsi pour obtenir le chiffre 3, il suffit de faire la somme de : ≪ un jeton numéroté 1 ≫
parmi le seule jeton numéroté 1 et de ≪ un jeton numéroté 2 ≫ parmi les deux jetons
numéroté 2.
Et ceci se traduit par 𝐶11 × 𝐶21 en sachant bien sûr que le ≪ 𝑒𝑡 ≫ signifie ≪ × ≫ et
𝑥𝑖 3 4 5 6
4 2𝑥 + 2 4𝑥 𝑥2 – 𝑥
P(𝑋 = 𝑥𝑖 ) 𝑥 2 + 5𝑥 + 6 𝑥 2 + 5𝑥 + 6 𝑥 2 + 5𝑥 + 6 𝑥 2 + 5𝑥 + 6
6𝑥 2 + 22𝑥 + 20
2) a- Démontrons que l’espérance mathématique E(X) =
𝑥 2 + 5𝑥 + 6
4 2𝑥 + 2 4𝑥 𝑥2 – 𝑥
E(𝑋)= ∑ 𝑥𝑖 × 𝑃𝑖 = 3 × +4× 2 +5× 2 +6× 2
𝑥2 + 5𝑥 + 6 𝑥 + 5𝑥 + 6 𝑥 + 5𝑥 + 6 𝑥 + 5𝑥 + 6
6𝑥 2 + 22𝑥 + 20
D’où E(X) = ( Ce qu’il fallait Démontre ).
𝑥 2 + 5𝑥 + 6
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A :
𝐷𝑔 = ] 0 ; +∞[
𝑥→0 𝑥→0
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
Levons l’indétermination
1
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 1 + 𝑥 2 – 2𝑥 2 𝑙𝑛𝑥 = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 2 ( + 1 − 2𝑙𝑛𝑥) = (+∞)2 (0 + 1 − ∞) = −∞
𝑥2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
Posons 𝑙𝑛𝑥 > 0 => 𝑥 > 𝑒 0 => > 1. Ainsi pour les 𝑥 > 1, on a : 𝑙𝑛𝑥 > 0
𝑥 0 1 𝛼 +∞
−4𝑥 − −
𝑙𝑛𝑥 − 0 +
𝑔′(𝑥) + −
2
𝑔(𝑥) 0
1 −∞
b- Démontre que l'équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 telle que :
1,89 < 𝛼 < 1,90.
𝑔(1,89) = 0,02
- De plus { => 𝑔(1,89) × 𝑔(1,90) < 0
𝑔(1,90) = −0,02
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires on a : 1,89 < 𝛼 < 1,90.
Conclusion : l'équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 telle que 1,89 < 𝛼 < 1,90.
𝑙𝑛𝑥
2) On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ] 0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = et soit (C)
1 + 𝑥2
sa courbe représentative dans le repère orthonormé (o ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗ ) (unité graphique 2 𝑐𝑚 )
𝑙𝑛𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 = −∞
1 + 𝑥2
𝑥→0 𝑥→0
𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 =0
1 + 𝑥2 𝑥2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
1
𝑙𝑛𝑥 (1 + 𝑥 2 )−2𝑥(𝑙𝑛𝑥) 1+ 𝑥 2 – 2𝑥 2 𝑙𝑛𝑥 𝑔(𝑥)
𝑥
𝑓(𝑥) = => 𝑓′(𝑥) = = =
1 + 𝑥2 (1 + 𝑥 2 )2 𝑥(1 + 𝑥 2 )2 𝑥(1 + 𝑥 2 )2
𝑥 0 𝛼 +∞
𝑓′(𝑥) + 0 −
𝑓(𝛼)
𝑓(𝑥)
−∞ 0
1
b- Vérifions que 𝑓(𝛼) = . En déduis un encadrement de 𝑓(𝛼) d'amplitude 2•10−1
2𝛼2
1 + 𝛼2
D’après Partie A 1) b),on a : 𝑔(𝛼) = 0 1 + 𝛼 2 – 2𝛼 2 𝑙𝑛𝛼 = 0 => 𝑙𝑛𝛼 =
2𝛼2
𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝛼
D’autre part 𝑓(𝑥) = => 𝑓(𝛼) =
1 + 𝑥2 1 + 𝛼2
1 + 𝛼2 𝑙𝑛𝛼
Remplaçons 𝑙𝑛𝛼 = par sa valeur dans 𝑓(𝛼) = . Ainsi on a :
2𝛼2 1 + 𝛼2
1 + 𝛼2
𝑙𝑛𝛼 2𝛼2 1 + 𝛼2 1 1
𝑓(𝛼) = => 𝑓(𝛼) = = = . D’où 𝑓(𝛼) = .
1 + 𝛼2 1 + 𝛼2 2𝛼2 ( 1 + 𝛼2 ) 2𝛼2 2𝛼2
2y
0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
Partie B :
𝑥
On considère la fonction numérique définie sur ] 0 ; +∞[ par : 𝐹(𝑥) = ∫1 𝑓(𝑡)𝑑𝑡
𝑓 est une fonction continue sur ] 0 ; +∞[ . Alors F est donc dérivable sur ] 0 ; +∞[
𝑙𝑛𝑥
Sa fonction dérivée est 𝐹′(𝑥) = 𝑓(𝑥) avec 𝑓(𝑥) =
1 + 𝑥2
𝑥 0 1 +∞
𝑓(𝑥) − 0 +
𝐹(𝑥)
0
D’après le tableau :
𝑙𝑛𝑡 𝑙𝑛𝑡
2) a) Vérifions que ∀ 𝑡 ≥ 1 ; on a : (1 ≤ 𝑓(𝑡) ≤
+𝑡 )2 𝑡2
On sait que ∀ 𝑡 ≥ 1; on a : 𝑡 2 ≤ 1 + 𝑡 2 ≤ 𝑡 2 + 2𝑡 + 1
1 1 1 1 1 1
En prenant les inverses, on a : ≤ ≤ (1 ≤ ≤
𝑡 2 +2𝑡 +1 1+ 𝑡 2 𝑡2 +𝑡 )2 1+ 𝑡 2 𝑡2
𝑥 𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑙𝑛𝑡
b) Pour tout 𝑥 > 0 et 𝑡 ≠ 0 ; on pose 𝐼(𝑥) = ∫1 dt et 𝐽(𝑥) = ∫1 dt
𝑡2 (1 +𝑡 )2
𝑥 𝑙𝑛𝑡 𝑥 1
𝐼(𝑥) = ∫1 dt = ∫1 𝑙𝑛𝑡dt
𝑡2 𝑡2
1
Posons 𝑢(𝑡) = 𝑙𝑛𝑡 => 𝑢′(𝑡) =
𝑡
1 1
𝑣′(𝑡) = => 𝑣(𝑡) = −
𝑡2 𝑡
1 𝑙𝑛𝑥
=> 𝐼(𝑥) = 1 − −
𝑥 𝑥
1 1 1
c) A l'aide d'une intégration par partie et de l'égalité : = − , calculons 𝐽(𝑥).
𝑡(1 + 𝑡) 𝑡 1+𝑡
𝑥 𝑙𝑛𝑡 𝑥 1
𝐽(𝑥) = ∫1 (1 +𝑡 )2
dt = ∫1 (1 +𝑡 )2
× 𝑙𝑛𝑡 dt
1
Posons 𝑢(𝑡) = 𝑙𝑛𝑡 => 𝑢′(𝑡) =
𝑡
1 1
𝑣′(𝑡) = (1 => 𝑣(𝑡) = −
+𝑡 )2 1 +𝑡
𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑥 1 𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑥 1 1
=> 𝐽(𝑥) = [− ] + ∫1 dt = [− ] + ∫1 ( − ) dt
1 +𝑡 1 𝑡(1 +𝑡) 1 +𝑡 1 𝑡 1+𝑡
𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑙𝑛𝑡 𝑥
=> 𝐽(𝑥) = [− ] + [𝑙𝑛𝑡 − 𝑙𝑛(1 + 𝑡)]1𝑥 = [− 𝑙𝑛𝑡 − 𝑙𝑛(1 + 𝑡)]
1 +𝑡 1 1 +𝑡 1
𝑥 𝑙𝑛𝑥
=> 𝐽(𝑥) = 𝑙𝑛2 + 𝑙𝑛 ( )−
𝑥+ 1 1+𝑥
𝑥 𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥 1
En déduisons que ∀ 𝑥 > 1 ; on a : 𝑙𝑛2 + 𝑙𝑛 ( )− ≤ 𝐹(𝑥) ≤ 1 − −
𝑥+ 1 𝑥+ 1 𝑥 𝑥
𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑙𝑛𝑡
D’après 2) a), on a : (1 ≤ ∫1 𝑓(𝑡)dt ≤ . Intégrons cette inégalité sur [1 ; 𝑥]
+𝑡 )2 𝑡2
𝑥 𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑥 𝑙𝑛𝑡
∫1 (1 +𝑡 )2
dt ≤ ∫1 𝑓(𝑡)dt ≤ ∫1 dt 𝐽(𝑥) ≤ 𝐹(𝑡) ≤ 𝐼(𝑥)
𝑡2
𝑥 𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥 1
𝑙𝑛2 + 𝑙𝑛 ( )− ≤ 𝐹(𝑥) ≤ 1 − −
𝑥+ 1 𝑥+ 1 𝑥 𝑥
𝑥 → +∞
𝑥 𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥 1
On sait que : 𝑙𝑛2 + 𝑙𝑛 ( )− ≤ 𝐹(𝑥) ≤ 1 − –
𝑥+ 1 𝑥+ 1 𝑥 𝑥
𝑥 𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥 1
𝑙𝑛2 + 𝑙𝑛 ( )− ≤ 𝐹(𝑥) ≤ 1 − – , on a :
𝑥+ 1 𝑥+ 1 𝑥 𝑥
𝑥 𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥 1
𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛2 + 𝑙𝑛 ( )− ≤ 𝑙𝑖𝑚 𝐹(𝑥) ≤ 𝑙𝑖𝑚 1 − –
𝑥+ 1 𝑥+ 1 𝑥 𝑥
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥− 1
On note C sa courbe représentative dans le plan muni d'un repère orthonormal (O, i , j) .
1
On considère la fonction 𝑔 définie sur l'intervalle I par : 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑙𝑛 (2 + )
𝑥
4) Soit (𝑢𝑛 ) la suite de nombres réels définie par : 𝑢0 = 2 et, pour tout 𝑛 de ℕ,
𝑢𝑛+1 = 𝑔(𝑢𝑛 )
1
a) Démontre que, pour tout 𝑛 de ℕ, |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|
9
1 1 𝑛
b) En déduis, en raisonnant par récurrence que pour tout 𝑛 de ℕ, |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) puis
10 9
Donne la limite de la suite 𝑢𝑛 en +∞
2) a) Détermine, en unités d'aire, l'aire A de la portion de plan limitée par la courbe (C),
l'axe des abscisses, la droite d'équation 𝑥 = 1 et la droite d'équation 𝑥 = α.
1
b) Démontre qu'on peut écrire A = (𝛼 − 1) (𝛼 − ).
𝛼
On a : 35(−20) − 27(−26) = −700 + 702 = 2. Donc (−20 ; −26) est solution de (𝐸).
b- Démontrons que les solutions de (𝐸) sont les couples (𝑥 ; 𝑦)d’entiers relatifs vérifiant :
𝑥 = 27𝑘 − 20 et 𝑦 = 35𝑘 − 26 avec 𝑘 ∈ ℤ.
1ère méthode :
Si le couple (𝑥0 ; 𝑦0 ) est une solution particulière de l’équation diophantienne 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 = 𝑐,
alors l’ensemble solution est donc de la forme 𝑆 = {−𝑏𝑘 + 𝑥0 ; 𝑎𝑘 + 𝑦0 } avec 𝑘 ∈ ℤ.
Donc l’ensemble solution de l’équation 35𝑥 − 27𝑦 = 2 ayant pour solution particulière
(−20 ; −26) est :
2ième méthode :
Puisque 𝑃𝐺𝐶𝐷(35 ; 27)= 1, c’est-à-dire que 35 et 27 sont premier entre eux, alors d’après
Gauss on a : 35/27(𝑦 − 𝑦0 ) 35/(𝑦 − 𝑦0 ). Donc il existe un rée 𝑘 ∈ ℤ tel que :
35𝑘 = 𝑦 − 𝑦0 𝑦 = 35𝑘 + 𝑦0 .
Or 𝑦0 = −26 => 𝑦 = 35𝑘 − 26.
Puisque 𝑃𝐺𝐶𝐷(35 27)= 1, c’est-à-dire que 35 et 27 sont premier entre eux, alors d’après
Gauss on a : 27/35(𝑥 − 𝑥0 ) 27/(𝑥 − 𝑥0 ).
Donc il existe un rée 𝑘 ∈ ℤ tel que : 27𝑘 = 𝑥 − 𝑥0 𝑥 = 27𝑘 + 𝑥0 .
Or 𝑥0 = −20 => 𝑥 = 27𝑘 − 20.
2) Dans un village il ya deux fétiches Bolifing et Boliblen. Le fétiche Bolifing est adoré
tous les 140 jours et le fétiche Boliblen tous les 180 jours. Les jours où les cultes
coïncident sont appelés jours de grâce. Un matin, le village a adoré le fétiche
Boliblen.
Déterminons le nombre de jours qui séparent ce matin-là du prochain jour de grâce sachant
qu’ils avaient adoré le fétiches Bolifing 8 jours auparavant.
Soit : 𝑛 = 140𝑥 le nombre de jours d’adoration de Bolifing avec 𝑥 ∈ ℕ
𝑚 = 108𝑦 le nombre de jours d’adoration de Boliblen avec 𝑦 ∈ ℕ
Puisqu’il ya eu 8 jours de différence entre le jour d’adoration des deux fétiches, alors on :
𝑚 = 𝑛 − 8 108𝑦 = 140𝑥 − 8 140𝑥 − 108𝑦 = 8
1
−(1−𝑥)𝑛+1 −1 1
=[ ] =0− =
𝑛+1 0
𝑛+1 𝑛+1
1
=> 𝐼𝑛;0 =
𝑛+1
1
𝐼𝑛;1 = ∫0 𝑥(1 − 𝑥)𝑛 𝑑𝑥
(1−𝑥)𝑛+1
𝑣′(𝑥) = (1 − 𝑥)𝑛 => 𝑣(𝑥) = −
𝑛+1
1
(1−𝑥)𝑛+1 1 (1−𝑥)𝑛+1
𝐼𝑛;1 = [−𝑥 × ] − ∫0 − 𝑛+1 𝑑𝑥
𝑛+1 0
1
(1−𝑥)𝑛+1 1 1
= [−𝑥 ×
𝑛+1
] − ∫ −(1 − 𝑥)𝑛+1 𝑑𝑥
𝑛+1 0
0
1 1
(1−𝑥)𝑛+1 1 (1−𝑥)𝑛+2
= [−𝑥 × ] − [ ]
𝑛+1 0
𝑛+1 𝑛+2 0
1
𝑥(1−𝑥)𝑛+1 (1−𝑥)𝑛+2 1 1
= [− −( ] =0+( =(
𝑛+1 𝑛+1)(𝑛+2) 0 𝑛+1)(𝑛+2) 𝑛+1)(𝑛+2)
1
=> 𝐼𝑛;1 =
(𝑛+1)(𝑛+2)
1
=> 𝐼0;𝑛 =
𝑛+1
1
𝐼1;𝑛 = ∫0 𝑥 𝑛 (1 − 𝑥)𝑑𝑥
𝑥𝑛+1
𝑣′(𝑥) = 𝑥 𝑛 => 𝑣(𝑥) =
𝑛+1
1
(1−𝑥)𝑥𝑛+1 1 𝑥𝑛+1
𝐼1;𝑛 = [ ] − ∫0 − 𝑑𝑥
𝑛+1 0
𝑛+1
1
(1−𝑥)𝑥𝑛+1 1 1
=[
𝑛+1
] + ∫ 𝑥𝑛+1 𝑑𝑥
𝑛+1 0
0
1 1
(1−𝑥)𝑥𝑛+1 1 𝑥 𝑛+2
=[
𝑛+1
] + [ ]
0 𝑛+1 𝑛+2 0
1 1
(1−𝑥)𝑥𝑛+1 𝑥𝑛+2
=[ ] + [( ]
𝑛+1 0
𝑛+1)(𝑛+2) 0
1
(1−𝑥)𝑥𝑛+1 𝑥𝑛+2 1
=[ +( ] =(
𝑛+1 𝑛+1)(𝑛+2) 0 𝑛+1)(𝑛+2)
1
=> 𝐼1;𝑛 =
(𝑛+1)(𝑛+2)
Posons : 𝑋 = 1 − 𝑥 𝑥 = 1 − 𝑋
Si 𝑥 = 0 ; alors 𝑋 = 1
Si 𝑥 = 1 ; alors 𝑋 = 0
Et 𝑑𝑥 = −𝑑𝑋
0 0
Donc 𝐼𝑛;𝑝 = ∫1 𝑥 𝑝 (1 − 𝑥)𝑛 𝑑𝑥 𝐼𝑛;𝑝 = ∫1 (1 − 𝑋)𝑝 (𝑋)𝑛 (−𝑑𝑋)
1 1 1
𝐼𝑛;𝑝 = − ∫0 (1 − 𝑋)𝑝 (𝑋)𝑛 (−𝑑𝑋) 𝐼𝑛;𝑝 = ∫0 (1 − 𝑋)𝑝 (𝑋)𝑛 𝑑𝑋 𝐼𝑛;𝑝 = ∫0 𝑋 𝑛 (1 − 𝑋)𝑝 𝑑𝑋.
1
En posant 𝑋 = 𝑥 ; on a : 𝐼𝑛;𝑝 = ∫0 𝑥 𝑛 (1 − 𝑥)𝑝 𝑑𝑥 = 𝐼𝑝;𝑛 .
𝑛
4) En déduisons la relation 𝐼𝑝;𝑛 = 𝐼
𝑝+1 𝑝+1 ;𝑛−1
1
D’après 3), on a : 𝐼𝑛;𝑝 = ∫0 𝑥 𝑛 (1 − 𝑥)𝑝 𝑑𝑥
(1−𝑥)𝑝+1
𝑣′(𝑥) = (1 − 𝑥)𝑝 => 𝑣(𝑥) = −
𝑝+1
1
(1−𝑥)𝑝+1 𝑛 1
𝐼𝑛;𝑝 = [−𝑥 𝑛 × ] + ∫0 𝑥 𝑛−1 (1 − 𝑥)𝑝+1 𝑑𝑥
𝑝+1 0
𝑝+1
1
(1−𝑥)𝑝+1
Or [−𝑥 𝑛 × ] =0
𝑝+1 0
𝑛 1 𝑛
=> 𝐼𝑛;𝑝 = ∫ 𝑥𝑛−1 (1 − 𝑥)𝑝+1 𝑑𝑥 𝐼𝑛;𝑝 = 𝑝+1 𝐼𝑝+1 ;𝑛−1
𝑝+1 0
𝑛
D’où la relation 𝐼𝑝;𝑛 = 𝐼
𝑝+1 𝑝+1 ;𝑛−1
1
II// On suppose que la probabilité de faire un garçon est . Une famille a 5 enfants.
4
Calculons la probabilité pour qu’il y ait exactement 3 garçons.
Avoir une naissance simple conduit à 2 éventualités : soit on a un garçon, soit on a une fille.
C’est donc une épreuve de Bernoulli. On pourrait considérer l’épreuve « avoir un garçon »
1
comme le succès de probabilité p = et l’épreuve « avoir une fille » comme l’échec de
4
1 3
probabilité 𝑞 = 1 – 𝑝 = 1 − = .
4 4
Cinq naissances successives constituent une succession de 5 épreuves de Bernoulli. Pour
Calcule la probabilité d’avoir exactement 3 garçons, on utilise alors la loi binomiale de
3 1 3 3 2 1 9 90
paramètre 5 et tel que : p(𝑥 = 3) = 𝐶53 ( ) ( ) = 10 × × =
4 4 4 64 16 1024
45
=> p (𝑥 = 3) = = 0,088
512
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥− 1
On note C sa courbe représentative dans le plan muni d'un repère orthonormal (0 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗)
1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥− 1
= 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥 = 2(−∞) + 1 – (0) = −∞
𝑒 𝑒
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
1 1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥− 1
= 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥 = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 (2 + – 𝑒𝑥 )
𝑒 𝑥 𝑒
= (+∞)(2 – ∞) = −∞
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
1
𝑙𝑖𝑚 – 𝑥𝑒 𝑥 = 0 .
𝑒
𝑥 → −∞
1 1
∀ 𝑥 ∈ 𝐷𝑓 , 𝑒 𝑥 > 0 Alors le signe de 𝑓(𝑥) − 𝑦 dépend du signe de – 𝑥. Posons – 𝑥 = 0
𝑒 𝑒
𝑥 −∞ 0 +∞
𝑓(𝑥) − 𝑦 + 0 −
𝑓(𝑥) = 2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥− 1
=> 𝑓′(𝑥) = 2 – (𝑥 + 1)𝑒 𝑥 − 1
et 𝑓′′(𝑥) = – (𝑥 + 2)𝑒 𝑥 − 1
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
𝑥 →+∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 →+∞
𝑓′′(𝑥) = – (𝑥 + 2)𝑒 𝑥 − 1
Posons – (𝑥 + 2) = 0 𝑥 = −2
𝑥 −∞ −2 1 +∞
𝑓′′(𝑥) + 0 −
2 + 𝑒 −3
𝑓′(𝑥)
0
2 +∞
c) Calcule 𝑓 ′(1)
𝑓 ′(1) = 2 − 2 = 0
𝑥 −∞ 1 𝛼 +∞
𝑓′(𝑥) + 0 −
𝑓(𝑥) 2
0
−∞ −∞
4) Soit 𝐼 l’intervalle[1,9 ; 2]. Démontre que, sur 𝐼, l'équation 𝑓(𝑥) = 0 a une solution unique,
𝛼.
𝑓(1,9) = 0,12
- De plus { => 𝑓(1,9) × 𝑓(2) < 0
𝑓(2) = −0,43
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires, l'équation 𝑓(𝑥) = 0 a une solution
unique α tel que : 𝛼 ∈ [1,9 ; 2].
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
-4
1
Soit la fonction 𝑔 définie sur 𝐼 par 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑙𝑛 (2 + )
𝑥
1
On considère la fonction 𝑔 définie sur l'intervalle 𝐼 par : 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑙𝑛 (2 + )
𝑥
2𝑥 +1 1 1 1
𝑒 𝑥− 1
= 𝑒 𝑥− 1
=2+ => 𝑥 − 1 = 𝑙𝑛 (2 + ) 1 + 𝑙𝑛 (2 + ) = 𝑥
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
1 1
1
− 2 − 2 1 𝑥 1
𝑥 𝑥
𝑔(𝑥) = 1 + 𝑙𝑛 (2 + ) => 𝑔′(𝑥) = 1 = 2𝑥 + 1 =− × =− <0
𝑥 2+ 𝑥 2 2𝑥 + 1 𝑥(2𝑥 + 1)
𝑥 𝑥
1,9 ≤ 𝑔(𝑥) ≤ 2
1,9 ≤ 𝑔(𝑥) ≤ 2 => 𝑔(𝑥) ∈ [1,9 ; 2] 𝑔(𝑥) ∈ 𝐼(Ce qu’il fallait Démontre)
1
3) Démontre que, pour tout 𝑥 de l’intervalle 𝐼, |𝑔′(𝑥)| ≤
9
1
On sait que : 𝑔′(𝑥) = − et 1,9 ≤ 𝑥 ≤ 2 (1)
𝑥(2𝑥 + 1)
1 1
− ≤ 𝑔′(𝑥) ≤ − . En appliquant la valeur absolue à l’inégalité on a :
9,12 10
1 1
|− | ≤ |𝑔′(𝑥)| ≤ |− |
10 9,12
1 1 1 1 1 1
≤ |𝑔′(𝑥)| ≤ . Or ≈ . Donc l’inégalité devient : ≤ |𝑔′(𝑥)| ≤ .
10 9,12 9,12 9 10 9
1
=> |𝑔′(𝑥)| ≤ .
9
1
D’où pour tout 𝑥 de l’intervalle 𝐼 ; on a : |𝑔′(𝑥)| ≤ (Ce qu’il fallait démontrer)
9
4) Soit (𝑢𝑛 ) la suite de nombres réels définie par : 𝑢0 = 2 et, pour tout 𝑛 de ℕ,
𝑢𝑛+1 = 𝑔(𝑢𝑛 )
1
a-Démontrons que, pour tout 𝑛 de ℕ, |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|
9
2𝛼 +1 1 1 1
𝑒 𝛼− 1
= 𝑒 𝛼− 1
=2+ => 𝛼 − 1 = 𝑙𝑛 (2 + ) 1 + 𝑙𝑛 (2 + ) = 𝛼
𝛼 𝛼 𝛼 𝛼
𝑔(𝛼) = 𝛼
1
- D’autre part on a démontré que |𝑔′(𝑥)| ≤
9
Ainsi d’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis, on a :
1
|𝑔(𝑥) − 𝑔(𝛼)| ≤ |𝑥 − 𝛼| . Or 𝑔(𝛼) = 𝛼
9
1 1
=> |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼| . En posant 𝑥 = 𝑢𝑛 ; on a : |𝑔(𝑢𝑛 ) − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
9 9
1
Or 𝑔(𝑢𝑛 ) = 𝑢𝑛+1 => |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|. (Ce qu’il fallait Démontre)
9
1 1 𝑛
b-En déduisons, en raisonnant par récurrence que Pour tout 𝑛 de ℕ, |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
10 9
−0,1 ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 0
0 ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤ 0,1
1
0 ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤
10
1 1 0
0 ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤ ( )
10 9
1 1 𝑛
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) Puis montrons qu’elle est vraie à l’ordre 𝑛 + 1 c’est-à-dire ∀ 𝑛 ∈ ℕ ;
10 9
1 1 𝑛+1
on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ ( )
10 9
1
D’après Partie B 4) a), on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
9
1 1 1 1 𝑛
Par suite |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ [ ( ) ]
9 9 10 9
1 1 𝑛+1
D’où |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ ( )
10 9
1 1 𝑛
Conclusion : ∀ 𝑛 ∈ ℕ ; on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) (Ce qu’il fallait Démontre).
10 9
1 1 𝑛
La suite de terme général ( ) est convergente ∀ 𝑛 ∈ ℕ et converge donc vers 0.
10 9
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
𝛼
𝐽 = ∫1 𝑥𝑒 𝑥−1 𝑑𝑥
2)a) Déterminons, en unités d'aire, l'aire A de la portion de plan limitée par la courbe (C), l'axe
des abscisses, la droite d'équation 𝑥 = 1 et la droite d'équation 𝑥 = α.
𝛼 𝛼 𝛼 𝛼
A= ∫1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫1 (2𝑥 + 1 – 𝑥𝑒 𝑥− 1 )𝑑𝑥 = ∫1 (2𝑥 + 1 )𝑑𝑥 − ∫1 𝑥𝑒 𝑥− 1 𝑑𝑥
𝛼
=> A = ∫1 (2𝑥 + 1 )𝑑𝑥 − 𝐽 = [𝑥 2 + 𝑥]1𝛼 − 𝐽 = 𝛼 2 − 𝛼 − 𝐽 . Or 𝐽 = (𝛼 − 1)𝑒 𝛼−1
1
b) Démontrons qu'on peut écrire A = (𝛼 − 1) (𝛼 − ).
𝛼
2𝛼 +1 2𝛼 2 − 𝛼 − 1
Donc A = 𝛼 2 + 𝛼 − 2 − (𝛼 − 1) ( ) = 𝛼2 + 𝛼 − 2 −
𝛼 𝛼
𝛼 3 + 𝛼 2 − 2𝛼 − 2𝛼 2 + 𝛼 + 1 𝛼3 − 𝛼2 − 𝛼 + 1 (𝛼 − 1)(𝛼 2 − 1)
= = =
𝛼 𝛼 𝛼
1
=> A = (𝛼 − 1) (𝛼 − ).
𝛼
D’où l'aire A de la portion de plan limitée par la courbe (C), l'axe des abscisses, la droite
d'équation 𝑥 = 1 et la droite d'équation 𝑥 = α est donné par :
1
A = (𝛼 − 1) (𝛼 − ). (Ce qu’il fallait Démontre).
𝛼
1) Quelle est la taille du dernier carré si les dimensions de la feuille initiale sont 192 𝑐𝑚
sur 84 𝑐𝑚?
2) Même question si les dimensions initiales sont deux entiers quelconques.
1) Calcule 𝐼1 .
𝑛−1
2) En intégrant par parties, Montre que 𝐼𝑛 = 𝐼 (on posera 𝑥 𝑛 = 𝑥 • 𝑥 𝑛−1 )
𝑛 + 2 𝑛−2
3) En déduis les valeurs de 𝐼3 et 𝐼5 .
II// Soit 𝐴, 𝐵, 𝐶 un triangle équilatéral de côté 3 ; 𝐵′ le milieu de [𝐴𝐶]et un point 𝐷 tel que :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
4𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 + 3𝐵𝐶
1) Démontre que 𝐷 est le barycentre des points pondérés (𝐴, 3) ; (𝐵, −2) ; (𝐶, 3).
En déduis que 𝐷 appartient à la médiatrice du segment [𝐴𝐶]
2
2)Démontre que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐵𝐵′ = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐷
3
3)Calcule 𝐷𝐴2 et 𝐷𝐵 2
4)Détermine l'ensemble (E) des points M du plan vérifiant la relation :
3𝑀𝐴2 − 2𝑀𝐵2 + 3𝑀𝐶 2 = 12
5)Vérifie que l'isobarycentre du triangle 𝐴, 𝐵, 𝐶 appartient à l'ensemble (E) puis trace (E).
(On fera une figure)
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A :
Le but de ce problème est d'étudier dans la partie A la fonction numérique 𝑓 définie sur
1 𝑙𝑛𝑥
] 0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 + + , de Détermine ensuite dans la partie B la position de sa
𝑥 𝑥2
courbe représentative par rapport à son asymptote oblique et enfin d'étudier une suite
récurrente dans la partie (𝛤), cette dernière partie étant dans une large mesure indépendante
des deux autres.
𝑔(𝑥)
b- Montre que pour tout 𝑥 ∈ ] 0 ; +∞[ , 𝑓 ′(𝑥) = puis donne le tableau de variations
𝑥3
de la fonction 𝑓.
Partie B :
1) Etudie le sens de variation de ℎ puis Montre que l'équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution
unique α sur l'intervalle[ 0,4 ; 0,7 ]
2 𝑙𝑛𝑡
5) a- Calcule au moyen d'une intégration par parties, l'intégrale I = ∫1 𝑑𝑡
𝑡2
b- En déduis l'aire, en 𝑐𝑚2 de la portion de plan limitée par la courbe , la droite ∆ et les
droites parallèles à l'axe des ordonnées d'équation 𝑥 = 1 𝑒𝑡 𝑥 = 2.
a) 𝜑(𝑥) ∈ 𝐼
b) |𝜑′(𝑥)| ≤ 0,7
c) |𝜑(𝑥) − 𝛼| ≤ 0,7|𝑥 − 𝛼|
3) Détermine un entier p tel que pour 𝑛 ≥ 𝑝 on ait∶ |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ 10−3 puis donné à l'aide de la
calculatrice une valeur approchée de 𝑢𝑝 à 10−3 près.
En déduis une valeur approchée par défaut et par excès de 𝛼 à 10−3 près
1) Déterminons la taille du dernier carré si les dimensions de la feuille initiale sont 192 𝑐𝑚 sur
84 𝑐𝑚
2) De même déterminons la taille du dernier carré si les dimensions de la feuille initiale sont
deux entiers quelconques.
(2) 𝑍′ − 𝑦 = 𝑒 2𝑥 => 𝑍 ′ = 𝑦 + 𝑒 2𝑥
𝑦′′ + 4(𝑦 + 𝑒 2𝑥 ) = 4𝑒 2𝑥 𝑦 ′′ + 4𝑦 + 4𝑒 2𝑥 = 4𝑒 2𝑥 𝑦 ′′ + 4𝑦 = 0
D’où l'équation différentielle du second ordre (E) à laquelle satisfait 𝑦(𝑥) est
(E) : 𝑦 ′′ + 4𝑦 = 0.
1 1 1
=> 𝑍(𝑥) = 𝐶1 [ 𝑠𝑖𝑛2𝑥] + 𝐶2 [− 𝑐𝑜𝑠2𝑥] + [ 𝑒 2𝑥 ]
2 2 2
𝐶1 𝐶2 1 1
=> 𝑍(𝑥) = 𝑠𝑖𝑛2𝑥 + − 𝑐𝑜𝑠2𝑥 + 𝑒 2𝑥 = (𝐶1 𝑠𝑖𝑛2𝑥 − 𝐶2 𝑐𝑜𝑠2𝑥 + 𝑒 2𝑥 )
2 2 2 2
𝟏
𝒁(𝒙) = (𝑪𝟏 𝒔𝒊𝒏𝟐𝒙 − 𝑪𝟐 𝒄𝒐𝒔𝟐𝒙 + 𝒆𝟐𝒙 )
𝟐
1
Si 𝑍 = −1 Pour 𝑥 = 0 alors on a : −1 = (𝐶1 𝑠𝑖𝑛0 − 𝐶2 𝑐𝑜𝑠0 + 𝑒 0 )
2
1 1 1 2
𝐼𝑛 = ∫0 𝑥 𝑛 √1 − 𝑥 2 𝑑𝑥 => 𝐼1 = ∫0 𝑥√1 − 𝑥 2 𝑑𝑥 = − ∫0 − 𝑥√1 − 𝑥 2 𝑑𝑥
2
3 1
1 1 1 (1 − 𝑥 2 )2
1 1 2 )2 1
= − ∫0 −2𝑥√1 − 𝑥2 𝑑𝑥 = − ∫0 −2𝑥(1 −𝑥 𝑑𝑥 = − [ 3 ]
2 2 2
2
0
3 1 1
1 1
= − [(1 − 𝑥 2 )2 ] = − [(1 − 𝑥 2 )√1 − 𝑥 2 ]0
3 0 3
1 1
=> 𝐼1 = 𝐹(1) − 𝐹(0) = (0) − (− ) =
3 3
𝑛−1
2) En intégrant par parties, montrons que 𝐼𝑛 = 𝐼 (on posera 𝑥 𝑛 = 𝑥 • 𝑥 𝑛−1 )
𝑛 + 2 𝑛−2
1 1 1
𝐼𝑛 = ∫0 𝑥 𝑛 √1 − 𝑥 2 𝑑𝑥 = ∫0 𝑥 • 𝑥 𝑛−1 √1 − 𝑥 2 𝑑𝑥 = ∫0 𝑥 𝑛−1 • 𝑥√1 − 𝑥 2 𝑑𝑥
1 1 1 1
=> 𝐼𝑛 = [− 𝑥 𝑛−1 × (1 − 𝑥 2 )√1 − 𝑥 2 ] + (𝑛 − 1) ∫0 𝑥 𝑛−2 (1 − 𝑥 2 )√1 − 𝑥 2 𝑑𝑥
3 0 3
1 1 1 1
=> 𝐼𝑛 = [− 𝑥 𝑛−1 × (1 − 𝑥 2 )√1 − 𝑥 2 ] + (𝑛 − 1) ∫0 (𝑥 𝑛−2 − 𝑥 𝑛 )√1 − 𝑥 2 𝑑𝑥
3 0 3
1 1
Or [− 𝑥 𝑛−1 × (1 − 𝑥 2 )√1 − 𝑥 2 ] = 0
3 0
1 1
=> 𝐼𝑛 = (𝑛 − 1) ∫0 (𝑥 𝑛−2 − 𝑥 𝑛 )√1 − 𝑥 2 𝑑𝑥
3
1 1 1 1
=> 𝐼𝑛 = (𝑛 − 1) ∫0 𝑥 𝑛−2 √1 − 𝑥 2 − (𝑛 − 1) ∫0 𝑥 𝑛 √1 − 𝑥 2 𝑑𝑥
3 3
1 1 1 1
=> 𝐼𝑛 = (𝑛 − 1)𝐼𝑛−2 − (𝑛 − 1)𝐼𝑛 𝐼𝑛 + (𝑛 − 1)𝐼𝑛 = (𝑛 − 1)𝐼𝑛−2
3 3 3 3
1 1 𝑛+2 𝑛−1
(1 + (𝑛 − 1)) 𝐼𝑛 = (𝑛 − 1)𝐼𝑛−2 𝐼𝑛 = 𝐼𝑛−2
3 3 3 3
𝑛−1
(𝑛 + 2)𝐼𝑛 = (𝑛 − 1)𝐼𝑛−2 => 𝐼𝑛 = 𝐼 .
𝑛 + 2 𝑛−2
𝑛−1
D’où 𝐼𝑛 = 𝐼 (ce qu’il fallait démontrer)
𝑛 + 2 𝑛−2
𝐵′ ×𝐷
𝐺• •
1) Démontrons que 𝐷 est le barycentre des points pondérés (𝐴, 3) ; (𝐵, −2) ; (𝐶, 3).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Par hypothèse on a : 4𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (Introduisons le barycentre 𝐷).
𝐴𝐵 + 3𝐵𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Alors on a : 4(𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷𝐷 ) = (𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷𝐵 ) + 3(𝐵𝐷 𝐷𝐶 )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐴𝐷
4𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷𝐵 + 3𝐵𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐷𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3𝐴𝐷 𝐷𝐵 − 3𝐷𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐷𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = −2𝐷𝐵
3𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐷𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 2𝐷𝐵
3𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 3𝐷𝐶 ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 2𝐷𝐵
3𝐷𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐷𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 2𝐷𝐵
D’où 3𝐷𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐷𝐶 ⃗⃗ (3𝐷𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐷𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) − 2𝐷𝐵 ⃗⃗ 3( 𝐷𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
𝐷𝐶 ) − 2𝐷𝐵
Introduisons 𝑩′
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> 3 [(𝐷𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵′𝐴 ) + (𝐷𝐵′ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
𝐵′𝐶 )] − 2𝐷𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3 [(𝐵′𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵′𝐶 ) + (𝐷𝐵′ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
𝐷𝐵′ )] − 2𝐷𝐵
⃗𝟎⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2𝑫𝑩′
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) − 2𝐷𝐵
=> 3 (2𝐷𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 2𝐷𝐵
⃗⃗ 6𝐷𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝐷𝐵
⃗⃗ 3𝐷𝐵′ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐵𝐷 2
2) Démontrons que 𝐵𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗
3
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝐷𝐵
D’après la question 1), on a : 3𝐷𝐵′ ⃗⃗ (Introduisons le point 𝐵).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> 3 (𝐷𝐵 𝐵𝐵 ) = ⃗0⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐵′ ) − (𝐷𝐵
3𝐷𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝐷𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐵𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐵 = 0 ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗0⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝐵𝐵′
2𝐷𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =−2𝐷𝐵
3𝐵𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =2𝐵𝐷 2
3𝐵𝐵′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ => ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐵′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐷
3
3) Calculons 𝐷𝐴2 et 𝐷𝐵 2
−2 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 3 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Alors ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐷 = 𝐴𝐵 + 𝐴𝐶
3−2+3 3−2+3
−2 3
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =
=> 𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 + 𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
4 4
−1 3 2 2
=> ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐷 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗) = (−1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 (𝐴𝐷
3
𝐴𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 )
2 4 2 4
1 3 9 2 + 𝐴𝐶 2 − 𝐵𝐶 2
𝐴𝐷2 = 𝐴𝐵2 − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 • ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 + 𝐴𝐶 2 . Or ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 •𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐴𝐵
4 4 16 2
1 3 𝐴𝐵2 + 𝐴𝐶 2 − 𝐵𝐶 2 9
=> 𝐴𝐷2 = 𝐴𝐵2 − ( )+ 𝐴𝐶 2
4 4 2 16
63
=> 𝐴𝐷2 =
16
2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
De même d’après la question 2), on a : 𝐵𝐵′ 𝐵𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐷 = 𝐵𝐵′
3 3
2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) = (3 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐵𝐷 𝐵𝐵′)
2
9
𝐵𝐷 2 = 𝐵𝐵′2
4
3√3
ABC étant équilatérale, on a ∶ 𝐵𝐵′ =
2
2
9 3√3
D’où 𝐵𝐷 2 = (
4 2
) = 94 × 27
4
= 243
16
27
Donc 𝑓(𝑀) = 4𝑀𝐷2 + 𝑓(𝐺) 𝑓(𝑀) = 4𝑀𝐷2 −
4
27
Par identification, on a : 4𝑀𝐷2 − = 12
4
27 75 75 75
= 543
√
4𝑀𝐷2 = 12 + 4𝑀𝐷2 = 𝑀𝐷2 = => 𝑀𝐷 = √
4 4 16 16
5√3
Alors l’ensemble (E) des points M cherchés est le cercle de centre 𝐷et de rayon 𝑟 =
4
5) Vérifions que l'isobarycentre du triangle 𝐴, 𝐵, 𝐶 appartient à l'ensemble (E) puis trace (E).
1 √3 3√3
Or 𝐵 ′ 𝐺 = 3 𝐵𝐵 ′ = et 𝐷𝐵′ =
4
2
3√3 √3 5√3
=> 𝐷𝐺 = + =
4 2 2
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A :
Le but de ce problème est d'étudier dans la partie A la fonction numérique 𝑓 définie sur
1 𝑙𝑛𝑥
] 0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 + + , de Détermine ensuite dans la partie B la position de sa
𝑥 𝑥2
courbe représentative par rapport à son asymptote oblique et enfin d'étudier une suite
récurrente dans la partie (𝛤), cette dernière partie étant dans une large mesure indépendante
des deux autres.
1) a) Dérivée de la fonction 𝑔
La fonction 𝑔, définie sur ] 0 ; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 𝑥 3 – 𝑥 – 2 𝑙𝑛𝑥 + 1est dérivable sur ] 0 ; +∞[
(comme somme algébrique de telles fonctions) et sa dérivée est :
2 3𝑥 3 – 𝑥 – 2 ( 𝑥 − 1)(3𝑥 2 − 𝑥 − 2)
𝑔′(𝑥) = 3𝑥 2 – 1 – = =
𝑥 𝑥 𝑥
On peut résumer l’étude du sens de variation de 𝑔 et du signe de 𝑔(𝑥) dans le tableau suivant :
𝑥 0 1 +∞
𝑥−1 − 0 +
3𝑥 2 + 3𝑥 + 2 + +
𝑔′(𝑥) − +
+∞ +∞
𝑔(𝑥)
1
1 𝑙𝑛𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑥 + +
𝑥 𝑥2
1 𝑙𝑛𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 + + = −∞
𝑥 𝑥2
𝑥→0 𝑥→0
1 𝑙𝑛𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 + + = +∞
𝑥 𝑥2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
𝑔(𝑥)
b- Montrons que pour tout 𝑥 ∈ ] 0 ; +∞[ , 𝑓 ′(𝑥) = puis donnons le tableau de
𝑥3
variations de la fonction 𝑓.
1 𝑙𝑛𝑥
La fonction 𝑓, définie sur ] 0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 + + est dérivable sur ]0 ; + ∞[ et sa
𝑥 𝑥2
𝑥 0 +∞
𝑓′(𝑥) +
+∞
𝑓(𝑥)
−∞
Partie B :
1) Etudions le sens de variation de ℎ puis montrons que l'équation ℎ(𝑥) = 0 admet une
solution unique 𝛼 sur l'intervalle[ 0,4 ; 0,7 ]
La fonction ℎ définie sur] 0 ; +∞[ est également dérivable] 0 ; +∞[ et sa fonction dérivée est
1 𝑥+1
ℎ′(𝑥) = 1 + = =>∀𝑥 ∈ ]0 ; + ∞[ ; ℎ′(𝑥) > 0
𝑥 𝑥
𝑥 0 𝛼 +∞
ℎ′(𝑥) +
+∞
ℎ(𝑥) 0
−∞
- D’après le tableau de variation de ℎ , ∀𝑥 ∈ ] 0 ; +∞[ ℎ est définie, continue et strictement
croissante de l’intervalle ] 0 ; +∞[ vers ]−∞ ; +∞[ .
Alors l'équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 telle que ℎ(𝛼) = 0.
ℎ(0,4) = −0,52
- De plus { => ℎ(0,4) × ℎ(0,7) < 0
ℎ(0,7) = 0,34
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires on a : 𝛼 ∈ [ 0,4 ; 0,7 ]
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) − 𝑦 = 0
𝑥 → +∞
1 𝑙𝑛𝑥 1 𝑙𝑛𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) − 𝑦 = 0 = 𝑙𝑖𝑚 (𝑥 + + ) − 𝑥 = 𝑙𝑖𝑚 + =0
𝑥 𝑥2 𝑥 𝑥2
𝑥 → +∞ 𝑥 →+∞ 𝑥 →+∞
b- Utilisons les résultats de la Partie B question 1) pour Détermine les positions relatives de
(𝛤) et ∆.
Pour étudier la position relative (𝛤) et (∆) nous devons étudier le signe de 𝑓(𝑥)– 𝑦.
1 𝑙𝑛𝑥 ℎ(𝑥)
Or 𝑓(𝑥) – 𝑦 = + = .
