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Physiologie Renale
Physiologie Renale
Les Reins
PHYSIOLOGIE DU REIN Equilibrent les liquides du milieu intérieur
Jouent le rôle d'une station d'épuration
SUPPORT DE COURS 2010-2011
- filtrent le plasma sans relâche
- excrètent dans l'urine des toxines provenant du foie, des
déchets métaboliques comme l'urée et les ions en excès
Christian MASSÉ
Récupèrent les composants indispensables qui ont filtré pour les
retourner dans le sang
Jouent aussi un rôle endocrine :
y g
Laboratoire de Physiologie
- sécrétion d'érythropoïétine (EPO) qui stimule la
Faculté de Médecine production des hématies par la moelle osseuse
- activation de la vitamine D qui intervient dans la croissance
Montpellier - sécrétion de Rénine qui intervient dans la régulation de la
pression artérielle
D'après M. Adé-Damilano
I : LE NEPHRON
I1 : Description I2 : Circulation sanguine
I2 : Circulation sanguine
I2 : Circulation sanguine
50
50 mm Hg
II - La filtration glomérulaire
I4 – Les pressions dans et autour du néphron
• Première étape de la fabrication de l'urine :
• Passage d'eau et de solutés de la lumière
vasculaire à la lumière tubulaire
– Au travers d'une membrane constituée par la fusion
de
• la membrane capillaire du glomérule
• la membrane de la capsule de Bowman (partie
initiale du tubule rénal)
• Sur la face sanguine la membrane du capillaire est
tapissée
p d'une couche fenêtrée formée de cellules
endothéliales
– qui laisse apparaître des pores de 50 à 100 nm de
diamètre
II - La filtration glomérulaire
II1 - Barrière de filtration
• Sur la face urinaire la membrane de la capsule de
bowman, des cellules épithéliales de grande taille, les Barrière de filtration Microscopie
podocytes, y appliquent leurs pédicelles électronique
– quii délimitent
déli it t des
d fentes
f t de d filtration
filt ti ett des
d
canalicules de communication avec l'espace urinaire
• La surface de filtration est estimée à 1 m2 pour
l'ensemble du système rénal
1 1-chambre urinaire
• L'urine primitive contient tous les constituants 2 pédicelle
3 noyau du podocyte
solubles du plasma , organiques ou minéraux à une 4 lumière capillaire
concentration très proche de celle de ce dernier,
dernier excepté 5 fente de filtration
6 pore de l'endothélium
les grosses molécules protéiques 7 lamina rara interna
8 lamina densa
9 lamina rara externa
6 2
5 4
IV2 Cas d'une substance sécrétée : le PAH (acide Para Amino IV3 Clairances et fraction filtrée
Hippurique) Quelle que soit [P] pour l'inuline
C=125 ml/min
• Cette substance administrée par
perfusion est normalement filtrée Tant que la glycémie < 1,8 g/l Cglu=0
mais aussi activement sécrétée mais s'élève ensuite pour plafonner
dans le TCP à une valeur de (125-TmG/[P])
• Aux faibles concentrations [P] le ml/min
débit urinaire s'élève rapidement CPAH plafonne à 625 ml/min tant
au dessus de celle du débit de que [P] < 0,2g/l puis diminue et tend
filtration (droite obtenue par vers (125+TmPAH/[P]) ml/min
inhibition au Probénécid)
On considère donc que le plasma est
• Au delà de [P]= 20mg/ml le débit
totalement épuré du PAH s'il est en
urinaire de PAH est égal au débit
faible concentration en un seul
filtré additionné d'une constante :
passage rénal
le TmPAH (80 mg/min) obtenu à
