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Analyse

Im Gedicht werden die Themen des Alterns, des Vergehens der Zeit und des Todes behandelt.
Das lyrische Ich ist der Autor Pierre de Ronsard, der dieses Gedicht für Hélène schrieb. Eine
Frau, die er versuchte zu überzeugen, sich für ihn zu entscheiden. Hélène hat ebenfalls eine
Zeile, die letzte der ersten Strophe, in der sie Ronsard vom lyrischen Ich ablöst und
übernimmt, sie singt in dieser Zeile die Verse, die Ronsard für sie schrieb.
Der lateinische Spruch «Carpe diem» findet auch in diesem Gedicht des Barocks seine Rolle.
Ronsard fordert in diesem Gedicht Hélène auf den Augenblick zu genießen und damit seinen
Avancen nachzugeben: "Vivez, si m'en croyez, n'attend à demain". Er verlangt ebenfalls im
Gedicht von ihr "die Rosen des Lebens" zu pflücken. Die Rose steht für die Vergänglichkeit
der Schönheit. Zuerst ist die Rose wunderschön doch mit der Zeit verwelkt sie, sowie Hélène
eines Tages ihre Schönheit verlieren wird. Das Thema der Vergänglichkeit wird ebenfalls
vertieft, indem sich "schön" und Kerze" aufeinander reimen. Beide Wörter sind gleich
vergänglich und haben einen zerbrechlichen Charakter.
Ebenso findet das lateinische Sprichwort «Memento mori» seine Bedeutung. Der Autor spielt
in der ersten Strophe mit mehreren Begriffen auf das Ende von Hélènes Leben an
beispielsweise «bien vielle» und «au soir», im Gegensatz zum Morgen, steht der Abend für
ein Ende, in diesem Fall für das Ende des Lebens. Ebenfalls könnte sich das Wort «filant» für
einen Schicksalsfaden stehen, der, wenn er durchtrennt wird, das Leben zum Stoppen bringt.
Er will damit verdeutlichen, dass Helenes Leben ein Ende haben wird und sie sich daran
erinnern soll.
Der Ausdruck "ombres myrteux", der in der dritten Strophe vorkommt, besitzt mehrere
Bedeutungen. Die Myrte, die eines der Symbole der Venus und damit der Schönheit ist.
Dieser Begriff wird dem Wort "Schatten" hinzugefügt. In der Mythologie war der Schatten
weder der Körper noch die Seele, sondern ein Zwischenzustand, der die Gestalt und die
Fähigkeiten des Körpers hatte und ihm beim Abstieg in die Unterwelt wie eine Hülle diente.
Der Ausdruck bezieht sich also auf einen Ort, an dem sich die Liebenden nach ihrem Tod
wiederfinden können, wo sich dann auch Ronsard aufhalten wird, während Hélène eine alte
Frau sein wird.

Das Gedicht ist in der Sonnet Form geschrieben. Die Verse sind Alexandriner, also besitzen
zwölf Silben. In den ersten zwei Strophen haben ein rime suivies. Die letzte Zeile der dritten
und der vierten Strophen reimen sich aufeinander, was eine Betonung auf diese beiden Zeilen
gibt.
Die Wörter sie sich in diesem Gedicht aufeinander reimen, stehen in Verbindung miteinander.
Die beiden Wörter «os» und «repos, stehen beide für den Tod, sowie alle Wörter in diesem
Gedicht, die sich auf «-elle» reimen, etwas Positives darstellen, wie beispielsweise
«chandelle», «belle» und «immortelle». Ebenfalls Reimen sich «telle» und «novelle»
aufeinander. Dies ist das einzige Beispiel im Gedicht, wo sich zwei Wörter aufeinander
Reimen, die nicht am Ende einer Zeile stehen. Es hebt das gute der Nachricht hervor und wie
glücklich sie Hélène gemacht hat, da wie schon vorhin erwähnt alles, dass alles was sich auf
«elle» reimt für etwas Gutes steht.
Dieses Gedicht zeigt ebenfalls den narzisstischen Charakter von Ronsard, da er sich selbst
sehr positiv darstellt und als jemand, der selbst nach seinem Tod in den Erinnerungen der
anderen bleibt und er Hélène als vergänglich und allgemein eher weniger positiv beschreibt.
Auch Hélène selbst wird, wenn sie alt ist und Ronsard schon verstorben ist, immer noch an
ihn denken und seine Verse singen.
In diesem Sonett Quand vous serez bien vieille wendet Ronsard demzufolge eine originelle
Verführungsstrategie an. Mit einem wenig lobenden Porträt von Hélène versucht der Dichter,
sie zu verführen. Er nutzt die Gelegenheit, um sich selbst zu loben, um Hélène zu überzeugen.