𝑥 𝑥2 𝑥2
Donc le signe de 𝑓(𝑥) – 𝑦 dépend du signe de ℎ(𝑥).
De même ∀𝑥 ∈ ] 𝛼 ; +∞[ ℎ(𝑥) > 0 => ∀𝑥 ∈ ] 𝛼 ; +∞[ 𝑓(𝑥) – 𝑦 > 0 et par conséquent
∀𝑥 ∈ ] 𝛼 ; +∞[ ; la courbe (𝛤) est au dessus de la droite (∆)
y
4
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
2 𝑙𝑛𝑡
5) a- Calculons au moyen d'une intégration par parties, l'intégrale I = ∫1 𝑑𝑡
𝑡2
2 𝑙𝑛𝑡 2 1
I = ∫1 𝑑𝑡 = ∫1 𝑙𝑛𝑡 𝑑𝑡
𝑡2 𝑡2
1
Posons : 𝑢(𝑡) = 𝑙𝑛𝑡 => 𝑢′(𝑡) =
𝑡
1 1
𝑣′(𝑡) = => 𝑣(𝑡) = −
𝑡2 𝑡
1− 𝑙𝑛2
=> I =
2
b- En déduisons l'aire, en 𝑐𝑚2 de la portion de plan limitée par la courbe (𝛤) , la droite ∆ et les
droites parallèles à l'axe des ordonnées d'équation 𝑥 = 1 𝑒𝑡 𝑥 = 2.
L’aire A de la portion de plan indiquée est, en cm2, puisque (𝛤) est au dessus de (∆) et puisque
(∆) est au dessus de l’axe des abscisses pour 1 ≤ 𝑥 ≤ 2
2 2 1 𝑙𝑛𝑥 21 2 𝑙𝑛𝑥
A = (2 𝑐𝑚)2 ∫1 (𝑓(𝑥) − 𝑦)𝑑𝑡 = 4 𝑐𝑚2 ∫1 ( + ) 𝑑𝑡 = 4 𝑐𝑚2 ∫1 𝑑𝑡 + 4 𝑐𝑚2 ∫1 𝑑𝑡
𝑥 𝑥2 𝑥 𝑥2
21
= 4 𝑐𝑚2 ∫1 𝑑𝑡 + 4𝐼 𝑐𝑚2 = 4 𝑐𝑚2 [𝑙𝑛𝑡]12 + 4𝐼 𝑐𝑚2 = 4 𝑐𝑚2 𝑙𝑛2 + 4𝐼 𝑐𝑚2
𝑥
𝑙𝑛2 + 1
= 4𝑐𝑚2 ( ) = 2𝑐𝑚2 (𝑙𝑛2 + 1) = (2𝑙𝑛2 + 2)𝑐𝑚2 = 3,39𝑐𝑚2
2
𝑢 = 0,4
1) 𝑢 est la suite récurrente définie par ∀ 𝑛 ∈ ℕ ∶ { 0
𝑢𝑛+1 = 𝜑(𝑢𝑛 )
𝑥 0,4 0,7
0,670
φ(𝑥)
0,497
Puisque |𝜑′(𝑥)| ≤ 0,7 alors d’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis
appliquée à la fonction 𝜑 pour 𝑥 appartenant à I, on a : |𝜑(𝑥) − 𝜑(𝛼)| ≤ 0,7|𝑥 − 𝛼|
0 ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 0,3
0 ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤ 0,3
0 ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤ 0,3(0,7)0
Calculons 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛
𝑛 → +∞
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
3) Déterminons un entier 𝑝 tel que pour 𝑛 ≥ 𝑝 on ait∶ |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ 10−3 puis donnons à l'aide
de la calculatrice une valeur approchée de 𝑢𝑝 à 10−3 près.
10−3 10−3
Par identification on a : 0,3(0,7)𝑛 ≤ 10−3 (0,7)𝑛 ≤ 𝑒 𝑛𝑙𝑛0,7 ≤
0,3 0,3
10−3
10−3 𝑙𝑛( 0,3 )
𝑛𝑙𝑛0,7 ≤ 𝑙𝑛 ( ) => 𝑛 ≥ ( Car 𝑙𝑛0,7 < 0 )
0,3 𝑙𝑛0,7
En déduisons une valeur approchée par défaut et par excès de 𝛼 à 10−3 près
1) Calcule 𝑝(−2).
2) Factorise 𝑝(𝑍) puis Résous dans ℂ l’équation 𝑝(𝑍) = 0.
3) On désigne par 𝑍1 ; 𝑍2 et 𝑍3 les solutions de l’équation 𝑝(𝑍) = 0.
Calcule le module et un argument de 𝑍1 ; 𝑍2 et 𝑍3 .
II// Montre que l’équation : ( 𝑥 ; 𝑦 ) de ℤ×ℤ : 6𝑦 – 3𝑥 = 𝑚 admet des solutions si et
seulement si 𝑚 est un multiple de 3.
2) Détermine les réels 𝑚 et 𝑛 tels que 𝐷 soit barycentre des points (𝐴, 1); (𝐵, 𝑚) ; (𝐶, 𝑛)
2 2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ + 3‖𝑀𝐵
3) Trouve l'ensemble (E) des points 𝑀 du plan tel que : 4‖𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 𝑘
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ + 5‖𝑀𝐶
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
PARTIE A :
La fonction 𝑓 de ℝ dans ℝ est donnée par une partie de son tableau de variation.
On sait de plus que la droite d'équation 𝑥 = 2 est axe de symétrie pour la courbe C de 𝑓.
𝑥 −∞ 2 4 +∞
𝑓′(𝑥) − −
1 +∞
𝑓(𝑥)
−∞ 3
1) Trace la courbe 𝐶 de 𝑓
2) Complète le tableau de variation de 𝑓
𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐
3) On suppose que 𝑓(𝑥) est de la forme 𝑓(𝑥) =
𝑥 2 + 𝛽𝑥 + 𝛼
a- Détermine les réels 𝑎 ; 𝑏 ; 𝑐 ; 𝑒𝑡 𝛼
PARTIE B :
Un dé cubique dont les faces sont numérotées de 1 à 6 à été piqué de telle sorte que les six
faces ne sont pas équiprobables. On note 𝑃𝑛 la probabilité d’obtenir le chiffre 𝑛 lors d’un lancé
de dé avec 𝑛 ∈ {1; 2; 3; 4; 5; 6}.
D’autre part les nombres 𝑃1 ; 𝑃2 ; 𝑃3 ; 𝑃4 ; 𝑃5 et 𝑃6 dans cet ordre, sont six termes consécutifs
d’une suite arithmétique et que 𝑃1 × 𝑃4 = (𝑃2 )2 .
1) Calcule la probabilité d’apparition de chaque numéro.
2) On lance ce dé une fois et on considère les évènements suivants :
𝐴: ≪ Le nombre obtenu est pair ≫.
𝐵: ≪ Le nombre obtenu est supérieur ou égal à 3 ≫.
a- Calcule la probabilité de chacun des évènements 𝐴 et 𝐵.
b- Calcule la probabilité pour que le nombre obtenu soit supérieur ou égal à 3 sachant
qu’il est pair.
c- Les évènements 𝐴 et 𝐵 sont t-ils indépendants ?
1) Calcule 𝑃(−2).
𝑃(−2) = (−2)3 + 2(1 − 2𝑐𝑜𝑠2𝜃)(−2)2 + 4(1 − 2𝑐𝑜𝑠2𝜃)(−2) + 8
=> 𝑃(−2) = 0
1 −4𝑐𝑜𝑠2𝜃 4 0
𝒁𝟏 𝒂 𝒃 𝒄
𝑃(𝑍) = (𝑍 − 𝑍1 )(𝑎𝑍 2 + 𝑏𝑍 + 𝑐)
𝑍 + 2 = 0 => 𝑍1 = −2
Pour 𝒁𝟏 = −𝟐
|𝑍1 | = √(−2)2 = √4 = 2
−2
𝑐𝑜𝑠𝛼 = 𝑐𝑜𝑠𝛼 = −1
2
𝑎𝑟𝑔(𝑍1 ) est tel que : { 𝑒𝑡 <=> { 𝑒𝑡 => 𝛼 = 𝜋
0 𝑠𝑖𝑛𝛼 = 0
𝑠𝑖𝑛𝛼 =
2
2𝑐𝑜𝑠2𝜃
𝑐𝑜𝑠𝛼 = 𝑐𝑜𝑠𝛼 = 𝑐𝑜𝑠2𝜃
2
𝑎𝑟𝑔(𝑍2 ) est tel que : { 𝑒𝑡 <=> { 𝑒𝑡 => 𝛼 = −2𝜃
−2𝑠𝑖𝑛2𝜃 𝑠𝑖𝑛𝛼 = −𝑠𝑖𝑛2𝜃
𝑠𝑖𝑛𝛼 =
2
2𝑐𝑜𝑠2𝜃
𝑐𝑜𝑠𝛼 = 𝑐𝑜𝑠𝛼 = 𝑐𝑜𝑠2𝜃
2
𝑎𝑟𝑔(𝑍3 ) est tel que : { 𝑒𝑡 <=> { 𝑒𝑡 => 𝛼 = 2𝜃
2𝑠𝑖𝑛2𝜃 𝑠𝑖𝑛𝛼 = 𝑠𝑖𝑛2𝜃
𝑠𝑖𝑛𝛼 =
2
𝜋
𝑍3 −𝑍1 (2𝑐𝑜𝑠2𝜃+ 2𝑖𝑠𝑖𝑛2𝜃)−(−2) 2𝑐𝑜𝑠2𝜃+ 2𝑖𝑠𝑖𝑛2𝜃+2 1
= 𝑐𝑜𝑠 𝜋3 +𝑖𝑠𝑖𝑛 𝜋3 2𝑐𝑜𝑠2𝜃− 2𝑖𝑠𝑖𝑛2𝜃+2 = 2 +𝑖
𝑖 √3
= 𝑒3
𝑍2 −𝑍1 (2𝑐𝑜𝑠2𝜃−2𝑖𝑠𝑖𝑛2𝜃)−(−2) 2
𝜋 𝜋 1
𝑐𝑜𝑠2𝜃 − √3𝑠𝑖𝑛2𝜃 + 1 = 0 𝑐𝑜𝑠2𝜃 − √3𝑠𝑖𝑛2𝜃 = −1 𝑐𝑜𝑠 𝑐𝑜𝑠2𝜃 − 𝑠𝑖𝑛 𝑠𝑖𝑛2𝜃 = −
3 3 2
𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 2𝜋
𝑐𝑜𝑠 ( + 2𝜃) = −𝑐𝑜𝑠 𝑐𝑜𝑠 ( + 2𝜃) = 𝑐𝑜𝑠 (𝜋 − ) 𝑐𝑜𝑠 ( + 2𝜃) = 𝑐𝑜𝑠 ( )
3 3 3 3 3 3
𝜋 2𝜋 2𝜋 𝜋 𝜋
+ 2𝜃 = + 2𝑘𝜋 2𝜃 = − + 2𝑘𝜋
2𝜃 = + 2𝑘𝜋
3 3 33 3
{ 𝑜𝑢 { 𝑜𝑢 { 𝑜𝑢
𝜋 2𝜋 2𝜋 𝜋
+ 2𝜃 = − + 2𝑘𝜋 2𝜃 = − − + 2𝑘𝜋 2𝜃 = −𝜋 + 2𝑘𝜋
3 3 3 3
𝜋
𝜃= + 𝑘𝜋
6 𝜋 𝜋
{ 𝑜𝑢 => 𝜃 ∈ { + 𝑘𝜋 ; 𝑘 ∈ ℤ} ∪ {− + 𝑘𝜋 ; 𝑘 ∈ ℤ}
𝜋 6 2
𝜃 = − + 𝑘𝜋
2
Alors l’équation admet donc des solutions dans ℤ si 3 divise 𝑚 ou encore si 𝑚 est un multiple
de 3.
a- 6𝑦– 3𝑥 = 5
Puisque 5 n’est pas un multiple de 3, alors l’équation : 6𝑦– 3𝑥 = 5 n’admet pas de solution.
Par conséquent 𝑆 = ∅
b- 6𝑦– 3𝑥 = 3
Puisque 3 est un multiple de 3, alors l’équation : 6𝑦– 3𝑥 = 3 admet des solutions.
Résolution :
=> 𝑆 = {( 2𝑘 − 1 ; 𝑘 )}
(6𝑦 – 3𝑥 − 4 )(6𝑦 – 3𝑥 + 4 ) = 1.
6𝑦 − 3𝑥 = 5 6𝑦 − 3𝑥 = 3
{ ( S1 ) ou { ( S2 )
6𝑦 − 3𝑥 = −3 6𝑦 − 3𝑥 = − 5
Par conséquent aucun des deux systèmes n’admet de solution dans ℤ2.
2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖) = (𝑥𝐴 − 𝑥𝐷 )2 + (𝑦𝐴 − 𝑦𝐷 )2 = (0 − 𝑥)2 + (3 − 𝑦)2 = 𝑥 2 + (3 − 𝑦)2
De même (‖𝐷𝐴
2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖) = (𝑥𝐵 − 𝑥𝐷 )2 + (𝑦𝐵 − 𝑦𝐷 )2 = (−1 − 𝑥)2 + (0 − 𝑦)2 = (1 + 𝑥)2 + 𝑦 2
(‖𝐷𝐵
2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖) = (𝑥𝐶 − 𝑥𝐷 )2 + (𝑦𝐶 − 𝑦𝐷 )2 = (3 − 𝑥)2 + (0 − 𝑦)2 = (3 − 𝑥)2 + 𝑦 2
(‖𝐷𝐶
2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ = ‖𝐷𝐵
Alors ‖𝐷𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖) = (‖𝐷𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ (‖𝐷𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖) 𝑥 2 + (3 − 𝑦)2 = (1 + 𝑥)2 + 𝑦 2
𝑥 2 + 9 − 6𝑦 + 𝑦 2 = 𝑥 2 + 2𝑥 + 1 + 𝑦 2 2𝑥 + 1 − 9 + 6𝑦 = 0 2𝑥 + 6𝑦 − 8 = 0
𝑥 + 3𝑦 − 4 = 0 (1)
2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ (‖𝐷𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ = ‖𝐷𝐶
De même ‖𝐷𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖) 𝑥 = 1 (2)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖) = (‖𝐷𝐶
D’où 𝐷(11)
2) Déterminons les réels 𝑚 et 𝑛 tels que 𝐷 soit barycentre des points (𝐴, 1); ( 𝐵, 𝑚) ; (𝐶, 𝑛)
Si 𝐷 est le barycentre des points (𝐴, 1); ( 𝐵, 𝑚) ; (𝐶, 𝑛); alors les coordonnées de 𝐷 sont telles
que :
−𝑚 +3𝑛
=1 −𝑚 + 3𝑛 = 𝑚 + 𝑛 + 1 −2𝑚 + 2𝑛 = 1
{ 𝑚 +3𝑛 + 1 { {
=1 3 = 𝑚 + 𝑛 + 1 𝑚+𝑛 = 2
𝑚+𝑛+1
3 5
La résolution de ce système donne 𝑚 = et 𝑛 =
4 4
3 5
=> 𝐷 = bary{(𝐴, 1); (𝐵, ) ; (𝐶, )}
4 4
3 5
D’où 𝐷 = bary{(𝐴, 1); (𝐵, ) ; (𝐶, )} ou 𝐷 = bary {(𝐴, 4); ( 𝐵, 3) ; (𝐶, 5)}
4 4
2 2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ + 3‖𝑀𝐵
3) Trouvons l'ensemble (E) tel que : 4‖𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 𝑘
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ + 5‖𝑀𝐶
2 2 2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ + 3‖𝑀𝐵
4‖𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 𝑘 4𝑀𝐴2 + 3𝑀𝐵2 + 5𝑀𝐶 2 = 𝑘
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ + 5‖𝑀𝐶
𝐴( 03 ) ; 𝐵(−1
0
) ; 𝐶(30) et 𝐷 (𝑦𝑥 )
𝑘− 60
Alors 𝑓(𝑀) = 𝑘 12𝑀𝐷2 + 𝑓(𝐷) = 𝑘 4𝑀𝐷 2 + 60 = 𝑘 𝑀𝐷2 =
4
𝑘− 60 √𝑘− 60
=> 𝑀𝐷 = √ =
4 2
- Si 𝑘 < 60; alors l’ensemble (E) des points M cherchés est vide.
- Si 𝑘 = 60; alors 𝑀𝐺 = 0. Ainsi l’ensemble (E) des points M cherchés est le point 𝐷.
- Si 𝑘 > 60; alors l’ensemble (E) des points M cherchés est le cercle de centre 𝐷(11)
√𝑘− 60
et de rayon 𝑟 =
2
4) Déterminons le réel 𝑘 (𝑘 > 60)tel que 𝐴( 03 ) soit élément de (E).
√𝑘− 60
Pour 𝑘 > 60 , on a : le cercle de centre 𝐷(11) et de rayon 𝑟 =
2
√𝑘− 60 √𝑘− 60
Donc 𝑑(𝐴 ; 𝐷) = 𝑟 √(𝑥𝐷 − 𝑥𝐴 )2 + (𝑦𝐷 − 𝑦𝐴 )2 = √(1)2 + (2)2 =
2 2
2 2
2√5 = √𝑘 − 60 (2√5) = (√𝑘 − 60) 20 = 𝑘 − 60 => 𝑘 = 80
1 − 2𝑈𝑛+1
𝑣𝑛+1 𝑒 . 𝑒 − 2𝑈𝑛+1 .
Alors on a : = 41 = = 𝑒 − 2𝑈𝑛+1 × 𝑒 2𝑈𝑛 = 𝑒 − 2𝑈𝑛+1+ 2𝑈𝑛
𝑣𝑛 𝑒 − 2𝑈𝑛 𝑒 − 2𝑈𝑛
4
𝑣𝑛+1 𝑈𝑛 )
=> = 𝑒 − 2(𝑈𝑛+1−
𝑣𝑛
Ainsi pour étudier la convergence suivant les valeurs de 𝑟 , on cacule la limite de 𝑣𝑛 en +∞.
- Pour 𝑟 > 0; on a :
1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑣𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 − 2𝑈0 × 𝑒 − 2𝑛𝑟 = 𝑒 − 2𝑈0 × (0) = 0
4 4
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
- Pour 𝑟 < 0; on a :
1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑣𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 − 2𝑈0 × 𝑒 − 2𝑛𝑟 = 𝑒 − 2𝑈0 × (+∞) = 0
4 4
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
- Pour 𝑟 = 0; on a :
1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑣𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 − 2𝑈0 × 𝑒 − 2𝑛𝑟 = 𝑒 − 2𝑈0
4 4
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
𝑛1
2) Soit 𝑤𝑛 𝑛 ∈ ℕ, la suite définie par 𝑤𝑛 = ∫0 𝑒 − 2𝑥 𝑑𝑥.
4
a- Calculons 𝑤𝑛 en fonction de 𝑛.
𝑛1 1 𝑛 1 𝑛
𝑤𝑛 = ∫0 𝑒 − 2𝑥 𝑑𝑥 = ∫0 𝑒 − 2𝑥 𝑑𝑥 = − ∫0 −2𝑒 − 2𝑥 𝑑𝑥
4 4 8
1 𝑛 1 1 1 1 1
=> 𝑤𝑛 = [− 𝑒 − 2𝑥 ] = − 𝑒 − 2𝑛 + = − 𝑒 − 2𝑛 = (1 − 𝑒 − 2𝑛 )
8 0 8 8 8 8 8
1
D’où 𝑤𝑛 = (1 − 𝑒 − 2𝑛 )
8
b- Montrons que 𝑤𝑛 converge vers un nombre réel 𝑙 que l’on précisera.
1
D’où 𝑤𝑛 converge vers le réel 𝑙 = .
8
𝑛
c- On pose 𝑆𝑛 = 𝑤1 + 𝑤2 + ………+ 𝑤𝑛 − .
8
Calculons 𝑆𝑛 en fonction de 𝑛 puis en déduire 𝑙𝑖𝑚 𝑆𝑛
𝑛→+∞
Posons 𝑆′𝑛 = 𝑤1 + 𝑤2 + ………+ 𝑤𝑛
𝑛
=>𝑙𝑖𝑚 𝑆𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 𝑆′𝑛 − .
8
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
1 1
𝑤2 = − 𝑒 − 4
8 8
1 1
𝑤3 = − 𝑒 − 6
8 8
. .
. .
. .
1 1
𝑤𝑛 = − 𝑒 − 2𝑛
8 8
En effectuant membre à membre la somme des termes de l’égalité ci-dessus, on a :
1 1 𝑛 𝑛
𝑤1 + 𝑤2 + ………+ 𝑤𝑛 = 𝑛 × − 𝑛 𝑒 − 2𝑛 𝑆′𝑛 = − 𝑒 − 2𝑛
8 8 8 8
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛
=>𝑙𝑖𝑚 𝑆𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 𝑆′𝑛 − = 𝑙𝑖𝑚 ( − 𝑒 − 2𝑛 ) − = 𝑙𝑖𝑚 − 𝑒 − 2𝑛 −
8 8 8 8 8 8 8
𝑛→+∞ 𝑛→+∞ 𝑛→+∞ 𝑛→+∞
𝑛 1 𝑛 1
= 𝑙𝑖𝑚 − 𝑒 − 2𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 − × 2𝑛 = − × (0) = 0
8 8 𝑒 8
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A :
1) Traçons la courbe C de 𝑓.
- La droite d'équation 𝑥 = 2 est axe de symétrie.
- La droite d'équation 𝑥 = 4 est asymptote verticale.
- La droite d'équation 𝑦 = 3 est asymptote horizontale.
- Le point (2 ; 1) est extremum locale de la courbe (C) de 𝑓.
De ces renseignements nous obtenons une partie de la courbe qui est le suivant :
2
Axe de symétrie
1
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1
-2
𝑥 −∞ 0 2 4 +∞
𝑓′(𝑥) + + 0 − −
+∞ 1 +∞
𝑓(𝑥)
3 −∞ −∞ 3
2
Axe de symétrie
1
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1
-2
𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐
3) On suppose que 𝑓(𝑥) est de la forme 𝑓(𝑥) =
𝑥 2 + 𝛽𝑥 + 𝛼
a- Déterminons les réels 𝑎 ; 𝑏 ; 𝑐 ; 𝑒𝑡 𝛼
- D𝑓 = ℝ−{0 ; 4} => 𝑥 2 + 𝛽𝑥 + 𝛼 = (𝑥 − 0)(𝑥 − 4) 𝑥 2 + 𝛽𝑥 + 𝛼 = 𝑥 2 − 4𝑥
3𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 −𝑥 2 (12 + 𝑏)−2𝑐𝑥 + 4𝑐
=> 𝑓(𝑥) = et 𝑓′(𝑥) =
𝑥 2 − 4𝑥 (𝑥 2 − 4𝑥 )2
3𝑥 2 − 12𝑥 + 8
D’où 𝑎 = 3 ; 𝑏 = −12 ; 𝑐 = 8 ; 𝛽 = −4 𝑒𝑡 𝛼 = 0 et 𝑓(𝑥) =
𝑥 2 − 4𝑥
b- Montrons que la restriction 𝑔 de 𝑓 à I = ] 2 ; 4 ] réalise une bijection de I sur un intervalle
J à préciser.
D’après le tableau de variation ;∀𝑥 ∈ ] 2 ; 4 ] , 𝑓 est définie, continue et strictement
décroissante ] 2 ; 4 ] vers J = ]−∞ ; 1 ].
D’où la restriction 𝑔 de 𝑓 réalise une bijection de ] 2 ; 4 ] sur l’intervalle J= ]−∞ ; 1 ].
𝑦 = [𝑔−1 (𝑥0 )]′ (𝑥 − 𝑥0 ) + 𝑔−1 (𝑥0 ). Or 𝑥0 = 1 => = [𝑔−1 (1)]′ (𝑥 − 1) + 𝑔−1 (1).
1 1 −6 + 2𝑥 +2√𝑥 2 − 4𝑥 + 3
[𝑔−1 (1)]′ = = avec 𝑔−1 (𝑥) =
𝑔′𝑜𝑔−1 (1) 𝑔′[𝑔−1 (1)] 𝑥− 3
1 1 1 1 3
=> [𝑔−1 (1)]′ = = et 𝑔−1 (1) = 2=> 𝑦 = (𝑥 − 1) + 2 => 𝑦 = 𝑥 +
𝑔′(2) 2 2 2 2
d- Traçons C′
En faisant glisser une règle du bas vers le haut tout le long du graphique, on remarque :
Partie B :
Un dé cubique dont les faces sont numérotées de 1 à 6 à été piqué de telle sorte que les six
faces ne sont pas équiprobables. On note 𝑃𝑛 la probabilité d’obtenir le chiffre 𝑛 lors d’un lancé
de dé avec 𝑛 ∈ {1; 2; 3; 4; 5; 6}.
D’autre part les nombres 𝑃1 ; 𝑃2 ; 𝑃3 ; 𝑃4 ; 𝑃5 et 𝑃6 dans cet ordre, sont six termes consécutifs
d’une suite arithmétique et que 𝑃1 × 𝑃4 = (𝑃2 )2 .
𝑟 = 𝑃1
D’où le système {
6𝑃1 + 15𝑟 = 1
1
De ce système on a : 6𝑃1 + 15 𝑃1 = 1 21𝑃1 = 1 => 𝑃1 =
21
1 2
𝑃2 = 𝑃1 + 𝑟 = 𝑃1 + 𝑃1 = 2𝑃1 = 2 × =
21 21
1 3
𝑃3 = 𝑃2 + 𝑟 = 2𝑃1 + 𝑃1 = 3𝑃1 = 3 × =
21 21
1 4
𝑃4 = 4𝑃1 = 4 × =
21 21
1 5
𝑃5 = 5𝑃1 = 5 × =
21 21
1 6
𝑃6 = 6𝑃1 = 6 × =
21 21
𝑛 1 2 3 4 5 6
𝑃𝑛 1 2 3 4 5 6
21 21 21 21 21 21
2 4 6 12 4
𝑃(𝐴) = 𝑃2 + 𝑃4 + 𝑃6 = + + = =
21 21 21 21 7
3 4 5 6 18 6
𝑃(𝐵) = 𝑃3 + 𝑃4 + 𝑃5 + 𝑃6 = + + + = =
21 21 21 21 21 7
b- Calculons la probabilité pour que le nombre obtenu soit supérieur ou égal à 3 sachant
qu’il est pair.
4 6 10
𝑃(𝐵/𝐴) = 𝑃4 + 𝑃6 = + =
21 21 21
4 6 24 10 4 40
On sait que 𝑃(𝐴 ∩ 𝐵) = 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐵) = × = et 𝑃(𝐵/𝐴) × 𝑃(𝐴) = × =
7 7 49 21 7 147
Sujet 5 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// On considère l'ensemble des complexes 𝑍𝑛 tels que : ∀ 𝑛 ∈ ℂ on a :
𝑍0 = 1
{ 1+ 𝑖
𝑍𝑛+1 = 𝑍𝑛
2
1) On note 𝑀𝑛 le point d'affixe 𝑍𝑛 dans le plan rapporté au repère ( o, u , v ).
a- Calcule 𝑍1 ; 𝑍2 ; 𝑍3 et 𝑍4 .
b- Placer les points 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3 , 𝑀4 et 𝑀5 .
𝑍𝑛+1 − 𝑍𝑛
2) Calcule le quotient : puis en déduis la nature du triangle 𝑂𝑀𝑛+1 𝑀𝑛
𝑍𝑛+1
II// Dans une culture de microbes, le nombre de microbes à l’instant 𝑡, exprimé en heures, peut
être considéré comme une fonction numérique 𝑁 à variable réelle 𝑡. La vitesse de prolifération
à l’instant 𝑡 du nombre de microbes est la dérivée 𝑁′ de cette fonction. On a constaté que :
𝑁 ′ (𝑡) = −𝑘𝑁(𝑡) où 𝑘 est un coefficient réel strictement positif. On désigne par 𝑁0 le nombre
de microbes à l’instant 𝑡 = 0
1°/ Détermine 𝑁(𝑡) en fonction de 𝑁0 , 𝑘 et 𝑡.
1
1) Démontre que 𝐼𝑛 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 puis calcule 𝐼0
2𝑛
2) Démontre que 𝐼𝑛 = − 𝐼
1 + 2𝑛 𝑛−1
2) Montre que T admet un seul point invariant Ω dont on donnera l’affixe. En déduis que T est
une homothétie dont on Précisera le centre et le rapport.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A : Résolution de l'équation différentielle (𝑬𝟏 ) : 𝑦′ – 2𝑦 = 𝑥𝑒 𝑥
2) Soient 𝑎 et 𝑏 deux réels et soit 𝑢 la fonction définie sur ℝ par 𝑢(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 𝑥 .
2) Calcule 𝑓 ′(𝑥) et Montre que 𝑓 ′(𝑥) et 𝑔(𝑥) ont le même signe. Etudie le sens de
variation de 𝑓.
𝛼2+ 2𝛼
3) Montre que 𝑓(𝛼) = − , où α est défini dans la partie B. En déduis un
4
encadrement de 𝑓(𝛼). (On rappelle que −1,6 ≤ 𝛼 ≤ − 1,5).
0
b) En déduis ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥
0
3) Calcule la limite de ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 , lorsque 𝑚 tend vers − ∞.
Calculons 𝑍1 ; 𝑍2 ; 𝑍3 et 𝑍4 .
1+ 𝑖 1 1 1+ 𝑖 1
𝑍1 =
2
𝑍0 => 𝑍1 = + 𝑖 ; 𝑍2 =
2
𝑍1 => 𝑍2 = 𝑖
2 2 2
1+ 𝑖 1 1 1+ 𝑖 1
𝑍3 =
2
𝑍2 => 𝑍3 = − + 𝑖 ; 𝑍4 =
2
𝑍3 => 𝑍4 = −
4
4 4
𝑍𝑛+1 − 𝑍𝑛
2) Calcule le quotient : puis en déduis la nature du triangle 𝑂𝑀𝑛+1 𝑀𝑛
𝑍𝑛+1
1+ 𝑖
1+ 𝑖 𝑍𝑛+1 − 𝑍𝑛 ( 𝑍𝑛 )− 𝑍𝑛 1+ 𝑖
On sait que 𝑍𝑛+1 = 𝑍𝑛 => = 21 + 𝑖 ( car 𝑍𝑛+1 = 𝑍𝑛 )
2 𝑍𝑛+1 𝑍𝑛 2
2
1+ 𝑖 1+ 𝑖
𝑍𝑛+1 − 𝑍𝑛 𝑍𝑛 ( – 1) ( – 1) −1+ 𝑖 (− 1 + 𝑖)(1− 𝑖) −1 + 𝑖 + 𝑖 + 1
2 2
=> = 1+ 𝑖 = 1+ 𝑖 = = (1)2 + (1)2
=
𝑍𝑛+1 𝑍𝑛 ( ) ( ) 1+ 𝑖 2
2 2
2𝑖 𝑍𝑛+1 − 𝑍𝑛
= = 𝑖 => est un imaginaire pur. Alors 𝑂𝑀𝑛+1 𝑀𝑛 est un triangle rectangle en O.
2 𝑍𝑛+1
II//Dans une culture de microbes, le nombre de microbes à l’instant 𝑡, exprimé en heures, peut
être considéré comme une fonction numérique 𝑁 à variable réelle 𝑡. La vitesse de prolifération
à l’instant 𝑡 du nombre de microbes est la dérivée 𝑁′ de cette fonction. On a constaté que :
𝑁 ′ (𝑡) = −𝑘𝑁(𝑡) où 𝑘 est un coefficient réel strictement positif. On désigne par 𝑁0 le nombre
de microbes à l’instant 𝑡 = 0
1°/ Déterminons 𝑁(𝑡) en fonction de 𝑁0 , 𝑘 et 𝑡.
𝑁0 1 1 1
On a donc : 𝑁(𝑡) = 𝑁0 𝑒 −𝑘𝑇 = 𝑒 −𝑘𝑇 = = 𝑒 𝑘𝑇 = 2.
2 2 𝑒 𝑘𝑇 2
𝑙𝑛2
𝑒 𝑘𝑇 = 2 𝑘𝑇 = 𝑙𝑛2 => 𝑇 =
𝑘
1 0 1
=> 𝐼𝑛 = ∫−1(𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 = ∫−1(𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 + ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡
0
Ainsi posons 𝐴 = ∫−1(𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 puis Effectuons un changement de variable.
Si 𝑡 = −1 alors 𝑋 = 1 et Si 𝑡 = 0 alors 𝑋 = 0
0 0 1
=> 𝐴 = ∫−1(𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 = − ∫−1(𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 = ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡
1 1 1
D’où 𝐼𝑛 = ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 + ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡
1
=> 𝐼𝑛 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 (ce qu’il fallait Démontre)
En déduisons la valeur de 𝐼0
1 1 1
𝐼𝑛 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 => 𝐼0 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)0 𝑑𝑡 = 2 ∫0 1𝑑𝑡 = [2𝑡]10 = 2.
=> 𝐼0 = 2
2𝑛
2) Démontrons que ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ ; on a : 𝐼𝑛 = − 𝐼
1 + 2𝑛 𝑛−1
1 1
On sait que 𝐼𝑛 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 => 𝐼𝑛−1 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 − 1 𝑑𝑡
1 1 1
𝐼𝑛 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑡 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 −1 + 1 = 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 −1 × (𝑡 2 − 1)𝑑𝑡
1 1
= 2 ∫0 𝑡 2 (𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 − 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡
1 1
= 2 ∫0 𝑡 × 𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 − 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡
1 1 1
= ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 − 2 ∫0 (𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 = ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 − 𝐼𝑛−1
1
=> 𝐼𝑛 = ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 − 𝐼𝑛−1
1
Intégrons par partie l’intégrale ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡
𝑛 1 𝑛 𝑛 1
1 𝑡×(𝑡 2 −1) 1 (𝑡 2 −1) 𝑡×(𝑡 2 −1)
=> ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 = [ ] − ∫0 𝑑𝑥 . Or [ ] =0
𝑛 𝑛 𝑛
0 0
1 1 1 1
=> ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 = − ∫ 2(𝑡 2 − 1)𝑛 𝑑𝑥 = − 𝐼
2𝑛 0 2𝑛 𝑛
1 1
D’où 𝐼𝑛 = ∫0 𝑡 × 2𝑡(𝑡 2 − 1)𝑛 −1 𝑑𝑡 − 𝐼𝑛−1 = − 𝐼𝑛 − 𝐼𝑛−1
2𝑛
1 1 1
=> 𝐼𝑛 = − 𝐼 − 𝐼𝑛−1 𝐼𝑛 + 𝐼 = −𝐼𝑛−1 (1 + ) 𝐼𝑛 = −𝐼𝑛−1
2𝑛 𝑛 2𝑛 𝑛 2𝑛
2𝑛 + 1 2𝑛
( ) 𝐼𝑛 = −𝐼𝑛−1 => 𝐼𝑛 = − 𝐼
2𝑛 2𝑛 + 1 𝑛−1
2𝑛
D’où 𝐼𝑛 = − 𝐼 (ce qu’il fallait Démontre)
2𝑛 + 1 𝑛−1
On a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀′ = 2𝐴𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝑀
𝑍𝑀′ − 𝑍0 = 2(𝑍𝑀 − 𝑍𝐴 ) + 𝑍𝑀 − 𝑍𝐵
𝑍′ − 0 = 2𝑍 − 2(1 + 𝑖 ) + 𝑍 − (− 4 – 𝑖)
𝑍′ = 3𝑍 − 2(1 + 𝑖 ) − (− 4 – 𝑖)
𝑍′ = 3𝑍 − 2 − 2𝑖 + 4 + 𝑖
𝑍 ′ = 3𝑍 + 2 − 𝑖
1
𝑍 ′ = 𝑍 𝑍 = 3𝑍 + 2 − 𝑖 −2𝑍 = 2 − 𝑖 𝑍 = −1 + 𝑖.
2
1
D’où Ω(−1 ; ) est le point invariant.
2
NB :
On a : 𝑍 ′ = 3𝑍 + 2 − 𝑖 . Avec 𝑎 = 3 et 𝑏 = 2 − 𝑖
1
=> Ω(−1 ; ) est le centre de l’homothétie.
2
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A : Résolution de l'équation différentielle (𝑬𝟏 ) : 𝑦′ – 2𝑦 = 𝑥𝑒 𝑥
On a (𝑬𝟐 ) : 𝑦′ – 2𝑦 = 0 => S = 𝑘𝑒 2𝑥
2) Soient 𝑎 et 𝑏 deux réels et soit 𝑢 la fonction définie sur ℝ par 𝑢(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 𝑥 .
−𝑎 = 1 𝑎 = −1 𝑎 = −1
−𝑎𝑥 + 𝑎 − 𝑏 = 𝑥 => { { {
𝑎− 𝑏=0 −1 − 𝑏 = 0 𝑏 = −1
NB :
𝐴 => 𝐵
Montre que 𝐵, revient à montré que { 𝑒𝑡
𝐵 => 𝐴
Ainsi pour Montre qu’une fonction 𝑣 est solution de l'équation (𝑬𝟏 ) si et seulement si 𝑢 − 𝑣
est solution de (𝑬𝟐 ), on montre que
- Montrons que 𝑣 est solution de l′ équation (𝑬𝟏 ) => 𝑢 − 𝑣 est solution de (𝑬𝟐 )
• 𝑢 est solution de l’équation (𝑬𝟏 ) si et seulement si 𝑢 ′ (𝑥) − 2𝑢(𝑥) = 𝑥𝑒 𝑥 (1)
• 𝑣 est solution de l’équation (𝑬𝟏 ) si et seulement si 𝑣 ′ (𝑥) − 2𝑣(𝑥) = 𝑥𝑒 𝑥 (2)
Effectuons ainsi la différence des relations (1) et (2) :
- Montrons que 𝑢 − 𝑣 est solution de (𝑬𝟐 ) => 𝑣 est solution de l′ équation (𝑬𝟏 )
Si 𝑢 − 𝑣 est solution de (𝑬𝟐 ) alors on a : (𝑢 − 𝑣)′ (𝑥) − 2(𝑢 − 𝑣)(𝑥) = 0
𝑣 ′ (𝑥) − 2𝑣(𝑥) = 𝑢′ (𝑥) −2 𝑢(𝑥). Avec 𝑢(𝑥) = −(𝑥 + 1)𝑒 𝑥 et 𝑢′ (𝑥) = −(𝑥 + 2)𝑒 𝑥 .
Alors une fonction 𝑣 est solution de l'équation (𝑬𝟏 ) si et seulement si 𝑢 − 𝑣 est solution de
(𝑬𝟐 ). (Ce qu’il fallait Démontre).
D’où l'ensemble des solutions de l’équation (𝑬𝟏 ) est 𝑣(𝑥) = −(𝑥 + 1)𝑒 𝑥 − 𝑘𝑒 2𝑥
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
𝑒𝑥 2
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 2𝑒 𝑥 – 𝑥 – 2 = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 (2 − 1 − ) = (+ ∞ )[2(+ ∞) − 1 − 0]
𝑥 𝑥
= (+ ∞ )(+ ∞) = + ∞
1 1
𝑒 𝑥 > => 𝑥 > 𝑙𝑛 => 𝑥 > −𝑙𝑛2.
2 2
Ainsi : pour les 𝑥 > −𝑙𝑛2, on a : 𝑔′(𝑥) > 0 et pour les 𝑥 < −𝑙𝑛2, on a : 𝑔′(𝑥) < 0
𝑥 −∞ 𝛼 −𝑙𝑛2 0 +∞
𝑔′(𝑥) − 0 +
+∞ +∞
𝑔(𝑥)
0 0
−1 + 𝑙𝑛2
3) On admet que l'équation 𝑔(𝑥) = 0 a exactement deux solutions réelles.
- ∀𝑥 ∈ ]𝛼 ; 0 [ ; 𝑔(𝑥) < 0.
Partie C : Etude de la fonction principale
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
(𝑥 − 1)
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 2𝑥 – (𝑥 + 1) 𝑒 𝑥 = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 2𝑥 [1 − ] = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 2𝑥 (1 − 0) = + ∞
𝑒𝑥
𝑥 → +∞ 𝑥 →+∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 →+∞
∀𝑥 ∈ ℝ ; 𝑒 𝑥 > 0. Alors 𝑓 ′(𝑥) et 𝑔(𝑥) ont le même signe. Or d’après Partie B 4), on a :
𝛼+2
D’après Partie B 3) b), on a : 𝑔(𝛼) = 0 2𝑒 𝛼 – 𝛼 – 2 = 0 => 𝑒 𝛼 =
2
𝛼 2 + 4𝛼 + 4 𝛼 2 + 3𝛼 + 2 𝛼 2 + 4𝛼 + 4−2𝛼 2 − 6𝛼− 4
= – =
4 2 4
−𝛼 2 −2𝛼 𝛼 2 + 2𝛼 𝛼 2 + 2𝛼
= =− . => 𝑓(𝛼) = − . (Ce qu’il fallait Démontre)
4 4 4
−1,6 ≤ 𝛼 ≤ − 1,5
0 0
-4 -3 -2 -1 0 1 2 x
-1
0
La fonction 𝑓 est positive sur [𝑚 ; 0]donc l’intégrale∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 est l’aire, exprimée en unités
d’aire, de la partie de plan comprise entre l’axe des abscisses, la courbe (C) et les droites
d’équations 𝑥 = 𝑚 et 𝑥 = 0.
0
2) a-Calculons ∫𝑚 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 à l'aide d'une intégration par parties.
0
∫𝑚 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥
0 0
=> ∫𝑚 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = [𝑥𝑒 𝑥 ]0𝑚 − ∫𝑚 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = [𝑥𝑒 𝑥 − 𝑒 𝑥 ]0𝑚 = (1 − 𝑚)𝑒 𝑚 − 1
0
b-En déduisons ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥
0 0 0 0 0
∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫𝑚[𝑒 2𝑥 – (𝑥 + 1) 𝑒 𝑥 ]𝑑𝑥 = ∫𝑚 𝑒 2𝑥 𝑑𝑥 − ∫𝑚 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 − ∫𝑚 𝑒 𝑥 𝑑𝑥
0 1 0 1 0
=> ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = [ 𝑒 2𝑥 ] − [𝑥𝑒 𝑥 − 𝑒 𝑥 ]0𝑚 − [𝑒 𝑥 ]0𝑚 = [ 𝑒 2𝑥 ] − [𝑥𝑒 𝑥 − 𝑒 𝑥 ]0𝑚 − [𝑒 𝑥 ]0𝑚
2 𝑚 2 𝑚
0 −𝑒2𝑚 + 2𝑚𝑒𝑚 + 1
=> ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 =
2
0
3) Calculons la limite de∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 , lorsque 𝑚 tend vers − ∞.
𝑚 → −∞ 𝑚 → −∞
0 1
D’où 𝑙𝑖𝑚 ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 =
2
𝑚 → −∞
Sujet 6 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// Deux voitures A et B démarrent en même temps d’une même ligne de depart et font
plusieurs tours d’un même circuit. La voiture A fait le tour du circuit en 36 minutes et la
voiture B en 30 minutes.
1) Determine un autre moment (autres que le depart!) où les voitures A et B se croisent
sur la ligne de depart.
2) Precise le nombre de tours effectués par chaque voiture.
II// On considère un repère orthonormé directe (O ; 𝑢⃗⃗ ; 𝑣⃗ )du plan complexe. Soit les points
𝐴 ; 𝐵 ; 𝐶 d’affixes respectives :
7𝜋 7𝜋
2[𝐶𝑜𝑠( ) + 𝑖𝑆𝑖𝑛( )]
15 15
𝑍𝐴 = − 1 + 𝑖 ; 𝑍𝐵 = 𝜋 𝜋 et 𝑍𝐶 = 2 − 2𝑖
𝐶𝑜𝑠( ) – 𝑖𝑆𝑖𝑛( )
5 5
2) Détermine l’affixe 𝑍𝐷 du point D tel que le triangle OBD soit équilatéral direct, c'est-à-
𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
dire la mesure de l’angle ( 𝑂𝐵 𝑂𝐷 ) = .
3
Exercice 2………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Une urne contient des boules noires et des boules rouges. Chaque boule noire porte un nombre
entier de trois chiffres multiples de 179 et chaque boule rouge porte un nombre entier de trois
chiffres multiples de 159.
Ces boules sont indiscernables au toucher.
1) Trouve le nombre maximal de boules de chaque couleur dans l’urne. (On pourra
utiliser les suites arithmétiques).
2) On suppose que l’urne contient cinq boules noires et quinze boules rouges. On
considère le jeu suivant : la mise est de 200 F pour chaque partie. Le joueur tire une
boule de l’urne :
- Si elle est noire, on lui donne 500 F et la partie est terminée.
- Si elle est rouge, il la remet dans l’urne et procède à un second tirage.
- Si la seconde boule tirée est noire, on lui donne 300 F et la partie est terminée.
- Si la deuxième boule tirée est rouge, il la remet dans l’urne et procède à un troisième
tirage et dernier tirage.
- Si la troisième boule tirée est noire, on lui donne 100 F.