saturation des transporteurs de la CPAH représente de ce fait le Débit
membrane tubulaire [P]
Plasmatique Rénal (DPR)
• CPAH = (F.[P] +TmPAH)/[P] 20
DFG/DPR =1/5 soit (20 %), ce qui signifie que la Fraction de plasma
• = 625 ml/min
Filtrée (FF) représente 20 % du débit plasmatique rénal
- 70 mV Cellule -70mV 0 mV
Na Glu
Na 140 mM Na 10-20 mM Na 140 mM Le Na+ entré dans la cellule est ressorti à la membrane basolatérale
par la Na/K ATPase (mécanisme actif) et le glucose est pris en
charge par un transporteur saturable ( notion de Tm)
(-) ddp transépithéliale (+)
V2- Les échanges dans le tubule proximal V2 - Les échanges dans le tubule proximal
• Les mouvements d'ions et solutés se font au niveau apical surtout
• Caractéristique : le liquide tubulaire demeure isotonique par rapport par des mécanismes de cotransport (symport) ou de contre-
au plasma tout le long du TCP transport (antiport)
• L'eau et les solutés sont donc réabsorbés simultanément • Au niveau basolatéral antiport et symport existent, à ce niveau aussi
• La réabsorption est facilitée par le fait que dans le sang péritubulaire la – Se situe, et là seulement, la Na/k ATPase qui se charge du
pression oncotique est plus élevée (perte de 1/5 de l'eau à la filtration) ce transfert du Na+ vers le milieu intertitiel
qui constitue une force osmotique d'appel d'eau – S'observent des mécanismes de diffusion simples ou avec
• L'eau est réabsorbée par passage au travers de canaux spécifiques : les transporteurs
canaux aquaporine type 1 surtout (Aqp1) présents sur les membranes • La sécrétion au sens strict concerne H+ et NH3 qui sont
apicale et basolatérale de la cellule tubulaire. effectivement produit dans la cellule tubulaire et délivrés dans la
• A ce niveau sont réabsorbés : lumière tubulaire
• 70 % de l'eau • La sécrétion ou plus exactement l'excrétion concerne le transfert
tubulaire de substances endogènes qui s'ajoute à la filtration
• 50 à 100 % des autres éléments (catécholamines, sérotonine et leurs métabolites, prostaglandines...)
mais aussi de substances introduites dans l'organisme (antibiotiques,
diurétiques, produits de contraste... et évidemment le PAH)
V2 - Les échanges dans le tubule proximal V3 Les échanges dans l'anse de Henlé
• Il existe 2 mécanismes de régulation du débit urinaire propres
au rein siégeant l'un au niveau du TCP l'autre au niveau du
TCD
• Ici donc il s'agit
g de l'équilibre
q ou balance gglomérulo-tubulaire,,
ce mécanisme a pour but d'atténuer les variations du DFG par
adaptation de la réabsorption d'eau dans le TCP
• Quand DFG augmente (augmentations du Kf, de Pf) le sang
capillaire tubulaire est plus concentré d'où un appel d'eau plus
important à partir de la lumière tubulaire ce qui rétablit le
débit urinaire avant l'anse de Henlé
• Au
A contraire
t i sii DFG diminue
di i la
l réabsorption
é b ti d'eau
d' diminue
di i 200
Branche grêle de l’anse de Henlé Région tubulaire Anse Ascendante large de Henlé
importante du fait Capillaire
Lumière
Dans la branche d'échanges d'ions Péritubulaire
Tubulaire
grêle descendante
uniquement
de l'anse de Henlé H2O H2O H+
Furosémide (-)
pas de
Aqp1 Aqp1 • dans la partie grêle Buténamide (-)
perméabilité
é bilité autre
t Par un symport Na+Cl- Na+
que celle à l'eau Urée (non représenté) 3 Na+
qui consiste en • dans la partie large ATP
une réabsorption.
