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REMERCIEMENTS
Nos remerciements :
A mes parents ILUNGA KANYOKA MICHEL et NGOYI
MUTONKOLE JUDITH qui m’ont soutenu sur tous les plans pour
atteindre cet étape de ma vie, que Dieu puisse vous accordez
longue vie, bonne santé et plein de bonheur à nos côtés et qu’il
puisse vous donnez des moyens nécessaire ;
A mon directeur LIRE IPANI qui a guidé mon travail, merci
pour toutes les leçons, que Dieu vous aide à accomplir tous vos
projets ;
A tous les médecins et infirmiers de l’hôpital militaire de la
Rwashi, merci pour l’encadrement reçu, recevez ici toute ma
reconnaissance ;
A tous les stagiaires mes collègues, merci pour l’affection
que vous m’avez témoignée ;
A tous les membres du groupe blessing, merci pour votre
aide.
3
INTRODUCTON
1. LA PROBLEMATIQUE
Notre choix a été porté à ce sujet parce qu’aucune étude n’a été
faite sur ce sujet au sein de notre institution. L’intérêt est
d’attirer l’attention des personnels soignants sur une pathologie
qui est fréquente, mais moins étudier ou négliger et de connaitre
sa fréquence dans notre milieu.
3. ETAT DE LA QUESTION
Deux études ont été fait sur d’autres lieux. Nous citons :
4
fréquence des ces fissures, l’âge le plus touché et comment le
traiter. Dans sa conclusion, il trouve que c’est une pathologie
fréquente avec prédilection pour les adultes jeunes. Son
traitement est d’abord médicale, ensuite chirurgicale.
4. OBJETIFS :
4. DELIMITATION DU SUJET
5. SUBDIVISION DU TRAVAIL
5
CHAP I GENERALITES
I.1.1. FREQUENCE
I.2.1.1.3. APPAREIL SPHINCTERIEN :
Un muscle sphincter est un anneau musculaire dont la
fonction est de fermer la lumière d’un conduit.
8
I.2.1.1.3.1. LE SPHINCTER INTERNE : ou muscle sphincter Ani
internus. C’est un muscle lisse constitué l’épaississement de la
couche circulaire de la musculaire rectale. Sa partie inferieur est
entourée par le sphincter externe constitué de fibres musculaires
lisses. Il est innervé par le système neurovégétatif et échappe au
contrôle de la volonté. C’est le gardien de la continence anale.
9
rectum. Ils s’insérèrent sur le ligament ano-coccygien, sur
les bords latéraux du coccyx et à la face postérieure de la
partie anale du rectum. Le faisceau pubo-rectal nait sur la
face supérieure du pubis à côté du disque inter-pubien. Il
est épais et étroit avec un trajet vertical et sagittal. Il croise
l’urètre et la prostate chez l’homme et le vagin chez la
femme.il se termine sur le centre tendineux du périnée et
dans les parois latérales du rectum ou ses fibres s’insinuent
entre les parties du sphincter externe de l’anus. Il participe
efficacement au soutènement des viscères pelviens. La
contraction de sa partie externe entraine l’occlusion du
canal anal et celle de la partie interne, le dilate, assurant le
1er temps de la défécation.
les muscle corrugateurs de la marge anale ou muscle
corrugator cutis Ani.il est constitué de fibres lisses de la
peau entourant l’anus. Il irradie vers son sphincter externe.
Sa contraction rétracte et plisse la marge de l’anus. Il
appartient pour certains auteurs à la couche musculaire du
canal anal.
le corps caverneux et le muscle canalis Ani :
Le corps caverneux : se situe dans le 1/3 supérieur du canal
anal en dessous de la ligne anorectale comme le corps
caverneux du pénis, le plexus vasculaire du corps caverneux
rectal est rempli de sang rouge artériel. Il est tributaire des
branches terminales de l’artère rectale supérieure. Ces
branches sont constamment retrouvées aux points
suivants : 3H, 7H, 11H ou ils peuvent être palpés. Ils
forment un réseau capillaire dans le corps caverneux. Le
corps caverneux est ancré sur les fibres du muscle canalis.