- Si la troisième boule tirée est rouge, il n’a rien.
On désigne par X la variable aléatoire égale au gain algébrique du joueur.
a- Donne la loi de probabilité de X.
b- Calcule la probabilité 𝑃 pour que X soit positive.
c- Peut-on espérer gagner ce jeu ?
d- Un joueur fait cinq parties successives. Qu’elle est la probabilité pour qu’il ait
exactement trois fois un gain positif lors de ces cinq parties ?
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
L'objet de ce problème est d'étudier, à l'aide d'une fonction auxiliaire, une fonction et de résous
une équation différentielle dont elle est solution.
𝑒𝑥
Soit 𝑔 la fonction définie sur ℝ par 𝑔(𝑥) = − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )
1 + 2𝑒 𝑥
1) Calcule 𝑔′(𝑥) et Montre que ce nombre est strictement négatif pour tout 𝑥 de ℝ.
(Unités graphiques : 4 𝑐𝑚 sur l'axe des abscisses et 1 𝑐𝑚 sur l'axe des ordonnées).
1) Calcule 𝑓 ′(𝑥) et Montre que pour tout réel 𝑥, 𝑓 ′(𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 𝑔(𝑥).
2) a) Détermine la limite de 𝑓 en − ∞.
b) Détermine la limite de 𝑓 en + ∞.
𝑋 𝑙𝑛𝑋
On pourra remarquer que : si on pose 𝑋 = 1 + 2𝑒 𝑥 , 𝑓(𝑥) s'écrit 4 (𝑋 ×
− 1)2 𝑋
Dresse le tableau de variation de 𝑓.
3) Trace C.
𝛼 𝑒𝑥
a) Calcule la valeur de l'intégrale I(α) = ∫0 𝑑𝑥
1 + 2𝑒 𝑥
𝛼
b) En déduis, à l'aide d'une intégration par parties, l'intégrale : J(α) = ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 puis
donne une interprétation graphique de J(𝛼).
𝑒 −𝑥
On considère l'équation différentielle (E) : 𝑦′ + 2𝑦 = 2
1 + 2𝑒 𝑥
Les voitures A et B se croiseront pour la première fois (autres que le depart) au bout d’un
temps égal à PPCM (30; 36).
180 180
La voiture A parcourt = 5 tours et la voiture B parcourt = 6 tours
36 30
7𝜋
7𝜋 7𝜋 𝑖
2[𝐶𝑜𝑠(
15
) + 𝑖𝑆𝑖𝑛( )]
15 2𝑒 15 2𝜋 2𝜋
𝑍𝐵 = 𝜋 𝜋 => 𝑍𝐵 = 𝜋 = 2𝑒 3 𝑖 => 𝑍𝐵 = 2𝑒 3 𝑖
𝐶𝑜𝑠( ) – 𝑖𝑆𝑖𝑛( ) − 𝑖
5 5 𝑒 5
𝜋 𝜋
𝑍𝐶 = 2 − 2𝑖 => |𝑍𝐶 | = 2√2 et arg(𝑍𝐶 ) = − => 𝑍𝐶 = 2√2 𝑒 − 4 𝑖
4
2) Déterminons l’affixe 𝑍𝐷 du point D tel que le triangle OBD soit équilatéral direct, c'est-à-
𝜋
dire la mesure de l’angle ( ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝐵 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝐷 ) = .
3
𝑍𝐷 − 𝑍𝑂 𝜋 𝑍𝐷 𝜋
OBD est équilatéral direct si et seulement si : = 𝑒 3𝑖 = 𝑒 3 𝑖 (car l’affixe de
𝑍𝐵 − 𝑍𝑂 𝑍𝐵
𝜋 2𝜋 𝜋
L’origine 𝑍𝑂 = 0). Alors 𝑍𝐷 = 𝑍𝐵 𝑒 3 𝑖 = 2𝑒 3 𝑖 × 𝑒 3 𝑖 = 2𝑒 𝜋𝑖 = 2(−1) = −2 => 𝑍𝐷 = −2
=> 𝑈𝑛 = 179𝑛.
1000
D’autre part on a : 179 ≤ 𝑈𝑛 < 1000 179 ≤ 179𝑛 < 1000 1 ≤ 𝑛 < 1≤𝑛<
179
5,58.
Alors le nombre maximal de boules noires est : 𝑛1 = 5.
= 59𝑛 + 59.
D’autre part on a : 118 ≤ 𝑉𝑛 < 1000 118 ≤ 59𝑛 + 59 < 1000 59 ≤ 59𝑛 < 941
941
1≤𝑛< 1 ≤ 𝑛 < 15,94.
59
2) On suppose que l’urne contient cinq boules noires et quinze boules rouges. On
considère le jeu suivant : la mise est de 200 F pour chaque partie. Le joueur tire une
boule de l’urne :
- Si elle est noire, on lui donne 500 F et la partie est terminée.
- Si elle est rouge, il la remet dans l’urne et procède à un second tirage.
- Si la seconde boule tirée est noire, on lui donne 300 F et la partie est terminée.
- Si la deuxième boule tirée est rouge, il la remet dans l’urne et procède à un troisième
tirage et dernier tirage.
- Si la troisième boule tirée est noire, on lui donne 100 F.
- Si la troisième boule tirée est rouge, il n’a rien.
5 1
𝑃(X = 300) = =
20 4
15 5 3
𝑃(X = 100) = × =
20 20 16
15 15 5 9
𝑃(X = −100) = × × =
20 20 20 64
15 15 15 27
𝑃(X = −200) = × × =
20 20 20 64
27 9 3 1 75
𝐸(X) = −200 × − 100 × + 100 × + 300 × = −
64 64 16 4 16
Puisque 𝐸(X) < 0, alors le jeu est désavantageux et par conséquent l’on ne peut pas espérer
gagner ce jeu.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
L'objet de ce problème est d'étudier, à l'aide d'une fonction auxiliaire, une fonction et de résous
une équation différentielle dont elle est solution.
𝑒𝑥
Soit 𝑔 la fonction définie sur ℝ par 𝑔(𝑥) = − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )
1 + 2𝑒 𝑥
1) Calculons 𝑔′(𝑥) et Montre que ce nombre est strictement négatif pour tout 𝑥 de ℝ.
𝑒𝑥 𝑒𝑥 2𝑒 𝑥 𝑒 𝑥 − 2𝑒 𝑥 (1 + 2𝑒 𝑥 )
𝑔(𝑥) = − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) => 𝑔′(𝑥) = − 1 + 2𝑒 𝑥 =
1 + 2𝑒 𝑥 (1 + 2𝑒 𝑥 )2 (1 + 2𝑒 𝑥 )2
𝑒 𝑥 (1 + 4𝑒 𝑥 ) 𝑒 𝑥 (1 + 4𝑒 𝑥 ) 𝑒 𝑥 (1 + 4𝑒 𝑥 )
=> 𝑔′(𝑥) = − 𝑥 2
. Puis que ∀𝑥 ∈ ℝ 𝑥 2
> 0 alors − <0
(1 + 2𝑒 ) (1 + 2𝑒 ) (1 + 2𝑒 𝑥 )2
𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) = 0 − 0 = 0
1 + 2𝑒𝑥
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
𝑒𝑥 1
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) = −(+∞) = −∞
1 + 2𝑒𝑥 2
𝑥 → +∞ 𝑥 →+∞
𝑔(𝑥)
−∞
4) Donnons le signe de 𝑔(𝑥).
1) Calculons 𝑓 ′(𝑥) et montrons que pour tout réel 𝑥, 𝑓 ′(𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 𝑔(𝑥).
2𝑒 𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) => 𝑓′(𝑥) = −2𝑒 −2𝑥 × 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) + × 𝑒 −2𝑥
1 + 2𝑒 𝑥
𝑒𝑥
=> 𝑓 ′ (𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 [ − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )] = 2𝑒 −2𝑥 𝑔(𝑥).
1 + 2𝑒 𝑥
1) a) Déterminons la limite de 𝑓 en − ∞.
𝑙𝑛(1+ 2𝑒 𝑥 ) 2 𝑙𝑛(1+ 2𝑒 𝑥 )
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 ×
𝑒 2𝑥 𝑒𝑥 2𝑒 𝑥
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
4 𝑙𝑛(1+ 𝑋) 𝑙𝑛(1+ℎ)
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) 𝑙𝑖𝑚 × . Or 𝑙𝑖𝑚 = 1 est une limite remarquable
𝑋 𝑋 ℎ
4
Et d’autre part 𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑋
𝑋→0
4 𝑙𝑛(1+ 𝑋)
Alors 𝑙𝑖𝑚 × = (+∞)(1) = +∞
𝑋 𝑋
𝑋→0
𝑥 → −∞
b) Déterminons la limite de 𝑓 en + ∞.
𝑋 𝑙𝑛𝑋
On pourra remarquer que : si on pose 𝑋 = 1 + 2𝑒 𝑥 , 𝑓(𝑥) s'écrit 4 (𝑋 ×
− 1)2 𝑋
Si 𝑥 → +∞ alors 𝑋 → +∞
𝑥 → +∞ 𝑋 → +∞ 𝑋 → +∞ 𝑋 → +∞
𝑥 −∞ +∞
𝑓′(𝑥) −
+∞
𝑓(𝑥)
3) Traçons la courbe C.
-3 -2 -1 0 1 2 3 4x
-1
𝑒 −𝑥 𝑒 −𝑥
4) a- Montrons que = 𝑒 −𝑥 − 2 ×
1 + 2𝑒 𝑥 𝑒 −𝑥 + 2
𝑒 −𝑥 𝑒 −𝑥
D’où = 𝑒 −𝑥 − 2 ×
1 + 2𝑒 𝑥 𝑒 −𝑥 + 2
𝛼 𝑒 −𝑥
b- Soit 𝛼 un réel strictement positif. Calcule l'intégrale I(α) = ∫0 𝑑𝑥
1 + 2𝑒 𝑥
𝛼 𝑒 −𝑥 𝛼 𝑒 −𝑥
I(α) = ∫0 𝑑𝑥 = I(α) = ∫0 (𝑒 −𝑥 − 2 × ) 𝑑𝑥 = [−𝑒 −𝑥 − 2𝑙𝑛( 𝑒 −𝑥 + 2)]𝛼0
1 + 2𝑒 𝑥 𝑒 −𝑥 + 2
𝑒 −𝛼 + 2
=> I(α) = 1 − 𝑒 −𝛼 − 2𝑙𝑛 ( )
3
𝛼
c-En déduisons, à l'aide d'une intégration par parties, l'intégrale : J(α) = ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥
𝛼 𝛼
J(α) = ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫0 𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )𝑑𝑥
2𝑒 𝑥
Posons 𝑢(𝑥) = 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) => 𝑢′(𝑥) =
1 + 2𝑒 𝑥
1
𝑣′(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 => 𝑣(𝑥) = − 𝑒 −2𝑥
2
1 𝛼 𝛼 𝑒 −𝑥 1 𝛼
=> J(α) = [− 𝑒 −2𝑥 × 𝑙𝑛(1 + 2 𝑒 𝑥 )] + ∫0 𝑑𝑥 = [− 𝑒 −2𝑥 × 𝑙𝑛(1 + 2 𝑒 𝑥 )] + I(α)
2 0 1 + 2𝑒 𝑥 2 0
1 𝛼 𝑒 −𝛼 + 2
= [− 𝑒 −2𝑥 × 𝑙𝑛(1 + 2 𝑒 𝑥 )] + I(α) . Or I(α) = 1 − 𝑒 −𝛼 − 2𝑙𝑛 ( )
2 0 3
5 1
=> 𝐽(𝛼) = 1 + 𝑙𝑛3 − 𝑒 −2𝛼 × 𝑙𝑛(1 + 2 𝑒 𝛼 ) − 2𝑙𝑛(𝑒 −𝛼 + 2) − 𝑒 −𝛼
2 2
La fonction 𝑓 est positive sur [0 ; 𝛼] avec 𝛼 > 0. Donc 𝐽(𝛼) est l’aire, exprimée en unités
d’aire, de la partie de plan comprise entre la courbe (C), les axes de coordonnées et la droite
d’équation 𝑥 = 𝛼.
𝑒𝑥
On considère l'équation différentielle (E) : 𝑦′ + 2𝑦 = 2
1 + 2𝑒 𝑥
𝑒 −𝑥
𝑓 est solution de (E) si et seulement si 𝑓 ′ (𝑥) + 2𝑓(𝑥) = 2
1 + 2𝑒 𝑥
𝑒𝑥
Avec 𝑓(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) et 𝑓 ′ (𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 [ − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )]
1 + 2𝑒 𝑥
𝑒𝑥
Alors 𝑓 ′ (𝑥) + 2𝑓(𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 [ − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )] + 2𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )
1 + 2𝑒 𝑥
2𝑒 −𝑥 𝑒 −𝑥
= − 2𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) + 2𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) = 2
1 + 2𝑒 𝑥 1 + 2𝑒 𝑥
𝑒 −𝑥
D’où 𝑓 est solution de (E) : 𝑦′ + 2𝑦 = 2
1 + 2𝑒 𝑥
NB :
𝐴 => 𝐵
Pour Montre que 𝐴 𝐵,on montre que { 𝑒𝑡
𝐵 => 𝐴
Ainsi pour Montre qu’une fonction 𝜑 est solution de l'équation (𝐸) si et seulement si 𝜑 − 𝑓
est solution de (𝐸 ’) : 𝑦′ + 2𝑦 = 0, on montre que :
𝑒 −𝑥 𝑒 −𝑥
(1) − (2) : [𝜑 ′ (𝑥) − 𝑓 ′ (𝑥)] + 2[𝜑(𝑥) − 𝑓(𝑥) ] = 2 −2
1 + 2𝑒 𝑥 1 + 2𝑒 𝑥
𝑒𝑥
Avec 𝑓(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) et 𝑓 ′ (𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 [ − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )]
1 + 2𝑒 𝑥
𝑒𝑥
𝜑 ′ (𝑥) + 2𝜑(𝑥) = 2𝑒 −2𝑥 [ − 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )] + 2𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 )
1 + 2𝑒 𝑥
𝑒 −𝑥
𝜑 ′ (𝑥) + 2𝜑(𝑥) = 2
1 + 2𝑒 𝑥
Alors une fonction 𝜑 est solution de l'équation (𝐸) si et seulement si 𝜑 − 𝑓 est solution de
(𝐸 ’). (Ce qu’il fallait Démontre).
3) Résolvons (𝐸′)
(𝐸 ′) : 𝑦 ′ + 2𝑦 = 0 => S = 𝑘𝑒 −2𝑥
D’où l'ensemble des solutions de l’équation (𝐸) est 𝜑(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 𝑙𝑛(1 + 2𝑒 𝑥 ) + 𝑘𝑒 −2𝑥 avec
(𝑘 ∈ ℝ)
4) On pose 𝑍1 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑍2 = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦 ′ .
a- Exprime 𝑥 ′ et 𝑦 ′ en fonction de 𝑥 et 𝑦.
3𝑥 ≡ 1[5]
II//Résous dans ℤ le système {
5𝑥 ≡ 2[7]
II// Dans une classe de terminale 88% des élèves ont déclarés aimer les mathématiques ; 20%
ont déclarés aimer la chimie et 15% ont déclarés aimer les mathématiques et la chimie. On
choisit un élève au hasard.
1) Quelle est la probabilité que cet élève aime les mathématiques et pas la chimie ?
2) Quelle est la probabilité que cet élève aime la chimie et pas les mathématiques ?
3) Quelle est la probabilité que cet élève n’aime ni les mathématiques ni la chimie ?
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Le problème est composé de l'étude d'une suite de fonctions dépendant d'un paramètre, puis de
la recherche d'une valeur approchée d'une solution d'une équation du type : 𝑓(𝑥) = 𝑥.
Partie A :
Pour tout entier 𝑛 strictement positif, on note 𝑓𝑛 la fonction numérique de la variable réelle
𝑒𝑥
définie sur ℝ−{−1} par : 𝑓𝑛 (𝑥) =
( 𝑥 + 1)𝑛
On note (Cn) la courbe représentative de𝑓𝑛 dans le plan rapporté à un repère orthonormé (unité
graphique : 2 cm).
3) Démontre que toutes les courbes (Cn) passent par un même point.
𝑓𝑛 (𝑥)
4) Détermine la limite de lorsque 𝑥 tend vers +∞. Que peut – on en déduis pour les
𝑥
courbes (𝐶𝑛 ) ? Trace sur deux figures distinctes les courbes (C1) et (C2).
Partie B :
1
Pour tout entier 𝑛 strictement positif, on note : 𝐼𝑛 = ∫0 𝑓𝑛 𝑑𝑥 .
Partie C :
1
1) Démontre que l'équation 𝑓2(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique α dans l'intervalle [ ; 1]
2
1
2) Etudie les variations de 𝑓′2 dans [ ; 1]et en déduis que pour tout nombre réel 𝑥 appartenant
2
1
à l'intervalle [ ; 1] ; on a : 0 ≤ |𝑓′2 (𝑥) |≤ 0,25
2
𝑢 =0
3) Soit (𝑢𝑛 ), 𝑛 ∈ ℕ la suite définie par{ 0
𝑢𝑛+1 = 𝑓2 (𝑢𝑛 )
1 1 𝑛
b- En déduis que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) et que la suite (𝑢𝑛 ), 𝑛 ∈ ℕ
2 4
converge vers 𝛼.
S= {1 + 𝛼𝑖 ; 𝛼 + 𝑖}
𝑍1− 1
𝑍1 = 1 + 𝛼𝑖 => 𝛼 = = −𝑖(𝑍1 − 1)
𝑖
𝑏 2𝑖 2𝑖(1− 𝑖)
- Centre 𝛺 est telque∶ 𝑍𝛺 = = = = 𝑖(1 − 𝑖) = 1 + 𝑖. D’où 𝛺(11)
1− 𝑎 1+𝑖 2
𝜋
Alors 𝑓 est une rotation de centre 𝛺(11) et d’angle 𝜃 =
2
4) On pose 𝑍1 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑍2 = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦 ′ .
a- Exprimons 𝑥 ′ et 𝑦 ′ en fonction de 𝑥 et 𝑦.
𝑥′ = 𝑦
𝑥 ′ + 𝑖𝑦 ′ = 𝑦 + 𝑖(−𝑥 + 2). Par identification, on a : {
𝑦 ′ = −𝑥 + 2
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 85
Sujets de Bac
𝑥′ = 𝑦 𝑦 = 𝑥′
On sait que : { ′ { .
𝑦 = −𝑥 + 2 𝑥 = −𝑦′ + 2
3𝑥 ≡ 1[5]
II// Résolvons dans ℤ le système {
5𝑥 ≡ 2[7]
𝑥 = 𝑥 5𝑘 + 2 = 7𝑘 ′ − 1 5𝑘 − 7𝑘 ′ + 3 = 0
𝑘 = 7𝑢 − 2
𝑘′ = 5𝑢 − 1
𝑡 𝑛+1
𝑣′(𝑡) = 𝑡 𝑛 => 𝑣(𝑡) =
𝑛 +1
𝑥 𝑥
𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑡 𝑛+1 𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 1 𝑥
=>𝐼𝑛 (𝑥) = [ ] − ∫1 𝑑𝑥 . = [ ] − ∫ 𝑡 𝑛 𝑑𝑥
𝑛 +1 1 𝑡(𝑛 +1) 𝑛 +1 1 𝑛 +1 1
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 1 𝑡 𝑛+1 𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 𝑡 𝑛+1
=[ ] − [ ] = [ ] − [(𝑛 ]
𝑛 +1 1 𝑛 +1 𝑛 +1 1 𝑛 +1 1 +1)2 1
𝑥 𝑥
𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 𝑡 𝑛+1 (𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1
= [ − (𝑛 ] = [ ]
𝑛 +1 +1)2 1 (𝑛 +1)2 1
𝑥
2) En déduisons le calcul de 𝐽𝑛 (𝑥) = ∫1 𝑡 𝑛 (𝑙𝑛𝑡)2 𝑑𝑡
𝑥 𝑥 𝑥
𝐽𝑛 (𝑥) = ∫1 𝑡 𝑛 (𝑙𝑛𝑡)2 𝑑𝑡 = ∫1 𝑡 𝑛 × 𝑙𝑛𝑡 × 𝑙𝑛𝑡 𝑑𝑡 = ∫1 𝑙𝑛𝑡 × 𝑡 𝑛 𝑙𝑛𝑡 𝑑𝑡
1
Posons 𝑢(𝑡) = 𝑙𝑛𝑡 => 𝑢′(𝑡) =
𝑡
𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 𝑥 (𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1
=>𝐽𝑛 (𝑥) = [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡] − ∫1 𝑑𝑥 .
𝑡(𝑛 +1)2
1
𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 𝑥 (𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑡 𝑛+1
= [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡] − ∫1 𝑑𝑥 + ∫1 𝑑𝑥 .
𝑡(𝑛 +1)2 𝑡(𝑛 +1)2
1
𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 𝑥 𝑡 𝑛×𝑙𝑛𝑡 𝑥 𝑡𝑛
= [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡] − ∫1 𝑑𝑥 + ∫1 (𝑛 +1)2
𝑑𝑥 .
𝑛 +1
1
𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 1 𝑥 1 𝑥
= [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡] −
𝑛 +1
∫1 𝑡 𝑛 × 𝑙𝑛𝑡 𝑑𝑥 + (𝑛 +1)2 ∫1 𝑡 𝑛 𝑑𝑥 .
1
𝑥 𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 1 1 𝑡 𝑛+1
= [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡] − 𝐼𝑛 (𝑥) + (𝑛 [ ] .
𝑛 +1 +1)2 𝑛 +1 1
1
𝑥 𝑥 𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 1 (𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 1 𝑡 𝑛+1
= [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡] − [ (𝑛 +1)2
] + (𝑛 [ ] .
𝑛 +1 1 +1)2 𝑛 +1 1
1
𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1
Avec 𝐼𝑛 (𝑥) = [ (𝑛 +1)2
]
1
𝑥
(𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 (𝑛 +1)𝑡 𝑛+1 ×𝑙𝑛𝑡 − 𝑡 𝑛+1 𝑡 𝑛+1
=> 𝐽𝑛 (𝑥) = [[ (𝑛 +1)2
] 𝑙𝑛𝑡 − (𝑛 +1)3
+ (𝑛 3]
+1)
1
𝐼𝑛(𝑒)−𝐽𝑛(𝑒)
b) Déterminons la limite de quand 𝑛 𝑡end vers + ∞.
𝑒 𝑛+1
(𝑛 +1)(𝑒𝑛+1 + 1)+ 2
𝐼𝑛(𝑒)−𝐽𝑛 (𝑒) (𝑛 +1)3 (𝑛 +1)(𝑒 𝑛+1 + 1)+ 2
𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚
𝑒 𝑛+1 𝑒 𝑛+1 (𝑛 +1)3 𝑒 𝑛+1
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
𝑛𝑒 𝑛+1 1
= 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 =0
𝑛3 𝑒 𝑛+1 𝑛2
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
𝐼𝑛 (𝑒)−𝐽𝑛 (𝑒)
D’où 𝑙𝑖𝑚 =0
𝑒 𝑛+1
𝑛 → +∞
II//Dans une classe de terminale 88% des élèves ont déclarés aimer les mathématiques ; 20%
ont déclarés aimer la chimie et 15% ont déclarés aimer les mathématiques et la chimie.
On choisit un élève au hasard.
88
Soit P(𝑀) = 88% = = 0,88 : la probabilité sur le pourcentage des élèves qui déclarent
100
aimer les mathématiques.
20
Soit P(𝐶) = 20% = = 0,2 : la probabilité sur le pourcentage des élèves qui déclarent
100
aimer la chimie.
15
Soit P(𝑀 ∩ 𝐶) = 15% = = 0,15 : la probabilité sur le pourcentage des élèves qui
100
déclarent aimer les mathématiques et la chimie.
Soit P(𝑀̅ ) = 1 − P(𝑀) = 1 − 0,88 = 0,12 ∶ la probabilité de l’évènement contraire de P(𝑀),
c’est-à-dire le pourcentage des élèves qui n’aiment pas les mathématiques.
1) Déterminons la probabilité pour que l’élève aime les mathématiques et pas la chimie
Soit P(𝑀 ∩ 𝐶̅ ) cette probabilité telle que : P(𝑀 ∩ 𝐶̅ ) = P(𝑀) × P(𝐶̅ ) = 0,88 × 0,8 = 0,704
2) Déterminons la probabilité pour que l’élève aime la chimie et pas les mathématiques
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Le problème est composé de l'étude d'une suite de fonctions dépendant d'un paramètre, puis de
la recherche d'une valeur approchée d'une solution d'une équation du type : 𝑓(𝑥) = 𝑥.
Partie A :
Pour tout entier 𝑛 strictement positif, on note 𝑓𝑛 la fonction numérique de la variable réelle
𝑒𝑥
définie sur ℝ−{−1} par : 𝑓𝑛 (𝑥) = (
𝑥 + 1)𝑛
On note (𝐶𝑛) la courbe représentative de𝑓𝑛 dans le plan rapporté à un repère orthonormé (unité
graphique : 2 cm).
𝑒𝑥 𝑒𝑥 𝑒𝑥 𝑒𝑥
=( −𝑛 =( −𝑛
𝑥 + 1)−𝑛 × ( 𝑥 + 1)2𝑛 ( 𝑥 + 1)− 𝑛 +1 × ( 𝑥 + 1)2𝑛 𝑥 + 1)𝑛 ( 𝑥 + 1)𝑛+1
𝑒𝑥 𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( = 𝑙𝑖𝑚 =0
𝑥 + 1)𝑛 𝑥𝑛
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
𝑒𝑥 𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( = 𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑥 + 1)𝑛 𝑥𝑛
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
+∞ 𝑠𝑖 𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑖𝑟𝑒
𝑒𝑥 𝑒 −1
𝑙𝑖𝑚 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( 𝑛 = (0− )𝑛 = {
𝑒𝑡
𝑥 + 1)
−∞ 𝑠𝑖 𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑎𝑖𝑟𝑒
𝑥 → −1− 𝑥 → −1−
+∞ 𝑠𝑖 𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑖𝑟𝑒
𝑒𝑥 𝑒 −1
𝑙𝑖𝑚 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( 𝑛 = (0+ )𝑛 = {
𝑒𝑡
𝑥 + 1)
+∞ 𝑠𝑖 𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑎𝑖𝑟𝑒
𝑥 → −1+ 𝑥 → −1+
3) Démontrons que toutes les courbes (𝐶𝑛 ) passent par un même point.
Soit 𝐴 (𝑥𝑦0) ce point tel que si toutes les courbes (𝐶𝑛 ) passent par un même point , alors on a :
0
𝑓0 (𝑥0 ) = 𝑓1 (𝑥0 ).
𝑒 𝑥0 𝑒 𝑥0 𝑒 𝑥0 1
𝑓0 (𝑥0 ) = 𝑓1 (𝑥0 ) (𝑥 0 =( 𝑒 𝑥0 = 1=
0 + 1) 𝑥0 + 1)1 𝑥0 + 1 𝑥0 + 1
𝑥0 + 1 = 1 => 𝑥0 = 0.
𝑒0 1
𝑦0 = 𝑓1 (0) = ( = = 1 . D’où toutes les courbes (𝐶𝑛 ) passent par un même
0 + 1)1 1
point 𝐴(01).
𝑓𝑛 (𝑥)
4) Déterminons la limite de lorsque 𝑥 tend vers +∞.
𝑥
𝑒𝑥
𝑓𝑛 (𝑥) ( 𝑥 + 1)𝑛 𝑒𝑥 𝑒𝑥 𝑒𝑥 𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑥 𝑥 𝑥( 𝑥 + 1)𝑛 𝑥( 𝑥 + 1)𝑛 𝑥×𝑥 𝑛 𝑥 𝑛+1
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
𝑓𝑛 (𝑥)
=> 𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑥
𝑥 → +∞
On peut en déduis que toutes les courbes (𝐶𝑛 ) admettent l’axe (𝑦′0𝑦) comme direction
parabolique.
y y
3 3
𝐶1
2 2
𝐶2
1 1
-2 -1 0 1 2 x -2 -1 0 1 2 x
-1 -1
-2 -2
Partie B
1
Pour tout entier 𝑛 strictement positif, on note : 𝐼𝑛 = ∫0 𝑓𝑛 𝑑𝑥 .
1 1
Pour tout 𝑥 appartenant à [0 ; 1] ; (𝑥 + 1)𝑛+1 > (𝑥 + 1)𝑛 ( <(
𝑥 + 1)𝑛+1 𝑥 + 1)𝑛
𝑒𝑥 𝑒𝑥
Or 𝑒 𝑥 > 0. Alors on a : ( <( . En intégrant sur [0 ; 1], on a :
𝑥 + 1)𝑛 + 1 𝑥 + 1)𝑛
1 𝑒𝑥 1 𝑒𝑥
∫0 ( 𝑥 + 1)𝑛 + 1
𝑑𝑥 < ∫0 ( 𝑥 + 1)𝑛
𝑑𝑥 𝐼𝑛+1 < 𝐼𝑛 𝐼𝑛+1 − 𝐼𝑛 < 0.
0 ≤𝑥≤1
1 ≤𝑥+1 ≤2
1 ≤ (𝑥 + 1)𝑛 ≤ 2𝑛
1 1
≤( ≤1
2𝑛 𝑥 + 1)𝑛
𝑒𝑥 𝑒𝑥
≤( ≤ 𝑒 𝑥 . En intégrant sur [0 ; 1] ; on a :
2𝑛 𝑥 + 1)𝑛
1 𝑒𝑥 1 𝑒𝑥 1 1 1 1
∫0 𝑑𝑥 ≤ ∫0 𝑑𝑥 ≤ ∫0 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ∫0 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ≤ 𝐼𝑛 ≤ ∫0 𝑒 𝑥 𝑑𝑥
2𝑛 ( 𝑥 + 1)𝑛 2𝑛
1 𝑒−1
[𝑒 𝑥 ]10 ≤ 𝐼𝑛 ≤ [𝑒 𝑥 ]10 ≤ 𝐼𝑛 ≤ 𝑒 − 1. Alors La suite (𝐼𝑛 ) est majorée.
2𝑛 2𝑛
1 1 1
∫0 𝑓 ′ 𝑛 (𝑥)𝑑𝑥 = ∫0 𝑓𝑛 (𝑥)𝑑𝑥 − 𝑛 ∫0 𝑓𝑛+1 (𝑥) 𝑑𝑥 [𝑓𝑛 (𝑥) ]10 = 𝐼𝑛 − 𝑛𝐼𝑛+1
[𝑓𝑛 (1) − 𝑓𝑛 (0) ]10 = 𝐼𝑛 − 𝑛𝐼𝑛+1 [𝑓𝑛 (1) − 𝑓𝑛 (0) ]10 = 𝐼𝑛 − 𝑛𝐼𝑛+1
𝑒
− 1 = 𝐼𝑛 − 𝑛𝐼𝑛+1 .
2𝑛
𝑒
D’où la relation entre 𝐼𝑛 et 𝐼𝑛+1 est : 𝐼𝑛 − 𝑛𝐼𝑛+1 = −1
2𝑛
Partie C :
On pose : 𝑛 = 2.
1
1) Démontrons que l'équation 𝑓2(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique 𝛼 dans l'intervalle [ ; 1]
2
1
Sur l’intervalle [ ; 1] ; ℎ est dérivable et strictement décroissante, donc ℎ réalise une bijection
2
1 1
de [ ; 1] vers l’intervalle [ ℎ(1) ; ℎ ( )] = [−0,32 ; 0,22].
2 2
1
Donc l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une unique solution notée 𝛼, dans l'intervalle [ ; 1] telque
2
ℎ(𝛼) = 0. Or ℎ(𝑥) = 𝑓2(𝑥) − 𝑥. Par conséquent l’équation 𝑓2(𝑥) − 𝑥 = 0 𝑓2(𝑥) = 𝑥
admet une solution unique 𝛼 telle que 𝑓 2(𝛼) = 𝛼
1 1
De plus ℎ ( ) × ℎ(1) < 0. Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires, 𝛼 ∈ [ ; 1]
2 2
1
2) Etudions les variations de 𝑓′2 dans [ ; 1] et en déduisons que pour tout nombre réel
2
1
𝑥 appartenant à l'intervalle [ ; 1] ; on a : 0 ≤ |𝑓′2 (𝑥) |≤ 0,25
2
𝑒𝑥 (𝑥 2 − 1)𝑒 𝑥 (𝑥 2 − 2𝑥 + 3 )𝑒 𝑥
𝑓2 (𝑥) = ( => 𝑓′2 (𝑥) = et 𝑓′′2 (𝑥) = > 0.
𝑥 + 1)2 ( 𝑥 + 1)4 ( 𝑥 + 1)4
1
D’où ∀ 𝑥 ∈ 𝐷𝑓′2 ; 𝑓 ′′ 2 (𝑥) > 0. Par conséquent 𝑓′2 est strictement croissante sur [ ; 1].
2
1 1
D’où si ≤ 𝑥 ≤ 1 ; on a : 𝑓′2 ( ) ≤ 𝑓′2 (𝑥) ≤ 𝑓′2 (1) −0,25 ≤ 𝑓′2 (𝑥) ≤ 0
2 2
1
En appliquant la valeur absolue, on a : 0 ≤ |𝑓′2 (𝑥) |≤ 0,25 0 ≤ |𝑓′2 (𝑥) |≤
4
1 1
D’où ∀𝑥 ∈ [ ; 1] ; on a : 0 ≤ |𝑓′2 (𝑥) |≤ (Ce qu’il fallait Démontre).
2 4
𝑢 =0
3) Soit (𝑢𝑛 ), 𝑛 ∈ ℕ la suite définie par{ 0
𝑢𝑛+1 = 𝑓2 (𝑢𝑛 )
1
a-Montrons que pout tout 𝑛 ∈ ℕ∗ ; on a : 𝑢𝑛 ∈ [ ; 1]
2
1
Pour 𝑛 = 0 ; on a : 𝑢1 = 𝑓2 (𝑢0 ) = 𝑓2 (0) = 1 ∈ [ ; 1]. Vraie
2
1
Supposons la relation ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ , 𝑢𝑛 ∈ [ ; 1] est vraie et montrons qu’elle est vraie à l’ordre
2
1
𝑛 + 1 c'est-à-dire ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ , 𝑢𝑛+1 ∈ [ ; 1]
2
1 1 1
On sait que 𝑥 ∈ [ ; 1] , 𝑓2 (𝑥) ∈ [ ; 1] et 𝑢𝑛 ∈ [ ; 1]. En posant 𝑥 = 𝑢𝑛 , on a :
2 2 2
1 1
𝑓2 (𝑢𝑛 ) ∈ [ ; 1] 𝑢𝑛+1 ∈ [ ; 1] car 𝑓2 (𝑢𝑛 ) = 𝑢𝑛+1 .
2 2
1
Conclusion : pout tout 𝑛 ∈ ℕ∗ ; on a : 𝑢𝑛 ∈ [ ; 1] (Ce qu’il fallait démontrer).
2
1
On sait que d’après la question C.2, on a : |𝑓′2 (𝑥) |≤ .
4
1 1
|𝑓2 (𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼| . En posant𝑥 = 𝑢𝑛 , on a : |𝑓2 (𝑢𝑛 ) − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|
4 4
1
Or 𝑓2 (𝑢𝑛 ) = 𝑢𝑛+1 . D’où |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼| (Ce qu’il fallait démontrer).
4
1 1 𝑛
c- En déduisons que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
2 4
1 1
On sait que 𝛼 ∈ [ ; 1] ≤ 𝛼 ≤ 1 et 𝑢0 = 0
2 2
1
Il vient que : 𝑢0 − ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 𝑢0 − 1
2
1
|𝑢0 − 1| ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤ |𝑢0 − |
2
1
|𝑢0 − 1| ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤
2
1 1 1 0
=>|𝑢0 − 𝛼| ≤ |𝑢0 − 𝛼| ≤ ( ) . D’où la relation est vraie à l’ordre 𝑛 = 0
2 2 4
1 1 𝑛
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) Puis montrons qu’elle est vraie à l’ordre 𝑛 + 1 c’est-à-dire ∀ 𝑛 ∈ ℕ ;
2 4
1 1 𝑛+1
on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ ( )
2 4
1
D’après Partie C 3) b), on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
4
1 1 1 1 𝑛
Par suite |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ [ ( ) ]
4 4 2 4
1 1 𝑛+1
D’où |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ ( )
12 4
1 1 𝑛
Conclusion : tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) .(Ce qu’il fallait démontrer).
2 4
1 1 𝑛
La suite de terme général ( ) est convergente ∀ 𝑛 ∈ ℕ et converge donc vers 0.
2 4
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
Sujet 8 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// Un Champ a la forme d'un trapèze dont les deux bases mesurent respectivement 119𝑚 et
91𝑚; les deux autres cotés mesurent 56𝑚 et 35𝑚. Pour la clôture, le propriétaire Mr
DEMBELE a besoin des poteaux de support à égale distance mesurée en nombre entier de
mètre pour un nombre minimum de poteaux, avec un poteau à chaque sommet.
II// Dans un village, on choisit une personne au hasard (tous les choix sont équiprobables).
On désigne par :
- 𝐻 L’évènement : ≪ Cette personne est un homme≫.
- 𝐵 L’évènement : ≪ Cette personne a les yeux bleus≫.
- 𝑀 L’évènement : ≪ Cette personne a les yeux marron𝑠 ≫.
- 𝑉 L’évènement : ≪ Cette personne a les yeux verts≫.
̅∩𝐵 ; 𝐻
𝐻∩𝐵; 𝐻∩𝑀;𝐻∩𝑉 ; 𝐻 ̅∩𝑀 ; 𝐻
̅∩𝑉 ; 𝐻
̅ ∩ 𝐵̅ .
1 3 2 1
2) On donne : P(𝐻) = ; P(𝐵) = ; P(𝑀) = ; P(𝑉) =
2 4 7 5
̅ ∩ 𝐵) ; P(𝐻
Calcule : P(𝐻 ∩ 𝐵) ; P(𝐻 ∩ 𝑀) ; P(𝐻 ∩ 𝑉) ; P(𝐻 ̅ ∩ 𝑀) ; P(𝐻
̅ ∩ 𝐵̅ )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑀𝐴 𝑀𝐴2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴3 + ⋯ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴𝑛 ‖ = 𝑛
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
L'objectif de ce problème est l'étude complète de la fonction numérique 𝑓 définie pour tout
nombre réel 𝑥 différent de −1 par :
1
𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + | 𝑠𝑖 𝑥 ≠ 0
{ 𝑥
𝑓(𝑥) = 0
On notera (𝐶𝑓)la représentation graphique de 𝑓 dans le plan muni d'un repère orthogonal
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
2𝑥 +1 1
Soit 𝑔 la fonction numérique définie par : 𝑔(𝑥) = −2𝑙𝑛 |1 + |
𝑥(𝑥 + 1) 𝑥
1
3) Calcule 𝑔 (− ) puis démontre que l'on a :
2
1 1
∀ 𝑥 ∈ ]−∞ ; −1[ ∪ ]− ; 0[ ; 𝑔(𝑥) < 0 et ∀ 𝑥 ∈ ]−1 ; − [ ∪ ]0 ; +∞[ ; 𝑔(𝑥) > 0
2 2
𝑡2 𝑡2 𝑡3
ℎ ∶ 𝑡 → 𝑙𝑛(1 + 𝑡) − (𝑡 − ) et 𝑘 ∶ 𝑡 → 𝑙𝑛(1 + 𝑡) − (𝑡 − + )
2 2 3
Après une brève étude sur [0 ; +∞[ des fonctions ℎ et 𝑘 ; Démontre que :
𝑡2 𝑡2 𝑡3
∀ 𝑡 ≥ 0 ; on a : 𝑡 − ≤ 𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤ 𝑡 − +
2 2 3
𝑡−𝑙𝑛(1 + 𝑡) 1
2) En déduis que 𝑙𝑖𝑚 =
𝑡2 2
𝑡 →0
1
3) En utilisant les résultats précédents, Démontre que 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) =
2
𝑥 → −∞
2) Etudie la continuité de 𝑓 en 0
7) Montre que l'équation 𝑓(𝑥) = 0 a pour solutions 0 et 𝛽 avec −0,8 < 𝛽 < −0,7.
56 𝑚 35 𝑚
119 𝑚
𝑃𝐺𝐶𝐷 (7 × 17 ; 7 × 13 ; 7 × 8 ; 7 × 5) = 7 × PGCD(17 ; 13 ; 8 ; 5) = 7
119 + 91 + 56 + 35
Ce nombre de poteaux correspond à : = 43
7
II// Dans un village, on choisit une personne au hasard (tous les choix sont équiprobables).
On désigne par :
- 𝐻 L’évènement : ≪ Cette personne est un homme≫.
- 𝐵 L’évènement : ≪ Cette personne a les yeux bleus≫.
- 𝑀 L’évènement : ≪ Cette personne a les yeux marron𝑠 ≫.
- 𝑉 L’évènement : ≪ Cette personne a les yeux verts≫.
̅ ∩ 𝐵 est l’évènement : ≪ Cette personne est une femme 𝑒𝑡 𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑙𝑒𝑢𝑒𝑠 ≫.
𝐻
̅ ∩ 𝑀 est l’évènement : ≪ Cette personne est une femme 𝑒𝑡 𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 marron𝑠 ≫.
𝐻
̅ ∩ 𝑉 est l’évènement : ≪ Cette personne est une femme 𝑒𝑡 𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 verts ≫.
𝐻
̅ ∩ 𝐵̅ est l’évènement : ≪ Cette personne est une femme 𝑒𝑡 𝑛′ 𝑎 𝑝𝑎𝑠𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑙𝑒𝑢𝑒𝑠 ≫.
𝐻
1 3 2 1
2) On donne : P(𝐻) = ; P(𝐵) = ; P(𝑀) = ; P(𝑉) =
2 4 7 5
̅ ∩ 𝐵) ;
Calculons : P(𝐻 ∩ 𝐵) ; P(𝐻 ∩ 𝑀) ; P(𝐻 ∩ 𝑉) ; P(𝐻 ̅ ∩ 𝑀) ; P(𝐻
P(𝐻 ̅ ∩ 𝐵̅)
1 3 3
P(𝐻 ∩ 𝐵) = P(𝐻) × P(𝐵) = × =
2 4 8
1 2 1
P(𝐻 ∩ 𝑀) = P(𝐻) × P(𝑀) = × =
2 7 7
1 1 1
P(𝐻 ∩ 𝑉) = P(𝐻) × P(𝑉) = × =
2 5 10
2𝑘𝜋 2𝑘𝜋
𝑧𝑘 = 𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( ) Avec 𝑘 ∈ {1 ; 2 ; … . . ; (𝑛 − 1)}. Donc :
𝑛 𝑛
2𝜋 2𝜋
𝑍1 = 𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( )
𝑛 𝑛
4𝜋 4𝜋 2𝜋 2𝜋 2𝜋 2𝜋 2
𝑍2 = 𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( ) = 𝑐𝑜𝑠2 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛2 ( ) = [𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( )] = 𝑍12
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛
6𝜋 6𝜋 2𝜋 2𝜋 2𝜋 2𝜋 3
𝑍3 = 𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( ) = 𝑐𝑜𝑠3 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛3 ( ) = [𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( )] = 𝑍13
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛
2𝜋 2𝜋 𝑛
=> 𝑍𝑛 = [𝑐𝑜𝑠 ( ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ( )] = 𝑍1𝑛
𝑛 𝑛
En introduisant le point 𝐴1 , on a :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴1 + (𝐺𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐴2 ) + ⋯ + (𝐺𝐴 𝐴1 𝐴𝑛 ) = ⃗0⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐴2 + ⋯ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐴𝑛 = 0⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑛𝐺𝐴 𝐴1 𝐴2 + ⋯ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐴𝑛 = ⃗0⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 = −(𝐴
𝑛𝐺𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
1 𝐴2 + ⋯ + 𝐴1 𝐴𝑛 ) = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
−𝑛𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
1 𝐺 = −(𝐴1 𝐴2 + ⋯ + 𝐴1 𝐴𝑛 ) = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑛𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
1 𝐺 = (𝐴1 𝐴2 + ⋯ + 𝐴1 𝐴𝑛 ) = 0
1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐺 = (𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
1 𝐴2 + ⋯ + 𝐴1 𝐴𝑛 )
𝑛
3) Déterminons l’ensemble des points 𝑀 du plan tel que :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑀𝐴 𝑀𝐴2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴3 + ⋯ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴𝑛 ‖ = 𝑛
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a ‖𝑀𝐴 𝑀𝐴2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴3 + ⋯ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴𝑛 ‖ = 𝑛
‖∑ 𝛼𝑛 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐺 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴3 + ⋯ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴𝑛 ‖ = 𝑛
‖∑ 𝛼𝑛 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐺 + 0 ⃗⃗‖ = 𝑛 (Car ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴2 +𝐺𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗3 + ⋯ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴𝑛 = 0 ⃗⃗ )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 𝑛 𝑛‖𝑀𝐺
‖𝑛𝑀𝐺 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 𝑛 ‖𝑀𝐺
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 1 𝑀𝐺 = 1.