H2O
par le mécanisme 2 K+
H2O Na+
Il peut toutefois Aqp1 Aqp1 majeur du cotransport
être observé une K+
: Na+ K+ 2Cl-, Cl - Cl -
faible diffusion de Urée
p
imperméabilité à l'eau,,
l' é du
l'urée d milieu
ili Cl- Cl -
intérieur vers la d'où origine du
H2O H2O K+ K+ (-)
lumière tubulaire Aqp1 Aqp1 gradient de
Conséquence :
concentration
interstitiel et (+)
concentration de
Ca2+, Mg2+
l'urine • dilution de l'urine
pas de
d sortie
ti Cl - Cl -
V4 -Tube distal terminal = Canal collecteur initial V4 -Tube distal terminal = Canal collecteur initial
• L'effet diurétique de l'amiloride et de la spironolactone • Le FNA s'oppose aux effets de l'aldostérone soit
s'explique là encore par le maintien du Na+ dans la lumière – En bloquant directement les canaux sodiques
tubulaire et donc par retenue d'une plus grande quantité – Autre hypothèse : en bloquant la voie de synthèse de
d eau
d'eau l' ld té
l'aldostérone
• L'amiloride inhibe l'entrée de Na+ par action sur le canal et • L'élimination importante de Na+ produite par le FNA
non pas par inhibition du récepteur à l'aldostérone, l'effet entraîne une élimination importante d'eau
persiste en l'absence de cette hormone
• La libération de FNA se produit lors de la distension atriale
• La spironolactone est un stéroïde dont la molécule est due soit à :
voisine de celle de l'aldostérone elle se fixe sur les
– l'augmentation
aug e tat o de laa vo
volémie
é e
récepteurs
é t de
d celle-ci
ll i ett bloque
bl son effet
ff t
– ou un mécanisme perçu comme tel : augmentation de la
• Le blocage de l'entrée de Na+ se traduit par une réduction
pression veineuse centrale (= augmentation du volume
de sortie du K+
atrial) comme lors de la plongée ou lors de la
• Ces 2 molécules sont donc des diurétiques qui épargnent le vasoconstriction due au froid (besoin d'uriner plus
K+ fréquent)
V5 - Canal collecteur médullaire : cellules principales V5 - Canal collecteur médullaire : cellules principales
Cellule intercalaire Capillaire
Lumière
Dans cette région Tubulaire Péritubulaire • L'hormone antidiurétique est sécrétée par les neurones
les effets de l’ADH Aqp3
hypothalamiques
sont d’autant plus
importants que le 2 K+ • Les stimuli physiologiques de la sécrétions sont :
ATP
gradient de Amiloride(-))
Amiloride( Osmotiques : les osmorécepteurs hypothalamiques détectent une
K+
concentration 3 Na+ FNA (-) très faible élévation de l'osmolarité des liquides corporels
augmente Spironolactone(-)
Aldostérone (+)
– Le mécanisme déclencheur est une très faible déshydratation
Na+ de ces récepteurs qui a pour but de diluer l'excédent d'ions
Dans cette région (Na+ essentiellement) du milieu extracellulaire
les canaux Na+ Aqp2 – Les osmorécepteurs stimulent le centre de la soif et la sécrétion
sensibles à V2 (+) HAD des cellules neuro-endocrines à HAD
l’amiloride H2O q
Non osmotiques ((nerveux)) : stimulation hypothalamique
yp q en
peuvent être Urée A 2
Aqp2
réponse à une diminution :
fortement inhibés Aqp3
H2O • D'environ 10 % du volume sanguin perçue par les volorécepteurs
par le FNA Urée de l'atrium droit
Aqp2
Aqp3 • De la PA détectée par les barorécepteurs artériels (effet mineur)
Région de
concentration de
l'urine Cellule intercalaire
Dans les
2 K+
• Lors d'un déficit en eau HAD est sécrétée cellules A : A
ATP
• En cas de surabondance d'apports hydriques la sécrétion se sécrétion active K+
3 Na+
Amiloride(-)
ralentit d'hydrogène FNA (-)
Spironolactone(-)
• Cette réabsorption d'eau liée à HAD est facultative, dans les Na+ Aldostérone (+)
conditions normales elle représente tout de même 9 % des 180 Dans les
litres filtrés (il ne reste donc que 1,5 à 1,8 l d'urine définitive) H2O
cellules B : Urée
Aqp2
V2 (+) HAD
• Le diabète insipide s'observe en cas de déficit en HAD ou de défaut le bicarbonate Aqp3
d ses récepteurs
de é t (di
(diabète
bèt iinsipide
i id néphrogénique),
é h é i ) on assiste
i t à une H2O