Le faisceau profond est intimement lié aux fibres du muscle
pubo rectal dans ses relations postérieurs rétro-anales. Il
participe pour partie au tonus de fermeture du canal anal et
il représente l’effecteur principal de la continence dite
urgente qui se traduit par la genèse d’une contraction sous
le contrôle de la volonté.
Au plan anatomique l’innervation de la région anorectale
peut être divisée en trois parties.
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Les nerfs splanchniques prennent naissance au niveau de
la moelle lombaire et forment le plexus hypogastrique supérieur.
Le plexus honteux interne nait des trois premiers racines sacrées
et donne naissance aux nerfs pudentaux et aux nerfs érecteurs.
On distingue :
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rectum, faisceau pubo-rectal du releveur, sphincter externe,
sphincter interne, muqueuse anale.
12
les faisceaux sous cutané et profond sphincter
externe ;
en avant, elles participent à la constitution du centre
tendineux du périnée, cette couche rend solidaires les
appareils sphinctériens interne et externe, et constitue
un ensemble de voies par lesquelles pourra cheminer
l’infection.
Espaces celluleux péri anaux :
On distingue différents espaces celluleux péri-anaux qui
peuvent favoriser l’extension des extensions.
l’espace circum-anal sous-muqueux : est situé dans les
2/3superieurs du canal anal entre la muqueuse anale
et le sphincter interne limité en bas par le ligament de
PARKS et le septum inter musculaire, en haut il
communique avec la couche sous muqueuse du
rectum. Il convient le plexus hémorroïdaire interne, la
musculaires mycosale Ani, le plexus lymphatique sous-
muqueux et le début des canaux glandulaires
d’HERMANN et DEFOSSES.
l’espace péri anal sous cutané :
Il est situé dans le 1/3 inferieur du canal anal, limité en bas
par la peau du canal anal en haut par le septum inter
musculaire et en dehors par le fascia de MORGANI.
Il contient le faisceau sous-cutané du sphincter externe, le
plexus hémorroïde externe et les glandes sudoripares et
sébacées ;
la fosse ischio-rectale : c’est un espace du périnée
postérieur situé de chaque côté du rectum.de forme
prismatique, triangulaire, elle présente un sommet
supérieur et une base du periné.sa paroi médiale,
oblique en bas et en dedans, est constitué par les
muscles élévateurs et le sphincter externe de l’anus.
Elle se prolonge en avant vers le périnée antérieur
sous le muscle élévateur, et en arrière, dans la région
glutéale. Elle est remplie d’un corps adipeux traversé
par des vaisseaux et nerfs et présent sus la paroi
externe, le canal honteux.
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Il est admis actuellement que les fosses ischio-rectale
communiquent entre elle en arrière du canal par les espaces
retro-anaux supérieur et inferieur ;
I.2.1.3.1VASCULARISATION ARTERIELLE
artère rectale supérieur : ou artère rectalis supérieure.
Branche terminale de l’artère mésentérique inferieure, c’est
l’artère du canal anal et le plus souvent l’anus. Elle donne
des bronches destinées à la muqueuse et à la sous
muqueuse. Ces branches perforent la paroi rectale à 8 cm
de la marge anale avant de descendre dans la sous-
muqueuse. Elles prennent ensuite un trajet rectiligne dans
l’axe du rectum puis du canal anal. Elles jettent un niveau
de la ligne pectinée.
artère rectale moyenne : ou artère rectalis media.
Elle nait de l’artère iliaque interne, descend de façon oblique
en dedans et en avant vers la face latérale du rectum et se
termine à ce niveau par 3 ou 4 branches ;
artère rectale inferieure : ou artère rectalis inferieure.
Elle nait de l’artère pudentale interne au niveau de l’épine
sciatique. Elle se dirige en bas et en dedans vers le canal
anal qu’elle vascularise;
artère sacrale médiale : elle participe accessoirement à
cet apport artériel, elle nait de l’aorte (au -dessus de la
bifurcation) et se jette dans le corps coccygien.
14
I.2.1.3.2 VASCULARISATION VEINEUSE
Elle constitue un shunt porto-cave.
I.2.1.3.3.VASCULARISATION LYMPHATIQUE
I.2.1.4.1COUCHE INTERNE
La zone de transition : elle est comprise entre la ligne
anorectale et la ligne pectinée.