Alors l’ensemble des points 𝑀 du plan cherché est le cercle de centre 𝐺 et de rayon 𝑟 = 1.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
L'objectif de c e problème est l'étude complète de la fonction numérique 𝑓 définie pour tout
nombre réel 𝑥 différent de −1 par :
1
𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + | 𝑠𝑖 𝑥 ≠ 0
{ 𝑥
𝑓(𝑥) = 0
On notera (𝐶𝑓)la représentation graphique de 𝑓 dans le plan muni d'un repère orthogonal
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
2𝑥 +1 1
Soit 𝑔 la fonction numérique définie par : 𝑔(𝑥) = −2𝑙𝑛 |1 + |
𝑥(𝑥 + 1) 𝑥
1
D𝑔 = {𝑥 / 𝑥 ∈ ℝ ; 𝑥(𝑥 + 1) ≠ 0 𝑒𝑡 1 + ≠ 0} => D𝑔 = ℝ − {0 ; −1}
𝑥
2𝑥 +1 1 2𝑥 1 2 1
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 −2𝑙𝑛 |1 + | = 𝑙𝑖𝑚 −2𝑙𝑛 |1 + | = 𝑙𝑖𝑚 −2𝑙𝑛 |1 + | = 0
𝑥(𝑥 + 1) 𝑥 𝑥2 𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
2𝑥 +1 1 2𝑥 1 2 1
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 −2𝑙𝑛 |1 + | = 𝑙𝑖𝑚 −2𝑙𝑛 |1 + | = 𝑙𝑖𝑚 −2𝑙𝑛 |1 + | = 0
𝑥(𝑥 + 1) 𝑥 𝑥2 𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
2𝑥 +1 1 −1
𝑔(𝑥) = −2𝑙𝑛 |1 + | => 𝑔′(𝑥) = et ∀ 𝑥 ∈ ℝ − {0 ; −1} ; on a : 𝑔′(𝑥) < 0
𝑥(𝑥 + 1) 𝑥 𝑥 2 (𝑥 + 1)2
1
𝑥 −∞ −1 0 +∞
2
𝑔′(𝑥) − − −
0
𝑔(𝑥) 0
0
1
3) Calculons 𝑔 (− )
2
1
𝑔 (− ) = 0
2
1 1
∀ 𝑥 ∈ ]−∞ ; −1[ ∪ ]− ; 0[ ; 𝑔(𝑥) < 0 et ∀ 𝑥 ∈ ]−1 ; − [ ∪ ]0 ; +∞[ ; 𝑔(𝑥) > 0
2 2
𝑡2 𝑡2 𝑡3
ℎ ∶ 𝑡 → 𝑙𝑛(1 + 𝑡) − (𝑡 − ) et 𝑘 ∶ 𝑡 → 𝑙𝑛(1 + 𝑡) − (𝑡 − + )
2 2 3
Après une brève étude sur [0 ; +∞[ des fonctions ℎ et 𝑘 ; démontrons que :
𝑡2 𝑡2 𝑡3
∀ 𝑡 ≥ 0 ; on a : 𝑡 − ≤ 𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤ 𝑡 − +
2 2 3
𝑡2
- Etude brève de ℎ(𝑡) = 𝑙𝑛(1 + 𝑡) − (𝑡 − ) sur l’intervalle [0 ; +∞[
2
𝑡2
ℎ′(𝑡) = => ∀ 𝑡 ∈ ; [0 ; +∞[ ℎ′(𝑡) ≥ 0. Alors ℎ est croissante sur ℝ+ .
1+𝑡
𝑡2
De plus ℎ(0) = 0. Donc ∀ 𝑡 ≥ 0 ; on a : ℎ(𝑡) ≥ 0 et par suite 𝑡 − ≤ 𝑙𝑛(1 + 𝑡)
2
𝑡2 𝑡3
- Etude brève de 𝑘(𝑡) = 𝑙𝑛(1 + 𝑡) − (𝑡 − + ) sur l’intervalle [0 ; +∞[
2 3
𝑡3
𝑘′(𝑡) = − => ∀ 𝑡 ∈ ; [0 ; +∞[ 𝑘′(𝑡) ≤ 0. Alors 𝑘 est croissante sur ℝ+ .
1+𝑡
𝑡2 𝑡3
De plus 𝑘(0) = 0. Donc ∀ 𝑡 ≥ 0 ; on a : 𝑘(𝑡) ≤ 0 et par suite 𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤ 𝑡 − +
2 3
𝑡2 𝑡2 𝑡3
Conclusion ∀ 𝑡 ≥ 0 ; on a : 𝑡 − ≤ 𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤ 𝑡 − +
2 2 3
𝑡2 𝑡2 𝑡3
D’après ce qui précède, on a : 𝑡 − ≤ 𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤ 𝑡 − +
2 2 3
𝑡2 𝑡3 𝑡2
−𝑡 + − ≤ −𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤ −𝑡 +
2 3 2
𝑡2 𝑡3 𝑡2
− ≤ 𝑡 − 𝑙𝑛(1 + 𝑡) ≤
2 3 2
1 𝑡 𝑡−𝑙𝑛(1+𝑡) 1
− ≤ ≤
2 3 𝑡2 2
1 𝑡 1 1 1
𝑙𝑖𝑚 − = et 𝑙𝑖𝑚 =
2 3 2 2 2
𝑡→0 𝑡→0
𝑡 − 𝑙𝑛(1 + 𝑡) 1
Alors d’après le théorème des gendarmes, on a : 𝑙𝑖𝑚 =
𝑡2 2
𝑡→0
1
3) En utilisant les résultats précédents, démontrons que 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) =
2
𝑥 → −∞
1 1 1 1 1
𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + |. Posons 𝑥 = => 𝑓 ( ) = − 𝑙𝑛(1 + 𝑡).
𝑥 𝑡 𝑡 𝑡 𝑡2
𝑡 − 𝑙𝑛(1 + 𝑡) 1 𝑡 − 𝑙𝑛(1 + 𝑡) 1
Alors 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 = De même 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 =
𝑡2 2 𝑡2 2
𝑥 → +∞ 𝑡→0 𝑥 → −∞ 𝑡→0
𝑥 → +∞ 𝑥 → −∞
1
Alors la droite d’équation 𝑦 = est asymptote horizontale à la courbe (𝐶𝑓)
2
1
𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + |
𝑥
1) Déterminons D𝑓
1
D𝑓 = {𝑥 / 𝑥 ∈ ℝ ; 𝑥 ≠ 0 𝑒𝑡 1 + ≠ 0} => D𝑓 = ℝ − {0 ; −1}
𝑥
Calculons la limite de 𝑓 en −1
1 1
∀𝑥 ∈ D𝑓 ; 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + | et on a : 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 |1 + | = −∞
𝑥 𝑥
𝑥 → −1
Donc 𝑙𝑖𝑚𝑓(𝑥) = +∞
𝑥 → −1
2) Etudions la continuité de 𝑓 en 0
𝑥 →0
1 𝑥+1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + | = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 | |
𝑥 𝑥
𝑥 →0 𝑥 →0 𝑥 →0
𝑥 →0 𝑥 →0
𝑥 →0
𝑓(𝑥)− 𝑓(0)
𝑓 est dérivable en 0 si et seulement si 𝑙𝑖𝑚 = 𝑓′(0) = 1
𝑥−0
𝑥 →0
1
𝑓(𝑥)− 𝑓(0) 𝑓(𝑥) 𝑥− 𝑥 2 𝑙𝑛|1 + 𝑥 | 1
𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 1 − 𝑥𝑙𝑛 |1 + |
𝑥−0 𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 →0 𝑥 →0 𝑥 →0 𝑥 →0
𝑥 →0 𝑥 →0
𝑓(𝑥)− 𝑓(0)
Donc 𝑙𝑖𝑚 =1
𝑥−0
𝑥 →0
1 2𝑥 +1 1
∀𝑥 ∈ D𝑓 ; 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥 2 𝑙𝑛 |1 + | => 𝑓′(𝑥) = −2𝑥𝑙𝑛 |1 + |
𝑥 𝑥+1 𝑥
2𝑥 +1 1
=> 𝑓′(𝑥) = 𝑥 [ − 2𝑙𝑛 |1 + | ] => 𝑓′(𝑥) = 𝑥 × 𝑔(𝑥) (Ce qu’il fallait Démontre )
𝑥(𝑥 + 1) 𝑥
1 1
∀ 𝑥 ∈ ]−∞ ; −1[ ∪ ]− ; 0[ ∪ ]0 ; +∞[ ; 𝑓′(𝑥) > 0 et ∀ 𝑥 ∈ ]−1 ; − [ ; 𝑓′(𝑥) < 0
2 2
1
𝑥 −∞ −1 − 0 +∞
2
𝑔′(𝑥) + − 0 + +
1
+∞ + ∞ −
2
𝑔(𝑥)
0
1 1
−
2 2
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = +∞. Alors la droite d’équation 𝑥 = −1 est asymptote verticale à la courbe (𝐶𝑓).
𝑥 → −1
1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = . Alors la droite d’équation 𝑦 = est asymptote verticale à la
2 2
𝑥 → +∞ 𝑥 → −∞ Courbe (𝐶𝑓).
7) Montrons que l'équation 𝑓(𝑥) = 0 a pour solutions 0 et 𝛽 avec −0,8 < 𝛽 < −0,7.
1 1 1
- ∀ 𝑥 ∈ ]−1 ; − ] ; 𝑓 est continue et strictement décroissante de ]−1 ; − ] vers [− ; +∞[
2 2 2
Alors l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛽 telle que 𝑓(𝛽) = 0
𝑓(−0,8) = 0, 𝑂87
- De plus { => 𝑓(−0,8) × 𝑓(−0,7) < 0
𝑓(−0,7) = −0,28
De même :
1 1 1 1
∀ 𝑥 ∈ ]− ; +∞[ ; 𝑓 est continue et strictement croissante de ]− ; +∞[ vers ]− ; [
2 2 2 2
Alors l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛿 telle que 𝑓(𝛿) = 0
Or 𝑓(0) = 0 donc 𝛿 = 0
Conclusion : l'équation 𝑓(𝑥) = 0 a pour solutions 0 et 𝛽 avec −0,8 < 𝛽 < −0,7.
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
II// Un bloc métallique est déposé dans un four dont la température constante est de 1000°C.
La température 𝜃 est une fonction du temps 𝑡 (𝑒𝑛 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠) qui vérifie l’équation différentielle
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) , unité graphique : 2 𝑐𝑚.
Partie A :
Soit 𝑔 la fonction numérique définie sur ]– 𝜋 ; 0[ par 𝑔(𝑥) = 𝑐𝑜𝑥 2 𝑥 + 𝑐𝑜𝑠𝑥 − 1.
1) a) Montrer que 𝑔 est dérivable sur ]– 𝜋 ; 0[ et que 𝑔′(𝑥) = −(1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥.
2𝜋
b) En déduire que 𝑔′(𝑥) ≤ 0 pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; − ] et que 𝑔′(𝑥) ≥ 0 pour tout
3
2𝜋
𝑥 ∈ [− ; 0[.
3
𝑥 → +∞
4(1−𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠𝑥 1
b) Montrer que pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, on a : 𝑓(𝑥) = + en déduire que
1−𝑐𝑜𝑠2𝑥 2
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = +∞
𝑥 → −𝜋
c) En déduire les asymptotes de la courbe (𝐶𝑓).
4) a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ puis en déduire le sens de variation de 𝑓 sur
]0 ; +∞[.
4𝑔(𝑥)
b) Montrer que pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, on a : 𝑓′(𝑥) = puis en déduire le sens
1+𝑐𝑜𝑠𝑥
de variation de 𝑓
sur ]– 𝜋 ; 0[.
Partie C :
1
On admet que tout 𝑥 ∈ [1,5 ; 2], on a : 0 ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ (𝑹).
2
2) Soit ℎ la fonction numérique définie sur [1,5 ; 2] par : ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝑥.
Etudier les variations de ℎ puis en déduire que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une solution
unique 𝛼 ∈ [1,5 ; 2].
𝑢 = 1,5
3) Soit (𝑢𝑛 ) la suite numérique définie par : { 0 pour tout 𝑛 ∈ ℕ.
𝑢𝑛+1 = 𝑓(𝑢𝑛 )
a) Montrer par récurrence que pour tout 𝑛 ∈ ℕ, 𝑢𝑛 ∈ [1,5 ; 2]. (On pourra utiliser la
relation (𝑹))
1
b) Montrer que ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ ; on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛−1 − 𝛼| et que :
2
1 1 𝑛+1
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼| ≤ ( )
2𝑛 0 2
1 𝑛+1
c) En déduire par récurrence que ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ , on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
2
e) Déterminer un entier 𝑝 tel que pour 𝑛 ≥ 𝑝 on ait ∶ |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ 10−3 puis donné à l'aide de
la calculatrice une valeur approchée de 𝑢𝑝 à 10−3 près.
D276 = {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 6 ; 12 ; 23 ; 46 ; 69 }
➢ 𝑎•𝑏 = 𝑚•∆
Ainsi il existe deux entiers 𝑎’et 𝑏’ premiers entre eux (PGCD ( 𝑎’ ; 𝑏’ ) = 1) tel que :
➢ 𝑎 = 𝑎’ • ∆ et 𝑏 = 𝑏’ • ∆ => 𝑎 • 𝑏 = ∆2 • 𝑎′𝑏′
2
=> ∆ • 𝑎′𝑏′ = 𝑚 • ∆ <=> 𝑚 = 𝑎′𝑏′ • ∆
Or 0 < ∆ < 30 <=> ∆ ∈ { 12 ; 23 }car l’ensemble des diviseurs de 276 comprises entre 0 et
30 sont : 12 et 23
Or 𝑎 = 12𝑎’ et 𝑏 = 12𝑏’
𝑎′ 4 5 20 1
𝑏′ 5 4 1 20
𝑎 48 60 240 12
𝑏 60 48 12 240
Or 𝑎 = 23𝑎’ et 𝑏 = 23𝑏’
𝑎′ 9 1
𝑏′ 1 9
𝑎 207 23
𝑏 23 207
2 2
c) {𝑎 − 𝑏 = 405
3𝑚 = 𝑎 • 𝑏
➢ 𝑎•𝑏 = 𝑚•𝑑
Ainsi il existe deux entiers 𝑎’ et 𝑏’ premiers entre eux (PGCD ( 𝑎’ ; 𝑏’ ) = 1) tel que :
➢ 𝑎 = 𝑎’ • 𝑑 et 𝑏 = 𝑏’ • 𝑑
Alors le système devient :
𝑎′ − 𝑏 ′ = 1 𝑎′ − 𝑏 ′ = 5
{ ′ ou { ′ ( Car PGCD( 𝑎’ ; 𝑏’ ) = 1 ) Ainsi :
𝑎 + 𝑏 ′ = 45 𝑎 + 𝑏′ = 9
𝑎′ − 𝑏 ′ = 1 𝑎′ = 23 𝑎 = 69
Pour { ′ ′ , on a : { ′ => { =>𝑆1 = {( 69 ; 66 )}
𝑎 + 𝑏 = 45 𝑏 = 22 𝑏 = 66
𝑎′ − 𝑏 ′ = 5 𝑎′ = 7 𝑎=7
Pour { ′ ′ , on a : { ′ => { =>𝑆1 = {( 7 ; 6 )}
𝑎 + 𝑏 =9 𝑏 =2 𝑏=6
=> 𝑺 = {( 69 ; 66 ) ; ( 7 ; 6 )}
II//Un bloc de métallique est déposé dans un four dont la température constante est de 1000°C.
La température 𝜃 est une fonction du temps 𝑡 (𝑒𝑛 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠) qui vérifie l’équation différentielle
On sait que 𝑦(𝑡) = 𝜃(𝑡) − 1000 => 𝜃(𝑡) = 𝑦(𝑡) + 1000 𝜃(𝑡) = 𝐴𝑒 −𝑘𝑡 + 1000
−840 7 7
𝑒 −𝑘 = −960
𝑒 −𝑘 = 8
−𝑘 = 𝑙𝑛 (8)
7 8
𝜃(𝑡) = −960 𝑒 𝑡𝑙𝑛(8) + 1000 ou 𝜃(𝑡) = −960 𝑒 −𝑡𝑙𝑛(7) + 1000
7 500 𝑙𝑛(500 ) 7
𝑡𝑙𝑛 (8) ≤ 𝑙𝑛 ( 960 ) => 𝑡 ≥ 960
car 𝑙𝑛 ( ) < 0 => 𝑡 ≥ 5. D’où 𝑇 = 5 heures.
𝑙𝑛(78) 8
𝑥𝑖 2 4 6 8
1 1 3 1
P(X = 𝑥𝑖 ) −
4 16 4 16
Soit l’application affine 𝑓 : P → P qui à tout point 𝑀 (𝑦𝑥 ) → 𝑀′ (𝑦𝑥 ) tel que :
1 √3
𝑥′ = 𝑥 − 𝑦+1
2 2
{
√3 1
𝑦′ = 𝑥 + 𝑦 − √3
2 2
1 √3
−
La matrice de 𝑓 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀 = (2 2
) et le déterminant associé à cette
√3 1
2 2
1 √3
−
Matrice est : 𝑑𝑒𝑡𝑀 = |2 2
|
√3 1
2 2
1 √3
− 1 3
𝑑𝑒𝑡𝑀 = | 2 2
| + = 1 ≠ 0. Alors 𝑓 est bijective.
√3 1 4 4
2 2
𝑥′ = 𝑥
𝑓 Admet un point invariant si et seulement si 𝑓(𝑀) = 𝑀 c’est-à-dire {
𝑦′ = 𝑦
1 √3
𝑥= 𝑥− 𝑦+1 𝑥 + 𝑦√3 = 2
2 2
=> { {
√3 1 −𝑥√3 + 𝑦 = −2√3
𝑦 = 𝑥 + 𝑦 − √3
2 2
𝑓 est une isométrie si et seulement si son expression analytique est sous la forme :
𝑥 ′ = 𝑎𝑥 − 𝑏𝑦 + 𝑐 1 √3
{ ′ C’est-à-dire si 𝑑𝑒𝑡𝑀 = 𝑎2 + 𝑏 2 = 1 avec 𝑎 = et 𝑏 = −
𝑦 = 𝑏𝑥 + 𝑎𝑦 + 𝑐′ 2 2
1 √3 1 √3
𝑥′ = 𝑥 − 𝑦+1 − 1 2 √3
2
2 2
On a 𝑓 : { => 𝑑𝑒𝑡𝑀 = |2 2
|=( ) +( ) =1
√3 1 √3 1 2 2
𝑦′ = 𝑥 + 𝑦 − √3
2 2 2 2
2
1 2 √3
D’où 𝑓 est une isométrie et cette isométrie est positive car 𝑎2 + 𝑏 2 = ( ) + ( ) = 1
2 2
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) , unité graphique : 2 𝑐𝑚.
Partie A :
1) Soit 𝑔 la fonction numérique définie sur ]– 𝜋 ; 0[ par 𝑔(𝑥) = 𝑐𝑜𝑥 2 𝑥 + 𝑐𝑜𝑠𝑥 − 1.
a) Montrons que 𝑔 est dérivable sur ]– 𝜋 ; 0[ et que 𝑔′(𝑥) = −(1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥.
𝑔 est la somme de deux fonctions dérivables sur ]– 𝜋 ; 0[ , alors 𝑔 est donc dérivable sur
]– 𝜋 ; 0[.
𝑔(𝑥) = 𝑐𝑜𝑥 2 𝑥 + 𝑐𝑜𝑠𝑥 − 1 => 𝑔′(𝑥) = 2(−𝑠𝑖𝑛𝑥)𝑐𝑜𝑠𝑥 − 𝑠𝑖𝑛𝑥 = −2𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠𝑥 − 𝑠𝑖𝑛𝑥 =
−(1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥.
D’où 𝑔′(𝑥) = −(1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥.
2𝜋
b) En déduisons que 𝑔′(𝑥) ≤ 0 pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; − ] et que 𝑔′(𝑥) ≥ 0 pour tout 𝑥 ∈
3
2𝜋
[− ; 0[.
3
∀𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[ , −𝑠𝑖𝑛𝑥 > 0 alors le signe de 𝑔′(𝑥) dépend de celui de 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥. Posons 1 +
1 𝜋 𝜋
2𝑐𝑜𝑠𝑥 = 0 𝑐𝑜𝑠𝑥 = − 𝑐𝑜𝑠𝑥 = −𝑐𝑜𝑠 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 𝑐𝑜𝑠 (𝜋 − ).
2 3 3
𝛼 = 𝛽 + 2𝑘𝜋
Or 𝑐𝑜𝑠𝛼 = 𝑐𝑜𝑠𝛽 { 𝑜𝑢 avec 𝑘 ∈ ℤ
𝛼 = −𝛽 + 2𝑘𝜋
𝜋 2𝜋
𝑥 = (𝜋 − ) + 2𝑘𝜋 𝑥 = + 2𝑘𝜋
𝜋 3 3
Donc 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 𝑐𝑜𝑠 (𝜋 − ) { 𝑜𝑢 avec 𝑘 ∈ ℤ { 𝑜𝑢 𝑘∈ℤ
3 𝜋 2𝜋
𝑥 = − (𝜋 − ) + 2𝑘𝜋 𝑥 = − + 2𝑘𝜋
3 3
2𝜋
Puisque 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, alors la seule valeur à retenir est 𝑥 = − + 2𝑘𝜋
3
2𝜋 2𝜋
Etudions ainsi le signe de 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 sur ]– 𝜋 ; − ] et sur [− ; 0[.
3 3
2𝜋 2𝜋 𝜋
Sur ]– 𝜋 ; − ] , on a : −𝜋 < 𝑥 ≤ − 𝑐𝑜𝑠(𝜋) < 𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ −𝑐𝑜𝑠
3 3 3
2𝜋 1
𝑐𝑜𝑠(−𝜋) < 𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ 𝑐𝑜𝑠 (− ) −1 < 𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ −
3 2
2𝜋
𝑐𝑜𝑠(𝜋) < 𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ 𝑐𝑜𝑠 ( ) −2 < 2𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ −1
3
𝜋
𝑐𝑜𝑠(𝜋) < 𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ 𝑐𝑜𝑠 (𝜋 − ) −1 < 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ 0
3
2𝜋
Donc ∀𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; − ] , 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ 0
3
2𝜋
Etudions ainsi le signe de 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 sur [− ; 0[
3
2𝜋 2𝜋 𝜋
Sur [− ; 0[ , on a : − ≤ 𝑥 < 0 −𝑐𝑜𝑠 ( ) ≤ 𝑐𝑜𝑠𝑥 < 𝑐𝑜𝑠(0)
3 3 3
2𝜋 1
𝑐𝑜𝑠 (− ) ≤ 𝑐𝑜𝑠𝑥 < 𝑐𝑜𝑠(0) − ≤ 𝑐𝑜𝑠𝑥 < 1
3 2
2𝜋
𝑐𝑜𝑠 ( ) ≤ 𝑐𝑜𝑠𝑥 < 𝑐𝑜𝑠(0) −1 ≤ 2𝑐𝑜𝑠𝑥 < 2
3
𝜋
𝑐𝑜𝑠 (𝜋 − ) ≤ 𝑐𝑜𝑠𝑥 < 𝑐𝑜𝑠(0) 0 ≤ 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 < 3
3
2𝜋
Donc ∀𝑥 ∈ [− ; 0[ , 1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 ≥ 0
3
2𝜋 2𝜋
Par conséquent 𝑔′(𝑥) ≤ 0 pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; − ] et 𝑔′(𝑥) ≥ 0 pour tout 𝑥 ∈ [− ; 0[.
3 3
c) Dressons le tableau de variation de 𝑔.
𝑥 2𝜋
−𝜋 −
3
𝛽 0
−𝑠𝑖𝑛𝑥 + +
1 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 − 0 +
𝑔′(𝑥) − 0 +
−1 1
𝑔(𝑥)
0
5
−
4
2𝜋
- Pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; − ], 𝑔 est définie continue et strictement décroissante
3
2𝜋 2𝜋 2𝜋
sur ]– 𝜋 ; − ]. Donc 𝑔 réalise une bijection de ]– 𝜋 ; − ] vers 𝑔 (]– 𝜋 ; − ]) =
3 3 3
5 5
[− ; −1[. Comme 0 ∉ [− ; −1[ , alors l’équation 𝑔(𝑥) = 0 n’admet pas de
4 4
2𝜋
solution dans ]– 𝜋 ; − ].
3
2𝜋
- Pour tout 𝑥 ∈ [− ; 0[, 𝑔 est définie continue et strictement croissante
3
2𝜋 2𝜋
sur [− ; 0[. Donc 𝑔 réalise une bijection de [− ; 0[ vers
3 3
2𝜋 5 5
𝑔 ([− ; 0[ . ) = [− ; 1[. Comme 0 ∈ [− ; −1[ , alors l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une
3 4 4
2𝜋
solution unique 𝛽 dans [− ; 0[
3
𝜋 𝜋
Montrons que 𝛽 ∈ ]− ; − [
3 4
𝜋 1
𝑔 (− ) = −
3 4
𝑒𝑡 𝜋 𝜋
=> 𝑔 (− ) × 𝑔 (− ) < 0.
3 4
𝜋 √2−1
{𝑔 (− 4) = 2
𝜋 𝜋
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires, 𝛽 ∈ ]− ;− [
3 4
Conclusion :
𝜋 𝜋
L’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛽 sur ]– 𝜋 ; 0[ avec 𝛽 ∈ ]− ;− [ .
3 4
Partie B :
Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ]– 𝜋 ; +∞[ par :
2𝑠𝑖𝑛(2𝑥) 1
𝑓(𝑥) = + 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0]
1+𝑐𝑜𝑠𝑥 2
{ 𝑒𝑡
3
𝑓(𝑥) = 2 − 3𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[
𝑒 +1
1) Etudions la continuité de 𝑓 en 0.
2𝑠𝑖𝑛(2𝑥) 1 2(0) 1 1 1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( + )= + =0+ =
1+𝑐𝑜𝑠𝑥 2 1+0 2 2 2
𝑥 → 0− 𝑥 → 0−
Continuité à droite :
3 3 3 1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( 2 − )=2− =2− =
𝑒3𝑥 +1 1+1 2 2
𝑥 → 0+ 𝑥 → 0+
𝟏
Puis que 𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) = 𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) = 𝒇(𝟎) = . Alors 𝒇 est continue en 0.
𝟐
𝒙 → 𝟎− 𝒙 → 𝟎+
2) Etudions la dérivabilité de 𝑓 en 0.
𝑓(𝑥)−𝑓(0) 𝑓(𝑥)−𝑓(0)
𝑓 est continue en 0 si et seulement si 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚
𝑥−0 𝑥−0
𝑥 → 0− 𝑥 → 0+
Dérivabilité à gauche :
2𝑠𝑖𝑛(2𝑥) 1 1
𝑓(𝑥)−𝑓(0) + − 2𝑠𝑖𝑛(2𝑥) 4𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠𝑥
1+𝑐𝑜𝑠𝑥 2 2
𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚
𝑥−0 𝑥 𝑥(1+𝑐𝑜𝑠𝑥) 𝑥(1+𝑐𝑜𝑠𝑥)
𝑥 → 0− 𝑥 → 0− 𝑥 → 0− 𝑥 → 0−
𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑐𝑜𝑠𝑥 1
= 𝑙𝑖𝑚 4 × =4×1× =2
𝑥 1+𝑐𝑜𝑠𝑥 2
−
𝑥→0
𝑓(𝑥)−𝑓(0)
Donc 𝑙𝑖𝑚 =2
𝑥−0
−
𝑥→0
Dérivabilité à droite :
3 1 3 3 3 2
2− 3𝑥 − − (1− 3𝑥 )
𝑓(𝑥)−𝑓(0) 𝑒 +1 2 2 𝑒3𝑥 +1 2 𝑒 +1
𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚
𝑥−0 𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 → 0+ 𝑥 → 0+ 𝑥 → 0+ 𝑥 → 0+
3 𝑒3𝑥 −1 9 𝑒3𝑥 −1 1 9 1 9
= 𝑙𝑖𝑚 × 3𝑥 = 𝑙𝑖𝑚 × × 3𝑥 = ×1× =
2 𝑥(𝑒 +1) 2 3𝑥 𝑒 −1 2 2 4
𝑥 → 0+ 𝑥 → 0+
𝑓(𝑥)−𝑓(0) 9
Donc 𝑙𝑖𝑚 =
𝑥−0 4
𝑥 → 0+
𝒇(𝒙)−𝒇(𝟎) 𝒇(𝒙)−𝒇(𝟎)
Puis que 𝒍𝒊𝒎 ≠ 𝒍𝒊𝒎 . Alors 𝒇 n’est pas dérivable en 0.
𝒙−𝟎 𝒙−𝟎
− +
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
La courbe (𝐶𝑓) admet au point d’abscisse 0 deux demi-tangentes (𝑇1 ) et (𝑇2 ) de coefficients
9
directeurs respectifs 2 à gauche de 0 et à droite de 0.
4
𝑥 → +∞
3
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 ( 2 − 3𝑥 ) = 2 − 0 = 2
𝑒 +1
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
4(1−𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠𝑥 1
b) Montrons que pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, on a : 𝑓(𝑥) = +
1−𝑐𝑜𝑠2𝑥 2
4(1−𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠𝑥 1 4(1−𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠𝑥 1
𝑙𝑖𝑚 ( + ) = 𝑙𝑖𝑚 ( + )
1−𝑐𝑜𝑠2𝑥 2 𝑠𝑖𝑛2𝑥 2
𝑥 → −𝜋 𝑥 → −𝜋
4(1−𝑐𝑜𝑠𝑥)𝑐𝑜𝑠𝑥 1 −8 1
= 𝑙𝑖𝑚 ( + )= + = +∞
𝑠𝑖𝑛𝑥 2 0 2
𝑥 → −𝜋
3 3𝑒3𝑥
Pour tout 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ , on a : 𝑓(𝑥) = 2 − => ′(𝑥) = 2 > 0.
𝑒3𝑥 +1 3𝑥
(𝑒 +1)
En déduisons le sens de variation de 𝑓 sur ]0 ; +∞[.
4𝑔(𝑥)
b) Montrons que pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, on a : 𝑓′(𝑥) =
1+𝑐𝑜𝑠𝑥
2𝑠𝑖𝑛(2𝑥) 1
Pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[ , on a : 𝑓(𝑥) = +
1+𝑐𝑜𝑠𝑥 2
𝑋 3 + 2𝑋 2 − 1 = (𝑋 + 1)(𝑋 2 + 𝑋 − 1)
(𝑐𝑜𝑠𝑥+1)(𝑐𝑜𝑠2 𝑥+𝑐𝑜𝑠𝑥−1)
Donc pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, 𝑓′(𝑥) = 4 × (1+𝑐𝑜𝑠𝑥)2
𝑔(𝑥) 4𝑔(𝑥)
=4×( =(
1+𝑐𝑜𝑠𝑥)2 1+𝑐𝑜𝑠𝑥)2
4
Pour tout 𝑥 ∈ ]– 𝜋 ; 0[, ( > 0. Alors le signe de 𝑓′(𝑥) dépend du signe 𝑔(𝑥).
1+𝑐𝑜𝑠𝑥)2
Or d’après Partie A 2) b) , on a :
𝑥 −𝜋 𝛽 0 +∞
𝑓′(𝑥) − 0 +
+∞ 2
𝑓(𝑥) 1
2
𝑓(𝛽)
3y
-3 -2 -1 0
x 1 2 3 x
-1
-2
-3
Partie C :
1
On admet que tout 𝑥 ∈ [1,5 ; 2], on a : 0 ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ (𝑹).
2
1) Soit ℎ la fonction numérique définie sur [1,5 ; 2] par : ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝑥.
1
ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝑥 => ℎ′(𝑥) = 𝑓′(𝑥) − 1 . Or ′(𝑥) ≤ < 1. D’où ℎ′(𝑥) < 0 et par conséquent
2
ℎ est strictement décroissante sur [1,5 ; 2].
En déduisons que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique 𝛼 ∈ [1,5 ; 2].
3
ℎ(1,5) = 𝑓(1,5) − 1,5 = 0,5 − 4,5 ≈ 0,45
e +1
𝑒𝑡 => ℎ(1,5) × ℎ(2) < 0.
−3
{ ℎ(2) = 𝑓(2) − 2 = −0,007 = −7. 10
ℎ est continue et strictement décroissante sur [1,5 ; 2]. Alors ℎ réalise une bijection de [1,5 ; 2]
sur ℎ([1,5 ; 2]) = [−7 • 10−3 ; 0,45]. 0 ∈ [−7 • 10−3 ; 0,45], donc 0 admet un antécédent
unique 𝛼 ∈ [1,5 ; 2] telque ℎ(𝛼) = 0 et par conséquent l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une
solution unique 𝛼. Or ℎ(𝑥) = 0 𝑓(𝑥) = 𝑥.
D’où pour tout 𝑥 ∈ [1,5 ; 2], 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique 𝛼 ∈ [1,5 ; 2]
𝑢 = 1,5
2) Soit (𝑢𝑛 ) la suite numérique définie par : { 0 pour tout 𝑛 ∈ ℕ.
𝑢𝑛+1 = 𝑓(𝑢𝑛 )
a) Montrons par récurrence que pour tout 𝑛 ∈ ℕ, 𝑢𝑛 ∈ [1,5 ; 2]. (On pourra utiliser la
relation (𝑹))
1 𝛼
0 ≤ [𝑓(𝑥)]𝛼𝑢𝑛 ≤ [ 𝑥]
2 𝑢𝑛
1
0 ≤ 𝑓(𝛼) − 𝑓(𝑢𝑛 ) ≤ (𝛼 − 𝑢𝑛 )
2
1
0 ≤ 𝛼 − 𝑢𝑛+1 ≤ (𝛼 − 𝑢𝑛 )
2
1
𝛼 ≤ 𝛼 − 𝑢𝑛+1 + 𝛼 ≤ (𝑢 − 𝛼) + 𝛼
2 𝑛
1
𝛼 ≤ 𝑢𝑛+1 ≤ (𝑢𝑛 + 𝛼). Or 𝑢𝑛 ≤ 2 et 𝛼 ≤ 2 => 𝑢𝑛 + 𝛼 ≤ 4. Donc :
2
1
1,5 ≤ 𝛼 ≤ 𝑢𝑛+1 ≤ (𝑢 + 𝛼) ≤ 2 => 1,5 ≤ 𝑢𝑛+1 ≤ 2
2 𝑛
Ainsi 𝑢𝑛+1 ∈ [1,5 ; 2] et par conséquent 𝑃𝑛+1 vraie.
𝑢𝑛 𝑛 𝑢 𝑛 𝑢 1
∫𝛼 0 𝑑𝑥 ≤ ∫𝛼 𝑓′(𝑥) 𝑑𝑥 ≤ ∫𝛼 2 𝑑𝑥
𝑢 1 𝑢𝑛
0 ≤ [𝑓(𝑥)]𝛼𝑛 ≤ [ 𝑥]
2 𝛼
1
0 ≤ 𝑓(𝑢𝑛 ) − 𝑓(𝛼) ≤ (𝑢 − 𝛼)
2 𝑛
1
0 ≤ 𝑢𝑛+1 − 𝛼 ≤ (𝑢 − 𝛼)
2 𝑛
1
𝛼 ≤ 𝑢𝑛+1 ≤ (𝑢𝑛 + 𝛼). Or 𝑢𝑛 ≤ 2 et 𝛼 ≤ 2 => 𝑢𝑛 + 𝛼 ≤ 4. Par suite :
2
1
1,5 ≤ 𝛼 ≤ 𝑢𝑛+1 ≤ (𝑢 + 𝛼) ≤ 2 => 1,5 ≤ 𝑢𝑛+1 ≤ 2
2 𝑛
De même 𝑢𝑛+1 ∈ [1,5 ; 2] et par conséquent 𝑃𝑛+1 vraie.
1
b) Montrons que ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ ; on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛−1 − 𝛼| et que :
2
1 1 𝑛+1
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤
𝑛 |𝑢0 − 𝛼| ≤ ( )
2 2
1
Pour tout 𝑥 ∈ [1,5 ; 2] ; on a : 𝑓′(𝑥) ≤ et 𝑓′ est continue sur [1,5 ; 2] ; de même :
2
𝑢 1 1
|∫𝛼 𝑛−1 𝑓′(𝑥) 𝑑𝑥| ≤ |𝑢𝑛−1 − 𝛼|. Soit |𝑓(𝑢𝑛−1 ) − 𝑓(𝛼)| ≤ |𝑢𝑛−1 − 𝛼|
2 2
1
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛−1 − 𝛼|
2
1
Considérons la propriété 𝑃𝑛 la propriété : ∀ 𝑛 ∈ ℕ ; |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼| .
2𝑛 0
1
- Pour 𝑛 = 0 , on a : |𝑢0 − 𝛼| ≤ |𝑢0 − 𝛼|. D’où 𝑃0 vraie.
20
1 1
=> |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ ( ) ( |𝑢 − 𝛼|)
2 2𝑛 0
1
=> |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢0 − 𝛼| et par conséquent 𝑃𝑛+1 vraie.
2𝑛+1
1
Par suite ∀ 𝑛 ∈ ℕ ; |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼| .
2𝑛 0
1 𝑛+1
c) En déduisons par récurrence que ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ , on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
2
1
De ce qui précède on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼| .
2𝑛 0
𝑢0 − 2 ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 𝑢0 − 1,5 . Or 𝑢0 = 1,5
1
−0,5 ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 0− ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 0
2
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 124
Sujets de Bac
1
|𝑢0 − 𝛼| ≤ .
2
𝑛+1
1
Ce qui donne alors |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤
2𝑛
• 12 |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ (12)
1 𝑛+1
D’où ∀ 𝑛 ∈ ℕ∗ , on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
2
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
1 𝑛+1
On sait que |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) .
2
1 𝑛+1
Pour avoir |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ 10−3 ; il suffit d’avoir ( ) ≤ 10−3 . Or 𝑎𝑝 = 𝑒 𝑝𝑙𝑛𝑎
2
1 𝑛+1 (𝑛+1)𝑙𝑛
1
(𝑛+1)𝑙𝑛
1
=> ( ) ≤ 10−3 𝑒 2 ≤ 10−3 𝑙𝑛 [𝑒 2 ] ≤ 𝑙𝑛10−3
2
1
(𝑛 + 1)𝑙𝑛 ≤ −3𝑙𝑛10 −(𝑛 + 1)𝑙𝑛2 ≤ −3𝑙𝑛10 (𝑛 + 1)𝑙𝑛2 ≥ 3𝑙𝑛10
2
=> 𝑛 ≥ 9
𝜋 𝑠𝑖𝑛𝑥
2) Soit la fonction définie sur [0 ; ] par : 𝑓(𝑥) = .
4 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥
𝜋 3 2
a) Montre que ∀ 𝑥 ∈ [0 ; ] on a : 𝑓 ′(𝑥) = − .
4 𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥
c) Calcule J.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
𝑒𝑥
On considère la fonction 𝑓, définie sur l'intervalle ]−1 ; + ∞[ par 𝑓(𝑥) = (1
+ 𝑥)2
On désigne par (C) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan rapporté à un repère orthonormal
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗)
b) Calcule la limite de cette fonction lorsque 𝑥 tend vers – 1. Que peut – on en déduis pour la
courbe (C) ?
𝑥− 1
2) Calcule 𝑓 ′(𝑥) et Montre que son signe est celui de
𝑥+ 1
5) Montre que l'équation 𝑓(𝑥) = 1 admet une unique solution, notée α, dans l'intervalle
[1; 10].
Utilise le graphique précédent pour Donne deux nombres entiers consécutifs 𝑎 et 𝑏 tels que 𝛼
appartient à l’intervalle [𝑎 ; 𝑏].
𝑒𝑥
1) Soit 𝑔 la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par 𝑔(𝑥) =
𝑥+ 1
2
c) En déduis un encadrement de A1 = ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥
2) Soit A2 l'aire, en unités d'aire, du domaine délimité par les droites d'équations
respectives 𝑥 = 1 et 𝑥 = 2, la courbe (C) et l'axe des abscisses.
Pour cette partie, on utilisera sans justification le fait que l'équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 a une unique
1
solution 𝛽 et que celle – ci est élément de l'intervalle [ ; 1]
2
𝑒𝑥
Soit ℎ la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par ℎ(𝑥) =
( 1+ 𝑥)3
1) a) Vérifie que, pour tout x appartenant à ]−1 ; + ∞[, on a : 𝑓 ′(𝑥) = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥).
a) Calcule ℎ′(𝑥).
1 1
2) En déduis que, pour tout 𝑥 appartenant [ ; 1] à, on a : |𝑓′(𝑥)| ≤
2 4
1
a) Montre que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|
4
1 𝑛
b) Montre par récurrence que, pour tout nombre entier nature𝑙 𝑛, on a : |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( )
4
Soient 𝑥 ; 𝑦 ; 𝑧 et 𝑡 les 4 chiffres qui composent la date de naissance du grand-père tel que :
𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 𝑡 = 23
D’autre part le chiffre des centaines est inférieur de 1 à celui des dizaines et celui-ci dépasse de
4 celui des unités, donc on a : 𝑧 = 𝑦 + 1 et 𝑧 = 𝑡 + 4
𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 𝑡 = 23 𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 𝑡 = 23
=> {𝑧 = 𝑦 + 1 {𝑦 = 𝑧 − 1
𝑧 =𝑡+4 𝑡 =𝑧−4
𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 𝑡 = 23
On a : 𝑥 + (𝑧 − 1) + 𝑧 + (𝑧 − 4) = 23 𝑥 + 3𝑧 − 5 = 23 𝑥 + 3𝑧 = 28
Donc 𝑥 ≡ 1[3] 𝑥 = 3𝑘 + 1
𝑥=1
𝑦=8
Si 𝑘 = 0, on a : {
𝑧=9
𝑡=5
1895 12
11 157 12
1 13 12
1 1 12
1 0
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 129
Sujets de Bac
En recopiant la suite des différents restes du bas vers le haut et sachant que 𝛽=11, on obtient :
𝑖𝑍
II// Soit 𝑓 l’application de ℂ− {− 𝑖} dans ℂ définie par :𝑓(Z) = . Dans le plan complexe
𝑍+𝑖
⃗⃗⃗⃗, 𝑣⃗), on note M le point d’affixe 𝑍.
rapporté au repère ortho normal direct(𝑜, 𝑢
1) Déterminons les coordonnées du point 𝐵 dont l’affixe 𝑍𝐵 et telle que 𝑓(𝑍𝐵 ) = 1 + 2𝑖
𝑖𝑍𝐵
𝑓(𝑍𝐵 ) = 1 + 2𝑖 = 1 + 2𝑖 𝑖𝑍𝐵 = (1 + 2𝑖 )(𝑍𝐵 + 𝑖) 𝑖𝑍𝐵 = 𝑍𝐵 + 𝑖 + 2𝑖𝑍𝐵 − 2
𝑍𝐵 + 𝑖
2−𝑖
𝑖𝑍𝐵 − 𝑍𝐵 − 2𝑖𝑍𝐵 = −2 + 𝑖 𝑍𝐵 (1 + 𝑖) = 2 − 𝑖 => 𝑍𝐵 =
1+𝑖
1 − 3𝑖 1 3
=> 𝑍𝐵 = = −2𝑖
2 2
1
2
D’où 𝐵 ( )
− 32
𝑖𝑍 𝑖𝑍− 𝑖𝑍 + 1 1 1 1
|𝑓(𝑧) – 𝑖 | = | – 𝑖|=| | = |𝑍 + 𝑖| = |𝑍 + 𝑖| or |𝑍 + 𝑖| = 𝑟 => |𝑓(𝑧) – 𝑖 | = 𝑟
𝑍+𝑖 𝑍+𝑖
𝑖𝑍 𝑖𝑍− 𝑖𝑍 + 1 1
𝑎𝑟𝑔(𝑓(𝑧) – 𝑖) = 𝑎𝑟𝑔 ( – 𝑖 ) = 𝑎𝑟𝑔 ( ) = 𝑎𝑟𝑔 ( ) = −𝑎𝑟𝑔(𝑍 + 𝑖) = −𝛼
𝑍+𝑖 𝑍+𝑖 𝑍+𝑖
1
𝑓(𝑧) – 𝑖 = [𝑐𝑜𝑠(−𝛼) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(−𝛼)]
𝑟
Posons 𝑍𝐴 + 𝑖 = 0 => 𝑍𝐴 = −𝑖
0 √2
Alors l’ensemble (𝛤) des points M cherchés est le cercle de centre Ω(−1 ) et de rayon 𝑟 =
2
2 2 √2
1
|𝑍𝐵 − 𝑍𝐴 | = |(
2
− 32 𝑖) − (−𝑖 )| = |12 − 32 𝑖 + 𝑖| = |12 − 12 𝑖| = √(12 ) + (− 12 ) = =𝑟
2
1) Calculons 𝐼
𝜋 𝜋
1 𝜋
𝐼 = ∫04 𝑑𝑥 => 𝐼 = [𝑡𝑎𝑛(𝑥)]04 = 𝑡𝑎𝑛 ( ) − 𝑡𝑎𝑛(0) = 1
𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 4
=> 𝐼 = 1
𝜋 𝑠𝑖𝑛𝑥
2) Soit la fonction définie sur [0 ; ] par : 𝑓(𝑥) = .