https://www.bacdefrancais.net/quand-vous-serez-bien-vieille-ronsard.php
Analyse

Le poème aborde les thèmes du grand âge, du temps qui passe et de la mort. Le " moi "
lyrique est l'auteur Pierre de Ronsard, qui a écrit ce poème pour Hélène. Une femme qu'il a
essayé de convaincre de se décider pour lui. Hélène a également une ligne, la dernière de la
première strophe, dans laquelle elle remplace et reprend Ronsard du je lyrique, elle chante
dans cette ligne les vers que Ronsard a écrits pour elle.
La devise latine "Carpe diem" trouve également son rôle dans ce poème de l'époque baroque.
Dans ce poème, Ronsard demande à Hélène de profiter du moment présent et de ce fait de
répondre à ses avances : "Vivez, si m'en croyez, n'attendez pas à demain". Il lui demande
également dans le poème de cueillir "les roses de la vie". La rose symbolise le caractère
éphémère de la beauté. Au début, la rose est belle, mais avec le temps, elle se fane, tout
comme Hélène perdra un jour sa beauté. Le thème de l'éphémère est également approfondi
par la rime entre "beau" et "bougie". Les deux mots sont aussi passagers l'un que l'autre et ont
un caractère fragile.
De même, le proverbe latin "Memento mori" trouve sa signification. Dans la première
strophe, l'auteur fait allusion à la fin de la vie d'Hélène avec plusieurs termes, par exemple
"bien vielle" et "au soir", contrairement au matin, le soir représente une fin, dans ce cas la fin
de la vie. De même, le mot "filant" pourrait se rapporter à un fil du destin qui, s'il est coupé,
arrête la vie. Il veut ainsi faire comprendre que la vie d'Hélène aura une fin et qu'elle doit s'en
souvenir.
L'expression "ombres myrteux", qui apparaît dans la troisième strophe, possède plusieurs
significations. Le myrte, qui est l'un des symboles de Vénus et partant, de la beauté. Ce terme
est ajouté au mot "ombre". Dans la mythologie, l'ombre n'était ni le corps ni l'âme, mais un
état intermédiaire qui avait la forme et les facultés du corps et qui lui servait d'enveloppe lors
de sa descente aux enfers. L'expression fait donc référence à un lieu où les amants peuvent se
retrouver après leur mort, où se trouvera alors Ronsard, tandis qu'Hélène sera une vieille
femme.
Le poème est écrit dans la forme Sonnet. Les vers sont des alexandrins, c'est-à-dire qu'ils
possèdent douze syllabes. Dans les deux premières strophes, il y a une rime suivie. La
dernière ligne de la troisième et de la quatrième strophe riment l'une avec l'autre, ce qui donne
un accent sur ces deux lignes.
Les mots qui riment entre eux dans ce poème sont liés entre eux. Les deux mots "os" et
"repos" représentent tous deux la mort, tout comme tous les mots de ce poème qui riment avec
"-elle" représentent quelque chose de positif, comme par exemple "chandelle", "belle" et
"immortelle". De même, "telle" et "novelle" riment entre eux. C'est le seul exemple dans le
poème où deux mots qui ne sont pas à la fin d'une ligne riment l'un avec l'autre. Il met en
évidence le bien de la nouvelle et le bonheur qu'elle a apporté à Hélène, car comme nous
l'avons déjà dit, tout ce qui rime avec "elle" est synonyme de bien.
Ce poème montre également le caractère narcissique de Ronsard, puisqu'il se présente de
manière très positive et comme quelqu'un qui reste dans les souvenirs des autres même après
sa mort et qu'il décrit Hélène comme une personne éphémère et en général plutôt moins
positive. Hélène elle-même, lorsqu'elle sera vieille et que Ronsard sera déjà décédé, pensera
encore à lui et chantera ses vers.
Dans ce sonnet Quand vous serez bien vieille, Ronsard utilise donc une stratégie de séduction
originale. En dressant un portrait peu élogieux d'Hélène, le poète tente de la séduire. Il en
profite pour faire son propre éloge afin de convaincre Hélène.

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