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membrane proctodéale, frontière embryonnaire entre ectoderme
para malpighien, cet épithélium de transition est composé de
cellules cubiques et de l’épithélium épidermoïde stratifié ;
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CHAP II : FISSURE ANALE
II.1.DEFINITION
La fissure anale est une ulcération superficielle
longitudinale chronique et récidivante de l’anus (CHEIK, 2011).
II.2. PATHOGENIE
3. FACTEURS FAVORISANTS
Son apparition est liée à la combinaison de trois
facteurs :
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4. CLINIQUE
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5. DIAGNOSTIC
Le diagnostic est clinique dans la fissure anale, il se fait en
position genou pectorale, on écarte doucement les plis de l’anus
pour voir la plaie. La douleur est à type de déchirure provoquée et
rythmée par la défécation. Le passage des selles réveille une
douleur qui persiste quelques minutes à quelques heures après
les selles. Parfois après une brève accalmie post fécale.
L’irradiation de cette douleur peut se faire vers les fesses, les
organes génitaux externes, les cuisses. Les autres signes sont
constants : saignements, prurit marginal, constipation reflexe. Le
touché rectale se fait si la zone n’est pas trop douloureuse pour
rechercher les autres causes de la douleur anale.
6. TRAITEMENT
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Pour lutter contre la constipation il faut : ne pas laisser
passer l’appel physiologique de la défécation, éviter
beaucoup d’effort lors de la défécation, tenter d’aller à selle
toujours à la même heure, réaliser un exercice physique,
boire suffisamment d’eau, consommer les fruits sec, les
légumes et les céréales complets ;
Faire une toilette biquotidienne du siège en utilisant un
savon doux et bien sécher le périnée par tamponnement.
(www.santé-ujf-grenoble-fr/santé)
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anale : elles visent à lever le spasme sphinctérien pour
permettre une meilleure vascularisation et une diminution
de la douleur ; il s’agit de l’application de dérivés nitrés en
pommade et de l’injection de toxine botulinique, encore au
stade d’évaluation.
- soulager la douleur ;
- Faire le bain de siège avec la solution de dakin selon le
nombre de selle ou faire l’irrigation de la région anale
avec une solution saline ;
- appliquer des compresses chaude ;
- renouveler le drain après chaque selle ;
- surveiller les signes vitaux ;
- conseiller un régime riche en fibre ;
- donner beaucoup d’eau.
(www.santé-ujf-grenoble-fr/santé)
8. EVOLUTION ET COMPLICATION
8.1. EVOLUTION
La fissure anale peut évoluer de trois façons :
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cicatrisation prend 6 à 8 semaines et pendant ce temps la
douleur est surtout importante lors de la selle et lors de la
position assise, on observe aussi un suintement des plaies
plus ou moins important et constant qui disparait quand la
cicatrisation est terminée. La cicatrisation au niveau de
l’anus est parfois difficile à cause de la contraction
permanente du sphincter anal empêchant le sang d’irriguer
correctement cet endroit et aussi la présence de nombreuses
bactéries dans cette zone.
les récidives : la fissure anale à tendance récidiver
fréquemment, en particulier si une constipation persiste. Le
passage répété de selles dure peut ouvrir à nouveau la plaie,
il est donc importante de prévenir le retour éventuel d’une
constipation même après la cicatrisation de la fissure anale.
Et en cas de récidive une nouvelle intervention est alors le
plus souvent nécessaire.
8.2. COMPLICATION
Il arrive que la plaie s’infecte et qu’elle ne puisse se refermer.
Cela survient surtout lorsqu’elle évolue depuis très longtemps
sans traitement. L’infection peut aussi apparaitre après chirurgie
avec apparition d’un abcès au niveau de la plaie. (FAUCHERON,
2005 ; DENKE, 2003 ; CHEIK, 2011)
23
CHAP III.METHODOLOGIE
III.2.1. METHODE
III.2.2. TECHNIQUE
La technique qui nous a permis d’atteindre les objectifs,
c’est l’analyse documentaire.
24
III.3 ECHENTILLONNAGE
Notre échantillon est de 15 cas de fissures anales tiré dans
230 cas de la population hospitalisée.