4 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥
𝜋 3 2
a- Montrons que ∀ 𝑥 ∈ [0 ; ] on a : 𝑓 ′(𝑥) = − .
4 𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥
𝑠𝑖𝑛𝑥
𝑓(𝑥) = .
𝑐𝑜𝑠3 𝑥
3 2𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 3 2 3 2
= − = − . D’où 𝑓 ′(𝑥) = − .
𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥
3 2 𝜋
On sait que : 𝑓 ′(𝑥) = − . En intégrant 𝑓 ′(𝑥) sur [0 ; ] ; on a :
𝑐𝑜𝑠 4 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 4
𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
3 2 1 1
∫04 𝑓 ′(𝑥) 𝑑𝑥 = ∫04 𝑐𝑜𝑠4 𝑥 𝑑𝑥 − ∫04 𝑐𝑜𝑠2 𝑥 𝑑𝑥 = 3 ∫04 𝑐𝑜𝑠4 𝑥 𝑑𝑥 −2 ∫04 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 𝑑𝑥
𝜋 𝜋 𝜋
𝜋
∫04 𝑓 ′(𝑥) 𝑑𝑥 = 3𝐽 − 2𝐼. Or ∫04 𝑓 ′(𝑥) 𝑑𝑥 = [𝑓(𝑥)]04 = 𝑓 ( 4 ) − 𝑓(0) = 2
=> 3𝐽 − 2𝐼 = 2
c- Calculons 𝐽.
2 2 2 2 4 4
3𝐽 − 2𝐼 = 2 => 𝐽 = + 𝐼 = + (1) = . D’où 𝐽 =
3 3 3 3 3 3
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
𝑒𝑥
On considère la fonction 𝑓, définie sur l'intervalle ]−1 ; + ∞[ par 𝑓(𝑥) = (1
+ 𝑥)2
On désigne par (C) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan rapporté à un repère orthonormal
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗)
𝑒𝑥 𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 (1 + 𝑥)2
= 𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑥2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
𝑒𝑥 𝑒 −1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 (1 + 𝑥)2
= = +∞
0+
𝑥 → −1 𝑥 → −1
On peut en déduis que la courbe (C) admet une possibilité d’asymptote oblique et admet la
droite d’équation 𝑥 = −1 comme asymptote verticale.
𝑥− 1
2) Calculons 𝑓 ′(𝑥) et Montre que son signe est celui de
𝑥+ 1
𝑒 𝑥 (𝑥−1) 𝑒𝑥 𝑥− 1
= (1 = (1 ×
+ 𝑥)3 + 𝑥)2 𝑥 + 1
𝑒𝑥 𝑥− 1
Or ∀ 𝑥 ∈ 𝐷𝑓 ; (1 > 0. Alors le signe de 𝑓 ′(𝑥) dépend du signe de .
+ 𝑥)2 𝑥+ 1
𝑥− 1
Etudions le signe de . Posons 𝑥 − 1 = 0 et 𝑥 + 1 = 0
𝑥+ 1
=> 𝑥 = 1 et 𝑥 = −1
𝑥− 1
D’où le tableau de signe de est le suivant :
𝑥+ 1
𝑥 −1 1 +∞
𝑥 −1
− 0 +
𝑥+1 0
3) Dressons le tableau de variation de𝑓.
𝑥 −1 1 +∞
𝑓′(𝑥) − 0 +
+∞ +∞
𝑓(𝑥)
𝑒
4
y
6
4 𝐶𝑓
1
𝑦=1
-1 0 1 2 α 3 4 5 6 7 8 x
-1
𝑦 = −𝑥 + 1
-2
5) Montrons que l'équation 𝑓(𝑥) = 1 admet une unique solution, notée 𝛼, dans l'intervalle
[1 ; 10].
Sur l’intervalle [1 ; 10] ; 𝑓 est dérivable et strictement croissante, donc 𝑓 réalise une bijection
𝑒 𝑒 10
de [1 ; 10] vers l’intervalle [ 𝑓(1); 𝑓(10)] = [ ; ] = [0,67 ; 182,03].
4 121
𝑒 𝑒 10
Nous en déduisons 1 appartient à l’intervalle[ ; ]. Donc l’équation 𝑓(𝑥) = 1 admet une
4 121
Utilisons le graphique précédent pour Donne deux nombres entiers consécutifs 𝑎 et 𝑏 tels que
appartient à l’intervalle [𝑎 ; 𝑏].
Ainsi à l’aide du graphique, nous remarquons 𝛼 appartient à l’intervalle[𝑎 ; 𝑏] = [2 ; 3].
𝑒𝑥
1) Soit 𝑔 la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par 𝑔(𝑥) =
𝑥+ 1
𝑔 est dérivable sur [1 ; 2] comme quotient des deux fonctions dérivables non nulles :
𝑥𝑒 𝑥
𝑥 → 𝑒 𝑥 et 𝑥 → 1 + 𝑥 ; et nous avons 𝑔′(𝑥) = (𝑥 .
+ 1)2
De plus 𝑔′(𝑥) est strictement positif sur [1 ; 2] , alors 𝑔 est strictement croissante.
𝑒 𝑒2
Or 𝑔(1) = ≈ 1,35 et 𝑔(2) = ≈ 2,46. Nous avons : 𝑔(1) > 1 et 𝑔(2) < 2,5.
4 3
2 2 𝑒𝑥
c-En déduisons un encadrement de 𝐴1 = ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 = ∫1 𝑑𝑥
𝑥+ 1
Nous avons : 1 < 2 et 1 ≤ 𝑔(𝑥) ≤ 2,5; d’après les théorèmes d’encadrement d’nue
2 2 2
intégrale nous déduisons que : ∫1 1𝑑𝑥 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ ∫1 2,5𝑑𝑥
2 2
[𝑥]12 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ [2,5𝑥]12 2 − 1 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ (2 − 1) × 2,5
2
1 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 2,5 1 ≤ 𝐴1 ≤ 2,5
2) Soit A2 l'aire, en unités d'aire, du domaine délimité par les droites d'équations respectives
𝑥 = 1 et 𝑥 = 2, la courbe (C) et l'axe des abscisses.
La fonction 𝑓 est positive sur [1 ; 2] , donc l’aire 𝐴2 cherchée est donnée par :
2 𝑒𝑥
𝐴2 = ∫1 (1 + 𝑥)2
𝑑𝑥
1 1
𝑣′(𝑥) = (1 => 𝑣(𝑥) = −
+ 𝑥)2 1+ 𝑥
𝑒𝑥 2 2 𝑒𝑥 𝑒2 𝑒
=>𝐴2 = [− ] + ∫1 𝑑𝑥 = − + + 𝐴1
1+ 𝑥 1 1+ 𝑥 3 2
𝑒2 𝑒
=>𝐴2 = 𝐴1 − +
3 2
En déduisons un encadrement de 𝐴2 .
𝑒2 𝑒 𝑒2 𝑒
Or 𝐴2 = 𝐴1 − + => 𝐴1 = 𝐴2 + −
3 2 3 2
𝑒2 𝑒 𝑒2 𝑒 𝑒2 𝑒
Alors 1 ≤ 𝐴1 ≤ 2,5 1 ≤ 𝐴2 + − ≤ 2,5 1 − + ≤ 𝐴2 ≤ 2,5 − +
3 2 3 2 3 2
Pour cette partie, on utilisera sans justification le fait que l'équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 a une unique
1
solution 𝛽 et que celle – ci est élément de l'intervalle [ ; 1]
2
𝑒𝑥
Soit ℎ la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par ℎ(𝑥) = (
1+ 𝑥)3
1) a- Vérifions que, pour tout 𝑥 appartenant à ]−1 ; + ∞[, on a : 𝑓 ′(𝑥) = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥).
𝑒𝑥 𝑒𝑥
= (1 − 2 (1 = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥).
+ 𝑥)2 + 𝑥)3
b-Calculons ℎ′(𝑥).
( 𝑥 − 1)𝑒 𝑥 ( 𝑥 − 2)𝑒 𝑥
𝑓′(𝑥) = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥) => 𝑓′′(𝑥) = 𝑓′(𝑥) – 2ℎ′(𝑥) = (1 + 𝑥)3
– 2 (1
+ 𝑥)4
( 𝑥 2 − 2𝑥 + 3)𝑒 𝑥
=> 𝑓′′(𝑥) = (1 + 𝑥)4
1
En déduisons le sens de variation de 𝑓 ′ dans l'intervalle [ ; 1]
2
Pour tout 𝑥 de l’intervalle ]−1 ; +∞[ ; 𝑥 2 − 2𝑥 + 3 est positif, donc 𝑓′′(𝑥) est strictement
1 1
positif sur [ ; 1], nous en déduisons que 𝑓′ est strictement croissante sur [ ; 1]
2 2
1 1
2) En déduisons que, pour tout 𝑥 appartenant à [ ; 1] , on a : |𝑓′(𝑥)| ≤
2 4
1 1
𝑥∈[ ; 1] ≤ 𝑥 ≤ 1.
2 2
1 1
D’autre part 𝑓′ est strictement croissante sur [ ; 1] , donc pour tout 𝑥 ∈ [ ; 1] ; on a :
2 2
1
1 4𝑒 2 1
𝑓′ ( ) ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 𝑓′(1) − ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0 −0,24 ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0 − ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0
2 27 4
1 1
0 ≤ |𝑓′(𝑥)| ≤ |− | 0 ≤ |𝑓′(𝑥)| ≤
4 4
1 1
Alors pour tout 𝑥 appartenant à [ ; 1] , on a : |𝑓′(𝑥)| ≤ (Ce qu’il fallait Démontre)
2 4
1
On admet que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : ≤ 𝑢𝑛 ≤ 1.
2
1
a-Montrons que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|
4
1
Puis que |𝑓′(𝑥)| ≤ , alors d’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis, on a :
4
1 1
|𝑓(𝑥) − 𝑓(𝛽)| ≤ |𝑥 − 𝛽| . Or 𝑓(𝛽) = 𝛽. => |𝑓(𝑥) − 𝛽| ≤ |𝑥 − 𝛽|
4 4
1 1
D’où ∀ 𝑥 ∈ [ ; 1] ; on a : |𝑓(𝑥) − 𝛽| ≤ |𝑥 − 𝛽|
2 4
1
Posons 𝑢𝑛 = 𝑥 . Alors on a : |𝑓(𝑢𝑛 ) − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|. Or 𝑓(𝑢𝑛 ) = 𝑢𝑛+1
4
1
D’où pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|
4
1 𝑛
b-Montre par récurrence que, pour tout nombre entier nature𝑙 𝑛, on a : |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( )
4
1 1 0
- si 𝑛 = 0; 𝑢0 = 1 et 𝛽 ∈ [ ; 1]. Alors |1 − 𝛽| ≤ 1 = ( ) vraie ∀ 𝑥 ∈ ℕ.
2 4
1 𝑛
- Supposons que la propriété est vraie au rang 𝑛, c’est-à-dire |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( ) et montrons
4
1 𝑛+1
qu’elle est vraie au rang 𝑛 + 1, c’est-à-dire |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ ( )
4
En utilisant le résultat de la question précédente, nous pouvons écrire :
1 1 𝑛+1
|𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽| |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ ( ) .
4 4
1 𝑛
Conclusion : pour tout nombre entier nature𝑙 𝑛, on a : |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( )
4
1 𝑛
Cherchons 𝑛 tel que |𝑢𝑛 − 𝛽| < 10−3 . D’après ce qui précède, il suffit que ( ) soit inférieur à
4
−3 1 −3 −3 −3 𝑙𝑛10−3
10 si 𝑛𝑙𝑛 ( ) < 𝑙𝑛10 −𝑛𝑙𝑛4 < 𝑙𝑛10 𝑛𝑙𝑛4 > −𝑙𝑛10 => 𝑛 > −
4 𝑙𝑛4
Sujet 11 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
1) a) Détermine, suivant les valeurs de 𝑛, le reste de la division par 7 de l’entier 3𝑛 .
d) Quel est le chiffre des unités de l’entiers naturels 71980 écrit dans le système décimal ?
1) Montre que l’équation 𝑝(𝑍) = 0 admet une solution réelle 𝑍0 que tu détermineras.
a- Détermine l’affixe de 𝐺1 .
4) On pose 𝑈𝑛 = 𝑍𝑛 + 1.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A
A l’instant 𝑡 = 0 on injecte dans le sang d’un patient une dose de 3ml d’un médicament. On
veut étudier le processus d’élimination du produit au cours des douze heures suivant
l’injection. La quantité de médicament présente dans le sang en 𝑚𝑙 en fonction du temps 𝑡 en
heures est 𝑓(𝑡), où 𝑓 est définie sur [0 ; 12]par : 𝑓(𝑡) = 3e−0,1t .
1) Déterminez 𝑓 ’(𝑡) et justifier que pour tout 𝑡[0 ; 12] , 𝑓 ’(𝑡) < 0.
3) Calcule 𝑓(2) ; 𝑓(3) ; 𝑓(4) ; 𝑓(6) 𝑒𝑡 𝑓(8). Que représente chacune de ces valeurs ?
Partie B
Le médicament est inefficace lorsque la quantité contenue dans le sang est inférieure à
𝟏, 𝟐𝟓𝒎𝒍, ainsi on procède à une seconde injection
1°/ Au bout de combien de temps on procèdera à la seconde injection ?
(On Déterminera ce temps graphiquement et par calcul).
2°/ On rappelle que le seuil de toxicité du médicament est de 𝟒, 𝟓𝒎𝒍.
Le patient court –il un risque d’intoxication par le médicament à la seconde injection ?
Partie C
Soit l’application affine 𝑇𝛼 : P → P qui à tout point 𝑀 (𝑦𝑥 ) → 𝑀′ (𝑦𝑥 ) tel que :
1
𝑥 ′ = − 𝑥 − 𝛼𝑦
2
{ 1 où α est un paramètre réel.
𝑦 ′ = 𝛼𝑥 − 𝑦
2
1) Montre que ∀ α ∈ ℝ, 𝑇𝛼 est bijective et admet un unique point invariant que l’on Précisera.
2) Montre qu’il existe une valeur unique de α pour laquelle 𝑇𝛼 est une homothétie H dont
Précisera le centre et le rapport.
3) a- Montre qu’il existe deux valeurs de α pour lesquelles 𝑇𝛼 est une isométrie.
b- Vérifie que ces deux isométries sont réciproques l’une de l’autre. On les notera 𝑅 et 𝑅−1
≡ 36×21+2 [7]
≡ 32 [7]
≡ 2[7]
̅̅̅̅̅̅̅.
b) Dans le système de numération décimale, on considère l’entier nature l651𝑥
(506390)128 + ̅̅̅̅̅̅̅
651𝑥 ≡ 0[7] 2 + ̅̅̅̅̅̅̅
651𝑥 ≡ 0[7] 2 + 6000 + 500 + 10 + 𝑥 ≡ 0[7]
Donc pour 𝑘 = 0, on a : 𝑥 = 5
21590𝑥 + 9525𝑦 = 1270. En simplifiant cette équation par 635, on a : 34𝑥 + 15𝑦 = 2
d) Déterminons le chiffre des unités de l’entiers naturels 71980 écrit dans le système décimal.
7 ≡ (−3)[10]
Ainsi le chiffre des unités est le reste de la division de 71980 par 10 qui est 1.
Conclusion : le chiffre des unités de l’entiers naturels 71980 écrit dans le système décimal est 1
𝑎3 − 3𝑎 − 2 = 0 (1)
(𝑎3 − 3𝑎 − 2) + 𝑖(8 − 4𝑎) = 0 => {
8 − 4𝑎 = 0 (2)
a- Déterminons l’affixe de 𝐺1 .
𝑍1 +𝑍2+𝑍0 (−1+√2+𝑖√2)+(−1−√2−𝑖√2)+2 0
=> 𝑍𝐺1 = = = = 0 => 𝐺1 (00)
1+1+1 1+1+1 3
b- Soit 𝑍𝑛 l’affixe de 𝐺𝑛 .
𝑍1 +𝑍2+𝑍𝑛−1
Si 𝑍𝑛 l’affixe de𝐺𝑛 = {(𝐴 ; 1) ; (𝐵 ; 1) ; (𝐺𝑛−1 ; 1)} alors 𝑍𝑛 =
1+1+1
(−1+√2+𝑖√2)+(−1−√2−𝑖√2)+𝑍𝑛−1 −2+𝑍𝑛−1 2 1
=> 𝑍𝑛 = = = − + 𝑍𝑛−1
1+1+1 3 3 3
4) On pose 𝑈𝑛 = 𝑍𝑛 + 1.
2 1
𝑈𝑛 = 𝑍𝑛 + 1 => 𝑈𝑛 = − + 𝑍𝑛−1 + 1
3 3
1 1
=> 𝑈𝑛 = + 𝑍𝑛−1
3 3
1 1 1
=> 𝑈𝑛 = (1 + 𝑍𝑛−1 ) et 𝑈𝑛+1 = (1 + 𝑍𝑛 ) = 𝑈𝑛
3 3 3
1
D’où 𝑈𝑛 est une suite géométrique de raison 𝑞 = et de premier terme 𝑈0 = 𝑍0 + 1 = 3
3
1
Puisque 𝑈𝑛 est une suite géométrique de raison 𝑞 = et de premier terme 𝑈0 = 3 alors son
3
1 𝑛
expression en fonction de 𝑛 est : 𝑈𝑛 = 𝑈0 (𝑞)𝑛 = 3 ( )
3
1 𝑛 1 𝑛
𝑙𝑖𝑚 𝑈𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 3 ( ) = 0 car 𝑙𝑖𝑚 ( ) = 0 (𝑞 < 1)
3 3
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
𝑢1 = 1
II//Soit la suite 𝑢𝑛 ; 𝑛 ∈ ℕ∗ à termes positifs tel que : {
(𝑢𝑛+1 )2 = 𝑢𝑛 × 𝑒
𝑢1 = 1 = 𝑒 0
1 1 1 1 1
𝑢2 = (𝑢1 )2 × 𝑒 2 = (1)2 × 𝑒 2 = 𝑒 2
1
1 1 1 2 1 1 1 3
𝑢3 = (𝑢2 ) × 𝑒 = (𝑒 ) × 𝑒 2 = 𝑒 4 × 𝑒 2 = 𝑒 4
2 2 2
a-Déterminons le réel 𝑎 pour que 𝑣𝑛 soit une suite géométrique dont on Déterminera la raison
et le premier terme 𝑣1 .
𝑣𝑛 = 𝑙𝑛(𝑢𝑛 ) − 𝑎
𝑣1 = 𝑙𝑛(𝑢1 ) − 𝑎 = 𝑙𝑛(1) − 𝑎 = −𝑎
1 1 1− 2𝑎
𝑣2 = 𝑙𝑛(𝑢2 ) − 𝑎 = 𝑙𝑛 (𝑒 2 ) − 𝑎 = − 𝑎 =
2 2
3 3 3− 4𝑎
𝑣3 = 𝑙𝑛(𝑢3 ) − 𝑎 = 𝑙𝑛 (𝑒 4 ) − 𝑎 = − 𝑎 =
4 4
1 𝑛 −1 1 1
Alors son expression est 𝑣𝑛 = 𝑣1 (𝑞)𝑛 −1 𝑣𝑛 = −1 ( ) = −1 ( )= −
2 2𝑛−1 2𝑛−1
1 1
=> 𝑣𝑛 = − et 𝑙𝑖𝑚 𝑣𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 − 𝑛−1 = 0
2𝑛−1 2
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
1
1 (− 𝑛−1 + 1)
D’autre part 𝑣𝑛 = 𝑙𝑛(𝑢𝑛 ) − 1𝑙𝑛(𝑢𝑛 ) = 𝑣𝑛 + 1 = − + 1 => 𝑢𝑛 = 𝑒 2
2𝑛−1
1
(− + 1)
=> 𝑢𝑛 = 𝑒 2𝑛−1 et 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛 = 𝑒 (0) = 1
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Partie A
A l’instant 𝑡 = 0 on injecte dans le sang d’un patient une dose de 3𝑚𝑙 d’un médicament. On
veut étudier le processus d’élimination du produit au cours des douze heures suivant
l’injection. La quantité de médicament présente dans le sang en 𝑚𝑙 en fonction du temps 𝑡 en
heures est 𝑓(𝑡), où 𝑓 est définie sur [0 ; 12] par : 𝑓(𝑡) = 3e−0,1t .
1) Déterminons 𝑓 ’(𝑡) puis justifions que pour tout 𝑡[0 ; 12] , 𝑓 ’(𝑡) < 0.
Pour tout 𝑡[0 ; 12] , e−0,1t ) > 0 alors 𝑓 ’(𝑡) = −0,3e−0,1t < 0.
𝑡 0 12
𝑓′(𝑡) −
3
𝑓(𝑡)
3e−1.2
𝑡 2 3 4 6 8
𝑓(𝑡) 2,45 2,22 2,01 1,64 1,34
Ainsi chacune de ces valeurs obtenues représente la quantité de médicament présente dans le
sang en 𝑚𝑙 en fonction du temps 𝑡
y
5
4
3
2
1
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14x
-1
Partie B
Le médicament est inefficace lorsque la quantité contenue dans le sang est inférieure à
𝟎, 𝟐𝟓𝒎𝒍, ainsi on procède à une seconde injection
1°/ Déterminons le temps au bout duquel on procèdera à la seconde injection
On procèdera à la seconde injection si et seulement si 𝒇(𝒕) < 𝟏, 𝟐𝟓𝟑 𝐞−𝟎,𝟏𝐭 < 𝟎, 𝟐𝟓𝟑
−𝟎, 𝟏𝐭 < 𝒍𝒏(𝟎, 𝟐𝟓𝟑) −𝟎, 𝟏𝐭 < −𝟏, 𝟑𝟕 𝟎, 𝟏𝐭 > 𝟏, 𝟑𝟕 𝐭 > 𝟏𝟑, 𝟕
II// Le plan affine euclidienne P est muni d’un repère orthonormé( 𝑂 ; 𝑢 ⃗⃗ ; 𝑣⃗) et on désigne par
ℂ l’ensemble des corps complexes.
Soit l’application affine 𝑇𝛼 : P → P qui à tout point 𝑀 (𝑦𝑥 ) → 𝑀′ (𝑦𝑥 ) tel que :
1
𝑥 ′ = − 𝑥 − 𝛼𝑦
2
{ 1 où α est un paramètre réel.
𝑦 ′ = 𝛼𝑥 − 𝑦
2
1
− −𝛼
2
La matrice de 𝑇𝛼 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀𝛼 = ( 1) et le déterminant associé à cette
𝛼 −
2
1
− −𝛼 1 2 1
2
matrice est 𝑑𝑒𝑡𝑀𝛼 = | 1 |= (− ) + (𝛼)2 = + 𝛼 2 ≠ 0. Alors 𝑇𝛼 est bijective .
2 4
𝛼 −
2
Montrons que 𝑇𝛼 admet un unique point invariant que l’on Précisera.
𝑥′ = 𝑥
𝑇𝛼 Admet un point invariant si et seulement si 𝑇𝛼 (𝑀) = 𝑀 c’est-à-dire {
𝑦′ = 𝑦
1
𝑥 = − 𝑥 − 𝛼𝑦 3𝑥 + 2𝛼𝑦 = 0
2
=> { 1 {
𝑦 = 𝛼𝑥 − 𝑦 2𝛼𝑥 − 3𝑦 = 0
2
2) Montons qu’il existe une valeur unique de α pour laquelle 𝑇𝛼 est une homothétie H dont
Précisera le centre et le rapport.
1
𝑥 ′ = − 𝑥 − 𝛼𝑦
′ ′ 2
On sait que 𝑍 = 𝑥 + 𝑖𝑦′. Or { 1
𝑦 ′ = 𝛼𝑥 − 𝑦
2
1 1
𝑍 ′ = (− 𝑥 − 𝛼𝑦) + 𝑖 (𝛼𝑥 − 𝑦)
2 2
1 1
= − 𝑥 − 𝛼𝑦 + 𝑖𝛼𝑥 − 𝑦𝑖
2 2
1 1
= (− 𝑥 − 𝑦𝑖) + (−𝛼𝑦 + 𝑖𝛼𝑥)
2 2
1 1
= (− 𝑥 − 𝑦𝑖) + (𝑖 2 𝛼𝑦 + 𝑖𝛼𝑥)
2 2
1
= − (𝑥 + 𝑖𝑦) + 𝑖𝛼(𝑥 + 𝑖𝑦)
2
1
= (− + 𝑖𝛼) (𝑥 + 𝑖𝑦). Or 𝑍 = 𝑥 + 𝑖𝑦
2
1
=>𝑍 ′ = (− + 𝑖𝛼) 𝑍
2
1
Avec 𝑎 = − + 𝑖𝛼
2
1
Alors 𝑎 = − + 𝑖𝛼 ∈ ℝ∗ − {− 1 ; 1 } si et seulement si 𝛼 = 0.
2
3) a- Montrons qu’il existe deux valeurs de α pour lesquelles 𝑇𝛼 est une isométrie.
𝑇𝛼 est une isométrie si et seulement si son expression analytique est sous la forme :
𝑥 ′ = 𝑎𝑥 − 𝑏𝑦 + 𝑐
{ ′ C’est-à-dire si det(𝑀𝑎𝑡𝑓) = 𝑎2 + 𝑏 2 = 1
𝑦 = 𝑏𝑥 + 𝑎𝑦 + 𝑐′
1 1
𝑥 ′ = − 𝑥 − 𝛼𝑦 − −𝛼 1 2
2
On a 𝑇𝛼 : { 1 => 𝑑𝑒𝑡𝑀𝛼 = | 2 1| = (− ) + (𝛼)2
′ 2
𝑦 = 𝛼𝑥 − 𝑦 𝛼 −
2 2
1 2 1 1 3
𝑑𝑒𝑡𝑀𝛼 = 1 (− ) + (𝛼)2 = 1 + 𝛼 2 = 1 => 𝛼 2 = 1 − 𝛼 2 =
2 4 4 4
√3 √3
=> 𝛼 = − ou 𝛼 =
2 2
b- Vérifions que ces deux isométries sont réciproques l’une de l’autre. On les notera 𝑅 et 𝑅−1
1 √3 1 √3
𝑥′ = − 𝑥 − 𝑦 𝑥′ = − 𝑥 + 𝑦
+ 2 2 −1 2 2
D’où on a 𝑅 : { et 𝑅 : {
√3 1 √3 1
𝑦′ = 𝑥− 𝑦 𝑦′ = − 𝑥− 𝑦
2 2 2 2
En observant, on remarque que ces deux isométries sont réciproques l’une de l’autre.
Soit l’application affine 𝑓 : P → P qui à tout point 𝑀 (𝑦𝑥 ) → 𝑀′ (𝑦𝑥 ) tel que :
1
𝑥′ = 𝑥 + 1
2
{ 1
′
𝑦 = 𝑦−2
2
1
2) Montre que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐽𝑀′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐽𝑀 puis en déduis la nature et les éléments caractéristiques de 𝑓
2
b-Ecris 𝑛 + 𝑛′ dans le système de base 𝑥 et Vérifie que 𝑛 + 𝑛′ est divisible par (𝑥 + 1) puis
donne le quotient 𝑞 de cette division en base 𝑥.
c-Détermine les entiers a et b tel que : 𝑞 = ̅̅̅
𝑎𝑏 𝑥 • 𝑎𝑎𝑎
̅̅̅̅̅ 𝑥 .
5
▪ 𝑓 est définie sur ]− ∞ ; 0 ] ∪ [ ; + ∞ [ et admet des demi tangentes verticales aux
2
5
points d’abscisses 0 et
2
▪ 𝑓 est strictement décroissante sur son ensemble de dérivabilité.
▪ La droite y = − 𝑥 est à la fois asymptote oblique en − ∞ et + ∞
5
▪ Les points de coordonnées (0 ; −3 ) et ( ; 1) sont sur la courbe de 𝑔.
2
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
𝑒𝑥
On considère la fonction 𝑓, définie sur l'intervalle ]−1 ; + ∞[ par 𝑓(𝑥) =
(1 + 𝑥)2
On désigne par (C) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan rapporté à un repère orthonormal
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗)
b) Calcule la limite de cette fonction lorsque 𝑥 tend vers – 1. Que peut – on en déduis pour la
courbe (C) ?
𝑥− 1
2) Calcule 𝑓 ′(𝑥) et Montre que son signe est celui de
𝑥+ 1
5) Montre que l'équation 𝑓(𝑥) = 1 admet une unique solution, notée α, dans l'intervalle
[1; 10].
Utilise le graphique précédent pour Donne deux nombres entiers consécutifs 𝑎 et 𝑏 tels que 𝛼
appartient à l’intervalle [𝑎 ; 𝑏].
𝑒𝑥
3) Soit 𝑔 la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par 𝑔(𝑥) =
𝑥+ 1
2
f) En déduis un encadrement de A1 = ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥
4) Soit A2 l'aire, en unités d'aire, du domaine délimité par les droites d'équations
respectives 𝑥 = 1 et 𝑥 = 2, la courbe (C) et l'axe des abscisses.
Pour cette partie, on utilisera sans justification le fait que l'équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 a une unique
1
solution 𝛽 et que celle – ci est élément de l'intervalle [ ; 1]
2
𝑒𝑥
Soit ℎ la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par ℎ(𝑥) =
( 1+ 𝑥)3
4) a) Vérifie que, pour tout x appartenant à ]−1 ; + ∞[, on a : 𝑓 ′(𝑥) = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥).
c) Calcule ℎ′(𝑥).
1 1
5) En déduis que, pour tout 𝑥 appartenant [ ; 1] à, on a : |𝑓′(𝑥)| ≤
2 4
1
On admet que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : ≤ 𝑢𝑛 ≤ 1.
2
1
d) Montre que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|
4
1 𝑛
e) Montre par récurrence que, pour tout nombre entier nature𝑙 𝑛, on a : |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( )
4
𝐸
𝐸 𝑙𝑛( )
𝐸0
M = 𝑙𝑜𝑔𝑎 ( ) M =
𝐸0 𝑙𝑛𝑎
𝐸
2) Calculons 𝑙𝑛𝑎 sachant que 𝐸0 = et M = 5
10
𝐸
𝐸 𝑙𝑛( 𝐸 )
𝑙𝑛( ) 𝐸 𝑙𝑛(10) 𝑙𝑛(10)
𝐸0
M= . Or 𝐸0 = => M = 10
M= 𝑙𝑛𝑎 =
𝑙𝑛𝑎 10 𝑙𝑛𝑎 𝑙𝑛𝑎 𝑀
𝑙𝑛(10)
Or M= 5 => 𝑙𝑛𝑎 = = 0,46
5
a- Soleil : 𝐸 = 4,786×1010 𝐸0
𝐸 4,786×1010 𝐸0
𝐸 𝑙𝑛( ) 𝑙𝑛( ) 𝑙𝑛(4,786×1010 )
𝐸0 𝐸0
M = 𝑙𝑜𝑔𝑎 ( ) M = M = =
𝐸0 𝑙𝑛𝑎 𝑙𝑛𝑎 𝑙𝑛𝑎
b- Lune : 𝐸 = 1,2×105 𝐸0
𝐸 1,2×105 𝐸0
𝐸 𝑙𝑛( ) 𝑙𝑛( ) 𝑙𝑛(1,2×105 )
𝐸0 𝐸0
M = 𝑙𝑜𝑔𝑎 ( ) M = M = =
𝐸0 𝑙𝑛𝑎 𝑙𝑛𝑎 𝑙𝑛𝑎
II// Le plan affine euclidienne P est muni d’un repère orthonormé( 𝑂 ; 𝑢 ⃗⃗ ; 𝑣⃗) et on désigne par
ℂ l’ensemble des corps complexes.
1
𝑥 𝑥
𝑥′ = 𝑥 + 1
2
Soit l’application affine 𝑓 : P → P qui à tout point 𝑀 (𝑦) → 𝑀′ (𝑦) tel que : { 1
𝑦′ = 𝑦 − 2
2
𝑥′ = 𝑥
𝑓 Admet un point invariant si et seulement si 𝑓(𝑀) = 𝑀 c’est-à-dire {
𝑦′ = 𝑦
1
𝑥 = 𝑥+1 2𝑥 = 𝑥 + 2 𝑥=2
2
=> { { {
1
𝑦 = 𝑦−2 2𝑦 = 𝑦 − 4 𝑦 = −4
2
2
D’où 𝐽(−4 ) est le point invariant.
1
2) Montrons que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐽𝑀′ = 𝐽𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2
1 1 1
′ 𝑥 + 1− 2 𝑥−1 (𝑥 − 2) 1 1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐽𝑀′ = (𝑦𝑥 ′−+ 24) = (21 ) = (12 ) = (12 ) = (𝑦𝑥 −+ 24) = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐽𝑀
𝑦−2 + 4 𝑦+2 (𝑦 + 4) 2 2
2 2 2
1
D’où : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐽𝑀′ = 𝐽𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 𝐽𝑀
𝐽𝑀′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ Sous la forme Ω𝑴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗′ = 𝒌 Ω𝑴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ qui est l’expression d’une homothétie de rapport 𝑘
2
et de centre Ω.
1 2
D’où 𝑓 est une homothétie de rapport 𝑘 = et de centre 𝐽(−4 )
2
(𝑥 ′ − 1)2 + (𝑦 ′ + 2)2 − (𝑦 ′ + 2) = 0
(𝑥 ′ − 1)2 + 𝑦′2 + 4𝑦 ′ + 4 − 𝑦 ′ − 2 = 0
(𝑥 ′ − 1)2 + 𝑦′2 + 3𝑦 ′ + 2 = 0
(𝑥 ′ − 1)2 + (𝑦′2 + 3𝑦 ′ ) + 2 = 0
3
(𝑥 ′ − 1)2 + [𝑦′2 − 2 (− ) 𝑦 ′ ] + 2 = 0
2
3 2 3 2
(𝑥 ′ − 1)2 + (𝑦 ′ + ) − (− ) + 2 = 0
2 2
3 2 9
(𝑥 ′ − 1)2 + (𝑦 ′ + ) − + 2 = 0
2 4
3 2 1
(𝑥 ′ − 1)2 + (𝑦 ′ + ) − = 0
2 4
3 2 1
(𝑥 ′ − 1)2 + (𝑦 ′ + ) =
2 4
3 1 1
D’où (C’) est le cercle de centre (1 ; − ) et de rayon 𝑟 = √ =
2 4 2
=> 𝑛 = 𝑥 3 + 3𝑥 2 + 4𝑥 + 1 ou 𝑛 = ̅̅̅̅̅̅̅̅
1341 𝑥
=> 𝑛′ = 𝑥 4 + 3𝑥 3 + 3𝑥 2 + 1 ou 𝑛′ =̅̅̅̅̅̅̅̅
1331𝑥
D’où 𝑛 + 𝑛′ = ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
10010(𝑥 + 1)
Vérifions que 𝑛 + 𝑛′ est divisible par (𝑥 + 1) puis donnons le quotient q de cette division en
base 𝑥.
En faisant la division euclidienne de 𝑛 + 𝑛′ par (𝑥 + 1) on aura pour quotient
𝑞 = ̅̅̅̅
𝑎𝑏 𝑥 × ̅̅̅̅̅̅
𝑎𝑎𝑎 𝑥 q = (𝑎𝑥 + 𝑏)(𝑎𝑥 2 + 𝑎𝑥 + 𝑎)
=> q = 𝑎2 𝑥 3 + 𝑥 2 (𝑎2 + 𝑎𝑏) + 𝑥(𝑎2 + 𝑎𝑏) + 𝑎𝑏. Or d’après la question 2), on a :
𝑥 5
−∞ −1 +∞
2
𝑓 ’(𝑥) + 0 +0 +
−3 +∞
𝑓(𝑥)
−∞ 1
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
𝑒𝑥
On considère la fonction 𝑓, définie sur l'intervalle ]−1 ; + ∞[ par 𝑓(𝑥) = (1
+ 𝑥)2
On désigne par (C) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan rapporté à un repère orthonormal
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗)
𝑒𝑥 𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 (1 + 𝑥)2
= 𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑥2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
𝑒𝑥 𝑒 −1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 (1 + 𝑥)2
= = +∞
0+
𝑥 → −1 𝑥 → −1
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 154
Sujets de Bac
On peut en déduis que la courbe (C) admet une possibilité d’asymptote oblique et admet la
droite d’équation 𝑥 = −1 comme asymptote verticale.
𝑥− 1
2) Calculons 𝑓 ′(𝑥) et Montre que son signe est celui de
𝑥+ 1
𝑒 𝑥 (𝑥−1) 𝑒𝑥 𝑥− 1
= (1 = (1 ×
+ 𝑥)3 + 𝑥)2 𝑥 + 1
𝑒𝑥 𝑥− 1
Or ∀ 𝑥 ∈ 𝐷𝑓 ; (1 > 0. Alors le signe de 𝑓 ′(𝑥) dépend du signe de .
+ 𝑥)2 𝑥+ 1
𝑥− 1
Etudions le signe de . Posons 𝑥 − 1 = 0 et 𝑥 + 1 = 0
𝑥+ 1
=> 𝑥 = 1 et 𝑥 = −1
𝑥− 1
D’où le tableau de signe de est le suivant :
𝑥+ 1
𝑥 −1 1 +∞
𝑥 −1 − 0 +
𝑥+1
0
𝑥 −1 1 +∞
𝑓′(𝑥) − 0 +
+∞ +∞
𝑓(𝑥)
𝑒
4
y
6
4 𝐶𝑓
1
𝑦=1
-1 0 1 2 α 3 4 5 6 7 8 x
-1
𝑦 = −𝑥 + 1
-2
5) Montrons que l'équation 𝑓(𝑥) = 1 admet une unique solution, notée 𝛼, dans l'intervalle
[1 ; 10].
Sur l’intervalle [1 ; 10] ; 𝑓 est dérivable et strictement croissante, donc 𝑓 réalise une bijection
𝑒 𝑒 10
de [1 ; 10] vers l’intervalle [ 𝑓(1); 𝑓(10)] = [ ; ] = [0,67 ; 182,03].
4 121
𝑒 𝑒 10
Nous en déduisons 1 appartient à l’intervalle[ ; ]. Donc l’équation 𝑓(𝑥) = 1 admet une
4 121
Utilisons le graphique précédent pour Donne deux nombres entiers consécutifs 𝑎 et 𝑏 tels que
appartient à l’intervalle [𝑎 ; 𝑏].
Ainsi à l’aide du graphique, nous remarquons 𝛼 appartient à l’intervalle[𝑎 ; 𝑏] = [2 ; 3].
𝑒𝑥
1) Soit 𝑔 la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par 𝑔(𝑥) =
𝑥+ 1
𝑔 est dérivable sur [1 ; 2] comme quotient des deux fonctions dérivables non nulles :
𝑥𝑒 𝑥
𝑥 ↦ 𝑒 𝑥 et 𝑥 ↦ 1 + 𝑥 ; et nous avons 𝑔′(𝑥) = (𝑥 .
+ 1)2
De plus 𝑔′(𝑥) est strictement positif sur [1 ; 2] , alors 𝑔 est strictement croissante.
𝑒 𝑒2
Or 𝑔(1) = ≈ 1,35 et 𝑔(2) = ≈ 2,46. Nous avons : 𝑔(1) > 1 et 𝑔(2) < 2,5.
4 3
2 2 𝑒𝑥
c-En déduisons un encadrement de 𝐴1 = ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 = ∫1 𝑑𝑥
𝑥+ 1
Nous avons : 1 < 2 et 1 ≤ 𝑔(𝑥) ≤ 2,5; d’après les théorèmes d’encadrement d’nue
2 2 2
intégrale nous déduisons que : ∫1 1𝑑𝑥 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ ∫1 2,5𝑑𝑥
2 2
[𝑥]12 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ [2,5𝑥]12 2 − 1 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ (2 − 1) × 2,5
2
1 ≤ ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥 ≤ 2,5 1 ≤ 𝐴1 ≤ 2,5
2) Soit A2 l'aire, en unités d'aire, du domaine délimité par les droites d'équations respectives
𝑥 = 1 et 𝑥 = 2, la courbe (C) et l'axe des abscisses.
La fonction 𝑓 est positive sur [1 ; 2] , donc l’aire 𝐴2 cherchée est donnée par :
2 𝑒𝑥
𝐴2 = ∫1 (1 + 𝑥)2
𝑑𝑥
1 1
𝑣′(𝑥) = (1 => 𝑣(𝑥) = −
+ 𝑥)2 1+ 𝑥
2
𝑒𝑥 2 𝑒𝑥 𝑒2 𝑒
=>𝐴2 = [− ] + ∫1 𝑑𝑥 = − + + 𝐴1
1+ 𝑥 1 1+ 𝑥 3 2
𝑒2 𝑒
=>𝐴2 = 𝐴1 − +
3 2
En déduisons un encadrement de 𝐴2 .
𝑒2 𝑒 𝑒2 𝑒
Or 𝐴2 = 𝐴1 − + => 𝐴1 = 𝐴2 + −
3 2 3 2
𝑒2 𝑒 𝑒2 𝑒 𝑒2 𝑒
Alors 1 ≤ 𝐴1 ≤ 2,5 1 ≤ 𝐴2 + − ≤ 2,5 1 − + ≤ 𝐴2 ≤ 2,5 − +
3 2 3 2 3 2
Pour cette partie, on utilisera sans justification le fait que l'équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 a une unique
1
solution 𝛽 et que celle – ci est élément de l'intervalle [ ; 1]
2
𝑒𝑥
Soit ℎ la fonction définie sur ]−1 ; + ∞[ par ℎ(𝑥) = (
1+ 𝑥)3
1) a- Vérifions que, pour tout 𝑥 appartenant à ]−1 ; + ∞[, on a : 𝑓 ′(𝑥) = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥).
𝑒𝑥 𝑒𝑥
= (1 − 2 (1 = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥).
+ 𝑥)2 + 𝑥)3
b-Calculons ℎ′(𝑥).
( 𝑥 − 1)𝑒 𝑥 ( 𝑥 − 2)𝑒 𝑥
𝑓′(𝑥) = 𝑓(𝑥) – 2ℎ(𝑥) => 𝑓′′(𝑥) = 𝑓′(𝑥) – 2ℎ′(𝑥) = (1 + 𝑥)3
– 2 (1
+ 𝑥)4
( 𝑥 2 − 2𝑥 + 3)𝑒 𝑥
=> 𝑓′′(𝑥) = (1 + 𝑥)4
1
En déduisons le sens de variation de 𝑓 ′ dans l'intervalle [ ; 1]
2
Pour tout 𝑥 de l’intervalle ]−1 ; +∞[ ; 𝑥 2 − 2𝑥 + 3 est positif, donc 𝑓′′(𝑥) est strictement
1 1
positif sur [ ; 1], nous en déduisons que 𝑓′ est strictement croissante sur [ ; 1]
2 2
1 1
2) En déduisons que, pour tout 𝑥 appartenant à [ ; 1] , on a : |𝑓′(𝑥)| ≤
2 4
1 1
𝑥∈[ ; 1] ≤ 𝑥 ≤ 1.
2 2
1 1
D’autre part 𝑓′ est strictement croissante sur [ ; 1] , donc pour tout 𝑥 ∈ [ ; 1] ; on a :
2 2
1
1 4𝑒 2 1
𝑓′ ( ) ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 𝑓′(1) − ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0 −0,24 ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0 − ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0
2 27 4
1 1
0 ≤ |𝑓′(𝑥)| ≤ |− | 0 ≤ |𝑓′(𝑥)| ≤
4 4
1 1
Alors pour tout 𝑥 appartenant à [ ; 1] , on a : |𝑓′(𝑥)| ≤ (Ce qu’il fallait Démontre)
2 4
1
On admet que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : ≤ 𝑢𝑛 ≤ 1.
2
1
a-Montrons que, pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|
4
1
Puis que |𝑓′(𝑥)| ≤ , alors d’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis, on a :
4
1 1
|𝑓(𝑥) − 𝑓(𝛽)| ≤ |𝑥 − 𝛽| . Or 𝑓(𝛽) = 𝛽. => |𝑓(𝑥) − 𝛽| ≤ |𝑥 − 𝛽|
4 4
1 1
D’où ∀ 𝑥 ∈ [ ; 1] ; on a : |𝑓(𝑥) − 𝛽| ≤ |𝑥 − 𝛽|
2 4
1
Posons 𝑢𝑛 = 𝑥 . Alors on a : |𝑓(𝑢𝑛 ) − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|. Or 𝑓(𝑢𝑛 ) = 𝑢𝑛+1
4
1
D’où pour tout nombre entier naturel 𝑛, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽|
4
1 𝑛
b-Montre par récurrence que, pour tout nombre entier nature𝑙 𝑛, on a : |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( )
4
1 1 0
- si 𝑛 = 0; 𝑢0 = 1 et 𝛽 ∈ [ ; 1]. Alors |1 − 𝛽| ≤ 1 = ( ) vraie ∀ 𝑥 ∈ ℕ.