diurèse importante accompagnée d'une soif intense et d'une n’est sécrété Aqp3 Urée
polydipsie pour compenser les pertes (excrété) que C intercalaire A
s’il est en excès H+
dans le plasma
C intercalaire B
HCO3 – (+++)
VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique
BILAN DE L'EAU
• La régulation des entrées d'eau se fait par le mécanisme de la soif
• Les pertes d'eau sont diverses et inévitables (sécrétions, perspiration 100 % P D
cutanée, respiration, sudation, matières fécales..) mais aussi très variables 180 litres
(chaleur, diarrhées, hémorragie…) l'ajustement des pertes est réalisée par 70 %
le rein
• Il y a une perte d'eau obligatoire au niveau du rein pour assurer C
l'excrétion de certains solutés et maintenir l'osmolarité plasmatique. () : perte rénale
20% 9%
quotidienne dans les
• Les pertes normales sont au minimum de 500 ml/24 h, raison pour
conditions normales
laquelle il est impossible de survivre sans apport d'eau (attention aux
de fonctionnement qui
vieillards qui perdent la sensation de soif)
doit être compensée AH
• Lors d'un apport d'eau en excès les reins commencent l'élimination 30 par un apport au
min après l'ingestion (délai correspondant à l'aj
l'ajustement
stement de la sécrétion moins
i équivalent
é i l t (ne ( 1%
18 litres
d'HAD), le maximum est atteint au bout d'une heure et le retour à la pas oublier les pertes 1,8 litres (*)
normale après 3 heures. respiratoires,
• Le volume hydrique de l'organisme est strictement lié au contenu en perspiration cutanée
sodium "Na+ agit comme un aimant vis à vis de l'eau" et surtout les pertes REABSORPTION PAS DE MOUVEMENT D’EAU REABSORPTION
par sudation) OBLIGATOIRE FACULTATIVE
ADH dépendante
VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique
MOUVEMENTS DU SODIUM *
BILAN DU SODIUM 5%
LEC = Liquide
150 meq : Perte
quotidienne
Extra -Cellulaire
180 l x 140 meq= 25000 meq Na+ normale qui 100 % P D
TD 125 ml/min
l/ i = 180 l/ 24 H correspond d
(1)
sensiblement à
Remarquer que les 67 %
la quantité 25%
pertes en Na+ sont
ingérée. C 2%
d'environ 150 140 meq/l
24850 meq L'élimination
milliéquivalents un LEC REIN du sodium (2)
apport du même SANG (140 meq/l) s'adapte
ordre est assuré AH
rapidement à
par une
la quantité
alimentation
ingérée, une
normale sans 1%
Liquide extracellulaire urine peut être 150 meq
nécessité
14 litres (20 % de 70 kg) dont 6 l de sang 0,6 à 1% de pertes pauvre ou
d'adjonction de sel 14 x 140 meq = 2000 meq Na+ 150 meq fortement (1) Zone de stimulation par l'Aldostérone de la réabsorption du
chargée en sodium au travers du canal sensible à l'amiloride
sodium (2) Zone principale d'inhibition par le FNA de la réabsorption du
* En ne tenant pas compte du paramètre sudation sodium au travers du canal sensible à l'amiloride
VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique
Régulation des pertes sodiques Régulation des pertes sodiques
• En résumé la perte de Na+ ne représente que 1 % de la quantité filtrée et c'est
l'aldostérone qui en règle le débit définitif • Le FNA est libéré lors de la distension des parois de l'atrium droit (Cf
précédemment), outre la vasodilatation qu'il entraîne c'est un
• Dans la maladie d'Addison (insuffisance surrénalienne) l'hypo- natriurétique et par voie de conséquence un diurétique
aldostéronémie a comme conséquence une élimination accrue de Na+ mais
aussi de Cl- et d'eau. • Les
L glucocorticoïdes
l ti ïd augmentent t t la
l filtration
filt ti glomérulaire
l é l i mais i à
fortes doses il ont un effet antidiurétique, ils reproduisent les effets de
• La régulation de la sécrétion d'aldostérone dépend de mécanismes l'aldostérone probablement en se fixant sur les récepteurs de celle-ci
– Direct : la zone glomérulée de la surrénale est sensible au rapport [Na+]/[K+] (oedèmes des patients traités par rétention de Na+ et d'eau)
plasmatique, une diminution de celui-ci (augmentation de la kaliémie ou • Les estrogènes sont chimiquement des analogues de l'aldostérone et