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CHAP IV. PRESENTATION DES RESULTATS
Fréquence Ni %
Sexe Ni %
Féminin 5 33.3
Masculin 10 66.7
Total 15 100
26
TABLEAU III. REPARTITION DES MALADES SELON L’AGE
Tranche d’âge/ans Ni %
15-30 4 26.7
31-36 2 13.3
37-42 4 26.7
43-48 5 33.3
Total 15 100
Fonctions Ni %
Chauffeur 7 46.7
Elèves/étudiants 3 20
Mécanicien 4 26.7
Ménagère 1 6.6
Total 15 100
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Motif de consultation Ni %
Total 15 100
Durée d’évolution/ans Ni %
<1 2 13.3
1-3 9 60
4-6 1 6.7
7-9 2 13.3
10-12 1 6.7
Total 15 100
Signes fonctionnels Ni %
28
Constipation 15 100
Diarrhée 0 0
Douleur anale 0 0
Prurit anal 0 0
Suintement anal 0 0
Total 15 100
Facteurs favorisants Ni %
Constipation 5 33.3
Diabète 1 6.3
Drépanocytose 1 6.3
Grossesse 1 6.3
Tuberculose 2 13.3
Traumatisme anal 3 2O
VIH 2 13.3
Total 15 100
Moment de la douleur Ni %
29
Douleur à trois temps 10 66.7
Total 15 100
Purulent 4 26.7
Sanguinolent 8 53.3
Séreux 1 6.7
Sero-purulent 2 13.3
Total 15 100
Inspection anal Ni %
30
Fissure anale plus hémorroïde 3 20
Total 15 100
Siege Ni %
Total 15 100
Nombre de survenu Ni %
Récidive 7 46.7
Total 15 100
31
Le 53.3 % de nos malades étaient à leur 1ere épisode.
Toucher rectal Ni %
Douloureux 6 40
Impossible 5 33.3
Indolore 1 6.7
Total 15 100
Nature du traitement Ni %
Médical traditionnel 6 40
Uniquement médical 3 20
32
Total 15 100
Traitement Ni %
Médical 10 66.7
Chirurgical 5 33.3
Total 15 100
Evolution Ni %
Bon 9 60
Récidive 7 40
Total 15 100
33
CHAP V. DISCUTION DES RESULTATS
34
Chez nous aucune étude n’a été réalisée pour la
fréquence de la fissure anale, néanmoins nous avons collecté 15
cas pour 10 ans. Cette fréquence est largement inférieur à celle
trouvée par les Européens ; 8 cas pour 3 ans. Cela peut
s’expliquer du fait que les maladies proctologiques en générale et
la fissure en particulier sont traitées par les tradipraticiens, c’est
le cas rare qui consulte les hôpitaux pour la prise en charge.
36
présentaient la pathologie variant de 1 à 3 ans. Ce qui explique
que les malades consultent d’abord les tradipraticiens.
37
Pour le traitement d’avant la consultation. Nous avons
constaté que 26,7 % de malades avaient été traité
traditionnellement mais ce qui est du traitement reçu à l’hôpital
66,7 % de malades avaient bénéficié d’un traitement médical et 5
malades soit 33,3 % qui ont eu un traitement chirurgical.
CONCLUSION
- Déterminer la fréquence,
- Déterminer les facteurs favorisants,
- Déterminer la tranche d’âge la plus affecter et
- D’évaluer sa prise en charge.
SUGGESTION
A la population :
- éviter l’utiliser les papiers non hygiénique, (les feuille de
papier pour le grand besoin)
- Consulté le plus tôt possible dans les structures
sanitaires les plus proches, en cas de gène de la sphère
anale
- Eviter l’automédication et des traitements traditionnels
39
- Eviter les troubles du transit notamment la constipation
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
40
2. DUHAMEL. J : pathologies aux divers âges Musson, 1992 ;
6 : 1963-34270 .
3. FAUCHERON.JL : la fissure anale, gastroentérologie 2005 ;
33, 73-78
4. LAURENT S, MARIANE E, STEPHANE A : possibilité
thérapeutique dans la fissure anale chronique revu Prat,
2008, 51 : 21 à 25.
5. PATEL.JC : pathologie chirurgical, 1977
6. ROBERT.D, CHURET.J, PIQUARD : anatomie du canal anal :
encycl.Moel Cher Tech Chr TOME 2, 1976-40680.