2 4
1 𝑛
- Supposons que la propriété est vraie au rang 𝑛, c’est-à-dire |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( ) et montrons
4
1 𝑛+1
qu’elle est vraie au rang 𝑛 + 1, c’est-à-dire |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ ( )
4
En utilisant le résultat de la question précédente, nous pouvons écrire :
1 1 𝑛+1
|𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛽| |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ ( ) .
4 4
1 𝑛
Conclusion : pour tout nombre entier nature𝑙 𝑛, on a : |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ ( ) (Ce qu’i fallait
4
Démontre)
1 𝑛
Cherchons 𝑛 tel que |𝑢𝑛 − 𝛽| < 10−3 . D’après ce qui précède, il suffit que ( ) soit inférieur à
4
−3 1 −3 −3 −3 𝑙𝑛10−3
10 si 𝑛𝑙𝑛 ( ) < 𝑙𝑛10 −𝑛𝑙𝑛4 < 𝑙𝑛10 𝑛𝑙𝑛4 > −𝑙𝑛10 => 𝑛 > −
4 𝑙𝑛4
Sujet 13 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// A l’instant 𝑡 = 0, un corps à la température 𝜃0 = 60°𝐶 est placé dans l’air ambiant à la
température 𝜃1 = 20°𝐶. Au bout de 10 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑒𝑠, la température du corps est 50°C.
𝑑𝜃(𝑡)
= −𝑘[𝜃(𝑡) − 𝜃1 ] où 𝑘 est une constante réelle. On pose 𝑦(𝑡) = 𝜃(𝑡) − 𝜃1 .
𝑑𝑡
2) Nous étions vendredi 1er septembre 2006. Quel jour de la semaine serons-nous le 1er
septembre 2007 ? Le 1er septembre 2008 ? Le 1er septembre 2009 ?
II// L’aire A (en cm2) de la peau d’un cobaye, en fonction de son poids P (en gramme) est
donnée par l’égalité suivante : 𝑙𝑛𝐴 = 𝑙𝑛(9,85) + 0,64𝑙𝑛𝑃. (𝑙𝑛 désignant le logarithme
népérien).
1) Quelle est l’aire 𝐴 de la peau d’un cobaye de poids 𝑃 = 780𝑔 ?
2) Quel est le poids 𝑃 d’un cobaye dont la peau a pour aire 𝐴 = 30cm2 ?
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
3000
I// Une culture de bactéries a un rythme de croissance modélisé par la fonction R(𝑥) =
1 + 0,25𝑥
Où 𝑥 est le temps écoulé en jours.
On admet que ce rythme de croissance est la dérivée de la fonction population 𝑃(𝑥) c’est-à-
dire que 𝑃′(𝑥) = 𝑅(𝑥) et au temps 𝑥 = 0, la culture compte 1000 bactéries c’est-a-dire :
𝑃(0) = 1000.
2) Démontre que l'ensemble des points invariants par 𝑓 est une droite (D) que l'on Précisera.
𝑑𝜃(𝑡)
= −𝑘[𝜃(𝑡) − 𝜃1 ] où 𝑘 est une constante réelle. On pose 𝑦(𝑡) = 𝜃(𝑡) − 𝜃1 .
𝑑𝑡
Donc 𝑦′(𝑡) = −𝑘𝜃(𝑡) + 𝑘𝜃1 𝑦′(𝑡) = −𝑘[𝑦(𝑡) + 𝜃1 ] + 𝑘𝜃1 = −𝑘𝑦(𝑡) − 𝑘𝜃1 + 𝑘𝜃1
b- Déterminons 𝑦.
3 3 1 3
𝑒 −10𝑘 = 4
−10𝑘 = 𝑙𝑛 ( 4
) => −𝑘 = 𝑙𝑛 ( )
10 4
𝟏 𝟑
D’où l’expression de 𝜃(𝑡) en fonction de 𝑡 est : 𝜽(𝒕) = 𝟒𝟎𝒆𝟏𝟎𝒍𝒏( 𝟒
)𝐭
+ 𝟐𝟎
1 3 1 1 3 1 1 3
𝑒 10𝑙𝑛( 4
)t
= 𝑙𝑛 ( ) t = 𝑙𝑛 ( ) 10 𝑙𝑛 ( ) t = −𝑙𝑛4
4 10 4 4 4
10𝑙𝑛4
t=− ≈ 48 𝑚𝑖𝑛.
𝑙𝑛( 34 )
1 3
𝜃(60) = 40𝑒 10𝑙𝑛( 4
)×60
+ 20 ≈ 27
1 2
II// Une population animale comporte de mâles et de femelles. L’albinisme frappe 6%
3 3
de mâles et 0,36% de femelles.
1
- Soit 𝑝(𝑀) = ; la probabilité sur le nombre de mâles.
3
2
- Soit 𝑝(𝐹) = ; la probabilité sur le nombre de femelles.
3
- Soit 𝐴; l’évènement : ≪ ê𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑙𝑏𝑖𝑛𝑜𝑠 ≫
- Soit 𝑝(𝐴); la probabilité qu’un individu soit albinos
6 0,36
- 𝑝(𝐴/𝑀) = 6% =
100
= 0,06 et 𝑝(𝐴/𝐹) = 0,36% =
100
= 0,0036
Déterminons la probabilité pour qu’un individu pris au hasard (dont on ignore le sexe) soit
albinos
𝑀 ∪ 𝐹 = 𝛺 et 𝑀 ∪ 𝐹 = ∅
Alors {𝑀 ; 𝐹} forme un système complet d’évènement tel que :
1 2
= (0,06) × + 0,0036 × = 0,02=> 𝑝(𝐴) = 0,02
8 3
Le voyage nécessitera donc 27 cars ≪ 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛𝑠 ≫ et un 28ième car occupé par 20 personnes.
− Entre le 1er septembre 2006 et le 1er septembre 2007 s’écrouleront 365 jours (car 2007 n’est
pas bissextile). Or 365 = 7 × 52 + 1, donc s’écouleront 52 semaines et 1 jour, faisant tomber
le 1er septembre 2007 un samedi.
− Entre le 1er septembre 2007 et le 1er septembre 2008 s’écrouleront 366 jours (car 2008 est
bissextile). Or 366 = 7 × 52 + 2, donc s’écouleront 52 semaines et 2 jour, faisant tomber le
1er septembre 2008 un lundi.
− Entre le 1er septembre 2008 et le 1er septembre 2009 s’écrouleront 365 jours (car 2009 n’est
pas bissextile). Or 365 = 7 × 52 + 1, donc s’écouleront 52 semaines et 1 jour, faisant tomber
le 1er septembre 200 un lundi.
II//L’aire A (en cm2) de la peau d’un cobaye, en fonction de son poids P (en gramme) est
donnée par l’égalité suivante : 𝑙𝑛𝐴 = 𝑙𝑛(9,85) + 0,64𝑙𝑛𝑃. (𝑙𝑛 désignant le logarithme
népérien).
1) Déterminons l’aire 𝐴 de la peau d’un cobaye de poids 𝑃 = 780𝑔
𝑙𝑛𝐴 = 𝑙𝑛(9,85) + 0,64𝑙𝑛𝑃 . Or 𝑃 = 780
=> 𝑙𝑛𝐴 = 𝑙𝑛(9,85) + 0,64𝑙𝑛780 𝑙𝑛𝐴 = 2,28 + 4,26 𝑙𝑛𝐴 = 6,54 𝐴 = 𝑒 6,54
=> 𝑙𝑛30 = 𝑙𝑛(9,85) + 0,64𝑙𝑛𝑃 0,64𝑙𝑛𝑃 = 𝑙𝑛30 − 𝑙𝑛(9,85) 0,64𝑙𝑛𝑃 = 3,40 − 2,28
1,12
0,64𝑙𝑛𝑃 = 1,12 𝑙𝑛𝑃 = 𝑙𝑛𝑃 = 1,75 𝑃 = 𝑒 1,75 = 5,75
0,64
=> 𝑃 = 5,75 𝑔.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
3000
I// Une culture de bactéries a un rythme de croissance modélisé par la fonction 𝑅(𝑥) =
1 + 0,25𝒙
Où 𝑥 est le temps écoulé en jours.
On admet que ce rythme de croissance est la dérivée de la fonction population 𝑃(𝑥) c’est-à-
dire que 𝑃′(𝑥) = 𝑅(𝑥) et au temps 𝑥 = 0, la culture compte 1000 bactéries c’est-a-dire :
𝑃(0) = 1000.
1) a- Déterminons 𝑃(𝑥) désignant la population des bactéries après 𝑥 jours.
3000 0,25 3000 3000 0,25
𝑃′(𝑥) = 𝑅(𝑥) => 𝑃(𝑥) = ∫ 𝑅(𝑥)𝑑𝑥 = ∫ 𝑑𝑥 = ∫ 1 + 0,25𝒙 𝑑𝑥 = ∫ 1 + 0,25𝒙 𝑑𝑥
1 + 0,25𝒙 0,25 0,25
0,25
=> 𝑃(𝑥) = 12000 ∫ 𝑑𝑥 = 12000[𝑙𝑛(1 + 0,25𝒙)] + 𝑘. Or 𝑃(0) = 1000
1 + 0,25𝒙
(12000+3000𝑥)
= 12000𝑙𝑛(1 + 0,25𝑥) + − 11000
1 + 0,25𝒙
9250𝑥 + 11000
= 12000𝑙𝑛(1 + 0,25𝑥) +
1 + 0,25𝒙
1000 + 250𝑥
= 12000𝑙𝑛(1 + 0,25𝑥) +
1 + 0,25𝒙
1000(1 + 0,25𝒙 )
= 12000𝑙𝑛(1 + 0,25𝑥) +
1 + 0,25𝒙
10 10
I = ∫5 𝑃(𝑥)d𝑥 = ∫5 𝑃(𝑥)d𝑥 = [𝐻(𝑥)]10
5 = 𝐻(10) − 𝐻(5)
Alors le nombre moyen de bactéries entre le 10ième et le 20ième jour est d’environ 13577
individus.
II// On considère dans le plan ( 𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) les points 𝑀(𝑥, 𝑦) et 𝑀’ (𝑥’, 𝑦’) tel que :
1
𝑥′ = (5𝑥 − 12𝑦 + 24)
13
{ 1
𝑦 ′ = (−12𝑥 − 5𝑦 + 36)
13
Soient 𝑀(𝑥, 𝑦) ; 𝑀’ (𝑥’, 𝑦’) ; 𝑀’’ (𝑥’’, 𝑦’’) trois points du plan tels que :
1
𝑥′′ = (5𝑥 ′ − 12𝑦 ′ + 24)
13
{ 1
𝑦′′ = (−12𝑥 ′ − 5𝑦 ′ + 36)
13
1 1 1 1
𝑥′′ = [5 ( (5𝑥 − 12𝑦 + 24)) − 12 ( (2𝑥 − 𝑦 − 12)) + 24 ] 𝑥′′ = (13𝑥)
13 13 13 13
{ { 1
1 1 1
𝑦′′ = [−12 ( (−12𝑥 − 5𝑦 + 36)) − 5 ( (2𝑥 − 𝑦 − 12)) + 36] 𝑦′′ = (13𝑦)
13 13 13 13
1
𝑥′′ =
(13𝑥) 𝑥′′ = 𝑥 𝑥′′ = 𝑥 + 0𝑦
13
{ { ′ { ′ . Alors la matrice associée à ce système est :
1
𝑦′′ = (13𝑦) 𝑦′ = 𝑦 𝑦′ = 0𝑥 + 𝑦
13
1 0
( ) = 𝑚𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡é . D’où 𝑓𝑜𝑓 = 𝑖𝑑
0 1
2) Démontrons que l'ensemble des points invariants par 𝑓 est une droite (D) que l'on Précisera.
𝑓 admet un point invariant si et seulement si il existe deux points 𝑀(𝑥, 𝑦) et 𝑀’ (𝑥’, 𝑦’) tel que
𝑓 (𝑀) = 𝑀’ c'est-à-dire
1 5 13 24
𝑥 = 𝑥′ 𝑥 = (5𝑥 − 12𝑦 + 24) 𝑥= 𝑥− 𝑦+
13 13 13 13
{ { 1 { 12 5 36
=>
𝑦 = 𝑦′ 𝑦 = (−12𝑥 − 5𝑦 + 36) 𝑦=− 𝑥− 𝑦+
13 13 13 13
2
𝑦 = − 𝑥+2
3
{ 2
𝑦 = − 𝑥+2
3
2
D’où l’ensemble des points invariants est la droite (D) d’équation : 𝑦 = − 𝑥 + 2
3
𝑥𝑀 +𝑥𝑀′
𝑥𝐼 =
2
Les coordonnées du milieu de I du segment [𝑀𝑀′] sont données par : { 𝑦𝑀 +𝑦𝑀′
𝑦𝐼 =
2
1
𝑥 + 𝑥′ 𝑥 + 13(5𝑥−12𝑦+24) 18𝑥−12𝑦+24
𝑥𝐼 = 𝑥𝐼 = 𝑥𝐼 =
{ 2
2 { 26
𝑦 +𝑦′ 1
𝑦 + 13(−12𝑥−5𝑦+36) −12𝑥+8𝑦+36
𝑦𝐼 = 𝑦𝐼 =
2 { 𝑦𝐼 = 2 26
2
Ainsi pour que I appartienne à la droite (D) : 𝑦 = − 𝑥 + 2 il faut que les coordonnées de I
3
vérifient l’équation de la droite (D).
1 4
′ 𝑥′ − 𝑥 = (5𝑥 − 12𝑦 + 24) − 𝑥 𝑥′ − 𝑥 = (−2𝑥 − 3𝑦 + 6)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′ (𝑦𝑥 ′ −𝑥 ) => { 13
{ 13
−𝑦 ′ 1 6
𝑦 −𝑦= (−12𝑥 − 5𝑦 + 36) − 𝑦 𝑦′ − 𝑦 = (−2𝑥 − 3𝑦 + 6)
13 13
4
⃗⃗ (13
=> 𝑢 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
6 ) en posant 𝑘 = 𝑥 – 2𝑦 – 6 on a : 𝑀𝑀′ = 𝑘𝑢 ⃗⃗
13
En posant 𝑘 = − 2𝑥 − 3𝑦 + 6, on a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′ = 𝑘𝑢 ⃗⃗
• ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′ = 𝑘𝑢 ⃗⃗ alors l’ensemble des points invariants par 𝑓 est la perpendiculaire à (D) et
4 6
de vecteur directeur 𝑢
⃗⃗ ( ; )
13 13
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 8 et 𝑚 = 𝑥1𝑦003
𝑛 = 1𝑥00𝑦2 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 7 .
1) Détermine les nombres 𝑥 et 𝑦 sachant que chacun d’eux peuvent, avec la totalité de
son argent acheter un nombre entier de mangues.
2) Ecris les entiers 𝑛 et 𝑚 dans le système décimal.
𝑍𝑁 = 𝑖𝑍 − (1 + 𝑖). On note 𝑇𝜆 l’application qui à tout point d’affixe 𝑍, associe le point 𝑀’,
barycentre des points pondérés (𝑀 ; 𝜆) ; (𝑁 ; −𝜆) et (𝐴 ; 1) où 𝜆 est un nombre réel non nul.
1-Démontre que pour tout 𝑀 du plan, le point 𝑁 est l’image de 𝑀 par une rotation dont on
Précisera les éléments caractéristiques.
b- Démontre que 𝑇𝜆 est une similitude directe dont on Précisera l’affixe du centre Ώ ; le
rapport et l’angle.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
PARTIE A :
Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1). On désigne par (C𝑓) la
courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormé(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) d’unité graphique 1cm.
2
2) Montre que 𝑓 est dérivable sur ℝ puis Montre que sa dérivée 𝑓′(𝑥) = .
√4𝑥 2 + 1
3) Dresse le tableau de variation de 𝑓.
4) Etudie les branches infinies de la courbe (C𝑓).
5) Trouve une équation cartésienne de la tangente ( T ) à (C𝑓) au point d’abscisse nul.
6) Précise la position de ( T ) et (C𝑓).
7) Trace la droite ( T ) et la courbe (C𝑓)
8) Soit α un réel strictement positif. Calcule en fonction de α , l’aire de la partie du plan
délimitée par la courbe (C𝑓) et les droites d’équations respectives 𝑥 = 0 , 𝑦 = 0 𝑒𝑡 𝑥 = 𝛼.
PARTIE B :
1) Montre que la fonction 𝑓 admet une fonction réciproque g définie sur un intervalle I
que l’on Précisera.
2) Construis dans le même repère que (C𝑓) , la courbe (C𝑔) de la fonction 𝑔.
1
3) Montre que pour tout 𝑥 ∈ I, on a : 𝑔(𝑥) = (𝑒 𝑥 − 𝑒 − 𝑥 ).
4
4) Montre que l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥 admet dans l’intervalle ] 0 ; + ∞ [ une solution
− √3 √3
unique 𝛼 et que α∈ ] ; [.
2 2
5) Calcule en fonction de α l’aire du domaine limité par les deux courbes (C𝑓) et (C𝑔)
et situées dans le demi-plan 𝑥 ≥ 0.
PARTIE C :
𝑔(𝑥)
On considère la fonction 𝜑 définie sur ℝ par 𝜑(𝑥) = .
𝑔 ′(𝑥)
1) Montre que 𝜑 est une bijection de ℝ sur un intervalle J que l’on Précisera.
2) On pose ℎ(𝑥) = 𝜑 − 1 (𝑥). Donne les expressions de ℎ(𝑥) et ℎ′ (𝑥).
3) Etudie puis représenter le fonction ℎ 𝑠𝑢𝑟]−1 ; 1[.
1) Déterminons les nombres 𝑥 et 𝑦 sachant que chacun d’eux peuvent, avec la totalité
de son argent acheter un nombre entier de mangues.
𝑛 = ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
1𝑥00𝑦28 = 1 × 85 + 𝑥 × 84 + 0 × 83 + 0 × 82 + 𝑦 × 8 + 2
= 4096𝑥 + 8𝑦 + 32770
𝑚 = ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑥1𝑦0037 = 𝑥 × 75 + 1 × 74 + 𝑦 × 73 + 0 × 72 + 0 × 7 + 3
0 ≤ 𝑥 ≤ 6 (1) 0≤𝑥≤6
0 ≤ 𝑦 ≤ 6 0 ≤ 2𝑥 ≤ 12
0 ≤ 3𝑦 ≤ 18 (2) 4 ≤ 2𝑥 + 4 ≤ 16 (1)
0≤ 5𝑘 ≤ 24 0 ≤ 3𝑦 ≤ 18 (2)
24
0≤𝑘≤ (1) + (2) : 4≤ 2𝑥 + 3𝑦 + 4 ≤ 34
5
4 34
0≤ 𝑘 ≤ 4,8 => 𝑘 ∈ {0 ; 1 ; 2} ≤ 5𝑘′ ≤ => 𝑘′ ∈ {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6}
5 5
Ainsi pour 𝑘 ∈ {0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4} et 𝑘′ ∈ {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6} on a : 𝑥 = 1 et 𝑦 = 3
Et 𝑚 = 𝑥 × 75 + 1 × 74 + 3 × 73 + 0 × 72 + 0 × 7 + 3 = 20240
5 5 5
𝐼 = ∫4 √𝑝(𝑥)𝑑𝑥 = ∫4 √(𝑥 − 4 )(𝑥 + 2)2 𝑑𝑥 = ∫4 (𝑥 + 2) √𝑥 − 4𝑑𝑥 .
5
𝐼 = ∫4 (𝑥 + 2) √𝑥 − 4𝑑𝑥
2
𝑣′(𝑥) = √𝑥 − 4 => 𝑣(𝑥) = (𝑥 − 4)√𝑥 − 4
3
2 5 52
Alors 𝐼 = [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4] − ∫4 (𝑥 − 4)√𝑥 − 4𝑑𝑥
3 4 3
2 5 2 5 3
=> 𝐼 = [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4] − ∫4 (𝑥 − 4)2 𝑑𝑥
3 3 4
5 5
2 5 2 (𝑥 − 4)2
= [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4] − [ 5 ]
3 4 3
2 4
5 5 5
2 4
= [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4] − [( 𝑥 − 4)2 ]
3 4 15 4
5 5 5
2 4
= [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4] − [(𝑥 − 4)2 ]
3 4 15 4
2 5 4 5
= [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4] − [(𝑥 − 4)2 √𝑥 − 4 ]4
3 4 15
2 4 5
= [ (𝑥 + 2)(𝑥 − 4)√𝑥 − 4 − (𝑥 − 4)2 √𝑥 − 4]
3 15 4
22 22
=> 𝐼 = 𝐹(5) − 𝐹(4) = ( ) − (0) =
5 5
5
𝐼 = ∫4 (𝑥 + 2) √𝑥 − 4𝑑𝑥
Si 𝑥 = 4 alors 𝑢 = 0 et Si 𝑥 = 5 alors 𝑢 = 1
1 1 1
=> 𝐼 = ∫0 (𝑢 + 4 + 2) √𝑢 𝑑𝑢 = ∫0 (𝑢 + 6) √𝑢 𝑑𝑢 = ∫0 (𝑢√𝑢 + 6√𝑢) 𝑑𝑢
1 3 1 3 1 1 3 1
= ∫0 (𝑢2 + 6√𝑢) 𝑑𝑢 = ∫0 𝑢2 𝑑𝑢 + ∫0 6√𝑢 𝑑𝑢 = ∫0 𝑢2 𝑑𝑢 + 6 ∫0 √𝑢 𝑑𝑢
5 1
𝑢2 2 1 2 1 1 2 1
=> 𝐼 = [ 5 ] + 6[ 𝑢√𝑢] = [ 𝑢2 √𝑢] + [4𝑢√𝑢]0 = [ 𝑢2 √𝑢 + 4𝑢√𝑢]
3 0 5 0 5 0
2 0
22 22
=> 𝐼 = 𝐹(1) − 𝐹(0) = ( ) − (0) =
5 5
𝑍𝐴 = 1
𝑍𝑁 = 𝑖𝑍 − (1 + 𝑖).
𝑀’ = 𝑏𝑎𝑟𝑦{(𝑀 ; 𝜆) ; (𝑁 ; −𝜆); (𝐴 ; 1) }
1-Démontrons que pour tout 𝑀 du plan, le point 𝑁 est l’image de 𝑀 par une rotation dont on
Précisera les éléments caractéristiques.
Puisque 𝑎 = 𝑖 ∈ ℂ∗ − { 1 } et |𝑎| = |𝑖| = 1 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑓 est une rotation dont les éléments
caractéristiques sont :
𝜋
• Angle : 𝜃 = arg(𝑖) =
2
𝑏 −1−𝑖 −( 1+ 𝑖)2
• Centre Ω d’affixe 𝜔 = = = = −𝑖 => Ω(0 ; −1)
1− 𝑎 1− 𝑖 2
2- a- Démontrons que l’affixe 𝑍’ du point 𝑀’est telle que 𝑍’ = 𝜆(1 − 𝑖) 𝑍 + 𝜆(1 + 𝑖) + 1.
On a : 𝑀’ = 𝑏𝑎𝑟𝑦{(𝑀 ; 𝜆) ; (𝑁 ; −𝜆); (𝐴 ; 1) }
= 𝜆𝑍 − 𝜆𝑖𝑍 + 𝜆(1 + 𝑖) + 1
b- Démontrons que 𝑇𝜆 est une similitude directe dont on Précisera l’affixe du centre Ω ; le
rapport et l’angle
𝜋
• Angle : 𝜃 = arg[𝜆(1 − 𝑖)] = −
4
𝑏 𝜆(1+𝑖)+1 1−2𝑖𝜆2
• Centre Ω d’affixe 𝜔 = = = (1−𝜆)2
1− 𝑎 1− [𝜆(1−𝑖) ] + 𝜆2
1 −2𝜆2 1 −2𝜆2
= (1−𝜆)2 + 𝑖 (1−𝜆)2 => Ω((1−𝜆)2 ; )
+ 𝜆2 + 𝜆2 + 𝜆2 (1−𝜆)2 + 𝜆2
c-Déterminons les valeurs de 𝜆 , pour la quelle 𝑇𝜆 est une rotation.
1 √2
−𝜆√2 = 1 𝜆=− =−
√2 2
|𝜆|√2 = 1 { 𝑜𝑢 => 𝑜𝑢
1 √2
𝜆√2 = 1
{ 𝜆 = √2 = 2
√𝟐
a- Pour 𝝀 = − , on a :
𝟐
√𝟐 𝜋 3𝜋
• Angle : 𝜃 = arg[− (1 − 𝑖)] = 𝜋 − =
𝟐 4 4
2
√2
1 −2(− 2 ) 2− √2 2− √2
• Centre Ω( 2 2 ; 2 2 ) => Ω( ;− )
√2 √2 √2 √2 2 2
(1+ ) + (− ) (1+ ) + (− )
2 2 2 2
√𝟐
b- Pour 𝝀 = , on a :
𝟐
√𝟐 𝜋
• Angle : 𝜃 = arg[ (1 − 𝑖)] = −
𝟐 4
2
√2
1 −2(− 2 ) 2+ √2 2+ √2
• Centre Ω( 2 2 ; 2 2 ) => Ω( ;− )
√2 √2 √2 √2 2 2
(1− ) + (− ) (1− ) + (− )
2 2 2 2
√𝟐
c- Pour 𝝀 = − , on a :
𝟐
√𝟐 √𝟐
𝑇 √2 : 𝑍’ = − (1 − 𝑖) 𝑍 − (1 + 𝑖) + 1
− 𝟐 𝟐
2
√𝟐 √𝟐
𝑥 ′ + 𝑖𝑦 = − (1 − 𝑖)(𝑥 + 𝑖𝑦) − (1 + 𝑖) + 1
𝟐 𝟐
√𝟐 √𝟐
𝑥 ′ + 𝑖𝑦 = − (𝑥 + 𝑦 + 1 − √2) + 𝑖 (𝑥 − 𝑦 − 1)
𝟐 𝟐
√𝟐
𝑥′ = − (𝑥 + 𝑦 + 1 − √2)
𝟐
{
√𝟐
𝑦′ = (𝑥 − 𝑦 − 1)
𝟐
√𝟐
d- Pour 𝝀 = , on a :
𝟐
√𝟐 √𝟐
𝑇 √2 : 𝑍’ = (1 − 𝑖) 𝑍 + (1 + 𝑖) + 1
− 𝟐 𝟐
2
√𝟐 √𝟐
𝑥 ′ + 𝑖𝑦 = − (1 − 𝑖)(𝑥 + 𝑖𝑦) − (1 + 𝑖) + 1
𝟐 𝟐
√𝟐 √𝟐
𝑥 ′ + 𝑖𝑦 = (𝑥 + 𝑦 + 1 + √2) + 𝑖 (−𝑥 + 𝑦 + 1)
𝟐 𝟐
√𝟐
𝑥′ = (𝑥 + 𝑦 + 1 + √2)
𝟐
{
√𝟐
𝑦′ = (−𝑥 + 𝑦 + 1)
𝟐
3- Le nombre réel 𝜆 étant strictement positif, on lui associe le point 𝑃(−𝑙𝑛𝜆 ; 𝑙𝑛𝜆).
Pour cela Exprimons les coordonnées (𝑥’ ; 𝑦’) du point 𝑀’ en fonction de celles (𝑥 ; 𝑦) de 𝑀
On a : 𝑇𝜆 : 𝑍’ = 𝜆(1 − 𝑖) 𝑍 + 𝜆(1 + 𝑖) + 1
1
𝑥 ′ + 𝑖𝑦 = 𝜆 (𝑥 + 𝑦 + 1 + ) + 𝑖𝜆(−𝑥 + 𝑦 + 1)
𝜆
1
𝑥 ′ = 𝜆 (𝑥 + 𝑦 + 1 + )
{ 𝜆
𝑦 ′ = 𝜆(−𝑥 + 𝑦 + 1)
1 1
𝑥𝑃′ = 𝜆 (−𝑙𝑛𝜆 + 𝑙𝑛𝜆 + 1 + ) 𝑥𝑃′ = 𝜆 (1 + )
Alors 𝑇𝜆 (𝑃) = 𝑃’ { 𝜆 { 𝜆
𝑦𝑃′ = 𝜆(𝑙𝑛𝜆 + 𝑙𝑛𝜆 + 1) 𝑦𝑃′ = 𝜆(2𝑙𝑛𝜆 + 1)
𝑥 = 𝜆+1
{ 𝑃′ => 𝑃′(𝜆 + 1 ; 2𝜆𝑙𝑛𝜆 + 𝜆 )
𝑦𝑃′ = 2𝜆𝑙𝑛𝜆 + 𝜆
b- Démontrons que lorsque 𝜆 décrit ℝ∗+ ; l’ensemble des points 𝑃’ est la courbe (Γ) d’équation
𝑦 = 2(𝑥 − 1)𝑙𝑛(𝑥 − 1) + (𝑥 − 1)
D’où lorsque 𝜆 décrit ℝ∗+ ; l’ensemble des points 𝑃’ est la courbe (Γ) d’équation
𝑥→1 𝑥→1
Si 𝑥 → 1 Alors 𝑋 → 0
𝑥→1 𝑋→0
De même
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
Si 𝑥 → +∞ Alors 𝑋 → +∞
𝑥 → +∞ 𝑋 → +∞
3
𝑥 > 𝑒 − 2 + 1.
3
Ainsi on dira que pour les 𝑥 > 𝑒 − 2 + 1; on a : ℎ′ (𝑥) > 0.
3
𝑥 1 𝑒− 2 + 1 +∞
ℎ′(𝑥) − +
0
0 +∞
ℎ(𝑥)
−0,44
ℎ(𝑥)
𝑙𝑖𝑚 = +∞
𝑥
𝑥 → +∞
y
4
0 1 2 3 4 5 x
-1
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
PARTIE A :
Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1). On désigne par (C𝑓) la
courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormé(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) d’unité graphique 1cm.
2
(−2𝑥)2 − ( √4𝑥 2 + 1) 4𝑥 2 − (4𝑥 2 + 1) 4𝑥 2 −4𝑥 2 − 1
= 𝑙𝑛 [ ] = 𝑙𝑛 [ ] = 𝑙𝑛 ( )
−2𝑥 − √4𝑥 2 + 1 −2𝑥 − √4𝑥 2 + 1 −2𝑥 − √4𝑥 2 + 1
−1 1
= 𝑙𝑛 ( ) = 𝑙𝑛 ( ) = −𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1) = −𝑓(𝑥)
−2𝑥 − √4𝑥 2 + 1 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1
8𝑥 4𝑥 2√4𝑥2 + 1+ 4𝑥
2+ 2+
2√4𝑥2 + 1 √4𝑥2 + 1 √4𝑥2 + 1
𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1) => 𝑓′(𝑥) = = =
2𝑥 + √4𝑥2 + 1 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1
2(√4𝑥2 + 1+ 2𝑥)
√4𝑥2 + 1 2(√4𝑥 2 + 1+ 2𝑥) 2
= = = √4𝑥 2
2𝑥 + √4𝑥 2 + 1 (√4𝑥 2 + 1+ 2𝑥)(√4𝑥 2 + 1) +1
2
D’où ∀ 𝑥 ∈ ℝ ; 𝑓′(𝑥) =
√4𝑥 2 + 1
∀ 𝑥 ∈ ℝ ; 𝑓′(𝑥) > 0
1
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [2𝑥 + √4𝑥 2 (1 + )]
4𝑥 2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
1 1
= 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [2𝑥 + |2𝑥|√1 + ] = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [2𝑥 + 2𝑥√1 + ]
4𝑥 2 4𝑥 2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
1
= 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [2𝑥 (1 + √1 + )] = 𝑙𝑛[(+∞)(2)] = 𝑙𝑛(+∞) = +∞
4𝑥 2
𝑥 → +∞
2
(2𝑥 + √4𝑥 2 + 1)(2𝑥 − √4𝑥 2 + 1) (2𝑥)2 − ( √4𝑥 2 + 1)
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [ ] = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [ ]
2𝑥 − √4𝑥 2 + 1 2𝑥 − √4𝑥 2 + 1
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
4𝑥 2 − (4𝑥 2 + 1) 4𝑥 2 −4𝑥 2 − 1 −1
= 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 [ ] = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( ) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( )
2𝑥 − √4𝑥 2 + 1 2𝑥 − √4𝑥 2 + 1 2𝑥 − √4𝑥 2 + 1
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
−1 −1
= 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( 1
) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( 1
)
2𝑥 − √4𝑥 2 (1 + 2 ) 2𝑥 − |2𝑥|√1 +
4𝑥 4𝑥2
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
−1 −1
= 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( 1
) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( 1
)
2𝑥 −(−2𝑥)√1 + 2𝑥 + 2𝑥√1 +
4𝑥2 4𝑥2
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
−1 −1
= 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( ) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( ) = −∞
1 2𝑥
[2𝑥(1 +√1 + )]
4𝑥2
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
𝑥 −∞ +∞
𝑓′(𝑥) +
+∞
𝑓(𝑥)
−∞
𝑥→∞ 𝑥→∞
L’équation de la tangente (T) à (C𝑓) au point d’abscisse nul est 𝑦 = 𝑓′(0)(𝑥) + 𝑓(0)
y
4
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5x
-1
-2
-3
2
Posons 𝑢(𝑥) = 𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1) => 𝑢′(𝑥) =
√4𝑥 2 + 1
𝛼
= [𝑥𝑙𝑛( 2𝑥 + √4𝑥 2 + 1) − 2√4𝑥 2 + 1]0
PARTIE B :
1) Montrons que la fonction 𝑓 admet une fonction réciproque 𝑔 définie sur un intervalle I que
l’on Précisera.
D’où la fonction 𝑓 admet une fonction réciproque 𝑔 définie sur l’intervalle 𝐼 = ]−∞ ; +∞[
y
5 (C𝑔) 1ère bissectrice : 𝑦 = 𝑥
4
(C𝑓)
3
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
-4
1
3) Montrons que pour tout 𝑥 ∈ I, on a : 𝑔(𝑥) = (𝑒 𝑥 − 𝑒 − 𝑥 ).
4
2
2𝑥 + √4𝑥 2 + 1 = 𝑒 𝑦 √4𝑥 2 + 1 = 𝑒 𝑦 − 2𝑥 (√4𝑥 2 + 1) = (𝑒 𝑦 − 2𝑥)2
𝑒 2𝑦 −1
4𝑥 2 + 1 = 𝑒 2𝑦 − 4𝑥𝑒 𝑦 + 4𝑥 2 𝑒 2𝑦 − 4𝑥𝑒 𝑦 = 1 4𝑥𝑒 𝑦 = 𝑒 2𝑦 − 1 𝑥 =
4𝑒 𝑦
(𝑒 2𝑦 −1)𝑒 −𝑦 𝑒 2𝑦 ×𝑒 −𝑦 −𝑒 −𝑦 𝑒 𝑦 − 𝑒 −𝑦 1
𝑥= = = = (𝑒 𝑦 − 𝑒 − 𝑦 ).
4 4 4 4
1
=> 𝑓 −1 (𝑥) = 𝑔(𝑥) = (𝑒 𝑥 − 𝑒 − 𝑥 ). ( Ce qu’il fallait démontrer)
4
4) Montrons que l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥 admet dans l’intervalle ] 0 ; + ∞ [ une solution unique
− √3 √3
𝛼 et que α ∈ ] ; [.
2 2
− √3 √3 √3 √3
- De plus [𝑔 ( )+ ] × [𝑔 ( )− ]<0
2 2 2 2
− √3 √3
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires, α ∈ ] ; [.
2 2
5) Calculons en fonction de 𝛼 l’aire du domaine limité par les deux courbes (C𝑓) et (C𝑔) et
situées dans le demi-plan 𝑥 ≥ 0.
𝛼 𝛼 𝛼
𝐵(𝛼) = ∫0 [𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) ]𝑑𝑥 = ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 − ∫0 𝑔(𝑥)𝑑𝑥
1 𝛼
= 𝛼𝑙𝑛( 2𝛼 + √4𝛼 2 + 1) − 2√4𝛼 2 + 1 + 2 + ∫0 (𝑒 𝑥 − 𝑒 −𝑥 )𝑑𝑥
4
1 1 𝛼
= 𝛼𝑙𝑛( 2𝛼 + √4𝛼 2 + 1) − 2√4𝛼 2 + 1 + 2 + [ 𝑒 𝑥 + 𝑒 −𝑥 ]
4 4 0
1 1 1 1
= 𝛼𝑙𝑛( 2𝛼 + √4𝛼 2 + 1) − 2√4𝛼 2 + 1 + 2 + 𝑒 𝛼 + 𝑒 −𝛼 − −
4 4 4 4
PARTIE C :
𝑔(𝑥)
On considère la fonction 𝜑 définie sur ℝ par 𝜑(𝑥) = .
𝑔 ′(𝑥)
1) Montrons que 𝜑 est une bijection de ℝ sur un intervalle 𝐽 que l’on Précisera.
1 𝑥 1
𝑔(𝑥) (𝑒 − 𝑒 − 𝑥 ) 𝑒𝑥 − 𝑒− 𝑥 𝑒𝑥 − 𝑥 𝑒 2𝑥 − 1
4 𝑒
𝜑(𝑥) = = 1 𝑥 = = 1 =
𝑔 ′(𝑥) (𝑒 + 𝑒 − 𝑥 ) 𝑒𝑥 + 𝑒− 𝑥 𝑒𝑥 + 𝑥 𝑒 2𝑥 + 1
4 𝑒
𝑒 2𝑥 − 1 𝑒 2𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝜑(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 = 𝑙𝑖𝑚 = 1
𝑒 2𝑥 + 1 𝑒 2𝑥
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
𝑒 2𝑥 − 1 0−1 −1
𝑙𝑖𝑚 𝜑(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 = = = −1
𝑒 2𝑥 + 1 0+1 1
𝑥 → −∞ 𝑥 → −∞
𝑒 2𝑥 − 1 4𝑒 2𝑥
𝜑(𝑥) = => 𝜑′(𝑥) = => ∀ 𝑥 ∈ ℝ ; 𝜑′(𝑥) > 0
𝑒 2𝑥 + 1 (𝑒 2𝑥 + 1)2
𝑥 −∞ +∞
𝜑′(𝑥) +
1
𝜑(𝑥)
−1
D’où la fonction 𝜑 admet une fonction réciproque 𝜑 − 1 (𝑥) définie sur l’intervalle
𝐽 = ]−1 ; 1[.
𝑒 2𝑥 − 1 𝑒 2𝑥 − 1
𝜑(𝑥) = . Posons 𝜑(𝑥) = 𝑦 = 𝑦 𝑒 2𝑥 – 1 = 𝑦(𝑒 2𝑥 + 1)
𝑒 2𝑥 + 1 𝑒 2𝑥 + 1
1+𝑦
𝑒 2𝑥 – 1 = 𝑦𝑒 2𝑥 + 𝑦 𝑒 2𝑥 – 𝑦𝑒 2𝑥 = 1 + 𝑦 𝑒 2𝑥 (1 − 𝑦) = 1 + 𝑦 => 𝑒 2𝑥 = =>
1− 𝑦
1+𝑥
D’où ℎ(𝑥) = 𝜑 − 1 (𝑥) = 𝑙𝑛√
1− 𝑥
1 1− 𝑥
√
1+𝑥 ( 1 − 𝑥)2 1 + 𝑥 1 1
ℎ(𝑥) = 𝑙𝑛√ => ℎ′(𝑥) = = . D’où ℎ′(𝑥) =
1− 𝑥 1+𝑥 1− 𝑥 2 1− 𝑥 2
√
1− 𝑥
1+𝑥
𝑙𝑖𝑚 ℎ(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛√ = −∞
1− 𝑥
𝑥 → −1+ 𝑥 → −1+
1+𝑥 2
𝑙𝑖𝑚 ℎ(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛√ = 𝑙𝑛√ = +∞
1− 𝑥 0+
𝑥 → 1− 𝑥 → 1+
1+𝑥 1
ℎ(𝑥) = 𝑙𝑛√ => ℎ′(𝑥) =
1− 𝑥 1− 𝑥 2
=> 𝑥 = −1 ou 𝑥 = 1
𝑥 −∞ +∞
𝜑′(𝑥) +
+∞
𝜑(𝑥)
−∞
y
3
-3 -2 -1 0 1 2 3 x
-1
-2
-3
II// Un récepteur radio possède cinq (05) transistors dont deux (02) défectueux. On effectue
simultanément un contrôle sur deux (02)
1) Combien y-a-t-il de contrôles possibles ?
2) Soit x la variable aléatoire égale au nombre de transistor défectueux décelés lors des
contrôlés.
a- Détermine l’ensemble des valeurs prises par X.
b- Détermine la loi de probabilité de X.
c- Calcule l’espérance mathématique, la variance et l’écart-type de X.
𝑀𝐴2 + 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 = 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 .
1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
a- Calcule 2𝐴𝐵 𝐴𝐶 puis en déduis que 𝐴𝐺 2 = (2𝑏2 + 2𝑐2 − 𝑎2 ).
9
1
b- Montre que 𝐴𝐺 2 + 𝐵𝐺 2 + 𝐶𝐺 2 = (𝑎2 + 𝑏2 + 𝑐2 ).
3
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// On étudie l’évolution d’une colonie de bactéries placée dans une pétrie. Le nombre de
bactéries en centaines est modélisé par la fonction f définie sur l’intervalle[0; +∞[ par
4et −1
𝑓(𝑡) = t où 𝑡 représente le temps en heures. On suppose que l’on peut compter le
e +2
nombre de bactéries à l’unité près grâce à un compteur de radioactivité.
1) a) Calcule 𝑓(0) et interpréter ce résultat.
9
b) Montre que 𝑓(𝑡) = 4 − . En déduis la limite de 𝑓 en +∞
et + 2
9et
2) Montre que la dérivée 𝑓′de 𝑓 vérifie 𝑓′(𝑡) = 2. En déduis le tableau de variation de 𝑓
(et + 2)
sur l’intervalle [0; +∞[
3) Soit (T) la tangente au point d’abscisse 0 à la courbe (C). Détermine une équation de (T).
7) Détermine le temps au bout duquel la population de cette colonie serrait égale à 80% de sa
saturation
II// On désigne par (𝑜 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) un repère orthonormé du plan P. Soit 𝑎 un nombre réel et 𝑓𝑎
l’application affine de P dans luis - même qui au point 𝑀 (𝑦𝑥 ) associe le point 𝑀′ (𝑦′
𝑥′
) tel que :
′
𝑥 = 𝑎𝑥
{ ′
𝑦 = (𝑎 + 3)𝑥 − 𝑎𝑦 + 𝑎 + 9
1) a- Démontre que pour toute valeur non nulle de 𝑎, 𝑓𝑎 est une bijection.
c- Détermine l’ensemble des points invariants par 𝑓𝑎 . (On discutera suivant les valeurs du
un nombre réel 𝑎).
𝜋 𝜋 𝜋
𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝜋
= ∫02 ( ) 𝑑𝑥 = ∫02 1𝑑𝑥 = [𝑥]02 =
𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 2
𝜋
=> 𝐼 + 𝐽 =
2
𝜋 𝜋 𝜋
𝑐𝑜𝑠𝑥 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑐𝑜𝑠𝑥 𝑠𝑖𝑛𝑥
𝐼 − 𝐽 = ∫02 𝑑𝑥 − ∫02 𝑑𝑥 = ∫02 ( − ) 𝑑𝑥
𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥
𝜋 𝜋
𝑐𝑜𝑠𝑥− 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝜋
= ∫02 ( ) 𝑑𝑥 = [𝑙𝑛(𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥)]02 = 𝐹 ( ) − 𝐹(0) = 0
𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 2
=> 𝐼 − 𝐽 = 0
Ainsi pour en déduis les valeurs de 𝐼 𝑒𝑡 𝐽 ; on forme le système avec les équations :
𝜋
𝐼 +𝐽= et 𝐼 − 𝐽 = 0
2
𝜋
𝐼 +𝐽 =
=> { 2
𝐼−𝐽 = 0
𝜋 𝜋
La resolution de Ce système Donne: 𝐼 = et 𝐽= .
4 4
II// Un récepteur radio possède cinq ( 05 ) transistors dont deux ( 02 ) défectueux. On effectue
simultanément un contrôle sur deux ( 02 )
2) Soit X la variable aléatoire égale au nombre de transistor défectueux décelés lors des
contrôlés.
Puisque le tirage est simultané, alors le tirage peut être donc porté soit sur 0 transistors, soit sur
1 transistors , soit sur 2 transistors.
D’où l’ensemble des valeurs prises par X est : X = {0 ; 1 ; 2}.
𝑥𝑖 0 1 2
3 6 1
P(𝑋 = 𝑥𝑖 ) 10 10 10
3 6 1 8
E(𝑋)= ∑ 𝑥𝑖 × 𝑃𝑖 = 0 × +1× +2× = = 0,8 => E(𝑋) = 0,8
10 10 10 10
3 6 1
Or V(𝑋)= ∑ 𝑥𝑖 2 × 𝑃𝑖 − 𝐸 2 (𝑋) = 02 × + 12 × + 22 × − 0,82 = 0,36
10 10 10
𝑀𝐴2 + 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 = 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 .