diminution de la natrémie) stimule la sécrétion d'aldostérone. La correction est permettent une rétention d'eau (syndrome prémenstruel) et des
correcte en cas d'hyperkaliémie (fuite de K+ urinaire) mais en cas d'hyponatrémie oedèmes chez la femme enceinte
le résultat est le même et peut entraîner une hypokaliémie (effets toujours aux
• En cas d'hypernatrémie
yp la lutte chimique
q consiste en l'utilisation des
dépens du K+)
diurétiques quelle que soit leur famille, attention cependant aux fuites
– Indirects : le système Rénine Angiotensine stimule la production d'aldostérone, il potassiques avec le furosémide
est mis en jeu par :
• Le traitement de l'hypertension artérielle utilise les diurétiques sans
• Diminution de la distension des parois de l'artériole afférente (chute de pression) oublier le régime pauvre en Na+
• Par stimulation sympathique de l'appareil juxta-glomérulaire
• Éventuellement par l'augmentation de l'osmolalité tubulaire au niveau de la macula
densa
VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique
MOUVEMENTS DU POTASSIUM BILAN DU POTASSIUM
: Perte quotidienne
100 meq normale
correspondant à
125 ml/min = 180 l/ 24 H
l'apport alimentaire
TD quotidien nécessaire. 100 % P D
180 X 4 = 700 meq k+ L'ajustement à la Aldo
quantité ingérée ne X
se fait que lentement 30 %
70 %
en conséquence un +/- C
LEC 700 meq TCP+HH apport alimentaire
REIN Y
- exagéré conduit au
meq
risque AH
d'hyperkaliémie
SANG (4 meq) - trop faible conduit
Sécrétion au risque
(X-Y) meq
d'hypokaliémie 100 meq
14 litres (20 % de 70 kg) dépend de l'aldostérone
14 x 4 meq = 60 meq k+ 100 meq
VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique
MOUVEMENTS DU MAGNESIUM
BILAN DU CALCIUM Seulement 25 g de Mg 2+ dans l'organisme (99% dans les os et tissus mous, 1%
: perte rénale
5% dans le LEC, donc essentiellement ion intracellulaire)
quotidienne soit environ
200 mg. C’est surtout au
niveau du tubule distal 100 %(1) P D
que se fait ll’ajustement
ajustement de 300 mg
cette perte sous 70 %
l’influence de la PTH qui TD 125 ml/min=180 l/ 24H
180 X 14 mg = 2500 mg
favorise la réabsorption C
en stimulant CaATPase.
20 % 3%
AH
-la Vit.D pour sa part
100 mg/J LEC
stimule l'absorption
digestive
g REIN
2 % OS 2400 mg
Dans le cas d’une 200 mg
hyperparathyroïdie il
sera cependant observé (1) il s’agit du calcium plasmatique libre qui ne représente
une hypercalciurie. que 60 % du calcium plasmatique total (100 mg/l), 40 % 20 mg/l (total)
étant lié aux protéines (surtout l’albumine) 14mg/l (forme libre)
200 mg/J 100 mg /J
soit 4 % du Magnésium filtré
HCO3- REIN
(25 meq)
4%
(1) il s’agit du magnésium plasmatique libre qui ne représente que 70 % du 100 mg
magnésium plasmatique total, 30 % étant lié aux protéines Sécrétion dans CC
si surcharge plasmatique 0
VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique VI – Rôle du rein dans l'équilibre hydro-électrolytique
BILAN DU BICARBONATE MOUVEMENTS DU PHOSPHATE
Phosphate
1400 mg/j
8%
125 ml/min = 180 l/ 24 H
TD 180 X 33 mg = 6000 mg /J
100 % P D
1000
> 65 % LEC
mg/J
REIN
C OS 5000 mg/J
La réabsorption du < 25 %
bicarbonate par
recyclage du bicarbonate AH
2%
filtré est à l'origine de LEC
plus de 98 % de 37 mg/l (total)
33 mg/l (forme libre)
l'acidification urinaire
0%
1000 mg /J
400 mg/J soit 15 à 20 % du phosphate
filtré
BILAN DU PHOSPHATE
5%
H+ H+ H+
100 % (1) P D
75 - 80 %
NH4+ K+ K+
Sécrétion
* : perte rénale C excrétion Prostaglandines
Prostaglandines
quotidienne soit environ
1000 mg.
AH
La PTH inhibe la CCatécholamines
Catécholamines
té h l i
réabsorption au niveau
du tube proximal et 15 - 20 % Substances
Substances
aussi du tubule distal. 1000 mg Exogènes
exogènes
(1) il s’agit du phosphate plasmatique libre qui
représente 90 % du phosphate plasmatique Réabsorption
total, 10 % étant lié aux protéines H2O Obligatoire
Obligatoire:: 90
90 %
% Facultative