DEDICACE…………………………………………………………………………………………………………………………………………..II
REMERCIEMENT………………………………………………………………………………………………………………………………III
INTRODUCTON.......................................................................................................................................1
42
1. LA PROBLEMATIQUE...................................................................................................................1
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET......................................................................................................1
3. ETAT DE LA QUESTION................................................................................................................1
4. OBJETIFS.........................................................................................................................................2
4. DELIMITATION DU SUJET............................................................................................................2
5. SUBDIVISION DU TRAVAIL..........................................................................................................2
CHAP I GENERALITES..............................................................................................................................3
I.1. DEFINITION DE CONCEPTES DE BASE............................................................................................3
I.1.1. FREQUENCE...........................................................................................................................3
I.1.2. PRISE EN CHARGE..................................................................................................................3
I.1.3. FISSURE ANALE......................................................................................................................3
I.2. RAPPEL ANATOMIQUE ET PHYSIOLOGIQUE DE LA REGION ANO RECTALE................................3
I.2.1. ANATOMIE DESCRIPTIVE.......................................................................................................4
I.2.1.1. ANATOMIE MACROSCOPIQUE............................................................................................4
I.2.1.1.1. CONFIGURATION EXTERNE..............................................................................................4
I.2.1.1.2. CONFIGURATION INTERNE..............................................................................................4
I.2.1.1.3. APPAREIL SPHINCTERIEN :...............................................................................................5
I.2.1.1.3.2. LE SPHINCTER EXTERNE................................................................................................6
I.2.1.2. PHYSIOLOGIE DE LA REGION ANO-RECTALE.......................................................................8
I.2.1.3. VASCULARISATION DU CANAL ANAL................................................................................11
I.2.1.3.1VASCULARISATION ARTERIELLE.......................................................................................11
I.2.1.3.2 VASCULARISATION VEINEUSE.........................................................................................12
I.2.1.3.3.VASCULARISATION LYMPHATIQUE.................................................................................12
I.2.1.4. ANATOMIE MICROSCOPIQUE...........................................................................................12
I.2.1.4.1COUCHE INTERNE............................................................................................................12
I.2.1.4.2. GLANDES ANALES..........................................................................................................13
I.2.2. ANATOMIE FONCTIONNELLE...................................................................................................14
CHAP II : FISSURE ANALE......................................................................................................................15
II.1.DEFINITION.................................................................................................................................15
II.2. PATHOGENIE.............................................................................................................................15
3. FACTEURS FAVORISANTS..............................................................................................................15
4. CLINIQUE......................................................................................................................................16
4.1. LA FISSURE ANALE JEUNE TYPIQUE...........................................................................................16
4.2. LA FISSURE ANALE VIELLIE.........................................................................................................16
43
4.3. LA FISSURE ANALE INFECTEE.....................................................................................................16
5. DIAGNOSTIC.................................................................................................................................17
5.1. DIAGNOSTIC DIFFERENCIEL...................................................................................................17
6. TRAITEMENT.................................................................................................................................17
6.1. TRAITEMENT MEDICAL..............................................................................................................17
6.2. TRAITEMENT CHIRURGICAL.......................................................................................................18
7. LES SOINS INFIRMIERS..................................................................................................................19
8. EVOLUTION ET COMPLICATION....................................................................................................19
8.1. EVOLUTION................................................................................................................................19
8.2. COMPLICATION.........................................................................................................................20
CHAP III.METHODOLOGIE.....................................................................................................................21
III.1. PRESENTATION DU LIEU DE RECHERCHE..................................................................................21
III.2. METHODE ET TECHNIQUE........................................................................................................21
III.2.1. METHODE..........................................................................................................................21
III.2.2. TECHNIQUE........................................................................................................................21
III.3 ECHENTILLONNAGE...................................................................................................................22
III.4. MATERIELSUTILISES..................................................................................................................22
III.5. DIFFICULTES RENCONTRES.......................................................................................................22
III.6. ANALYSE DES RESULTATS.........................................................................................................22
CHAP IV. PRESENTATION DES RESULTATS............................................................................................23
CHAP V. DISCUTION DES RESULTATS....................................................................................................32
CONCLUSION........................................................................................................................................36
SUGGESTION........................................................................................................................................37
BIBLIOGRAPHIE.....................................................................................................................................38
Table des matières……………………………………………………………………………………………………………………….40
44