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • 𝐴𝐶
a- Calculons 2𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵2 + 𝐴𝐶 2 − 𝐵𝐶 2
On sait que : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 •𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • 𝐴𝐶
=> 2𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐴𝐵2 + 𝐴𝐶 2 − 𝐵𝐶 2
2
Or 𝐵𝐶 = 𝑎 ; 𝐴𝐶 = 𝑏 et 𝐴𝐵 = 𝑐.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> 2𝐴𝐵 𝐴𝐶 = 𝑐 2 + 𝑏 2 − 𝑎2
1
En déduisons que 𝐴𝐺 2 = (2𝑏2 + 2𝑐2 − 𝑎2 ).
9
=> ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐴 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐶 = ⃗0⃗
1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺 = 𝐴𝐵 + 𝐴𝐶
3 3
1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺 = (𝐴𝐵 + 𝐴𝐶 )
3
1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • 𝐴𝐶 1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐴𝐶 2 ) = (𝑐 2 + 𝑐 2 + 𝑏 2 − 𝑎2 + 𝑏 2 )
𝐴𝐺 2 = (𝐴𝐵2 + 2𝐴𝐶
9 9
1
=> 𝐴𝐺 2 = (2𝑏 2 + 2𝑐 2 − 𝑎2 )
9
1 1
De même on a : 𝐵𝐺 2 = (2𝑎2 + 2𝑐 2 − 𝑏 2 ) et 𝐶𝐺 2 = (2𝑏 2 + 2𝑎2 − 𝑐 2 )
9 9
1
b- Montrons que 𝐴𝐺 2 + 𝐵𝐺 2 + 𝐶𝐺 2 = (𝑎2 + 𝑏2 + 𝑐2 ).
3
D’après 1) a-), on a :
1
𝐴𝐺 2 = (2𝑏 2 + 2𝑐 2 − 𝑎2 ) (1)
9
1
𝐵𝐺 2 = (2𝑎2 + 2𝑐 2 − 𝑏 2 ) (2)
9
1
𝐶𝐺 2 = (2𝑏 2 + 2𝑎2 − 𝑐 2 ) (3)
9
En effectuant la somme membre à membre des relations : (1) ; (2) et (3), on obtient :
1 1 1
𝐴𝐺 2 + 𝐵𝐺 2 + 𝐶𝐺 2 = (2𝑏2 + 2𝑐2 − 𝑎2 ) + (2𝑎2 + 2𝑐2 − 𝑏2 ) + (2𝑏2 + 2𝑎2 − 𝑐2 )
9 9 9
1
= (2𝑏2 + 2𝑐2 − 𝑎2 + 2𝑎2 + 2𝑐2 − 𝑏2 + 2𝑏2 + 2𝑎2 − 𝑐2 )
9
1 3 1
= (3𝑏2 + 3𝑐2 + 3𝑎2 ) = (𝑏2 + 𝑐2 + 𝑎2 ) = (𝑎2 + 𝑏2 + 𝑐2 )
9 9 3
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 192
Sujets de Bac
1
D’où 𝐴𝐺 2 + 𝐵𝐺 2 + 𝐶𝐺 2 = (𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 ) (ce qu’il fallait Démontre)
3
Avec 𝐴𝐵2 = 𝑐 2 ; 𝐴𝐶 2 = 𝑏 2 𝑒𝑡 𝐵𝐶 2 = 𝑎2
2 2 + 𝑏2 + 𝑐2
𝑐2 + 𝑏 + 𝑎 2
=> 𝑓(𝐺) =
3
=𝑎 3
2
𝑎 2 + 𝑏 + 𝑐2
D’où 𝑓(𝑀) = 3𝑀𝐺 2 +
3
2
𝑎 2 + 𝑏 + 𝑐2
Alors par identification on a : 3𝑀𝐺 2 + = 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2
3
2
𝑎 2 + 𝑏 + 𝑐2
3𝑀𝐺 2 = 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 −
3
2 2
3𝑎2+3𝑏 + 3𝑐2− 𝑎2− 𝑏 − 𝑐2
3𝑀𝐺 2 =
3
2
2𝑎2+ 2𝑏 + 2𝑐2
3𝑀𝐺 2 =
3
2
2𝑎2 + 2𝑏 + 2𝑐2
𝑀𝐺 2 =
9
2 2
2 (𝑎 2 + 𝑏 + 𝑐2 ) √2(𝑎2 + 𝑏 + 𝑐2 )
𝑀𝐺 2 = => 𝑀𝐺 =
9 3
Donc l’ensemble (E) des points M du plan cherché est le cercle de centre 𝐺et de rayon 𝑟 =
2
√2(𝑎2 + 𝑏 + 𝑐2 )
b- On donne 𝑎 = 5 ; 𝑏 = 4 et 𝑐 = 3.
Si 𝑎 = 5 ; 𝑏 = 4 et 𝑐 = 3, alors :
10
L’ensemble (E) des points M du plan cherché est le cercle de centre 𝐺et de rayon 𝑟 =
3
𝑐 𝐺 𝑏
𝐵 𝐶
𝑎
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// On étudie l’évolution d’une colonie de bactéries placée dans une pétrie. Le nombre de
bactéries en centaines est modélisé par la fonction 𝑓 définie sur l’intervalle[0; +∞[ par 𝑓(𝑡) =
4et −1
où 𝑡 représente le temps en heures. On suppose que l’on peut compter le nombre de
et + 2
bactéries à l’unité près grâce à un compteur de radioactivité.
1) a) Calculons 𝑓(0)
4e0 −1 4 −1 3
𝑓(0) = = = =1
e0 + 2 1+2 3
9
b) Montrons que 𝑓(𝑡) = 4 − .
et + 2
4et −1
𝑓(𝑡) = . En effectuant la division Euclidienne de 4et − 1 par et + 2, on obtient bien :
et + 2
9
𝑓(𝑡) = 4 − .
et + 2
En déduisons la limite de 𝑓 en +∞
9 9
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑡) = 𝑙𝑖𝑚 4 − t . = 𝑙𝑖𝑚 4 − t = 4 − 0 = 4
e +2 e
𝑡 → +∞ 𝑡 → +∞ 𝑡 → +∞
Si cette valeur est la saturation, alors on peut conclure que pour la courbe (C ) admet 4
centaines de bactéries comme valeur seille.
9et
2) Montrons que la dérivée 𝑓′de 𝑓 vérifie 𝑓′(𝑡) = (et .
+ 2)2
4et −1
𝑓(𝑡) =
et + 2
9et
𝑓 ′ (𝑡) = (et > 0. Alors pour tout 𝑡 ∈ [0; +∞[, 𝑓 est strictement croissante.
+ 2)2
𝑡 0 +∞
𝑓′(𝑡) +
4
𝑓(𝑡)
1
3) Déterminons une équation de la tangente (T) à la courbe (C) au point d’abscisse 0
II// On désigne par (𝑜 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) un repère orthonormé du plan P. Soit 𝑎 un nombre réel et 𝑓𝑎
l’application affine de P dans luis - même qui au point 𝑀 (𝑦𝑥 ) associe le point 𝑀′ (𝑦′
𝑥′
) tel que :
𝑥 ′ = 𝑎𝑥
{ ′
𝑦 = (𝑎 + 3)𝑥 − 𝑎𝑦 + 𝑎 + 9
1) a- Démontrons que pour toute valeur non nulle de 𝑎, 𝑓𝑎 est une bijection.
𝑎 0
La matrice de 𝑓𝑎 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀𝑎 = ( )
𝑎+3 −𝑎
𝑎 0
Ainsi le déterminant associé à cette matrice est : 𝑑𝑒𝑡𝑀𝑎 = | |
𝑎+3 −𝑎
𝑎 0
𝑑𝑒𝑡𝑀𝑎 = | | = −𝑎2 − 0(𝑎 + 3) = −𝑎2 ≠ 0 𝑎 ≠ 0.
𝑎+3 −𝑎
𝑥 ′ = 𝑎𝑥
Pour 𝑎 ≠ 0, 𝑓𝑎 (𝑀) = 𝑀′ 𝑓𝑎−1 (𝑀′) = 𝑀 { ′
𝑦 = (𝑎 + 3)𝑥 − 𝑎𝑦 + 𝑎 + 9
1 1
𝑥 = 𝑥′ 𝑥 = 𝑥′
𝑎 𝑎
{ 𝑎+3 { 𝑎+3 1 𝑎+9
𝑎𝑦 = 𝑥′ − 𝑦′ + 𝑎 + 9 𝑦= 𝑥 ′ − 𝑦′ +
𝑎 𝑎2 𝑎 𝑎
1
𝑥1 = 𝑥
𝑓𝑎−1 : 𝑀 (𝑦𝑥 ) ↦ 𝑀1 (𝑥𝑦1) Avec { 𝑎
𝑎+3 1 𝑎+9
1
𝑦1 = 2 𝑥 − 𝑦 +
𝑎 𝑎 𝑎
c- Déterminons l’ensemble des points invariants par 𝑓𝑎 . (On discutera suivant les valeurs du
un nombre réel 𝑎).
𝑥 = 𝑎𝑥 (𝑎 − 1)𝑥 = 0
{ 𝑦 = (𝑎 + 3)𝑥 − 𝑎𝑦 + 𝑎 + 9 {
(𝑎 + 3)𝑥 − (𝑎 + 1)𝑦 = − 𝑎 − 9
𝑎−1 0
Le déterminant associé à ce système est 𝑑𝑒𝑡𝑀𝑎 = | | = −(𝑎 − 1)(𝑎 + 1)
𝑎+3 −(𝑎 + 1)
Si 𝒂 = 𝟏
a-
𝑥=𝑥
On a 𝑓1 (𝑀) = 𝑀 {𝑦 = 4𝑥 − 𝑦 + 10 4𝑥 − 2𝑦 = −10 2𝑥 − 𝑦 + 5 = 0
D’où pour 𝒂 = 𝟏, l’ensemble des points invariants chercher est la droite d’équation :
2𝑥 − 𝑦 + 5 = 0
b- Si 𝒂 = −𝟏
𝑥 = −𝑥 2𝑥 = 0
On a 𝑓−1 (𝑀) = 𝑀 {𝑦 = 2𝑥 + 𝑦 + 8 { ce qui est absurde.
2𝑥 = −8
𝑥′ = 𝑥
On a 𝑓1 : {
𝑦′ = 4𝑥 − 𝑦 + 10
1 0
Ainsi la matrice de 𝑓1 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀1 = ( )
4 −1
1 0
Par conséquent 𝑓1 est involutive si et seulement si 𝑀1 × 𝑀1 = ( ) = (matrice identique)
0 1
1 0 1 0 1 0 1 0
𝑀1 = ( ) => 𝑀1 × 𝑀1 = ( )×( )=( ). D’où 𝑓 est involutive.
4 −1 4 −1 4 −1 0 1
- On sait que la droite d’équation : 2𝑥 − 𝑦 + 5 = 0 est l’ensemble des points invariants par 𝑓1 .
𝑥 = −𝑥
- On sait que aussi que 𝜑−1 (𝑢 ⃗⃗ {−𝑦 = 4𝑥 − 𝑦 𝑥 = 0
⃗⃗) = −𝑢
b- Démontrons que seule 𝑓−1 est la composée d’une symétrie 𝑠 et d’une translation 𝒕 dont
le vecteur est un directeur de l’ensemble des points invariants par 𝑠, c’est-à-dire que
𝑓−1 = 𝑡o𝑠.
𝑥 ′ = −𝑥
On a 𝑓−1 : { ′
𝑦 = 2𝑥 + 𝑦 + 8
−1 0
Ainsi la matrice de 𝑓−1 dans la base (𝑖⃗ ; 𝑗⃗) est 𝑀−1 = ( )
2 1
−1 0 −1 0 1 0
Par conséquent 𝑀−1 × 𝑀−1 = ( )×( )=( ) (matrice identique)
2 1 2 1 0 1
D’autre part, 𝑓−1 n’admet pas de point invariant donc 𝑓−1 = 𝑡𝑜𝑠 = 𝑠𝑜𝑡 où 𝑠 est une symétrie
et 𝑡 une translation.
Si 𝑢
⃗⃗ est le vecteur de la translation 𝑡, alors 𝑡𝑜𝑡 = 𝑡2𝑢⃗⃗ et par conséquent 𝑡2𝑢⃗⃗ = 𝑓−1 𝑜𝑓−1 .
𝑥 ′′ = 𝑥
D’autre part on sait que 𝑓−1 𝑜𝑓−1 est définie par : { ′′ => 2𝑢
⃗⃗ a pour
𝑦 = 𝑦 + 16
coordonnées (0 ; 16) et par conséquent 𝑢 ⃗⃗(0 ; 8).
𝑥 ′ = −𝑥
𝑓−1 = 𝑡𝑜𝑠 𝑠 = 𝑡 −1 𝑜𝑓−1 𝑠 Est définie analytiquement par : { ′
𝑦 = 2𝑥 + 𝑦
𝑠(𝑀) = 𝑀 𝑥 = 0.
y
5 (T)
4
(C)
3
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
4et −1
Le nombre de bactéries sera égal à 200 si et seulement si 𝑓(𝑡) = 2 =2
et + 2
5 5
4et − 1 = 2(et + 2) 4et − 1 = 2et + 4 2et = 5 et = t = 𝑙𝑛 ( )
2 2
7) Déterminons le temps au bout duquel la population de cette colonie serrait égale à 80% de sa
saturation.
80 4et −1
𝑓(𝑡) = 4 × 80% 𝑓(𝑡) = 4 × 𝑓(𝑡) = 3,2 = 3,2
100 et + 2
7,4
4et − 1 = 3,2(et + 2) 4et − 1 = 3,2et + 6,4 0,8et = 7,4 et =
0,8
Sujet 16 (TSE-STI)
Exercice 1………………..…………………………………………(𝟓 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
I// 1) On considère l’équation (1) d’inconnue ( 𝑥 ; 𝑦) de ℤ2 : 11𝑥 – 24𝑦 = 1.
a- Justifie à l’aide de l’énoncé d’un théorème, que cette équation admet au moins une
solution.
b- En utilisant l’algorithme d’Euclide, détermine une solution particulière de (1 ).
c- Détermine l’ensemble solution de l’équation (1)
2) Recherche du PGCD de 1011 − 1 et 1024 − 1.
II// Sur une autoroute, deux carrefours successifs sont munis de feux tricolores A et B.
La couleur du feu B est indépendante de celle du feu A.
3
La probabilité que le feu A soit vert est .
4
1
La probabilité que le feu B soit vert est .
2
La probabilité de couleur orange est toujours nulle.
1) Détermine puis trace l’ensemble (Γ) des points 𝑀 ( 𝑦𝑥 ) du plan tels que le barycentre du
système {(𝐴 , 𝑥) ; (𝐵 , 𝑦) ; (𝐶 , 𝑥𝑦)} n’existe pas.
2) Soit C le point du plan P tel que 𝐴𝐵𝐶 soit un triangle équilatéral de côté 𝑎 ( 𝑎 ∈ ℝ∗ )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2𝑀𝐴 𝑀𝐵2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐺 2 = 𝑘𝑎2 avec 𝑘 ∈ ℝ (On discutera suivant les valeurs du paramètre 𝑘)
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Dans tout le problème le plan est rapporté à un repère orthonormal(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) (unité 5 cm).
Partie A :
2
On considère la fonction 𝑓1 définie sur [0 ; + ∞[ par 𝑓′1(𝑥) = 𝑥𝑒 −𝑥 et on appelle C1 sa
courbe représentative.
2 2
1) Montre que pour tout réel positif 𝑥, 𝑓1(𝑥) =𝑒 −𝑥 − 2𝑥 2 𝑒 −𝑥 .En déduis le sens de
variation de 𝑓1.
5) Trace C1 et ∆.
Partie B :
x 3e x
2
On considère la fonction 𝑓3 définie sur [0 ; + ∞[ par 𝑓3(𝑥) = et on appelle C3 sa
courbe représentative.
2) Montre que pour tout réel 𝑥 positif, 𝑓′3(𝑥) a même signe que 3 – 2𝑥 2. En déduis le
sens de variation de 𝑓3.
a) Calcule 𝐴1 .
1
b) A l'aide d'une intégration par parties, Montre que 𝐴3 = − + 𝐴1
2𝑒
Partie C :
On désigne par n un entier naturel non nul et on considère la fonction 𝑓𝑛 définie sur [0 ; + ∞[
2
par : 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑥 𝑛 𝑒 −𝑥 .
𝑛
1) Montre que pour tout entier 𝑛 ≥ 1, 𝑓𝑛 admet un maximum pour 𝑥 = √ On note 𝛼𝑛 ce
2
maximum.
𝑛
2) On appelle Sn le point de (𝐶𝑛 ) d'abscisse √ . Montre que, pour tout 𝑛, (𝐶𝑛 ) passe par S2.
2
b) Montre que pour tout entier 𝑛 ≥ 1, 𝛼𝑛 = 𝑔(𝑛). En déduis que tout point Sn, on a une
ordonnée supérieure à celle de S2.
Les entiers 11 et 24 sont premiers entre eux, puis que 11 est premier et ne divise pas 24.
Le théorème de Bézout affirme : deux entiers 𝑎 et 𝑏 sont premiers entre eux si et seulement
si, il existe (𝑢 ; 𝑣) ∈ ℤ2 tel que : 𝑎𝑢 + 𝑏𝑣 = 1.
Les entiers 11 et 24 étant premiers entre eux, il existe (𝑢 ; 𝑣) ∈ ℤ2 tel que : 11𝑢 + 24𝑣 = 1.
II// Sur une autoroute, deux carrefours successifs sont munis de feux tricolores A et B.
La couleur du feu B est indépendante de celle du feu A.
3
La probabilité que le feu A soit vert est .
4
1
La probabilité que le feu B soit vert est .
2
La probabilité de couleur orange est toujours nulle.
3 1 3 1 1 1 7
𝑃(𝐶) = 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐵) + 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐵̅ ) + 𝑃(𝐴̅) × 𝑃(𝐵) = × + × + × =
4 2 4 2 4 2 8
D’où :
3 0 1 4 1 4 1
𝑃(X = 0) = 𝐶40 ( ) × ( ) = ( ) =
4 4 4 256
3 1 1 3 3 1 3 12
𝑃(X = 1) = 𝐶41 ( ) × ( ) = 4 × × ( ) =
4 4 4 4 256
3 2 1 2 9 1 54
𝑃(X = 2) = 𝐶42 ( ) × ( ) = 6 × × =
4 4 16 16 256
3 3 1 1 27 1 108
𝑃(X = 3) = 𝐶43 ( ) × ( ) = 4 × × =
4 4 64 4 256
3 4 1 0 81 81
𝑃(X = 4) = 𝐶44 ( ) × ( ) = 1 × ×1=
4 4 256 256
𝑋 0 1 2 3 4
𝑃(𝑋 = 𝑥𝑖 ) 1 12 54 108 81
256 256 256 256 256
1 12 54 108 81 768
E(𝑋)= ∑ 𝑥𝑖 × 𝑃𝑖 = 0 × +1× +2× +3× +4× = =3
256 256 256 256 256 256
3
L’on pouvait prévoir ce résultat car la probabilité de rencontrer le feu vert au feu A est .
4
Comme il passe 4 fois à ce feu, il a alors 3 chances de rencontrer le feu vert d’où la valeur de
E(𝑋)= 3.
𝐴( 10 ) et 𝐵(01).
1) Déterminons puis traçons l’ensemble ( Γ ) des points 𝑀 ( 𝑦𝑥 ) du plan tels que le barycentre
du système {(𝐴 , 𝑥) ; (𝐵 , 𝑦) ; (𝐶 , 𝑥𝑦)} n’existe pas.
𝑥→−∞ 𝑥→+ 𝑥 → − 1− 𝑥 → − 1+
𝑥 1
𝑓(𝑥) = − => 𝑓′(𝑥) = − ( <0
𝑥+1 𝑥 + 1)2
𝑥 −∞ −1 +∞
𝑓′(𝑥) − −
−1 +∞
𝑓(𝑥)
−∞ −1
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
-4
2) Soit C le point du plan P tel que 𝐴𝐵𝐶 soit un triangle équilatéral de côté 𝑎 ( 𝑎 ∈ ℝ∗ )
×𝐺
𝑎 𝑎
𝐶 𝐵
𝑎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> 2𝐺𝐴 𝐺𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐶 = ⃗0⃗
1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺 = 𝐴𝐵 + 𝐴𝐶
4 4
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2𝑀𝐴 𝑀𝐵2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐺 2 = 𝑘𝑎2 avec 𝑘 ∈ ℝ (On discutera suivant les valeurs du paramètre 𝑘)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Posons 𝑓(𝑀) = 2𝑀𝐴 𝑀𝐵2 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐺 2
5𝑎2 𝑎2(4𝑘−5)
Alors 𝑓(𝑀) = 𝑘𝑎2 4𝑀𝐺 2 + 𝑓(𝐺) = 𝑘𝑎2 4𝑀𝐺 2 + = 𝑘𝑎2 4𝑀𝐺 2 =
4 4
𝑎2(4𝑘−5) 𝑎2(4𝑘−5) 𝑎
𝑀𝐺 2 = => 𝑀𝐺 = √ = √4𝑘 − 5
16 16 4
5
- si 𝑘 < ; alors l’ensemble (E) des points M cherchés est vide.
4
5
- si 𝑘 = ; alors 𝑀𝐺 = 0. Ainsi l’ensemble (E) des points M cherchés est le point 𝐺.
4
5
- si 𝑘 > ; alors l’ensemble (E) des points M cherchés est le cercle de centre 𝐺
4
𝑎
et de rayon 𝑟 = √4𝑘 − 5
4
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
Dans tout le problème le plan est rapporté à un repère orthonormal(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗) (unité 5 cm).
Partie A :
2
On considère la fonction 𝑓1 définie sur [0 ; + ∞[ par 𝑓1(𝑥) = 𝑥𝑒 −𝑥 et on appelle C1 sa
courbe représentative.
2 2
1) Montrons que pour tout réel positif 𝑥, 𝑓′1(𝑥) = 𝑒 −𝑥 − 2𝑥 2 𝑒 −𝑥
2 2 2
𝑓1(𝑥) = 𝑥𝑒 − 𝑥 => 𝑓′1(𝑥) = 𝑒 −𝑥 − 2𝑥 2 𝑒 − 𝑥
1 1
Posons 1 − 2𝑥 2 = 0 => 𝑥 = √ =
2 √2
1
𝑥 0 +∞
√2
𝑓′1(𝑥) + 0 −
D’après le tableau ci-dessus :
1 1
∀ 𝑥 ∈ [0 ; [ ; 𝑓′1(𝑥) > 0.Par conséquent ∀ 𝑥 ∈ [0 ; [ ; 𝑓1 est strictement croissante.
√2 √2
1 1
∀𝑥 ∈ ] ; +∞[ ; 𝑓1(𝑥) < 0. Par conséquent ∀ 𝑥 ∈ ] ; +∞[ ; 𝑓1 est strictement
√2 √2
décroissante.
2 1
𝑙𝑖𝑚 𝑓1(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑥𝑒 −𝑥 . Posons 𝑢 = 𝑥 2 𝑥 = √𝑢 𝑥 = 𝑢2 .
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
Si 𝑥 → +∞ alors 𝑢 → +∞
1
Alors : 𝑙𝑖𝑚 𝑓1(𝑥) 𝑙𝑖𝑚 𝑓1(𝑢) = 𝑙𝑖𝑚 𝑢2 𝑒 −𝑢 . Or pour tout 𝑛 ∈ ℕ ; 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛 𝑒 −𝑢 = 0
𝑥 → +∞ 𝑢 → +∞ 𝑢 → +∞ 𝑢 → +∞
𝑥 → +∞
𝑥 → +∞ Courbe 𝐶1 de 𝑓1
0 0
4) On appelle ∆ la droite d’équation 𝑦 = 𝑥. Déterminons la position de C1 par rapport à ∆.
Pour Détermine la position de C1 par rapport à ∆, nous étudions le signe de ℎ(𝑥) avec :
ℎ(𝑥) = 𝑥 − 𝑓1(𝑥).
2 2
ℎ(𝑥) = 𝑥 − 𝑓1(𝑥) = 𝑥 − 𝑥𝑒 − 𝑥 = 𝑥(1 − 𝑒 − 𝑥 ).
2
𝑥 est positif ou nul sur [0 ; +∞[ ; ℎ(𝑥) a donc le signe de 1 − 𝑒 − 𝑥 .
2 2
Posons 1 − 𝑒 − 𝑥 ≥ 0 𝑒 − 𝑥 ≤ 1 −𝑥 2 ≤ 𝑙𝑛1 −𝑥 2 ≤ 0 𝑥 2 ≥ 0. En posant 𝑥 2 =
0 ; on a : 𝑥 = 0
Alors nous en déduisons que ℎ(𝑥) est positif ou nul sur [0 ; +∞[.
5) Traçons C1 et ∆.
y
2
𝑆1 𝑆2
𝑆3 𝐶1 𝐶3
0 1 2 3 x
Partie B :
2
On considère la fonction 𝑓3 définie sur [0 ; + ∞[ par 𝑓3(𝑥) = 𝑥 3 𝑒 − 𝑥 et on appelle C3 sa
courbe représentative.
1) Montrons que pour tout réel 𝑥 positif, 𝑓′3(𝑥) a même signe que 3 – 2𝑥 2.
2 2 2 2 2
𝑓3(𝑥) = 𝑥 3 𝑒 − 𝑥 => 𝑓′3(𝑥) = 3𝑥 2 𝑒 − 𝑥 − 2𝑥𝑒 − 𝑥 × 𝑥 3 = 3𝑥 2 𝑒 − 𝑥 − 2𝑥 4 𝑒 − 𝑥
2
= (3 − 2𝑥 2 )𝑥 2 𝑒 − 𝑥 .
2
∀ 𝑥 ∈ ℝ , 𝑥 2 𝑒 − 𝑥 > 0 ; Alors le signe de 𝑓′3(𝑥) dépend du signe de 3 − 2𝑥 2 .
3
Posons 3 − 2𝑥 2 = 0 => 𝑥 = √ . D’où le tableau de signe de 𝑓′3(𝑥) est le suivant :
2
𝑥 3
0 √ +∞
2
𝑓′3(𝑥) + 0 −
D’après le tableau ci-dessus :
3 3
∀ 𝑥 ∈ [0 ; √ [ ; 𝑓′3(𝑥) > 0.Par conséquent ∀ 𝑥 ∈ [0 ; √ [ ; 𝑓3 est strictement croissante.
2 2
3 3
∀ 𝑥 ∈ ]√ ; +∞[ ; 𝑓3(𝑥) < 0. Par conséquent ∀ 𝑥 ∈ ]√ ; +∞[ ; 𝑓3 est strictement
2 2
décroissante.
Pour Détermine la position de C1 et C3 par rapport à ∆, nous étudions le signe de ℎ(𝑥) avec :
2 2 2
𝑘(𝑥) = 𝑓1(𝑥) − 𝑓 3(𝑥) = 𝑥𝑒 − 𝑥 − 𝑥 3 𝑒 − 𝑥 = (1 − 𝑥 2 )𝑥𝑒 − 𝑥 .
2
𝑥𝑒 − 𝑥 est positif ou nul sur [0 ; +∞[ . Donc le signe de 𝑘(𝑥)dépend du signe de 1 − 𝑥 2 .
Posons 1 − 𝑥 2 = 0 => 𝑥 = 1
𝑥 0 1 +∞
𝑘(𝑥) + 0 −
a-Calculons 𝐴1 .
1 1 2 1 −2 2
Sur [0 ; 1 ] ; 𝑓1(𝑥) ≥ 0. Donc 𝐴1 = ∫0 𝑓1 (𝑥)𝑑𝑥 = ∫0 𝑥𝑒 −𝑥 𝑑𝑥 = ∫0 × 𝑥𝑒 −𝑥 𝑑𝑥
−2
2 1
1 1 2 1 2 1 𝑒 −𝑥 𝑒 −1 1 𝑒 −1 1
= − ∫0 −2𝑥𝑒 −𝑥 𝑑𝑥 = − [𝑒 −𝑥 ]0 = [− ] = (− ) − (− ) = − +
2 2 2 2 2 2 2
0
1 1 1 1
= (1 − ) 𝑢. 𝑎 => 𝐴1 = (1 − ) 𝑢. 𝑎
2 𝑒 2 𝑒
1
b-A l'aide d'une intégration par parties, montrons que 𝐴3 = − + 𝐴1
2𝑒
1 1 2 1 2
𝐴3 = ∫0 𝑓3 (𝑥)𝑑𝑥 = ∫0 𝑥 3 𝑒 − 𝑥 𝑑𝑥 = ∫0 𝑥 2 × 𝑥𝑒 − 𝑥 𝑑𝑥
2 1
𝑥 2 𝑒 −𝑥 1 2 𝑒 −1 1
=> 𝐴3 = [− ] + ∫0 𝑥𝑒 − 𝑥 𝑑𝑥 𝐴3 = − + 𝐴1 . Or 𝑒 − 1 =
2 2 𝑒
0
1
=> 𝐴3 = − + 𝐴1
2𝑒
Partie C :
On désigne par n un entier naturel non nul et on considère la fonction 𝑓𝑛 définie sur
2
[0 ; + ∞[ par 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑥 𝑛 𝑒 −𝑥 . On note (𝐶𝑛 ) la courbe représentative de 𝑓𝑛 dans le repère
(𝑂 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗)
𝑛
𝑛 − 2𝑥 2 . Posons 𝑛 − 2𝑥 2 = 0 => 𝑥 = √
2
𝑥 𝑛
0 √2 +∞
𝑓′𝑛 (𝑥) + 0 −
𝑛 𝑛
∀ 𝑥 ∈ ]0 ; √ [ ; 𝑓′𝑛 (𝑥) > 0 et ∀ 𝑥 ∈ ]√ ; +∞ [ ; 𝑘(𝑥) < 0.
2 2
𝑛
D’où 𝑓𝑛 admet un maximum pour 𝑥 = √ et ce maximum est noté 𝛼𝑛
2
𝑛
2) On appelle 𝑆𝑛 le point de (𝐶𝑛 ) d'abscisse √ .
2
2 1
𝑆2 est le point d’abscisse √ = 1. Son ordonnée est 𝑓2 (1) = .
2 𝑒
Calculons 𝑓𝑛 (1)
1
𝑓𝑛 (1) = 𝑒 −1 = . Donc 𝑆2 appartient à toutes les courbes (𝐶𝑛 )
𝑒
𝑥 𝑥
𝑥
𝑔(𝑥) = 𝑒 2(−1 + 𝑙𝑛 2 ) est positif pour tout 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ ; donc 𝑔′(𝑥) a le signe de 𝑙𝑛 .
2
𝑥 𝑥 𝑥
Posons 𝑙𝑛 > 0 => > 𝑒 0 > 1 => 𝑥 > 2.
2 2 2
Ainsi pour les 𝑥 > 2 ; on a 𝑔′(𝑥) > 0 et les 𝑥 < 2 ; on a 𝑔′(𝑥) < 0.
𝑥 0 2 +∞
𝑔′(𝑥) − 0 +
1 +∞
𝑔(𝑥)
𝑒 −1
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛 𝑛
𝑛 𝑛𝑙𝑛√
𝛼𝑛 = (√ ) × 𝑒 − 2 = 𝑒 2
× 𝑒 − 2 = 𝑒 2 (𝑙𝑛 2 − 1) = 𝑔(𝑛) => 𝛼𝑛 = 𝑔(𝑛)
2
𝑛
𝑆𝑛 est le point de coordonnées (√ ; 𝑔(𝑛)) ; 𝑆2 est le point de coordonnées (1 ; 𝑔(2)).
2
Puisque 𝑔 est croissante sur ]2 ; +∞[ et décroissante sur ]0 ; 2[ ; alors admet un minimum
pour la valeur 2.
Pour tout 𝑥 de ]0 ; +∞[ ; 𝑔(𝑥) ≥ 𝑔(2). Alors on en déduit que, pour tout 𝑛 ≥ 1 ; on a :
𝑔(𝑛) ≥ 𝑔(2).
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A// Soit φ la fonction sur ℝ par φ(x) = (x2 + x + 1)𝑒 −𝑥 – 1
définie
1-/ a-/ Détermine les limites de φ en – ∞ puis en + ∞. Interpréter graphiquement le résultat de
𝑙𝑖𝑚 𝜑(𝑥)
𝑥 → +∞
1-/ Détermine les domaines de définition de f et de g puis Calcule leurs limites aux bornes de
ces domaines de définition.
2-/ Montrez que (Cf) et (Cg) admettent au point A(0 ; 1) une tangente commune (T). Donne
une équation cartésienne de (T).
3-/ a-/ Vérifie que pour tout x IR, f(x) – g(x) = (2𝑥𝑥 ++ 1)𝜑(𝑥)
2 𝑥+1
où φ est la fonction définie dans
la partie A .
b-/ Détermine les réels a et b tels que la fonction F définie par F(x) = (ax +b) e x soit une
primitive de f sur ℝ.
c-/ Déduis une primitive H de f – g sur ℝ.
d-/ Calcule l’aire, en unité d’aire, de la partie du plan délimitée par les courbes (Cf) et (Cg) et
1
les droites d’équations : x = – et x = 0
2
NB : Les tracés de (Cf) et (Cg) ne sont pas demandés
2𝑘𝜋 2𝑘𝜋
𝑆 = {cos + 𝑖 sin , 𝑎𝑣𝑒𝑐𝑘 ∈ {0,1,2,3, … , 𝑛 − 1}}
𝑛 𝑛
AUTRE METHODE :
Soient les points 𝑀(𝑧)𝑒𝑡 𝐴(1), 𝑜𝑛 𝑎:
|𝑧| = |1 − 𝑧| ⟺ 𝑂𝑀 = 𝐴𝑀 , les solutions sont les points appartenant à la médiatrice du
segment [𝑂𝐴] d’où l’equation admet une infinite de solutions.
b) soit 𝑧0 l’une des solutions telle que 𝑧0 = [𝜌, 𝜃]
|𝑧0 | = |1 − 𝑧0 | ⟹ |1 − 𝑧0 | = 𝜌
1 1
𝑧0 = + 𝑖𝑦0 ⟹ 1 − 𝑧0 = − 𝑖𝑦0 𝑑𝑜𝑛𝑐 1 − 𝑧0 = 𝑧̅0 , par conséquent arg(1 − 𝑧0 ) = −𝜃
2 2
|𝑧0 𝑛 (1 − 𝑧0 )| = 𝜌𝑛+1 et arg(𝑧0 𝑛 (1 − 𝑧0 )) = 𝑛𝜃 − 𝜃 = (𝑛 − 1)𝜃
c) En déduisons que le système (1) n’admet de solution que si 𝑛 ≡ 1[6]
ℎ (𝑧) = 1 𝑧 𝑛 (1 − 𝑧) = 1
(1) { 𝑛 ⟺{
|𝑧| = |1 − 𝑧| |𝑧| = |1 − 𝑧|
𝜌𝑛+1 = 1
Comme 𝑧0 est solution alors, on a : 𝑧0 𝑛 (1 − 𝑧0 ) = 1 donc { , 𝑘∈ℤ
(𝑛 − 1)𝜃 = 2𝑘𝜋
1 1 √3 √3
𝑧0 = + 𝑖𝑦0 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 |𝑧0 | = 1 ⟺ + 𝑦0 2 = 1 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑦0 = 𝑜𝑢 𝑦0 = −
2 4 2 2
√3 1 √3 𝜋 𝜋
Pour 𝑦0 = , on a 𝑧0 = + 𝑖 donc 𝜃 = ; (𝑛 − 1)𝜃 = 2𝑘𝜋 ⟹ (𝑛 − 1) = 2𝑘𝜋
2 2 2 3 3
c'est-à-dire 𝑛 − 1 = 6𝑘 𝑜𝑢 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑛 ≡ 1[6]
√3 1 √3 𝜋
De même si 𝑦0 = − , alors 𝑧0 = − 𝑖 𝑒𝑡 𝜃 = − ; on demontre alors que 𝑛 − 1 = 6𝑘 ′
2 2 2 3
c'est-à-dire 𝑛 ≡ 1[6].
En conclusion le système n’admet de solution que si 𝑛 ≡ 1[6]
𝟏 √𝟑 𝟏 √𝟑
L’ensemble solution est { + 𝒊 , −𝒊 }
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
II-/
1) (𝐸): 11𝑥 + 8𝑦 = 79
𝑥 + 𝑦 + 𝑧 = 41
Le problème peut être traduit par le système suivant : { ou
4800𝑥 + 3600𝑦 + 400𝑧 = 48000
𝑥 + 𝑦 + 𝑧 = 41 (1)
encore {
12𝑥 + 9𝑦 + 𝑧 = 120 (2)
En effectuant l’opération (2) − (1), on obtient 11𝑥 + 8𝑦 = 79, donc 𝑥 = −8𝑘 + 5 et
𝑦 = 11𝑘 + 3 or 𝑧 = 41 − 𝑥 − 𝑦 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑧 = −3𝑘 + 33
(𝑥, 𝑦, 𝑧) ∈ ℕ3 , ona 𝑘 = 0 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝒙 = 𝟓 ; 𝒚 = 𝟑 ; 𝒛 = 𝟑𝟑
Le 1𝑒𝑟 lot comprend 5 pièces
Le 2𝑒 lot comprend 3 pièces
Le 3𝑒 lot comprend 33 pieces.
II- 𝑥 ∈ {2,4,6,8} 𝑒𝑡 𝑥 + 𝑦 = 15 𝑒𝑡 𝑧 = 𝑥 − 𝑦 𝑒𝑡 𝑥 = 𝑧𝑡
𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 𝑡 + ℎ ≡ 0[9] ⟹ 6 + 𝑧 + 𝑡 + ℎ ≡ 0[9]
Les valeurs 2 et 4 pour 𝑥 sont écartées car 𝑥 + 𝑦 = 15 𝑒𝑡 0 ≤ 𝑦 ≤ 9
Pour 𝑥 = 6 , 𝑜𝑛 𝑎: 𝑥 + 𝑦 = 15 ⟺ 𝑦 = 9 𝑜𝑟 𝑥 − 𝑦 = 𝑧
𝑑𝑜𝑛𝑐 6 − 9 = 𝑧 (𝑎𝑏𝑠𝑢𝑟𝑑𝑒)
On montre que 𝒙 = 𝟖 ; 𝒚 = 𝟕; 𝒛 = 𝟏 ; 𝒕 = 𝟖 ; 𝒉 = 𝟑.
La combinaison cherchée est 𝟖𝟕𝟏𝟖𝟑
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A// 𝝋(𝒙) = (𝒙𝟐 + 𝒙 + 𝟏)𝒆−𝒙 − 𝟏
1-/ a) lim 𝜑(𝑥) = +∞ 𝑒𝑡 lim 𝜑(𝑥) = −1 ; 𝑦 = −1 est asymptote horizontale au voisinage
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
de +∞
b) Calcul de 𝝋′ (𝒙)
Signe de 𝝋′ (𝒙)
∀𝑥 ∈ ℝ 𝑒 −𝑥 > 0, 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝜑 ′ (𝑥)𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 (−𝑥 2 + 𝑥)
Le tableau de signe
𝒙 −∞ 0 1 +∞
𝜑 ′ (𝑥) - 0 + 0 -
𝒙 −∞ 0 1 +∞
𝜑 ′ (𝑥) − + −
3
+ ∞ −1
𝑒
𝝋(𝒙)
0 -1
𝜑 est continue et strictement décroissante sur [1; +∞[ d’où 𝜑 est bijective de [1; +∞[ vers
3
]−1; −1 + ] d’où il existe 𝛼 ∈ [1; +∞[ tel que 𝜑(𝛼) = 0
𝑒
3/ le signe de 𝝋 sur ℝ
𝒙 −∞ 0 𝛼 +∞
𝝋(𝒙) + 0 + 0 -
2𝑥+1
B-// 𝑓(𝑥) = (2𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 ; 𝑔(𝑥) =
𝑥2+𝑥+1
1-/ 𝐷𝑓 = ℝ 𝑒𝑡 𝐷𝑔 = ℝ
2-/ Montrons que 𝐶𝑓 𝑒𝑡 𝐶𝑔 admettent au point 𝐴(0; 1) une tangente commune (𝑇)
𝑓(0) = 1 𝑒𝑡 𝑔(0) = 1; 𝐴 ∈ 𝐶𝑓 ∩ 𝐶𝑔
𝑓 ′ (𝑥) = 2𝑒 −𝑥 − 𝑒 −𝑥 (2𝑥 + 1)
𝑓 ′ (𝑥) = 𝑒 −𝑥 (−2𝑥 + 1)
2(𝑥2+𝑥+1)−(2𝑥+1)(2𝑥+1)
𝑔′ (𝑥) = 2
(𝑥2 +𝑥+1)
𝑓(0) = 𝑔(0) = 1
𝑓 ′ (0) = 1 𝑒𝑡 𝑔′ (0) = 1 Soit { ′ donc 𝐶𝑓 𝑒𝑡 𝐶𝑔 admettent une tangente
𝑓 (0) = 𝑔′ (0) = 1
commune en 𝐴 𝑒𝑡 (𝑇): 𝑦 = 𝑥 + 1 𝑒𝑠𝑡 l’equation de cette tangente.
2𝑥+1
3/ a) 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) = (2𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 −
𝑥2+𝑥+1
−1
𝒙 −∞ 0 𝛼 +∞
2
2𝑥 + 1 − + + +
0
𝜑(𝑥) + + 0 + 0 −
𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) − + + −
−1
∀ 𝑥 ∈ ]−∞; [ ∪ ]𝛼; +∞[, 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) < 0
2
−1
∀𝑥 ∈[ ; 𝛼] , 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) ≥ 0
2
−1
Pour tout 𝑥 ∈ ]−∞; [ ∪ ]𝛼; +∞[, , (𝑪𝒇 ) 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒 (𝑪𝒈 )
2
−1
Pour tout 𝑥 ∈ ] ; 0[ ∪ ]0; 𝛼[, (𝑪𝒇 ) 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑒 (𝑪𝒈 )
2
−𝟏 𝟐𝜶+𝟏
(𝑪𝒇 ) 𝒆𝒕 (𝑪𝒈 ) 𝒔𝒆 𝒄𝒐𝒖𝒑𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒏 {( ; 𝟎) , (𝟎; 𝟏), (𝜶; )}
𝟐 𝜶𝟐 +𝜶+𝟏
−𝑎 = 2 𝑎 = −2
𝐹 ′ (𝑥) = 𝑓(𝑥) ⟺ { ⟺{ => 𝑭(𝒙) = (−𝟐𝒙 − 𝟑)𝒆−𝒙
𝑎−𝑏 =1 𝑏 = −3
1) Un joueur lance une flèche. La probabilité d’atteindre l’une des zones 1 ; 2 ; 3 ; 4 est
proportionnelle à l’aire de cette zone. (Rappel : l’aire du disque de rayon 𝒓 est A= 𝝅𝒓𝟐 )
II// Trois villages désignés par les lettres 𝐴 ; 𝐵 ; 𝐶 sont disposés en triangle comme suit :
Le village 𝐴 est à 4 𝑘𝑚 de 𝐵 ; à 3 𝐾𝑚 de 𝐶 et le village 𝐵 est à 5 𝐾𝑚 de 𝐶.
Ces trois villages décident de creuser un forage situé à égale distance des villages, Détermine
son emplacement en précisant la distance qui le sépare de chacun des villages.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A// Le plan est rapporté à un repère orthonormé (𝑜 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
1) On désigne par 𝑀 (𝑦𝑥 ) un point du plan, 𝑀1 (𝑥𝑦1 ) son image par la symétrie orthogonale
1
𝑥′
d’axe la droite 𝑦 = 𝑥 et 𝑀′ (𝑦′ ) l’image de 𝑀1 par la symétrie d’axe (𝑜 ; 𝑖⃗ ).
a- Exprimer 𝑥′ et 𝑦′ en fonction de 𝑥 et 𝑦.
b- Caractériser l’application qui transforme 𝑀 en 𝑀′ .
c- On désigne par 𝒓 l’application qui au point 𝑀 (𝑦𝑥 ) associe le point 𝑀′′ (𝑦′′
𝑥′′
) définie par :
′′
𝑥 =1+𝑦
{ ′′ . Montrer que 𝒓 est une rotation dont précisera le centre Ω et l’angle θ.
𝑦 = 1−𝑥
2) Lorsque le point 𝑀 décrit la droite d’équation 𝑦 = 𝑥, Détermine l’ensemble décrit par le
point 𝑀′′ ainsi que l’ensemble décrit par le milieu du segment [𝑀𝑀′′].
𝑥 = 1 + 3𝑦
3) Au point 𝑀 (𝑦𝑥 ), on associe le point 𝑀2 (𝑥𝑦2) définie par : { 2
2 𝑦2 = 1 − 2𝑥
a- Quelle est la nature de l’ensemble (𝐸) des points 𝑀2 lorsque 𝑀 décrit le cercle unité de
centre O ?
b- Caractériser l’image de (𝐸) par la rotation 𝒓 définie en 1) –c.
𝑥+1
B// Soit la fonction numérique 𝑓 à variable réelle 𝑥 définie par 𝑓(𝑥) = (2𝑥 − 1)√ .
2
1) Etudier les variations de 𝑓 et tracer sa courbe C𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormé
1
(𝑜 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗). Préciser les tangentes à C𝑓 aux points d’abscisses −1 et −
2
2) Soit C′𝑓 l’image de la courbe C𝑓 par la symétrie orthogonale par rapport à (𝑜 ; 𝑖⃗ ).
On pose 𝛤= C𝑓 ∪ C′𝑓. Tracer 𝛤 dans le même repère que C𝑓.
3) On considère le point 𝐴(−1 0
) et la droite Δ d’équation 𝑥 = −2. Soit 𝑚 un paramètre non nul,
D la droite d’équation 𝑦 = 𝑚𝑥 et 𝐷’ la droite orthogonale à D en 𝑂(00). Les droites D et
𝐷’coupent Δ en P et P’ respectivement.
Soit K le milieu du segment [𝑃𝑃′], la droite (AK) coupe D et 𝐷’ en Met M’ respectivement.
a- Détermine les coordonnées de M et M’ en fonction de 𝑚.
b- On appelle 𝛤1 , l’ensemble des points M lorsque 𝑚 ∈ ℝ∗ et 𝛤1 ′ celui des points M’ lorsque
𝑚 ∈ ℝ∗ . Trouver une relation entre 𝛤1 et 𝛤1′ .
Ainsi la probabilité d’atteindre l’une des zones (1) ; (2) ; (3) ; (4) est proportionnelle à l’aire
𝑃1 𝑃2 𝑃3 𝑃4
de cette zone donc on a : = = = .
𝜋 3𝜋 5𝜋 7𝜋
𝑃1 𝑃2 𝑃1 𝑃
En posant 𝑃1 = 𝐾 avec 𝐾 ∈ ]0; 1[, on a : = => 𝑃2 = 3𝑃1 = 3𝐾 = 3
𝜋 3𝜋 𝜋 5𝜋
𝑃1 𝑃
=> 𝑃3 = 5𝐾 = 4 => 𝑃4 = 7𝐾
𝜋 7𝜋
Autre méthode :
𝑃1 𝑃2 𝑃3 𝑃4 𝑃2 𝑃 𝑃
= = = = 𝐶 𝑃1 = = 3 = 4 = 𝐶𝜋 = 𝐾 => 𝑃1 = 𝐾 ; 𝑃2 = 3𝐾 ;
𝜋 3𝜋 5𝜋 7𝜋 3 5 7
𝑃3 = 5𝐾 ; et 𝑃4 = 7𝐾
D’où les probabilités 𝑃1 ; 𝑃2 ; 𝑃3 ; 𝑃4 d’atteindre respectivement les zones (1) ; (2) ; (3) ; (4)
sont égales à 𝐾 ; 3𝐾 ; 5𝐾 ; 7𝐾 .
Soit X la variable aléatoire telle que X= {4000 ; 3000 ; 2000 ; 1000 ; −30 000}
𝑃1 = 𝐾 ; 𝑃2 = 3𝐾 ; 𝑃3 = 5𝐾 ; 𝑃4 = 7𝐾 .
𝑃5 = 1 − (𝑃1 + 𝑃2 + 𝑃3 + 𝑃4 ) = 1 − 16𝐾
1
4𝐾 + 9𝐾 + 10𝐾 + 7𝐾 − 30(1 − 16𝐾 ) = 0 => 𝐾 =
17
1 3 5 7 1
D’où 𝑃1 = ; 𝑃2 = ; 𝑃3 = ; 𝑃4 = ; 𝑃5 =
17 17 17 17 17
II// Trois villages désignés par les lettres 𝐴 ; 𝐵 ; 𝐶 sont disposés en triangle comme suit :
Le village 𝐴 est à 4 𝑘𝑚 de 𝐵 ; à 3 𝐾𝑚 de 𝐶 et le village 𝐵 est à 5 𝐾𝑚 de 𝐶.
Ces trois villages décident de creuser un forage situé à égale distance des villages.
Déterminons son emplacement en précisant la distance qui le sépare de chacun des villages.
3 𝐾𝑚 5 𝐾𝑚
A B
4 𝐾𝑚
Soit G le point représentant l’emplacement du forage. G est le centre du cercle circonscrit au
triangle 𝐴𝐵𝐶.
𝐴𝐵𝐶 étant un triangle rectangle en 𝐴 alors on a : 𝐵𝐶 2 = 𝐴𝐵2 + 𝐴𝐶 2.
Donc le segment [𝐵𝐶] est le diamètre du cercle et G est le milieu de [𝐵𝐶].
Par suite le forage est situé à égale distance des villages 𝐵 et 𝐶, c’est-à-dire le milieu de [𝐵𝐶]
𝐵𝐶
et la distance qui le sépare de chacun des villages est 2,5 𝐾𝑚, c’est-à-dire
2
𝛼−1=3 𝛼−1=1
(𝛼 − 1)(𝛽 − 1) = 3 (𝛼 − 1)(𝛽 − 1) = 3 × 1 { ou {
𝛽−1=1 𝛽−1=3
𝛼=2 𝛼=4
{ ou {
𝛽=4 𝛽=2
Soit 𝑓 la transformation du plan dans lui-même qui à tout point 𝑀 d’affixe 𝑍 associe le point
𝑀′ d’affixe 𝑍′ définie par : 𝑍 ′ = (2 − 2𝑖)𝑍 + 1.
𝑍𝐵′ = (2 − 2𝑖)𝑍𝐵 + 1
𝐶𝐴 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Vérifions que les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐶𝐵′ sont orthogonaux.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐶𝐴(−2
Les vecteurs 𝐶𝐴 et 𝐶𝐵′ sont orthogonaux si et seulement si ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗(−4) = 0
)•𝐶𝐵′
−1 8
⃗⃗⃗⃗⃗⃗(−2) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a : 𝐶𝐴 𝐶𝐵′(−4 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗(−4) = 8 − 8 = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗(−2)•𝐶𝐵′
) . Donc 𝐶𝐴
−1 8 −1 8
Autre méthode :
𝑍𝐶𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝐴 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐶𝐵′ sont orthogonaux si et seulement si = 𝑖𝑏 avec 𝑏 ∈ ℝ∗
𝑍𝐶𝐵′
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑥′
3) Soit 𝑀où 𝑥 et 𝑦 sont des entiers relatifs et 𝑀′ (𝑦′ ) son image par 𝑓.
𝑍𝑀′ = (2 − 2𝑖)𝑍𝑀 + 1
= (2 − 2𝑖)(𝑥 + 𝑖𝑦) + 1
=> 𝑀′ (2𝑥+2𝑦+1
2𝑦−2𝑥
)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ( 2𝑥+2𝑦 )
Donc 𝐶𝑀′ et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗(−2)
𝐶𝐴
2𝑦−2𝑥−4 −1
𝑥 + 3𝑦 = 0. D’où ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝑀′ et 𝐶𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux si 𝑥 + 3𝑦 = 2.
𝑥 + 3𝑦 = 2 𝑥 = 2 − 3𝑦 𝑥 ≡ 2[3] 𝑥 = 3𝑘 + 2 avec 𝑘 ∈ ℤ
D’où 𝑆 = {3𝑘 + 2 ; −𝑘 }
En déduisons l’ensemble des points 𝑀 dont les coordonnées sont des entiers appartenant à
[−5 ; 5].
7
−5 ≤ 𝑥 ≤ 5 −5 ≤ 3𝑘 + 2 ≤ 5 − ≤ 𝑘 ≤ 1 => 𝑘 ∈ {−2 ; −1 ; 0 ; 1}
3
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A// Le plan est rapporté à un repère orthonormé (𝑜 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
1) On désigne par 𝑀 (𝑦𝑥 ) un point du plan, 𝑀1 (𝑥𝑦1 ) son image par la symétrie orthogonale
1
𝑥′
d’axe la droite 𝑦 = 𝑥 et 𝑀′ (𝑦′ ) l’image de 𝑀1 par la symétrie d’axe (𝑜 ; 𝑖⃗ ).
a- Exprimons 𝑥′ et 𝑦′ en fonction de 𝑥 et 𝑦.
𝑥1 = 𝑦
𝑀1 (𝑥𝑦1 ) image de 𝑀 (𝑦𝑥 ) par la symétrie orthogonale d’axe la droite 𝑦 = 𝑥 {𝑦 = 𝑥
1 1
𝑥′ 𝑥′ = 𝑥1
𝑀′ (𝑦′ ) image de 𝑀1 (𝑥𝑦1) par la symétrie orthogonale d’axe la droite 𝑦 = 𝑥 {
1 𝑦′ = −𝑦1
𝑥′ = 𝑦
D’où { ′
𝑦 = −𝑥
𝑥′ = 𝑦
Soit 𝑓: { ′
𝑦 = −𝑥
𝑥 =𝑦 𝑥−y=0
𝑓 transforme 𝑀 en 𝑀′ 𝑓(𝑀) = 𝑀 {𝑦 = −𝑥 { => 𝑥 = 0 et 𝑦 = 0
𝑦+𝑥 =0
0 1
La matrice de l’application linéaire φ associée à 𝑓 est 𝑀𝜑 ( ).
−1 0
𝑐𝑜𝑠𝜃 = 0 𝜋
D’où 𝑓 est une rotation de centre 𝑂(00) et d’angle θ tel que { => θ= −
𝑠𝑖𝑛𝜃 = −1 2
c- On désigne par 𝒓 l’application qui au point 𝑀 (𝑦𝑥 ) associe le point 𝑀′′ (𝑦′′
𝑥′′
) définie par :
𝑥 ′′ = 1 + 𝑦
{ ′′ .
𝑦 = 1−𝑥
𝑥 ′′ + 𝑦 ′′ = 2 𝑥 ′′ + 𝑦 ′′ − 2 = 0
L’ensemble (𝐸) des points 𝑀2 lorsque 𝑀 décrit le cercle unité de centre O est le cercle
d’équation : 𝑥 2 + 𝑦 2 = 1
𝑥 −1
𝑥2 = 1 + 3𝑦 𝑦= 2
{ => { 3
𝑦2 = 1 − 2𝑥 1−𝑦2
𝑥=
2
1−𝑦2 2 𝑥2 −1 2 2
(𝑦2 −1)
2
) = 1 (𝑥2−1)
Ainsi l’équation : 𝑥 2 + 𝑦 2 = 1 devient ( ) +( + =1
2 3 4 9
2 2
(𝑥2 −1) (𝑦2 −1)
Donc l’ensemble (𝐸) des points 𝑀2 cherché est l’ellipse d’équation : + = 1.
4 9
(𝑥−2)2 (𝑦)2
D’où l’image de (𝐸) par la rotation 𝒓 est l’ellipse d’équation : + = 1.
4 9
- Centre : Ω(20)
𝑐 √5
- Excentricité : 𝑒 = =
𝑏 3
- Sommets 𝐴(20) ; 𝐴′(20) ; 𝐵(03) ; 𝐵′(−2
0
) dans le repère (𝛺 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
0 0
- Foyers :𝐹(√5 ) ; 𝐹′(−√5 ) dans le repère (𝛺 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
9 9
- Directrice : 𝐷: 𝑦 = et 𝐷′ : 𝑦 = − dans le repère (𝛺 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
√5 √5
𝑥+1
B// Soit la fonction numérique 𝑓 à variable réelle 𝑥 définie par 𝑓(𝑥) = (2𝑥 − 1)√ .
2
1) Etudier les variations de 𝑓 et tracer sa courbe C𝑓 dans le plan muni d’ un repère orthonormé
(𝑜 ; 𝑖⃗ ; 𝑗⃗).
Alors 𝑓 n’est pas dérivable au point d’abscisse 𝑥0 = −1 mais admet en ce point une demi
tangente verticale.
𝑥+1
Alors le signe de 𝑓′(𝑥)dépend du signe du numérateur 6𝑥 + 3 car ∀𝑥 ∈ ]−1; +∞[, 2√ >0
2
1
Posons 6𝑥 + 3 = 0 => 𝑥 = −
2
1
𝑥 −1 − +∞
2
𝑓′(𝑥) − 0 +
0 +∞
𝑓(𝑥)
−1
y
3
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
-1
-2
-3
1
Précisons les tangentes à C𝑓 aux points d’abscisses −1 et −
2
𝑥 = −2 𝑥 = −2 2
(𝛥) ∩ (D′): => { 1 { 2 => P′ (−2 ; )
𝑦=− 𝑥 𝑦= 𝑚
𝑚 𝑚
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Sujets de Baccalauréat. Page 231
Sujets de Bac
1−𝑚2
Soit K le milieu du segment [𝑃𝑃′] => K(−2 ; )
𝑚
𝑥+1 −1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AK et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AT sont colinéaires si 𝑑𝑒𝑡(AK AT) = 0 | 1−𝑚2| = 0
𝑦
𝑚
1−𝑚2 1−𝑚2
𝑥+ + 𝑦 = 0 (1 − 𝑚2 )𝑥 + 𝑚𝑦 + 1 − 𝑚2 = 0
𝑚 𝑚
(𝐴𝐾): (1 − 𝑚2 )𝑥 + 𝑚𝑦 + 1 − 𝑚2 = 0
(1 − 𝑚2 )𝑥 + 𝑚𝑦 + 1 − 𝑚2 = 0 (𝟏)
(𝐴𝐾) ∩ (𝐷): {
𝑦=𝑚 (𝟐)
(𝟏) (1 − 𝑚2 )𝑥 + 𝑚𝑦 + 1 − 𝑚2 = 0 => 𝑥 = 𝑚2 − 1
𝑚 −1 2
(𝟐) 𝑦 = 𝑚(𝑚2 − 1) => 𝑀 (𝑚(𝑚 2 −1))
(1 − 𝑚2 )𝑥 + 𝑚𝑦 + 1 − 𝑚2 = 0 (𝟏)
(𝐴𝐾) ∩ (𝐷′): { 1
𝑦=− 𝑥 (𝟐)
𝑚
1−𝑚2
(𝟏) (1 − 𝑚2 )𝑥 + 𝑚𝑦 + 1 − 𝑚2 = 0 => 𝑥 =
𝑚2
1−𝑚2
1 1−𝑚2 𝑚2
(𝟐) 𝑦=− ( 2 ) => 𝑀′ ( 1 1−𝑚2
)
𝑚 𝑚 − ( 2 )
𝑚 𝑚
b- Soit 𝛤1 , l’ensemble des points M lorsque 𝑚 ∈ ℝ∗
𝑥 = 𝑚2 − 1 𝑚2 = 𝑥 + 1
{ => { => 𝛤1 a pour équation 𝑦 = 𝑥 √𝑥 + 1.
𝑦 = 𝑚(𝑚2 − 1) 𝑦 = 𝑥 √𝑥 + 1
1−𝑚2 1
𝑥= 𝑚2 =
𝑚2 𝑥+1
{ => { => 𝛤′1 a pour équation 𝑦 = −𝑥 √𝑥 + 1.
1 1−𝑚2
𝑦=− ( 2 ) 𝑦 = −𝑥 √𝑥 + 1
𝑚 𝑚
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A-// A l’instant t = 0 (t est exprimé en heures), on injecte dans le sang par piqûre intraveineuse
une dose de 2,5 unités d’une substance médicamenteuse. On suppose que la substance se
répartit instantanément dans le sang et qu’elle est ensuite progressivement éliminée.
On note Q(t) la quantité de substance présente dans le sang à l’instant t, exprimée en unités
adaptées. On admet que le processus d’élimination peut être représenté mathématiquement par
l’équation différentielle : Q’(t) = – β.Q(t), où β est un nombre qui sera déterminé
expérimentalement.
1°/ Montre qu’on a Q(t) = 2,5e–βt.
2°/ Calcule la valeur de β, sachant qu’au bout d’une heure la quantité de substance présente
dans le sang a diminué de 30%. On donnera d’abord la valeur exacte puis une valeur décimale
approchée à 10–4 près.
3°/ Etudie le sens de variation de Q pour t ≥ 0, détermine sa limite en +∞ , et trace la courbe
représentative (Γ) de Q dans le plan P.
4°/ Au bout de combien de temps la quantité de substance présente dans le sang a-t-elle été
réduite de moitié ?
On donnera la valeur exacte et une valeur décimale approchée à 10–2 près.
3. Déterminons les nombres réels a et b tel que F = bar{(A , a); (B, b); (C, 1)}
Avec ZF = 6 − 4i.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + bFB
F = bar{(A , a); (B, b); (C, 1)} Signifie que aFA ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
FC = ⃗0⃗ et a + b + 1 ≠ 0
Première Méthode
2b+2
= 6 (1) 3a + 2b = −2
a+b+1
Par identification : { 2 ⟺{
= −4 (2) −2a − 2b = 3
a+b+1
5
Dans (1) on a :3 + 2b = −2 ⟹ b = −
2
a.Exprimons Z′ en fonction de Z.
S ∶ P ⟶ P
M(Z) ⟼ M′(Z′)
S(A) = E ⇔ ZE = αZA + β
S(B) = F ⇔ ZF = αZB + β
Par suite on a :
α(0) + b = 4 − 2i β = 4 − 2i β = 4 − 2i
{ ⇔{ 6−4i−β ⇔ { 6−4i−4+2i
2α + β = 6 − 4i α= α= =1−i
2 2
D’oùZ ′ = (1 − i)Z + 4 − 2i.
Le centreΩ
Deuxième méthode :
b 4−2i
ZΩ = = = −2 − 4i
1−a 1−1+i
Deuxième méthode : Ω point invariant :
Z ′ = Z ⇔ Z = (1 − i)Z + 4 − 2i
iZ = 4 − 2i
⇒ Z = −2 − 4i
S(D) = D′
ZD′ = (1 − i)ZD + 4 − 2i = (1 + i)(2i) + 4 − 2i = 6
2) Résolvons l’équation(𝐸) :
D’après 1°) on a :
11𝑥 − 29𝑦 = 1
{
11(−7) − 26(−3) = 1
11(𝑥 + 7) = 26(𝑦 + 3)
𝑦 + 3 = 11𝑘 ⟹ 𝑦 = 11𝑘 − 3
𝑥 + 7 = 26𝑘 ⟹ 𝑥 = 26𝑘 − 7
𝑆 = {(26𝑘 − 7 ; 11𝑘 − 3) ; 𝑘 ∈ ℤ}
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A. On note 𝑄(𝑡) la quantité de substance présente dans le sang à l’instant 𝑡.
𝑡 = 0 ; 𝑄(0) = 2,5 ; Q’(𝑡) = −𝛽𝑄(𝑡)
1) Montrons qu’on a 𝑄(𝑡) = 2,5𝑒 −𝛽𝑡
Q’(𝑡) = −𝛽𝑄(𝑡) ⇒ 𝑄(𝑡) = 𝐶𝑒 −𝛽𝑡
𝑄(0) = 2,5 ⇒ 𝐶 = 2,5 D’où 𝑄(𝑡) = 2,5𝑒 −𝛽𝑡 .
2) Calculons la valeur de 𝛽.
Première méthode :
30
𝑄(𝑡 + 1) = 𝑄(𝑡) − ⟺ 𝑄(𝑡)𝑄(𝑡 + 1) = 0,7𝑄(𝑡)
100
Pour 𝑡 = 0
𝑄(1) = 0,7𝑄(0) ⟺ 2,5𝑒 −𝛽 .= 0,7𝑄(0) ⟺ 2,5𝑒 −𝛽 = 0,7 × 2,5 ⟺ 𝑒 −𝛽 = 0,7
⟹ −𝛽 = 𝑙𝑛0,7
𝛽 = −𝑙𝑛0,7
𝛽 = 0,3567
Deuxième méthode :
𝑄(𝑡) = 2,5𝑒 −𝛽
Pour 𝑡 = 1, on a :
30
𝑄(1) = 𝑄(0) − 𝑄(0)
100
𝑄(1) = 0,7 × 𝑄(0)
𝛽 = 0,3567
3)Étudions le sens de variation de 𝑄 pour 𝑡 ≥ 0.
𝐷𝑄 = [0 , +∞[.
𝑄(𝑡) = 2,5𝑒 −𝛽𝑡 , 𝑄 est continue et dérivable pour 𝑡 ≥ 0.
𝑄′ (𝑡) = −2,5𝛽𝑒 −𝛽𝑡
∀𝑡 ≥ 0 , 𝑄′(𝑡) < 0 Alors 𝑄 est strictement décroissante.
𝑙𝑖𝑚 𝑄(𝑡) = 0
𝑥→+∞
𝑥 1 +∞
𝑄′(𝑡) −
2,5
𝑄(𝑡)
0
𝐷𝑓 = ℝ − {0 ; 1} = ]−∞ ; 0[ ∪ ]0 ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[
Signe de 𝑓′(𝑥)
Posons 𝑓 ′ (𝑥) = 0 ⟺ −𝑥 2 + 𝑥 + 2 = 0
𝑥1 = −1 ; 𝑥2 = 2
𝑥 −∞ −1 0 1 2 +∞
−𝑥 2 + 𝑥 + 2 − 0 + + + 0 −
2𝑥(𝑥 − 1) + + 0 − 0 + +
𝑓′(𝑥) − + − + −
𝑥−1
𝑙𝑖𝑚 [𝑓(𝑥) − 𝑦] = 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 | |=0
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥
𝑥
Donc (𝐷): 𝑦 = −
2
Position de (𝐶) par rapport (𝐷)
𝑥−1
𝑓(𝑥) − 𝑦 = 𝑙𝑛 | |
𝑥
Première méthode :
𝑥−1
Posons 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑛 | |
𝑥
𝐷𝑔 = 𝐷𝑓
1 1 1
𝑔′(𝑥) = − =
𝑥−1 𝑥 𝑥(𝑥−1)
Tableau de variation𝑔(𝑥)
1
𝑥 −∞ 0 1 +∞
2
𝑔′(𝑥) + − +
+∞ +∞ 0
𝑔(𝑥)
0
0 −∞ −∞
1 1
∀ 𝑥 ∈ ] ; +∞[ ; 𝑔(𝑥) < 0 et par conséquent ∀ 𝑥 ∈ ] ; +∞ [ ; (𝐶) est en dessous de (𝐷).
2 2
1
Pour 𝑥 = , (𝐶) et (𝐷) sont confondues.
2
1 −1
4) Montrons que le point I ( ; ) est centre de symétrie.
2 4
2a − x = 1 − x
x ∈ Df ⟺ x ≠ 0 et x ≠ 1 ⟺ −x ≠ 0 et −x ≠ −1 ⟺ 1 − x ≠ 1 et1 − x ≠ 0 donc 1 − x ∈ Df
x−1 1−x−1 x x 1
f(1 − x) + f(x) = + ln | | + − ln | | = −
2 1−x 2 x−1 2
1
f(1 − x) + f(x) = −
2
6) Construisons la courbe(C) :
Les extremums :
1
f(−1) = + ln2 =1,19 ≈ 1,2 ; f(2) = −1 − ln2 = −1,69 ≈ 1,7
2
𝑥 −∞ −1 0 1 2 +∞
𝑓′(𝑥) − + − + −
+∞ +∞ + ∞ −1,17
𝑓(𝑥)
1,2 −∞ − ∞ −∞
D’où la courbe
II) Dans le plan affine Euclidien rapporté au repère orthonormé, on considère l’application
1
𝑥 ′ = (−3𝑥 + 4𝑦 + 4)
5
affine 𝑓 défini par : { 1
𝑦 ′ = (4𝑥 + 3𝑦 − 2)
5
1) Démontre que 𝑓 est une isométrie.
2) Trouve l’ensemble des points invariants par 𝑓.
3) Caractérise géométriquement l’application 𝑓.
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A) Soit la fonction 𝑓 définie sur l’intervalle [0; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1 − 𝑥.
On appelle (𝐶) la courbe représentative de 𝑓.
1) a- Calcule la fonction dérivée de 𝑓.
b- Dresse le tableau de variation de 𝑓′ sur [0; +∞[ puis en déduis le signe de 𝑓′ sur
[0; +∞[.
c- Dresse le tableau de variation de 𝑓 sur [0; +∞[ .
d- Montre que (𝐶) admet une asymptote (𝐷) dont on déterminera une équation.
e- Construit (𝐶) et (𝐷) sur un même graphique.
2) a- Etablis que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet sur l’intervalle [0; +∞[ une solution et une
seule notée 𝛼.
b- Justifie l’encadrement : 1 ≤ 𝛼 ≤ 2.
B) Soit la fonction 𝑔 définie sur l’intervalle 𝐽 = [1; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1.
1) Etudie les variations de 𝑔 sur 𝐽 puis en déduis que pour tout 𝑥 ∈ 𝐽, 𝑔(𝑥) ∈ 𝐽.
3
2) Montre que pour tout 𝑥 ∈ 𝐽, on a : |𝑔′(𝑥)| ≤
𝑒2
.
3
En déduis que pour tout 𝑥 ∈ 𝐽, on a : |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|.
𝑒2
𝑢0 = 1
3) Soit (𝑢𝑛 ) la suite d’éléments de 𝐽 définie par : { pour tout entier 𝑛
𝑢𝑛+1 = 𝑔(𝑢𝑛 )
positif ou nul.
3
a- Montre que pour tout entier 𝑛 positif ou nul, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 𝑛
3 𝑛
b- En déduis que pour tout entier 𝑛 positif ou nul, on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( 2 ) .
𝑒
c- Détermine la limite de la suite 𝑢𝑛
d- Détermine un entier 𝑝 pour lequel on est sûr d’avoir |𝑢𝑝 − 𝛼| ≤ 10−3 .
Calcule 𝑢𝑝 à 10−3 près.
1 𝑛 1 𝑛+1 1 1 𝑛 1
𝑍𝑛 = ( 𝑖) (1 + 𝑖√3) => 𝑍𝑛+1 = ( 𝑖) (1 + 𝑖√3) = ( 𝑖) ( 𝑖) (1 + 𝑖√3) = 𝑖𝑍𝑛 .
2 2 2 2 2
1
D’où 𝑍𝑛+1 = 𝑖𝑍𝑛 .
2
- 𝒁𝒏 en fonction de 𝒁𝟎 et 𝒏.
1 1
𝑍𝑛+1 = 𝑖𝑍𝑛 Signifie que 𝑍𝑛 est une suite géométrique de raison 𝑞 = 𝑖 et de premier terme
2 2
𝑍0 .
𝑛+1
1
D’où 𝑍𝑛 = 𝑍0 ( 𝑖)
2
𝑍0 𝑍1 𝑍2
1 1 1
Forme 1 + 𝑖√3 −
√3
+ 𝑖 − + 𝑖
2 2 4 2
algébrique
Forme 𝜋 𝜋 5𝜋 5𝜋 1 4𝜋 4𝜋
2 (𝑐𝑜𝑠 + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) 𝑐𝑜𝑠 + 𝑖𝑠𝑖𝑛 (𝑐𝑜𝑠 + 𝑖𝑠𝑖𝑛 )
3 3 6 6 2 3 3
trigonométrique
𝑍3 𝑍4
Forme √3 1 1 √3
− 𝑖 +𝑖
algébrique 8 8 16 16
Forme 1 𝜋 𝜋 1 𝜋 𝜋
[𝑐𝑜𝑠 (− ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 (− )] (𝑐𝑜𝑠 + 𝑖𝑠𝑖𝑛 )
trigonométrique 4 6 6 8 3 3
y
2
M0
M1
M4
-2 -1 0 M3 1 2 x
M2
-1
1 𝑛 1 𝑛 1
𝑂𝑀𝑛 = |𝑍𝑛 | = |( 𝑖) (1 + 𝑖√3)| = ( ) × 2 =
2 2 2𝑛−1
√5
5) a- Montrons que 𝑀𝑛 𝑀𝑛+1 = 𝑛 pour tout 𝑛 ∈ ℕ.
2
1 1 1
𝑀𝑛 𝑀𝑛+1 = |𝑍𝑛+1 − 𝑍𝑛 | = | 𝑖𝑍𝑛 − 𝑍𝑛 | = |𝑍𝑛 ( 𝑖 − 1)| = |𝑍𝑛 | × |−1 + 𝑖|
2 2 2
1 1 2 1 1 1 5 1 √5 √5
= 𝑛−1 × √(−1)2 + ( ) = × √1 + = ×√ = × = 𝑛
2 2 2𝑛−1 4 2𝑛−1 4 2𝑛−1 2 2
√5
D’où 𝑀𝑛 𝑀𝑛+1 = 𝑛
2
- Déterminons 𝑳𝒏 en fonction de 𝒏
𝐿𝑛 = 𝑀0 𝑀1 + 𝑀1 𝑀2 + ⋯ 𝑀𝑛 𝑀𝑛+1
1 𝑛+1
√5 √5 √5 √5 1 1 1 1 1−(2)
= 0 + 1 + 2 + ⋯+ 𝑛 = √5 ( 0+ 1+ 2 + ⋯+ 𝑛 ) = √5 ×
2 2 2 2 2 2 2 2 1− 1 2
𝑛+1
1−(12) 1 𝑛+1
= √5 × 1 = 2√5 × [1 − ( ) ]
2
2
1 𝑛+1 1 𝑛+1
𝑙𝑖𝑚 𝐿𝑛 = 𝑙𝑖𝑚 2√5 × [1 − ( )
2
] = 2√5 Car 𝑙𝑖𝑚 (2) =0
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗0 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
6) Déterminons une mesure de l’angle (𝑂𝑀 𝑂𝑀𝑛 ) en fonction de 𝑛.
𝑍𝑀𝑛 −𝑍 𝑍𝑀𝑛 1 𝑛 𝑛𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗0 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑒𝑠(𝑂𝑀 𝑂𝑀𝑛 ) = 𝑎𝑟𝑔 ( 0
) = 𝑎𝑟𝑔 ( ) = 𝑎𝑟𝑔 [( 𝑖) ] = + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
𝑍𝑀 −𝑍 𝑍𝑀 2 2
0 0 0
𝑛𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗0 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
D’où 𝑀𝑒𝑠(𝑂𝑀 𝑂𝑀𝑛 ) = + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
2
7) Déterminons les valeurs de 𝑛 pour les quelles les points 𝑂 ; 𝑀0 et 𝑀𝑛 sont ils alignés
𝑍𝑀𝑛−𝑍0
Les points 𝑂 ; 𝑀0 et 𝑀𝑛 sont ils alignés si et seulement si ∈ ℝ ∃𝑘′ ∈ ℤ tel que :
𝑍𝑀0 −𝑍0
𝑍𝑀𝑛 −𝑍 𝑛𝜋
0
𝑎𝑟𝑔 ( ) = 𝑘′𝜋 + 2𝑘𝜋 = 𝑘′𝜋 𝑛𝜋 + 4𝑘𝜋 = 2𝑘′𝜋 𝑛 = 2𝑘 ′ − 4𝑘
𝑍𝑀 −𝑍 2
0 0
𝐼
𝐽
𝐴 𝐶
1
Pour tout réel 𝑚, différent de − , on note 𝐺𝑚 le barycentre du système de points pondérés :
3
{(𝐴; 1) ; (𝐵; 𝑚) ; (𝐶; 2𝑚)}
Pour tout point 𝑀 du plan on note ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝑀 = 3𝑀𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐵 − 2𝑀𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
1) Montrons que 𝐺1 est le milieu du segment [𝐶𝐼].
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐴 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐵 + 2𝐺 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
1 𝐶 = 0 (Introduisons le milieu 𝐼 du segment [𝐴𝐵] dans 𝐺1 𝐴 + 𝐺1 𝐵 )
=> ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐼 + ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐼𝐴 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐼 + ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐼𝐵 + 2𝐺 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
1 𝐶 = 0 2𝐺1 𝐼 + 2𝐺1 𝐶 + 𝐼𝐴 + 𝐼𝐵 = 0
⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐼𝐵
𝐼𝐴 ⃗⃗ (Car 𝐼 est le milieu du segment [𝐴𝐵] )
⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
=> 2𝐺 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
1 𝐼 + 2𝐺1 𝐶 = 0 𝐺1 𝐼 + 𝐺1 𝐶 = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Les points 𝐺1 ; 𝐽 et 𝐶 sont alignés si et seulement si 𝑑𝑒𝑡(𝐺 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
1 𝐽 + 𝐺1 𝐶 ) = 0
⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐽𝐵
𝐽 Le centre de gravité de 𝐴𝐵𝐶 𝐽𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐽𝐶 ⃗⃗ (Introduisons le point 𝐴 dans 𝐽𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗ )
⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐽𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐽𝐴
=> 𝐽𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 + 𝐽𝐴⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐴𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗ 3𝐽𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 + 𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⃗⃗ 3𝐽𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗ = −𝐴𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝐴𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3𝐴𝐽 𝐴𝐵 + 𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 (𝐴𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐴𝐽 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) 𝐴𝐽 𝐴𝐵 + 𝐴𝐶
1 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3 3 3
1 1
Donc 𝐽 ( ; ) dans le repère (𝐴 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 )
3 3
1 1
Donc 𝐺1 ( ; ) dans le repère (𝐴 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ; 𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )
4 2
1
− 14 1
0 − 14 − 14
Ainsi ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐽 (13 ) => ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐽 ( 121 ) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐶 ( ) => ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺1 𝐽 ( )
3
− 12 −
6
1 − 12 1
2
1 1
− 1 1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 12 4
=> 𝑑𝑒𝑡(𝐺 1 𝐽 ; 𝐺1 𝐶 ) = | 1 1
|= ( )−( )= 0
24 24
−
6 2
D’où Les points 𝐺1 ; 𝐽 et 𝐶 sont alignés.
1
4) Montrons que pour tout réel 𝑚 distincte de − , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺𝑚 est colinéaire à ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺−1 .
3
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺𝑚 est colinéaire à ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺−1 si et seulement si 𝑑𝑒𝑡(𝐴𝐺 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑚 ; 𝐴𝐺−1 ) = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝑚 = {(𝐴; 1) ; (𝐵; 𝑚) ; (𝐶; 2𝑚)} (1 + 3𝑚)𝐴𝐺 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑚 = 𝑚𝐴𝐵 + 2𝑚𝐴𝐶
1 1
Pour 𝑚 = −1; on a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺−1 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐴𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 . D’où 𝐺−1 ( ; 1) dans le repère (𝐴 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 ).
2 2
𝑚 1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 1+3𝑚 2 𝑚 2𝑚 1 𝑚 𝑚
=> 𝑑𝑒𝑡(𝐴𝐺 𝑚 ; 𝐴𝐺−1 ) = | 2𝑚 |= ×1− × = − =0
1+3𝑚 1+3𝑚 2 1+3𝑚 1+3𝑚
1
1+3𝑚
D’où ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺𝑚 est colinéaire à ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐺−1
1
On sait que 𝐵(1 ; 0) ; 𝐼 est le milieu de [𝐴𝐵] donc 𝐼 ( ; 1) et 𝐺−1/2 ( 1; 2)
2
1 2 1 1 2 √17
Donc : 𝐼𝐵 = √(1 − ) = ; 𝐵𝐺−1/2 = √22 = 2 et 𝐼𝐺−1/2 = √(1 − ) + 22 =
2 2 2 2
1 2 1 17
𝐼𝐵 2 + 𝐵𝐺−1/2 2 = ( ) + (2)2 = +4=
2 4 4
2
√17 √17 17
𝐼𝐺−1/2 = 𝐼𝐺−1/2 2 = ( ) =
2 2 4
17
Puisque 𝐼𝐵2 + 𝐵𝐺−1/2 2 = 𝐼𝐺−1/2 2 = ; alors 𝐼𝐵𝐺−1/2 est un triangle rectangle en 𝐵.
4
II) Dans le plan affine Euclidien rapporté au repère orthonormé, on considère l’application
1
𝑥 ′ = (−3𝑥 + 4𝑦 + 4)
5
affine 𝑓 défini par : { 1
𝑦 ′ = (4𝑥 + 3𝑦 − 2)
5
1) Démontrons que 𝑓 est une isométrie.
𝑓 étant une application affine, la matrice de l’endomorphisme associé à 𝑓 est 𝑀𝜑 définie par :
3 4
− 𝑎 𝑏
𝑀𝜑 = ( 45 5
3
) qui est de la forme ( ).
𝑏 −𝑎
5 5
3 4
− 9 16 25
𝑑𝑒𝑡(𝑀𝜑 ) = | 45 5
3
| = − − = − = −1
25 25 25
5 5
1
𝑥 = (−3𝑥 + 4𝑦 + 4)
5
L’ensemble des points invariants par 𝑓 est tel que 𝑓(𝑀) = 𝑀 { 1
𝑦 = (4𝑥 + 3𝑦 − 2)
5
5𝑥 = (−3𝑥 + 4𝑦 + 4) 2𝑥 − 𝑦 − 1 = 0
{ { => 2𝑥 − 𝑦 − 1 = 0
5𝑦 = (4𝑥 + 3𝑦 − 2) −2𝑥 +𝑦+1 =0
Problème…………………………………………………………(𝟏𝟎 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔)
A) Soit la fonction 𝑓 définie sur l’intervalle [0; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1 − 𝑥.
On appelle (𝐶) la courbe représentative de 𝑓.
1) a- Calculons la fonction dérivée de 𝑓.
𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1 − 𝑥 => 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑒 −2𝑥 − 2𝑒 −2𝑥 − 1 = −[1 + (2𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥 ].
b- Dressons le tableau de variation de 𝑓′ sur [0; +∞[
𝐷𝑓 = [0; +∞[
𝑙𝑖𝑚 𝑓′(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑒 −2𝑥 − 2𝑥𝑒 −2𝑥 − 1 = −1 et 𝑓′(0) = −2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
𝑓 ′ (𝑥) = 𝑒 −2𝑥 − 2𝑥𝑒 −2𝑥 − 1 => 𝑓 ′′ (𝑥) = −(2 − 4𝑥 − 2)𝑒 −2𝑥 = 4𝑥𝑒 −2𝑥
Ainsi pour tout 𝑥 ∈ [0; +∞[, 𝑓 ′′ (𝑥) ≥ 0. D’où 𝑓 est croissante.
D’où le tableau de variation de 𝑓′ sur [0; +∞[ est le suivant :
𝑥 0 +∞
𝑓′′(𝑥) +
𝑓′(𝑥) −1
−2
En déduisons le signe de 𝑓′ sur [0; +∞[.
D’après le tableau de variation de 𝑓 ′ , pour tout 𝑥 ∈ [0; +∞[, 𝑓′(𝑥) < 0.
c- Dressons le tableau de variation de 𝑓 sur [0; +∞[ .
𝑥 0 +∞
𝑓′(𝑥) −
𝑓(𝑥) 2
−∞
d- Montrons que (𝐶) admet une asymptote (𝐷) dont on déterminera une équation.
𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1 − 𝑥 𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + (1 − 𝑥)
𝑓(𝑥) − (1 − 𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 (Appliquons à cette égalité la limite en +∞). On a :
𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) − (1 − 𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 (𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 ) = 0.
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
Donc la droite (𝐷)d’équation 𝑦 = 1 − 𝑥 est asymptote oblique à la courbe (𝐶) de 𝑓 au
voisinage de +∞.
e- Construisons (𝐶) et (𝐷) sur un même graphique.
y
𝑦
1
1
0
0 1 2 x
-1
−1
2) a- Etablissons que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet sur l’intervalle [0; +∞[ une
solution et une seule notée 𝛼.
D’après le tableau de variation de 𝑓, pour tout 𝑥 ∈ [0; +∞[, 𝑓 est continue et strictement
décroissante donc 𝑓 réalise une bijection de [0; +∞[ sur ]−∞ ; 2]. Or 0 ∈ ]−∞ ; 2] donc il
existe une solution unique 𝛼 ∈ ]−∞ ; 2] telle que 𝑓(𝛼) = 0
b- Justifions l’encadrement : 1 ≤ 𝛼 ≤ 2.
𝑓(1) = 2𝑒 −2 > 0
{ 3−𝑒4 => 𝑓(1) × 𝑓(2) < 0.
𝑓(2) = <0
𝑒4
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires on a : l’encadrement : 1 ≤ 𝛼 ≤ 2.
B) Soit la fonction 𝑔 définie sur l’intervalle 𝐽 = [1; +∞[ par : 𝑔(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1.
1) Etudions les variations de 𝑔 sur 𝐽
𝑔(𝑥) = 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1 => 𝑔′(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 − 2𝑥𝑒 −2𝑥 − 2𝑒 −2𝑥 = −(2𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥
Ainsi pour tout 𝑥 ∈ [1; +∞[, 𝑔′(𝑥) < 0. Donc 𝑔 est strictement décroissante.
𝑙𝑖𝑚 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑥𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −2𝑥 + 1 = 1 et 𝑔(1) = 1 + 2𝑒 −2
𝑥 → +∞ 𝑥 → +∞
D’où le tableau de variation de 𝑓′ sur [0; +∞[ est le suivant :
𝑥 1 +∞
𝑔′(𝑥) −
𝑔(𝑥) 1 + 2𝑒 −2
1
En déduisons que pour tout 𝑥 ∈ 𝐽, 𝑔(𝑥) ∈ 𝐽.
3
Alors |𝑔′(𝑥)| ≤ |−3𝑒 −2 | |𝑔′(𝑥)| ≤
𝑒2
.
3
En déduisons que pour tout 𝑥 ∈ 𝐽, on a : |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|.
𝑒2
3
On sait que 𝛼 ∈ [1 ; 2] ⊂ 𝐽 et 𝑥 ∈ 𝐽 => 𝑥 ∈ [𝛼 ; 𝑥] et de plus pour tout 𝑥 ∈ 𝐽, |𝑔′(𝑥)| ≤
𝑒2
.
En appliquant le théorème de l’inégalité des accroissements finis à la fonction 𝑔 sur l’intervalle
3
[𝛼 ; 𝑥], on a : |𝑔(𝑥) − 𝑔(𝛼)| ≤ 2 |𝑥 − 𝛼|.
𝑒
3
D’autre part 𝑓(𝑥) = 𝑔(𝑥) − 𝑥 et 𝑓(𝛼) = 0 => 𝑔(𝛼) = 𝛼. Par suite |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|.
𝑒2
𝑢0 = 1
3) Soit (𝑢𝑛 ) la suite d’éléments de 𝐽 définie par : { pour tout entier 𝑛 positif ou
𝑢𝑛+1 = 𝑔(𝑢𝑛 )
nul.
3
a-Montrons que pour tout entier 𝑛 positif ou nul, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 𝑛
3
D’après la question 2), on a : |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼| 𝑒𝑡 𝑒n posant 𝑥 = 𝑢𝑛 , on a :
𝑒2
3 3
|𝑔(𝑢𝑛 ) − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|. Or 𝑔(𝑢𝑛 ) = 𝑢𝑛+1 => |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ 2 |𝑢𝑛 − 𝛼|.
𝑒2 𝑛 𝑒
3
D’où pour tout entier 𝑛 positif ou nul, on a : |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 𝑛
3 𝑛
b-En déduisons que pour tout entier 𝑛 positif ou nul, on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( 2 ) .
𝑒
3
D’après la question précédente, pour tout 𝑛 ∈ ℕ∗ , on a : |𝑢𝑘+1 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 𝑘
3
- Pour 𝑘 = 0, on a : |𝑢1 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 0
3
- Pour 𝑘 = 1, on a : |𝑢2 − 𝛼| ≤ 2 |𝑢1 − 𝛼|.
𝑒
3
- Pour 𝑘 = 2, on a : |𝑢3 − 𝛼| ≤ 2 |𝑢2 − 𝛼|.
𝑒
. . . En multipliant membre à
membre puis en simplifiant
. . .
les expressions de chaque
. . . égalité, on a :
. . .
3
- Pour 𝑘 = 𝑛 − 2, on a : |𝑢𝑛−1 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 𝑛−2
3
- Pour 𝑘 = 𝑛 − 1, on a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢 − 𝛼|.
𝑒2 𝑛−1
3 𝑛
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( 2 ) |𝑢0 − 𝛼|.
𝑒
D’autre part on a : 1 ≤ 𝛼 ≤ 2
−2 ≤ −𝛼 ≤ −1
1 − 2 ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 1 − 1
−1 ≤ 𝑢0 − 𝛼 ≤ 0
−1 ≤ −(𝛼 − 𝑢0 ) ≤ 0
0 ≤ |−(𝛼 − 𝑢0 )| ≤ |−1|
0 ≤ |𝛼 − 𝑢0 | ≤ 1 => |𝛼 − 𝑢0 | ≤ 1
3 𝑛 3 𝑛 3 𝑛
Donc |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( 2 ) |𝑢0 − 𝛼| ≤ ( 2 ) => |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( 2 )
𝑒 𝑒 𝑒
3 𝑛 3 𝑛
On a : |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( 2 ) |𝑢𝑛 − 𝛼| = ( 2 ) (en appliquant la limite à chaque membre de
𝑒 𝑒
3 𝑛
l’égalité), on a : 𝑙𝑖𝑚|𝑢𝑛 − 𝛼| = 𝑙𝑖𝑚 ( 2 ) 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛 − 𝛼 = 0 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛 = 𝛼
𝑒
𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞ 𝑛 → +∞
d-Déterminons un entier 𝑝 pour le quel on est sûr d’avoir |𝑢𝑝 − 𝛼| ≤ 10−3 .
3 𝑝 −3𝑙𝑛10
On a : ( 2 ) ≤ 10−3 𝑝 ≥ 𝑝 ≥ 7,66. donc 𝑝 = 8.
𝑒 𝑙𝑛( 32)
𝑒